Robert Le Lorrain. : [estampe] (1730)
Données de base
Type de notice et de document: Monographie : ImageTitre et date: Robert Le Lorrain. : [estampe] (1730) Mention de responsabilité: Peint par Drouais / J. P. le Bas sculp. 1730.Édition, état: [État décrit dans l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle]Adresse: [S.l.]Description matérielle: 1 est. ; gravure en taille-douce ; 36,5 x 24,5 cm.Bibliothèque nationale de France: Notice no 44573971, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb445739712Source: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de FranceRelations
Remarques et validité
Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Date : [1730]. / "De Paris, Sculpteur ordinaire du Roy, Recteur en son // Académie de Pëinture et de Sculpture." En buste de tr. q. à dr. le visage presque de face, s'appuie sur un carton à dessin et tient un porte-crayon double dans la main g. Jabot et manchettes de mousseline. Bonnet en velours orné d'un gland. Son manteau déborde le cadre ovale en forme d'œil de bœuf. Ses nom et titres sont gravés sur le soubassement de l'œil de bœuf" / J. P. Le Bas était agréé à l'Académie en 1735. On exigeait alors d'un graveur deux portraits d'académiciens pour la réception. Plusieurs délais lui furent accordés pour présenter les portraits gravés de Cazes et de Le Lorrain ; enfin, il les apporta à la séance du 20 décembre 1741, où "ils furent rejetés, pour vice de médiocrité à la grande pluralité des voix". Voir la répartie de Dumont le Romain, dans Portalis et Beraldi, II-2, p. 566-567. Le Bas ne se représenta que trois ans après son échec du 30 décembre 1741, et fut alors reçu à l'unanimité des suffrages, en 1743. L'Académie acquit en 1783, à la Vente après décès de J. P. Le Bas, les deux planches rejetées lors de sa première candidature" / Il existe un portrait de R. Le Lorrain, peint par Nonnotte et gravé par Jacques Nicolas Tardieu pour sa réception à l'Académie en 1749 (N 2). Tardieu s'est efforcé visiblement de l'emporter sur l'œuvre évincée de J. P. Le Bas. On doit reconnaître que son portrait gravé est très supérieur à celui de Le Bas / Notice chargée sans modification à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle.
Mentions dans d'autres contenus
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