Titre et contenu
Titre:LETTRE d'un Médecin à un Médecin, sur un nouveau Fébrifuge, écrite de Paris le 20. Juin 1734.
Titre d'après la table:Lettre sur un nouveau Fébrifuge,
Premiers mots: Si vous avez trouvé ingénieuse, Monsieur, la Dissertation de l'organe de l'oüie, faite [...] Domaines: Médecine, chirurgie, pharmacieMots clefs: Fébrifuge, Poudre, Médecin, Paris, Guérison, FièvresForme et genre
Langue: FrançaisForme: ProseType d'écrit journalistique: Article / Nouvelle littéraire
Auteur et provenance du texte
Lieu indiqué: ParisDate de rédaction ou d'envoi du texte:Résumé
En juin 1734, un médecin parisien informe un collègue de la découverte d'une plante aux propriétés fébrifuges remarquables. Cette plante, transformée en poudre, est reconnue comme un remède puissant contre les fièvres. La racine de cette plante a été validée par M. de Chicoineau, Conseiller d'État et Premier Médecin du Roi, qui a délivré un certificat le 9 novembre 1733. En conséquence, le Roi a accordé un brevet le 17 novembre 1733 pour la vente de cette poudre, destinée à l'utilité publique et aux hôpitaux des armées. Le médecin partage son expérience personnelle, ayant guéri un jeune homme de 18 ans souffrant d'une fièvre tierce après deux prises. Il a également traité avec succès diverses fièvres et maladies telles que les dissentériques, les tenailles, les cours de ventre invétérés et les diarrhées. La poudre est vendue chez le sieur le Blanc, Marchand Chapelier, vis-à-vis le Grand-Counseil, rue Saint-Honoré, au prix de 10 sols la prise, taxé par le Roi pour en permettre l'accès à tous.
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