Titre et contenu
Titre:RÉPONSE aux Reflexions sur une These soutenuë dans les Ecoles de Medecine de Paris, concernant la qualité de l'Eau de vie, inserées dans le Mercure de France du mois de May 1730. page 868.
Titre d'après la table:Réponse sur la qualité de l'Eau de vie,
Premiers mots: Je vous avouë, Monsieur, que j'ai été extrêmement surpris de voir une personne [...] Domaines: Médecine, chirurgie, pharmacieMots clefs: Eau de vie, Écoles de Médecine de Paris, Esprit, Circulation, Vin, Liqueur, Mouvement, Thèse, Coeur, SangForme et genre
Langue: FrançaisForme: ProseType d'écrit journalistique: Article / Nouvelle littéraire
Auteur et provenance du texte
Signature:A Paris le 9. Juillet 1730. BRUHIER D'ABLANCOURT, Docteur en Medecine.
Est rédigé par: Bruhier d'Ablancourt (Jacques-Jean Bruhier d'Ablaincourt ?) Lieu indiqué: ParisDate de rédaction ou d'envoi du texte:Résumé
Le texte est une réponse aux réflexions publiées dans le Mercure de France de mai 1730 concernant la qualité de l'eau-de-vie. L'auteur exprime sa surprise face à un médecin qui défend l'eau-de-vie, une liqueur extraite des parties spirituelles du vin. Il souligne que l'eau-de-vie concentre les effets du vin, notamment sur le pouls et la circulation sanguine. Selon Fernel, le vin rend le pouls grand, fort, rapide et fréquent, mais à l'excès, il le dérègle et se répand dans le corps, affectant le cœur, le cerveau et les nerfs. L'auteur argue que l'eau-de-vie, en augmentant la circulation, irrite les fibres et épaissit les liquides, causant divers maux comme la goutte, des engourdissements et des troubles cérébraux. Il réfute les arguments en faveur de l'eau-de-vie pour les vieillards et les travailleurs, affirmant que son usage modéré peut être bénéfique dans certains cas spécifiques. L'auteur conclut en citant Sydenham, prônant l'abstinence totale de l'eau-de-vie ou son usage strictement médical.
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