P. 245. [Grande Vignette pour la quatrième livre de l'Enéide Mort de Didon] : [estampe] (1798)

Données de base

Type de notice et de document: Monographie : ImageTitre et date: P. 245. [Grande Vignette pour la quatrième livre de l'Enéide Mort de Didon] : [estampe] (1798) Mention de responsabilité: F. Gérard inv. / Baquoy Sculp.Édition, état: [État décrit dans l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle]Adresse: [Paris], [impr. de P. Didot l'ainé]Description matérielle: 1 est. ; gravure en taille-douce ; 26,5 x 16,2 cm.Bibliothèque nationale de France: Notice no 44530393, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb445303935Source: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France

Relations

Remarques et validité

Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Date : [an VI-1798]. / Aucune inscription sur la tablette / Cette édition de grand luxe fut tirée à 250 exemplaires numérotés et signés : 100 exemplaires avec les figures avant la lettre, au prix de 900 fr., et 150 exemplaires avec les figures après la lettre au prix de 600 francs. "Jaloux, dit l'éditeur, d'élever au prince des poëtes un monument digne de sa gloire, je crus que je ne pourrais y réussir complètement qu'avec l'aide et la réunion de tous les arts qui pouvoient y concourir." Didot s'adressa donc à David, qui s'offrit d'abord à faire lui-même les dessins et finalement les confia à deux de ses élèves : Gérard et Girodet, "tous deux enthousiastes de la poésie de Virgile, dont la langue leur est également familière". Ces dessins, "tous faits d'après nature, d'un style noble et élevé" (qui nous paraît bien froid aujourd'hui), sont au nombre de 23 (un pour le frontispice, six pour les Bucoliques, quatre pour les Géorgiques, douze pour l'Enéide) et furent gravés par les meilleurs praticiens de l'époque, parmi lesquels nous relevons les noms de Copia et de Raphaël-Urbain Massard, outre celui de P. Baquoy.. / Quant aux caractères, on peut en croire le prospectus quand il affirme "que l'on n'a jamais rien vu jusqu'ici de plus élégant pour la forme, de plus régulier pour l'ensemble, rien de mieux aligné pour la fonte et de plus exact pour l'approche et l'espacement des lettres entre elles. Ils ont été gravés et fondus par Firmin Didot, mon frère, avec une réussite tout-à-fait satisfaisante. Les poinçons en ont été recommencés trois fois..." / Notice chargée sans modification à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle.


Mentions dans d'autres contenus

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