Titre et contenu
Titre:Le Lundi, chez M. de la Piqueliere * air de l'Allure,
Premiers mots: Dites-nous, Haringhton, tout de bon, [...] Domaines: Musique, danseMots clefs: Harrington, Allure, CompagnonForme et genre
Langue: FrançaisForme: VersType d'écrit journalistique: Poésie
Genre littéraire: ChansonAuteur et provenance du texte
Est rédigé par: Mlle de Malcrais de la Vigne (Paul Desforges-Maillard) Lieu indiqué: Chez M. de la PiquelièreDate de rédaction ou d'envoi du texte:Remarque
Republié dans [Paul Desforges-Maillard], Oeuvres nouvelles de Des Forges Maillard [...], Arthur de La Borderie, René Kerviler (éd.), Nantes, Société des bibliophiles bretons et de l'histoire de Bretagne, t. 1, 1888, p. 101-103. Le Goupil de La Piquelière chez qui se déroule le repas est peut-être Jean Goupil de La Piquelière, né en 1695 et mort au Croisic en 1778, marié le 28 mai 1731 à Marie Coquard de Silénie (1708-1746). Sur Harrington, voir le texte qui précède immédiatement celui-ci dans la livraison de décembre 1732, vol. 1.
Résumé
Le texte relate une scène chez M. Goupil de la Piqueliere, un homme influent du Croisic, commandant des vaisseaux de la rivière de Nantes et en mission de guerre. Marié depuis deux ans à Jeanne, surnommée Mme Haringthon, la conversation entre les personnages est marquée par des compliments et des sous-entendus galants sur la beauté et les qualités de Mme Haringthon. Les échanges mentionnent également la prédiction de la naissance d'un enfant dans neuf mois, qui ressemblerait à ses parents. La scène se termine par une invitation à partager un jambon et à ne pas lésiner sur le vin, afin de ne pas offenser l'hôte. Ce texte est extrait du Mercure de France de décembre 1732.
Généré par Mistral AI et susceptible de contenir des erreurs.
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