Hippolyte Seguin (1784-1865)

Données de base

Type de notice: PersonneNom et dates: Hippolyte Seguin (1784-1865)
Lieu(x) et date(s) d'exercice de l'éditeur:
Avignon, Paris, México : 1806-1810 ; 1813-1817, 1817-1831, 1825-1842 – Rue Dauphine, n° 40, Rue de Savoie, n° 6, Rue Sainte-Anne, n° 16, Rue de Seine (-Saint-Germain), n° 12, Rue Saint-Jacques, n° 41 (, ci-devant rue de Seine, n° 12), Rue de Cléry, n° 9, Portal de Mercaderes, n° 4
Lieu de naissance: Avignon (Vaucluse)Lieu de décès: Avignon (Vaucluse)Bibliothèque nationale de France: Notice no 17780469, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb177804692ISNI: Notice no 0000000473921206, https://isni.org/isni/0000000473921206Source: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France

Relations

Remarques et validité

Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Libraire-éditeur – Natif d'Avignon d'après son acte de décès. Fils de l'imprimeur-libraire François I Seguin et frère de François II et de (Joseph-) Auguste Seguin. Travaille avec ses deux frères à Avignon sous la raison "Seguin frères" de 1806 à 1810 environ. Breveté libraire à Avignon le 1er janv. 1813. Établi à Paris en 1817 au plus tard, s'associant en 1817 à Victor Tournachon-Molin sous la raison "Tournachon-Molin et Hippolyte Seguin". Breveté libraire à Paris le 28 juin 1819 (brevet renouvelé le 19 nov. 1821). Déclare en oct. 1822, dans la "Bibliographie de la France", "avoir dissous la société le liant à V. Tournachon-Molin [..] et continuer d'exercer seul". Qualifie son établissement de "Librairie française et étrangère H. Seguin" en 1824-1826. Part en 1825 pour le Mexique afin d'y fonder une librairie, laissant procuration à sa femme pour administrer ses affaires parisiennes. Victime de pillages en 1828 au Mexique. Sa femme bénéficie en 1830 d'un prêt gouvernemental de 20 000 francs garanti par nantissement. Faillite déclarée de son commerce parisien le 27 janv.1831 ; il obtient un concordat de ses créanciers le 31 mai 1831. Revenu du Mexique en 1842 et s'étant retiré à Avignon, il demande et obtient sa réhabilitation le 16 avril 1842. Condamné par la Cour royale de Paris le 23 déc. 1843 à ne payer au Trésor public qu'un tiers de la créance initiale ; ce dernier jugement est annulé le 20 mai 1846 (cf. "Bulletin des arrêts de la Cour de cassation rendus en matière civile", 1846, t. 48, n° 5). Décédé en mai 1865 à Avignon, alors qualifié de "propriétaire" – Travaille en association avec ses frères François II et (Joseph-) Auguste de 1806 à 1810 à Avignon, puis avec Victor Tournachon-Molin de 1817 à 1822 à Paris.


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