SUITE DU III. MEMOIRE de la MELODIE. De la Quinte, Complement, & Répliques.

Données de base

Fait partie d'une livraison: MERCURE GALANT. / JUIN 1713. (Gallica)
Titre:

SUITE DU III. MEMOIRE de la MELODIE. De la Quinte, Complement, & Répliques.

Incipit: Si l'on fait sonner en même temps deux cordes
Page(s): 121-185
Page(s) dans la numérisation: 127-191
Texte (OCR):
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Mots clefs: Consonnance, Quinte, Cordes, Vibrations, Musique, Mélodie, Harmonie, DissonanceDomaine: Musique, danse
Résumé:
Le texte explore les consonances musicales et leurs propriétés. Il explique que deux cordes égales en longueur et en tension, dont l'une est les 7/8 de l'autre, produisent une quinte, une consonance harmonique mais moins unie que l'unisson et l'octave. La quinte est plus grave et piquante. Son complément est la quarte, presque aussi harmonieuse et utilisée fréquemment dans la mélopée. La quarte était le fondement de la musique grecque et asiatique. Les répliques de la quinte sont la douzième, la dix-neuvième et la seizième, formées en ajoutant 7 au nombre 5. La douzième est aussi douce que la quinte et naturelle. Les répliques de la quarte sont la onzième, la dix-huitième et la quinzième, diminuant en beauté à mesure qu'elles s'éloignent de la quarte. La tierce majeure, formée par deux cordes dont l'une est les 5/4 de l'autre, est une consonance aigre-douce, reconnue après 5000 ans de débat. Son complément est la sixte mineure, moins gracieuse. Les répliques de la tierce majeure sont la dixième, la dix-septième et la vingt-quatrième mineures. La tierce mineure, formée par deux cordes dont l'une est les 6/5 de l'autre, est moins gracieuse que la tierce majeure mais plus que la sixte mineure. Son complément est la sixte majeure, composée de la tierce majeure et de la quarte. Les consonances se réduisent à cinq fondamentales : l'unisson, l'octave, la quinte, la tierce majeure et la tierce mineure. En ajoutant leurs compléments et répliques, on obtient vingt-neuf consonances. Avec des rapports musicaux supplémentaires, on peut atteindre quarante consonances dans l'octave. Le texte aborde également les dissonances, perçues comme des combinaisons de nombres premiers autres que 2, 3 et 5, qui sont acceptés dans les consonances traditionnelles. L'oreille humaine, adaptée pour percevoir ces trois nombres premiers simples, possède trois canaux circulaires dans le labyrinthe, se terminant par cinq embouchures correspondant aux rameaux du nerf auditif. Les dissonances sont divisées en deux types : les dissonances musicales, dérivées des consonances traditionnelles, et les dissonances étrangères, incluant d'autres nombres premiers comme 7, 11 et 13. Les dissonances musicales incluent des intervalles comme le ton majeur, le ton mineur, le semi-ton majeur et mineur, ainsi que des fausses consonances. Les dissonances apparaissent comme des sommes ou des différences de consonances ou de leurs répliques, créant une sensation désagréable due à la perturbation des divisions produites par chaque son.

Provenance

Genre: IndéterminéCollectivité: Non

Langue et genre

Langue: FrançaisVers et prose: ProseType d'écrit journalistique: Article / Nouvelle littéraireCourrier des lecteurs: Non

Autres relations, titre dans la table des matières

Titre d'après la table:

Suite du troisiéme Memoire de la melodie, de la quinte, complement & repliques

Remarques et validité


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