La Gimblette. : [estampe] (1783)

Données de base

Type de notice et de document: Monographie : ImageTitre et date: La Gimblette. : [estampe] (1783) Mention de responsabilité: Fragonard pinx. / Bertony Sculp.Adresse: [S.l.]Description matérielle: 1 est. ; burin ; 34,7 x 53,6 cm.Bibliothèque nationale de France: Notice no 44532889, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb44532889sSource: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France

Relations

Remarques et validité

Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Date : [1783]. / Etendue sur le dos dans l'aimable désordre d'un lit matinal, une jeune fille vient de s'éveiller, sourire aux lèvres et jambes en l'air, dans le simple appareil qui convient à une beauté en fleur ; d'humeur badine, elle a juché sur ses pieds un petit chien, son compagnon de jeu et sa victime, et s'amuse à le balancer" / Tirage moderne (dépôt 4 sept. 1862) avec, en plus, dans la marge, à dr., l'indication : "Impr. Lamoureux, r. Lacépède, 38. Paris" / Portalis (n° 98) signale trois états de cette "ravissante inconvenance" : premier état, avant toutes lettres et avant la draperie (naturellement). 2.e état, avant toutes lettres, mais avec la draperie. 3.e état, avec la lettre" / La gravure fut annoncée au "Journal de Paris" le 19 avril 1783 : "La Gimblette", estampe gravée par Bertony, d'après Fragonard, dédiée à M. le baron de Bezenval, lieutenant-général des armées du roi,... ; prix, 9 liv. A Paris, chez le Grand, rue de Bourbon, F. S. G. maison des Théatins." / "Deux esquisses originales de cette composition existaient chez M. Walferdin, l'une en largeur, d'une peinture assez froide, d'après laquelle Bertony a fait sa gravure, une autre en hauteur, d'une peinture beaucoup plus libre, plus claire, plus "fragonardisante", où la nudité de la femme resplendit dans l'or des rideaux jaunes. La première se vendait 1.010, la seconde 7.000 fr. Une troisième, que possédait M. de Villars, s'était vendue 1.300 francs en mars 1868." (Goncourt, "l'Art du XVIII.e siècle"). Le tableau de la collection Walferdin passa dans la collection Poidatz (voir Portalis, "Fragonard", p. 278.) / Notice chargée sans modification à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle.


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