LETTRE de M. Keyser, à Messieurs ses Corespondans, tant dans les principales Villes du Royaume, que chez l'étranger.
Données de base
Fait partie d'une livraison: MERCURE DE FRANCE, / DÉDIÉ AU ROI. / AVRIL. 1760. / PREMIER VOLUME. (Google Books)
Fait partie d'une section: HOPITAL DE M. LE MARÉCHAL DE BIRON.Titre: LETTRE de M. Keyser, à Messieurs ses Corespondans, tant dans les principales Villes du Royaume, que chez l'étranger.
Incipit: Monseigneur le Maréchal de Biron, m'a fait l'honneur, Messieurs, de me communiquerPage(s): 256-258
Page(s) dans la numérisation: 271-273
Texte (OCR):
Mots clefs: Curés, Exemplaires, Défense, Réponse, Guérison, Efficacité, Certificats, Maréchal de Biron, MensongesDomaine: Médecine, chirurgie, pharmacieLETTRE de M. Keyfer , à Meffieurs fes Corefpondans
, tant dans les principales Villes du Royaume,
que chez l'étranger.
MONSEIGNEUR le Maréchal de Biron , m'a
fait l'honneur , Meffieurs , de me communiquer
toutes les Lettres que vous avez bien voulu l…
, tant dans les principales Villes du Royaume,
que chez l'étranger.
MONSEIGNEUR le Maréchal de Biron , m'a
fait l'honneur , Meffieurs , de me communiquer
toutes les Lettres que vous avez bien voulu l…
Résumé:
M. Keyfer écrit à ses correspondants en France et à l'étranger pour les remercier des informations sur les cures effectuées et des copies des lettres envoyées à M. A... Le maréchal de Biron a transmis ces lettres et détails à M. Keyfer. Ce dernier informe ses correspondants qu'il a envoyé divers paquets contenant ses réponses aux accusations de l'auteur du Traité des tumeurs et ulcères, incluant une dissertation épistolaire au maréchal de Biron. Il espère que ses arguments et ceux de son adversaire seront jugés favorablement. M. Keyfer demande à ses correspondants de diffuser ses écrits pour contrer les rumeurs malveillantes du Traité des tumeurs. Il souligne que son hôpital, existant depuis quatre ans, a guéri cinq cents soldats sans incident, et que les capitaines continuent d'y envoyer leurs malades, prouvant ainsi l'efficacité de son remède. Il aborde les attaques contre les certificats authentiques publiés dans les Mercures et déposés auprès du maréchal de Biron, niés par ses adversaires malgré leur authenticité. Initialement, ceux-ci avaient affirmé que son remède contenait du sublimé corrosif, mais ont reconnu leur erreur après analyse. M. Keyfer réfute l'argument selon lequel l'absence de sublimé corrosif rendrait son remède insuffisant, en citant les nombreux soldats guéris et les témoignages des correspondants. Il invite le public à juger de la valeur des accusations de ses adversaires.
Provenance
Signature:
Est rédigé par: Jean Keyser
KEYSER.
Langue et genre
Langue: FrançaisVers et prose: ProseType d'écrit journalistique: Article / Nouvelle littéraireCourrier des lecteurs: NonAutres relations, titre dans la table des matières
Remarques et validité
Mentions dans d'autres contenus
Aucune mention.