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Imprimeur – Un arrêt du Conseil du 1er mars 1680, réitéré le 7 nov. 1681, lui fait défense, ainsi qu'à deux autres maîtres lyonnais, d'exercer l'imprimerie, au motif qu'ils ont été reçus après l'arrêt du Conseil d'avril 1667 suspendant toute réception dans le royaume. Il n'en continue pas moins d'imprimer ; attesté notamment en activité au procès-verbal de visite d'avril 1682. Encore en exercice en mars 1696 (imprime alors pour Genève). Testament du 5 mai 1696 ; décédé peu après : son fils Sébastien Roux, né vers 1670, déclare lors de l'enquête de 1700-1701 s'être "établi en 1696 sur le fonds d'imprimerie de feu son père", auprès de qui il s'est formé. Veuve attestée en activité en 1697 (permission obtenue par elle le 22 avril) ; se serait remariée en déc. 1699 – De 1685 à 1694 au moins, travaille souvent en association avec Claude Chize.