Titre et contenu
Titre: Erudition sur le mot Etrennes, [titre d'après la table]Premiers mots: La nouveauté de toutes choses a tousjours plû aux hommes. [...] Domaines: HistoireMots clefs: Étrennes, Nouveauté, Érudition, Année, Gaulois, RomainsForme et genre
Langue: FrançaisForme: ProseType d'écrit journalistique: Article / Nouvelle littéraire
Auteur et provenance du texte
Est rédigé par: Charles DufresnyRésumé
Le texte explore les traditions liées au Nouvel An et aux étrennes, une coutume d'offrir des présents. Chez les Romains, le Nouvel An était associé à des symboles de paix et d'union, avec des offrandes de figues, de miel et de dattes. Les Gaulois, de leur côté, offraient du gui de chêne coupé avec une fêpe d'or, symbolisant la pureté et la sincérité. Le roi Tatius Sabinus recevait de la verveine du bois sacré de la déesse Strinia comme augure pour la nouvelle année. Le terme 'étrennes' provient de 'Strenia' ou 'strenuus', signifiant généreux. Initialement, des fruits étaient offerts, mais ils furent remplacés par des médailles d'argent. La fête des étrennes était dédiée à Janus, représenté avec deux visages. Les étrennes aux empereurs romains étaient des marques d'honneur, bien que certains empereurs comme Tibère les aient refusées. Une superstition ancienne voulait que le premier jour de l'année déterminât le reste de l'année. Les Gaulois croyaient que le gui, cueilli le jour de l'an, portait bonheur toute l'année. Le texte se conclut par une réflexion sur l'érudition des traditions anciennes, tout en évitant de lasser le lecteur dès le premier jour de l'année.
Généré par Mistral AI et susceptible de contenir des erreurs.
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