Type de notice
Type de document
Titre
[Frontispice de la Thèse soutenue en Sorbonne, le 7 mars 1738, par l'abbé Armand de Rohan de Ventadour] : [estampe]
Variante du titre
[Allégorie sur la Pacification de l'année 1735...]
Mention de responsabilité
Franciscus le Moine Pictor Regis primarius inv. et pinxit. / Laurentius Cars ex Académia Regia Sculpsit.
Adresse
[S.l.]
Date de publication ou de création
1738
Description matérielle
1 est. ; gravure en taille-douce ; 29,5 x 78 cm.
Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France
Numéro de la notice
44536020
Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France
Vrai
Concerne une personne
Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France
Date : [1738]. / 2 parties : 1° une composition allégorique où l'on voit Louis XV (assis de tr. q. à g., au pied d'un palmier) présentant un rameau d'olivier à l'Europe, dans un encadrement surmonté des armes royales, avec la dédicace "Regi", et orné à sa base d'un cartouche avec les mots : "Quaestio theologica". 2° le texte inclus dans un encadrement prolongeant celui de la composition et orné à sa base d'un cartouche aux armes placé entre deux lions : "Quis dedit hoc in corde Regis ?..." / Titre au cartouche sur la feuille inf. : "Allégorie sur la Pacification de l'année 1735. .." / Le 1.er mars 1738, Laurent Cars, "de la part de l'abbé de Vantadour", fit don à l'Académie de peinture de cette thèse, "dont le sujet représente ce monarque [Louis XV] qui d'une main arrête la Victoire, prête à passer à de nouveaux triomphes, et de l'autre offre à l'Europe une branche d'olivier. Aux pieds du Roy, la France se repose et commande à Bellone de cesser ses fureurs ; sur la droite du Roy, on voit la Paix qui fait valoir à l'Europe la modération de ce Prince ; un peu plus haut la Religion, la Justice et la Prudence, Vertus qui caractérisent le Ministère, paroissent applaudir à ce noble dessein, et le Tems en soulevant un rideau s'empresse de faire connoître à l'Univers un évènement si glorieux. Les deux figures du bas sont relatives à la Théologie ; l'une est la Foy et l'autre la Méditation" ("Procès-verbaux", V, p. 226, 229 et "Mercure de France", mars 1738, p. 540)" / D'après Thiéry ("Guide", I, p. 583), "la Thèse allégorique de l'abbé de Ventadour, peinte en grisaille par François Le Moyne, se voyait à l'Hôtel de Soubise dans les appartements du rez-de-chaussée sur le jardin". C'est un dessin à la plume, lavé d'encre de Chine, qui est aujourd'hui au Louvre (n° 8679) [information 1934] / Notice chargée sans modification à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle.