[Les Amours champêtres] : [estampe] (1768)

Données de base

Type de notice et de document: Monographie : ImageTitre et date: [Les Amours champêtres] : [estampe] (1768) Mention de responsabilité: Peint a Gouasse par P. A. Baudouin P.tre du Roi 1764. / Gravé par PP. Choffard 1767Édition, état: [État décrit dans l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle]Adresse: AParis 1.ere Cour des Quinze vingts A. P. D. R.Description matérielle: 1 est. ; gravure en taille-douce ; 30,5 x 22,5 cm.Bibliothèque nationale de France: Notice no 44539612, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb44539612bSource: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France

Relations

Remarques et validité

Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Date : [1768]. / "A Monsieur Trudaine de Montigny Conseiller d'État au Conseil Royal // du Commerce et Intendant des Finances. // Par... Choffard" ; à g. : "Du Cabinet de Monsieur Trudaine de Montigny." / En haut : "N° I A." / L'estampe fut annoncée, en même temps que son pendant "(les Amants surpris)", au "Mercure" en avril 1768 (tome I, p. 171). Voir l'IFF18 CHOFFARD (Pierre-Philippe), 198" / La gouache de Baudouin figurait au Salon de 1765 sous le n° 97, avec plusieurs autres, sans désignation spéciale. Elle est citée dans les "Lettres à Monsieur ** sur les peintures, les sculptures et les gravures exposées... en 1765" (p. 45). Diderot la décrit dans son "Salon" sous le titre de "Petite Idylle galante" : "A droite, une ferme avec son colombier. A la porte de la ferme, au-dessous du colombier, une jeune paysanne assise, ou plutôt voluptueusement renversée sur un banc de pierre ; derrière elle, sa sœur cadette, debout. Elles regardent toutes deux deux pigeons qui sont à terre à quelque distance et qui se caressent. L'aînée rêve et soupire ; la cadette lui fait signe du doigt de ne pas effaroucher les deux oiseaux. Au haut de la maison, à la fenêtre d'un grenier à foin, un jeune paysan qui sourit malignement de l'indiscrétion voluptueuse de l'une et de la crainte ingénue de l'autre. Passe pour cela. C'est comme ma description : on y entend tout ce qu'on veut et tout ce qui est sans rougir. Autour du banc, on a jeté confusément un chaudron, des choux, des panais, une cruche, un tonneau et d'autres objets champêtres." / Notice chargée sans modification à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle.


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