Données de base

Fait partie d'une section: NOUVELLES LITTERAIRES DES BEAUX ARTS &c.Titre: [Texte(s) sans titre]Incipit: SPECIMEN LINGUAE PUNICAE in hodierna Melitensium superstitis orbi erudito
Page(s): 1800-1802
Page(s) dans la numérisation: 341-343
Texte (OCR):
SPECIMEN LINGUE PUNICA in
hodierna Melitenfium fuperftitis orbi erudito
offert Jo. Henr. Majus Antiquit.
Græc. & OO. LL. Profeffor Gieffenfis ,
Marburgi Cattorum . Vol. in 8. 1718. C'està-
dire , Effay fur la Langue Punique qui
fubfifte encore aujou…
Mots clefs: Langue punique, Malte, LangueDomaine: Philologie, connaissance des langues
Résumé:
En 1718, Jean-Henry Majus, professeur des Antiquités Grecques et des Langues Orientales à Giessen, publie 'Specimen Lingue Punicae'. Cet ouvrage examine la persistance de la langue punique dans la langue maltaise contemporaine. Majus affirme que les Maltais sont d'origine phénicienne, les Carthaginois ayant fondé une colonie à Malte en raison de sa position stratégique entre l'Afrique et la Sicile. Cette origine est corroborée par le culte partagé de Junon et Hercule, ainsi que par l'expertise maltaise dans la fabrication de robes de pourpre, de toiles et de tapis, similaire à celle des Phéniciens. Majus identifie plusieurs termes maltais actuels qui montrent une affinité avec la langue punique, notamment dans l'expression et la notation des nombres. Il inclut l'Oraison Dominicale en maltais pour illustrer cette similitude linguistique. Cependant, le texte mentionne que Majus a omis de discuter des inscriptions puniques trouvées sur des morceaux de marbre et des colonnes brisées à Malte, preuves citées par des historiens comme l'Abbé de Vertot lors de la translation de l'Ordre des Chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem.

Provenance

Genre: IndéterminéCollectivité: Non

Langue et genre

Langue: FrançaisVers et prose: ProseType d'écrit journalistique: Article / Nouvelle littéraireCourrier des lecteurs: Non

Autres relations, titre dans la table des matières

Remarques et validité


Mentions dans d'autres contenus

Aucune mention.