Titre et contenu
Titre:IMITATIONE D'Alcuni Madrigaletti, del Signor Cavaliere Battista Guarini, fatta da Madamigella Malcresia della Vigna, del Crusico in Bretagna.
Titre d'après la table:Imitation de Madrigaux Italiens, &c.
Premiers mots: Donna, lasciare i Boschi: [...] Mots clefs: Imitation, Battista Guarini, Madrigal, Oiseau, Amant, BrasierForme et genre
Langue: FrançaisForme: VersType d'écrit journalistique: Poésie
Genre littéraire: Imitation, Madrigal, Ode anacréontiqueAuteur et provenance du texte
Est rédigé par: Madamigella Malcresia della Vigna, Signor Cavaliere Battista Guarini (Paul Desforges-Maillard, Battista Guarini) Lieu indiqué: Il Crusico in BretagnaRemarque
Republié dans [Paul Desforges-Maillard], Oeuvres en vers et en prose de M. Desforges-Maillard [...], Amsterdam, Jean Schreuder, Pierre Mortier le jeune, 1759, t. 2, p. 149, 151, 152, 153 ; Poésies diverses de Desforges-Maillard [...], Honoré Bonhomme (éd.), Paris, A. Quantin, 1880, p. [28], [31], [32], [33].
Résumé
Le texte présente une série de madrigaux et d'imitations poétiques traduits en français, extraits de l'œuvre du cavalier Battista Guarini. Les thèmes principaux abordés incluent la beauté féminine, l'amour et la condition humaine. Dans le madrigale XVII, 'La bella Cacciatrice', l'auteur s'adresse à une femme, Iris, qu'il compare à Diane, la déesse de la chasse. Il l'encourage à abandonner la chasse et à diriger ses 'traits' vers les cœurs humains plutôt que vers les bêtes sauvages, soulignant que sa beauté est plus apte à séduire les hommes qu'à chasser des animaux. Le madrigale XXIV, 'Cangiati Sguardi', exprime la douleur d'un amant dont les yeux de sa bien-aimée, autrefois source de vie, annoncent maintenant sa mort. Il supplie ces yeux de se tourner vers lui, même pour voir sa mort, tant il souffre de leur indifférence. Dans le madrigale CLX, 'L'Huomo è picciol mondo', l'auteur compare l'homme et la femme à deux mondes complémentaires. L'homme est décrit comme fragile et mortel, tandis que la femme possède des qualités éternelles et divines. Il souligne que l'homme et la femme forment un tout harmonieux et que la femme a le pouvoir de transformer l'homme en un être supérieur. Enfin, le madrigale LII, 'Auventurosa Augello', et l'ode anacréontique comparent le sort d'un oiseau en cage à celui d'un amant prisonnier de son amour. Tous deux chantent pour leur bien-aimée, mais tandis que le chant maintient l'oiseau en vie, il conduit l'amant à la mort. Le texte se conclut par une réflexion sur le passage du temps et ses effets sur la beauté d'Iris, la bien-aimée. Malgré les ravages des années, l'amour de l'auteur reste inébranlable, défiant la fureur du temps.
Généré par Mistral AI et susceptible de contenir des erreurs.
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