De La Motte Fenelon. : [estampe] (1778)

Données de base

Type de notice et de document: Monographie : ImageTitre et date: De La Motte Fenelon. : [estampe] (1778) Mention de responsabilité: Vivien Pinx. / Fiquet Graveur de leurs Maj. Imp. et R.le Sculp.Édition, état: [État décrit dans l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle]Adresse: [Paris]Description matérielle: 1 est. ; gravure en taille-douce ; 14,4 x 9,2 cm.Bibliothèque nationale de France: Notice no 44556643, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb445566439Source: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France

Relations

Remarques et validité

Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Date : [1778]. / En buste, de tr. q. à dr. Bordure ovale, enguirlandée de roses à sa partie supérieure et reposant sur une console ; fond rectangulaire" / L'original, un pastel, est au Musée de Versailles (Soulié, p. 3658) [information 1962] / Ce portrait fut l'occasion d'une plainte en abus de confiance déposée contre Ficquet, le 9 juillet 1778, par un sieur de Beaufleury, qui avait avancé à l'artiste, toujours besogneux, diverses sommes d'argent. Le portrait de Fénelon devait servir de garantie. En vertu d'arrangements conclus avec le plaignant le 19 décembre 1777 et le 7 avril 1778, les épreuves avaient été imprimées par le S.r Beauvais et remises à M.e Mutel, avocat, "qui les livrera lui-même aux marchands et en donnera le produit" à son client, "jusqu'à concurrence de ce qui lui est dû". Or, "le sieur Ficquet s'est moqué de tous ses engagemens : il a fait imprimer, on ne sait où, le portrait de Fénelon et il en vend publiquement les épreuves à tous les marchands et, comme c'est de la part dudit sieur Ficquet l'abus de la confiance, même l'escroquerie la plus répréhensible", le sieur de Beaufleury a porté plainte. ("Archives de l'Art français", 1888, p. 210-215.) / Les annonces de cette gravure sont parues au "Mercure" d'août 1778 (p. 59), à la "Gazette de France" du 28 septembre, au "Journal de Paris" du 29, au "Journal des Sciences et des Beaux-Arts" du 30 et dans les "Annonces, affiches et avis divers" de cette même date. Toutes mentionnent, comme principal dépositaire de la gravure, "M. Baron, graveur, au Puits-Certain, au coin de la rue Saint-Jean de Beauvais". C'est sans doute ce Baron qui avait assuré le tirage litigieux de la planche. Peut-être doit-il être identifié avec Claude Baron (cf. t. II du présent inventaire, p. 69), dont on ne connaît pas de gravures datées d'après 1770, mais qui n'avait que quarante ans en 1778 / Notice chargée sans modification à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle.


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