Titre et contenu

Titre:

LETTRE à M..... Professeur & Censeur royal, par M. G. Ecuyer, Officier de la chambre de Madame la Dauphine, sur un problême d'algebre appliqué à la science de la guerre.

Titre d'après la table:

Lettre à M..... Professeur & Censeur royal, par M. G... Ecuyer, &c.

Premiers mots: Monsieur, j'avois décidé avec moi-même de faire un divorce irréconciliable [...] Domaines: Sciences de la guerre, MathématiquesMots clefs: Algèbre, Géométrie, Science de la guerre, Madame la Dauphine, Problème d'algèbre, Guerre

Forme et genre

Langue: FrançaisForme: Prose
Type d'écrit journalistique: Article / Nouvelle littéraire

Auteur et provenance du texte

Signature:

C. Q. F. F. & D. A Versailles, ce 10 Avril 1755.

Est rédigé par: M. G. Activité de l'auteur: Écuyer, Officier de la chambre de Madame la DauphineGenre de l'auteur: HommeLieu indiqué: VersaillesDate de rédaction ou d'envoi du texte:

Résumé

La lettre est adressée à un professeur et censeur royal par M. G., écuyer et officier de la chambre de Madame la Dauphine. L'auteur avait initialement abandonné l'algèbre et la géométrie en raison de ses obligations personnelles et de son manque de temps. Cependant, lors d'une visite chez des personnes de qualité, il a été inspiré par l'environnement mathématique et militaire qu'il y a trouvé. Il a été invité à résoudre un problème d'algèbre appliqué à la science de la guerre, ce qui l'a ramené à ses premières passions. Dans cette maison, il a observé des enfants et des dames s'adonnant aux mathématiques avec succès, tout en cultivant des terres et élevant des animaux selon des principes scientifiques. L'auteur a été impressionné par l'esprit de calcul et de système qui y régnait, ainsi que par les principes solides de la raison supérieure. L'auteur décrit ensuite le problème d'algèbre qu'il a résolu, un problème complexe d'algèbre indéterminée du premier degré, réunissant diverses méthodes. Il mentionne les difficultés rencontrées et les erreurs commises lors de la résolution. Il joint à sa lettre le résultat de ses calculs, qu'il considère comme un hommage au professeur. Les nombres les plus simples satisfaisant aux conditions du problème sont 551, 431 et 311. L'auteur fournit également des détails sur les calculs effectués pour vérifier ces solutions. La lettre est datée du 10 avril 1755.

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Copie numérique :
1755, 04-05, 06, vol. 1-2