Titre et contenu

Titre:

De VERSAILLES, le 20 Novembre.

Premiers mots: Le Prince Ferdinand de Brunswick ayant reçu le 14 au soir un courier de la Cour de Londres [...] Article récurrent: De VersaillesDomaines: Sciences politiques, Sciences de la guerreMots clefs: Préliminaires de paix entre la France et l'Angleterre, Majesté britannique, Lieutenant général des armées du roi

Forme et genre

Langue: FrançaisForme: Prose
Type d'écrit journalistique: Relation / Nouvelle politique

Auteur et provenance du texte

Genre de l'auteur: Indéterminé

Résumé

Le 20 novembre, le Prince Ferdinand de Brunswick a reçu une communication de la Cour de Londres annonçant la signature des préliminaires de paix entre la France et l'Angleterre. Le lendemain, il a ordonné, avec les Maréchaux d'Estrées et de Soubise, une suspension générale des hostilités entre les deux armées. Une convention a été établie entre l'armée française et l'armée britannique, signée par Claude-Louis-François de Regnier, Comte de Guerchy, et George Howard. Cette convention prévoit une suspension d'armes entre les troupes des deux armées à partir de la signature et de la ratification par les deux généraux. Une ligne de démarcation a été définie pour séparer les deux armées, incluant des points spécifiques tels que le cours de la Lahn, la Fulde, et la Lenn. La garnison de Ziegenhayn doit rester tranquille et subvenir à ses besoins en attendant son évacuation. La convention a été signée au Pont de Brükmüle sur l'Ohm, le 15 novembre 1762, par les représentants des deux armées.

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Copie numérique :
1763, 01, vol. 1-2