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Détail
Liste
1
p. 170-172
Autre sur le nom de M. le Marquis de Dangeau, [titre d'après la table]
Début :
La premiere de ces deux Enigmes a esté expliquée sur le nom de Mr le / Quelle nouvelle Aritmétique, [...]
Mots clefs :
Arithmétique, Esprits, Pythagore, Ennemis, Diadème, Apôtres, Nom, Apollon, Muse
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texteReconnaissance textuelle : Autre sur le nom de M. le Marquis de Dangeau, [titre d'après la table]
La premiere de ces deux Enigmes
a efté expliquée fur le nom de M le
Marquis de Dangeau , par M Bonvallon
du Limofin. Ie croy vous obliger
en vousfaifant part de cette Explication.
Q
Velle nouvelle Aritmétique,
Pour embarraffer les Efprits,
Vicnt fe mefler, Mercure, aux Enigmes
fans prix
De ta galante République?
Trois & quatrefont ſept, ce calcul eſt aiſe;
Les fept parts font le tout, je le comprens
encore
Sans les Nombres divins du profond Py
thagore,
Je ne m'y fuis pas abufé;
Maislors qu'il s'agit de décrire
Quellesfont ces fept parts, quel enfin eft
ce tout,
Mon Art de déchiffrer eſt tout àfait àbout,
Et je n'ay nul deffein de rire.....
du Mercure Galant.
171
Tudis quela part du milieu
Parmy nos Ennemis occupe un triple lieu.
Ces Ennemis, feroit- ce point l'Espagne,
Génesfuperbe, & la fiere Allemagne?
Mais dans ces Nations qu'eft- ce donc que
AM tu agis.IN
Troisfois?
De l' Alphabet c'est la Lettrefeptième,
Nombre mistérieux qui vaut un Diademe.
O Dieux ! fi je pouvois, toin du Peuple
Etranger,
Délivrerdu péril trois qui font en danger,
Tirer du Tombeau les trois autres
Enfevelie's fous lesflots
Au plus profonddes Eaux,
Ne meprendroit-on pas pour quelqu'un
des Apoftres?
Apoftre ou non, le miracle en eft fait.
Venez Dan, fortez eau, vous, Lettre mitoyenne
,
Placez- vous entre deux, vous formerez
fans peine
L'heureux Nom de Dangeau , qui ne
craint en effet
Pij
172
Extraordinaire
Ny périls de Fortune,
Ny la Parque commune.
Son Maistre eftantfavory d'Apollon,
Et des plus honorez dans le facré Vallon,
D'un Pinceau délicat il tracerafa gloire
Sur les mefmes Autels du Temple de Mémoire,
Et fes traits animeż
Dont nousfommes charmez,
Donneurs de vie, & de vie immortelle
L'éternifent auffi parfa Mufe fidelle.
a efté expliquée fur le nom de M le
Marquis de Dangeau , par M Bonvallon
du Limofin. Ie croy vous obliger
en vousfaifant part de cette Explication.
Q
Velle nouvelle Aritmétique,
Pour embarraffer les Efprits,
Vicnt fe mefler, Mercure, aux Enigmes
fans prix
De ta galante République?
Trois & quatrefont ſept, ce calcul eſt aiſe;
Les fept parts font le tout, je le comprens
encore
Sans les Nombres divins du profond Py
thagore,
Je ne m'y fuis pas abufé;
Maislors qu'il s'agit de décrire
Quellesfont ces fept parts, quel enfin eft
ce tout,
Mon Art de déchiffrer eſt tout àfait àbout,
Et je n'ay nul deffein de rire.....
du Mercure Galant.
171
Tudis quela part du milieu
Parmy nos Ennemis occupe un triple lieu.
Ces Ennemis, feroit- ce point l'Espagne,
Génesfuperbe, & la fiere Allemagne?
Mais dans ces Nations qu'eft- ce donc que
AM tu agis.IN
Troisfois?
De l' Alphabet c'est la Lettrefeptième,
Nombre mistérieux qui vaut un Diademe.
O Dieux ! fi je pouvois, toin du Peuple
Etranger,
Délivrerdu péril trois qui font en danger,
Tirer du Tombeau les trois autres
Enfevelie's fous lesflots
Au plus profonddes Eaux,
Ne meprendroit-on pas pour quelqu'un
des Apoftres?
Apoftre ou non, le miracle en eft fait.
Venez Dan, fortez eau, vous, Lettre mitoyenne
,
Placez- vous entre deux, vous formerez
fans peine
L'heureux Nom de Dangeau , qui ne
craint en effet
Pij
172
Extraordinaire
Ny périls de Fortune,
Ny la Parque commune.
Son Maistre eftantfavory d'Apollon,
Et des plus honorez dans le facré Vallon,
D'un Pinceau délicat il tracerafa gloire
Sur les mefmes Autels du Temple de Mémoire,
Et fes traits animeż
Dont nousfommes charmez,
Donneurs de vie, & de vie immortelle
L'éternifent auffi parfa Mufe fidelle.
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Résumé : Autre sur le nom de M. le Marquis de Dangeau, [titre d'après la table]
Le texte présente une énigme et son explication, attribuée à M. Bonvallon du Limosin, concernant le nom du Marquis de Dangeau. Cette énigme, publiée dans le Mercure Galant, utilise des nombres et des lettres pour décrire une situation politique. Elle mentionne 'trois & quatrefont sept' et parle des 'fept parts' et du 'tout', sans que l'auteur comprenne ces 'fept parts' sans les nombres divins de Pythagore. L'énigme évoque également des ennemis potentiels comme l'Espagne, Gênes et l'Allemagne, et une lettre de l'alphabet, la septième, qui vaut un diadème. L'auteur souhaite délivrer des périls trois personnes en danger et trois autres ensevelies sous les flots. Il mentionne un miracle accompli et la formation du nom 'Dangeau' à partir de lettres. Le Marquis de Dangeau est décrit comme ne craignant ni les périls de la fortune ni la mort commune. Son maître, favori d'Apollon et honoré dans un vallon sacré, tracera sa gloire avec un pinceau délicat sur les autels du Temple de Mémoire. Les traits animés du Marquis, sources de charme, donnent la vie et l'immortalité, éternisés par une muse fidèle.
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2
p. 70-78
Nouvelle maniere de diviser, composée de l'Italienne & de la Françoise.
Début :
Ce n'est pas sans raison qu'un auteur moderne des plus celebres [...]
Mots clefs :
Zéro, Division, Diviseur, Quotient, Produit, Arithmétique
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texteReconnaissance textuelle : Nouvelle maniere de diviser, composée de l'Italienne & de la Françoise.
Nouvelle mortiere Je diviser,
composéedel'Italienne
&delaFrançoise..
Ce n'est pas sans raiÍÕnt
cib'un, auteur moderne des
plus célébrés en Arithmétique
a nommé la Division
l'épine de l'Arithmétique,
puis qu'elle en contient
presque seule toute la difficulté,
c'efl à dire les trois
plus difficiles opérations; savoir,
une Division,une Multiplicarion,
&uneSouftraction,
réitérées pluficurs fois
tout de fuite. C'est pour
cela qu'on doit s'appliquer
à la simplifier autant qu'il
est possible, pour la commodité
des commençans,
Nous en proposons, ici
une ,
qui etant compofee*
de la Division Françoise
& de l'Italienne, comme
des deux plus abrégées,
évite cependant les emprunts
frequens & réitérez
de la premiere, & les
longues répétitionsdu Diviseur
de la derniere.
-.
Soit pour cet effet le
nombre (9807950450 ) a
QOOO0.0 2450 1.5
1
735Q.4
7 3 5.0 o0073.5
- 9307.9 49Q0.3
20OI50
diviser par
le nombre
(49003)j'écris
d'abord
le diviseur
49003,&au
dessus le dividens
9807950450>en forte
que les premiers chiffresde
ce dernier 980, &c. contiennent
les premiers 49 y
&c. du diviseur. Et s'il y
avoit, par exemple,ig dansles
deux premiers chiffres,
du dividensyau lieu de 98V
fécrirois le 8 sur le 4 du diviseur
y
ôc le 2.
de 28 plus
avancé
avancé d'une place vers la
gauche, & le reste comme
dans la Division ordinaire.
A l'égard du reste du dividens
de (50450) donc il
déborde le diviseur vers la
droite, je récris au- dessus
des derniers chiffres 9 & 5
du dividcns ou du diviseur
en ligne perpendiculaire,
comme on le voit en l'exemple
cy joint. Divisant
donc 9 par 4 à l'ordinaire,
il vient pour quotient 1,
que j'écris fous une barre
au-dessous de 4. Je fais enfuite
la preuve à. l'Italienne,
en disant [2 fois 3 font 6.
que j'ôte de 9 qui est audessus,
il reste 3 ] que j'écris
sur le reste du dividens,
audevant de 5. Ensuite [2
fois zero ne font rien, que
j'ôte de 7, il reste 7 ]quej'écris
sur le zero du dividens,
devant le dernier 3. Ensuite
encore [ z fois rien ne font
rien]que j'écris devant le
7 au-dessus du 8. Puis [ z
fois 9 font 18 , que j'ôte de
18 ,
le reste est zéro] que
j'écris sur le 9 du dividens,
retenant l'emprunt 1. Enfin
[ 1 fois 4 font 8,de1 que je
retiens font 9, que j'ôte du
9 du dividens, le reste est
encore zéro] que j'écris audevant
du dernier zero sur
le même alignement.
Ainsi mon restetotal,
ou nouveau dividens est
( 000735) que je separe du
premier par une barre. Je
continuë donc ma Division.
en disant [4en zero,le
quotient est zéro,que j'écris
fous la barre à côté du
i ; & multipliant le diviseur
49003 par zéro, le produit
est zero) qui étant ore de
735) ilreste 735, quej'écris
au- dessus du dividens
000735 au-devant du zero,
& c'est le troisiéme dividens
, lequel étant encore
divisé par 4, le quotient est
encore zero; & le produit
de 49005 par ce zero étant
encore ôté de 7350,le reste
est 7550, que j'écris au-des
fus
J
au-devant du 4 :
ainsi
le quatriémedividens est
73504, lequel étant aussi divisé
par 4, le quotient est 1,
que j'écris sous la barre aprés
le 1 ôc les deux zéro;
& multipliant49003 par cet
1, en commençantparle
dernier chiffre3,&le produit
étant ôté de 73 504, en
commençant par le dernier
chiffre, 4,il reste 14501, que
j'écris au-dessous de 73504,
au-devant du 5, pour avoir
le 5e dividens, 145015. Enfin
divisant245015 par 4,1e quo.
tient est 5, que j'écris fous la
barre après 1; & multipliant
49003 par ce 5,le produit est
145015 ,
qui étant ôté de
2,4^015,le reste est zero, que
j'écris audessus de 14501, audevant
du zero du premier
dividens. Enfin divisant ce
reste zéro ou dernier dividens
par 4, le quotient est
zero, quejécris à la fuite
despremierschiffres du diviseur
: & comme je fuis arrivé
à un dividens(000000)
dont le dernier chiffre zéro
du dividens proposé,
9807950450, fait partie,je
conclus que la Division est
finie, Ce que le quotient
cherché est ( 100150 ).& k
reste de la Divisionzéro,
Il faut faire de mêmeà pro.
portion pour tous les autres
exemples que l'on peut proposer;
ce qu'il n'est pas poffi- le de faire ici dans un plus
grand détail.
composéedel'Italienne
&delaFrançoise..
Ce n'est pas sans raiÍÕnt
cib'un, auteur moderne des
plus célébrés en Arithmétique
a nommé la Division
l'épine de l'Arithmétique,
puis qu'elle en contient
presque seule toute la difficulté,
c'efl à dire les trois
plus difficiles opérations; savoir,
une Division,une Multiplicarion,
&uneSouftraction,
réitérées pluficurs fois
tout de fuite. C'est pour
cela qu'on doit s'appliquer
à la simplifier autant qu'il
est possible, pour la commodité
des commençans,
Nous en proposons, ici
une ,
qui etant compofee*
de la Division Françoise
& de l'Italienne, comme
des deux plus abrégées,
évite cependant les emprunts
frequens & réitérez
de la premiere, & les
longues répétitionsdu Diviseur
de la derniere.
-.
Soit pour cet effet le
nombre (9807950450 ) a
QOOO0.0 2450 1.5
1
735Q.4
7 3 5.0 o0073.5
- 9307.9 49Q0.3
20OI50
diviser par
le nombre
(49003)j'écris
d'abord
le diviseur
49003,&au
dessus le dividens
9807950450>en forte
que les premiers chiffresde
ce dernier 980, &c. contiennent
les premiers 49 y
&c. du diviseur. Et s'il y
avoit, par exemple,ig dansles
deux premiers chiffres,
du dividensyau lieu de 98V
fécrirois le 8 sur le 4 du diviseur
y
ôc le 2.
de 28 plus
avancé
avancé d'une place vers la
gauche, & le reste comme
dans la Division ordinaire.
A l'égard du reste du dividens
de (50450) donc il
déborde le diviseur vers la
droite, je récris au- dessus
des derniers chiffres 9 & 5
du dividcns ou du diviseur
en ligne perpendiculaire,
comme on le voit en l'exemple
cy joint. Divisant
donc 9 par 4 à l'ordinaire,
il vient pour quotient 1,
que j'écris fous une barre
au-dessous de 4. Je fais enfuite
la preuve à. l'Italienne,
en disant [2 fois 3 font 6.
que j'ôte de 9 qui est audessus,
il reste 3 ] que j'écris
sur le reste du dividens,
audevant de 5. Ensuite [2
fois zero ne font rien, que
j'ôte de 7, il reste 7 ]quej'écris
sur le zero du dividens,
devant le dernier 3. Ensuite
encore [ z fois rien ne font
rien]que j'écris devant le
7 au-dessus du 8. Puis [ z
fois 9 font 18 , que j'ôte de
18 ,
le reste est zéro] que
j'écris sur le 9 du dividens,
retenant l'emprunt 1. Enfin
[ 1 fois 4 font 8,de1 que je
retiens font 9, que j'ôte du
9 du dividens, le reste est
encore zéro] que j'écris audevant
du dernier zero sur
le même alignement.
Ainsi mon restetotal,
ou nouveau dividens est
( 000735) que je separe du
premier par une barre. Je
continuë donc ma Division.
en disant [4en zero,le
quotient est zéro,que j'écris
fous la barre à côté du
i ; & multipliant le diviseur
49003 par zéro, le produit
est zero) qui étant ore de
735) ilreste 735, quej'écris
au- dessus du dividens
000735 au-devant du zero,
& c'est le troisiéme dividens
, lequel étant encore
divisé par 4, le quotient est
encore zero; & le produit
de 49005 par ce zero étant
encore ôté de 7350,le reste
est 7550, que j'écris au-des
fus
J
au-devant du 4 :
ainsi
le quatriémedividens est
73504, lequel étant aussi divisé
par 4, le quotient est 1,
que j'écris sous la barre aprés
le 1 ôc les deux zéro;
& multipliant49003 par cet
1, en commençantparle
dernier chiffre3,&le produit
étant ôté de 73 504, en
commençant par le dernier
chiffre, 4,il reste 14501, que
j'écris au-dessous de 73504,
au-devant du 5, pour avoir
le 5e dividens, 145015. Enfin
divisant245015 par 4,1e quo.
tient est 5, que j'écris fous la
barre après 1; & multipliant
49003 par ce 5,le produit est
145015 ,
qui étant ôté de
2,4^015,le reste est zero, que
j'écris audessus de 14501, audevant
du zero du premier
dividens. Enfin divisant ce
reste zéro ou dernier dividens
par 4, le quotient est
zero, quejécris à la fuite
despremierschiffres du diviseur
: & comme je fuis arrivé
à un dividens(000000)
dont le dernier chiffre zéro
du dividens proposé,
9807950450, fait partie,je
conclus que la Division est
finie, Ce que le quotient
cherché est ( 100150 ).& k
reste de la Divisionzéro,
Il faut faire de mêmeà pro.
portion pour tous les autres
exemples que l'on peut proposer;
ce qu'il n'est pas poffi- le de faire ici dans un plus
grand détail.
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Résumé : Nouvelle maniere de diviser, composée de l'Italienne & de la Françoise.
Le texte expose une méthode de division combinant les techniques italiennes et françaises pour simplifier les opérations arithmétiques. La division est considérée comme l'opération la plus complexe en arithmétique, impliquant des répétitions de division, multiplication et soustraction. La méthode proposée vise à réduire les emprunts fréquents et les répétitions longues en utilisant les techniques les plus abrégées. Pour illustrer cette méthode, le texte présente un exemple de division du nombre 9807950450 par 49003. Le processus commence par l'alignement du diviseur et du dividende. Ensuite, des opérations de division, multiplication et soustraction sont effectuées de manière itérative. Chaque étape est détaillée, montrant comment les quotients et les restes sont calculés et écrits. Le texte conclut que la division est terminée lorsque le dividende devient zéro. Le quotient recherché est 100150, avec un reste de zéro. Cette méthode peut être appliquée à d'autres exemples de division de manière similaire.
Généré par Mistral AI et susceptible de contenir des erreurs.
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3
p. 63-69
Réponse à l'auteur de la critique sur la nouvelle preuve de Multiplication par 11, insérée dans le Mercure de Paris en Septembre 1713. page 112.
Début :
Le memoire en question se trouve dans le Mercure de [...]
Mots clefs :
Critique, Multiplication, Preuve, Mémoire, Arithmétique, Opérations, Savants
Afficher :
texteReconnaissance textuelle : Réponse à l'auteur de la critique sur la nouvelle preuve de Multiplication par 11, insérée dans le Mercure de Paris en Septembre 1713. page 112.
Riponfe à l'auteur de la critiquesur
la nouvelle preuve
de Multiplication par 11,
inferee dans le Mercure de
Paris en Septembre 17i 3.
page m.
* Le memoire en question
se trouve dans le Mercure
de Mars 1713. page 49. L'auteur
de la critique pretend
trois choses
: la premiere,
que l'auteur de la preuve
de Il a eu en vûe de faire
tomber l'ancienne preuve
de 9 ;
la feconde, que la
nouvelle preuve de II cft
beaucoup plus difficile à
pratiquer, que de recommencer
la Multiplication:
la troisiéme,que cette preuve
ne devoir pas être inferée
dans le Mercure de Paris.
Nous allons faire voir
qu'il sest trompé abfolument
sur ces trois chefs
sans pretendre rien rabat-,
tre de sa capacité. Pour être
persuadé qu'il est dans l'er--
reur sur le premier chef,
il ne faut que lire ce que
je dis à la page 101, sur la
preuve de 9. Le voici. (Pour
rendre
rendre donc cette preuve
plus fidelle du double,je
me fers de la preuve de 11j)
& à la page 56. & 57-Ravoir
: (je dis que la certitude
de la preuve est double,
de ce qu'elle feroit, si
je n'avois fait que la preuve
de9}) & encore page 68.
&69. où je dis: (Ce qui demande
deux fois plus de
coups, pour faire paroîtfç
la preuve de nfallacieuse.,
compriiè celle de 9, que
pour celle de 9 ou de11
toute feule.) Ces trois j>a£-
fagesfont plus que suffisans,
pour faire voir que bien
loin de vouloirdetraire la
preuve de 9 par celle de 11, je n',ai au co.ntraire invente,
celle-ci, que pour rétablir
l'usage de celle de 9 :&
cela d'autant plus que je
reconnois que ces deux
ne sçauroient fubfifler l'une
sans l'autre. Voyons maintenant
si nôtre critique est
mieux fondé surlefécond
chef. Pour cet effet il ne
s'agit que d'examiner s'il
est plus court de multiplier
une feconde fois (73904)
par( 50871 ) que de mettre
la preuve de 9 & celle de
II en usage, & sans avoir
égard aux zeros & à l'unité
qui Ce trouvent dans ces
deux nombres, ce qui est
un hazard,considerons que
la multiplication feule de
ces deux nombres demande
déja25. opérations, qu'ensuite l'addition des
cinq produits en demande
encore vingt-cinq autres,
ce qui fait cinquante opérations
en tout, comme
chacun peut le voir en faisant
foy-même la multiplication
de ces deux nombres.
Considerons aussi que
pour faire la preuve de Il
le preparatif sur les lieux
pairs des introduisans&du
produit ne demande que neuf operations, lequel
preparatif étant fait, la
preuve de li. ne demande
au resteque dix opérations
sur les produifans & neuf
sur le produit; de même
quela preuve de 9,ce qui
fait 38 pour lest. qui avec
les 9du prepatatif ne sont
que 47 en tout; c'est à dire3
de moins que la premiere
preuve, à quoy il faut adjoûter
que dans ces 47. operations
,il n'y a que deux
feules multiplications, au
lieu que dans la premiere
preuve ily ena 15 ,ce qui
rend la nouvelle preuve
considerablement plus aisée.
Quant au troisieme
chef,l'auteur de la critique
s'est mis lui-même dans son
tort, en la faisant imprimer
dans le Mercure de Paris,
& non pas dans le Journal
des Sçavans.
la nouvelle preuve
de Multiplication par 11,
inferee dans le Mercure de
Paris en Septembre 17i 3.
page m.
* Le memoire en question
se trouve dans le Mercure
de Mars 1713. page 49. L'auteur
de la critique pretend
trois choses
: la premiere,
que l'auteur de la preuve
de Il a eu en vûe de faire
tomber l'ancienne preuve
de 9 ;
la feconde, que la
nouvelle preuve de II cft
beaucoup plus difficile à
pratiquer, que de recommencer
la Multiplication:
la troisiéme,que cette preuve
ne devoir pas être inferée
dans le Mercure de Paris.
Nous allons faire voir
qu'il sest trompé abfolument
sur ces trois chefs
sans pretendre rien rabat-,
tre de sa capacité. Pour être
persuadé qu'il est dans l'er--
reur sur le premier chef,
il ne faut que lire ce que
je dis à la page 101, sur la
preuve de 9. Le voici. (Pour
rendre
rendre donc cette preuve
plus fidelle du double,je
me fers de la preuve de 11j)
& à la page 56. & 57-Ravoir
: (je dis que la certitude
de la preuve est double,
de ce qu'elle feroit, si
je n'avois fait que la preuve
de9}) & encore page 68.
&69. où je dis: (Ce qui demande
deux fois plus de
coups, pour faire paroîtfç
la preuve de nfallacieuse.,
compriiè celle de 9, que
pour celle de 9 ou de11
toute feule.) Ces trois j>a£-
fagesfont plus que suffisans,
pour faire voir que bien
loin de vouloirdetraire la
preuve de 9 par celle de 11, je n',ai au co.ntraire invente,
celle-ci, que pour rétablir
l'usage de celle de 9 :&
cela d'autant plus que je
reconnois que ces deux
ne sçauroient fubfifler l'une
sans l'autre. Voyons maintenant
si nôtre critique est
mieux fondé surlefécond
chef. Pour cet effet il ne
s'agit que d'examiner s'il
est plus court de multiplier
une feconde fois (73904)
par( 50871 ) que de mettre
la preuve de 9 & celle de
II en usage, & sans avoir
égard aux zeros & à l'unité
qui Ce trouvent dans ces
deux nombres, ce qui est
un hazard,considerons que
la multiplication feule de
ces deux nombres demande
déja25. opérations, qu'ensuite l'addition des
cinq produits en demande
encore vingt-cinq autres,
ce qui fait cinquante opérations
en tout, comme
chacun peut le voir en faisant
foy-même la multiplication
de ces deux nombres.
Considerons aussi que
pour faire la preuve de Il
le preparatif sur les lieux
pairs des introduisans&du
produit ne demande que neuf operations, lequel
preparatif étant fait, la
preuve de li. ne demande
au resteque dix opérations
sur les produifans & neuf
sur le produit; de même
quela preuve de 9,ce qui
fait 38 pour lest. qui avec
les 9du prepatatif ne sont
que 47 en tout; c'est à dire3
de moins que la premiere
preuve, à quoy il faut adjoûter
que dans ces 47. operations
,il n'y a que deux
feules multiplications, au
lieu que dans la premiere
preuve ily ena 15 ,ce qui
rend la nouvelle preuve
considerablement plus aisée.
Quant au troisieme
chef,l'auteur de la critique
s'est mis lui-même dans son
tort, en la faisant imprimer
dans le Mercure de Paris,
& non pas dans le Journal
des Sçavans.
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Résumé : Réponse à l'auteur de la critique sur la nouvelle preuve de Multiplication par 11, insérée dans le Mercure de Paris en Septembre 1713. page 112.
En septembre 1713, une critique publiée dans le Mercure de Paris a contesté une nouvelle preuve de multiplication par 11. La critique avançait trois points : la nouvelle preuve visait à discréditer l'ancienne preuve de 9, elle était plus difficile à pratiquer que la multiplication elle-même, et elle ne devrait pas être publiée dans le Mercure de Paris. L'auteur de la réponse réfute ces critiques en expliquant que la nouvelle preuve de 11 a été conçue pour renforcer l'ancienne preuve de 9, les deux preuves étant complémentaires et nécessaires l'une à l'autre. Il démontre également que la nouvelle preuve est plus efficace et moins complexe que la multiplication directe. Enfin, il souligne que la critique elle-même a été publiée dans le Mercure de France, contredisant ainsi son propre argument.
Généré par Mistral AI et susceptible de contenir des erreurs.
Généré par Mistral AI et susceptible de contenir des erreurs.
Fermer
4
p. 1541-1544
Les Elemens de Mathématique de M. Varignon, &c. [titre d'après la table]
Début :
M. Cochet, de la Maison et Société de Sorbonne, Professeur de Philosophie [...]
Mots clefs :
Maison et Société de Sorbonne, Mathématique, Algèbre, Arithmétique, Géométrie
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texteReconnaissance textuelle : Les Elemens de Mathématique de M. Varignon, &c. [titre d'après la table]
M. Cochet , de la Maison et Societé
de Sorbonne , Professeur de Philosophie:
au College des Quatre -Nations , vient
de donner au Public , en François , les
Elemens de Mathématique du celebre
M. de Varignon , &c. des Académies,
Royales des Sciences de France , d'Angleterre
et de Prusse , Professeur de Ma
thématique au College de Mazarin , et
Lecteur du Roi en Philosophie au Col
lege Royal ..
C'est un volume in 4. qui contient un
Traité abregé d'Algebre et d'Arithméti
que , qui peut servir d'introduction à tou
tes les parties des Mathématiques , et un
autre Traité des plus complers de la Géo
metrie Elementaire. E v
1542 MERCURE DE FRANCE
Le Traité d'Algebre d'Arithmétique est
divisé en quatre Livres , dont le premier
est de l'Addition , Soustraction , Multi
plication et Division ; le second , des Pro
portions et des Fractions ; on trouve dans
ce second Livre la Regle de Proportion
ou la Regle de Trois , qu'on appelle aussi
Regle d'Or , à cause de sa grande utili
té ; elle est expliquée de la façon la plus
simple et la plus intelligible , de même
que la Regle de Compagnie , et par les
principes qu'on établit dans ce second
Livre on peut aisément résoudre plusieurs
autres questions qu'on trouve dans ces
Traitez particuliers d'Arithmétique ; le
troisiénie Livre est de l'extraction des Ra
cines , et le quatrième des Equations . 7
Les Regles d'Arithmétique sont par
tout jointes à celle d'Algebre , pour faire
mieux sentir l'analogie qui est entr'elles.
Le Traité de Géométrie est divisé en
deux Parties dont la premiere est la Géo
metrie spéculative , ei la seconde , la Géo
métrie pratique.
La Geométrie speculative contient cinq
Livres dans le premier , on traite des
Lignes ; dans le second , des surfaces ;
dansle troisiéme , des Proportions ou des
Regles de compa : er , des grandeurs entre
elles ; dans le quatrième , des Proportions
II. Vol. des
JUIN. 1735.
1543
des lignes droites et des figures qu'elles
renferment ; dans le cinquième , des So
lides ou des Corps.
Tout ce qu'Euclide a dit des Propor
tions , se trouve renfermé dans sept Re
gles qui suffisent pour l'intelligence de
tout ce qui appartient aux Proportions
en general , et les démonstrations de ces
Regles sont si courtes , qu'elles sont con
tenues dans deux pages .
Toute la Trigonométrie est réduite à
trois Théorêmes , par le moyen desquels
on mesure toutes sortes de Triangles et
de figures rectilignes , et par consequent
toutes sortes d'étendues.
La Géométrie pratique, qui est la seconde
Partie, apprend à mesurer toute sorte d'é
tenduës, et comme toute Etenduë est ou li
gne, ou surface , ou solide, elle est divisée
en trois Chapitres ; le premier traite des
Lignes ; le second des Surfaces; le troisié
me des Solides our des Corps.
Les principes de Géométrie sont dé
veloppez dans cet Ouvrage avec tant de
justesse et d'exactitude , les propositions
y sont enchaînées d'une maniere si simple
et si naturelle , les démonstrations y sont
si courtes et si faciles , qu'on y recon noît
aisément la superiorité du génie de celui
qui en est Auteur. La Méthode qu'il a
F vj
II. Vol. su vic
1544 MERCURE DE FRANCE
suivie dans ces Elemens , le met parfai
tement à couvert des reproches qu'on fait
avec assez de fondement à quelques Géo
métres , en les accusant de manquer d'or
dre dans l'arrangement de leur matiere ;
il s'est étudié à mettre tout dans le plus
grand jour , et il ne s'est point épargné
le travail de l'arrangement , beaucoup
moins flatteur et souvent plus pénible
que celui de la production mêmes de- là
vient que nous avons si peu de bons Ele
mens de Mathématiques ,et que l'on peut
tirer un très- grand avantage de l'impres
sion de ceux de M. Varignon . Il les a tra
vaillez pendant plusieurs années avec tous
les soins et toute l'attention possible, pour
faciliter aux Commençans l'entrée dans
la Science des Mathématiques , qu'il pos
sedoit si parfaitement, et à laquelle il s'est
appliqué toute sa vie avec tant de succès
qu'il est parvenu à mériter le rang le
plus di tingué parmi les plus celebres Ma
thématiciens de l'Europe.
Cet Ouvrage de 155. pages , sans la
Table , la Préface et l'Epitre Dédicatoire à
S.A. S. M. le Comte de Clermont , est orné
de 22. grandes Planches et de grand nom
bre de figures . Il se vend à Paris , Quay
des Augustins , chez P. M. Brunet , 1731 .
de Sorbonne , Professeur de Philosophie:
au College des Quatre -Nations , vient
de donner au Public , en François , les
Elemens de Mathématique du celebre
M. de Varignon , &c. des Académies,
Royales des Sciences de France , d'Angleterre
et de Prusse , Professeur de Ma
thématique au College de Mazarin , et
Lecteur du Roi en Philosophie au Col
lege Royal ..
C'est un volume in 4. qui contient un
Traité abregé d'Algebre et d'Arithméti
que , qui peut servir d'introduction à tou
tes les parties des Mathématiques , et un
autre Traité des plus complers de la Géo
metrie Elementaire. E v
1542 MERCURE DE FRANCE
Le Traité d'Algebre d'Arithmétique est
divisé en quatre Livres , dont le premier
est de l'Addition , Soustraction , Multi
plication et Division ; le second , des Pro
portions et des Fractions ; on trouve dans
ce second Livre la Regle de Proportion
ou la Regle de Trois , qu'on appelle aussi
Regle d'Or , à cause de sa grande utili
té ; elle est expliquée de la façon la plus
simple et la plus intelligible , de même
que la Regle de Compagnie , et par les
principes qu'on établit dans ce second
Livre on peut aisément résoudre plusieurs
autres questions qu'on trouve dans ces
Traitez particuliers d'Arithmétique ; le
troisiénie Livre est de l'extraction des Ra
cines , et le quatrième des Equations . 7
Les Regles d'Arithmétique sont par
tout jointes à celle d'Algebre , pour faire
mieux sentir l'analogie qui est entr'elles.
Le Traité de Géométrie est divisé en
deux Parties dont la premiere est la Géo
metrie spéculative , ei la seconde , la Géo
métrie pratique.
La Geométrie speculative contient cinq
Livres dans le premier , on traite des
Lignes ; dans le second , des surfaces ;
dansle troisiéme , des Proportions ou des
Regles de compa : er , des grandeurs entre
elles ; dans le quatrième , des Proportions
II. Vol. des
JUIN. 1735.
1543
des lignes droites et des figures qu'elles
renferment ; dans le cinquième , des So
lides ou des Corps.
Tout ce qu'Euclide a dit des Propor
tions , se trouve renfermé dans sept Re
gles qui suffisent pour l'intelligence de
tout ce qui appartient aux Proportions
en general , et les démonstrations de ces
Regles sont si courtes , qu'elles sont con
tenues dans deux pages .
Toute la Trigonométrie est réduite à
trois Théorêmes , par le moyen desquels
on mesure toutes sortes de Triangles et
de figures rectilignes , et par consequent
toutes sortes d'étendues.
La Géométrie pratique, qui est la seconde
Partie, apprend à mesurer toute sorte d'é
tenduës, et comme toute Etenduë est ou li
gne, ou surface , ou solide, elle est divisée
en trois Chapitres ; le premier traite des
Lignes ; le second des Surfaces; le troisié
me des Solides our des Corps.
Les principes de Géométrie sont dé
veloppez dans cet Ouvrage avec tant de
justesse et d'exactitude , les propositions
y sont enchaînées d'une maniere si simple
et si naturelle , les démonstrations y sont
si courtes et si faciles , qu'on y recon noît
aisément la superiorité du génie de celui
qui en est Auteur. La Méthode qu'il a
F vj
II. Vol. su vic
1544 MERCURE DE FRANCE
suivie dans ces Elemens , le met parfai
tement à couvert des reproches qu'on fait
avec assez de fondement à quelques Géo
métres , en les accusant de manquer d'or
dre dans l'arrangement de leur matiere ;
il s'est étudié à mettre tout dans le plus
grand jour , et il ne s'est point épargné
le travail de l'arrangement , beaucoup
moins flatteur et souvent plus pénible
que celui de la production mêmes de- là
vient que nous avons si peu de bons Ele
mens de Mathématiques ,et que l'on peut
tirer un très- grand avantage de l'impres
sion de ceux de M. Varignon . Il les a tra
vaillez pendant plusieurs années avec tous
les soins et toute l'attention possible, pour
faciliter aux Commençans l'entrée dans
la Science des Mathématiques , qu'il pos
sedoit si parfaitement, et à laquelle il s'est
appliqué toute sa vie avec tant de succès
qu'il est parvenu à mériter le rang le
plus di tingué parmi les plus celebres Ma
thématiciens de l'Europe.
Cet Ouvrage de 155. pages , sans la
Table , la Préface et l'Epitre Dédicatoire à
S.A. S. M. le Comte de Clermont , est orné
de 22. grandes Planches et de grand nom
bre de figures . Il se vend à Paris , Quay
des Augustins , chez P. M. Brunet , 1731 .
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Résumé : Les Elemens de Mathématique de M. Varignon, &c. [titre d'après la table]
M. Cochet, professeur de philosophie au Collège des Quatre-Nations, a publié les 'Éléments de Mathématique' de M. de Varignon, académicien des sciences de France, d'Angleterre et de Prusse, professeur de mathématiques au Collège de Mazarin et lecteur du roi en philosophie au Collège Royal. Cet ouvrage, en format in-4, se compose d'un traité abrégé d'algèbre et d'arithmétique, servant d'introduction aux mathématiques, et d'un traité complet de géométrie élémentaire. Le traité d'algèbre et d'arithmétique est structuré en quatre livres. Le premier livre traite de l'addition, de la soustraction, de la multiplication et de la division. Le second livre aborde les proportions et les fractions, incluant la règle de proportion et la règle de compagnie. Le troisième livre concerne l'extraction des racines, et le quatrième traite des équations. Les règles d'arithmétique sont intégrées à celles de l'algèbre pour mieux en montrer l'analogie. Le traité de géométrie est divisé en deux parties : la géométrie spéculative et la géométrie pratique. La géométrie spéculative contient cinq livres traitant des lignes, des surfaces, des proportions, des figures et des solides. La trigonométrie est réduite à trois théorèmes permettant de mesurer divers triangles et figures. La géométrie pratique, divisée en trois chapitres, enseigne à mesurer les lignes, surfaces et solides. L'ouvrage est remarquable par la justesse et l'exactitude des principes de géométrie, la simplicité des propositions et la clarté des démonstrations. M. Varignon a travaillé plusieurs années sur cet ouvrage pour faciliter l'apprentissage des mathématiques. Le livre, de 155 pages, est illustré de 22 grandes planches et de nombreuses figures, et se vend à Paris chez P. M. Brunet.
Généré par Mistral AI et susceptible de contenir des erreurs.
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5
p. 1986-1991
« EXPOSITION ANATOMIQUE de la Structure du Corps humain; par Jacques-Begnine [...] »
Début :
EXPOSITION ANATOMIQUE de la Structure du Corps humain; par Jacques-Begnine [...]
Mots clefs :
Exposition anatomique, Matières bénéficiales, Providence, Charles XII, Exploits et saisies mobiliaires, Observations, Pères de l'Église, Dictionnaire, Arithmétique, Catholicité
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texteReconnaissance textuelle : « EXPOSITION ANATOMIQUE de la Structure du Corps humain; par Jacques-Begnine [...] »
EXPOSITION ANATOMIQUE de la Structure du Corps humain ; par Jacques- Benigne Winslow , de l'Academie Royale
des Sciences , Docteur , Regent de la Faculté de Médecine , en l'Université de
Paris , ancien Professeur en Anatomie et
en Chirurgie , dans la même Faculté
Interprete du Roy en Langue Teutonique , et de la Societé Royale de Berlin .
A Paris , chez Guill. Desprez, et Jean
Desessards , rue S. Jacques, 1732. in 4º.
de 739 pages.
>
RECUEIL des principales Décisions sur
les Matieres Beneficiales , extraites des
Canons, des Conciles, et des plus celebres
Auteurs , conformes aux Edits et Décla
rations du Roy, et à la Jurisprudence des
Parlemens du Royaume et du GrandConseil. Nouvelle Edition , revûë , corrigée et augmentée de plus de moitić. Par
M.R. Drapier, Avocat au Parlement. 2
vol,
SEPTEMBRE. 1732 1987
vol. in 12. prix s liv. relié. A Paris, chez
Nic. P. Armand, ruë S. Jacques , 1732.
CONDUITE DE LA PROVIDENCE , dans l'é
tablissement de la Congrégation de N.
Dame, qui a pour son Instituteur le Bienheureux Pere Pierre Fourier, dit vulgairement de Mataincourt , Superieur General
et Reformateur des Chanoines Reguliers
de la Congregation de N. Sauveur. Presentée à Nosseigneurs les Evêques , com
me premiers Superieurs de cette Congré
gation. Avec une Préface , en forme de
Discours , aux Filles de cer Institut. A
Toul , chezCl. Vincent , 1732. 2.vol.grand
in 89.
REMARQUES historiques et critiques sur
l'histoire de Charles XII. Roy de Suéde ;
par M. de Voltaire , pour servir de Supplément à cet Ouvrage. Par M.de la Motraye. Nouvelle Edition , corrigée et augmentée. A Londres , et se vend à Paris ,
chez Mich. Etienne David, Quai des Augustins , et Antoine Heuqueville , au coin
de la rue Gisle- Cœur. Broch. in 12. de 80
pag.On voit à la tête ie Portrait, en pied ,
de Charles XII. fort bien caractérisé.
RECUEIL DES REGLEMENS , concernant
E iiij le
1988 MERCURE DE FRANCE
le Contrôle des Exploits et Saisies mobi
liaires , rendus depuis leur établissement
jusqu'à present. Avec le précis de ce qu'ils
contiennent , et une Table Alphabétique des Matieres qui y ont rapport, pour
en faciliter l'intelligence et l'exécution .
Ouvrage utile et necessaire à tous les Officiers de Justice , aux Employez dans
toutes les Fermes et Droits de S. M.et aux
Parties. A Paris , chez P. Prault , Quai
de Gêvres , 1732. gros in 12 de 588 pag.
sans l'Avertissement , les Tables , et le
précis des Reglemens, concernant le Contrôle des Exploits et les Saisies mobiliaires d'environ so pag.
>
OBSERVATIONS MATHEMATIQUES , AStronomiques , Géographiques et Physiques , tirées des anciens livres Chinois
ou faites nouvellement aux Indes & ailleurs ; par les PP. de la Comp. de JESUS.
Rédigées et publiées par le P. Et. Souciet , de la même Compagnie. Tome 2.
contenant une Histoire de l'Astronomie
Chinoise , avec des Dissertations ; par le
P. Gaubil Jesuite. Tom. 3 contenant un
Traité de l'Astroromie Chinoise par le
même P Gaubil. A Paris, chez Rollin pere ,
Quai des Augustins , 1732. in 4. tom. 2.
pages 178. tome 3. pages 373.sans la Préface
SEPTEMBRE. 1732 1989
face du second Tome , et sans les Planches.
ABREGE' DE L'HISTOIRE de 24 Peres de
Eglise.Histoire abregée des Empereurs Romains , depuis Jules Cesar jusqu'à Constantin le Grand. Caracteres de 58 des meilleurs Historiens , Orateurs et Poëtes Grecs ,
Latins et François ; ouvrage tres-utile, sur
tout aux jeunes gens de l'un et de l'autre
sexe, qui pourront en tres- peu de temps
acquerir une connoissance générale des
matiéres annoncées cy- dessus. Chez Tautin , rue Judas , Montagne sainte Geneviéve, Morel le jeune, au Palais , et Musier fils , Quai des Augustins, 1732 . in 12.
HISTOIRE ANCIENNE des Egyptiens ,
des Carthaginois , des Assyriens , des
Babiloniens , des Medes et des Perses , des
Macédoniens , des Grecs ; par M. Rollin,
Tome IV. Chez la Veuve Etienne , ruë
S. Facques, 1732. in 12.
APOLOGIE DES BESTES , ou leurs rafsonnemens et connoissances prouvez
contre le Systême des Cartesiens , qui
prétendent que les Bêtes ne sont que des
Machines Automates. Ouvrage en Vers.
Par M. Morfouace de Beaumont. Paris ,
E v Quay
1990 MERCURE DE FRANCE
Quay de Gevres , chez Prault , 1732. in 8,
>
DICTIONNAIRE des Arts et des Sciences , &c. P. M. D. C. de l'Académie
Françoise nouvelle Edition revûë
corrigée et augmentée par M... de l'Académie Royale des Sciences, 1732. infol.
2 vol. Chez Coignardpere et fils, Den. Mariette , J. B. Delespine , rue S. Jacques , et
Jacques Rollin , Quay des Augustins.
NOUVEAU TRAITE'
D'ARITHMETIQUE,
ou Description des proprietez er usages
d'un nouveau Tarif de réduction Arithmetique et Géometrique. Avec une Instruction familiere pour faire méchani- quement , par le moyen de ce Tarif, les
principales operations des Regles , tant
d'Arithmetique que deTrigonométrie rectiligne , comme aussi de Gnomonique et
de Navigation. Le tout par des exemples
simples qui facilitent la pratique de cet
Ins.rument , inventé et mis en lumiere
par M. J. B. de Mean , Ingenieur , qui
demeure chez M. Homet , Marchand Cartier et Paperier , ruë de Seine , Fauxbourg
S. Germain. In 8. 1732. Quay des Augustins , chez P. Martin , et Gab. Valeyre,
rue de la vieille Bouclerie.
Li
SEPTEMBRE. 1732. 1991
LE NOUVEAU Secretaire de la Cour ,
ou Lettres Familieres sur toutes sortes de
Sujets , avec des Réponses ; derniere Edition. A Paris , au Palais , chez Th. le
Gras , 1732. in 12. de 560. pages , so,
sols relié.
LE TRIOMPHE DE LA CATHOLICI
TE' , ou Réponse d'un Protestant nouvellement converti , aux difficultez que
lui propose sa Sœur , sur la Religion Prétendue Réformée , avec une Dissertation
sur la dispute que S. Paul cut avec Céphas. Par M. l'Abbé D ***. A Paris ,
ruë de la Harpe , au bon Pasteur , 1732.
in 12. de 250. pages.
OEUVRES DIVERSES , de M. Patru , contenant ses Plaidoyers , Harangues , Lettres et Vies de quelques- uns de ses Amis.
Quatrième Edition considerablement
augmentée. Chez N. Gosselin , au Palais ,
1732. 2, vol. in 4.
des Sciences , Docteur , Regent de la Faculté de Médecine , en l'Université de
Paris , ancien Professeur en Anatomie et
en Chirurgie , dans la même Faculté
Interprete du Roy en Langue Teutonique , et de la Societé Royale de Berlin .
A Paris , chez Guill. Desprez, et Jean
Desessards , rue S. Jacques, 1732. in 4º.
de 739 pages.
>
RECUEIL des principales Décisions sur
les Matieres Beneficiales , extraites des
Canons, des Conciles, et des plus celebres
Auteurs , conformes aux Edits et Décla
rations du Roy, et à la Jurisprudence des
Parlemens du Royaume et du GrandConseil. Nouvelle Edition , revûë , corrigée et augmentée de plus de moitić. Par
M.R. Drapier, Avocat au Parlement. 2
vol,
SEPTEMBRE. 1732 1987
vol. in 12. prix s liv. relié. A Paris, chez
Nic. P. Armand, ruë S. Jacques , 1732.
CONDUITE DE LA PROVIDENCE , dans l'é
tablissement de la Congrégation de N.
Dame, qui a pour son Instituteur le Bienheureux Pere Pierre Fourier, dit vulgairement de Mataincourt , Superieur General
et Reformateur des Chanoines Reguliers
de la Congregation de N. Sauveur. Presentée à Nosseigneurs les Evêques , com
me premiers Superieurs de cette Congré
gation. Avec une Préface , en forme de
Discours , aux Filles de cer Institut. A
Toul , chezCl. Vincent , 1732. 2.vol.grand
in 89.
REMARQUES historiques et critiques sur
l'histoire de Charles XII. Roy de Suéde ;
par M. de Voltaire , pour servir de Supplément à cet Ouvrage. Par M.de la Motraye. Nouvelle Edition , corrigée et augmentée. A Londres , et se vend à Paris ,
chez Mich. Etienne David, Quai des Augustins , et Antoine Heuqueville , au coin
de la rue Gisle- Cœur. Broch. in 12. de 80
pag.On voit à la tête ie Portrait, en pied ,
de Charles XII. fort bien caractérisé.
RECUEIL DES REGLEMENS , concernant
E iiij le
1988 MERCURE DE FRANCE
le Contrôle des Exploits et Saisies mobi
liaires , rendus depuis leur établissement
jusqu'à present. Avec le précis de ce qu'ils
contiennent , et une Table Alphabétique des Matieres qui y ont rapport, pour
en faciliter l'intelligence et l'exécution .
Ouvrage utile et necessaire à tous les Officiers de Justice , aux Employez dans
toutes les Fermes et Droits de S. M.et aux
Parties. A Paris , chez P. Prault , Quai
de Gêvres , 1732. gros in 12 de 588 pag.
sans l'Avertissement , les Tables , et le
précis des Reglemens, concernant le Contrôle des Exploits et les Saisies mobiliaires d'environ so pag.
>
OBSERVATIONS MATHEMATIQUES , AStronomiques , Géographiques et Physiques , tirées des anciens livres Chinois
ou faites nouvellement aux Indes & ailleurs ; par les PP. de la Comp. de JESUS.
Rédigées et publiées par le P. Et. Souciet , de la même Compagnie. Tome 2.
contenant une Histoire de l'Astronomie
Chinoise , avec des Dissertations ; par le
P. Gaubil Jesuite. Tom. 3 contenant un
Traité de l'Astroromie Chinoise par le
même P Gaubil. A Paris, chez Rollin pere ,
Quai des Augustins , 1732. in 4. tom. 2.
pages 178. tome 3. pages 373.sans la Préface
SEPTEMBRE. 1732 1989
face du second Tome , et sans les Planches.
ABREGE' DE L'HISTOIRE de 24 Peres de
Eglise.Histoire abregée des Empereurs Romains , depuis Jules Cesar jusqu'à Constantin le Grand. Caracteres de 58 des meilleurs Historiens , Orateurs et Poëtes Grecs ,
Latins et François ; ouvrage tres-utile, sur
tout aux jeunes gens de l'un et de l'autre
sexe, qui pourront en tres- peu de temps
acquerir une connoissance générale des
matiéres annoncées cy- dessus. Chez Tautin , rue Judas , Montagne sainte Geneviéve, Morel le jeune, au Palais , et Musier fils , Quai des Augustins, 1732 . in 12.
HISTOIRE ANCIENNE des Egyptiens ,
des Carthaginois , des Assyriens , des
Babiloniens , des Medes et des Perses , des
Macédoniens , des Grecs ; par M. Rollin,
Tome IV. Chez la Veuve Etienne , ruë
S. Facques, 1732. in 12.
APOLOGIE DES BESTES , ou leurs rafsonnemens et connoissances prouvez
contre le Systême des Cartesiens , qui
prétendent que les Bêtes ne sont que des
Machines Automates. Ouvrage en Vers.
Par M. Morfouace de Beaumont. Paris ,
E v Quay
1990 MERCURE DE FRANCE
Quay de Gevres , chez Prault , 1732. in 8,
>
DICTIONNAIRE des Arts et des Sciences , &c. P. M. D. C. de l'Académie
Françoise nouvelle Edition revûë
corrigée et augmentée par M... de l'Académie Royale des Sciences, 1732. infol.
2 vol. Chez Coignardpere et fils, Den. Mariette , J. B. Delespine , rue S. Jacques , et
Jacques Rollin , Quay des Augustins.
NOUVEAU TRAITE'
D'ARITHMETIQUE,
ou Description des proprietez er usages
d'un nouveau Tarif de réduction Arithmetique et Géometrique. Avec une Instruction familiere pour faire méchani- quement , par le moyen de ce Tarif, les
principales operations des Regles , tant
d'Arithmetique que deTrigonométrie rectiligne , comme aussi de Gnomonique et
de Navigation. Le tout par des exemples
simples qui facilitent la pratique de cet
Ins.rument , inventé et mis en lumiere
par M. J. B. de Mean , Ingenieur , qui
demeure chez M. Homet , Marchand Cartier et Paperier , ruë de Seine , Fauxbourg
S. Germain. In 8. 1732. Quay des Augustins , chez P. Martin , et Gab. Valeyre,
rue de la vieille Bouclerie.
Li
SEPTEMBRE. 1732. 1991
LE NOUVEAU Secretaire de la Cour ,
ou Lettres Familieres sur toutes sortes de
Sujets , avec des Réponses ; derniere Edition. A Paris , au Palais , chez Th. le
Gras , 1732. in 12. de 560. pages , so,
sols relié.
LE TRIOMPHE DE LA CATHOLICI
TE' , ou Réponse d'un Protestant nouvellement converti , aux difficultez que
lui propose sa Sœur , sur la Religion Prétendue Réformée , avec une Dissertation
sur la dispute que S. Paul cut avec Céphas. Par M. l'Abbé D ***. A Paris ,
ruë de la Harpe , au bon Pasteur , 1732.
in 12. de 250. pages.
OEUVRES DIVERSES , de M. Patru , contenant ses Plaidoyers , Harangues , Lettres et Vies de quelques- uns de ses Amis.
Quatrième Edition considerablement
augmentée. Chez N. Gosselin , au Palais ,
1732. 2, vol. in 4.
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Résumé : « EXPOSITION ANATOMIQUE de la Structure du Corps humain; par Jacques-Begnine [...] »
En 1732, à Paris et dans d'autres villes, plusieurs publications ont été éditées, couvrant divers domaines tels que la science, l'histoire, le droit et la littérature. Parmi les ouvrages notables, Jacques-Bénigne Winslow, membre de l'Académie Royale des Sciences et docteur en médecine, a publié 'Exposition Anatomique de la Structure du Corps humain', un ouvrage de 739 pages. D'autres publications marquantes incluent 'Recueil des principales Décisions sur les Matieres Beneficiales' par M.R. Drapier, 'Conduite de la Providence' sur la Congrégation de Notre-Dame, et 'Remarques historiques et critiques sur l'histoire de Charles XII' par M. de Voltaire. Le texte mentionne également des recueils de règlements juridiques, des observations mathématiques et astronomiques, des histoires abrégées, des dictionnaires, et des traités d'arithmétique. Plusieurs de ces ouvrages sont des nouvelles éditions révisées et augmentées, reflétant une mise à jour des connaissances et des informations.
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6
p. 2434-2436
Elemens de Géométrie, &c. [titre d'après la table]
Début :
ELEMENS DE GEOMETRIE, avec un abregé d'Arithmetique et d'Algebre, dédiez [...]
Mots clefs :
Géométrie, Arithmétique, Algèbre, Trigonométrie
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texteReconnaissance textuelle : Elemens de Géométrie, &c. [titre d'après la table]
ELEMENS PE GEOMETRRIE , avec un
abregé d'Arithmetique et d'Algebre , dédiez à l'Université de Paris , par M. Rivard. A Paris , rue S. Jacques, chez Clande Jombert et Henry , vis-à -vis S. Yves ,
1732. 400 pag. in quarto.
Get Ouvrage renferme deux Parties ,
dont la premiere est un abregé d'Arith
métique et d'Algebre ; et la seconde, qui
est la principale , sont les Elemens de
Géométrie , ausquels on a ajouté un Trai
té de Trigonométrie rectiligne. L'Auteur
ayant souhaité le dédier à l'Université
de
NOVEMBRE 1731 243¶
de Paris , M. le Recteur l'a fait examiner
par quelques Professeurs de Philosophie
qui en ont rendu un témoignage fort
avantageux , comme on le peut voir par
par une conclusion du Tribunal de l'U
niversité , que l'on trouve imprimée après
le Privilege. M. Grandin , Professeur de
Philosophie , au College de Navarre, qui
est un de ceux qui avoient été priez
d'examiner l'Ouvrage , a envoié à l'Auteur l'Approbation suivante.
Les connoissances qu'on veut donner
Lesprit , doivent être précédées de tout ce qu'el
Les supposent , pour être comprises dans toute
leur étendue. L'ordre et la nettetési néces
saire en tout genre , le sont plus particuliere
ment , quand il s'agit de Géométrie. C'est
dans un fécond enchaînement de propósi
tions , clairement énoncées , que consiste tou
te la difficulté et tout le prix des Elemens de
Géométrie. L'Auteur de cet Ouvrage m'a pa
rú avoir disposé ces Elemens de maniere que
ce qu'ilpresente d'abord mene naturellement
Lesprit à Pintelligence de ce qui suit.
Il a écarté ce qui peut être suppléé , il æ
passé du simple au composé , et il s'est atta
ché à suivre cet ordre naturel , qu'on recher
che avectant d'ardeur depuis plus d'un sié
cle.Les Mathematiques font aujourd'hui une
partie si commune et si necessaire de la PhyF iiij sique,
2436 MERCURE DE FRANCE
sique , qu'on ne sçauroit trop en recommander l'étude à la jeunesse. On ne peut aussi
marquer trop de reconnoissance aux per
sonnes habiles , qui prennent la peine d'en
faciliter l'entrée. A Paris ce premier jour d'Août 1732.
Signé M. GRANDIN.
abregé d'Arithmetique et d'Algebre , dédiez à l'Université de Paris , par M. Rivard. A Paris , rue S. Jacques, chez Clande Jombert et Henry , vis-à -vis S. Yves ,
1732. 400 pag. in quarto.
Get Ouvrage renferme deux Parties ,
dont la premiere est un abregé d'Arith
métique et d'Algebre ; et la seconde, qui
est la principale , sont les Elemens de
Géométrie , ausquels on a ajouté un Trai
té de Trigonométrie rectiligne. L'Auteur
ayant souhaité le dédier à l'Université
de
NOVEMBRE 1731 243¶
de Paris , M. le Recteur l'a fait examiner
par quelques Professeurs de Philosophie
qui en ont rendu un témoignage fort
avantageux , comme on le peut voir par
par une conclusion du Tribunal de l'U
niversité , que l'on trouve imprimée après
le Privilege. M. Grandin , Professeur de
Philosophie , au College de Navarre, qui
est un de ceux qui avoient été priez
d'examiner l'Ouvrage , a envoié à l'Auteur l'Approbation suivante.
Les connoissances qu'on veut donner
Lesprit , doivent être précédées de tout ce qu'el
Les supposent , pour être comprises dans toute
leur étendue. L'ordre et la nettetési néces
saire en tout genre , le sont plus particuliere
ment , quand il s'agit de Géométrie. C'est
dans un fécond enchaînement de propósi
tions , clairement énoncées , que consiste tou
te la difficulté et tout le prix des Elemens de
Géométrie. L'Auteur de cet Ouvrage m'a pa
rú avoir disposé ces Elemens de maniere que
ce qu'ilpresente d'abord mene naturellement
Lesprit à Pintelligence de ce qui suit.
Il a écarté ce qui peut être suppléé , il æ
passé du simple au composé , et il s'est atta
ché à suivre cet ordre naturel , qu'on recher
che avectant d'ardeur depuis plus d'un sié
cle.Les Mathematiques font aujourd'hui une
partie si commune et si necessaire de la PhyF iiij sique,
2436 MERCURE DE FRANCE
sique , qu'on ne sçauroit trop en recommander l'étude à la jeunesse. On ne peut aussi
marquer trop de reconnoissance aux per
sonnes habiles , qui prennent la peine d'en
faciliter l'entrée. A Paris ce premier jour d'Août 1732.
Signé M. GRANDIN.
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Résumé : Elemens de Géométrie, &c. [titre d'après la table]
Le texte présente 'Éléments de Géométrie', un ouvrage publié en 1732 par M. Rivard et dédié à l'Université de Paris. Cet ouvrage se divise en deux parties : un abrégé d'arithmétique et d'algèbre, et une section principale sur les éléments de géométrie, incluant un traité de trigonométrie rectiligne. L'ouvrage a été examiné par des professeurs de philosophie de l'Université de Paris, qui ont rendu un témoignage favorable. M. Grandin, professeur de philosophie au Collège de Navarre, a approuvé l'ouvrage, soulignant l'importance de l'ordre et de la clarté dans l'enseignement de la géométrie. Il a noté que l'auteur a structuré les éléments de manière à guider naturellement l'esprit du lecteur du simple au composé, suivant un ordre naturel recherché depuis plus d'un siècle. L'étude des mathématiques est considérée comme essentielle pour la physique et doit être recommandée à la jeunesse. L'approbation de M. Grandin est datée du 1er août 1732.
Généré par Mistral AI et susceptible de contenir des erreurs.
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7
p. 747-749
« DISCOURS sur les differentes figures des Astres, d'où l'on tire des conjectures sur [...] »
Début :
DISCOURS sur les differentes figures des Astres, d'où l'on tire des conjectures sur [...]
Mots clefs :
Astres, Arithmétique, Philippe Auguste, Livre de la Genèse, Livre de Job, Audiences du Parlement, Épouse infortunée, Mainmorte
Afficher :
texteReconnaissance textuelle : « DISCOURS sur les differentes figures des Astres, d'où l'on tire des conjectures sur [...] »
DISCOURS sur les differentes figures des
Astres , d'où l'on tire des conjectures sur
Les Etoiles qui paroissent changer de
grandeur , et sur l'Anneau de Saturne ;
avec une exposition abrégée des Systê
mes de M. Descartes , et de M. Newton.
Par M. de Maupertuis , de l'Académic
F v Roya
748 MERCURE DE FRANCE
Royale des Sciences , et de la Société
Royale de Londres. 4 Paris , de l'Imprimerie
Royale , 1732. in 8. de 83 pag.
ARITHMETIQUE DE MONTRE'E , par un
Prêtre de l'Oratoire , cy devant Professeur
Royal de Mathématique , dans l’Université
d'Angers. A Rennes , rue du Bec,
chez P. Cabut , 1732. in 12. de 216 pages,
sans la Préface et la Table .
ANECDOTES de la Cour de Philippe Auguste
, 3. vol . in 12. chez fosse , ruë S.Jaques
, et chez la veuve Pissot , Quai de
Comi. Cet Ouvrage qui est actuellement
sous Presse , est de Mlle de Lussan ; elle a
déja donné au public l'Histoire de Madame
de Gondez et les Veillées de Thessalie
, que le public a si- bien reçuës.
EXPLICATION DU LIVRE DE LA Genese,
où selon la Méthode des SS. Peres , l'on
s'attache à découvrir les Mystères de J.C.
et les Regles des Moeurs , renfermées
dans la Lettre même de l'Ecriture . A
Paris , raë S. Jacques , chez Fr. Babuty
6 vol . in 12 .
و
EXPLICATION DU LIVRE DE JOB , où selon
la Methode des SS . Peres , on s'attache
AVRIL. 1733. 749
che à découvrir les Mysteres de J. C. et
les Regles des Maurs , renfermées dans
la Lettre même de l'Ecriture , chez le même
Libraire , 1732.4 vol . in 12 .
JOURNAL des principales Audiences du
Parlement , avec les Arrêts qui y ont été
rendus. Nouvelle Edition , revuë , corrigée
et augmentée de plusieurs Questions
et Reglemens , placez dans l'ordre des
temps . A Paris , par une Compagnie de
Libraires , 1733. 4 vol . in fol.
L'EPOUSE INFORTUNE'E , Histoire Ita
lienne , Galante et Tragique. Par M. D.
P.B. A Paris , chez P. Prault , Quai de
Gévres , 1733. in 12. de 200 pag.
"
TRAITE' de la Main -Morte et des Retraits
, Par M.T.F. Dunod , ancien Avocat
au Parlement et Professeur Royal , en
l'Université de Besançon, A Dijon , chez
du Fay. 1733. in 4.
Astres , d'où l'on tire des conjectures sur
Les Etoiles qui paroissent changer de
grandeur , et sur l'Anneau de Saturne ;
avec une exposition abrégée des Systê
mes de M. Descartes , et de M. Newton.
Par M. de Maupertuis , de l'Académic
F v Roya
748 MERCURE DE FRANCE
Royale des Sciences , et de la Société
Royale de Londres. 4 Paris , de l'Imprimerie
Royale , 1732. in 8. de 83 pag.
ARITHMETIQUE DE MONTRE'E , par un
Prêtre de l'Oratoire , cy devant Professeur
Royal de Mathématique , dans l’Université
d'Angers. A Rennes , rue du Bec,
chez P. Cabut , 1732. in 12. de 216 pages,
sans la Préface et la Table .
ANECDOTES de la Cour de Philippe Auguste
, 3. vol . in 12. chez fosse , ruë S.Jaques
, et chez la veuve Pissot , Quai de
Comi. Cet Ouvrage qui est actuellement
sous Presse , est de Mlle de Lussan ; elle a
déja donné au public l'Histoire de Madame
de Gondez et les Veillées de Thessalie
, que le public a si- bien reçuës.
EXPLICATION DU LIVRE DE LA Genese,
où selon la Méthode des SS. Peres , l'on
s'attache à découvrir les Mystères de J.C.
et les Regles des Moeurs , renfermées
dans la Lettre même de l'Ecriture . A
Paris , raë S. Jacques , chez Fr. Babuty
6 vol . in 12 .
و
EXPLICATION DU LIVRE DE JOB , où selon
la Methode des SS . Peres , on s'attache
AVRIL. 1733. 749
che à découvrir les Mysteres de J. C. et
les Regles des Maurs , renfermées dans
la Lettre même de l'Ecriture , chez le même
Libraire , 1732.4 vol . in 12 .
JOURNAL des principales Audiences du
Parlement , avec les Arrêts qui y ont été
rendus. Nouvelle Edition , revuë , corrigée
et augmentée de plusieurs Questions
et Reglemens , placez dans l'ordre des
temps . A Paris , par une Compagnie de
Libraires , 1733. 4 vol . in fol.
L'EPOUSE INFORTUNE'E , Histoire Ita
lienne , Galante et Tragique. Par M. D.
P.B. A Paris , chez P. Prault , Quai de
Gévres , 1733. in 12. de 200 pag.
"
TRAITE' de la Main -Morte et des Retraits
, Par M.T.F. Dunod , ancien Avocat
au Parlement et Professeur Royal , en
l'Université de Besançon, A Dijon , chez
du Fay. 1733. in 4.
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Résumé : « DISCOURS sur les differentes figures des Astres, d'où l'on tire des conjectures sur [...] »
Le texte énumère des publications et ouvrages parus entre 1732 et 1733. Parmi eux, 'Discours sur les différentes figures des Astres' de Pierre-Louis Moreau de Maupertuis, membre de l'Académie Royale des Sciences et de la Société Royale de Londres, publié en 1732 à Paris. Cet ouvrage aborde les étoiles changeantes de grandeur, l'anneau de Saturne, et présente les systèmes de René Descartes et d'Isaac Newton. D'autres publications incluent 'Arithmétique de Montre' par un prêtre de l'Oratoire, 'Anecdotes de la Cour de Philippe Auguste' par Mlle de Lussan, et des ouvrages religieux comme 'Explication du Livre de la Genèse' et 'Explication du Livre de Job', suivant la méthode des Saints Pères. Le texte mentionne aussi des publications juridiques telles que le 'Journal des principales Audiences du Parlement' et des œuvres littéraires comme 'L'Épouse Infortunée', une histoire italienne galante et tragique. Enfin, un traité juridique intitulé 'Traité de la Main-Morte et des Retraits' par M. T. F. Dunod est également cité.
Généré par Mistral AI et susceptible de contenir des erreurs.
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8
p. 2653-2656
« ALMANACH DU MARIAGE, pour l'année 1734. Ouvrage instructif et [...] »
Début :
ALMANACH DU MARIAGE, pour l'année 1734. Ouvrage instructif et [...]
Mots clefs :
Arithmétique, Règles, Mariage, Almanach du mariage, Arithmétique démontrée, Arithmétique militaire, Segrais
Afficher :
texteReconnaissance textuelle : « ALMANACH DU MARIAGE, pour l'année 1734. Ouvrage instructif et [...] »
LMANACH DU MARIAGE , pour ,
l'année 1734. Ouvrage instructif et
Epigrammatique , nouvelle Edition , aug-
I. Vol. mentée
2654 MERCURE DE FRANCE
mentée de la Carte de l'Isle du Mariage ,-
avec la Description litterale du Pays.
Dédié à la Jeunesse amoureuse , par un
Philosophe Garçon. A Paris , chez Charles
Guillaume , Quay des Augustins , à
S. Charles , in 24.
L'ARITHMETIQUE DE MONTREE,
Ouvrage nouveau , par un Prêtre de l'O
ratoire , ancien Professeur de Mathématique
de l'Université d'Angers ; à Rouen,
et se vend à Paris , rue S. Jacques , chez
Pierre Witte , 1733. in 12. de 216. pages,
Le Pere Jean- Baptiste- Adrien de Mercastel
, Auteur de ce Livre , dit dans sa
Préface que les Maîtres à écrire ensei
gnent des Pratiques très- certaines , qu'il
n'en a point d'autres à mettre en usage
dans tous ses Calculs , et que ce sont les
Regles qu'ils ont coûtume de donner
qu'il entreprend d'expliquer.
Cet Ouvrage est divisé en deux Parties.
Dans la premiere , on explique les
Regles du Calcul ; dans la seconde , on
en montre l'usage dans les questions qui
demandent plusieurs Operations. Ceux
qui ne veulent que la Pratique , la trouveront
ici très bien expliquée ; ils en auront
un Traité bien complet , si en abandonnant
tout ce qui est sous les Titres
La Vel de
DECEM BR E. 1733. 26.58
de Théorêmes et de Démonstrations , ils .
getiennent tout le reste.
L'ARITHMETIQUE MILITAIRE , ou l'Arithmétique-
Pratique de l'Ingénieur et
de l'Officier , divisée en trois Parties ;
Ouvrage également nécessaire aux Offi
ciers , aux Ingénieurs et aux Commerçans.
Troisiéme Edition , corrigée et de.
beaucoup augmentée par M. de Clermont,
Commissaire d'Artillerie. A Paris , chez
P. Witte , rue S. Jacques , et chez Didot ,
Quay des Augustins , 1733. in 4.
L'Auteur s'attache dans la premiere.
Partie de cet Ouvrage , à établir les fondemens
de l'Arithmétique , qui consis
fent en quatre Regles generales. 11 passe
ensuite à l'explication de la Regle de Trois
ou de Proportion , puis à celle de la Raeine
quarrée , &c.
Il explique dans la seconde Partie les
Fractions , d'une maniere claire et convaincante
, et j'ose même dire , ajoûte .
Auteur , qu'on ne trouvera point de
Traité d'Arithmétique en norre Langue,
où elles soient expliquées plus à fond :
et plus nettement.
La troisiéme Partie renferme les Regles
Vulgaires , qui , selon notre Auteur,
sont d'un grand secours dans les diffi
I. Vol. cultez
2056 MERCURE DE FRANCE
cultez qui arrivent dans l'emploi d'um
Ingénieur et dans le détail des affaires
qui regardent les Troupes , aussi - bien
que dans le Commerce , qu'on auroit
peine à développer sans le secours de
ces mêmes Regles . Outre que , dit-il ,
le bien prendre , elles contiennent ce
qu'il y a de plus curieux dans l'Arithmétique
, et qui paroit surprenant à ceux
qui ne sont pas versez dans le Calcul.
AVANTURES de Clamades et de Clar
monde , tirées de l'Espagnol . Par Madame
E. G. D. R. A Paris , rue S. Jacques ,
shez Morin , 17; 3 . in 12. de 348. pages.
POESIES DIVERSES de M. de Segrais
de l'Académie Françoise , les Eglogues ,
l'Athis , Poëme. Pastoral , les Odes , Epitres
, Elegies , Chansons , Stances . Nou .
velle Edition . Rue du Foin , chez la veuve
Delormel , et au Petit Pont , chez René
Josse 1733. in s.
l'année 1734. Ouvrage instructif et
Epigrammatique , nouvelle Edition , aug-
I. Vol. mentée
2654 MERCURE DE FRANCE
mentée de la Carte de l'Isle du Mariage ,-
avec la Description litterale du Pays.
Dédié à la Jeunesse amoureuse , par un
Philosophe Garçon. A Paris , chez Charles
Guillaume , Quay des Augustins , à
S. Charles , in 24.
L'ARITHMETIQUE DE MONTREE,
Ouvrage nouveau , par un Prêtre de l'O
ratoire , ancien Professeur de Mathématique
de l'Université d'Angers ; à Rouen,
et se vend à Paris , rue S. Jacques , chez
Pierre Witte , 1733. in 12. de 216. pages,
Le Pere Jean- Baptiste- Adrien de Mercastel
, Auteur de ce Livre , dit dans sa
Préface que les Maîtres à écrire ensei
gnent des Pratiques très- certaines , qu'il
n'en a point d'autres à mettre en usage
dans tous ses Calculs , et que ce sont les
Regles qu'ils ont coûtume de donner
qu'il entreprend d'expliquer.
Cet Ouvrage est divisé en deux Parties.
Dans la premiere , on explique les
Regles du Calcul ; dans la seconde , on
en montre l'usage dans les questions qui
demandent plusieurs Operations. Ceux
qui ne veulent que la Pratique , la trouveront
ici très bien expliquée ; ils en auront
un Traité bien complet , si en abandonnant
tout ce qui est sous les Titres
La Vel de
DECEM BR E. 1733. 26.58
de Théorêmes et de Démonstrations , ils .
getiennent tout le reste.
L'ARITHMETIQUE MILITAIRE , ou l'Arithmétique-
Pratique de l'Ingénieur et
de l'Officier , divisée en trois Parties ;
Ouvrage également nécessaire aux Offi
ciers , aux Ingénieurs et aux Commerçans.
Troisiéme Edition , corrigée et de.
beaucoup augmentée par M. de Clermont,
Commissaire d'Artillerie. A Paris , chez
P. Witte , rue S. Jacques , et chez Didot ,
Quay des Augustins , 1733. in 4.
L'Auteur s'attache dans la premiere.
Partie de cet Ouvrage , à établir les fondemens
de l'Arithmétique , qui consis
fent en quatre Regles generales. 11 passe
ensuite à l'explication de la Regle de Trois
ou de Proportion , puis à celle de la Raeine
quarrée , &c.
Il explique dans la seconde Partie les
Fractions , d'une maniere claire et convaincante
, et j'ose même dire , ajoûte .
Auteur , qu'on ne trouvera point de
Traité d'Arithmétique en norre Langue,
où elles soient expliquées plus à fond :
et plus nettement.
La troisiéme Partie renferme les Regles
Vulgaires , qui , selon notre Auteur,
sont d'un grand secours dans les diffi
I. Vol. cultez
2056 MERCURE DE FRANCE
cultez qui arrivent dans l'emploi d'um
Ingénieur et dans le détail des affaires
qui regardent les Troupes , aussi - bien
que dans le Commerce , qu'on auroit
peine à développer sans le secours de
ces mêmes Regles . Outre que , dit-il ,
le bien prendre , elles contiennent ce
qu'il y a de plus curieux dans l'Arithmétique
, et qui paroit surprenant à ceux
qui ne sont pas versez dans le Calcul.
AVANTURES de Clamades et de Clar
monde , tirées de l'Espagnol . Par Madame
E. G. D. R. A Paris , rue S. Jacques ,
shez Morin , 17; 3 . in 12. de 348. pages.
POESIES DIVERSES de M. de Segrais
de l'Académie Françoise , les Eglogues ,
l'Athis , Poëme. Pastoral , les Odes , Epitres
, Elegies , Chansons , Stances . Nou .
velle Edition . Rue du Foin , chez la veuve
Delormel , et au Petit Pont , chez René
Josse 1733. in s.
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Résumé : « ALMANACH DU MARIAGE, pour l'année 1734. Ouvrage instructif et [...] »
Le document présente plusieurs ouvrages publiés en 1733 et 1734. L' 'Almanach du Mariage' pour l'année 1734 est un ouvrage instructif et épigrammatique, dédié à la jeunesse amoureuse, et inclut une carte de l'île du Mariage avec une description littérale du pays. L' 'Arithmétique de Montree' est un ouvrage de mathématiques écrit par le Père Jean-Baptiste-Adrien de Mercastel, ancien professeur à l'Université d'Angers. Il est divisé en deux parties : la première explique les règles du calcul, et la seconde montre leur usage dans des questions nécessitant plusieurs opérations. L' 'Arithmétique Militaire' est un ouvrage pratique pour les officiers, ingénieurs et commerçants, divisé en trois parties. La première partie établit les fondements de l'arithmétique et explique la règle de trois et la racine carrée. La seconde partie traite des fractions de manière claire et détaillée. La troisième partie présente les règles vulgaires utiles dans les affaires militaires et commerciales. Enfin, le document mentionne les 'Aventures de Clamades et de Clarimonde', traduites de l'espagnol, et les 'Poésies Diverses' de M. de Segrais, incluant des églogues, un poème pastoral, des odes, épîtres, élégies, chansons et stances.
Généré par Mistral AI et susceptible de contenir des erreurs.
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