Poësies sacrées dédiées a monseigneur le Dauphin. Sur les airs les plus analogues aux sujets, tirés des anciens & des nouveaux opéra. Par M. l' abbé de Lapérouze (1770)

Données de base

Type de notice et de document: Monographie : MusiqueTitre et date: Poësies sacrées dédiées a monseigneur le Dauphin. Sur les airs les plus analogues aux sujets, tirés des anciens & des nouveaux opéra. Par M. l' abbé de Lapérouze (1770) Titre des volumes: Toi ! que mon coeur adore ; Le grand Roi, Dieux des Dieux ; Chaque objet dans la nature ; Du péché, de sa malice ; Gloire à Dieu dans l'empirée ; O ! mon Jesus ! o mon epoux ! ; Reine des cieux ! où le Verbe ; Quand le Roi de la nature ; Divin objet de ma flamme ; Elève-toi mon âme à l'empirée ; Quels objets frapent mes sens ; Songe souvent, âme chrétienne ; Mon Dieu ! mon Roi ! ; Dieu d'amour ! embrasez nos coeurs ; Jours heureux de notre innocence ; Monde pervers ! tu n'es que vanité" ; Dans cet exil ; soit au Pérou" ; Jusques à quand du mensonge ; L'homme orné de l'innocence ; De la Grâce ou de la Nature ; Ah ! que le sort du mondain ; Je voudrais bien me convertir ; Vous ! qu'un fatal aveuglement ; Ce n'est qu'en Dieu ; Esprit divin ! et toi, nature ; Le Dieu des coeurs a perdu ; Fatal objet de ma tendresse ; Enfin mon coeur vient de rompre ; L'univers n'a que nos déserts ; D'une sainte solitude ; O cieux ! que la nature et l'art ; Nôtre exil est sur la terre ; Séjour délicieux ! admirable empirée ; Triste exil ! terre fatale ! ; Dieu ! tes charmes sont les armes ; Est-il un destin plus doux ? ; O Dieu d'amour ! enfin ; Amour sacré ! j'admire ; Amour funeste ! je te détteste ; Dieu de bonté ! si ta félicité ; J'ai quitté le bien suprême ; Du Très-haut je bravois l'empire ; Ah ! que vous charmés tous mes sens ; On vous l'a dit cent fois ; Quel outrage ! qu'un Dieu partage ; Déserts ! antres sacrés ! ; Heureux le coeur ! ; Celui qui par état ; De la plus belle vie je chante ; D'un chrétien inconstant ; Vous ! qui dans les forfaits ; Ah ! Seigneur, voyez nos larmes ; Pleurons sur nos crimes ; Ah ! que la mort paroit aimable ; La mort est à craindre ; Tu frémis, tu crains mon âme ; Le chrétien expirant ; Heureux le coeur qui dans la grace ; O trépas ! ô mort épouvantable ; Puisque la mort nous enlève ; On me préchoit souvent ; Ah ! quel bonheur ! ; Suivons les loix ; Chers oiseaux ! dans vos boccages ; Rossignol ! dont le doux ramage ; En vain tout sommeille ; Ah ! ah ! que j'aurais bien mieux chantéAdresse: A Paris, chez Saillant & Nyon, libraires, rue Saint Jean-de-Beauvais. M. DCC. LXXDescription matérielle: VII-[1 bl.]-119-[1 bl.-1-1 bl.]-148 p. ; in-8.Bibliothèque nationale de France: Notice no 43093818, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb43093818rSource: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France

Relations

Remarques et validité

Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Épître dédicatoire au Dauphin / Privilège royal du 13 décembre 1769 octroyé à Saillant et Nyon / 148 p. de musique gravée par Niquet / Bandeaux signés "Beugnet" et culs-de-lampe gravés sur bois / Errata / Autre exemplaire : Paris, Bibliothèque Mazarine, 44449 / Le 1er cantique "Toi ! que mon coeur adore" est une parodie d'un air portant le même incipit, extrait de "Le cadi dupé" de Pierre-Alexandre Monsigny.


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