Le Contrat. // Gravé d'après le Tableau d'H Fragonard, Peintre du Roi, par M. Blot. : [estampe] (1792)
Données de base
Type de notice et de document: Monographie : ImageTitre et date: Le Contrat. // Gravé d'après le Tableau d'H Fragonard, Peintre du Roi, par M. Blot. : [estampe] (1792) Édition, état: [État décrit dans l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle]Adresse: A Paris, chez l'Auteur, hôtel de Chateauvieux, rue Saint André des Arcs, près celle de l'Eperon.Description matérielle: 1 est. ; burin ; 35,8 x 45,1 cm.Bibliothèque nationale de France: Notice no 44533606, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb44533606zSource: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de FranceRelations
Remarques et validité
Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Date : [1792]. / Dans un salon, assis à une table de travail, un amoureux invite sa belle, qui se tient debout près de lui, et baisse modestement les yeux, à signer une promesse de mariage. Au bas, l'adresse (presque complètement détruite sur la présente épr.)" / La "Gazette de France" du 6 octobre 1786, qui annonçait la publication de l'estampe du "Dauphin et Madame" par Blot, ajoutait que "le même artiste s'occupe du pendant du "Verrou", sous le titre de la "Promesse de mariage." Toutefois le "Contrat" ne parut qu'en 1792. Le "Moniteur" annonça sa mise en vente le 13 janvier : "Le Contrat" gravé d'après le tableau de M. H. Fragonard,... par M. Blot ; prix 9 liv. Cette estampe est de la même main que celle du "Verrou" à laquelle elle fait pendant. Le même artiste doit faire paraître incessamment une autre estampe d'après un tableau très estimé du chevalier Van-der-Werff et qui représente le "Jugement de Paris" [IFF18 BLOT (Maurice), 18]" / Nouvelle annonce au "Mercure" en février 1792 (p. 60) / Suivant Charles Blanc, le tableau de Fragonard ornait la chambre à coucher du comte Perrégaux. Il passa ensuite chez le marquis d'Hautpoul (Portalis, p. 274) / "Au "Contrat" commence, chez Fragonard, cette mauvaise et froide mode de son temps, l'imitation des petits maîtres hollandais si en faveur à la fin du siècle dans l'école appauvrie. Voici les manteaux garnis d'hermine de Metzu et la robe de satin blanc de Terburg, l'éternelle robe que tous vont bientôt se disputer et sur laquelle on ne saura plus quelle signature lire : Fragonard ou Boilly. Là aussi commence, autant qu'on en peut juger par la gravure, la manière froide, léchée, miniaturée, de Fragonard, si contraire à la vivacité de touche de ses tableaux-esquisses qu'on a peine à y reconnaître son faire original et qu'elle vous fait venir l'idée de copie." (Les Goncourt, "Fragonard", article publié dans la "Gazette des Beaux-Arts" du premier février 1865, p. 140, note) / Notice chargée sans modification à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle.
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