[Planches pour : Charrière (M.me de). Les Trois femmes... Orné de sept gravures] : [estampe] (1798)

Données de base

Type de notice et de document: Monographie : ImageTitre et date: [Planches pour : Charrière (M.me de). Les Trois femmes... Orné de sept gravures] : [estampe] (1798) Mention de responsabilité: [Jacques Couché]Adresse: [Leipzig], [Wolff]Description matérielle: 2 est.Bibliothèque nationale de France: Notice no 44543700, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb44543700cSource: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France

Relations

Remarques et validité

Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Date : [1798]. / Éd. : in-8° / Autre édition contenant les gravures à Paris, chez A. Nepveu en 1808 / Cet ouvrage parut pour la première fois en 1798, chez Wolff à Leipsig, sous le pseudonyme de l'abbé de La Tour / L'illustration fut exécutée dans le cours de l'an VI. Elle comprend 6 vignettes, deux gravées par Couché, six gravées par Choffard, d'après les dessins de Legrand / Couché ne paraît pas avoir donné toute satisfaction au dessinateur. Legrand écrivait en effet à M.me de Charrière, le 13 thermidor an VI (31 juillet 1798) : "J'ai vu Couché. Il retouchera la première planche. Il prétend qu'elle deviendra bien, j'en doute fort, enfin nous verrons. Il faut que je retouche une épreuve et que je retouche encore les épreuves subséquentes jusqu'à ce qu'elles soient dans un état supportable. Il se plaint toujours que l'eau-forte a trop mordu. Ce n'est pas cela, c'est le talent qui manque. Les autres desseins sont en train, ne vous inquiétés pas. Mais il faudrait que vous eussiés la complaisance de me procurer les moyens de donner quelques à-comptes à Choffard. Il a beaucoup moins les moyens de faire des avances que le richard Couché qui parrait avoir bien des regrets d'avoir entrepris cette affaire et qui m'a dit que son beau-frère avait eu bien meilleur nez que lui en refusant de travailler pour vous. Et moi je dis qu'il aura un pied de nez quand il verra des gravures meilleures que les siennes... Vous enverrés la sôme que vous jugerés à propos pour que je la fasse passer à Choffard... Adieu, mes homages s'il vous plaît à M. de Charrière et à vos charmantes demoiselles" / Notice chargée sans modification à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle.


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