Titre et contenu
Titre:LETTRE d'un Philosophe de Provence à M** touchant la Lettre du prétendu Grammairien Provençal, sur le Bureau Tipographique.
Titre d'après la table:Lettre sur le Bureau Typographique, &c.
Premiers mots: Vous avez raison, Monsieur, la Lettre dont vous me parlez ne doit [...] Domaines: PédagogieMots clefs: Bureau typographique, Grammairien , Provence, Invention , Critique, Méthode, Éducation, InstructionForme et genre
Langue: FrançaisForme: ProseType d'écrit journalistique: Article / Nouvelle littéraire
Auteur et provenance du texte
Lieu indiqué: ProvenceRésumé
En mars 1731, un philosophe de Provence répond à une critique adressée à un grammairien provençal concernant le Bureau Tipographique. L'auteur de la lettre conteste la légitimité de la critique, affirmant que le grammairien n'est ni provençal, ni grammairien, ni philosophe. Il suggère que la critique provient probablement d'un maître d'école jaloux de l'invention du Bureau Tipographique, un outil pédagogique innovant pour l'apprentissage de la lecture. L'auteur défend l'inventeur du Bureau Tipographique, affirmant que celui-ci n'agit pas par intérêt personnel et que son invention est bénéfique pour l'éducation des enfants. Il réfute les accusations de charlatanisme, soulignant que l'inventeur ne trompe pas le public et que les enfants s'instruisent effectivement avec cet outil. La lettre critique également les objections du grammairien, notamment sur la taille du Bureau et les méthodes d'apprentissage. L'auteur fournit des preuves concrètes de l'efficacité du Bureau Tipographique, mentionnant un exemple où un enfant a lu des textes en latin, hébreu, grec et français avec facilité. Il conclut en exprimant son mépris pour les critiques infondées et en affirmant la validité de l'invention.
Généré par Mistral AI et susceptible de contenir des erreurs.
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