Le mariage rompu : [estampe] (1784)

Données de base

Type de notice et de document: Monographie : ImageTitre et date: Le mariage rompu : [estampe] (1784) Mention de responsabilité: Peint par Etienne Aubry, Peintre du Roy Et gravé par R. De Launay le Jeune, 1784Adresse: [S.l.]Description matérielle: 1 est. ; gravure en taille-douce ; 25,1 x 32,1 cm.Bibliothèque nationale de France: Notice no 44573029, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb44573029sSource: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France

Relations

Remarques et validité

Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Date : [1784]. / La scène se passe à l'église. La jeune fille est pâmée dans les bras de sa mère. Une femme et deux enfants suppliants viennent de révéler la situation illégale de l'homme. Dans un cadre rectangulaire / En marge, le titre en lettres blanches puis : "A.P.D.R." au dessous / Estampe annoncée au "Journal de Paris" du 18 mars 1784, dans la "Gazette de France" du 30 mars 1786, au "Mercure" d'avril 1784 (p. 39 du "Journal de Bruxelles" et p. 92) et dans les "Annonces, affiches et avis divers" du 16 mars 1784. Destiné à faire pendant au "Mariage conclu" (Voir l'IFF18 LAUNAY (Robert de), 66). Figurait (sans doute avec son pendant, qui n'est pas explicitement mentionné) au n° 184 du "Catalogue de la vente Cochu", 6 mars 1798" / Bauchaumont : "Mémoires secrets", t. XI, p. 25 ("Lettre sur le Salon de 1777") : "Le mariage rompu de M. Aubert, nous montre un perfide qui, ayant fait des enfants à une jeune personne avec promesse de l'épouser, veut donner sa main à une autre. La délaissée s'y oppose, lui présente les gages de leur union, et ramène au devoir cet infâme séducteur. On remarque dans ce Tableau que le principal personnage, c'est à dire le Traître, est contrefait et disloqué ; qu'à force de honte il a la tête dans l'estomac, attitude que St Denis seul pouvoit prendre disposant de son chef mobile à son gré, mais contre toutes les règles du dessin et de l'anatomie. Un Bedaud, de précaution, éteignant les cierges dès qu'il voit que la cérémonie n'aura pas lieu, est l'idée ingénieuse de ce petit Poème, où il y a beaucoup de vérité ; moins cependant que dans les autres sujets traités par le peintre..." / Notice chargée sans modification à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle.


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