Titre et contenu

Titre:

Lettre à M. Hosty. Londres, ce 5 Juin 1755.

Premiers mots: Enfin j'ai reçu, Monsieur, la réponse du docteur Hadow à quelques-unes de vos [...] Domaines: Médecine, chirurgie, pharmacieMots clefs: Inoculation, Jacques Hadow, Sang, Incision, Docteur, Docteur PringleDestinataire ou dédicataire: Ambroise Hosty

Forme et genre

Langue: FrançaisForme: Prose
Type d'écrit journalistique: Article / Nouvelle littéraire

Auteur et provenance du texte

Signature:

Signé, Jean Pringle.

Est rédigé par: Jean Pringle (John Pringle) Genre de l'auteur: HommeLieu indiqué: LondresDate de rédaction ou d'envoi du texte:

Résumé

La correspondance entre Jean Pringle et Jacques Hadow, datée de juin 1755, aborde le sujet de l'inoculation contre la variole. Pringle informe Hadow qu'il a reçu une réponse satisfaisante du docteur Hadow concernant des questions posées par M. Hofty. Pringle exprime ses vœux de succès pour Hofty et pour l'inoculation en général. Dans sa lettre, Hadow s'excuse pour son retard de réponse, expliquant qu'il était occupé par les inoculations et d'autres affaires. Il se déclare prêt à partager ses observations sur la pratique de l'inoculation. Hadow répond aux questions de Hofty concernant le choix des sujets pour l'inoculation. Il note que les jeunes gens en bonne santé sont les meilleurs candidats, mais qu'il inocule des personnes de tous âges, y compris les nourrissons et les personnes âgées. Il recommande l'inoculation entre trois et douze ans, car les enfants de cet âge n'ont pas peur de la maladie. Hadow décrit également les symptômes observés chez les enfants inoculés, comme les convulsions et la fièvre. Il mentionne que les personnes de constitution différente (scorbutiques, asthmatiques, rhumatismales) ne souffrent pas plus que les autres. Il observe que les personnes à la peau fine et claire ont généralement moins de symptômes que celles à la peau épaisse et foncée. Les femmes souffrent généralement plus que les hommes. Concernant les préparations générales, Hadow indique qu'elles sont similaires à celles utilisées à Londres. Il a cessé de faire jeûner les patients avant l'inoculation et utilise des vomitifs avec prudence pour éviter de provoquer la fièvre. Pour l'incision, il préfère maintenant faire une ou deux incisions légères, évitant ainsi les inflammations et les tumeurs observées avec des incisions plus profondes.

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Copie numérique :
1755, 07-09