Texte

Le texte est un logogriphe, un jeu de mots où chaque lettre d'un mot de sept lettres doit être devinée à travers divers indices. Ce mot est présent dans tous les cœurs et peut gâter le mérite. Il est également présent dans la religion et la société, mais s'il se cache, il est accrédité. Le logogriphe fournit plusieurs indices pour deviner les lettres. Par exemple, 'Deux, un, cinq, quatre' et '3' marquent les variations de l'esprit et la légèreté de la déesse Fortune. 'Quatre, un, six, sept, cinq' donne de la vitesse aux vaisseaux, tandis que 'Quatre, un, sept, cinq, deux' exprime la prérogative des oiseaux. 'Un, deux' est recherché par tous et prive celui que la fortune en prive. 'Un, deux, trois, quatre, & cinq' fait grand bruit dans une église et devient matière d'un pain de couleur bise si on retranche quatre lettres. 'Six, un' donne le nom de celle qu'Argus gardait. 'Un, cinq, quatre' avec les deux dernières lettres forme une phrase sur le Soleil. 'Six, sept, cinq' est élevé sur l'onde. 'Deux, un, quatre' avec 'trois et cinq' est la couleur du sang. 'Quatre' joint à 'six, cinq' fait rester au monde. 'Deux, un, six' forme un souverain. 'Cinq, trois, un, quatre' offre un endroit sale et plein d'ordure. 'Un, deux, sept, cinq' est connu dans le blason. 'Cinq, deux, trois, un' tire une conséquence en latin. Le texte se termine par une adresse au lecteur, indiquant que l'auteur craint son impatience et signe 'Le Chevalier de Montador'.