Titre et contenu
Titre:Nouvelles de Flandres.
Titre d'après la table:Nouvelles de Flandres.
Premiers mots: Un parti de Hussarts de l'armée du Roy enleva [...] Article récurrent: Nouvelles de FlandresMots clefs: Armée, Flandre, Hussards, Noyelles, Duc Dormond, Butin de guerre, Ennemis, Meuse, Traerbach, Pays de MessinForme et genre
Langue: FrançaisForme: ProseType d'écrit journalistique: Relation / Nouvelle politique
Auteur et provenance du texte
Résumé
En juillet 1712, des affrontements militaires ont eu lieu en Flandres et en Picardie. Un détachement de l'armée royale a attaqué la garde ennemie près d'Avelgne, tuant un capitaine et plusieurs autres, capturant 32 prisonniers et deux chevaux sans pertes significatives. L'armée royale, campée à Noyelles, attendait une décision sur une suspension d'armes de deux mois et le retrait des troupes du Duc Dormond. Le Prince Eugène a mené une incursion en Picardie et en Champagne avec 2 800 cavaliers, dragons, hussards et grenadiers à cheval, divisés en petits groupes pour masquer leur marche. Malgré les efforts du maréchal de Villars, les détachements français n'ont pas pu les rattraper. Les ennemis ont pillé et incendié plusieurs villages, notamment dans le pays Messin, où les habitants se sont réfugiés. Le détachement commandé par le général Groveftein, réduit à 150 hommes, attendait des renforts mais craignait d'avoir été défait par les habitants irrités par les pillages. Les habitants du pays Messin refusent de payer les contributions jusqu'à ce que leurs plaintes soient satisfaites. Les ennemis ont ouvert des tranchées devant le Quesnoy, subissant des pertes lors de l'attaque de la gauche. Les assiégés ont riposté avec un feu intense, et une bombe a détruit une ferme où les alliés étaient logés. La garnison du Quesnoy s'est rendue le 4 juillet.
Généré par Mistral AI et susceptible de contenir des erreurs.
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