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1
p. 68-82
SATYRE contre les Vers irreguliers.
Début :
Je vous ay quelquefois entendu dire que les Vers / En vain vous m'accusez d'un paresseux silence, [...]
Mots clefs :
Beauté, Cadence, Douceur, Oreille, Vers, Mot, Vers irréguliers, Vers libres
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texteReconnaissance textuelle : SATYRE contre les Vers irreguliers.
Je vous ay quelquefois
entendu dire que les Vers
irreguliers
,
appeliezautrement, Vers libres,n'avoient
pas pour vous la mesme
beauté que vous trouvez
dans les Vers dont la cadence eftégale, & mesuréecomme font ceux que l'on employe dans les Tragedies. Si
vous n'avez poinr changé de
sentiment, vous fçaurez bon
gré à celuy qui a
fait l'Ouvrage que vous allez lire.
SATYRE
contre les Vers irrcguliers. EN vain vous rtiaccufet^ d'un
paresseux silence,
le ne puis pour rimermefaire vialence;
Mu(è) vous en fcavez^[ans doute la
raison.
Dois-je aller à t'école en un âge
grifon
En petit voyageurfaypaffema jeuneffe,
£tne paflois pas loin des monts de
la Sflgtjfet
Zors quun vent
agite
par de gros
tourbillons
, Vint répandre à mespiedsplufieun
* de vos brouillons.
le les connus d'abord pour enfant
du Pamaffe
,
Je les amaffay tort*yfenfis une liasse,
Qge je conferve encore avec beaucoup de foin,
Meflatant quelque four de vous
suivre de loin.
le ne (fdJ quel inftinft frevenant
ma fru-dence,
Me fit de vos grands keri, eflime7
la cadence.
Je meformaysibien à cette,gravité,
Que les diminutifs font pour moy
fans beauté ;
Xe Féftnaffe a toujours garaé le
moindre fliî-e
Pour ce qriev gmtfal ta nomme
Vaudeville y
Mais on fatolÎjOtlrJ dît,vitreJexe
leger
lionne dvenè linconfiance
,
(£ se
plaifJà. changer,
Ne croyez^ pas pourtant quicy je
vous imite,
leveux efire confiant,jemenfais
un merite.
Toutes ces nOflvealllt( ne peuvent
maveugler,
2Vy monfoible poumon se laisser déregler.
Entre les Veis de choix que je lis
avec joye,
ïaytoujoursfou* les yeux ceux des
Héros de Troie.
Zà je voy cette grâce, & cestile
pompeux
Qu'on employe en parlant des hommes belliqueux, [ rebuter
Toujours la majestè, fans quelle se
Honore ces beaux Vers, mefmejufquen leur chuter
Et chacun d'euxmarchant dans un richeappareil,
Faitafiez^voir quileftle neveu du
Soleil.
On riyfiuffre jamais la licence sa.
taie
Quiforme chaque Vers de cadence
inégale;
Et je croi qu'un fia/eu, an. Prince
dévoile, [ loué.
Sous un fitle si luù ne. l'a pas bien
Peut-estredirez-vous que legrandy
le jublime,
Ne doitqùaux seuls Héros la
beauté desa rime,
Que pour les grandi Seigneurs,
ceux des moindres rangs, Il faut avoir un (hLe & des vers
differens l
Quon doitpour bien louer regarder
la personne,
Voir
Voirsa vertu répondre à iencens
qu'on Huy donnej
en conviens)maÎ4pourtant à tous
momens je voy
Hue de cemesme encens on encense le
Roy,
Et quon a pour objet de cet encens
vulgaire,
Xe plus auguste Roy que le Soleil
éclaire.
Jetais laissons, je le veux, ces magnifiques Vers
Tour ceux quifont en droit de dompter tVnivers, [encore
vous deve'{ eonvenir que noua avons
Des Vers plu4 mefure\que le cours
defAurore.
tsareux ne peuuon pas louer adroitement
,1, pani quel'oreille en ait aucun dcfagrèment ?
,
Jsfousavions>il eji vrayJillujlre des
Houl/ures,
Qui dans ce rude stile eut de douces
manières,
Et fans faire un faux plU dans ce
champ raboteux,
Sçeut donner de la grace à tout ses
Vers boiteux.
Je ne puis imiterson rare caractère,
Il m'apprendbeaucoup moins àparler qu'à me taire,
lerien ay ny iejprit ny linclination,
Et vous moffrezjnvain vostreprotection.
Je trouve cependantcefie maniéré
aisee1,
On se laissè tomber où tombe laptn--
fée,
Et faus membaraffer de former le
repos,
Ce stile paresseux me
viendroit à
propos.
-On ria jamais besoin de t'art du
doEle Eucltde
Pourtoifer ungrand Vers pour en•
remplir le vuide,
La Rethorique est vaineau Poëte
aujourahuy.
Vn mot, veul-ilrimer, qui se prefente à luy
Fusi-ilmâle ou femellejlriimporte,
ille place,
ilsfont tous bien venus, & jamais
il rien cade;
Viennent ils pourrimerjufquà cinq
à lafois,
Pour les obliger tous il les met deux
& trois.[combatre
S'ilsviennent six ou huit,illesfera
SansreJpeEt des arrests3 trois à trois,
quatre à quatre.
Ainsi rien ne demeure> & les plus
malheureux
Rencontrentleurs pareils peurrimer
aveceux. Cefiainsi qu'aujourdthuy par ce
commode flile
Cet Art laborieux efl devenufacile,
Et tel à peine feait jouer du vioIon)
Qui croit bien imiter la Lyred'Apollon.
Ce talent autrefoissipeu connu des
hommes
J..¡'cft quunamusement dans leJîecle où nous sommes.
D'abord qu'on (fait penser,
compter jusquà huit,
On peut dans ce bel Arttravailler
avec fruit,
Mdis cette llluflreexcelle, e je
pense, ma Mule,
Quelle peut effacer la célébré la
àue;
Et que fl'heroïque eufl animeson
coeur,
Et Racine
,
&Boileau[everroient
un vainqueur.
Danstout ce quelle afait on ne voit
point de peine,
Et deson Cabinet coule une autre
Hippocrene.
Elle porte si bien tout ce quelle *
pensè,
Quetout est en sa place, & querien -
riesiforcé.
Je ne veuxptU icyfaire de paralelle,
Toute comparaison defobhge une htlie
, Et ce riest point à moy de juger des
Je c
b
eftrits,
Jecherche feulement la douceur douceur des
écrits.
Quand je relis encor ceux de cette
Comtesse,
Que senvoy la douceur) la force,
df la tendresse,
Mon oreille attentive excite son
deJif
,
El ne se lasie point d'en goûter le
plaijïrMon eftntd'autre part fans cessese
contente
,
il voit [am sennttÏe, prévenir Ion
attente
, On n'apasp/utoft leu quon veut re-
(omm/necr,
Et le plu* inquiet ne sçauroit J'en
lajer.
Llt fans avoir toujours tembaraffanteJtude.
De chercher la mesure avec inquiétude, [ mesurè
On marche avec cadence & d un pa*
Fier de trouver par tout fin repos
ajJuré.
Mais du pile nouveau la cadence
incertaine
Pour l'œil & pour l'oreille efi toû.
jours inhumaine,
La langue mesme en souffre, onfent
à tous momens
Quelle a
peineà choisirses tons,ses
mouvfmens,
Qjie toujours variant danssa peine
ecrette,
Du tour quelle doit prendre elle
semble inquiété.
Ainsi bridant Pefjor de sa narration
,
Elle perd la beauté deson expression.
Concluons-donc qu'enfin la nouvelle
methode
Est à nos beaux esprits un obfiacle
incommode,
Le bon mot, il est vray
,
tost ou tard
estplacé,
Maispourle trouver juste on efJembara/fè. ilfaut bien sattacher au point, à
la virgule,
Pourposer sur ce mot qui desyeux
se recule.
On pense le trouver dans trois ou
quatre Vers,
'Mais on ria rien fans peine en ce
siecle pervers >
Ilfaut bien quelquefois en lire douzg ou treize,
Pour en rencontrerun qui chatouille
& qui plaise,
Et Foreille & les yeux toujours en
aïiion [ tention.
De ïefprit qui les meut lafjentïatYn Lecteurparefîeux qui detefle la
peine
En trouve à retenirfanscefie[on ha.
leine,
Et se plaignant toujours 011 du long ",
ouducourt,
Ennuyé un Auditeur que Page a rendusourd. [ tiere coule,
Je veux enfaitde Pers que la maQu'ilssemblent tom formezjians un
unique moulej
l'ay ïoreillesensible, d***fuis(upforftr
Que mille contre-temps me la viennent heurter.
Ces bien-heureux Bons-Mots font
pourtant d'ordinaire
Pour nos contusions un baume salutaire
5 Mais telferaguéri qui craint de retomber.
Et dans cette rechute a feur defuc*
comber.
Quelque habile quon joit dans ce
genre d'écrire
VnLeiïeurfatigué négligé denous
lire,
Il veut eflre à son aise en carosse
mene
Et non en bondissant en chariot
traîné.
j'adore le Sonnet> mais du choix de
larime
Dépend tout le bonheurHe la future
estime.
Prenezgardesurtout quilne sonne
fatfaux,
On laisse ses beàutez^ pour chercher
ses défauts,
Etliquelquun rimoit,sienne avec
Capitaine
On diroit ce Poète est loin de la
Fontaine
entendu dire que les Vers
irreguliers
,
appeliezautrement, Vers libres,n'avoient
pas pour vous la mesme
beauté que vous trouvez
dans les Vers dont la cadence eftégale, & mesuréecomme font ceux que l'on employe dans les Tragedies. Si
vous n'avez poinr changé de
sentiment, vous fçaurez bon
gré à celuy qui a
fait l'Ouvrage que vous allez lire.
SATYRE
contre les Vers irrcguliers. EN vain vous rtiaccufet^ d'un
paresseux silence,
le ne puis pour rimermefaire vialence;
Mu(è) vous en fcavez^[ans doute la
raison.
Dois-je aller à t'école en un âge
grifon
En petit voyageurfaypaffema jeuneffe,
£tne paflois pas loin des monts de
la Sflgtjfet
Zors quun vent
agite
par de gros
tourbillons
, Vint répandre à mespiedsplufieun
* de vos brouillons.
le les connus d'abord pour enfant
du Pamaffe
,
Je les amaffay tort*yfenfis une liasse,
Qge je conferve encore avec beaucoup de foin,
Meflatant quelque four de vous
suivre de loin.
le ne (fdJ quel inftinft frevenant
ma fru-dence,
Me fit de vos grands keri, eflime7
la cadence.
Je meformaysibien à cette,gravité,
Que les diminutifs font pour moy
fans beauté ;
Xe Féftnaffe a toujours garaé le
moindre fliî-e
Pour ce qriev gmtfal ta nomme
Vaudeville y
Mais on fatolÎjOtlrJ dît,vitreJexe
leger
lionne dvenè linconfiance
,
(£ se
plaifJà. changer,
Ne croyez^ pas pourtant quicy je
vous imite,
leveux efire confiant,jemenfais
un merite.
Toutes ces nOflvealllt( ne peuvent
maveugler,
2Vy monfoible poumon se laisser déregler.
Entre les Veis de choix que je lis
avec joye,
ïaytoujoursfou* les yeux ceux des
Héros de Troie.
Zà je voy cette grâce, & cestile
pompeux
Qu'on employe en parlant des hommes belliqueux, [ rebuter
Toujours la majestè, fans quelle se
Honore ces beaux Vers, mefmejufquen leur chuter
Et chacun d'euxmarchant dans un richeappareil,
Faitafiez^voir quileftle neveu du
Soleil.
On riyfiuffre jamais la licence sa.
taie
Quiforme chaque Vers de cadence
inégale;
Et je croi qu'un fia/eu, an. Prince
dévoile, [ loué.
Sous un fitle si luù ne. l'a pas bien
Peut-estredirez-vous que legrandy
le jublime,
Ne doitqùaux seuls Héros la
beauté desa rime,
Que pour les grandi Seigneurs,
ceux des moindres rangs, Il faut avoir un (hLe & des vers
differens l
Quon doitpour bien louer regarder
la personne,
Voir
Voirsa vertu répondre à iencens
qu'on Huy donnej
en conviens)maÎ4pourtant à tous
momens je voy
Hue de cemesme encens on encense le
Roy,
Et quon a pour objet de cet encens
vulgaire,
Xe plus auguste Roy que le Soleil
éclaire.
Jetais laissons, je le veux, ces magnifiques Vers
Tour ceux quifont en droit de dompter tVnivers, [encore
vous deve'{ eonvenir que noua avons
Des Vers plu4 mefure\que le cours
defAurore.
tsareux ne peuuon pas louer adroitement
,1, pani quel'oreille en ait aucun dcfagrèment ?
,
Jsfousavions>il eji vrayJillujlre des
Houl/ures,
Qui dans ce rude stile eut de douces
manières,
Et fans faire un faux plU dans ce
champ raboteux,
Sçeut donner de la grace à tout ses
Vers boiteux.
Je ne puis imiterson rare caractère,
Il m'apprendbeaucoup moins àparler qu'à me taire,
lerien ay ny iejprit ny linclination,
Et vous moffrezjnvain vostreprotection.
Je trouve cependantcefie maniéré
aisee1,
On se laissè tomber où tombe laptn--
fée,
Et faus membaraffer de former le
repos,
Ce stile paresseux me
viendroit à
propos.
-On ria jamais besoin de t'art du
doEle Eucltde
Pourtoifer ungrand Vers pour en•
remplir le vuide,
La Rethorique est vaineau Poëte
aujourahuy.
Vn mot, veul-ilrimer, qui se prefente à luy
Fusi-ilmâle ou femellejlriimporte,
ille place,
ilsfont tous bien venus, & jamais
il rien cade;
Viennent ils pourrimerjufquà cinq
à lafois,
Pour les obliger tous il les met deux
& trois.[combatre
S'ilsviennent six ou huit,illesfera
SansreJpeEt des arrests3 trois à trois,
quatre à quatre.
Ainsi rien ne demeure> & les plus
malheureux
Rencontrentleurs pareils peurrimer
aveceux. Cefiainsi qu'aujourdthuy par ce
commode flile
Cet Art laborieux efl devenufacile,
Et tel à peine feait jouer du vioIon)
Qui croit bien imiter la Lyred'Apollon.
Ce talent autrefoissipeu connu des
hommes
J..¡'cft quunamusement dans leJîecle où nous sommes.
D'abord qu'on (fait penser,
compter jusquà huit,
On peut dans ce bel Arttravailler
avec fruit,
Mdis cette llluflreexcelle, e je
pense, ma Mule,
Quelle peut effacer la célébré la
àue;
Et que fl'heroïque eufl animeson
coeur,
Et Racine
,
&Boileau[everroient
un vainqueur.
Danstout ce quelle afait on ne voit
point de peine,
Et deson Cabinet coule une autre
Hippocrene.
Elle porte si bien tout ce quelle *
pensè,
Quetout est en sa place, & querien -
riesiforcé.
Je ne veuxptU icyfaire de paralelle,
Toute comparaison defobhge une htlie
, Et ce riest point à moy de juger des
Je c
b
eftrits,
Jecherche feulement la douceur douceur des
écrits.
Quand je relis encor ceux de cette
Comtesse,
Que senvoy la douceur) la force,
df la tendresse,
Mon oreille attentive excite son
deJif
,
El ne se lasie point d'en goûter le
plaijïrMon eftntd'autre part fans cessese
contente
,
il voit [am sennttÏe, prévenir Ion
attente
, On n'apasp/utoft leu quon veut re-
(omm/necr,
Et le plu* inquiet ne sçauroit J'en
lajer.
Llt fans avoir toujours tembaraffanteJtude.
De chercher la mesure avec inquiétude, [ mesurè
On marche avec cadence & d un pa*
Fier de trouver par tout fin repos
ajJuré.
Mais du pile nouveau la cadence
incertaine
Pour l'œil & pour l'oreille efi toû.
jours inhumaine,
La langue mesme en souffre, onfent
à tous momens
Quelle a
peineà choisirses tons,ses
mouvfmens,
Qjie toujours variant danssa peine
ecrette,
Du tour quelle doit prendre elle
semble inquiété.
Ainsi bridant Pefjor de sa narration
,
Elle perd la beauté deson expression.
Concluons-donc qu'enfin la nouvelle
methode
Est à nos beaux esprits un obfiacle
incommode,
Le bon mot, il est vray
,
tost ou tard
estplacé,
Maispourle trouver juste on efJembara/fè. ilfaut bien sattacher au point, à
la virgule,
Pourposer sur ce mot qui desyeux
se recule.
On pense le trouver dans trois ou
quatre Vers,
'Mais on ria rien fans peine en ce
siecle pervers >
Ilfaut bien quelquefois en lire douzg ou treize,
Pour en rencontrerun qui chatouille
& qui plaise,
Et Foreille & les yeux toujours en
aïiion [ tention.
De ïefprit qui les meut lafjentïatYn Lecteurparefîeux qui detefle la
peine
En trouve à retenirfanscefie[on ha.
leine,
Et se plaignant toujours 011 du long ",
ouducourt,
Ennuyé un Auditeur que Page a rendusourd. [ tiere coule,
Je veux enfaitde Pers que la maQu'ilssemblent tom formezjians un
unique moulej
l'ay ïoreillesensible, d***fuis(upforftr
Que mille contre-temps me la viennent heurter.
Ces bien-heureux Bons-Mots font
pourtant d'ordinaire
Pour nos contusions un baume salutaire
5 Mais telferaguéri qui craint de retomber.
Et dans cette rechute a feur defuc*
comber.
Quelque habile quon joit dans ce
genre d'écrire
VnLeiïeurfatigué négligé denous
lire,
Il veut eflre à son aise en carosse
mene
Et non en bondissant en chariot
traîné.
j'adore le Sonnet> mais du choix de
larime
Dépend tout le bonheurHe la future
estime.
Prenezgardesurtout quilne sonne
fatfaux,
On laisse ses beàutez^ pour chercher
ses défauts,
Etliquelquun rimoit,sienne avec
Capitaine
On diroit ce Poète est loin de la
Fontaine
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Résumé : SATYRE contre les Vers irreguliers.
Le texte est une satire critique des vers irréguliers, également appelés vers libres. L'auteur exprime une nette préférence pour les vers réguliers, soulignant leur cadence égale et mesurée, similaire à celle employée dans les tragédies. Il dénonce les vers libres comme étant paresseux et irréguliers, les comparant à des brouillons dépourvus de beauté. L'auteur admire particulièrement les vers héroïques, qu'il juge dotés d'une grâce et d'une majesté adaptées à la louange des héros et des rois. Il estime que les vers réguliers sont plus mesurés et agréables à l'oreille que les vers libres, qui manquent de cadence et de beauté. La satire met en lumière la difficulté de trouver des mots appropriés dans les vers libres, nécessitant une attention constante et une recherche fastidieuse. L'auteur conclut que la nouvelle méthode des vers libres constitue un obstacle pour les esprits créatifs, affirmant que les vers réguliers restent préférables en raison de leur mesure et de leur beauté.
Généré par Mistral AI et susceptible de contenir des erreurs.
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