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Titre

MADRIGAL. A M. Chevaye, Auditeur à la Chambre des Comptes de Bretagne, par Mlle de Malcrais de la Vigne, du Croisic en Bretagne, sur l'Ode qu'il lui a adressée dans le premier volume du Mercure de Décembre, page 2594.

Titre d'après la table

Madrigal de Mlle de la Vigne,

Fait partie d'une section
Page de début
642
Page de début dans la numérisation
251
Page de fin
643
Page de fin dans la numérisation
252
Incipit

C'est toi qui le premier m'appris,

Texte
MADRIGAL.
A M. Chevaye , Auditeur à la Chambre
des Comptes de Bretagne , par Mlle de
Malerais de la Vigne , du Croisic en
Bretagne , sur l'Ode qu'il lui a adressée
dans le premier volume du Mercure de
Décembre , page 2594.
C'est toi qui le premier m'appris ,
choisir des fleurs immortelles ,
Daks
་ ་ ་
* 755° 543
Dans les Jardins charmans des neuf doctes Pucelles
,
Par toi je sçus bien- tôt en connoître le prix :
Ainsi , mon cher , l'éloge extrême ,
Que ta main seulement paroît verser sur moi ,
Retombe entierement sur toi ,
Depuis quand convient- il de se louer soi - même?
Genre
Collectivité
Faux
Langue
Vers et prose
Type d'écrit journalistique
Courrier des lecteurs
Faux
Genre littéraire
Mots clefs
Constitue la réponse à un autre texte
Est adressé ou dédié à une personne
Est rédigé par une personne
Provient d'un lieu
Remarque

L'identification du destinataire est permise par P. B., « Une épître inconnue de Des Forges-Maillard à J.-B. Rousseau », Revue d’histoire littéraire de la France, 5e année, no 2, 1898, p. 271-279 : https://www.jstor.org/stable/40517729 (23 août 2024). Republié dans [Paul Desforges-Maillard], Poësies de Mademoiselle de Malcrais de La Vigne, Paris, veuve Pissot, Chaubert, Clousier, Neuilly, Ribou, 1735, p. 235.

Soumis par lechott le