La Consolation de l'Absence : [estampe] (1785)

Données de base

Type de notice et de document: Monographie : ImageTitre et date: La Consolation de l'Absence : [estampe] (1785) Mention de responsabilité: Peint à la Gouasse par N. Lavreince. et Gravé par N. De Launay, Graveur du RoiÉdition, état: [État décrit dans l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle]Adresse: A Paris chez De Launay, Graveur des Académies Royales // de Paris et de Copenhague, Rue de la Bucherie, N° 26Description matérielle: 1 est. ; gravure en taille-douce ; 35,3 x 24,9 cm.Bibliothèque nationale de France: Notice no 44572811, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb44572811pSource: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France

Relations

Remarques et validité

Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Date : [1785]. / Bordure rectangulaire prolongée par une tablette couverte de tailles verticales / Sur la tablette, de part et d'autre du cartouche aux armes qui divise le titre : "Dédiée à Milady Comtesse de Douglas, // Par... N. De Launay" / Sous le cartouche : "A.P. D.R." / Estampe annoncée dans la "Gazette de France" le 10 juin 1785. D'autres annonces parurent dans le "Mercure" du 9 juillet (p. 95) et dans le "Journal de Paris" du 12 juillet. Voici l'annonce du "Mercure" : "La Consolation de l'absence, peint à la gouache par N. Lavreince, gravé par N. de Launay... Cette jolie estampe est la sixième de la suite déjà connue du même auteur, sous le titre du Carquois épuisé, les Soins tardifs, l'Heureux moment, la Complaisance maternelle et le Petit Jour, d'après MM. Baudouin, Lavreince et Freudeberg" / La Consolation de l'absence fut exposée par N. de Launay, alors agréé, au Salon de 1785 (n° 283). Une gouache de Lavreince intitulée : "l'Absence", et qui, après avoir fait partie de la "Collection de M.M...", passa à la vente Mühlbacher en 1899, où elle fut payée 20000 Fr (n° 161), offre des différences de détail avec le modèle reproduit par N. de Launay. Cette gouache est reproduite dans la "Gazette des Beaux-Arts" de juin 1880 (p. 494), et dans le Catalogue de la vente Mühlbacher. Elle est en sens inverse de la gravure / Voir "La complaisance maternelle" (IFF18 LAUNAY (Nicolas de), 143) / Estampe citée en même temps que "L'Enfant chéri" d'après Le Prince, dans la lettre sur le Salon parue au "Journal Officiel" du 29 sept. 1785 : "On ne voit sortir, depuis quelque temps, du burin de M. de Launay que de petits ouvrages du genre familier. Je crois qu'il serait malheureux que cet artiste abandonnât le grand genre de la gravure par lequel il a débuté. Je dois le prévenir que l'on n'a pas encore oublié son Sylène d'après Rubens" / Estampe annoncée dans les "Annonces, affiches et avis divers" du 11 juin 1785 / Notice chargée sans modification à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle.


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