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Résultats : 2 texte(s)
1
p. 73-77
Lettre du Camp de Paillancour, du 1. Septembre.
Début :
Mr le Maréchal de Villars, ayant résolu d'inquieter les [...]
Mots clefs :
Ennemis, Troupes
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texteReconnaissance textuelle : Lettre du Camp de Paillancour, du 1. Septembre.
Lettre du Camp de Paillan?
cour,.;du i'.,Sept,em{bres .: :'1
Mr le Maréchal de VIIi.-
lars
, ayant réjolu
,
çtinquiéter
les Ennemisy commande hier
aprèsmidjsix millef&ldats ou
grenadiers.Il iftfaireAdeujç
Ponts agauche de Thun*4'Euefjue
, entre ceVillage .(!¡-
Etrun qui furent conftruiu
^yec\tant de di-ligene* de
sècret que les Ennemis qui,rien
ctoicnt qu'à une portée de moufquej
fte Xç$Apperçltrept,point.
Les Troupesypdjferept;le plus
grand dêtachememt3 commandé
par Mr de, sÇhzfteaumorand
alla 4u 'çossé' de Hg,.rdair prés
de Bouchain; le fècond, aux
Ôfdres\de Jplr clt Çofefcdre,
Pianhaajwj où Us Ennemis
fdini]^xmBa>tailblonsw;(Q'iftYe.r:'t,r _bi(JD
f*dujoroïftém,>fiw$le
~O'PMWtt~f àe A4r le Chevalierde
4en
-4e l'Efawrtik-#'Hjkidc'it
Pont, Mrde Colandre.attaqua
le posse dlwy pour attirer les
Ennemis de ce cojlé-là.Mrdt
Chafteaumorandattaqua celui
de Hourdin où ily avoitquatre
BataiHons, dontonfit ungrand
carnage ; toutes les Tentes, &
lesMaisons de Hordain où il
y avoit un grand nombre
d'Officiersfurent pilltes
> (nforte
que la plus part des Soldatsyfirentungrosbutin.
On
prit un Maréchal de Camp
qui commandoit à cefxofle, un
Colonelj trois Capitaines> un
Enjeigney deux Ingénieurs ,
soixante Soldats, le rtftcAyant
esiétué,ou ayantpris la fuite9 é cent Chevaux. Dans le
temps que Mr de Cbafteaumorand
attaquoit Hourdin
Mr iAubigny3prenoitlepofie,
d'Etrun à revers 3
où il fit
soixantehommesprisonniers
le , resse létantsàulsé à la fa*
leur de la nuit: Air J'AIIbigny
fit ensuite travailler a
achever le Pont avec Mr le
Chevalier de LivryJ qui étoit
tefiéde l'autrecoté, Cmonysit
pafferles Troupes qui nefurent
point poursuivies par les Ennemis
,
dont toute l'Armée refia
çn Bataille jusques à deux
heures du matin ; Air de Frne/
on
,
Colonel de Bigorre, (7
le Lieutenant Colonel de Picardie,
ont eee*blessez
Nousaprenons en ce mo~
ment,que Mr de Coignies, 4
dtffait prés du Quesnoy
„
ftpt
Escadrons de Cavalerie&de
Dragons , qui jervoient d'efl
corte aux Fourageurs ; quil 4
pris un grand nombre de Chevaux
, de Soldats
a
&d'Of.
ficiers; & entrautres le Lieu.
tenant General & le Major
Generalqui commandoitntl'ep
corte; mais que MrdeBroïld
y a ejlè tué.
cour,.;du i'.,Sept,em{bres .: :'1
Mr le Maréchal de VIIi.-
lars
, ayant réjolu
,
çtinquiéter
les Ennemisy commande hier
aprèsmidjsix millef&ldats ou
grenadiers.Il iftfaireAdeujç
Ponts agauche de Thun*4'Euefjue
, entre ceVillage .(!¡-
Etrun qui furent conftruiu
^yec\tant de di-ligene* de
sècret que les Ennemis qui,rien
ctoicnt qu'à une portée de moufquej
fte Xç$Apperçltrept,point.
Les Troupesypdjferept;le plus
grand dêtachememt3 commandé
par Mr de, sÇhzfteaumorand
alla 4u 'çossé' de Hg,.rdair prés
de Bouchain; le fècond, aux
Ôfdres\de Jplr clt Çofefcdre,
Pianhaajwj où Us Ennemis
fdini]^xmBa>tailblonsw;(Q'iftYe.r:'t,r _bi(JD
f*dujoroïftém,>fiw$le
~O'PMWtt~f àe A4r le Chevalierde
4en
-4e l'Efawrtik-#'Hjkidc'it
Pont, Mrde Colandre.attaqua
le posse dlwy pour attirer les
Ennemis de ce cojlé-là.Mrdt
Chafteaumorandattaqua celui
de Hourdin où ily avoitquatre
BataiHons, dontonfit ungrand
carnage ; toutes les Tentes, &
lesMaisons de Hordain où il
y avoit un grand nombre
d'Officiersfurent pilltes
> (nforte
que la plus part des Soldatsyfirentungrosbutin.
On
prit un Maréchal de Camp
qui commandoit à cefxofle, un
Colonelj trois Capitaines> un
Enjeigney deux Ingénieurs ,
soixante Soldats, le rtftcAyant
esiétué,ou ayantpris la fuite9 é cent Chevaux. Dans le
temps que Mr de Cbafteaumorand
attaquoit Hourdin
Mr iAubigny3prenoitlepofie,
d'Etrun à revers 3
où il fit
soixantehommesprisonniers
le , resse létantsàulsé à la fa*
leur de la nuit: Air J'AIIbigny
fit ensuite travailler a
achever le Pont avec Mr le
Chevalier de LivryJ qui étoit
tefiéde l'autrecoté, Cmonysit
pafferles Troupes qui nefurent
point poursuivies par les Ennemis
,
dont toute l'Armée refia
çn Bataille jusques à deux
heures du matin ; Air de Frne/
on
,
Colonel de Bigorre, (7
le Lieutenant Colonel de Picardie,
ont eee*blessez
Nousaprenons en ce mo~
ment,que Mr de Coignies, 4
dtffait prés du Quesnoy
„
ftpt
Escadrons de Cavalerie&de
Dragons , qui jervoient d'efl
corte aux Fourageurs ; quil 4
pris un grand nombre de Chevaux
, de Soldats
a
&d'Of.
ficiers; & entrautres le Lieu.
tenant General & le Major
Generalqui commandoitntl'ep
corte; mais que MrdeBroïld
y a ejlè tué.
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Résumé : Lettre du Camp de Paillancour, du 1. Septembre.
Le 1er septembre, des attaques ont été menées contre les ennemis. La veille, six mille fantassins et grenadiers ont construit des ponts près de Thun-l'Évêque sans être repérés. Les troupes se sont ensuite divisées : une partie, dirigée par Monsieur de Chafteaumorand, a attaqué Hourdin, vainquant quatre bataillons ennemis et capturant plusieurs officiers et soldats. Une autre partie, sous les ordres du Prince de Condé, a affronté les ennemis à Planche-à-Baron. Monsieur de Colandre a attaqué Estrun pour attirer les ennemis, tandis que Monsieur de Laubigny a pris Estrun à revers, faisant soixante prisonniers. Les troupes ont achevé la construction du pont sous la direction de Monsieur le Chevalier de Livry. L'armée ennemie a battu en retraite sans poursuivre. Parmi les blessés figurent le Colonel de Bigorre et le Lieutenant Colonel de Picardie. Monsieur de Coignies a capturé des escadrons de cavalerie et de dragons près du Quesnoy, faisant de nombreux prisonniers, mais Monsieur de Broglie a été tué.
Généré par Mistral AI et susceptible de contenir des erreurs.
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2
p. 65-66
Extrait d'une Lettre du Camp de Paillancourt du 8. Octobre.
Début :
Nous occupons encore nos mêmes postes ; & nous avons toûjours [...]
Mots clefs :
Garnison
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texteReconnaissance textuelle : Extrait d'une Lettre du Camp de Paillancourt du 8. Octobre.
Extrait d'une Lettre du
•
Camp de Paillancourt
du 8. Octobre.
Nous occupons encore mil
mêmespostes ; & nous avons
toûjoursnos Pontssur L'Efcatit
&sur le Senses. Ilvientpresque
tous les jours des Deserleurs
ennemis qui rapportent ,
que les maladies continuent
dans leur Camp. Ceux qui
vinrent hier ont dit que Mylord
Marlborough
, avoit envoyéune
heure avant le jour
fourager du costé de Condé;
mais que la Garnison de cette
Place étant tombée sur les
fourageurs & sur l'escorte
,
avoit enlevé quatre cent chevaux
& plusieurs Soldats ou
Cavalliers.
La Garnison d'Ipres à défait
ungrospartiEnnemi CMpris
cent chevaux.
•
Camp de Paillancourt
du 8. Octobre.
Nous occupons encore mil
mêmespostes ; & nous avons
toûjoursnos Pontssur L'Efcatit
&sur le Senses. Ilvientpresque
tous les jours des Deserleurs
ennemis qui rapportent ,
que les maladies continuent
dans leur Camp. Ceux qui
vinrent hier ont dit que Mylord
Marlborough
, avoit envoyéune
heure avant le jour
fourager du costé de Condé;
mais que la Garnison de cette
Place étant tombée sur les
fourageurs & sur l'escorte
,
avoit enlevé quatre cent chevaux
& plusieurs Soldats ou
Cavalliers.
La Garnison d'Ipres à défait
ungrospartiEnnemi CMpris
cent chevaux.
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Résumé : Extrait d'une Lettre du Camp de Paillancourt du 8. Octobre.
Le 8 octobre, les troupes occupent les mêmes positions et contrôlent les ponts sur l'Escaut et le Sensée. Des déserteurs ennemis signalent des maladies dans leur camp. Hier, la garnison de Condé a capturé quatre cents chevaux et plusieurs soldats ennemis. La garnison d'Ypres a repoussé une force ennemie, capturant cent chevaux.
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