Titre et contenu
Titre:DISCOURS prononcé à la Diette des Cantons Catholiques par Son Excellence Monseigneur le Comte du Luc, Marquis de la Marthe, Lieutenant de Roy en Provence, Commandeur de l'Ordre de S. Loüis, Gouverneur des Isles de Pourquerolles, Ambassadeur de Sa Majesté prés des Cantons Suisses, Ligues Grises & Republique de Valais, à Lucerne le 13. Decembre 1713.
Titre d'après la table:Discours prononcé à la Diette des Cantons Catholiques par Son Excellence Monseigneur le Comte du Luc, Ambassadeur de Sa Majesté prés des Cantons Suisses, Ligues Grises & Republique de Valais, à Lucerne le 13 Decembre 1713.
Premiers mots: MAGNIFIQUES SEIGNEURS, Le zele qui m'a jusqu'icy attiré [...] Domaines: Sciences politiquesMots clefs: Liberté, Travailler, Alliance, Cantons, Diète, LucerneForme et genre
Langue: FrançaisForme: ProseType d'écrit journalistique: Relation / Nouvelle politique
Auteur et provenance du texte
Est rédigé par: Monseigneur le Comte du Luc, Marquis de la Marthe (Charles-François de Vintimille du Luc) Date de rédaction ou d'envoi du texte:Résumé
Le 13 décembre 1713, Son Excellence Monseigneur le Comte du Luc, Marquis de la Marthey, prononce un discours à Lucerne. En tant que Lieutenant du Roi en Provence, Commandeur de l'Ordre de Saint-Louis, Gouverneur des îles de Pourcieuxrolles, et Ministre de Sa Majesté auprès des Cantons Suisses, des Ligues Grises et de la République de Valais, il exprime sa joie de voir les représentants des Cantons Catholiques s'unir pour remédier aux maux ayant affligé leur patrie. Il souligne l'importance de renforcer l'union entre les cantons, qui a toujours été le rempart de leur liberté. Le Roi, attentif au bonheur des peuples, voit dans cette union un devoir indispensable. L'orateur rappelle les anciennes maximes des prédécesseurs glorieux, qui ont établi une alliance solide et équitable, respectant les particularités de chaque canton tout en assurant la liberté générale. Il encourage les représentants à se souvenir des victoires passées et à travailler à une union encore plus forte, incluant les autres cantons et les protestants, pour garantir leur sécurité et leur liberté. Il conclut en soulignant l'importance de l'union mutuelle et nécessaire pour résister aux ennemis et en exécutant les ordres du Roi, qui souhaite renforcer la puissance helvétique.
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