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1798, 06-09, t. 35-36, n. 28-36 (28 juin, 8, 18, 28 juillet, 7, 17, 27 août, 6, 16 septembre)
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N’·
MERCURE 4.
H J
1
Décadi lo , taft rixictu« de la Ri^uiÎi/]ut,
VARIÉTÉS Ci).
ï.N E femme malade disait à son Jiiant qui lui
montrait beaucoup de tend reste ; Vous rae rendez
rua maladie précieuse et chere.
Un tomme âgé me montrait un jour | escalier qui
conduisait à rapparie tac rit d'un imî que la mort lut
a,V*dt enlevé : Autrefois , disait-il, je n'avais qu'à monter
cet escalier pour oublier toutes les peines de la
vie. ' V
Une femme que »en mari louait sur sa beauté ,
disait : Combien il maiintca si je suis encore1 bonne
et Complaisante !
Une Femme de ma connaissance qui avait la modéiiie
de se trouver laide » disait, en se regardant à
son miroir : En vérité, je ne suis pas assci jolie pour
avoir le droit de contraiier.
(1} Tirées dti Principe! dts Mturi dit itvftt les heticur ,
par 5aiuL-Lambltrt. A P·· is, chez U> A ¡¿.vie , ru« du Petitevint,
n*·, 18b Ad VI. Trois volumes j?l-8u. On ci* donner*
je.ttrait dans un de nus numêcus prochain·.
lifts XXX F. N
On glnÉ l'ire
NEW YORK PUBLIC UBK
f 194 1
de TureQDe disait que si t'homme de la terre Je plus paifiii donnait tous les soin la liste de* pen- iée» et de» volonté» qtfil * cties dtns te cours de là journée, on le jugerait digne des Pelitei-Maisom.
«
' -J'ai de ¡a peine à croire qu'un mari mulïrdtle et Une femme janséniste fassent jamais boa ménage. Je Connaissait une de tes disciples de Saînt-Augustin, qui avait pour amant un horrtnic «sset indifférent tut tous les cdltet; elle lui confiait un jour, dans le» jnomtm Us plut tendres, qu'elle et son aid it'a- 1 voient pu l'accorder sur la grâce«
r< cÀinorn , diiait , il y a quelque terni t l'Abbé Gagliaii ; cela veut dire que nus lois deviennent moins barbares, qhe ups moeurs s'adouci«* »ont et que notre raison se perfectionne.
On demandait à madame de Montauster, qui vïii- tait fréquemment Les hôpitaux, comment elle pouvait supporter le spectacle de tant de douleurs ; C««t, dit cilc * puce que je les soulage.
Un Comnene, qui s'intimliit empereur de Chypre, battu et pri» par le. brave Richard, demanda qu'un. homn:e commclui ne fat point mis aux feu : Richard lui fit faire des chaînes d’argent, etComnene fut tria* fiat lé de cçl égard.
De nos jour», un Français qui voyageait enItalie pour sa'santc, pensait que Va singularité de se» maux devait lui donner de la considération. II contait qvfcn arrivant à Gène» il avait fait venir un médecin qui s'était d'abord écrié s Quoi ! c'ait M. D***r C^e|t ce fameux malade.
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NEW ïQfiüt PUBLIC L1BRAR.V
OsJ )
te domertîque qui tcrvait NL BridoïnetPalcniKî nt voulait Je tuivre que la nuit « parce que cet An- gkit n'allait point en car roue , et qu'A P derme un domeitiqucmcroirait déshonoré i'il lüivait un tûiiîic qui te dégrade au point d'aller i pied.
» * I
Dan· une idc de F Archipel, célébré* par l’in clin 4- tàoa de *c· habitant pour ¡1 piraterie, M. Gattî arrive theî tlwc femme qui pleurait la mort de son amart^ Eh ! de quel maladie •Bt-iï mort? demande M. Gal^. De quelle maladie 1 répand U femme avec beaucoup de ierté; il caïman comme il convenait à un homme tel que lui. I] avait été pendu. .
- 1 1 h e^—ywii 111 1 i,
M É D £ C m E.
* i ·* - · r-
Muan. — fhrtfFkuÛM 4 G^bT4jvd Sïjumjjû ju?^ PtHtfrt, iB©, pag, iü-8°, t7p4J ïhtiN. — Ragrenenmlt lûpra la ftllagra tolia rùpoîta ai ttgrmr Ai G. SriAMiio^dil isittri CâüloÀLvaKt, }rtfttwt emerïte di Bitania. r6o p, iu-?é, 179^·
VjWNt. — TfUiemat dt nwrià Fc/Mg-rn .
C^icrvoM aeirrf ÀtBiw C4ilxo. J& p. in.3», 1794. ï . " ■ ■
Aja maladie appelle Ptllagta , par Ici médecin! hdhtn*, car peu connue eu France. Voiü ce qui noue dite naine à rendra compte dcitroi» ouvrage· ci-det- nu qui en traitent niant au long, et qui viennent dn pirahrc depuu peu , ici deux premier· enîulie, et ‘ le C? Allemagne. Nom Jptùjchi quoléi
/ . Ni
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NEW YORK PUBLIE LIBRARY
’ " V r - · ■ de J observer par tux-nicmcj, doivent rechercher avec
intérêt lei observations qu'elJc a fouiurej à ceux du
pays où elle semble endémique. Cette maladie pré’
■ente le caractère dei éruptions lepre usci ou êlép
ha ■ilfaqueS : mais elle ir jéltt particuliercmCrtr sur
le cou, lés brai, ici mains et Je» pieds. Elle pai Ml
■d'une opiniâtreté singulière , puisqu'on n'a de cou-
■vert encore aucune méthode îùtc de traitement.
* C'en une question en Italie de savoir si la palla gtil
, . -est utte driiadie &ou¥eilctcnj s^les ruoD uinenidu deux
derniers siècles en ont déjà üit rucnlïou« Fra polii,
dans les Animadbtnwnn in vorjiujn vulgo pilla grain ,
JtfcdîoVant, dîïalFtflfiyyi.ltf·^« de la publication de
*gn livre, que ^uoiiyie les anciens ruêdecitii u'ilentpoint
parlé de h pellagra, et que le ni oui eiïl de soit
i>ppariùoc.sait aster diÜi<;iif i dtttnaiucr, il était
porté à Ixjugsrdet comme beaucoup plut ancienne
dam le Milanais qu’on ne le croit d’ordinaire* Il a
qrdonnaqce dont l'ai lie le J porté ’ — «Tou» ceux
qui seront attaqués de la peli < relia, detra ut es, de tut
-meurt gbromeuse», de plaies, etc.,seront nrqus dans
r.hôpioh .»» Celle or don H incedi de. .il an
Frappili croit que le sens du mot pcliartlia, esule
■K
Go gle
if
. ( IÇÎ )
ttm hésitation. Gerardini examine l'hypothese de Frapo11 i danj ctn écrit intitulé , Dticril tion dt Li Pti- tejra . publié à Milan en »780. Il la combat; mats if ne fait guère» que citer et adopter l’idée ^'Astruc. De» vieillard* italien» extrêmement âgés ayant été consulté» touchant le». tradition» relatives 1 cette daladie , ont répondu qu’sütatit qu'il» pouvaient i'rn souvenir d'après le» récit» de leurs pères et de leur» meres, elle était déjà connue tous le nom de irai rouge ( mil toîsv )r
Peut-être d’après tout cela,peut-on conclure avec MciSLat;, que l’apparition de la pellagra/du moins âMiîan, doit être placée entre les année» 17 iS et 17x0, quoique ce ne soit qu'en 1740 qu’elle a excité l’attention de» médecin».
fins de quarante ans aprèi,tn 1784, FadniirTs- ttatton de LombardieTonda un hôpital uniquement ùwwé i recevoir le» personnel attaquées de h pel- îàpi ; Strambi fut rai» à la tète de cet utile établit- leoeent ; et par l’acte même de sa nomination il lui fitt ordonné de publier le» observations qu’il autm occasion d’y faire.
Son jeûna al pour le» années 17 $6,87 et SS, a ftuirni îi matière de l’écrit intitulé 1 Ul· PtHa^rn Qbserviitio- i«. Quelque terns a pki k eékbre Cad. Alliani, ptofeitcur à Turin, publia son Cén^/ej^u r Tl£ j ert i n- w ffiortortimicottdithftii J 1*aur. 179$, dans lequel jT »ovtieDt que plusieurs des maladies qui j’y trouvent décrites, sont 'la même chose que h p si [agi a des Milan ai»; et il ajoute ; M/um opinianim tutntUr notfitas wrbi rjv tpecha, eti/tm ktréditaiia, et jbftu-
hrk ftànwnwa ■ FiBttdwntm exilas, marbi sucttstiçnei . N 3
1 Goi -gle
Drainai tu ni
NEW YORK PUB l IC I RRAR'ï
{ igt)
*i fnit «tqxa tniiipiàtty çw* iünt fiflJitù ¿hsrvd/taii&u« ¿(141» «ruiTWtunf. Il était notamment dans l'idée qu« la plupart des maladie» observée» en Piémont depuis quarante et quelque* aunéeS, doivent leur origine A un mi al me de pourpre combiné avec celui des petechie». Strambi ne fut pas satisfait de Topi- nicn d'AJlioni. En reprenant i'biitoi te des maladie! traitées dans ion hôpital, il »'efforça de renverser toutes Ici preuve· alléguécl par ion a dv cri aire. Enfin , un an après, Ail joui publia L'ouvrage annoncé crdefiui, en réponse fc.celui de Strambi , et dau* lequel il soumet à la critique la plut sévère * et cherche à détruire, l'un après l'autre, tous les aigu* ment, qui combattent son opinion, tans négliger de la fortifier de nouveau de tout ce que peuvent lui fournir les grandes teuourcei da ton captât et de ion savoir.
Je vais analyser d'abord ¡'ouvrage de Strambi. Ce médecin trouve, 1°. que la desquamation pclli> grique ( la dtiquamaiione ptilagiosa ) est un simple symptôme de la màlidie , et non pas la ntaladia elle-tncine , laquelle doit être regardée comme pu 'accident inflammatoire de la peau, ou plutôt comme - nn véritable érythème- ■*. Que h dciquemalion est l’effet de cames interner 3’. Que le malade doit ♦ voir une disposition i la maladie, 4’. Q}10 la mi· la die peut avoir lieu sans desquamation.· 5°, Que.la violence de la desquamation n’est point en rapport avec celle du mal interue. 6°. Que l'éruption ti'eit point critique, y4. Que la multiplicité et la variété de . Ja desquamation n'apportant aucun c h ange m en tau fond de h maladie. U mon Ht que U maigreur, le
Gû» -gle
new ïûrk publie lihrahî
i 19$ )
■délire/la tupptetsîo’n des règles ; que la chôti de·
f dents et le saignement des gencives ne tout point
des accidtns ordinaire* dans la peUagra. Il avait,observé
que le’ dérangement* des idées "est aigu ou
chronique , et que l'aigu est accompagné d'une
fièvre irrégulière,
Suivant lui, la peitagra est une tnihdie ehroniquo
<dc totii le système ; tt il regarde les symptômes sut*
vans comme lui étant essentiellement propre«. -* La
desquamation a lieu dans les parties du corps qui
duïant le printems soutetpocées 1 Faclîon du soleil*
1T y a quelquefois délire, souvent vettige, tétanos ,
OpitWtonos, cmprostotOnos, douleür du dos et des
membres. 11 pense que la pellagra n’est point una
maladie héréditaire, et qu'elle ne se communique
point par voie de contagion* Quant à ses causes, il
lés trouve dans le defaut de bonne nourriture ( ta
té ch r reste de l'air, les désordres delà ira rup irai ion*
Ica changement subits et répëtci du chaud au froid,
de la sécheresse à l'humidité * dans les travail· en
plein ait, par sa soleil ardent, la paresse pendant
l’hiver, et L'insalubrité des habitations. Ainsi donc
Son opinion à cet égard est absolument contraire à
celle de tous Les a dire* écrivains. IL place le siège
de h maladie dans le bas-venue j suivant lui, lin»
4 J I . *
les phénomènes en sont U preuve. 11 a mit en usage
tous les temedes proposés par frapolli, Altéra et
Gherardini : tous ont été parfaitement inutiles ; ce
qui l'a dèteminé à tenter d'autres moyens ; mais il
■voue qu'il n’a pas mieux réussi que tes prédécesseurs.
Tel est l'objet de sa pieaj’ere dissctti-
Utüû
O'iprdl froir
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. f *00 )
Lb seconde est destinée à réfuter Wídemat, Ccn **’ fanzago, Dzílaboni, Soler. Sartago, Titius, Vinden IJcnptll, Junktr, Allioni et Careno. 11 est impossible de suivre fauteur dans routes les discussions qu'il ¿leve, et dont plusieurs partent sur des minuties, peu digues d'attention. Il Lit connaître scs objections contre Strambi, qui sorji vraiment la partie importante de l'ouvrage. Voici tournent réplique Strambi-
■ ■ « ■ ’ / ■ - f
Il commence par unjc histoire détaillée et Faite avec soin, tic ^apparition de la maladie, des ligne· 1 principaux qui la caractérisent , des divers symptômes qu elle présente, dei transformations qu'elle •ubii ; histoire qui paraît conforme eu général aux , observations des autres écrivains, et dans laquelle les observations ■■ trouvent échirciet et fortifiées par beaucoup d ouvertures de cadavre·. Il Lit voir qu'elles se rapportent entièrement à celles qu’Al- lionî cite dans ton Cortij/rctui- Et après avoir établi 1rs dîfierctictt qui distinguent h peilagrs dti autre* . maladies décrites par ce médecin, il répond à tnu* Jet reproches qu'íi en i re.çus.
j". La maladie dont Allioni donne l'biitoíre est ¿contagieuse t celle observée pat Strambi ne l’«t pat. .-
Suivant Alliûni, la maladie est héréditaire, et Jes diveri accidtus qui s'y rapportent le propagent avec èHc : cependant toutes les particularités exposées dans le chap. VI*. d’Allioni ne le retrouvent point chet tous ceux qui viennent au monde avec des dispositions à la pellagra,
J*. Allioni, dans sou I*1. < La pitre, din Mtfbíi/ftt-
Qo< -glê
Dr^Ml fram
NEW YORK PUBLIC LIBRAR.
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' ( 1ÛI }
Ifitwlwi AtHjurwJ «<”> fxer citata etftminai vjJdUi inalili* iactales tjjìtiti et la pellagra attaque au contraire, tanca up plus fréquemment lei geni de h tam- ¡»gire et lei ouvrier* employés jm plu» duri tra- •TOX. 1
4*< La différence observée par AUioni darri l’ap- parencc fcxtéiievrc du corpi, en ire te côté drnit et le - tòté gauche , et par exemple ce qu'il dit dei oreilles, sari* sinistra miner est dixirit et ejut fabidur dimrnuJur .· tout cela est cnticrcmeut etranger à la pellagra, 5°. Parmi les signei pathognomoniques, celui auquel AIJioni donne h seconde place consiste dans it caractère des érupti ns, dont les unes appartici- , sial ì la premiere, et let autres à la seconde période de la maladie t mais il n'y a là tien de commun avec 11 disquamation et lei plaques solaires proptei àia Flagra. Strambi convient bien qu’il a observé q uei- quefon des éruptions cutanées reiicmbhntes à l une - , de celici décrites par Alliotii : mais ce symptôme art parement accidentel dans la pellagra, et nulle- wst carat te Clique.
6*, Les périodes de la maladie d’AI lion ï ne sont ptt lei mêmes que celles de la pellagra,
, 7”·. Alilo ni dît î fiiihil fjt frigart intoltrabilint. Plus
foin : Vtr certi: hoiminibut batte ealamitaUm Jirtnjibus Itagli ftttt. Il ajoute ailleurs : Caletta anni tempestate »riiar Jr habent. Et Strambi prétend avoir observé tuoi le contraire dam la pellagra t ses malade* ie Stint trouvés mieux en hiver, et le terns où ils ont P*« le plui incommodés est celui dçs chaleurs. ' Dans le pourpre chtoüîque { c'est ainsi qu’Al- lioiinomine la maladie qu’il a observée ) les aliment
i
Goì gle
. ' <,e* J . - ’.l·
tiré* des végétaux sont ceux quï réussîssent le mieux1; d’afH la pellagra,ce'iOrit au contraire ceux que le regiiç Animal fournit:. Alliüni dit de plus : lu purpura ch-rd- Hicte tertio itadit tt quard· initia tl flirt 'iiétts ZicAjtritcJ cit vint rndtrigerc : et dans iapclhgta, le vin et les bons aliment »ont au contraire te* tn<iV leurs moyen) de guérison, lorsque la maladie a déjà freaueonp perdu de sa violence.
g*. Dan* le traitement du pourpre chronique, fl n'jr a rien de mieux qu'un exercice bieii dirigé';, cependant ce >001 les gins de campagne de LoÙjbaT- die, travaillant tans cesse en plein air et au soleil ,1 qui sent le plus sujets 1 ta pellagra , tandis que leb citadins, qui mènent une vie oisive et sédentaire , en sont exempts.
io“. Le njîasm e qui produit le pourpre chronique, doit, suivant AlHonî t s'évacuer par la uanspîratioi* cutanée 1 et en conséquence, les friction», les bains chauds, les décoctions des bois sudorifiques, scn’t propos« par lui comme les moyens les plus utile*. 1 Sirambi dit, au contraire, qu'il a toujours trouvé renie de s sans efficacité. Avant Allioni , Frapolii avait déjà soutenu que la pcilagra devait être guérie pair les sueurs ; mais cette opinion a depuis été démentie par l’expérieriee ; et Strambi a teaié to(is lé» diaphorétiques et diverses méthodes proposées pat Coner contre le* acrimonie* dépendantes de la transpiration répercutée , sains en retirer le moindre avantage.
it", Allioni avait proposé des méthodes prêtes- vatives , dont l'objet était d’arrêter la commùnica- titm de u maladie pat l'air infecté ; cct réglés sont
Drarml fram
NEW YO«X PUBLIC UIBRA.FL
Got gte
1
r»up«rüaes dan» la pelîagra, car elle n*est point ton»
■ des nédccins,
* ,
rt°. Al h oui u'a pu produire aucun« ouverture
i de cadavre*, lut lesquel» il eût suivi Les effets ou ré<
F cherché lu cause» de mu pourpre chronique. Il
J »’est contenté dé prier l’anatomiste Roui + ut vtllit
' bttutoli eamtftunicare gua frequentiui al que unit tri Alita
anonientia ab aliquüt annù in edda sérum d 'n sectittfu'îui
oijeruoüùm, saque ¿isddsnrta ah iù guet olim tadnvera
cKÀibutrunt. Four répondre à cette invitation, Roui
a commuixiqud à Allions un tableau de tout le»
j phénomènes cadavérique* qu'il a eu l'occasion d'observer
ï et Al 11 oui a pense ; Haj mutaiionei inquibut
ça dater a rùiuiniiuttt ad A ünc efrtïudinrwi frertinert, fuia
çonreqéirÿ tdttatïur f un* iis conjeciurts algue *$ ffunicne ,
à tympiomatun et morbi progressas comideraiiont.
8traoebi,iiu contraire, t ouvert beaucoup de cada.
nie· ; et iJ n'a porté dans cet examen aucune type
thèse à l'appui de laquelle il eût besoin de plier
. le» faits. Voici tout ce qu'il a trouvé de particulier·
La substance corticale du cerveau était molle, lâche,
et presque fluide ; le cervelet et la substance de»,
■ nqrf» plu* ferme» que d^nj l’état naturel ; le poumon
gauche était plus souvent altéré que te droit,
les tuniques des gros ituesiias épaissie», le testicule
• droit presque toujours plu» gros que le gauche, et
les muscles de tout le corps roidù, et en quelque
sorte brûlé», ou sp ha Ce lés ( rigidiores ac tel*/ spAacelali
)<
tS’. Allioni dit que les anatomistes de Turin
n'out rien observé d'ex Lia ordinaire ( ilwidtnlia ab
□POTMI tTQn-
NEW YORK PLifiil C LIHSAftY
s
t
A.
■.ÎWM1 . .-J
tir çvd b/ïfn caâtrvtra txhibutrunt ) , mais, que Rossi pourtant i fait depuis quelque» remarques- A celi, Strambi répond de la maniéré la p-us directe, que le double miasme ( miliarif et pefechrilis ) t’éjant ■ é- ■pandrj dans le Milanais, comme dans le F’jémont^ et ayant altéré le caractert da toutes les mal ad ici èti se corabin.intavec elles, lei anatomistes de Milan devraient avoir fait les mêmes obaervttions qu< Ko.jî. f l
. H’.'Fji coniéqnenee, Strambi soutient que It diversité des phénomènes observés dans Jes cadaî v”-es par.Jiossi, est l’ouvrage de deux maladies dif* fêrentes. . ' F .
k 15*1 Enfin, Stranjbi dît que la maladie d’AlIionF tut ua mélange de Symptômes de tout genre T et qu'ai nsi ce n'est pas seulement avec la pellagra , ’ rouis encore avec beaucoup d'autres maladies endémiques dans divers pays , qu’elle a des points de rcs^ Srmbhnce, - . ■ ■■ 1 J
■ ' ’rt" ’■
Il pense que l’on ne peut trouver dans h dufe^ rente du climat et du genre de vie, des causes $uF filante* de la diversité très-marquée des-symptômcÎ’ qui distinguent la pellagra du pourpre ch tonique. Les h a bi tans de Belluno , deTrçvigio, de Padoué vivent dans un climat entièrement different de celui'
■ I
■ de la Lombardie; leur genre de vie ne diffère pal moins ; ei cependant ils sont également sujets à lar pellagra» Qn pâtit dont se demander quel est le caractère spécifique, et quelles sont les différences des
■ ' a
deux maladies. Sans doute ces différences sont très- J·
grandes, comme Sîrarnbi l’a prouvé, quoiqu’AUionÎ n'eût pas manqué d'opposer d’avance à ses rai tou-
i.
□rgnoltom
NFWY-ORK PUBLIC UBRARï
(^5)
; ncmçnj, beaucoup d'arguties hypOEhétiquei. Pour l'ordinaire, les maladies endémiques se ressemblent ïous plusieurs rapports quant à leurs causes, et sous queiquesuni ¿uni quatre à leurs symptômes : tu ai s ce û'est pas une raison pour les confondre.
Le troisième ouvrage de Careno, contient troii obtetvution» faites à Vienne, par l'auteur, dans le tours de ces deruieres années, et qu’il croit pouvoir rapporter à U pelLgta. Les symptômes qu'il décrit paraissent n’ène cependant que ceux, d'une Eevre putride lorsqu'elle st termine par le drvoiémane colVtquatîf t car les gerçures des pieds et des mains peuvent dépendre tout simplement du genre des trav.au ï auxquels les sujets »'étaient livré», et dont iL ai ’est pas question dans le cécir... Il résulte nettement de lapremiere observation que le malade n'avait peint la pellagra,
Le second malade ¿tait une Femme de la Campagne des environs de Vienne, qui, d'apiçi If jugement du médecin qui la soignait à l'hôpital, se trouvait atuquèe d une Revre rhumatiquc^bilieuse, et qui eu conséquence avait les pied» et les mains parsemés d'une éruption vitsiculaire, en effet assea commune en pareil Cas. Que iqucS évacuations dans les pre mit m rem» de ¡a maladie, et dans la suite , des sudorifique» doux, aidés par l'usage des bains tieJes, la rétabli rétif promptement- H n'y* donc riva encart ici qui ressemble à Ja pelljgra.
Le Lioisieme malade était un mendiant d'un petit village auprès de Vienne , que Caicuo réntoutta par Jiasard , et dont la main droite était rouverte d ujje <allure çiésiptlauuse , accompagnée de vertige» ,
*
r 1 Go*. qIc
ü’iQir-dl tram
MEWVORfc PUBLIC L10RARI
f »a6 ï
anxiétés^ etc. « avec dépakie» desquamations au cou,
1 la poitrine , sus mains et aux pieds. Pendant l*J*i·
ytr , il fit continue lie ment et hrgemtnt Usage de,
baies de sureau; il s'en trouva bien ) mais il mOuri)
au pTintems, d'une colique. ' . t
C’est uniquement sur ce malade, que Careno vijj,
à peine cinq, ou.iix fois, qu'il peut pré.cndre avoi^
observé la pellagra ; encore faudrait-il plus de dé|
tails pour ¿clair cir les difficultés et les doute* qui
peuvent lui être proposes, s,
Teh sont les fain dont il Croit pouvoir tirer uni
histoire cooeplettc des symptômes de là pellagra, ti
un système sur sa cause principale. Selon lui, eeiqi,
Mais ce n'est pas la seule. D'autres circonstance» si
lesquelles il ne s'explique pas, peuvent également
contribuer. Tout cela n'est pas très-satisfaisant, L'au^
leur lui-méme ajoute t ^feiirjin tn txplitAndo raorb^
igneraniiam filtri wftliits quant nrrantâ tt fità nwrtâ
ex/’/jcniionr rn notici f ™jìcg$jììc tirer« pmcipitari.. Il
ne croit point que la pellagra »oit une maladie vé
rita blême ut nouvelle , quoiqu'elle soit plu» fréy
queute dan» ta Lombardie, de nos jours, qu'elle n&
Tétait autrefois. Scia ouvrage est terminé par unC;
table peu compiette de» écrivains qui pari ta t de 1^
pellagra.
Il vient enfin de paraître un nouvel ouvrage^
d'Allions et quelques mémoires de Strarobi sur cette >
maladie peu connue encore-; et Weigel,en ttadqi-i
nanties derniers en allemand, y a joint des iJ-v
t
□rainai rre-m
¡NEW ï’GRK PUBLIC LiBRARï
( «7 )
'jlitiai» tiiiei du pfeiaier, et des remsrqu e>-instructives,
ï Stnnibi’ continue de traiter de» petligrjitei dam îpn hôpital I c’ett le résultat de *Op eipérientc depuis dix an* , qu'il donne dam iei mémoires. Il Soutient encore que la desquamation « qui du resta, n'est jamais en rapport avec la violence de la maladie, augmente par l'imprctsion du soleil, et dirai* nu* par le repos du lit- De nouvelles prouve* viennent fortifier son opinion, que la pelkgsa n’est pDin* cor.ugituit, niait que tantôt elle e>t hctédi* tfic* , cl tantôt accidentelle. Ou y remarque Une ¡altération alcaline des humeurs, et une acrimonie sensible dais lymphe qui humecte Je cerveau , la -rnoêllc épinière et les nerf». Il ■ toujours trouvé, dans les cadavres,les vicere* du bas-ventre obstrüén la maladie règle ton cours et la violente sur le Caractère du tempérament particulier.
I_e* lutine or h ut i que s ont produit de bons effets,
Strambi soutient que la pclbgra est une maladie- pardrvlicrc, dans laquelle les fondions cérébrales et. nerveuses sont troublées, avec desquamation de l*> peau du cou, de» mains, et des antres parties expo-, sé» au soleil, symptôme qui parait au printems,et se disspç en été-.'F
Dans un autre endroit, il range , parmi les circonstances principale· ( k fai blette des »tiénuté« inférieures, ■
Il semble qu'on pourrait donner i la maladie k nom de Irprt t en emp ayant ce moi ¿au k irm d'Nippocnte-
Jaruen propose d'inoculer h gale , ou de kir»
Go g le
prendre la décoction de Bdladona : tes dcuKtra ï
mens employés par Sltambi, n'ont point eu i
succès. ! , * ■>
Ceux qui prétendent avoir guéri la pellagra j
■ trompenr. Tout ce qu’ils ont pu faire , c’est de m<j
dérer les synrpiDmej,
Les maladies pestilentielles de; bctei à corne
qui depuis si long-1 crus ravagent la Loiabardie , C
les demeures loteries des habitant dans lesquelle:
1 ils Testent, comme ensevelis, pendant tout l'hiver ,
paraissent entrer pour beaucoup dans la violence
actuelle de la ptlhgra ; du moins telle est l'opinion
de WeigeL L’épiaoqtie régnante a sensiblement affecté
ies gens de la campagne.
Brera vient aussi d'observer ïa péllagra dam les·
parties élevées de la Pologne; et Wetgel a souvent /
en Hongrie, entendu parler d'une maladie qui lui1
ressemble. IL pense également qu'elle a beaucoup
do rapport avec La lepre, et que le pourpre chronique
des Piémonlais en différé peu. Or, il affilé
bue ce dernier à'la mauvaise nourriture, sur.tqut à
l’usigtdu tnaïs; ce qui mérite d’étre éclairci par des
obuervaiiutïs frite# avec le soin convcoanle.
HELLES-LETIBES.
Go< gle '.EW YORK FuBL'C LiBRARÏ
(·«#')
Di*
Représentée pour la ¡¡refaire feîs, en tfa
'«#*, à Ewirt ft*r lt ikt&trc fi arqfai fa rûfaon, U
Il v<nf0j< an FL In-8“. fa Sg ptjn· Pifai i fra*c .
: îo centimei, J Parif, ¿fax J. , impriierar·
iifaoir« , fuoc ftiMirt, u’i g , et thu ifaî l4t faav*.
] firJSiü dt ne u veau tri 4
i
• r » Choisis dei tnjett de tragédie qdi rejplrirtt et
TfiSpiicnt Limette d’une patrie , oehne iogrlte ç <*trt
tien métiter de ton payi. On ne peut que louer le ctia,
bftic de celte géfté reute intention. Petil-étre ne doitûn
pat le louer également d'avoir imité lé 'fhtmistvclt
ieMétaitaK , ce poète qui a conçu dei plant trop
«ne» tar des tujcti peu fétondji Uct rivais frariçaî)
- Bitnit pu imaginer tui la ntdrt de Thérahtocle, un
plan plut riche et mieux adapté à J* teeue fran*
çâic.
Xtrcè» aime une favorite qu|< élevée dan» lldnie,
a pii» et coüiervé une grande idéd det république*
ftecquei. DctAnée au grand roi; elle voit Né oc le «
il* de Thfanütode , conçoit de l'amour pour c*
' jeune gict, et l'intéreite au tort du hé tôt infortuné
qui lui donna le jour. Elle cherc he ci parvient quel*
quefoit à adoucir rcMcntiment de Xcrcc*. Cet épi·
iode jette de U variété dans le» ticuationi, et mo*
tire I alternative de crainte et d crpératice^qui »eulà
tutelle un ipeçtatqur pendant cinq UH*. Un nui*
n« xxxr. O
|lr t
Ur«jral*oni
NEW YORK PUBLIC U0RARY
( ato.J
bilîtàeur athénien vient ¿truander la te te de Thé— raïs toc le. U apprend qa« ce veittard s’ttt -chargé de mnduire Jet 1crxet c&ntrc 1« Grec»*....», Xcrcét., jaloux de mortrer à scs sujet», et à l’Aibénicu» le tmnvd diwtniwtat de mi victoirei , rassemble le« teMapes «t I'*mb»»»adear, pour être témoin« dei MrnieWfi de Thimiaiotk. A i'imtantoû et vieillard «usb la coupe du *artn«nt, la favorite , a tût ntt pal- «iotraée du bonheur des Grecs , ic court peut le poignardai. Xtrcé* l'empêche de con&omtnér ton crime j maii Thémistpcle lui apprend qu'en vain il veut éloigner le trépiKiÙ qu'un poison lent coule dautMi vcinei* qu'il a tnit.ux aimé mourir que d'oib- trager M patrie , même ingrate , en servant Le rej^ «ntiment de »on bienfaiteur.
. Mai· nous imitons, sam nous appert «voir, Diderot, qui, chargé de faire l'extrait d'un livre. composait un plan différent de celui de fauteur î mai» qu'il croyait mieux adapté au sujet. Noua tommti loin ¿’avoir le» talent de ce philotephe célébré ; nous xioul tommes cependant permis tes écarts. Lorsqu'il a’agit de moyen* propre* à échauffer te patrîotiime, ch^can veut offrir | et nous avons payé notre dette*
, Hevtnotu au plan du cit. Limac. Dans un to· - droit du püjaii de Xercéî, préparé pour une audience publique , « rendent inconnus ThémjstoeU et Néocle ton fils. Celui-ci ne respire que h hxinr contre Ici Athénien» qui oit traité ion pere avec lent d'injustice. l| cherché à faire partager tes Jen- timeni à TUcmistocie , qui Iti «pdutse avec forp cnetê,- ' r ■ ·
Ja fardants«, mon fils, à rinwptncnce
□r.dnal rre-m
NEW ï’GRK PUBLIC U0RARÏ
Got !gk
■ Qui » de rat te b tita e b*, kipfc d rwîefltfc, : *f
: £iea pki: du*e ti imporr l'iadii^efc· tKMetrf ■ -. «·» ■■■ i
Dtrekppc 1 mer d pitié d'en ¿Htad ·*·Ο - . j
. Mail φαί, qai der.kuafiiat ai mhwd ht , _■ <
J ume, dim h» ingrati T mi gWka ti ·β· ewiiewt , ·
ti lauque mi piirit ibtuJrti un tidníaits < . t
Je i«ìt qti’elk tu'rii Λζτ» eneo* pi« qii* janùl- - ¡_
. ‘.......................... . Feirt ctrt l'imwri, /
Plm ^ut tom imi tMcéi, eürÍM 4*n lpvrt><t ' ■* !
Ud Grec Cip teilet ibárdctAi let connaîtrec leur
paile de Thémiit&cle quii pleure <pm
et que qherebe cq tpu> P^*1 *·
périr-'
, L a G à ί τ i í.
teul.Îtrr que la mort « Sn: » mi isre.
" < . ......................... * ■ ’ ■ ■ ■ *
T k'i K I l t O < l i.
■■ ' * ■ Íl** i' * ‘ * ΐ ϊ * * ·
Km» 11 jpuit encít de I* φπ£ dei ci'»·«
'Ll C * r τ 1 r * vnmrir.
^tie Γ·ίι-ϊΙ # ' b ', *
T b t i U b t ; t.
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tour Athcoq jl kuplort Ijçi Dieux J
L É G A f fl h
I l . « r ,.
Pour Aiheùe ! fi cam ranca !fi rcriu j'idqiiit I
Xerc^i entvuré de Satrap Pt te phte iirr lût rrfiriéj
et donne audience ä fcífídf, atftbniídíut, qdi U
Mem offrir la pile, et luì deMihder Th^oiittôCte^
pour Fitntanler i lx h«eé dtr oftfttfrt ai hé nient.
Cut Finit rl( a tanti irí penpUi et du ntfr
. O *
Gol glc iti
I5e ennteiiif piT-tdot'FrcitdntJ del l»!*';
ti qmt4n^vc l'opfitM* mime puiMUice,
Ìappe Le fotptem*nt "de roxne obiiiimcr. &
Volt le a av« ; nign e w: ce principe ihtré i
J3ei plu· fitA-enneoin dflrtJtÌe révért.
Tbémiitoele t dit-on^brave i« o flirt baine«
J'ote ìe ticluner tu som de· Lok d'AtheUe i
-.. u«·, dTtm petti] ioti., vout epigei le prie.
Fot-co mille capei», j'y »etite ita,
? -;,T . ,S i a ei 1,· i fwl. _ -
© ptrfid« r ‘ f ' . .
“ ** '"T h i W l i t a e x ■ , 4 ferrO
citoyen fide le 1 ■ .
Xetcè» ■’■ poiatThimittocle en lonpóuTuit, «
1 .f . rii iti» ùi, je ae ie re udrai» pi»,
L’ainbaitadeur |e reti re, et mente e de h guerre le
i tei coarronté. Xcrcèi de man de 1 ic> la trapeli» tir«
du Fugitìf. - .
t^uoi ! Munti ■ - * · · dii 1 liuto leni, pai un Ilcht Jrtiiice
Noma t&uuntriitiM mharddu précipio· !
Je Vii vd diiptrier ma fi otte et nei iddìi* |
MoUnètiit, fermentìi dei ombrìi thi ' ,
Polir tieìndre la loìf ¿¡nunfli »«in irriUe ,
J*iì bu ■*»· friiioniter un* end« «nungliotéc ,·
Et »tìuverain dei meri qui porUieut ntei vainnu» ,
Tei tjii’unpinate pbicur, j'ai Tifoni Ih eaux,
k perfide lUitut d'uu li cruci outrsge
, Peqt in>uIter •score ì E»ucci de ma rag» !
. . If. i o Q l· 1, d fart*
^Orur barbare ! Gratuli DÌcuk, dò tipi ¡»où ifjroi l
O'iprjl fruir
NEW YORK PUBLIC LIBRAR Y
T.lillIlT· ;1
tettai« d*parler, (fluid, ) 3«»ncnrT éccniitri-aitrô..J
Nn. Son »ir m'ùtendrît ri ■» £tct4 *Tiioant.
ÀfpiQcfa , *i ne cnidt rito. Que reoi-m de Xetcii f
- / . a *
. ' ■ .- r ■ r ....... 'ir ->■’·,
Tkìxiitqgih.
U o uyle , «eifoeaj , yoiU rtOTH a«eii«i1vita-
Xll cil· n^üi
JhtÜHu*
* ÎJfm i pnx obtenir un ri biUau vd&ft > court îe maLheur qui m’accable en Wtll Geux.,
Jenerùi aujourd'hui que Xercèe ou lei Oicii*/
X x x c i a. ‘
fcipondieu au irwlàot. Quel paye t'a vu naître ?■ ·' 1 ”
T · Îmi t T Û C L 1»,
Àdfûe* . ·. . ■ ■
X-* < c i *.. .
Et rini. frémir tu peux:ici ptnîitfe !
oint loqi Grec rftit odieux ?
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TüÉMlfTOCLt,
.- 'i -.1 1 1 A,
Situai som de Grec ait w» crine à tq* yeu<, V ' ,.y
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Odgi'al trarr
NEW YORK PUBLêC L’BRARY Go< ÿle
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c*ntre *oi vetr* ptötectii<e.
Jton c<ime BiVefc/ci' ^1/ uh plui grind seH'll·«,1 .
='--■ , 1U J iE bjiJt f '"144 .»v
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^«Wiqi! et cPmÄe^J-t^ourrai»-tii nie icrvlr ?
biiiJui m ru'iil !>rr ' JJ i .Li'ii/.A ) ; : i»'·
T S i M !1 r O C L !,
Vqui »V^Kt?:Tli£iäii(t)tfe, «t fe vSid rbiÄ ioäftir.
■ uBt. J* tM ÜT 1? r-t m I. üd Ilt i’. i ? .'
t , X 11 3 1 t ,
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^VniUtocta ’ YflW? n’eti-« poiut uu tue nipp
Tfl iroirti-ji ? -1 i » ö « ■ I « * H T
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TUaïalode ! *mii donc tu tient bi-iter m rage l
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• UpHndmeni plu· noble ■ guidé tstm courage.
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Croi+ Iï que ï’cubliÆ 1*1 outïige* pt**é* P
Tbwiii« : ' ■ ■
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. Écouter, icignepr, et pronoBett.
Fon raye· de et ring p.Aiçqd veut eotHimpb » Du caprice» du tùTitajt mti grand cuemple.
Mai, qui, d*n» u· jout, «ipv ou leffl tOiubu^ jujb'eu *e* (ondenteiit ibtçaçbi et F Ént t Idave maintenant d'uot aveugle puitianee ;
Jiritn» vomi conËer le loin de me défense.
JîmÀ) âne votije haine a «igné mjïn trépu -
■1 Tfii Tetienumeni ne m epouvantetlt pet i El migré tos fureur* t pu ajf luprétne„
Ptr un charme iccret, Ai1 tb indemne A vout-inéinâ. K=™U ditia ttiinil· Arbitre Mc don ibrt / Veut poQvn meliuviÎ ou me donner b morù Cm 1 vont de choLiir. , .
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Xcrtèi, étonné de celle'noble conLitice, lui prometta prolcttfon T et ¡'engage parte*connaiirailcc & commander Ici armée» qu'il doit envoyer'combattue des rebelle). Le Gr^c y content,
Au second acte, Xcrcè» remet »ç» bicnfaïri tout les y eu À de Théitmtodc * et ¡engage à servir ion «1* sentiment contre le* Athénien». Tbémi»tode s'y re* fu»·, ■ ■ -- ·' x
Choiiiuci d&tie, leigntur, u*antre Jjief que »soi ;
Je ppu» rends anjonrd'hu ton* vos don».,.,
X i i c i i.
Et pourquoi ?
TsiïilTOCLI.
V&nlsftrqui que pton bru* trahisse tn» patrie ? Que jailuf ite les mura où j'ai reçu la vie ?
. 1 X « t fl i ».
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J-* fen# u défend» et h Crée» t’oTitr^gê,
B. . ‘ ■ î ■

T r i w i » t o c i a.
Quoi qvt t*m poîiiier dire, Athene est flan berceniu Je i'aimeni, »eî^neur, jo^n'su bord du tombeau.
Çet j nui set fd m'attache m lieu de nu niiaakact, fsrlf f Lpa ha ufe axent que la reconnaissante J
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Qu penx*tt» d*nc »¡«Ber dan» ton mgw ytyt, IHypadi-içai I -
Gûv -gle
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NEW YORK PUBUC LlKRA^r
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■ . T B i- M 1 » T O C L ti -
Tout, «eignenr. L» ceitdr« de miiper#·,
ï,H*ttributl iicréi de uni Dieux tutélaires, l'étht que ittt iürt nom répondent me« expîoït», Le prix de niti travaux , l'Konutur qw jVn rCfoil, Le« bérot dont La miin gagne tant d* btiiille* l Se* hardie monutntut, Mi.juperbcs murai lit« , L·* tpedacle des met* qui baignent te* rempart· , -
Et» vaiMHHx triogtpban*, ton tQtnmerte, *«* uil ; Son langage, ici loti, «on ÙbI«, Mt migcj , Son dïnutt..ri *ei ideHcrl, et leux« mires j»tsv*gti l
■ ■ J" *. *
Xcrtés furieux quitte Th émit rode. Ce Léroj est ràjoiüt par fqa fit» et par l'ambassadeur grec. Le premier feugageâ répondre aux detiti du toi de Perse, l'«Dtre l’affermit dam *ou généreux dessein ; mai* l'ambassadeur lut avoueaprès la sortie de Nroclc^ qu'un meisager d'&ÿt vient do lui apporter For de» de demander ** lèu à XeràbBw t ■ - .
Malheureux instrument de* volonté* d'Alhcn* ,
Jf souffre pb·1 que Vou» de l'errflüt qui J^ectrte pfee bqrrfar dt serait i injurieux j , ,. ' ■
y tue 1 peine sur vom ouvrir triitei yvw » . .
Maû vniu u'ignorgi pis «iu quelle obéiyaTicB L* Grèce a de »crut tenu tubU p^iisauie, Kt de «a ydootc l'inflexible ligueur,... .
T U t M 1 » 1 o c X ï.
I. ■ " _ .
Je CCHD1Ï« te« lemepi i.lorvdevoir et toa cflcun
Je mïi 4 quel* effort« pu caraejert oblige; Îmbnxi»-iaoL.t,
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EmbtîiJC'iïi&j, te dii-je»
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■ T M É lt I S -T. O G - L. r L· ..
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v™ ®t «Ü^ÎafcdMr u. v < i
J'ai peine 3 cel ^rm^ , i; M}
Jr Frtttil frf« > . J - 4
J* pleure de douleur , de r*ge ce de teudreue.
te, je ne édlrfouds·point t'IldaùiiB et le citoyen^
Le pat rit en lin Jiev qui i mtae en iti caprices,
!?e pŸdt :AfVliôpo>è p>r leio^dè Icewtîèei « .' , - ‘ j1
Et loin de H blsmir, j-turdi !m< iM ■
Narfès h» pfropofv de ■lc'«ahmp«Blfkiece 4 o# il
"prèi:nce donoeiadt ^énergie ià its ami«. TWishtbdÎ
js'obttine à futt ùnt patrie' qn’H regrette cepond’mi}
et contre laqàélle îl ne s'armera junidi a. Ce sont îéi
ftntirneni qu il'mmîf« te de nouveau au roi de P çrj^
qui s'irrirc et le fàlt eqferjpcr dans une tour. '
Le trojtiene aqtc t'.opvrc f arrêt de mort de
Thémiitodc. A peine Hydapae eit-tl iDrti pour l’cxd·
coter que KcMii· éprouve dec'retttordt^ il m rtpcii
d’avoir fait pérît .un hontaae qni t'était cfitbAé iM
gêüirdiilé...... Et pour quel crime L.i.«· Pour «voi
Got >gle
■ * F
bíüíí de porte r lct arinca cOQ.tr e 11 paliar.
UydjpBtrepaRife ¿5. ilefajc* r' . , - I
JiEtii deja templir moa fatal miniitpir.
Apiflt s-je paru, «figurar, que le reiptcl
nei ^Ltky tr^steorii.ioniup««,. r -Sit? : i A.
Jíb clinoí u nouveau je a'ei pu me difeade* .
JWhiuí ><r iigri 11 píifel'i^lai wdF».l· _-· ■ f
b de combatiré tu vaio ce gduértux tr »arpan t
jnotde dépJoytd Fip^íftilí JcAi’mÓrt , 1
Jé tohIb, de« bitofaitA/^e^nt kflriHW«*«., ·. <
fíre , t.. ,
JUn ft«i, . qfti Jflnw -W «hM, < 1
Qttvim eo£i> ?,p3iir t>cn «ce»if »'MtiiranW·· * ■
ii De i«« iOÍa^«^ipoHddltt: Míe patferfWvfc. íi 1
n Qu’m prépara L'eope^f 4 eaEfjte» -j. . . |
i» hurhonir lee *appf(w «¡p ¿y, jwiaple » . ·«
>ijf preadrii,^ ifilül iídfw’m.Ae PPÍíit ·.. .:<!<· ■
31 Mi, de ramSavu^p; >4?w J# pftow# «B u ni » .<
iiJíKnint« toBi Le»y. fi(W5^BLfl^dd(·)»!(<, , r -
” It p AthcfljLJH 1> Jf eifl A; ¡WHÍpu “ w|e ,>
”!■{"’[ ñ de fb un flor je Jkü¿Jh* ■» -
íítieiM, lfwe*r» I; r /
1 l^Vl/Ic FJMM . da
et d« magci quí ponen» le ku »aeré et ¡a
*: 41 ir i s .
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¡f Pimt tfrctojnplif tüQf leí y«u^ de tpi hvD*t.
race 1 c«e autei le chitiment d'Atb^jfe»
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j. L’A M B 4 t M 1 t ü l? i fárí.
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( à HéwàttlL ) „ . . ' ■ '■'!
Uite-tai de répeirtire'infra jo tastiere ’ « ì.
T “ * * ì 1 T* 0 *11
■ 4- _
Atbitrcs ¡meeftelt dt ctr rutei Étif» ; ■ ■' ..... ■
Qui tfn«i daol· eoi "«ETjfdtJ pottirtaw £ - i -
, ViHJt^r'ditÉt fattiti dt tir iprcivi h etiméiwi*, -
Si Ttìn» +m* tfetckie de* ronX'dfe Htmocciu · t '■
O Dieur &-tau fe<ìe étotatd·1jòiahfk* I1
Impirct à ce roi dta tenlineiti- d* feti ! 1 ’
' *ÌMÌptt tri Mete il l'trfetot qèM’iiii trame, f
Qf t je peiue »ujrmtd’Hùi volt ettpfrfer » haftre !
Mai* iì rien ne Sé; hit rt ttHiit-ùtei eihp/ftlé* '■ ‘
- Sii reputale !» TÓix dl li intuii Iqtfiot -, tr: ' .
. Ukust ! <jriì ¿torntmrrfer eeadokfei h 'rictoke, .
Piotegei ttotipiy! ti «mitrvei si gioire !
. Qu'Alberae iridtofjiteto.. : Il¿Virfcd li tta^L y - 1
X 1 t c ì I , J*Ì arraffane l* ef tifi.
~ * ■ " Arréi* , »albe arem J
M Al i I il·
^etmnÌT*( ! pe«*t<ii>Aec , ctf&ytB géndrenx J
, . .A -. . 1 . .r ,:.*' , ·
■ . . ■ f r *
Tj-Ìmìitocii.
Istorimi·, pntCfil ! Iti) rnwts ■ >MU leeoni*, '
• I ‘
' Cm)
]%i »«Tamil i r« piace ne« t£tt nikotmtf. Sob caror « *urp*iM te** vrefc «-tinti* Urn« erxnt qn’ii fornii «finjitrük* projeta/ Ii A ‘a nil a adeunt de in pia* eben tujet*. ■ Ing™ «1 jpp*r«acr , on Heitre «orer* Athene*-, Jt n'u tr* que la mort pont tCMÌltt imi pelue* # *t dt me* I rutti jouri fteignant le lùabrig, Victiflic di FtOoinr, j· deixeudj ah
* N t o C L t.
le ftKcimb·». '
K A 1. I i Í,
Or* a de &ietu 1
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■ *
„ i P«t queJle barbute,?
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TutUllTOCLX.
U1 peuon fatti114 lu^n^iuta ria, Jtìt perle in attenui. F *
. '■ NI o c i
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O mondilo dealt cri I
. T M Í M I I t C C 1 L
riWiii Ht ivvpirt « «ti plt*n.
9 j'true pu odder i dt Siebe« lauque i , .
Ç’mt riera qw *o> plant* dewendu mt ídfMon 1
' ■ " }» 1 O C L I. ■ -■
. ·· » · -
VrA-u door p** wi de* auax qne j'ú »effert*? ■* mtnrMÜ g mijonr * fij* Tona perdí í
Go· igle
&IqiiiU friiwi
r<Fitf¥OFlK PUBI IC IIHRÂNŸ
T· 4 »4 t É*
L’ata ou r de !» vertu, le 'ditir dt le gloire t . ■
de Nanti , le ciel et ma mémoire,
* ■ .1 i ■ : ■ > ■ ■ ■ F ■ *
J'espere que Ici Crées, échii'éi sur là« fai, t
Recanniitiont en vous et qu'ils lieunem de ni ni,
Msis fuisiet-vôuj «u butte lux caprice* d’Atbenes,
N'oubliei pli te *1ÜR qu’ coûte dans vos veiiel,
Rcpouu» le* conseils d>n lieh· t^stepoir ;
Et si, de finfernie i pu rom fait u u devoir-, _ ■ .
+ - , ■ I - *
[ A e«Ue extrémité »i 1« dettin von* line, )
Je vou* montre , moa fii», ic cheujiu qu'il fini suivre,
( A Sfariii. 1 ■ j
Et toi , répond* aux Oreti de ma fidélité.
Dit-dear i quel* combiivrnftiLi·«:· lisiité, ■ »
Et p-our prix dut* amour qu'ils étaient loin d'attendre *
Obtient d'eux un «lyle «& repoie aii cendre.
□ Trop heureux si le ciel me d^J(iBe uu lombeiir,
Din* le* mm où jadis il plaça mot! berceiU,
Et n, toujours pré*efrt i fnesDîeiJx tutéliirr« , ‘ :
Je mêle cette cendre 1 celle! de metpereï. - ,
A cette analyse , nniés jokidron» quelque* obser*
va tic ns ^p^tte paraît Je une, et il
promet du talent , il ne verra dani notre marque h
que le deiir de trouver àn jour ici ver» plot pur· et
plut corrects.... Dit-on «« wif trvàé* ajttawr
la eau« de ce(te irritmio*?;<·*- ^stdax f
On répand kt met*·, kt Aiywv« «a un «bjt f
déterminé, Qu jTgifcijjiff p^t dci mun ; ou lesébranle
, on le» renverse t on attaque une ville , une'
forteresse , etc...·... J’ai iiûtt pat dtyfi la pi'l'/ li
plut tendre ; il fallait igcmUf ub verbe àTtxpresswir
O'iaiiuI htm
j'ÏÛRKPUBLIC LIBflARÏ
f·*’1 ,
far digrf : antrtment Fi mage est ¿¿compiette ,i Qui irvant nies pas conduisiez la victoire t ûü conduit tut le» p*j „ parce qu’il» sont fornii ; mai» on ne dit point devant dee pat, par« qu’il» ne «fit poirfteu- tore,..* Des dîtccurj, de» écrits sont tnjttrieux; «n»î* cfit-on des prtyiis injurieux K.*... Dei pleur* dont U caute est juste, peuveot ili être appelles licitimi F™ Le destin ne Itur* point à ont extrémité'; il yrtoxs- hmne...ThéBiistode pourrait dire exactement en patini d« lui tendre, parce qu’on »cm*-entend future; Bail il ne peut dire tette cendre, parce que uste interne e l'exiiteuCe actuelle d'une cendre, qui cçpto- lant h'existe point ici,
De *ige Boileau a dit*
iur*t(tot qu'eu vos écrits ia lingue révérée, )*tis ver p tu* grand* ex* et ve us soit toujours *>erée, ia vam Voua me frapper d'un *cu mélodieux , ii le terme eu impropre , ou le tour hideux ;
<on esprit n'adiun point nn pompeux turliaiixae, éi d’un v«tj ampoulé'!1 orgueil leux »oléciitu.«, lins 1a langue , en tfa'mo*, l'auteur le plus divin. Lu toujours, quoi qu'il un panvû «rivais.
PÔB81L
■t
A VÉNUS. — liùiaiùn £ Fqniawiu
Quand tu *ortij du tein de l'Onde ,
Divine mer* de i’Amour ,
Le» Grâce* parurent au moud·, £t 1* Plaiiir reçut Jtijnnrf ■■
1 1 ..
■ Go* sic ■
Ûnqir-dl tram
ilSrtVORfc PUBLIC LIBRARI!
a ( ’U J
t A Vüiçïïa t ii btautë l'iusaiotc !
·. .Vulcera tei l'tpouz de Cypri* I«·.«
- J4i>« 1* Volupté Vi b «v Dici e
, > Diut lei bru d« ion Âdonii.
, ■ ; - \ ■ Î
Ÿétsui, «kit pu toi IJU OU J Ou pif* f
G*ot par ion fis tju'oo ect heureux f
S'il eit loumh i ion empire »
1] règne jusqnii dun le scieur. '
' De bai «nlntes fortuné fj ,
Tu ptoiege 1er tendres feint j
Miii le > coque nei suraunëei,
Seni riiccèt futouHBi leur* v<mx(
■ t

1 1 II I ■
/ s J
< . J
Nomauit It Mun de Ltrbo», * ■
Qçund de te* yeux noyé» de lirm.ee,
L'Amour chutait Je tknrt re poi.
Combien de foli, 1 m prier« ,
Tu deieetidii i ac* cütei,
Auprès d'elle oubliât Cytbere , .
Stia temple et itf boit enchanté 1 !
* ■ · *
A tei cri*, Zêjthir ÿur tei aftes -
£oponait ion chu udirmi ,
Et de ter (.olomLes fideïel
Tu prenais te caupie aitaci*riux.1
AXqti que Salito gém li^ruu, , . j
Sur »Db luth chaatait tu docleiirt .
Céiiit umia compiti»«me
Qui de h* y*ux rtcbai 1 les pleurs.
Déçue ! du irndrt nwnyrr
J a rt««* suai wu* lei
P Goi 'gk
4 Di «1 il I· 11
< . . L |. .
( «î )
Kt je ni» intri de m* IjfM
Tir fi dci »ont b»i ■nQuieui-
5i in iodtîi 1 m* priere ,·
MiiAt a'auta pli» me· voeux ;
Cédet , rivale îropaltiete,
A du 'FP*1 victtnieu*.
» *" I
Q» peut ton é^Je rmpuÎHaQte ,
Araoür , contte ua seul da ta* tt»:i.
Kl n Uù« *ï mimante
Te «aval le atteler teuri eîtu’
*■ *
Oui, je »ur W» la teere,
vu 1
Fropiner tpn culte cncttnitur ;
<j_ue Jr globe tuner loil Cythcrt ¡
L'univeri, ton adorateur.
Far Ir cil. Mih AUp, ¿r Mera.
1' ■ ,. i ,
£ N I G M I.
Ji va pu Vexiiience an aêjoter du wuntrre,
Et bravarti Le 1er AqiriHa ,
Mortel, je plane nr «ou freuh
Je pi toori de PJnzboi rêtonume «ardere;
Il fuit à «nu approche , tel i‘on ne voit wureut
Résiner L m feux lancé» d'on bru débile.
Sur |a terre pur foi* tahni légèrement,
J'trubfMit , Jim mou court, li campagne) la villet
Tout tremble il un; tout pilli ; i fíaitpai
Chacun regagne ton «y le ;
Lct champ» autel dilaniti ■ la chama immobile
Eit dan» un Mirile repot.
Lei berge», de la plaine ont cl aié leur» troupeaux f
Le e hai« Ire de» foriti cherche en vain i· pëttirt ;
i Tnu XKXF, î.
Tutti rtt soumit enËti , et ciitte le »itnM.
CcpeAfitiit du midi r’tlanoe son vendeur.
Dieu ¿rd ne connaît pu de outre, de vainqueur!
Au ba^Ulonnaiit Autter, hélù.!je rend* Ici arme* t
■ *'JÎd'd nni répandre bien d» larmes.
■ Mail tel ett mon. denin , '
Pour le tourment du Sînre humain ;
Que si eomme un Lotteùt il ru"a Fait Æs^xtahce ,
De mes pleurs je imrtif' rtit fci tait et rétoahrt, ·
lOGOGiiTHI.
■5i la précaution ue devierit tàti pirfage , ' * ' 1
Recteur, èq m’apprdcLaiil, quel que soit ton eturige.
Tu iTctnbkr», tandis que Pô» àimé i roc voir
Dant éet^ge où to'iii pliil, fiiu's l'ardente jeune»«
Qai dan» ■■■ jeux brilla m-n-vL· 4* nwn pLou,voir<
Chez die, jt retien H» timide vieillesse,
üini ui trille· fojfeiï', livide laboureur
Mé toit avec t « mi fcéJn uhient*
N* Je fatigue par de ma longue prêteb<0. ■ ,
Un art léger et «idpetetit, 3, _ . -
£o empruntant de.iftrèréehi de Ir paître , ·
Dci jeunes rtd*e vieux dénote Ht-k figure.. i ,
Jt ne ink ptïwirta tMitduSQut « . , < g
Si j’efface à mon gré la ptuvrriM coUlnui;. . .. , .
Sut k *6» 4< J?*ubQk, ., - [t ,r . ·. r >
Aux r<5i*s de io> sciai » dur éi- qlüma.aiç- m:n>e , - ■. -
r Je mêle ma fraîcheuç·' - . - ,t r-.· ,■·
Si lu ve«t fi fond r« ednniîtrt T . ■ ... . .
Chpnisit raisonneur décomp044rt»o* être ; · a-- ■ .· .
De l'etprie «a r«1rU ort flap «ià^ieur, . .
Qui tuf dotiKCr le jeut ewa itéiortf Le ouvrages i
A ., Z
□r-grul tror
NEW YORK Püfiil C LIBKAftY
.. .' . í *·? >
C; qnt m ài ígn etti« Ut pii Lamotir retrouvé ,
■ fisrti'pJui idt'mj e*nr filrssé ,
Fit prdre il fiùon, ini rtìis, ài usi iju’uuic «ge. ;
Dr phjj t iiAi negatimi j - ■ cl ' * - ■
Enfin „ une pu 11 iri 0 n (
Qti'â rom Fiançai*, méchant, rebelle , lufli js ube lai iaitellL .
Éxpiicationì dt Ï tnigme eí LogOgnpÊc Juíí*. if;
tt búi de l’Etiigme est 1‘Eflu Wirí<; celui du Logogriph.^ w tíififtft, Sflrt JeqaH tta tauiré i« ; r*gi #. tigra, AatK ’ jrri í rdt, kf', títf, ágt. ■ é ‘ ’ ’ ■> ■·''
' . ■ ■ . ; .· . ■ i i J ’
1 ARMONCtS,
- ’ p M- -, .· . .. . . ,1 ,
s*rr /'¡iiiltire .jntnrtllr de fiie/ÿmt ttjitctt dt Motrici t Jiciits t |i amicrt de Likné ç ôavrcgt truduivdn lado, pai Jwr J Ar^rtiofrit j rïtfcnltatf dtf GVtûd-Latt«. Vn vota·* béec figuró. Ír4 1 ', i ítdftó i et 4 ftlnéï èihq SÍelftiíi/ facile poils ¡ai iiptutc. A cti» O tré', librici *'
rat Dttùf, #», «4¿ j . , , .
Hiïimd Je /4 r/tft àiiHed fé frtifiti \ pit drtx inni (è fa littrlÉ, Tornei X ct j¿t, liniinl itiîre cui pr»*itifri
loJtime* ifrt miai Format; édition de Claíejin. Pnn, O Ir- : «Bftiatii 5 Inne tU poni, parli poiit- Á PiÀ »
cWB&iflt, Irbttirii rnC HautiFíiVe v &*. io," ;
Cri Jeu^ vuiunjéj contlàtinèut, íiftt’irít^íí tifiti étìiteai, là' mari de Louis XVÍ , la (nitri de la ^ertiti , lei dêùiiteï dei colonies, 1> journée da 31 iati| fìt0iMti*t d» M*rli, iè H^¡Arw'd& CbirlfXw’Òmilty ,■ ite. - 1
(M irò tira , i h'raémf adititi , le flifteW flfcvrtg* tu dik •uTonic* Kì*> iSftt'ñei ; i't .frinì deliri«
ptr la poste,
< t .
e
11 Go-gle
Orerai’Torsi
NEW ¥ÛRK PUBLIC UBEWRTf
(
NOUVELLES ÉTRANGÈRES*
AMÉRIQUE.
d\tn Itltrt dt Pori^Riccû , du ig germiruîfi
1 ' ' < . ■ ‘ · . * '
«J 'aïprsmdî à ¡’instant l'arrivée certaine à S^joi-Do- .
iningue de trois frégates françaises, l’j<srrer,ia Braretire
et U Concorde. Une escadre vient d'arriver awri
à Ta Guadeloupe. Nos ¡ski ront toujours à-peu-pré*
dan» le même éta.tç S^int-Don^n^up vit tqqjqurt oc*
cnpé par le* Etpaguol* i je crois qtail va bientôt
changer de pavillon. Le calme renaît dans la partie
' flnçaisc ; Je Cap «il rebâti. On commence ■ cou-
«voir d'heureuses-espérantes aux ides du VçiUj, -
Maric-Gahude* UDcrirade, Saint'Martin et la Guadeloupe-
Les Anglais occupent tuüjçun le» Saintes^
Sainte-Lucie , etc. A Saint-Martin , Süint-Eui tache ,
Curaçao, Saha., Surinam', le pavillon/hollandais
Üotte conjointement avec le français, .qui tient le
SçtUjierraijg. Les Anglais n'ont aux Ilmlaudjais que
iemtran, Enéoüibo ci Barbiche t c't aui ïjpagtioli,
la Trinité.
Tu ne peux f imaginer 1« quantité prodigieuse de
prises anghiies.au :<mé tic a in es, chargées pour des
éiablissetuenjt :allais ,., que nos corsaires amènent . .
te iis les jours dam Lès divers ports de La Guadeloupe,
Porto-Ricco. Saiat-bomÎQgcx , Cayenne , Curaçao
Saint-Eustudie, etc. Il cil est eiÿtrê plus de 6no de
toutes ks grandeurs, à la Guadeloupe , dam cea-cintt
. derniers mois-ci, Porto-JLicco ne, Juicedc gueres. II
Ki=:«□..· Google nf '.';
( 1
une goélette tic ih canons ; ¡1 c’y àv»it de bit¡me tir
de J a République , autre le» aviso» , qi*c la Pow^e
f frégate], rffrrCttÎC { vaiiicau rasé] « et 'lne r#î«*te
de telle; FÀçaiifé, k BrilfGwlt et 11 irine sent À
ï’Isle-deTrance présenrement,
TüRQyiï. Di Cflnjtanïjfiflpie t du îiJleriaL·
On assure ici qu’une flotte russe * compotée de
ii vaisseaux de ligne ec de 14 frégate» de 40 k 5« <»non
», vient de tortïr dw port» de la Crimée, et que
60 galères, portant des tienipei de descente, doivent
se joindre à cette flotte. Comme le* relation» entre
la Porte et la Rutile paraissent trèi*amicate*, on
prétend que cette flotte a une destination secrette
pour la Méditerranée. On travaille avec beaucoup
~ d’activité à la constructionsTixne nouvelle flotte dans
le port de Cbenon. - ,
Di Stm!int ht prairial. Il est sévèrement défendu
£ Belgrade de patlet de ce qui t’est passé du côté de
Widdin. Des négociant 'qui irrivtni de Fin té rieur
de la Turquie, rapportent qu’il a éclaté une ibioxM
Tection générale dans le P*?· qui formaient. Fan^
tienne Grcce ; un assure , d'un autre côté, qu’une
puissance, que l'on ue Dommepuint, fait passer des
accours pécuniaires à Passwan-ügliu.
Du tt. Nous avons vu passer pat cette ville huit
Grecs qui ont été arrêtés a Vienne , corn me auteatx
d'écrits séditieux * et Livré« à h Porte comme sujets
du grand-seigneur, sur la réquisition de, Fam bassadeut
Dikoinam ils étaient liés deux à deux , et escortés
par 14 soldats, t capoTjuxT1 officiel supérieur
et 1 coiumiwaira« L’ame du parti, auquel ces Grecs
appartenaient, étaÎEUn certain Riga, riche matchaml
de Valachic , qui joignait à des cou naissance) extr^ordittaircs
une-passion presque délirante potrr rafranchisit
me ut dé sa patrie, jadis habitée par des hommes
‘libres, U a »rie une littérature de. la Gcecc échauflait
XOa imagination, Riga écrivait également bien en grec
et eu français ; il était à la-foir pacte et musicien.
P 3 /
S» P loi agrén^k occupation ¿Jait h géographie «W* furée. IL fit une carte de tome h Grçce, et il y dé- rigna, UQP-Huknjent par Içi non» actuel* , nuit encore pafjfl bç>i»k îut>4«ci t ton» le* liftuc célébrer dans Ica annale» de ftr«C·, L .
Quelque teru* avant que la police de Vienne eût douai de» GT^rC». pour l'art^tcf , Eiga , jrvtriï par quelque pressentiment, »’éloigna de cettç ville; ruai» il fut prî» k Trieitc, pq il *e dpnnü un coup dp poignard- Sun higt iïaNt »a vokniç »le coup nq Î4l mer tel. lt tSt tu nOipbrc dp* huit XJrpfÎ *rr$- tu , dont cinq ’ Jrft>nt linè* k I* Porfc; l<< ;rot* autre», en qualiiié d* sujet* d? i'cmpcrc#r, ay?pt ug Ce rida mai» î un brtmisscmyuj pçrpétyci,
ÏMUÙ ce* derfliçr%fiç tfpyyept Fiitjn, qujijt pendant quelque LCOM i|p jo^rijai grec ( et q4j tr»dpi»it , «ttec beaucoup de j>ufcC<l,plmiiuii ouvrée» ep g<e£ moderne- .' . ..
. RiS4 n'était pai seul j^la tête du parti qu’il avait forme ; il était puiisamnlenr seconde par Morojcni., neveu du hospdké qui s'est immtirralûé daoi' 1* demiete guerre; mais Morojcni qui partit laprai^, , est tranquille iParii, hindi* que Higa marche au lu p plie e. ’ , ■
JluMia. lit fitrrifatrg, Je S prairial.
Sa rnaje*te a pris à sou avec le pia^Çt ‘k
général major, éfluiv^kp1 à qt.lui. tjc in^reç Ipl-J^* çiunp qu’dayairen France, le ç orale Hinel do $ain;- Vraiijrn de ÏHtiibi k lieu^pant gpuétal ^aval de Houuppfcnty 4 obtenu 53 dquiif^qu^ çtt ccmsery^pt Jja mqijié d* Hf ippo;utcmç:j&.
' Par urn uka»e, l'empereur a^défendu d’envoyer te* jeunes gensdaoi ¡4» iattittrtioni nu ùnivecaités étrangère* pour y faire leur» étude*, part* que, tfit-il dit dans cet u^ake , il t’wtintroduit dani urécolqtdes printipei pernicieux qui qefont qv'cnFiamnr*r |<* eepriu non encore mâts , et'causeur h fie rte dis Î^eunt* gen» qu'on y envoie, aolieiiui* pert<etiq*»ttc sur éddcaHOfi 1 tpai* peut av pana et tendit? b soucie
Lhijil
Got gk
f Oà >,
ii'imtrucdfiü da.ls jeüoe^c, -fit ^t*pt d<? jçyflta
Qûbkl de Jp;I'iyqMne, de h fi^^pde Ci dî b CpUJ^
liadc , S- M. a déclaré <jn jqémÊ t£EiiS qu'elle cjc·,
WrÊ que b gobÎHic de eu province* déjùgne^ n
«wifflirti ajjçorxitJe iiçu Le jdu* p^ppre pgux 1 qrahbsiement
d’wtj wniumM » £t h ioQdff sur (k^
pria cape* , (cl* q»ib mljs'ià je* amugp ^u.’oa
eût en ai £4 p dre- .- ..
„ '· ' ' ■ 4' ' « ■ i
P< Riga, te ,j JipfifiL· feprç»} ¡¡rtlrndaitl, quc'eff
toujours à ^Lmadj, vient dcreiçyçir, dit-on, 1a visitç
4* C.eK'pijnçç de Cüftdê t accocnpignç du fameux
ïpw^raw , qui*c «a: présentés iftfpgujtff. On îjlnprq
de quelle nouvelle chimcrç c» chevaliers çiratu *·
^Hç««it i cç qu'JI y 4 ¿e f^ttsiu c’es[ qq'e »
depuis le^ir arrivé* , les émxgtés Francis sopt rayonp^
ps de jûket ne parif or plu* que de guerre' ,Ji
^Hpjrjs, et 4'u» prochain çmbarijqenienc pour.un
grand coup de main« 11* appliudustnt aussi avec
bitupprt ah définie faite par Paul Ier. de fâbrîqper
dçjfuban* tric/dprs dans toute l’étendue de seiEta ES,
jei Elax* catholique ne JlV offrent ni feu , ni liéul
Mais ce les ravil, comme J’ajjutrc Paul, jnsq u'a^
tioiitemc ciel, pett de voir des atmemen* conBidê*.
Fables qjd^^nd»dans presque. tpu* ¡et port«, -dont'
<U)f partie payait devoir êtrç cuise à h disposition
de ¿’Angleterre. qt l'autrq destinée à protéger h nT1-
tigaiion riMK daqp iç» mer; dp bord. . . ■■ ■ \
SlXiOft. l< c&jtrairiflt
Oft attend ip'L av<c l? plqs grande inquiétude, ïe
risuitït dp uiÿüchtLpqs de Ihmbüfsecteur de la Ri- "
Iqb^q^e Frauça^C.à J&erUu- On se flatte que Si eyès
Îtfoiccta de FjJJier aux iqtcréits de b France , les
cours de Berlin , Stockholm et Copenhague- '
C'e^t f unique.moyen qui permet« i URèp^blilpie
Irançfi4ç de cqniflcra^U'c\éçuti&n d'un traité dhl*
Pi
Go. gk
. <f »3» )
■r . 1
Eimee avec lu SuedeYctr laBiîtique»lort ferait bien réellement fermée à tout navire anglais i noue grand voiiin, h Kuijie, en i déjà peur. '
Si rambuaidcur Làmarque, attendu à Stockholm avec une égale knpatiénee , a ie nient tk lavoir ici tirer parti de certaines pérlonnes, le'ror, qui a datas le caractère beaucoup d indépendance , se tardera pai à être-convaincu des avantages que notre nation Ïieut retirer de son ancienne liaison avec la France* l a mal heure use ment donné trop d'entrée , dam le» conseils, à une cetaitic ligue, laquelle joue encore su vihin rôle de duplicité en Km lie , qui ne fait pal grand honneur au caractère généreux et loyal de la brave nation suédoises -
Cette ligue est aiier connue îciV et le roi lui-même taut* bien la reconnaître un jour derrière le masque dont elle ie cache ; mais il estencoie jeune, et il « besoin d'expérience* ÿnJME-t il ne pa» l'acheter trop chèrement. t
Ou le craint, d'aprii le caractère de quelque» personnage» dont il t|t entouré , et qui temhlent ïVoir toute i» confiance. L'un, un homme très-redontabie à ta nation , à taule de son attachement à la plva dégoûtante aristocratie. Il tit un autre homme 1 qui pet liaiaontintimei avec Armftlt ont fait mbpr, iüoi la régence du Duc de Sudermanit, une dégradation L très-humiliante· Cet bommc-H ne retpitt que la vengeance ; il a en outic un caractère d’emporte ment Ct de tyrannie qui fait trop craindre de lui déplaire, tn disant au roi la vérité- IJn autre perionnagç, qu» a joué le même -rôle et qui a subi le· mémça humi- H irions tout le duc régent, ne peut cacher mi tel itnentimeiu, ni le deipotiime detes maniéré».
Il est dangereux que d« pardi homme* poiicdcut toute la confiance du toi^ et ri Ton comptait parmi ces homme» deux génétawi et un mi attire, qu'on saurait être dévoué* à un parti fnui, le parti midtû pourrait avoir de* alarmes, elle» faire partager i ii nation entière.
Dammiici. De Ccpcnfarpif, It i S ArairntL
Le roi qui »'tierce point dam te Hohtcin 1« pou-
Got 'glc
Drjral Itarn
NEW YORK PUBLIC LIBRAft
' / t «S3 J , ■
voir abialu dentil est investi dan* le Dauemarck * vient d'exhorter la nubien* de celte principauté i * lüppiimeT le servitude quisabüîte encore dsoa quel- tfu** uni de tes distrieti, à la honte de (cui qui en profitent et de ceux qui ¡'endurent. Juiqu’à-prêtent us exhortation! n’ont produit aucun résultat favorable ; les no b les Ht Holstein ressemblent auxuobJ» . de tou· les pays, et: tous auront'ic même tort pour n'avoir pat tu Je prévenir. ,
, AllüMAOM. Dt Fiffl« , It T 5 prdirtdh
Le pointe de Rosûmowski, ambassadeur de' Russie prit notre cour, ayant reçu des dépêches de Péterr- tsourg, se portaturdr-cLiamp chez Je baron de Thugtic, qpri, pendant i’abtence de M. le comte de Cobcnuel, continue à remplir Je s fonctions de premier minÎMrt, et eut ayec lui une très-longue conférence.
On prétend qu'une armée ru tse ¿080,000 hommes va <(FC mise à la disposition de l'Autriche., pour dan* nçr plus <1« poids à l intervention de la Russie dans l'éta) acte! des a fia ¡tes. Il est à croire que le secours arriver* un peu tard. En effet, rèa six ans de marche continuelle, ce renfort tant ptooiis a'csi encore que lut Ici rives du Dniester.
La police prend les renseignement les plus détail· lés sur le* étrangers qui te trouvent dans la capitale. Ceux qui tit peuvent pas prouver qu ils »ont établis depuis long-ttm», ou qu’il* oal exercé uue profession utile, ou occupe des emploi» publics, tout soumit à la loi qui exclut tous les étranger» de cette ville t de* Etats héréditaires, et mime des isles «t des pays nouvel! eut eut acquis eu Italie -
■ Le 15 fructidor, le milïiaire autrichien doit prendre un nouvel uniforme, il connue en un habit court à U bordant, couleur gris-cendré, de longues culotte* blanches, des demt-botlei,des épaulettes, une longue bandoulière noire, 1 laquelle pendra le sabre, un casque de colt avec une plaque dorée. Les officier* dt I état-major ne porteront plu* d< vestes galonné etc Ici grades aciout distingué* pu des ligues bxo<cf*
f
Got >gle
□riflinHl ham
NteWÏÛRK PUBLIC LIBRA
Hh )
Sur J'épeuktte ; b pkqMcdu captpo dç ces officiera
Ici« erç.ar.gcçt. Les généraux seuls porteront l'habit
biodé,«^ b plaque dit cit&que d ot massif, L’épée est
intterrmenj juppiimçe, ont 4e>IA î'wfiiVBfic qu®
d*m J« cavalerie | «lie erÇ remplacée g^r ly $abrq,
£>r Franffori-s^r-le-Mfint le eg frairitL· ■ -1
La tour de Berlin rient de faire un emprünt de’ dirt
mi liions > en fa vêtir des provinces ’ de là Prusse fcnplidionale.
On mande du Méul « qn’nrt ôurtgsn qv> a dévasté«
Je a et le 3 de te tnei$, qqç partie de c erre province,
' ¿’ejf aussi lait tcniif da°l IJstriçla 1D a ¡marié et i»
' Hongrie, Comme lèvent satiiHasît au nord.on éprouva ,
tQut a cQup If frc;d Iç plqs vif, et il tomba sur diffêrefit
ppjnja upç prodigieuse quantité de aeige- Des ’ i
arbres énotcDçt furçiji déracinés dans les pu vit cm dé 1
, Fîuidç^ l'ouragan enleva les toits de ^luiieurs éilU ]
fices, et renversa mêroç quelques maupnt. Phtliteurt ]
perjcinnes çt beaucoup de bestiaux périrent de froid« <
bli furent énfrcvclïe* sous la neige, Une particularité <
remarquable, c'est que fou appert; ut a quelque di*- ■
tance de FitiraeT sur une étendue de ï» JieuH, deuil
ares tti-clel, Pun du fSté du nord, fautre du côté d< ,
l'occident. -Tandis qu'il neigeait Sur 5m montagncL,
il tonnait | s lieu« dç.-Jà sur 1rs côles, La terqgéte
h a p£i été moins terrible, sur mrr , et quantité de
bâlimeas ont été submergé*. Cet ouraggq été Iç
prêt u si eut du tremble mie Utde terre qu au a êJSüyç
> dans la Toscane 1le 6 dfl ce rnais, .
U 14 pruiHrfL Leg, on a fait ici, à
Botzcn, et dans les principale* villes du Tyrel , la.
distribution Sokmheue des médailles décernées par
S- M, ( empereur aux volentalies tyrolien^ .qqi j^ar~
< ber tnt tvee tant découragé à la déitftSé de h Rfr*-
trie, dans Jet deu* années précédentes D< graudfti
médaille» ont été d*Mlibuétt à çcuis qui fêtait
signalés dans quelque combat ; d'autres, plus petite^,
ènt été données à sop* Ici vûktuairc*. qui
armés, et qui n'ont pas en l'occasion de déplu yen?
leu* biûveuiC* - *■·*-.................... ■ ,
□r j-cai trnr
MEW YORK PUfiLl C LIBfiA
I tfS ) .
DtRuittdt, !t a$ prairial, ' .
Le <ît- Jean fiubry arrivé ici hier , ■ tffieat arec lui «*■ et 'deux jeune* personne* , qui sont *e* deuit hile». Comme M. Ir comie d· Mtittriiica A|i pas tnrore de ' ftioar de Fribourg, i! etc vnifemblablv que Je nouveau ainugr« français ne fera m« vUji«i qu'aprt* *on arrivée., qta doit avoir lieu aujourd'hui. En «<endam, il >e légiir nen au pré« de Ta dépirtalicn de l'Eraptre. Qu pente qu'il st tarder· pu ■ remettre i r> dciùiere non par ré pou** qv’li a NDI dot le apportée de Fui* , 1 uuu de 4<m ùnT poeiauc«. . ■ ,
■ Il y * déjà «s cinq coniîrancr* 4 SH la entre le comte Aç Coj>etrtu>eJ et ÿryiaçeii (de Neuicbàteaa ). Le premier objet qn’ili oui traité, rat l'affaire de Btrnadeit* à Vienne. L* gouvemtmeni franpi* ne regarde point ton ma une ÿaiifcction spRUanie h derntmon du batnn de Th.ugnt -, parc«' quelle ¿¿ait rèiotur avant cet <vcaiméat.
Pe ion cpti T l'Autriche demiüde l'exjécurïon iittiialc du Italie de Carnptj-Foiniio , et refuse , dit-on, jujqo’i et Îuçïje an lien , de reconnaître tomme definitive la cession _e Ta rive gauche du Rhin A la République.
. Les délier de .fa République Ciialpinc , ceEffs de la Bel- pnuE , *OH dca rèftibé, belges et les révolution* de ta Sïiute et des Elit.s M^Uaàutiquej dis» le^r* rapporta avec : T’ÀtitncJiE, tel a tua, à ce qu'on prétend. le troisième objet des négociation*. Il fin no mante ut question du lieu de la {géadtlic* et du tort futur du pape. A cet ¿¡uni, ¡’Espagne parait a’ëcre »unie 1 l'Autriche pour demander en sa faveur mie pfiiïion convenable aur tes propriété* qu'il a laissée* i ftoive, et Tegler ce qui coerertie ses stuxeasenrs m titre.
fa le comlç de Cubeut»! «t [Mlti « matin pùut Scllt , oi il réitéra ta nuit, fl <n ■ fait *utn le voyage avant-hier. Il il puiê ici toute la journée d’hier, et dîné ebu le bar un de jacobi , ininistrt prussien.
' bt> de Jacûbi «ai tièa-éonnu par set taie** duni la carriers diplomatique. Avant de venir à R*»udt. il résidait 1 la cour Xqndrei ; il »ait été auparavant ministre de Prusse à Tttxjtie. Cette double mission et celle dont il est chargé au nugrë* de Rtitadt, innunceni le* coninirlancea qu'il pos- qede et la r'épuptiqn Joni il jouit. L'at timide pûliuque od it Bffave depuis fonjj^ema la loir Île Berlin A l’egard de l’An- dtierre rit de FAufrithe, exige de *a part d« chois duiin- pk Anus d«F» oo (OBTcnir yté nul mifuttve " * *>■ ■
G(x igle
X
J ( ï36 )
dlldreue, de Vitesse, de dtitérité» et 1· tact plus sur qti
Ü. le baron Je Jaçobu Si marche dau» ki silsite» est mjj
. tèrieme, suivant l'indien aystim· de sa cour; elle a'e:
méme-tetn» de l'aplomb ; mais elle eifcirtCmaprcLe ou ti-éczi
HVt, fuivanl la tiittitc des circonsiiihcrs.
On »lit qu.‘on dibtiogûe à Berlin le ptr(i tngfaii et le
Jrwtçaù, Ou croit gcucrafcmeDi qne M- le Baron de jacoba
, en du premier, c’eii-i-dirr dü nombre dt cen* qui pemcm
• qu'il ¡r·porte plu» à. la Prune d’entretenir d'ctioites liaisons
'avec l’Angleterre qu'avec h France. L* chaix fait de lui pour
résider 1 Londre, accrédite cette opiuÎLm, eu ce que Je roi
»On maître doit y plicer.du négociateurs qui »oient agréable*
A celte cour, et qui aient fait preuve eu alme-ltmi d'atta-
‘ elle meut j i» Intérêt» et de ¿délité aol principes adopté» pu
«on cabinet, ;
, Dix» La vie privée , M. le baron de Jacobï fit Temirquabk
par «on esprit, ton amabilité, 11 politesse u par beaucoup
d'ordre dut» l’ad mi nutrition de ui iotcrète particulier».
Du ly- Jean Debry » aujourd'hui pteaentc io ponvoìrr J
la tliaii te lit rie directoriale, et a' fait sei vititea ih commi»-
»aire impérial et A la dép unitoti. Oc »’alteriti que lei miniati
ei frimai# communiqueront, dé & demain peut-être t pu»
réptmse à h dtrqicTç qot« de la dépuration de l’Hmpiic· Ob
est dan» üue vive inquiétude A cet égard, parce que de-li
peut dépèudre le »ort de l'Allemagne, *r que certe piece
fer« connaître le» iute niions du Dinctnirt exécutif.
Le ci t. Sirye» a parié hier ici en. allatti A sa destination ; il
a disi cher jean Debry , et a dû coucher A Garlsruhe. Loriqui
son départ il a inversé le jardin dti château de Raitidr,
il a été iujvj par h fauk qui a'y promenait , et qse Je désir
de voir tin buia me aiuti cèlebre dan» les annales da la révolution
a réuni# tut ton passage. Il a d'abord paru un peu
embarrassé de ce rasicmblecneiic ; mais bientôt il a semblé st
prêter lui-même i la curiosité , en restant pendant qu. 1 pt»
minores arrêté «uprèi de si vulture , qui l’ai· tendait 1 la grille
extérieure du jardin. IJ y a fait ie$ adieux i Jean Dcbry, qui
l'avjit accosnnagné jusque«-]à.
Le comte de Cdbenuet eti depuis troll jours A Sfitti c’eit
le léjour le pini long qu’iî y ai; fait jusqu.'A préietii. M. le
comte de Lehrbach est allé l'y joindre ce mitin.
Le· ministres piuuienj ont Ternis, le fi6 de ce tnci», lia
députation d'£mpiré, Je» obtervitious suivîmes : . .
1”. Le Rhin, i putir d us poiat .place aq-d/ssris de Clive«,
NfW '.IF K PlJiSl IC | IB R AH
pïuc ìqi ecnri co Hollande, «oui le do a» de Wui , d-oji
unir Je timi».
r*. $cn Ut doit rire luti à parût do priai oà 1« nouvelle
Iitwm rritnrnencera , i t extrémité nord de L'A lite? juiqn i Je
IWhade, en y comprenant leí raie* tur k*qu«ti<» »on conta
»dirige t en outre , de te qui educe me Weaei , il convieri'.
du de Üxer pnur limite le canal conitruit, «a 1784, à vivre*
Tiile de Rùderi g, .
3·, Oi coftiervtn, quant i-pré*tBt, loi pt*^e· du RLia ,
puer le« causer enoncte» dici li darai*» acte dt I· de putì
non, comme néce**airei pour L'entrctfan dit lit de ce fleuve
. objet qui tappane nnueHtmeui 1 La Ftuiie &*,ddO étui ).
On ■· doSt 11 ceder, pour le matute·., lux proposition! rtluirci
lux dtùli de (fattane , parce que de tocg-temi elle#
ne aecaieut patii eaicucible* , 1 caute de la divtrritê de* rapport
» des Btau de l'AIktaagnej dans toni Ira cas» cta objet!
doivent être rérervéi pour être 11 un Litre dits irrite de Cooemwee
» aprii la. coaduncm de la prix.
Du 3o. On »'attendait que lea miniadas fiançai# d olineiriéni
use ripent* à U dernier« note 1U ematici», iiuai-tôr
ipréi la vérifie nwo de» pouvoir» de Jean, licbry j suit faut
upetwion en btite depuis cren» jauri, et rien ■ « paraît encore,
Oserait «avoir que l'arrivée da Siepe* · changé laainiirscti
«*· aur Jeaqucile» crue note devait êne calqué*, et que
tel!u qu\l a «pporide» «pat de nature É rendre la Ion <s le
dlibtotrca. ' '
M. le comte de Cobeaiael u’tiepoint allé i Sri* drpaii na
iCLtHie du t6* Os proie qui! auiod » pour ans prockalq
«m· , le retour u un caurier enraye i Vienne , au injet d*
la dcniud« d'un* laUtfaitiaii, On a«*we que lei dilfieitlié»
qui nriftacni de oc peint, entravent ¡** utgociatioc» «ur cous
Ui iMaca. Ce couticrcii attendu d'un montent I L'autre.
On prend ici beaucoup da gtyât pourra littérature Jranç*î*e:
o* ne lit actricllei&cnl pieique.partout qira de* litre* iras*
frie, c( l<* «Ateuri durique* de «ue eau on «ont entre Le*
urina de t««* k» Allemand* qui ** MMittl I Rrandb li
quelque Irbriiee de Pari*formait ici un dépôt de uaureieté«,
i
x eu leipnida libeiuuaje *t d'irumoitlitê qui »’’y iqirodu.i
4UG l'4f ¿tri9|H.
C.o gle
I
I
Tïèmüxt. Pi Turili, Ir ig /
Êüîmîï sTun. avis su puiiif, ¡iisere ¿«h lt g*xeìteJi etiti trilÎe.
Quelquti ««ntnncü 4< iflldaii h^üTieM , engtinde pxrrit désetreuri pirenentais, désefieat de G tu es tou* atniés- CJiue deteinati .soudai ne interi a l'uccupiii'cm de C»roiio, vUirigt eppar;euau* A S. M, le roi de Sardai^ut , u*aii enclave le territoire ligiirian.
Ta udii qu’à Gêne; hi enne mit de S* M. ie réjaniiutnt de ce mivei , le gerpetnetntm ligrirîan desiare qu’il ri dettine dei ordre« £nu» trriiit le progrc* de U dcietuon , et quii prend™ les carbures cuave sable* pour Arilo telili léurcttouie entre let deux go ave mentent. - . ■
9. M- lastrone de i’occ ipitïûn dn Ci norie , fait m^iehcf des ircmpe» vert ctl fropticreiì e* .pipar Ster tour tnottf d’ib- Ïriétude air gouverne ruent bgbrieb , eli· le prévient de cri iipotiliaui. ■ .
Le g«iivt»d«Kbt Iqgtnien *e dédire recotìtìaÌH»n< dé cette ï'icn ion, ttaunwce Mûri do icmblwble* drtpej smonti ahu d'écarter tout ce qui pourriit tmuhlet b bu nue corre i- jsafldlJetfs '■■ ' -
’ 3- M> dont» ans cotiiftiindam ' miliiaire» Jet ordre* Im pim préci* Je respecter le ierriloife liguirteei- - <■ i
Tom Je» ÿo|m, les ennemis de S. M. tf*v«n»ni lüneurent· le ver rite irdliguilet»,· viennent rtiftqier Iqi iromierei d* m | E«n ! le* trou per du Voi > p<mrtoiv?i»t l'usa emi, tt piotali faite iin pis rufct.méitae·· territoire e>ni que les igem deh Répablìqpa etT'pdrrtnt Jet plriiute». =............... , ■· ■
l.ei officiera de 5. M. ont donné la réparation denmtfdë* route» les foli quoti fri trouvée Julie. ' . ■
Malgré le»'ordre* donnéi per le gotlvtfrnément ligurien, les inùrmtj du roi centri nu «rut lemihotiiGtés, S- M- liri+it, obscTvec u ipicie* motori» à'avaient pw ie rendre A Cardili« san» passer tur le tertiteîrt ligatlea } qu ii* le Lraversannt de Hièm4 librement ptnir venir envahir Irtrrrj totie piéatatttiii', tjne h ttépobliqije rie ponviii, en qualité de neutretoufflir rut ton lerritoirr Iti tntrenii de S, M>, qui en abasuerit . pour fdtfciiier, «t en cord moihs lenr en permettre Jt passage ■ péur venir l'i traquer ; ai qu'elle devili, ria tei diepcthi eli*· : ménte , oo accorder au« trutipei du roi le même passât' qn'eHe donnait à leur énrtcmii, t, < ,
Lu Répub^que Ligirtìettìt détfer qu'elle tte érm tentiti ir jiplril au prillale dei troupes du rai; etc ¿pendant les hr- bui gcus ie renforcerenr à Catoni o. ili »’«rgacriâtrcat ; iis .
C io< iqIc
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Qdqlnql tram
NEW YDP.K PUH UC LI En. AH. ï
l·»·)
jaltrteptrteirt'tii intìiport· de bU s de *et et d'autres den-*
i*ci ¿utile* pour le Pireiooi j il« irritatimi la* cd unfn
pal· lies , et mime Je liguri «n , anxqutla ih e elevi resi le«
paquets adrèuél au imititi ere de S. M., et ila Mtvrireut
(in detr aùailtH* de« piiiitatice» lèi pioli te ip telatole·!.
C« hoildiléi c^initiiidlaj de* iuiurgttrs furtrn açttsb
pat decapar bien d'antre^ 4« 1* piti d·* Lìgqritnv . ■
Lei OÜi-tâena du rui nt Cmereilt d’ipsinuer tpi’ìl était da
devoir de b ,Républìqnc de dMperter le* indìgeni ; unii
njut tcrujcuiri tu vsiq. . . ,
Si M ■ ^epouvaptrcimnctraud rolt de rentrer en pi nei noti
Sii du {«TTIloire lui avait Été viole nini e Ut ùiurpc , après avoir
■tsc tòni le temi 1 la République Ligurienne pour fair*
cuier éc désordre t dut enfia reprendré par la farce rei
celili d’une autre pniuauce, elle a le droit de le reprendre
J main anace t co passant »ur le tciritaìre intermédiaire i *<
uaivenellérnent f«onnii> t r ;
S. M. codi Unte dans ïï détermination de respecter U
Irrriioire ligurien, i donné le* ordres le* piu* pièci* â ct(
«gtrd ; et on n’apperçoit pai la moindre contradiction dotte
*tì ' ' ’ ' [ ’ '
ÌSit^ràversë. Ih ont déclare u'avair datine bÙL qiie d^alier
npHndrc Carotiti appartenant au roi«
Li mime uéceisiié qui leur dolina le droit de palier en_
iéme* à Carosìo, leur donna ausi! celui d’occuper Je* bauttnn
qui le dominent et le défendent«
" Sépeadani le vomitiiiemei» liguiiev tic *e contenta pai
Seca rer S- M. dune violation supposé e du droit de* gens,
itti meurt le séqu+sire sur tout ce qui appartenait w roi t
mafia du territoire ligurien lei iujcti de S. ordonna
fifre sci don ¿e quelques-un* de iti agent, aofdat* e-t oflì-
4*», et arriva jusqu'à mettre eu état d’arre* tati a il »oh thargi
i’aflwe* à iJêrits. - 1
’ bï.ifr'irçnùrïit pi» l'atfetMliob de cè chargé d’iffaìrts,
l cerini de la République rènda ni é Tulitì demanda
1 lei pai «Capotti pour pìvfh-. Mais S. M. aimant triitûic (□cik
. feir que «iMrntìit ititi* vibhtroii du droit dei gens, laissa
e“ liHr«n*ut te dthrgfe d'iffâirte ligurien , tn (’invitane
*«>fr â ton départT *i té* instructions le lui per ermiÜent.
Got gle
s
I
( “4* J -
Malgré ifljJl cek, 5. M. loohaùv conitu^sient ta pirx j
«lie D'épargne ancsn de* moyeu* c*p*bl« de 11 nraimeri.r,
et elle i Fe*poir fondé dy rêuMÀFf « reporatit d'ail kur* *ur
U jmtict de ¡a etn*· , cil* hïsie au publu tdiire et imptR
tia! ,1« jugement dr* impuntion* que loi font ie* ecinenu*}
qui che rehaut'i»iqHr» i'troubler la tranquillité de l'Etat, et
U bonne intelligence'etHre le* goujeranueni voiain^
,. . | ■ ■ (dri*rif tjptiel. )
SursiE< Dt Adk» lt î3 ^mifial.
< Du dit due le cil. Rtpinat a déclaré, propriété* de h République
Friaciiir, hjoj le* migiuns de ('fiel vêtit.
Le giuéril 5cluwtmbourga de nouveau piôlongé ma dépaît
pour Zuikh j on silure qu'il va trkuiféTer »on quartierginÎTal
i Hei ne» ■ ’ ' i \
tjoe ordonnait ce du meme général enjoint à toui In Frii-
^lit do mi cl| ici en Suivie ■ qui ne pourront pu te legilimer
Sar de» paue-pona üu des cartes civique»; d’éi'lcuer ce piyi
"ici au .417 de. es ratiii pour lotit delai. Ûeite ne cure en ni lente
*aa grand jtombie'de tammia-inarchaud* a d'ouvrier* cède
dpmntique* qui ne »ont pu pourvu* de leùr* papiei» i ma**
elle a eii provoquée par i'idteiic factieuse diiuibuee *tia
troupés Rinçainj, et qu’au 1hiu· avoir hé compoièe p«_
un étnigrê franpî*. ' ' j.
,D# iû. Noui apprenon* de Lugano, que le* troupe* cJ|H- .
ÿjùe» ïontJ éntréei à Mcndruio et *ea environ» ; oi croit
¿même qu'elle* occuperont a uni aoiu peu bellirtzona et Lun- .
no. Il parait, d'apre*'cela, que ica bailliage* italien* qui Je*
v»ieur forrnir deme canton* helvétique* , «ciont tcuùi» i la
Répubhqne ■Cisalpine-
Le* caiiie»du cudevautErat de Zurich a’jttrouvent'encore! ,
mai* on croit que, par *rdre du ç)b Rapinât a dit* leiunt
Irati'ipdriée* iou* peu ta France, ■ ■
La Suisie jouit en et mniueui de ]aplu» grande triaqniI·
lits , et l'organisation cOnitituùouUelie de* petit* canton* c*l
presque termiiiée, ' . ■
Ïtauh, De Miltn » le prairioL . . .
Le IS T le* patriote*, tnt lac ail ont célébré , dan* un biaqtpe1
civique , l'échange de* ratifie infini du .traité d’k|4*Fn<e'Ctli*^-
prt»eûtation de la République Frauçiïte. ,·. -...· :·. < · ‘ '
k'ne table de 5uo couvert* avait, été dhpoeée au milieu du
jardin public; elle avait k foi me de deux triangle» i'dtidü“’
l'autre, lymbcde de l'égalité· Elle* étaient ornée» de verdoie
ci Se fleuri , des guirlande* de ciièpa itaieDtiuape13dtw.de
tous
'v
I
□r^nal *oni
NEW ïi.JPs. PUBLI-C LfBRARV
1
- ■ ·***’. . .
tfAI flie* 4r*pJS*U* friBÇiit tt «MAljfilM » «Lttgd*
fôjj^çriptiuns bonQiibiei à l'arsa« déplie » lurwo.ataient ftiie dtror^iiçia tbiappitre. Suruovlite intphidicilc* ëiiien* Siici* «u «uiel à la PhIîtÎç r la sutve de la Liberté et Je corp»
* mtasique. Le lenii élut favorable, un peuple itnqitüje eut· tironnait l'enccitnt, . : . . '
Au tignai convenu pour comm enter le banquet, ee « vu a'juieoîr, i la miras table t dei FrArtCriv, deiCÌMlpìm et de» Polnnati, de» invalide» de* trois ira tut ai , couvert» d'bono- nble» ble»aurea i fermée d'Italie, l'ambandent de la Repu- bliviie Francane, celui de la République Lì^uricnn» > de» re« M^Matau» «t dei miuiitre» du peuple cnaipiii, de» ¿¿□erausc u» dette ottieni et de »rupie» ckoyent. Vingt ttra»t» Ont été porté» Avec «mhuuüume aux république», à Leur uauoca, *llç dif*Meurt de la liberté,Cette fitt» vrai cu etti rcpubliuiq», « fut sur ]> peuple mil ¿trait [ lmpreiiion La plu» favutible« ,
Ht A*mt, le lî |r«iiW· Le liait vient dt défi ntl· e ¡wr un« foi pénale , tout* cxpnruriüa lm·* dp territoire de I» République , de» grains r ce p erti blet et autre» objet» de premiti* tùcuiiié, telle» quel«» nmUerti qui »errent i J» üb ri »Rota dkjp»pi*T- , , ,
On a conduit dam la foriere»»« d’Antòue, loin le» chef* ÿws* rébellion quia eu ittu,*u Péromiti; tou.» »«ni de* px- QqibltijCt de» prêtre^. . .. . ,
,l*lÜpoblique fw*fü|* a fat meure ,ep wute de».terre* »îtféc* *ux Mnrüi-Pnt··*» pCki»r)ariuntciLlkdu Fóro-Appìot cpiueaatu 3,904 arp ctu.de terre» labourable* ou prairie».
Une <1 rdonnatïre du gênérai.Saint-Cyrprescrit 1» vente de* b$n» mobilier» d» la Rcpiabtique Rpmaiqe, et regi* L'tditii- ütfxtion 4e »« immeuble» satîouwx^ de |a banque &».&,« ** Muut-dp'Piétc.
¿.liPUBLl^VS B AT AV K.
' ■ ■ Dt la flayt, U ¿5 proinoï» J
, ' Tort dçpotifare de I »Matité publique qui »«proroge »u^ SU du tarme fixé p ,sr u dn.ée , doit »'»tiendra * » ché«-
' tire« qoe^vieut d'eprauver pliiHtiirt membre» du Carpi Siati at ceur da Pouvoir ecécuttf de I» République Ba- » qui 1* ptrpt tuaient dan» Icuj» fonction», contre Je v<xu
_ 1 çonsiitutioTi Muaiét, .
.^ilAAtion batave a d'tilieiiTt trèr-bacn lenrti qu'il n'y avait • WM«» cqçecnis de sa »»uveiti ne té , de u libellé et de so* Tiw XXXV. Q
L
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□rigfaaJ nam
NEW YORK PLRtlC LIBRARY
. , IH·J -
lofilteïiîj le beaa pretexte d^usarar ion tndípmda
net, cherchaient a ïompre entr'elk èt la République Frat*-
;ai>e,~U)ni le* tappnrts je confiance, d'amitié et d'intérêt*
tomai un* , iêû d'organiser au milieu d'elle Faurchie, la lcr*
leur et la mhere , et mus le» njaux qui *ant la suite inévitable
d’uo ¿tai non constitué , innlilement et illégalement
prolongé.
Le 34 de ce-taois , plusieurs membres du Corps législatif et
un membre d* Directoire exécutif provisoire de la Répvblihlique
Batave tant été itrëlês ; délit aiitrei membre! du Directoire
prafùoire ont pris la fuite , et deux eut donné leur déluiision.
Aikub désordre n‘a été commis , ni aucune goutte
de Éiog répin due- Le» as semblées primaires sont convoquées, '
€i vont procéder, en créer lion de la constitution , 1 la nonarration
'dts -Corps législatif, qui procédera ensuite constkutionnelleuént
J La noniimtion dïDirectoire eircuùf.
■ Irlanbi. Dr Dufr/iii' U 19 prairial-.
, On doit se former sur le continent une étrange idée de Ïj
situation de l’Irlande, puisqu'il est impossible, dans cette cspílale
meme desavoir la vérité. Mille rapports contradictoires
circule ni dans la ville : hélas ! il n'y circule que des bruits et
ries patrouilles· Les rues sont presque' désertes; tes royalistes,
effrayes des progrès de L’in* une crien , n'osent te moacrer
cuverterncut, dits la crainte d'un changement qu'il regarde
comme très-prochain ; leí pairiútet n'osent par ancore pubHer
leurs'espérances-, ils ré doutent la hache britannique levée
pour-lé* frapper; mais ils se battent que le désir de U
briser ire atrapas toujours impuissant· '
S'il en fafl ait croire les-rapports officiel* , il y aurait, de-'
puis huit jours, plus de 2o,oüBinsurgés de lues : si l'on ajoutait
foi aux. confidences des patriotes , ici sillons n'ên'seraieut.
pas moins en graissé j. de cadavres- ,
Nous ue'eonnlisrons point noire si tu 1 don , mais nous sentón*
qu'elle est affreuse, L’Angleterre ne saura jamais ce qui
s'est pmé en Irlande : ou lui a. cruel km eut déguisé la vérité.
. Un malheureux jeune homme de 15 ans·, qui portait mr
ion cnrur cette inicTÎption : X <k etawairr Je if'iilittm Orrl Irlendais-
uni quia péri sur l'échafaud ) a été condamné'! i5<j
•coups -de verge- II a expiré aún* le fouet de ses assaslini.
. On vient d'irtipriionner, comme coupable d'aimer la liberté
<k sa patrie,le bi ave bhaunaii,secrétaire du lord-maire,
' La sensible et généreuse miss Keating , belle eonaaie litiinOrteilé.
Maltin d'Oitian , vkul de tomber entre lu mai*i
Got -glê
' f ltï? .
d«5 royalistes ! elle commandait un cOrp* I* IfOUpCS
<LC taillé eu pieue*.
AsotUimE, De Lendres, te sK prairial.
Les nouvelle» qu'oit reçoit ¿'Irlande vont de la oatuie
fin» iïaimanle pour le gouvernement britannique. L'irilUtlection
, ainsi Ljti'ûti l'avait prévu , î'rti-ud tt SC fünilrr. Le»
comté* du nota te »oultvem déjà ; dan* I* ville d’Aninm,
die F- li en du comté du niêtite nom , ïl y a eu un camibu entre
lu troupe» royale* et les insurgé» : Ici habitait* se icuiijoiim
içei deruier», et oui litc des l'cnètm sur les royalistes „ qui
ont été à 1* fjn reportai*· Le ÎnrdO'Meil «t le çqIuuç! Lu-mlcy
y eut été blessés, dh côté des royalisles.
Le comté voisin de Tyroune reit égilemtnt iüulevé. Les
points de réunion atr quartiers*·^ net suai des deux comte? ,
sont établi* i Doue^ir , Ànlrim , Larn et Glsuarm.
La nouvelle d’uû combat qui a <u lieu à Neiv-Ross st
COfilirro t. Cette inairc a été , Selon tou* les rapports , Je» plu*
HU plan Les et dc.r'plijs Optpiàti**« Foule l'artil 1er ie des raya-
Vtrtes y eit tombée entre le* mains des insurgent : untêruuin
Oculaire atteste« dans une lettre particulière , que ccunc-ci sa
rom précipités hurles canon), en désespérés, et il ne sa.it. at*
«Ailier qu i rivritlB UH tel tiévuimuieilt. Le c'imbat a duré
dtpliii le madrt. julqu'i l'april-tnidi. Le lû-td Munl-Joy y
a péri du côté des royaliste*. ainsi que plnsieur» autre* officier*
de marque. Le lord Kiugjboroug , qui voulait * echapper
par mtr, a été ainsi prit par le* injurient.
Dan* ces rnoiAen* cridquéf« te cabinet de Sainrjaaie* a çru
devoir retnplaccr le. vicc-roi de Plrhndcs Le marquis Curn-
WiJlis est déjà * Ut4H4*-0H , nùmuic à rrLle place.
Les insurgé* je tanttnbleni tu ires-gland nombre ver*
Glenmore ; nüut (raignom que le* communications enua
rkl.tn.de et l'Angleterre ne soient aussi inietrompur* de
rète-là. — Le d uc d’Yorck est fflïlidn
Sir Edward Crobie , Ir1ïna*i*-inri , a été éïteiiLt : on a
planté »a tict inr une pique 1 la porte de S* prison.
■ L'armée d'Union en eu possession du comté de Wexiord»
îe pon le plus voisin de Breit ; elk aiieud Ica flfuveetfv seiOBT*
qui lui ant été promis.
Lesrappait* officiels annoncent qu'il n’y a pas atseï d'armé*
« Irlande pnur arrêter t inaiirreriion dea irlatidais.unis, ■
L'imiral Thompiuu a re^u ordre rit croiïCr SLtr Ici côte*
deLlrlindc. tVH 7 vùmcjuu de ligne , au liiu de sir Rpver
Carbi. '
nn<ji-.ii nrw*ti
NFWYORK =1IKL IC IIHRARV
{ M4)
RÉPUBLIQUE FRANÇAIS*.
C’O R P S LÉGISLATIF.
Sianeu du deux Conttili^ du tSfrfairiül an 5 meuhtort
V111 en, organe de h commiiiion des finance» , a
J>ré»c□ té , dan» la »¿ance du <6 du cOrnciS de» Cinqcent
», lç projet suivant : .
La pêche, dam Ici rivière· et dan» ¡et canaux b a- ■
vigibru , sera affermée par kt adminiitratiotu dé- |
parteane citai es, par enchère et par terri (dire. Nul ne
pourra pêcher djns çes rivière· ou canaui, uni ta
permission du fermier. :
Un mçmbrc demande que le) administrations mu·
piqpalç» »aient substituée« aux administrai ion» cçutrale*,
pa^ce qu'elle« ont plus de connaiiunc.««
focales. . .
Ui xutrt membre propose dt confier le droit d’if·
former ta pêche au directeur du droit d'eurcçLitre- ,
sqeot, parce qn'il cm chargé de toute· les partiel dn
revenu public.
Briot | du Doubs ) : Je vol» avec regret qu'on
cherche L réorganiser, sans une pluX radre dtxcu»-
lion, un droit que la nuit du 4 aofit 178g arracha u
heureusement à la féodalité..-Je sais que des siècle^
nous séparent de cette époque : mais du moins fatfait-
il examiner si le moment était arrivé d’investir
Ja pujsiaocc e^écutivç des droits dont ta volonté du
peuple dépouilla aei oppresseurs. j
Vpudricv-vçu» envoyer encore aux galère» le.miaï·*
hcLtrêM« qui va chercher ici moyen» d'existence aù ï
coin d'une rivière? Ce serait soulever d'indignation ]
le peuDÎet qu'il eit de notre devoir de maiijteuir
dans l'état de h h et te qu'il s’est acquis. ■: |
Je demande le renvoi à ta commisiirOn. ,
Appuyi, iécric-t-ü».
1
□r-j*iai trnr
NEW YÜfilC PUBLIC LlfiRAR
TiMifr : A en Juger pas l'opinion du préopinan(t omtriit tente de crotte q,ue le droit de, pèchequ'nn veut établir appartenais à la Modalité. Cette opiniop ocprçnd sa lûwce que dan» une confusion d idéçp jju tJ jru pôite dficliircil Le droit de navigation dans Jtt rivière» a toujours été regardé connue un domaine public ; il est vrai que le» seigneurs s'étaient arrogé le droit exclusif dan».U partie des riviez ci enclavées dans. leurs domaines t c'est ce droit qu'ib affermaient et qu'on voudrait apptllei fêodaL J’înr . liste pour que le principe toit décrété.
Pison-du-Gabnd t U est incontestable que le droit de pêche est un droit nation al, ; il est également reconnu qut l'adjudication doit tue faite par les ad- ministratient centrales : npis ou ne peut pu te dis· simuler ψι? le mode d'exécution présente des.difft· Cubés. J'avais.été chargé par l'A’iemblee constituante de présenter un projet à ce tujçl; il est imprimé. Si le conseil veut ajourner, j’cu donnerai connaissance à la COmmiision.
Génijsjeux demande le renv*ï pur et timpie à ls
*
toaxHiiiiion,Adapté·
Villers fait ensuite adoptez plusieurs articles addi: lion^cli sur le droit du timbre. ,
Boullé jdti Morbihan j joumth le s;, à U diacuj- lion, un projet portant : i°, Le» dispositions de la loi du 4 frimaire dernier, concernant la nltitutio^s des biens aux héritiers de» condamnes par le! iï^bii- . natuc révolution tu ires organisés après le 9 thermidor

a^ III, sont applicables ayx héritien des condarca^ ■ par les commisaionx militaires établies, soit par ta ' Çortvention nationale directement, ou par tous autres, dont {et jugcmtns de (panfiscatiüxjs rendras ou à, rtudïn, iraient CW maint tu u» au réservés par î*ir- ticie V de U loi du 11 pjsidÛ ait 111, rapporté fit l'art. 1er. de ladite loi du 4 frimaire derniet; ed cog- léquence , les conÊseaticin» prononcées par leidtta
! jugemens soit aunuiléet^ ,·, sont exceptée» et maini tenues les confise 3, tious de biens des condamnés dont : les noms sont inscrits sur la liste des émigrés; de I ceux qui ont été accusés d'émigration, quoique nom . Q, 3
Got iglé
□rigfaaJ nom
NEW YORK PL RL IC
( H«ï
Îdjctiu suf 11 lifte des émigrés, et qui ont été couditnnéi
sur une accusation formelle; de ceux tpji.
' b?ns avoir éié accuiéî, ont été déclaré) tut ictin înterrogatoircB
, et par leur propre aveu, convaincus
d’émigralio □. .
Meuiar {du Mont blanc}, remontant à l’origine de
ce projet, »«jure que h religion de h commnnon
a été surprise ; que l’individu dont les ré dama ri on*
ont motivé la décision de cette commission, a été
véritablement condamné comme complice d’émigrés.
^Beaucoup de Téchmationi semblables ne sont pa*
mieux fondées. Ce projet serait en conséquence nuisible
aux intérêts de la République', Il conclut ea
invoquant h question préalable.
Cette proposition, généraiemtnt appuyée, est
adoptée; le conseil déclare qu’il n’y * pas lieu *
del i béret.
Caururïer (du Bas-Rhin J prend la parole pour proposer
divers articles additionnels au* projets de Villers-
li pense qu'on ne peut trop se hâter de faire
exécuter la loi du g AoréaL sur le partage dei btetil
des émigré!.
d'un tiers, et cette Surcharge serait supportée par
chaque département relativement à iç» moyens. Les
droits sur les succession! seraieut perçus comme’par
le passé, mais au 4e. degré; la moitié de la succ·»-
jion appartiendrait à la République Balaye.
Il serait fait un cadastre territorial ; nul traitement
de fonctionnaires publics, exceptés les traitement
fixés par la constitution,«ne pourrait excéder celui
des re prêt enta ni du peuple, etc,
Gea'difFérentes propositions sont renvoyées à t’exxmen
de h comraiiiiou de» finances,
Villers a donné, le 18, lecture des résolution*
adoptées sut les déchéances de^ biens nationaux , *ur
Je nouveau mode de paiement de ce* biens.but l'xs-
«ujettissement au droit de timbredw pétitions, mémoires,
«te. '
Divert amendera eus sont proposes et deviennent
la matière d'une nouvelle discussion.
Got igle □r □ nsi Itam
NEW TtlKK B'JÜLIC LIBHARf
r
I
■ {w )
On en· adopte quelque? ■ uni, et les atnrti sont rentfoyët à l'examen dé la cOmmiHion.
L'ordre du jour du aÿ, du conseil Je*· Anciens , .appelait la cint assion sur h résolution coace triant la perception d’un droit sur le« bats.
Ghasaiion pense qu'il est inconstitutionnel de lùis-r ter aux administrations la faculté je fixer celte taxe, et injuste d'appliquer une partie du produit aux. dé- . Îtentes locales- IL lui paraît qu'aprêi avoir prélevé 'entretien des bacs, le surplus doit être employé à celui des ponts et chaussées. .
Bepeyié partage cette opinion. Il rappelle le principe que l'entretien des roules doit être payé pat ceux qui les dégradent, et en fait ¡'application aux . pont? cl chaussées,
. Le conseil rejette Ta résolution.
DedeJay parle ensuite sur le régime hypothécaire. t Jl convient qne la publicité de l'hypotheque est usé disposition sage; mais il croit que la spécialité a de grands inconvénient.
La discussion est ajournée.
Loysel a fait, le «6, le rapport sur la réicrlutiou relative aux obligations entre particuliers dans les üeuf départerncus réunis, pendant le cour? du papier- monnaie dans le teste-dc la République. La cont.rtiis- sion pense que tous les contrats sont censés stipulés ' «.papier-monnaie, et qu'il est juste en conséquence * d'exiger que L'art Tasse U preuve du contraire. Il propose l'adoption de la résolution.
Elle est approuvée.
Amoult fait ensuite adopter celle qui accorde un nouveau délai aux débiteurs de rentes viagère« créées en papier-monnaie, ’
t i IL n'y a point eu de séance le 47 su conseil des Ancien».
La discussion sur ta résolution relative i [a comptabilité intermédiaire a reprit le «b.
Jourdain croit qti· créer un bureau chargé de la. liquidation générale de l'arriéré, c'est rétablir ¡es c^nimissions temporaire«. La constitution a Exé le mode des Hquidâùoni : ttirui la résolu don qui s’en.
C 0.4
nil^lMl TTiHii
W rtJRK PUBLIC LIBRAR.V
Go gle
ttaigne inconjtitiitnjtint lie, Jntitdsia vote pou*
, le rejet. -
Lac nie discute les différent mpyens proposé» pour ' liquider {"arriéré, Les uns ont voulu en confierr la Jî- 3 nidation à la trésorerie; les su très aux ministre*;;
’autres éùSo à de» burcfcB* partieuItcti. Lis t**· hii paraît dangereux , ld second impraticable; le 3*. ert donc le seul qui puisse être adopté, ·
La discusMço en ajournée i primedi prochain, Laveiu 1 fai* approuver, lt sj, la rfsoltitidn «OH' Cernant les jugement des conseils mHH-aireS.
La séance du 1". rtneieidor a été Employée au ic- iouvellcinenr du bureau-, "
Le président a prMhn»é,Içt, le rimltù dà sCTtt~ tin de la veille. Marbct est' élu président.
Un secrétaire donne lecture, dadi la séinco du «g pratrial du cooteil des Cinq cenn, d’uns lettre du commissaire du pouvoir exécutif près Ic.tdbunai «fmi ml du départcmebt de la freine; elle air conçu«· ce ces terme» : -
et 3 oui cç qui intéresse les meeurj- doit intéresser ïts législateurs, Une accusation-trtj-gravc, et Ibquell·· il »*igit de viol, se diseme an tribunal de-, puis quelque te ms, Cette affaire, qui ler-oit déjà jugée >ana Labsence d'un lémoia essentiel, entraîne une s {fluence tiês-considérable de pcrsontycs, et jur-toût de personnes do sexe qui , dans une des dernières séances, s'y trouvaient a,u nombre de plus de sooq. Vous jugerez, ciioyçn*. législateurs, quelle atteinte; des a il ni res de cetle amure peuvent par ter au* bonnes Mtceuïs, lorsque, traitées en publie, les juge« sont ebligét de faîte certaine* questions, dont l’inno-» cent* et la pudeur ont roijjoon à rougit. Ne serait, ji pas important que Ici causes de ce gcçrc ne fassent discutées qu’à huis cl&s? Cési ce que Ut lér- gis lateuri examineront dans leur si gesse. t» .
L’ordre du jour, s’éenent un grnnd nombre d* Kiemb re).
Renvoi i utic OOmmiuion/répondent d’aurrw.
Un des nouveaux membres 1 je hth d être présiv . dent d’uu tribunal criiBt&el, Une affaire acusidéli^'
Go >gfë
f «49 )
rite que telle dont on vous entretient, s'eit préjerr* -,
téedjni les derniers jour» de mel fonction!, et je
toit avoue qu'ayant à interroger un tiifarit de huit
■«, inr les liberté« qu'avait prîtes lut lui vin vitilhrd
de plus de Ko «tu, je me troitvais fort etnbarnui,
La ciïriosité naturelle aux femmes en aménaTt
Aïque fols un grand nombre à l'audience; comment
fyprcndtt alors pour tout lavotr et ne »caudaliter
ptrKraûr? Je sens qire tenir lecrettti les séance« de«
tribunaux iresr pas aani danger. Mais les tenir putkquen
tu pareil cas n'en entraîne peut - être pas
nwai.Je ne prétends rittt faire préjuger au conietl-,
jtdw itüknrmt que cette question qui lui «t los*
aiit par le cùnrmiMairc préi le tribunal ciirnioct
dthpcipc, mérite d'être sé rieuse ment examinée,
L’ûn/rt dtr jourt l'ordre du jour. '
Un membre Je demande que la péti'îon du cor*·
misiïitt soit renvoyée ait Directoire. ( M lit mitres ►} 1
Un s litre mttn bre : J t trouve la répo tilt à h q ueitns
du commissaire dans la cunslit ution. L'^rt. ecK
ditqae fies séances des tribunaux seront publiques.
Aucune espece de modifie ariens ne peut être apportai
critedtsposiricrn.
Je dt ta an de ¡'ordre du jour. — Adopté.
Chalet i Quand h constitution a voulu k pubtîcjrédrs
séances de! tribunaux, elle n'a pas voulu
untpublicité incompatible avec le« bonnes moeurs.
Il peut y as air des et rco ttf tan ces, sans doute, où la
pueut îi l'honneur public exigent que les présidens
®ambunaux dérobent au public les questions qu'ils
ost àfairt. On pourrait donc les autoriser, par une
hi d'exception , à rendre eu pareil cas leurs séances
■raittEf; car il n'esi pas de spectacles plus indécent
qui celui de voir îû&o dû sdo citoyennes assister à
vteabkbl» interrogatoirts.
Ou demande l’ordre du jour.
Bttxd's Ktatre langue a assez de ferme! couverts
dom les juges peuvent se Servis pouf interroger un
térnoiit qil accusé, sans être obligé d’avoir recours
• tu rtoii obscènes qui effarouchent la. pudeur,
ce m tout j-cint des rdcrcs chastes et
I
. i
ÿ (*5*)
i , pudique* qui CMiduisent leurs' filles à ch.sortes cfc séances', et s’il nt *’y trouve que des Icnrmes pu Hli- quei ou des filles impudiques, les moeurs n'ont plus nen à perdre. La constitution ordonne la publicité des séances; il j/y a point de raisons qui puisx^nt xtiditer contre cette décision. , . —■
. . On demande de nouveau l'ordre du joue. ■—Qu.*il soit rhotivé du moins, dit un mciuhre. —Non, non, l'ordre du jour pur et simple, s'écrient d’autes.
Le conseil écarte h pétition par l'ordre du jour»
On lit un message du Directoire qui invite le con- •eil à autoriser la commun? de Toulouse iemprunter sur elle-même une somme de cent mille francs, pour subvenir i ses besoin* pour la présente cariée. ·
K envoi à une commission. |
Delaporte fait une motion d’ordre sur l'êtlt des prisons. Rien de mieux , dit-il, que ce qui est ordonné ; rien de pire que ce qui existe. Les lois veulent que les condamqé· et les prévenus, le* femme* et les hommes soient séparés; qu'dn donneâ tou« du travail. dont un tiers du produit «trait réservé pour leur être délivré à leur sortie; er cependant, préve- nos et condamnés, hommes et femmes t entant er vieillards, malades ou en santé, tous sont confondus, tous août livrés à l'oisiveté, et u’exercent leur esprit que suj les moyens d'échapper de leurs prisons. Il faudrait peu de choies pour établir ua meilleur régime. Commençons d'abord par séparer les . condamné·^ Vingt-deux maisons suffiront pour tout« la France; ce sera peut-Éne vingt-deux fabrique· nouvelle), et le travail des détenus ccnnpeniera bien les dépenses que l'on sera oblige de iaire pour le· occuper. Je-demande que mes observations loicnt renvoyées à une commission, pour être fait un prompt rapport. — Adopté. ’ .
Delpierre fait un rapport er proposé un projet de - Téiolutiçtt sur les communaux, dont il propose le partage par feux et par famillci.
Impression et ajournement. .
j-j Dulaure, dans la séance du icr, messidor, par Stoliou d'ordre , le plaint de la longueur qye soutire
■- ' 1 _ 1 ' * ’
Gongle
NEW ÏÜRKPUBL
. f t5lf 1
Finttruttnin publique depuis le commeflcemenl dç
la résolution. de 1« triite destiréc dont l'ignorance
menate la gênéradon.présente, du défaut d’ensemble
de* lois rendues sur cet objet, et ¿pétillement, sur
ki écoles primaires et centrale»; 11 Lit »enter la néceisiié
de prendre tout Les moyens pour former
J‘opinîoKf cette reine du monde dont 1e trône est
tien plu» inébranlable que celui de toute» 1» puls*
MScet. Il préienle un projet analogue ans principe·
qu’il vient de développer.
Le conseil en ordonne l’im pression.
- Le Directoire . par un message , annonce qu'il l’em·
pic lac de faire paner l’apperçu des dépenses et de»
Xctttei pour Tan Vil, conformé ment à l’article de
U constitution qui vent que cet apperçu soir pté-
Kfité daoi lt courant de messidor de 1 année qui
précédé. H résulte , d'après le rapport du ministre
fies finances qui est joint au message, et auquel le
Directoire déclare l'est référer, que les unes et les
autre» (recette# et dépenses) le balancent, et qu'il y
.aura néanmoiui pour ladite VIIe. année, une réduc*
-Jiob de i 6 millions sur les dépenser, en sorte qu elle»
jouiraient être définitivement fixées à 6c o mjlliams.
Le Directoire invite le conieilà examiner le» pièce»
■fit mémoire» qu'il fait paner à l'appui du rapport,
tfifin qu’au i*T. vendémiaire, tout ce qui est relatif à
'Mtte partie soir arrêté irrévocablement. Cette mesure
Hui parait d'autant plus essentielle qu elle seule peut
rt«hi6cr toutes les parties du commerce, ce nous
procurer uot paix solide et durablr.
i1· Impression et Tenvçi ■ H commission des finances.
< Fabre ( de l’Aude) saisit cette occasion pour rap-
^pellcr que depuis plus de -dix mais, il a été nommé
une commission de douze membres, pour faire un
rapport sur les économies et les réductions i opérer *
¿¿utiles différentes parties de la dépense publique.
’Son Travail doit être prêt. Si elle différé, nous serons
,J obligés, continue l'orateur, d’adopter, pour ne pas
, Îsire manquer Je Service, les njeiurel qui nous seront
X frire ni ce s, quelles qu'elles puissent être, et nous
T'Uroûi inhillibUmcï» expose» au* même» in couvé-
■>inind 'i o^n
W YORK Pl.TiUC UBRARY.
. . ... _ ■ ; ■
nïens que pat le passé-Je demande dodc que ce rapport
»oit fait *ous deux décades. . ,
Gctdsakux : Je ne crois pas qu'une seule tonuni»-
»ion, fût-elle de douie, Fût-elle du double, suffise
pour vous faire un rapport satisfaisant *ur un objet
aussi étendu et ausii compliqué que celui des Hnud-
CC*. Il me semble qu'il devrait y a voit autant dte
COmmiss¡noj'qu'il y a de branche* .d'adwuiStratSQQ,
ùu qu'il y a de lumisictE* comptables de lents, opérations
financière*, et j'en fais la motion expresse*
Le conseil arrête que six coiunsisSÎod» seront formées
pour cet objet. —< On procédé ensuite au.
nouvellement du bureaux et pendant lç dépowillo-
*cnt du scrutin Jq conseil discute le projet de ré*cflutina
Sur Les (citamens militaires. .
, Le résultat du scrutin d'hier, a été U uçmÏDation
du rit. Chénier à la plaça de président, et des cit-
Joseph BonapartetMcnsor, Beithicr et Portier » celle
de secrétaire*.
Dubnia (de* Vosges), organe de la cotnin'stiûj*
de* inspecteurs, a fait un rapport sur l'organisation
d·* travaux des employés du cooieiiF
Impression çt aj a □ rue ment. .
On a repris la dise ussicttiur les testament militaire*»
L'ordre du joui du 3 appelai) la dï*cu*tion sur le»
UEiamen* bu li ta ire*. Le rapporteur a établi le fajt
principal qui a donné heu au rapport et au projet de
résolution tur celte matière»— Impression du projet
et renvoi de la discussion au lendemain. -
Cabanis» au nom de ta commission d'instruction
publique, a fait un rapport sur la police médicale*
et présenté un projeL de tésuluûoa; Vltci a demandé
la priorité pour celui de Bar ai lion. — Accordé. ,
Le conseil discute , dam sa séante du 4, le projet
de résoluüou relatif aux poids et mesure*.
Savary, rapporteur, donne de nouveaux déveiûpperuen*
au projet de la com4i*si,ot*.
PiiQD'du-Gaknd le combat et reproche aux
lature* qui ** sont suc ridé**, de n'b voir présenté
que des tyftâmc* vcuatilcs et quelquefois contra dutaire
t,
GO( 'glc
t Srnry répond aux objection#* Il observe que c*eit
{ *ûine un -nouveau projet que le perfectionnement
■ de celui louinii au conseil depuis nombre d'année*;
que Je système est d’si heurs si simple, qu'un tufaut
le concevrait et l’apprendrait en un jour.
Le conseil arrête l'urgence du projet et renvoie U
discussion ata lendemain. > r
EHt !1 ouvre sur celui conternsai la forme des tel·
ramena militaires. Le rapporteur propose un projet
de résolution.
Un nouveau membre attaque ce projet. La légi.t»
Ution française, dat-il, ne doit pat être composée de
pièces de m arque rte ri e î il ne doit pat y avoir de Jé<-
giilation particulière sur le» ttJtamens militaires t et
cet objet doit être traité dans le code général»
Duplantier combat également Je projet. 11 invoqué
les principes de L'égalité, et La plu» favorable de
j toutes Je# mesure» qui puissent rassurer, est celle
,! qui, divisant let fortunes, tans en gêner F exercice T
dam la nain des po ne sir tin, les prend ■ leur mort,
pour Les répandre sur un grand nombre d indl··
vidua
; Il crok an teste pouvoir opposer au* loia rem» in ci,
invoquée# par 1* rapporteur, Le mal qu’elle» ont fait
à Rome, qui marcila vers sa ruine, da marnent que
■L te# douie table» cotisacrerent dans le» main» de quel·-
' que s individus, les riches dépouilles de l’Atie, Il
Ajoute que rien n èst comparable elitre Rome -et la
France. Nói soldats sont armés pour défendre leur
, paitic ; ceux de Rome employés i conquérir H mort*
de, devinrent bientôt ceux de leur» chefs, dont il»
'■ obtinrent de» privilèges qui le# rendirent enfinariii-
«lis de retar.' * '
■ ,11 termine, en déchrant que des lois rtauTfénU
tories doivent noblement acquitter les dettes d-e li
■ patrie envers les militaires, mit) qu'il ne faut point’
faire en leur faveur des exceptions aux droit» cnm-
, munis. C’est eu maltiere de succession ¿ur-toui qu'il .
faut, suivant lui, èrre avare de faveur, sous peine
’ de voir-bientôt s'élever sur Le» débris de» forteresse»
de U féodalité T les uouvciuX palais de nos Crm» ut
Goç igle Olglrtnl tfctm
NEW YORK PUH UC LIH.S.ÄK
' ( î5iî , .
rnodeme·, et toiite la puissance de* fortune) t ztt—
menses H voie contre le projet.
Jacqnrminot a répondu aux ohjectioni.
On ¿«mande l'ajournement à 'trois jours, apr<ÎM
1 fi ni pression et h distribmion des divMtie· opiniom«*
Porllerf de l’Oi ae ) s'oppose à ce qu'ori arrête même
Un simple ajournement, si Cet ajournement supposa
qu'on doive prendre sut cette matière une résolution
d'urgence. La question lui paraît de h plus haute
importance. - ■
L'opinant conclut en demandant i'ajcurnemenf
constitutionnel. ■ , '-
ClioJlet appuie cette proposition ; elle est adoptée»
La discussion sur la résolution concernant La comptabilité
intermédiaire a continué dan* la séance da
i, du conseil des Anciens, , _
Rossée a parlé en la faveur. Il a observé qu'il était
impossible de r épar lit cette liquidation entre les difiércjifl
ministères - et que la dépense du bureau qui
fiera.établi n'efcçêdera pas Soü.doù francs, 1
Le conseil app.oiive la résolution.
Il s'occupe ensuite de la résointi·» inr 1« régime
hypothécaire, ■ . . ■ j
Plusieurs memhjei remarquant que cette résolution
D’est qu'une nouvelle rédaction de celle qui
d été déjà rejet té c * et demandent l'application de
¡'article q; de ia. constitution qui porte qu'en ca»
d'qmisiion des formes indiquées par l'article 77» 1·
conseil déclare que la constitution annulle.
Celte proposition est adoptée. . ,
Cornu de t, au nom de la corn mission des impec*
teurfi, a fait» le 4 » le rapport sur les dépenses du
conseil pendaot l'an VIL impresiiün.
Il s'occupe ensuite des Uxaiions des receveurs d·
dêparttmens et de leurs préposés.
Guyomard voudrait qu’ilt n'eussent qu’un traitement
fixe. —C haj*i rem défend la résolution. Ces receveurs
doivent, selon lui, être indemnisés det pcrtei
qu'ils ont faites du trms du papier mormaic.
La dircursiOD est ajournée.
Le conseil des Cinq-centi a adopté, dans sa séance
du. 5, le projet'de résolution sur les poids ci mesures.
□r■j’-ai trar
MEW YORK PiiBil C LIHKAft
( iss r
PARIS. ATomàâ, g Memdor, fdn VI de laRipubliqut*
L'impatience est t«i>jourt b meme au »jet Je l’expcdL
tifti de la flotte de Toulon. Mat» l'inquiétude te tslme, *
aHnre que le teins s'écaille. C’est le cas de dite , avec
Aduion ; Point de nomelltt; éflBftei noiivriiss. Depuis trente·*
luit jtuiTs. queia flotte est »urne de Toulon, on n'a rien
tu de positif, que ce que det leilres du 10 et du r i prairial
tü ont apprît t et ce» Eionvtllet avaient laissé h Aorte i la
foïote au nord de Ciste de Sardrigoe· Il ne paraît pa» depuis
lots qu'il y ait eu aucune rencontre avec le» Aujhij.
On i Seulement dit , sur L> foi de quelque! leltrei partie a*
litres, que Honapirte »'était ettpaié de l'iilc de Malte-, d'un
autre côté-, ou cite une lettre- -du grand-mainc de Malte,
Lreçue , dit-on , A Rajtadt, mai« dont ou ne donne pas la
date, Cette 1 ettre, que nous lommcs portés i er*ir* plu·
-que t-curtç autre a prouverait que la flotte a passé i Mahe,
.et non qu'elle L’ait conquise, ni même qu'elle eu ait eu Ee
dessein. .
Elle porte en substance i r» Que le général Bonaparte a
pam devant L'iaii, et qu'il a envoyé un parle tu en taire [tour
demander l'entré« du port pour sa flotte , dont quelque* 1
vaisseaux faisaient eau : le grand-maître lui a fait réponse
que , d'après Les lois de la neutralité , il ne loi était pas
petau de recevoir dans son port plus de trois vaisseaux
de guerre , avec un norabre déterminé de gens d'équipage;,
qu'en conséquence , le général français pouvait envoyer
Unis vaisseaux 4-la-fgis pour les faire radouber; et que s’il
l avuit besoin de quelques objets pour sa flotte. 00 le ferait
un plaisir de Les lui fournir. Sur cette réponse, Te général
s envoyé trois de ses vaisseaux , et lorsqu'il* ont été radoubé
· , Il a continué sa route, ss La ¡erre ne dit pas de
quel cité 1* flotte s’est dirigée-
S'il fsut en croire des lettres de Toulon, on aurait sigallé,
le s8 prairial, une flotte anglaise que l'on dit être
. de 16 vaisseaux de ligne. Si le fait est vrai , notre flotte
autait poursuivi uni obstacle sa route „ et devait être uti;
vée 1 ta destination. Ce qü’il'y a de positif, c’est que le
? gouvernement n’a encore rien publié d'officiel sur aucune
. dr eu rltrconilancEj, _
*■ '! ■ ‘ 1
1 Talleyrand-Péiigard a été chargé, par I· Directoire,
pïéfiicr un traité d'aiüjutc et de commerce avec ii Répu-
CMfjInFil tiîir
NFW YORK PUBLIE LIBRAHY
■ (’*sâ )
Clique Helvétique. et l’a nCnumé à ctt effet ioa afmitiré piinipoteuiiah
e ; je* qui i fait dire à quelques aouvelbstti
Îuittait le tnioistere- des testions, pouf se Tendre en Schmle
qui les a induit» cp erreur, c’en le Bitit de inimitié plëuipûteDiiïne
qui lui a etc ccmfcrc pour cet objet ; nuit i|j
n'ont poinl fut attfütioü que , pour pÉgucïcr un tfaïtë, if
faillit ÎUe revêtu d-'un pouvoir ad hùc* Aioli La qualité lU
minime pléüipoieatiaire n'occasionne pu plus, jtrn drplice<
' me ni dans cttte cirtûnnan çc, qu'il ne l’a occ-siciune lots
qu'il a rédigé, eü celte mêipe qualité, le traité îvec la Répit
blique Cisalpine* '
Le «t> Roberjot, qui devait se rendtc i Ruiadt coniej
iroiiiepie plénipoittuiiire , a reçu ordre d’ilhr i la Haye*
ioù les dernier» évéetmens arrivés' en Hollande rendais tri i*
présenceUrcerMÎac.iCiiirlBi Delacroix revient, et l'on peine
sju’il ira habiter ta ffiniaa de ramptgne à Charenloh. Chiaujpijinji-
Aubin reste c Large d'alfahes jusqu'à fat rivée de Raf
Le (fruit s'éiait répandu d’irne prochince rb fibre irtt
L’Empire. Mais on a appris que le» conférences ifvaieirtveptü
tonte lin r attiri lé deputi l’arrivée de Jean D(b-rjr * ÏÏUriidh
D’un autre côté, cm usure que celles de&clii touche mi lent
În_, et que Français ; de Wctifchiwïti] en »irr le point de rik
venir, et que U mibuterE de l'intérieur fui ut destiné. 1
' L’insurrection ælrlapdc prend de jour en jour un caTTCieflf
plus meusçint ppui h Grande-Bretagne. Qn «ail positivement
auj ourd'lmi que les ineur^es sont itili très déplu lie un copnér,
et ■ntr’ntres du port de Weidordl, et que le mouvement inaurreetiopncl
ta propage en tous points avec une telle attirili,
rquç les troupes royales, déjà battues plu rieur» fois , ne savenj
plus de quel ctìté te porter. Les gaiette» tuiq.hiéritUe.1 *on|
très-laconiques. Les 3 pour IOO consolidés sont ttuijo-üT* fermés
ï le gouvernement aurais se conduit avec ■ne alteri*»
qui n’est propre qu'à rendre i incendie plus terriblt, On déplore
h mon dskird Jilï^Qunld, et celi· de plusieurs brai t*
drlarrdiii que Von ■ fait périr sur l’échafaud. *i
—--c
Les numéros sortis sont : 36 , 4&. 8». 44 » 3g.
LL II ,
Lxh oix-La ne sa a, Rédacteur t» cktj.
i: ·■ CjO rglc
N·,
RE FRANÇA
■ ■ __ -___________ ___ □. —______â_____ ;___ ■__ïfi__—i
DécABt îo Mfssidor, î’-jh lie la Rj^uMtÿse.
■ q* ■ -- ' rr
ÉCONOMIE P Q 1 1T I Q, U E.
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J
Fét* St Ht tf ikt Pour , etc. De l'Étal du Pauvre ; ou
Hnioite du Clams rtiutrabtis, tn dn^ltttrerri, dtpuii
de la conquête, jusqu au montât prisent i par
ar FiiDÈSic MiïiW Et>HN. Tfoii valwiut in 4’1
M9T· b 1 1
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f H £ M I E Et ! ï T S A 1 T.
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Li'AïrTEi.ra tbodestt de cet ouvrage rf aspire pu tut 1
la gloire d'un antiquaire profond, ni d'un bistoricÀ
politique , ¡agréable et ¿¡oquentl II i'e contente du
inçrilt pluà obiotr d'avoir rassemblé beaucoup de
tenltJijnetncni instructifs , et présenté quelque! vue*
iïorivçllet lut l'état des pauvres en Angleterre , et
Arles mbytJis de l'amétîqrers il croit avoir par-là
tendu plus faciles les travaux du pouvoir législatif
fflr ce point important, avoir mis àt nu tbus ]êi disürfres
t|es étabLissemcnj actuels de secours, et tracé
les nioÿeui principaux, où de les réformer, out te
■qmi vaudrait encore mieux, d'orgsniser de nouveaux
rtibljjSEmenî sur des plans mieux appropriés 3 leur
but; Quoique le défaut d'ordre dans la distribution
dtimatières , et Ici fréquent« excursions sur dés
i-luiiwlhs-i
WW YORK PI. "il IG lintlARY
• 58 ]
objeji ¿franger«, rqcdxnt la leetùre de cet envrajt
auet brigante, il offre un tableau de fs iti curieux ,
XMiciqblés »ne beaucoup rie patience et de soin -,
«t k* resultiti que l'auteur en a tiré* ruériteot d’être
fOnuu* de rojp le· écrÎvaim d'économie publique et
de tou* kndw in il trattura. ,
.. Ripa t/cit ri difficile que d'analyter lei ¿crin qui
*qqi le fruit dei recherche· d'un compilateur ^plutôt
quell *pMductiaa-d'un esprit méditatif et original;
dans lcr que!· ce ne sont pai ie ul entent le» falli, nsiis
pncbie »ouvent k* idées que l'aùteur *'e«t donné
ì> peine d’è ria prit nte t et de recueillir dei litres de
*BÉ p^édéceiseurt- Tout ouvragé qui ne ferme pai
"uù ïdul limple , q’uin’eitpai l'ciécution (Tuu plan
régulier, qui ne roule pat tur un cerniti ucmbrçde
COU»idérltioni plbicipale·» autour duquel!« Ici dé-
¿ç bPlîf’ d'unité, plu* d'ensemble, tout ouvrage, dit-jt,
jprivé de ccs qualités, nekïçe jucres dans l’s»prit de
jlectçur, que desio uve ai u isol^T et pariteli. Ce okst
jjoçjtanr pai une rahop de le dédaigne?; car îeleit
Bécotai rem ent le caractère de tous ici recueil· î.ji
/’agit seulement de siÿpk li,les matériaux qui! s-rCtl*
jécrmeut valent la peiqc d’étre mie en oeuvre ; Ç
lorsque ces matériaux présentent 4jn gr^ud objéf
futilité, oo rend encore un icrvi« réel en Jes
qu/nu Nous ferons plus : nous allons essayer 4 e fait#
Xpnnaître Ici détails qui nous paraissent les plut
jdignci d'jnrérencr noi lecteurs dans l'écrit ckiiir Edith
- . Jkprrmjtrvol ume contient deux livres, et chaque
jliqce turi» chapitres, Dan« k premier chapitre, V*u*
/•ui. dcnuelç tabjçau bittnriqvcdc l'état des patrioti
Îrt AngleréK# , depuU U conquête ¿«1 Normand! * jusqu’i l’époque de la réformât ion ; dan» id leccnd» depuis la réformatîût) jusqu’à la révolution de iG8®j 6 m k (roisicmcii depuis la révolution jusqu'au terni préient-, dam le quatrième , refld compte d<> établisicmto· formés pour l'entretien dé»’pauvre·., des loit.ûtr la mcd^ïcit^» rfotüniiïieut du "bill de Pittj le iktquieme 'trafic de b noqrriiure ,. de ?h’ab)lk- rçeut de» pauvre· eu Angleterre, de la manier? dont il· sont Iqgis^ pcijirés, cbauifèîi etc. , enfin, lé dentier a 'pour objet les sOCiàté» Ctisritibles , Cori-· tine/ipui lé nohi de Fritndly' Sbciftifi'. ' . * v
Cet ouvrage de •ir'Edenr noui hit conftaitré l^Ah'- r|)ete(rç par d?» côté» qu'aucun Kisïé>6êii7\âucùù Voyageur n'avait ^eint» encore. San» doittd , ^0^0·* trie et le1 éétmmercc de cette nution otii ¿tfpouHη fort Je.in i il séraïf puéril de vouloir le’iiîcr' j mai» ¿â n'tfl doit trouver que plta* étonnant rTy vdii dil abris' auijr grossier J, au«i funer tes qde pîuiieur» Jt? itéiii relevé· par notre auteur 11' n’ait aucun Paji ‘dt l'Europe, laa· exception, d*oû ta ôiitéré ét'J? manqué de travail ait banni, depuis fi cbmmcndfr- fijciit dû (iecle.un si gr^nd nombre d'homme· utile* et ]>Üotieux 1 et ceîte ipçme Angleterre dont il* ■Ürterrr â gTaud· Buts, en pourtant tncoreïe paya 'qui contient le pîui de bruyère· inculte·, ¿t tJi* ■èiti, de' bien» communaux. Ciici aucun peuple db hterte, ki cou tri bu nom volontaire· etforce «j pour l'intreiicn dt» pauvre* , ne iûdl a uni comidémbidt |ltt demktcs ont double depuis vingt am) ; <t nul!· pin femplci de »omoiei si considérable» n’a produit peu d* boiïi 1 ni autant d» atauyaii effet·. ’ "
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NfWYQFlK P.JHI ICUSÎIAR
, - F - . J .. -
D'apréi Ici recherches de tsuteur, c'est du teint de Richard H, vers la fin du quatorzième siecle, que les loi* commenceront à s’occuper de la répression du vagabondage et dessecourti donner aux vérl* tables tticéipfteüu II croit qu’avatit celte époque^ et dans le leurs de la servitude personnelle* chaque maître nourriisant ion serf, celui-ci n’était jouais d«ni le ¿aide quitter ses foyers, pour chère fier ail· leurs une subsistance plut facile, ou du réCluner le secours de sel vouins, et de leur devenir à chargeMais cette opipion parait inadmissible· Non-teuiç- m en tic» propriétaires féodaux n'avaient pas loujouri la. volonté, mus ils n'étaient pas méme toujouri »H itM de pourvoir mi beioitu de leurs misérables vaJiiuc Le» docuraens les plus exact» et les plus ■urbentiçiH» apprennent que cei derniers, trop sty du peu dc^ccauri qu'ils pouvaient attendre de l^ajir^s barbares, ne s'amusaient point à les récia* met, xt. p référai eut d'abandonner leur demeure Ci If
é - . * F. t ■■ , a
l^éu de leur nïitianct, pour aller easayei si dautrfi» tommes ne U montre rat Entras plus se lisible» i le «ri malheur«. Lp.'cédules de fondation, 1« chroniques (Je tous Je» fondateurs, les livres journaux det mo» natte ici, ainsi que les histoires de tous les princes célébrés dam le moyen â^e, pour leur bienfaisanceT prouvant que du utot de la servitude , le ncunbfe . des pauvres et des mendiant était beaucoup plq» Considérable que dans les terni postérieurs. Aîdi'h
- quoiqu'avant Je regne de Richard III , les lois 3D' glaises ne ton tienne ut aucune disposition relative 1 )a mendicité-, il ne t'ensuit point qu'on n'eûl VUjff- / qu’ai ors, ni pauvres, ni mendiai,! déhistés dans
1
bt Google *
. t *6< )
leur détrtisc | mai* vraisemblabkmtnt en regardait reiiltettçe des premiers «mut un mal inévitable, et les soyveTajftî avaient cm pouvoir abandonner les antres A la charité des monastères et des posseitEvn de bénéfices ecclésiastique·« <
Les pTtmicrei kïs anglaises qui knt mention des ouvrier* libre*, datent de Vannée ijio.Depui» cette époque, kslégishteut* paraissent avoir été fort oc* errpés de fixer le rapport entre le prix des journées de travail et celui des moyens de subsistance , pu des réglement généraux toujours éludés, comme ûù aurait dû s'y attendre , mais qu'on s‘es t pourtant ' obstiné à renouveiler sans cesse,
. Vers le milieu du quinzième siècle 4 Ici vitriers furent rangés 1 en Angleterre, parmi les ouvriers s ï'anteur croit que ces vitriers n'étaient pas des gent du pays, tes vitrés des fenêtres étaient si tares encore en i56y, rairaa dans les châteaux, qu'on ne le· mettait en place que pour le terni du séjour dea. maîtres 1 aussi-tôt que ceux-ci venaient i s'absenter^ on enlevait les cbastis pour les serrer et les cqh- terver précieusement. Il paraît que l'usage ¿e» vitres ne s'est introduit chez les fermiers et cultivateurs, que du te ms de Jacques I*1- En Écosse, Ict *
de campagne u’en avaient point encore eu l$6i ; et Jrt palais royaux eux-mêmes o’tü. avaient qu'aux étage* supérieurs«. ,
Sous Henri VIH» une loi rendue en i53o, partz* gea les pauvret «n deux classes; eu jn;ndïam vaga» . bonds , et tu honnêtes nécessiteux·. les derniers pouvaient obtenir un pane-perr dés juges.de paix , et demander Taumône d<m un cenicnite ¿¿terminé
1 ■ -
/ - -
□ranci lî-im
NEW ÏQfiK PUBLIC L1BRAR
Got gle
(rt* I .
Ji loi roulait qdè ht autre i furieot* fiauéttés Jarqu'an Mng, erqu'aprèa cette correction ils s'engageassent - îvec terment, A retourpci’ chez eu1* haut délai. "
Il parait qtfe la a end ici té privilégiée avait produit beaucoup d'inconvénient eh de désordres.„Par Un jtitut,publié en 15J3, elle Nt interdite ,n ltr 1 communes forent chargée* d'entretenir leur pauvret, partie du piodüit de iouscripiiotii Volontaires , partiedvrevenu des fondations charitables existâmes âam léttr a trou dis s tâtent. Cé ialcne »tarut aggrava lés'pu AitiOtU in Priées par ici lois antérieures aux mendiant vagabonds i est ioriquih liraient pour la seconde foi», on ne devait plus se borner à lei fou'elteï jiifqn'au sang; ou devait leur couper tfa Outte line partîé de fortifie droité; À la «aiihtne fïiîs-, ils étaient condamnés i mort, comme etmemü' dé h union. , '
1 Après Utietrïtfétfon dès mooMtetta et des aut^f fbnd Étions cgrhtfliqtics fous Henri V11I, les pluvrâi ' ft trouveront privés tout-à-coup de secours^ deve- ■ nui pfirt rfé¿essaim par ^habitude même de Its,1 ~ rteevofr, et auxquels on n
d'équivaïen* r it est tir, et tes lois de ce tenu en ¿dûïla preuve, que la tpi j etc. la mendicité, le va- gabonddgê t firent Llentât d'effrayant et rapides prû· grél."· -■ —■■ , '
Sous Édouard VI, les mendiam vagsbdn da cjteijr
ftrtnt plhs fortement encore raoentioh et k$ craintes
du goùveïu emeut; Les lois devinrent de plus té
plus si vêtis. il fut ordonné de marquer d'un htf
ttjaud, sur U .poitrine, les hommes et les femmes
, qui étant stius et vigourçus, tcfiisaîtiit de travailler
h ■
levait p^s ipçorc cberthj? ‘ SÏÜ --¿r1
' ’ M *
k
I
■ Go< ‘île
{)
et l'obtîuiieiit | mtott la vie mendiante: etbutt·
on ki livrait à quiconque voulait i'cû charger, ea1
lui donnant lut eux , tout 1« droit! do tu litre. ab-
■olu, pendant deux au· consécutifs. Le menditntS·
ciclave qui aprèss’être évadé de la maison du maître,
p« revenait point dan» le· quatorze jours , de V rit ■
lire marque celte foti au front, et il était coud*mûé
pour h vie I l’eSclavage reafin^t^l cherchait encor»
i s'échapper, où le traitait comlfae 1» autre! Jféîvu/
il était mit à tnoŸt. - >
Ce fiat du t<ms deîakine Éli^twh, qtf 6fl ptrut
a'appcïcevolr, pour h premier« Foi», combien le*
dosai volontaire» étaient insuffisant pour r-cnttedea
des padvrtt. Le» Juge» de prix fuient autorité» < ia*
poser d’office, une tant dt itmrri sur kspcrvone«·
qui ne Faisaient pas dellermèniei de· aumônes pH>*
portionnéc» à kur fortune. Ce» magistrats fdreM
chargés en outre, d’étabik de» attellera publie*,eh1
te» enfans putieot apprendre différent tuéiitr»; kt
ouvriers sam travail, trouver toujours dt Ikmptait
1»· mendiant paresseux, être retenu» de. fore» et
contraint» i sortir de leur ofrivetê. La loi mental*
les mendiant, du fouet ce de la marque à i'erqiri*
' avec un fer rouge t »Tli étaient pris ruse leeoodd foi*»
«Ile le» condamnait à mort, i moïiti qu'ànc pirvehu»
compatiriante, et comme dam le pap» n* « ckwdkux
pour deux ans, en les preuitit en qualité
de doTncitiquci^erfii Cei punition» furent adoutk*
par le· Statuts* de 1S57 et riosjet rn même ttUM^
oe régla d'une manière plu» fixe, et-avec plti^dÿ
loin, le· Èoutributïùu» forcéèi pour le· pauvre»,·.
'■ L'Ècmje est racorc aujour&’bui, libre de la tant
dn.nl Item
PUBLIC LiBRAR Go glc
. ·' (***)
qui monte cp Angleterre i plu* de
<foii millioni »tctlLpjjx Ce fait en d'autant plu* re-
4**iqu*bte Que l'Éço*se *V*Ù de» contribution! pour
les pauvre», vingt an! avant (Angleterre,
Quoique depdis 1* leju* ¿liiabcth , h ville de
Xondtei le mit considérablement aggrandie., cet
■ccwiMcrnent de k capitale n’est pepçndant pu
proportionné à I augmeqtaiioq du nombre des pauvre;
qui y'pullulcut, ...
Dam plusieurs ville* d'Angleterre, pendant le
four* de ijjS, te'quart, le tien * et même en quel·
que* çadroin k moi tic des habitant oqt été mi*
Je registre des nécessiteux, et ih ont reçu lessecouri
de k ebapité publique, Depuii lors, cet éfat dç
cbfW,, td propre à dissiper lç* fumée* orgueilleuse*
dû gouverne·?cm bnt*npiqup, dc *'e*t pas amélioré'
*prriout dan* <c* dciuiçi* maipciii, . .
t Soin Jacques I«& ,.le> qucicancs et cruelle* loi*
entre le* meadians furent itmites en vigueur : elle*
duWfût jusqu'au 10m* de la reine Anne, tri 165»,
Uacn fut pjamplgucque, dent l’objet principal était
HL· leiiçudu domicüc de chaque pau^rç,
d'après, qcrtrinçi règle* précise*, et de taire cunmaitrt.
i chaque cQfpniutip, cen* des habitinsse sou
ecfdLoù* qu’çllc devait «ccqurir dan* leur* besoin*,
ΐ *j:Q*ble que cette loi ait servi de base à celle dç
sou* le titre de law tj Stlltmtni , d1*-
j*rà> laquelle chaque .ouvrier peut enfin aller s'éta-
LilT où 4 v*ot, e( y rt»ter tant qu'il *»c devient pa*
èxbarge au publie, ■
A h tu* du tccand chapitre et dan» 1* cour* diÿ
peiirtme, rameur p? contioue pa* içuleuMpt Γςχ.
□ngnii trar
>JEW YORK PUSil C LlSRARÏ
i <03 )
position -des fait· et des loi* relatifs i 1'4(0 d« pauvre* ; j] Jaune aussi d'intércss^n* »tratts du ouvraijes qui traitent de l’ayiriônc et de la weadicité. A te pitfpoi, il rappelle particulièrement ¡h pressantes invitations du célébré Lotie pour l établissement d'école S d’arti et métiers. 1 .
■ Ven le· dernières années du sied* pissé. , Ici pges^d'uu journalier ¿taimt portés , dan* 1« Hé* vqnsbire, tout au plut à ms.lirres (s) et ti* tch*Uinil ttjwd'iiui, iis vont au-delà de /trois fois b même somme, , - .
Vïcureux début d'un «ttdier de Bristol hit cause (?e dans différente» villes, ou tenta h mime genre d'étahlisiemens, toit pendant le régné de Guillaume* m«t pendant celui delà reine Aune. Dé*l'a» 17*4» >i icrjFain plein d'esprit et de sagacité ht rtu«· VÇtltl lùcnnvénieo· de edua de M| Uteli<H;dMt îeiqwl* oe voulait faire «reculer des travaux que ici entrepreneur» parttcdlian et les ouvrit ta-payés pat çQi.vxccüuicDt déjà beaucoup mieux sans do et ■ st i bien plu* bas prix. * - <
1 Sont te roi Georges Ie,· Fadminritraira· teis*>t encore à ce système ; mai* on Pavait rapptoqbé. diras I îa pratique, du moins autant qu’il est possible, du I qui puisse être constamment bon. Un acte du ¡''parlement permît aux communes de construire eu l’ dt louer des attelierl, et de traiter avec des emtK- |"'preneurs qui se chargeraient d'ocxapcr les paôvicr pde llrrandis* ement , de Je» loger, d# les nourrir,'
|'j
i Googlé
-onk -.ini ? I r-.’’
. Î *» >
de 1mvêtir, ïn vertu de cet acte « tlyvoi beau- 'Mnp.d'atteliers établis dans ici province» et dan» Ji capitale. L'eniterieit des pauvres devint pir-Jà T di4*nfdtrtieun catitcn», tuoini cher qu'il n'ivtît été jirïqti'lîuTS. ’ - < '
Cependant cet bot» etfèti doraient feu. De» le» Henx ÿà it: y avait de· «lleBen, le» cOntribulloni . pbur l»i pauvre« »lièrent en cugmenunt, tout commit dtni Mnl oà il· n y «i ivn) pa»i et les eipëfince» de la nuritm iwr de» ¿ta b finement ?4hi> -amélioré», ne.furent point remplie». Une terrible morulité. qui te fit sentir en particulier tue lés en fans, fut un de» fiétux qu'on «utè ku» imsputfrj et te ne fut pa» Itf •»■1. .
Nqirt auteur tejerte entière ment l'idée du lord KfctWel, qui pense que rien ne sertit plus avantagent pour la nation, et pour te» pauvre» tiix-mêinc·, qu» l'abolit ien de» ta#«· de te court ei de» cbarîtéi publique». Sir Edes croit que le projet de » en rapporter i )h sedk bienfaisance particulière, pour l'exiittc^* de» né ce ni leux , aurait dans son eaêcmion le» plu» grave» toeotivénicu», et teràjt même capable de pr-o- duire deceonvuUjons fouette».Cck peut être vnitcaf «U n'abolit pa» impnEêaent des usage» que la vertu peu.éclairée diracpart, et le besoin de l'autre, «·■- auernt également » on ne c hangjs pas uni quelque» ’ ecMBHtton», le cours habituel de grands capitaui affectée à certaiac» dépense» fixe». Cependant rit ,' £den avoun aÿléon que le» avantages des csnlTÎbur dons forcée» pour le» pauvre», sont plu» que coffly J pensés par le ut» inconvénient ; que ce* contribu- I liOot tout tïés-vcxatoite» et réparties avne beiucouj
/1 ml’ OTgiiwi irom
1O l \k NEW TOP.K PUB L t . IB -.AK
¿'inégalité î que leur effet le plus dire te elle plut
Aident cit d'Étouffer« ou du mnim d’affaiblir d’une
minière «xtrémtoetnt remarquable, Ter ieirtisnen* de
bienfaisante et de ccm»mjséHtion. Nos lecteur· pour-·
njiir trouver difficile d’accorder ce· dcrrticrs pn··
üges avec l'opinion bien prononcée contre la rup*'
preijion des tares. Mais il* aüfont bien plus lieu de1
s'étonner de l'état où' ■« trouve l'Angleterre, nialipenjçBt
aux secours public·, lorsqu’ils entendront
i'attçur établir avec assurance, que les souscription^
de bienfaisance, ou [es aumônes volontaires, udi y'
cottptendre les revenu* affectés au* hôpitaux, auh
&&ks gratuites, aux asylei de vieillards et d'in-' ’
finncf. en un mot, sans y comprendre aucune fondation
charitable quelconque( vont beaucoup auidji
des contributions forccét pour Ici panvrel; et*
fd* par coaiéquent, la mendicité coûte ■ n nue lie—
¿ênt’ à Ja nation an gîafsc, près de sept mi liions de
JfvjeisterltDg, c’est-i-d i re pès de cent soiiante-buit1
qûRionj dé livres tournois. ' ' ' ' ■ 1
On'¿ait que d'après dn calculs rigoureux , lé
ecmitê des lecoarî' publiés' de J’Art emblée consrimante
avait porté , pour [□ France, à cinqnrite oa1
cinquante-cinq millions, tout au plut! les besoin·
As pauvre· à secourir par la bienfailliirt £ationalé»
ta y comprenant même les revenu· de tou· les éta-'
biiucrneni existant »Sors j d'autre· takuls moisf
pMris, mais cependant ai ·« a p produits de h vérité*
portaient au tien dé la métne jOxntno, les distrr*1
Butions âatiu'elk» de li bienüüatice piniculicre,
toit que k> fond* passassent par le» tnaim des mk
¿¿(tes de· culte» religieux ; par celle» de dire ri
. { »6# ) ■ fonctionnairet pnt’ies, ou de «HimiiuM«,chargés d’en régulariser l'emploi ; soit ’que tel peuonne» charitable· le* tramtrnistent directement aux nétes- riteux. Enfin Uor^aurtJ tion complet te d'une instruction publique gratuite n*aur*ir p** coûté, d’après Ici calcul» fait», ton» l'Assemblte lê^hlative, plus de vingt-quatre million·.... En comparant le» dettx-payi, dont le lecond contient plut de troia fait h population du premier, oe voit que le» Français sont loin ¿’avoir rien à envier à l'Angleterre, i«r ce point, aied que sur celui de la police ; et ces rapport» de nom pliait on qui tiennent à 1 intime ritnaticu ¿es chottt, •ont lei plut propres uni doute à donner ta vraii nrtrjure de 1a proipémé relative des deux nttiout rivale· i car tuHu c’est la quantité de pet »on ne· mi* •cribles et •ouS'rante· qui constitue le malheur d'un pays ; comme c’ett. la quantité ¿e personne» joui·* ont de» bien· de la nature et de li toctëiè qui counitne tau vëritabl· bonheurs et i on voit j auvent "juc là où le· joutiiancet »ont çancenirèts dans une «latte peu popit)reuie , 1« pays peut p, ¿tenter un certain upeçt de richesse publique , on voit aussi que là où plui d'individu· pourvoient amplement «élans peine I leur» premiers besoin· , où la distance tlt moins grande entre le bicn-Û*rc de I a $ lasse tbm» îbboc et celui des ch net les plus favorisées, le· ap* paccnce» peuvent être engins flatteuses, moins brillante* « et faite porter de» jugement tiès-faax à fob*. teivateur »uperbcieL . .
Sir Edeo pente avec Arlb tir Younj,qu'on devrait Mxer, une fois pour toute», la taxe des pauvres, sam permettre qu’elle pût continuer de prendre ¿et «-
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s.
Gût igle
Drtÿiwil n^-ti i
YORK PUBLIC LIBRARY
■ . Î ai9 1 .
trtiiitnicnï sürcèsjifs , comme elle a fait ju(tp?iprbent.
Seicu lui, c’en te seul moyeu d’arriter Iciprodigalités
pareilles, et influe Ici dilapidation» des
liurrilltn· ou 'diitributcsn de MCut»** publics» 11
fbieiVt, en outre, combien c'ait une pratique abuhre
de changer chique année cés survetlhnj ou
djitnbutcdri : l'on ne peut avoir par-là , dan» et*
pùcei, que des hcentnei sanf expérience , etqüi
l’ont pmqu’auena intérêt personnel à porter lotdre
»tU réglé datij leurs opération!.
Dans le» provint et du tud de l'Angleterre , la
noutràuri pt U tu aüïere générale de' vfrrç de» tlalrôt
Utanrfesi'ei rf®tt pas la mime que dihs lés province!
ddnoîd,:Lrf ouvrier! vivent de pain de frottent
et de fromage, dnm le «nd i lei perionocs qùl
nxicnt pas tA Hflat de boire de lit terre **cn dèi
ddmmagcEit ' éâ prenant du thé’plujiéur* fois par
iùtiTï il n'y a que cellei dont l'aisance eir iitêi irstieidénble,
qiri paüûifil manger de h viinde uud'fdî*
par itmainel· Ceirt viande est ,pouf forfitadre, r6-
de ou grillée ; raremeut est· elle 'bouillie ; erquiAd
tfc I est pir haiard, le bouillon Vhs èst ptim cifipteyé
pour M ttape. La nourriture du peuple'danf
provinces d'u nord de VAngièterre ctdatit I"ttfarr,
eétbeaucoup pim variée» un grand nombre
4t so'tipe* y sont en nsagê « lei trdei!Faîtei avec Je
► Fl tint dêîifée dut! du bouiAbn /U* autres «êèe
M gruau davoinr , de» poils etc· etc. Souvent cci
üly tance» jour cuise*, tout na pie ment dent-de
Kcau ; d»n» du lût Kc pettple uis
4«ai, dans le* mîmes cantons, de cette racine tubéteçic
dont l’emploi depuis quelque teint, est devenu
h.
OiigiMl liGin
NEW YORK = JFlI.lC l IfiRARY
< *7° )
SÎginkal Je'vcuk dire de» pcmmo-tcnr
qu'oa prépaTede plusieurs manierii diffêjcntrj.etipi
fQurnïKCQt un aliment agréable et »lin* ï>ans plu·
, lieu»* catijom de l'Angleterre méridujpale, le pti·
jugé du peuple.contre la soupe et les p.tjmmeidetiè
, est si fort , qu’on, les. regarde.< métnç lorsqu'elle»np·
¿té servie» £yt îa] table des riches »· cçaime à peinr
digup d'¿ri< jetié.e»ait* tachons,, f
. . Presque parsom eu Angleterre, Fabui¿r liqueajl
ardente» en la principal^ cause de la.mine de»fy·
miilç*. Pour juger de l'énorme «<>»> somma ûonqul·
ien fait, ilAwuüiü.s de urvoit que durant l'mts
jjî5irtks.imp&knic,ce*Jiqucucs o^t/endus** *ülloiu,
six tout» cinquant«-deux mille ► tfcnq «“d
. quatre-Vingt qMacrc livie» sterling lÿMJWh
_^yee aonibrep^ ¡de letfr xbq», <51
- *VU® y^K dp fO£wti* Wwf in* js* p« pIf
irÏH Cfius. hs^rj^as, t^t bdtçmes #U fermés..
^y'enUus qui reuicçcK seûc tab*.
jftl,dap* t^itj i .IJ^Ji -de ces f^fraufts, qui »*««
f pmrt0·1 nî ir?tluÇFL^i ftjdnnt pour tel*
ptéme , l'autruj p«1:t pouvqir fi(ce un J e«pe ■ mef
de cqmpa.raiwq, v^nd, p«» <1·^ ’1?'
.#·> i t«,qui dçiroCtJpF jfuvppnr «c ¿<Ul petit (#*■
J. W ¡F=& w n“* wytFïiwm «·’■
^eo^tp^çi dat^.ta* ça^ysÿ 1 ’>’■< Iwljq^ei^ tfdMÙ’
?fapnçot ÿ«rtie do, ^fH«cc»ftsoûiat
' ·. îv -qia tro t > jrt: .\>j. b àf. ■ . ^
»> 111H l»ft*wk]n1T iinnliii· 1 inT. a »T 1 ii**
i ,.· (^ ^Uciidiidcodrsi^sthç ^iüit Urtljfiaise-b+rmk. ■''
Gch tgle ijr>,tnai TDTi
NEW fORK PUBLIC UeEWRÏ
4 )
, . Jru la dernier sicde, Ici bomtnei du peupla
nt tnwigcaiü^l encore, «b Angleterre, que de fuiu d'avoine T d’cwgç ou de seigle t c'est, din| k lictk ipqcl que le pain de froment a cené 4’4 tr a euflu> i»cimq{ rcaervc pour l.w cluses lupéricurej» U paraît que »on uiagedt devenu plu» général qn’e·
: Ersncer du moi»»« l'autyur pend il aur lui d’aÆiT atr qu'il c'y» plu » guère» Xu-ddi d'un tien des habL· Un qui mangent fait avec les autre· graiub
ÏUh panique où ici Angjui peuvent ae procurer <g dt lavnnd» ,,on de» légume», <ju de» irai 13, if cpmipnavnt boaucoup humus dp psdp que 1« bocqmca 4|tHaUu«iMr .‘ -
Je « Ua.mngiitMta du coûté de Berk dret* J««t ut <ftbl£a«t teéj-eifjCt de la ocr a ta mm ali on -d q . fl» tkg» leV ancitditHfl1* t»t. 41 · Ait» m «4ni M ., ^nmé proportionnelle quitta diNÙbliaitfrluqxit j^w» «bw»ï4ML^clAns«ft. ajwt différente», ckqwi . ke* jtuvrkfa rjui opt uU>in» de
de jpur Igur nousûtnre 4 toaufca» plut, de .pain, feHifc d*M <4.ribl«au^ cqn^itn chaque b on» me, .* chaque.fan«»< m feu 4©.ugwilMr, 4cd<qj» «W«»tau pat sup^inc , combien chique méwgf APterdanj^ ioa»bi.en.cLî>qi« eret tmCffrfiiq
dapethiun An
voit av^rout que 4an» le, courant dé ccetf W*W «ekjaitcuiA pour ¿nul«l’Europe* k, cotnt^ dt Berk fut obligé d'e Qireitnir,^aq»fT»ie du pcblic, He* lu ouvrier», m£^c k* phu. FftJlPm* glfr·
■a^ >.·/·, , r~j il·.. . U·.—a.·^
W .
Go
? Or^nalfom
NEWY-ORK PUBLIC UBRARY
( '■?! ì
accupés, ripartiti! sur ioti tcrriloirt, Miti ihen ròstri ti
bieuot Jes'plui gravel - rato livénìenS'. J Ce fabÌtaO'
·. frèf-bieu fair d” ilreiin., lyant iti temili putrire par
rimpfeoióta'fàt TTgirdi-romftié ime eàp^ct de gtsiJe
ti de regie pour le? sufi o i tabi ¡»ictnecrl de j et a arst-
i taire de» pauvréi attgmenta d'uire Tnafiìere 'rt*
Frayjhte * li d¡lapidaticia rfe t'iumón* defiliti ' gèni'*
tale ; ks secours fùrenr fetlèi m h^iartf iur les nitcidttin
et sur Cem qui ne rétaienf pas < soiivent
Mine ih dépa»irretìl lei dem^ftdei Fei pfut eie«·*
iivei de lap^resie tini pudear. Il a'entirHf W mii
' piu* grand ebeore 11« euvtìer» hbòrieut tr tortoti’
piient par dégras; le travasi dintinua pkMOut trniV
bkmetri ; et ]’dbéerfileuCatteniif plit AftpetcM^ir
tija'on avait dépettsé de ¿rendei »tunméj pourorir »
romrtc'i dettelo, kr ré riti bl e» ti uaiquef wiH'cel
th la n·chcιlepl·ttι?ìqùt, , ■■ ■ T ■>··
‘Eetiockfél de bkbfafmide ( Fr ¡éndici» fitti ts )<
tostici m erti b rei icftgagtrtt ì Fottrtii rpai mbh, noe
terrtirit certi (ritrattoli perni le «eeòbr· dej pàQf rtrt/,
'■siti! ÓQ nsilickty Wtobateot à dèi épo^cte» rimàri
cicti nel. Dx-puft é<tr< tftì’ dir eirPHQIr^ cbct ’rt-i<rtt
fépiniÌ a è» partottiei'Aiigk terrei Un acterfo pai*'
teak ertati t fa*ótì*é éi ; e*n t^ticlqut) tàankte, té
dà pio pagali era, ■ 94r fed riti■ re gatd« ce» aeciélé incetti fot
tributile»/nOn-iéii le rttehl· 4, caute' ■ de» né ce sii té*
'qu’eHcì·raàl*ge*t»^uiii mhdk p»r Pinàucnc· fir^
tabte tjn’ilici ciEiwiitilàì· iermceorif ■ - » .- «4
■ ’’■H feriste tn osta 'daiit direwes fomtìtiìicri d’Apti.
¿klcner de» .ma?ialiati» de icma^es chai irabI et
dite· Bntjiì-Clitht t mais, selon hot re mitene , Itur
militi M ito il y-e tingalicuiiieut rciireìme ,-par talk*
foriti

• t ·»» > . / *
«Htt fritte tfift) tome» que UUohiMiM
MatiMU la fortune èct fewtijc»; et qJÎ met pry£]pf >;
p3i-twlt,des 1 derhierti dajti l irapo»»itrilifd de- »é li· .
«rcrlce» dp&x monvempai de 'btatfèittittg; et dg.
«a&aiiisratiatt McouTsbit qui lenno»isi«**er«i5^
r r : v.r · » -. i is Jïgi#-SU •UMtÀ'J pfSckftft·
1 ■ . ( I &
3 ·. 1
I
- ■ 1 ■ Z? ' J
■ : ' ■■ ARTS. ‘ "r ' .
, . . , . » $j r. t_ * . 5 —J. r ■ ■ ■
iwWT’-W-N' ti £t*l?foi ¿WM*}** inf/ref/ané &
, nr /«ttx puur fis Tfdtrütjx ^uàltO» IdgriitiHurt^
, kj Ajti, etc, Ptt{ £euFÿ. J11-4°*
. avfç.tctil· grandis pJaltMfi. J FrfHjf,
rta Pquqans j ru* Tfufmt^rdu'LavuTi , p’i. affej
-z· . '- ■ ■ ■ ’ .■./.■
, : J ’ ■ ’ J ■ · « ■ I ■ r. . 1' Jr ,h . j I
toiqfjn l'iftenfidti dtf ftüdtt pdf h
hf SWinutian du F-iltèTstion de l’fcit, Fût étsblii
jHÉiihgrrtrd nombre .de fiittf. et effectuée daiis ici
^•fcpeVMeu ; Iccit. Rib<Aîd tri prépaie \jné-hdiP
Wllfe «pptication. Eüé trrttiiift à éte-ver untulust .
ÿdUf dinr'ttrt téeipitttf t pife'ie rtioyendufeti^ à lut
«Wm T e! i hlifiter échapper à. voîbnté
du ■idràA4it-,a>A'-wii hanteUr donnée t \
■ r- *■
W, s-k tiir'it'cc et en dFspoiér tc+uh le ^bssbitu
fti éit le problème que i'e« proposé FiuteWri Li
èéfWÎptiOll dé li m» chine fera -ctorinsitrt la iolo’ioù
ffîi ciï s-donnée. Nous tüberotudc la rendre ia·
■Mjgibfe ata» Jh Hre des phihühèsi - . : - . <
■’■li ebrp»- de ht tMchihd- nhua rtcipkiH-'rylîu*
^h#Rÿ'to4ui4»rôtuik4Éif£tde tÉle ) d'uspied
i·« xxxr, s
' K
Gûi gle ■Zdq-’Jl tDm
NEW VCP.K P JB L1C UBA.ÂP.V
( *T4 >
4e ^»Ttttc , tur tu» et derni de bailleur. Lt patrie
eupéneorc cM doublée »«J» dn*cat. ce le récipvtjMt
ou rufftetn Ht irmi de twn txrde de «¿tri» a6n
(fi'ü pui>M rériater loaequc le faw optrtjJe vàri»
Au-dmeei deté»er»oii tic lande ira tu y iud'n(w
, firn, "ri &M>4 4Mrdc «pglvni d'un« Kmpape mobile
de b» en hauti et cn-debon, à une certaine
diitance. d*une »embbbte iOupape. Au* ÎNÎi quarti
■aviron de li hauteur dq reterei ir eit placé, un piatito
entouré d'un grillage. Surlecotéidu rèiervcir,
c* an-etc»ou» de- ce grillage. »'ouvre Ltt K ferme4
volontà tu robinet de décharge. Kûfii/k con*
Vtrcle de ta técervair né percé, dant un centre,
d'un cr>u rond que ferma «» clapet eàfvmalwr,
»tenu pat «m «hMnkrvi ï . - . .
Pour faire agir Ctttl machine, rrn lave Kortsmaa*
teur; on enflamma une feuille de papier, ci on U
be icacrvoir ni|c onvrrt juaqy’A g* que la
pj| u plw grand«; ei panai gu- On ibai «Loti
¡ybtwateur* ri flanHwoJeaOMtieni quelque» mate**
ÿlrit dèa que l’airiniç'Mua »? lui fouiûïi plue w
tikiuenl cooveuahtq , dfa qu'il Mt rirflié , <iiq 1Î5
Cq ifto-mçpr <^c poncé par .uo jftipd
flH«, came ralCMpietij-api^* dM'lri“ 4l»» jt ¡iW*
pairpar I» aioy*D du tuyau, J’a«emi|Onr Qu 4
flav^nce fait communiquer cclui-cijà L'aide dp
toyitr» de cuir avec Içauqee i'on vaux iyacuerj
Au élever (a <e*MtiAP du bfuit intérieur
que l'eau ne motnt.>IhA l die ¡or» o.a ouvre le to^
biset (k décb«Fg<. b* durée de h icycie par î^
liMUKI» double ,dq ««lie 4* HÀ <Wi
1 X ir ■.. 1 ■
génieur
. · ;
fite db robinet de dhmetre que h moitié de
l'îkifiïe du cbyau. Cet excès donne le tenu de rouvrir
l'obturateur, ^t de Jettcf dé nouvelles mati^rei
Éjnbrâsées,. L'air extérieur étant- venu s'emparer da
l'eSpife queTeati a abàndonné en s'écoulant , fournit
un nouvel alitùent au Feu; let robihcîSét j%b-‘
tnritetif &<mt refetkné'i'ei le même effet recommence.
L’on peut ¡lînli sucçessivétiieai, et saris petite,fendre
ie jeu de la machine p'rtsq'ue cdnbtiuel, et épuiser
ptOrn pteiùCtrt tirfé mu y dont quantité d'eau.
On peut voir chez le eit. Dümottier, in
en instrument de physique < rue du Jardinet, cette
rààehitie 'à hquéllé riuvéntçur a donné lé nom d’iytbaspiraiiyr.
' 1
■ L'auteur «t persuadé què' l’oti pourrait faire un
usage avantageux'de ce moyen dans tes vaïsitaUx,
Fûisqne dés voies d*eau menacent leur sûreté, ILcroit
tnèrïTc qu'on eti tirerait un meitlicàr parti que des
pompés, dbnt i'efftt èst souvent médiatre; elles oî>’
fupeAti dibit« bdaücoup dé béas et fétiguetic lei_
équipages, qui ne ptuveiit souvent y suffire, eü *
tttë mé té ms qu'à la mnûctüVTe, d?ris' les tempe tel,
iVaâbatS et grand# dangers. Pour ies reinplzeer, ou
& tnoin&'ies seconder Utilement par des hydraspifaiéurif
c'tux ti dbivedt êtié d’une dimensiota ecm-
Aodé , légers, portatifs et peu embarrassatis , sole,
péd défit qu'ils'sont ca "activité, soif pendant le repOsi
'Tïe-s cylindres otJ barriques non-bombées, bien
conditionné ts, et doublée* de cuivre bien coudé ; j
paraissent remplir cet objet· Mais nous demïndotirf
kU tit, Ri bond, comment il peut propose rd’cnrpldyet
Une TMinihini à fai / d'abord dans \iu vaisseau d'uà il
S a
■“ lijllin fl 0 ni
NEW YT.ir.lc: PLJR1 IC I H RAF. ■
( »I* )
serait à désirer que l'en pût proscrire cet ¿liment
le cfott table , ensuite pour des. circcDStancc* où le
tioublg et Feffrai régnent dans les bîtimtn».
' , r . . ■* ■ K ·.
G est principalement dans les aricsemens et le*
dessèchement que ces machine} peuvent être Utile.'
AIoil ou augmentera le* dimension» de» hydiaspl·
ratcucs, et le feu sera, entretenu à peu de frais iyec
le* substances légères que fournissent abondamment
les campagne», tels que paille* i »arment, bais léger,
plantes secbe», etc», et qui produisent beaucoup dt
fi anime. ■ J . ' . ,
X fc
L'auteur rit se dissimule pas les objection» dont
«on mémoire clt susceptible. Il y répond après le*
«wir séduite* à deux principale* : î43. L'embarras
fréquemment l’obturateur .et le» (oupape*. a°- L'em·.
bfcmt Lde rend tivel 1er souvent h flamme. Il fait nb-
ICrver d'abord qu’il Bit peu de machin**, où h
présence et Faction des élément, ou d u» ou plu·
sieur» homniçs , ou de* animaux, ne soit né ces taire*
Le grand avantage est de réduire et même de w
passer autant qu’il est possible de ce service* U
p'cn»e qu’un *eul homme suffira pape 1* Conduite
cTun hydcaspîrateuT. Il p'cm pas bien pénible de
laisser tomber sur uns grille quelques iqafisrrt *n’
fiam niables, d'abattre un clapet,de tourner.quelque!
.in» tan ? après la clef d’un robinet. On peut recomp
end am que Feau montée »’écoule au-dehori. Aintf
il y i très-peu de peine et de te ms. Qn trouvera
difficilement', selon Fauteur, un servi ce h*oins fati*'
. rÎ! ‘ ■ X f .
-^ant Ct moins coûteux rehiiyenietit aux effets qui en
>
Got igle
J
’ l*. . ' ‘
*IOnt le résultat * puisque l'irrigation d'un pii peut
avnjr lieu par Fomploi d’un seul hotntnt, pendant
nüe heure ûü deux» D’ailleurs, il sera tris-iisé de la
simplifier, en ÿ adaptant un mécanisme qui puisse
faire mouvoir simultanément chaque pièce, suivant
$a destination, ftmÊmt en ci ter ta flarnme À F aide
du phosphore.
Les procédas que je viens d’exposer, dit l’auteur,
sont à la ponte de tous 1« citoyens^ les formes
et Remploi dts machines indiquées peuvent varier
suivant les localités et 1« besoins ; par-tout on rencontre
des ouvriers en état de les exécuter, des raitéiïau
· pour les c instruire ; par-tour on trouve du.
menu bon, de la paille, des herbes teches, du pà-
-pîct inutile, etc. Facilité de construction , facilité
d’entretien , facilité de transport -, peu^¡|e terris T
d’espace et de frais .......< Simplicité , beaucoup
d’effet..,., Tels sont les avantages qui rendent lea
moyens proposés digues d'uu véritable intérêt, et
qui doivent engager le gouvernement, les phy-
¿¡tiens , les amis des arts , et les cultivateurs , à
concourir à leur perfectionnement et à leur propagation.

— Dans quel moment pourrait-il être plus permis
de l’eapérer? Avec la paix, doivent renaître l'apriculturc,
le cominerce et l'industrie. Le* esprits prennent,
depuis quelque tenus, une heureuse direction vert
Jtt objets utiles et agréables. Les travaux et Lee
SUCCÈS des grands établissement qui. honorent fl
France , tel que l’institut niriofial et l’École polytechnique,
La formation active des Écoles spéciales
et centrales, le zçlx des sociétés libre· qui te cgu- -r
( H»)
ficftit njt progrèt des connaissances , î> noagnifiteice
et la Variété de nat collection* publiques ,
Chenil mu'vre» ou ¡ci raretés qu'elles contiennent,
le grand nombre de citoyens qui' y puiseat sam
tout atteste combien le prix des lumières et des talent
est sentir tout annançe la présence et 1· culte
du gepia derecieuce· et de* iris, ami de la liberté.
—- Il est dç l’eseenc* dei Républiques d’être agitcoïts
et commerçante5 ; ainsi, après de grandi
orage», Tes efforts tendront néceisaîrement vctï lel
poaéliordtiâmi tn tous genrei. Eu ki en courageant *
Je gouvernement ne peut que »'ouvrit une nouvelle
«arrière aussi intéreitante pour la prospérité pd'
Clique ; quç vraiment glorieuse pour lui. -
■pTTilATDÎL
£» M/moriial du jeune Cri'^^rapfiiite , r^toi dt
Mdfdvx ; Jr«r Ufj,w£8i£r£ , mttnkrt de l'Jtuiiiiii ftaljt-
*jq{, În i5 de poegif. A Paru, thti au
Louvre t pavillon des Archiva ; et (A» HpGJîp, /nfii*
tuteur t ms 4u Monc«u Gsrvflij, n°. H.
' ...........................‘ J
Ï_J M dçs ytiki fruit» de h révolution est l’crapïess*·
ment des membres dt rjuititut national, celle reu*
rriap des levant, dés littérateurs et des artistes le*
les Écoles Primaires. Ce travail produira peut-llie urj
plu* gfand bien que Ici École* ellca-rûÉpies , piî£f
Go< gle
1
■»BiitJlin-i
MÊW YORK Pl.TiHC un;
que jûut les pere* ne peuvent on ne veulent en*
voycr Jeun cnfaiii aux école» , mai» tou* peuvent
mettre entre leurs maint tés ouvrages utile*.Nous
avons annoncé, l'an pasié , le* fdfr/ti /te là foulant
avec de courte* note*, mythologique* et grammsti’
cale*, par le dt. Mangea, et un choix de loiiaute de
<c* fable* qui *çnt à h portée de* plu* jeune» enfan
» (i}*
Le oit. Domergue donne, dan* ce petit Becueil^
un abrégé de iti principe* gummaiicauju qui tout ,
comme L'on iaitt de* principe* de logique appli·
qué* £ la grfcmmairé. lit formeront le jugefficnt de*
enfan» , en leur apprenant leur langue* Il y a joint
40 distique* mOTxux, traduit ddlatia de Muret. Lcl
dittiquM latin* de Muret viennent récemment d'Ctr*
traduit* en quatrain* par l*ex directeur Fntnçoj*-.
KeufchLteau, auu* membre de l'Inttilut* L'enfant
qui bégaie . et dont la mémoire u'«t pat encore
exercée retiendra plut facilement le du tique i I*
quatrain conviendra min»ii l'tofuu de dix et
' il deviendra l’objet des méditation* de Padoleicent*
Mai* on couvîendtaque Ventre prit* du ci t* Domergue *
était plu* hardie et ptu* difficile. On jugera, ».'il a
réuni ;
Redoute le flatteur; jrar un mïrlievx dîacoatx ,
Qui ic uompeuue foi· , tv trompera tpujaun. ,
·■ . .................... lX.il> !..,■■■ I ■■■*■■■ I-M I
ï
(T) Oa rrftuve Mi diül peûti oufrtji* Ait Hmpi-îflMlr
du Jtfernrr « le <itpyen Hw AgU*«, vue de» Fffitevbt',
»*, ïî. ■
S|
CMfjInRlïiîir
NFW YORK PUBLIE LIBRAHY
( *«* >
Choisi» pour tfs ttcreti ua iar depo· ¡taire t ,
Méia veuuod qu’ili »oient nu ? |pMt}êtue il fujt 1« taire.
Eç *vccè> du méçhàtit l’enorgueillit en vain ;
Jj* peine tu piad-boiiatta vient l’ineindrer 1 h lju
Seul , »in*i qulen public , fai a tout avec décence 4
Vçil étal t^moini prbep* dans u *tnk prcience,
■ J
F Q Î S J E DID ACTI^U l
g 1 - ’ ■ - r
T dut louer eit d’un iqi, tout blâmer en d’on fit.
. . ChÎhUi.
lu Planta, par RENtrRrcBJKif Cjstil, FrtiHn-80- d#
158p<zg^i. A Paris, fhn t hbrairf,
' Ja(Qb, na. n|, ■
TJOlilEMÏ HT UBNIll IXT1AIT,
Uh critique tièi-Instruit, dont j'ambitiônaenit
toute· le* connaissantes (j), peut-être trop diffeik,
p'ahnc.pu le vers qui termine Ici trois luivansi
Ainsi « rtnt votre appui, lej ¿levé* <Je Flora
Tomberaient ibattoi â leur première Aurore ,
-J,t du'teuil de I· vis, enlevé» sans retour,
JruifM Its thain^i du ¿néirei«« t^eur«
,‘ (r) Li rit- A, J. D, B- Magaiis Z’uyrta^édîfue, troiiieJM
Wmw V / wrat de « mwc poçmc dci Pfafat ■'-
Oi Hr1 il Pütw
NEW YORK PiJBUC UBRARY
i «St )
Cependant l’exact, le lèvera', le rigide Chèartnt
[et approuve tré 5- fort, et je pense qu'ri a raison. Sort
d’au exemple thé de la Fontaine , dans ia fable io1
liTte XII, oü 1e philosaphe scythe reproche à un *
Indien imprudent , rébranchfementdérégH dé tel
xrbtfi. -
Était-) I d'homme tige
De mutiler ainsi ceifinvres Aitoitdar ?
Qiuücmhoî votre terpe , miirmnctit de doruipage *
Laistet agir la faulx du teins :
ILr iroii mes. fit ierdff le «»ir
ïn général, on le uit> que reiseoee, le charme
et-Ij iriüjophe de h poésie est de donner du »cuûpkoi
,. de i’ame et du mouvement aux choses inauij>&!-
P’aprés ce principe v U même porte de*
plants, nous offre avec avaptjje beaucoup d'autre*
venet de· pamges entier* de u genre, qui donnent
h vie à des êtrej qui ne semblaient faits que pour
^Cgiier, et à bien des choses inanimée·· Ainsi ,
Jusqu'il détermine Je te ms où Von voit la mOüut , ,·
laiDÜcre, ' . ■ x
C’fit panài lès frimsu'. »oui l'urne du «rmu , ·
C'tsl quand les autres Heun dricMdni su tcfflitias.
tes vents du nord , ennemis de la parue» çt del
richesses de la terre,
U chargent de frirnats , k couvrent de nuages>
L· comme aa un tombeau fout Tenirer dan* ses fliuc»
tër jlsuïes quîl'ariiaiem dam un plu» heureux letü».
Ici l^utlc «HrqU *■ devenir· fcvrilèi
□rgnoltom
NEW YORK PUBU€ UBRARï
* New r rie de licènshet puiisa*· engtai«
La tarte mit rtntir Je i'egia heureux d’Astrée· - ■
. 1 M
. Dans ta pau^e cité durSciba, poète a dît i
Pepuit que et géant' *^a *e'n b'uyfire , .
porté dit)* Jet cieux ta fcte aieuhire.
Ainsi, notre lyrique Lebrun * pu t&mpMMïi XJ1
monarque puistant à un coure coupé et renvorté,
entre beaucoup d’autre» expresritm* trop hatdièl
dans ses Odes républicaines, a dit fa cure u sentent çâ
un von, -
K> du gr>nt superbe , Un ver punit L’orgneiL
i ■ **· ; · ■ - -
Au reste, il n’y ■ pas ïieu de t’ënantier si les déni
CTCellens critiques que nous avons n onam ii, ne lonit?
pas d’accord sur ce point. On fie tait, qu’en fait Îh
goût, nos plus gtandi maîtres dm» tous Iqs ledrt ,
trtii porté quelquefois dei jugement bien oppaiît.
Cicéron et Horace sur les pointés de Plaute Î*] il·
Cicéron et Plutarque sur la pensée d‘nn iqcieirîjinternant
l'inccndte du tentpje d Éphetc , U juuii
de la nïùsancfl d’Aîeiandrc (») ; et de nos jours ,1
Voltaire et Kfon^squieu sur le mérite dramatiqà·*
de Ciebillcn, et sur d'autres pointa de littérature 41
de politique. levenon*. . 1
. Chacun des chants de ce poème, est suivi de twftr
ï ni truc rivet. Ces notes sont extraites des meilleur« <
botanistes, voyage un et autres écrivains les pluii?
célébrés et le« plus instruit», ancien» et modcrneir
Vl Cictrt. Cffft L J. fhrti. ¿ri pift, gje.
p) Ctcn, Dffah {Mr« t'U.
OrlqlrÆTrarr
7ÏORK PUBLI C LIÉE
(tS3) *■
¿KcmiÉrt , rfc Théophraitc , d< Pline » Dio tco ride» Mliud, Brmndja de Saint-Pierre , Cook. PjUai, Juki, etc. Le rédacteur réfute, en panant, Eiehudi n Aldler. Ce· do ici *ont agritblei tt milti t noq· aom borneront à citer ici deux teul* article* de ce ¿entier genre. * >.
h Ltj grenier! de la natute * dit-il, ne sont » jun*j* vide» : elle a partout de* miguin* où noue f trvuvoQi une rciourcc précieuie data* de* événe* » tw» imprévui» On tait qu'à une époque p«· " f lignée» Ici racinekdu chiendent oat nourri un* 11 de* plu* grande* ville* du midi. Le* pauvre* pay- w tant de Ji Norvège nient quelqueioi» de l'ttorce ■ du pinaiter ou pin »auvige, qu'il* pulvéritent et n p^riiitni en gui*c de pain. Le, petite* U te· d» h irçfie peuvent tervir au mfmx mage» Ce mut le* In production« ipontauée* de h terre , quj forment i> U nourriture de la plupart de* uxtioni lauvagei* h Ploiirur* tribu* tartare* de h Sibéiie ont même ii de petit* iouToiaicuri qui leur épargnent U pci« ’de le* cueillir en detail- EU«* tirent une parti« k de* oignon* du ly* oiartagon et pomponc, dont n ^lier *e nQUtrwcnt, de* trou* où le* touii* gdte* ita Lande* le* ont animé*» Gct animal, auquel ■■ Ici naturiliMei Ont donné le nom de raf itename, * ut rrèi-counu dam h Sibérie pour cg genre d'u- ■ tilhé. « [ Note 3* chant 1. j
i' Le tairomer originaire de* grande) Inde*, a été yonnii a,l»ci tire, ca Europe. Gluiiu*, qui décrivit ntl i5K8 le premier mat oui cr planté à Vienne eq p Âfttiiciic t nom apprend qu oi* ne l’y cultivait
Gch gie
n que depuis dopie ans. Bachtlkr rapports dJ
« Constantinople à Paiis, en 161S On ne connsifl
a« pas asiet tonie l’irtilité de ce bel arbre- Son fruin
» peut servir à k nourriture des vaches et des mou-F
» tons : il fournit une pousse plus abondante que
•i la cendre même de .bruyère ou de fougère » et
tf ion bois est un des meilleur* ppar revêtir de»,
ss appartemens humides. Quoique! médecins ont Cru
savoir dans ion fcarcÿ une patrie des vertu» duquinîi
quinai mais tans lui faire ho une tir de cette pro- ■
ss prière douteuse, il vient d’acquérir une nouvelle !.
si importance pat le procédé qui débariitie ion
st fruit de la partie ci trac rive dans laquelle réside
h toute Fier été du marron. d'Inde; enfait un aliment
ii salubre, et une ressource précieuse dam les tenu
_ si dç disette. Ce procédé , qu’on doit au cit. d’A*- A
♦>, lcyrie, est simple et facile. On peie.le roarren,,
m on le séché, on le réduit en hritic ; cette farine
si étant tamisée, on k met dans uct vase qu'bu remt>
püt d’eau, et l'on agiter le tout avec une »p*· ,
h tuk. Pour dnnqçr à k f trjtie le terni de se pré ci* ,
si piter, on laisse rcpoier l'eau environ une heure,
si on la verse ensuite avec précaution; on en rt
» met huit ou neuf fois toujours en grande quanii
tlté : apièi ce lavage, la farine a peTdu Ssn atnei-
>i mme , ci il ne reste qu'à k faire cccher pour s’en ...
h servir au besoin, i» [ Note 5, iàitf-J
" Nous ivcd* loué , et rapporté un aiseï grand
¿Ombre d’etcc Iléus passages de ce poème sur un
des sujeli le plus difficile à ipanUf tn Vtri, pour
jr --r.ll h : I
NEW VDRK PUBLIC LIHRARy"
Qutj tti incvrii fïiit , t
Ai At/rmiif jurs^m Hdlura (i).
Ü 1 r I . “ f
., , ,(, Àri potl, o, 35o. )
ti qu’ri tera facile au ail en t reconnu de Ï’îu-
|iErdu poème de rectifier', taches légèrei, lui
un jiié de faire1 disparaître de ce beau tableau,
Sstn avoir l'avantage de le connaître autrement que
ur la lecture de cet ouvrage, nous leatsm&bs assez
«ut hnarder ici quelques câneeiti, dont il est c»-
ahie de profiter., s'il les très?« boni etjtltci.
uuj Iotw , j*y pve dçsiqfUT Mcr*tic. : '
t
* " ■
wftne. quelque* txpresnon« et tparnurei ^pr3»i^
P* }n u'aituc pas, dés I» KCOndc page , en neuf
■ t ■ y ■ r - · -·’<■’* · ■ü, ces mots , müti, bimlat, ptubfn ,
■ kawiJ-on f ér. ’ Ei pagç 771
*> jiuijtatnt voî* , un* itntnetite verdure,
un beau vëumeni, tn»tn l* nactare.
1 , ii ¿cumuiA ' -
fcr ailleurs j p.
! Mut*, U t<nUn»<nA_
jftu* Atfsiiu 4wù*
Go igk Onginnl -rani
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6 rift }<
ÉrqiiàÎqdéf autres ftiott de ce genre , peu poétiques. En parlant de l’a rote me ut 1 . ’ /
Mti· lorsque e ncr4Tt à COÛlé dlih iùft acte. >
/fictar est trop fort, et n’est pis ici le nïQt propre.
AjIUu«. ··.,.- '
( * Apre» tu ea*h dç/if que lamelle aifietw. ·■ j
Dsnr l’infant piodlgue de Voliaîri ( teene Ie". f î Mte III) le valet s'éhtic »
■ ' . r.
Les «mi», le» at^is -, quels infâmes J ' , lt
J&upberoou ce prend r '
Lc* ho*uaei manont de ftr^ : ,c
Ieî cette exprès*ion forre est excelle tm,. pafti ( que c’ett un tnalheureux qui a souffert, et qui dans ta coiere ne saura 11 trouver d>>prcstioq a*»ej éner- ‘ giquc pour exprimer la dureté de I espede imrftaTpe: ( mai» dan* au vers didactique e (froid psr itiL-même. cette »breuion devient hyperbolique et peu nalu- rÎïiC^ 'Kli U " 1 - · 1 ' ■ ■
'^^Que le poète des Plantif se défie dç top élégante 'c ("charmantefacilité, qu’il mette à tel ouvrages plus' de travail ; qu’il se modèle Sur les premiers maîtres de notre École française iqu*il ait »ans cesse tour les yeux, la correction de Boileau; de Ricine 4 de Molière dant ses meilleures pièces ; et la pureté de leur style/ .
L’on hasarde ici ces avis d’aciEaqtipips hardiment, que fan connaît la portée du chaqtrj^d^ phfltet a qn’tl D'est tien que ses tdleais nt puissent atteindre, point de diHiçûTtea qu’il ne soit capable de lurmoti’ ttr. On des irvrait (eu général, plus cfc lia il on *tu»
- f i r ca
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sujet bo?finiquie ci Ica dînetüeni épisodiquéi qu'il y admetJÔii de trouve peut-être p3s aiatE do 'celte barrnonitf imitative qui fait le charme dei vers (ij, qtiî caractérise le grand poète, et que l'on rtnïirque dam la plupart des ver» de l’abbé Delille; ci cette cpüpû de ver» ariiatenitm variée , rtupr- quabie âui-iOÿt chez et Voltaire , ci qui râ mpt
U mouotunie 3et couplets d'une ruesurt ti uniforme da«t un poésie en ver« alexandrins. On y trouve en* rore-raoin« ces heureuse* hardiesse*d'enjatnbeàietq, teÎl«¡e, Çeliite , dans ie*ppeuùei, en i douai pluai<vrt cxtrapl» i cornnfe.On(en tî^uveenriire Ljt cioiï m trop çsand-nOTTibreJdjnj JerMeù de Soüt cbetl·* .et Cômrbe dans ua beau fragment, imité des Gf&rgiii/ut! laéinef „ Targot nqtis en offre encore plu· ïicuOïtvcmplM d utic piotodi* nouvelle et b*çdie »
».d’être imité* « ivre beaucoup degoat , de sagesse ef de éob/iété. . ....
Voici- quelques-Uni de ce* vét» lemaïqnibic·.0« pittoresque*, mceiti de ¡’¿Trop ( 1. f, 9t 3i>,dantU test» litid}.
Seueèet de1 foules peru d’infiûmhrsbles nuages fiileqdtnt ; leurs noirs gonflr« p>r 1rs ovagçr-, *■
fis décharge□ t »ndatn d’ualçemecie ifflii d’siw-.. ,
... , Le Dieu terrible
[t] UliartuOi^e J in» te» V<r» n’est pis nnin, ejuctidly que .le» ipm^ri.nLipcftuje, dit un de n«j sridenH poëtu^ ” tàmis, ¡¡es gitr.es et Jcs atunmgeJ diipdiui sm lopin aî- “ mablwt h peinture et it mruiqne. Kl Te iaiie le chtm* ” J· ’ftittturi , J tr les es le* accord« de 1« tw
O «que j per J’hirEtiûBiç. it mr ht J*réiie, ;
1 ■ ■ -,
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O'igiiul frorr;
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J <M ) ‘
frappe d’up trait brillata la <imt iii|rqe«ib|»
J)e Uhodopc.D&^'&tlias. I,ei vttiis pi¿Tritìi .. -.
liscbiicni IVr i l'efld toglie 4 iloti· prèti^tÌA- ,,
Dei iftì imeni aigu!, Ics foriti reumìj>ent ;
It ìet èchoi, loin , dei inaniaguei-géciùqeqt:.,· [ij
■ Òn me pai/lotfntra Ift c curic^dtg^c iti on» sirs are i
qui n'cit point ici dépiscée ! et qui p (tana-faire piti*
*it à quelquei-un* di no» ieri cuts. -L^rftinn! liteéi-t*
teuf.« estifnabld dna? tei itHeatióm ' pg£tlqd4»i
■ Turgot, avalt osé aller beanctìup plci'loih. 1!
‘VOulu eisaycrdirti#rt-état? latiguè ..’□.né poés.ittjrtifriniti,
. Diadi cecie vuti H &t imprimer 0017^8. quelle«
cxeinphifrtt d'uue tÈ&l'idiiDftryéu eptrtiue ,: Ct tritìi
04V6au metre· Ltf( si* premiers ver» qte nOU*-»Moni
nppelter jet, iftkiwt piti» qu^ iufftsarj* porr pi^a>iel
4*e « rythme iitGrttls et de» Latin* ; est1 aEsej#
ment ¿(tinger à notte poisìc , et bàfbiftit ^out dei
frteillet 4wib»iu4cs<à-’h ■ mètodi« chw/ Ifeone . de»
Boitéau , de* Rousseau, dei Volture^, eta. On
laura gié tejjradnnt. de Falte tannai tra i. fette t >-4«t
l'ignara iene, cene lenta li ve .« _au mfiiti fftyiiotiMtj
tré 5'S iuguli ere-
Déji Dfdon f iS süperbi" Diión brulé étr sirrit; Sófl edtJtr:
Kounit li ptìisónlÉrtr qii A cónsutie ¿t coürt tté viine ft
Mndowifitablc ritriti-. Fori gMe IH tutte, it lit arili, ' ’
[)} Ce frtgihént'de rtt* , hnirtsyhi» toni· pfdlÄMM
rapporti, mime iprft1 Feditiirable tHdnk'iidii 'riè iMibd
tioLillt, » trom’t tilti ^>1
uinlV , jsije ffot o. *■
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L'air, î< tegirdji âëiriuthe, la vois du htroi t^in Ta ciurla,·'
Sont etrtp r eiqu au foti d de *on irne eu traita de feu. Set ytM*
Sont tm rata prêtât» du tbinmciL le sommali fuit »apaêpiere.
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11 n'y a guere* ici. que les deuxpremier» vers dont
I» prosodie métrique soit bien seniihfe ,
puisse aiièment scander comme ycra hexira erres.
Malgré ces légères imperfection» que nous avons
«il appercevoii dan» Je poëme de» Efanftr/orraiusb
à le répéter,)! a un métjte qui lui gagne tous le»
lecteurs. Dam des ,vtn faciles et agréables giflai 1^
image» les plus gracieuses et Je» plur doucess c'est
par tout lame sensible et bienfaisante d'un Fénelon,
• | - . . . L, , , . ..,
Aussi, pour cela même , Ce poème est déjà jugé par
U» ds nos plus grand» écrivains, ét qui t'était flil
une étude d'apprécier le* hommes et les livre»,
te Ouaad une lecture vous.élève l'esprit,,et qu'ejly
», vous inspire des sentLmens nobles et courageux,
s»· ne cherchez pas Une a nt te réglé pourjuger de l’ciu,*
>» vrige. Jf <J1 fri* t *t fait de tnafe d'crai/ritf, ra - '
La Bmuyixx.
x
Dans cepQëme, d'un caractère net, d’uneimprcjmd
n1 agréable , soignée.et très-correcte ; page 74 _
ligne i S, h mute «£’c»c-à*d ire la mou Me de» fontaines,
il faut lire, la muie, .
' E. B. 1. N, ‘
■ ■ ‘ ■' ’ ' '.-..I
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Opjn.ni itam
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fòrtWk (if rîiirïffti naìionói iT<i SciehifJ >1 Àrti ,
' iiu iS ntfuìthr dfl F7.
' r * .
Le eÏL Vui«. Xstift des pldfMties 4* Μ Wvif de LO*·
tira/ture « &du*'^rti.
Xe cjt. Lïélve'i ’ClNïAti. jVofï« dei Mémoires de MâiJumdinfuï
lui /dnj ïd ritti if des Scieneei pfy·
liÿu/i et
Xe cil. (.M&c*. Jftftitt du Mémoiret ¿ePfytique lus Jatu
. Ha siati «¡et Scient ni physiques et tria thématiques^
te eh. tAtVie. Notice dei Mt moires ¿4 ta classe ¿£1
Stirn ctr morales il *
Le dt« Davi» LeROT. AÎ/rpOit« les pifiii navirct
_ de guerre des anciens, a jwr l'usage que novj <»
pourrions faite dans nette marine.
Le dt BfciAtokt. Μ ri O* ¡firne ïiiif cm* envfrohs de
Afrtan, pour struir à la Ptifrminatiti de Ut
^ratidtiir dii AWÎdtelL· 1
... 1 . - H . I *
Le CJt. Flkirhu. Conjecture sur la maniere dont a pu
. st peupler la côte du nord-ouest de l'Amérique r
et vue générale de cette côte et des deux Amériques
som le rapport de la civilisalion. .
Le cit. Cciljn Haruviilr, Dialogue en vers, ôiiürjli
; L'Homme et ja Cûùicicnce.
biytf· Co igle □r Giral IT-.·-» b
'( NEW ÏGfilt PUBLIC LIBRARY
f
. , f *9‘ î «
te cit. Ch afta l. (kfinifiiu w U
jawit ju’cfi titrait jtt vitftaiw -
te cil. Mosgeî, Affacirrj Jur J«· drj lïaùwMtqpu,
dtiignitî par lt nom dr GUdUtoirJ. -
te cit, Lalande. Miraoirt inr /a ritaaffoft du poli nt·
^nftiçui. '
Le «it. Apt)iülüx.T¿4 lity&i <lt Bedaji/i $ Cahtc id
*CTfa
·’ Í Ô ξ $ î £
Hymne a l’aoricultum.
ί ; 11, 4
‘ ■ · ‘ \, . r ; r
I ^hî A Mode I* tyretf
Toi 'qui routtjuwe tes'bàmfxti 4
t’retqitT d·* trtt. Arrie «I turc «
fteçdii l'homtna^s dei Fnoçaü.
Te* mW* doni ntrurrisjrtn Γ kostet ;
Tti compagne* igne tei Vèrtuti
C’en toi que li iopctlpe RcKit
Hùtiori dint CintinaAiui. ,
Îpnfqnai done, Ä öreot irrOgior« I
Öiivtft Ì* dé»hgutter ?
*Γιι té vintili d'etre uv inte ,
Zi tu fongii de labourer !
Apprend» que , db céltnt dôme ,
Jidii me (bra ni la biuithr,
Lt premier qui l’ut ntrouojne ,
Fui tutti iivpt* agriculteur. b
■ t 9
Go gk HL KSLft LI
t ‘5* )
Ce>t it laboun ur qui nour eene -
Lei vrai* trciOTi i pleinci ru.ji.uH
11 falt idmit., da tu b Percc,
A latable-dej aouveraim;
Far im* feie ■olemnrll«,
La Chine lu rend id honDeurij ■
Mail 11 sa gibjre est Immortelle,
C'eii pvmi lei Fran^ab vaioqueura.
Per fr eit* Vagant, direclear dtiLftie de Itjtwitiit* i
C H A « A ¿ E,
Dani no on premier, toujocra en proi Mi noir charnu ,
Vittime d'une faute, Ou de la barbarie,
Fluì d'un mortel aCCuiint le de* tin , .
Traine dam lei rrgreti h lange ¡amo te vie i
Ah 1 qu'un jeune étourdi bit »ouïrent mon dernier,
Quand de l'amour cerniteti temprilo tant J* langage , ,
11 vient jurer aux piedi de.celle qui l'engage , .
Que, loin de.ta priience, il riaient tutu dernier«
è N I G M I,
Ai nu qu'un autre Job, en «rate fort vilain;
A la pluie , an aoleil, tnan >ori veut que j'habite.
Là, je nmpe humblement au· pied* du genre humain fc
Bien.qu'on m’euleve aux «eux lonque j'ai du mérite«
An i or tir de ma touche, on me reçoit en main-
Un homme en bien ifnie torique ma chair l'invite.
Four jouir de* douceur* que J'tuj goûte eu mon jeiu,
Heureux qui me peut prendre i l’heure favorite.
Mai* qu’en la joiiimnce eu* me ménagé peu 1
De me rompre une «ta «n » fait un doux jeu t
Ot jgiTnil ta
ME W YORK PUELl C LI B RAR Y
( ?
ttme mettre en hmbeauit, cit rébit ordinaire^
Ciiffrcj, ni broderies, on ne respecte rien,
0o n't pourtant pas tort si l’on me hiliaït faire T
M»nêri)e je perdrai· le plus beau de mon bien.
., ÎxjiitcdiidM df /"Énigme tt LogOgriphc Ju N·; tS.
Le npot de l'Étugme est Jfâgta celui, du Logogrtpb· est
Îriîis, faut lequel on trouve Ocrie t «11,'im , gnt.
S P I C T A C L E S,
ÎH1AÏ11 Dt LA HUI JETDIAl^
V*r±i i no» ipartahlcs.
iÿihd ta peint quelque trait d* ondfnr, de bonté,
•i btilL· »□ toTit ion jour la tendre butinVit* r
Iteler Wstiwit TttapJu d'ilnt rotupli eus+,
irt'ai li qu’oû <ntend Ie cri de la nature.
Ctsbeatuc reri ont reçu leur application 1 la reprise de
Fcttir* tragédie dn rit Chénier· GreateNét t mu dans ta
btmtàé'd’Atiste repoussant la doctrine désolante'et fiuase du
fciebant. Nous tt'evons pu résilier an plaisir de les ira décrire.
Jajggr, qui, uiotna rpi ri lue le que Clcon ¿ne pouvant rivalîlerirec
lui que d'immoralité , prétendent que dans ce si.ecl'e
ftl fiirot pin» ni 1* venu ! ni ses préceptes , parce qïi'eti effet
ü serait diflicile de trouver «n eu* cette qualité ! eicaloffli’
uxuat la force de l'exemple , la junification de leur odieàK
eiRtlere. Quoi qu'ils disent et quoi qu'ils fassent, les oetuEimei
fomeHta de la sagesse tt de l'hutnenité trouvent encore des
trieurs digues de les entendre, et sans doute de les an étiré
es pratique : du naoim eil-ce avec nn vif intérêt qu'ont été
Ucpiillias celles qui dans t'oivrage duel nous partout, loin T 3
Gt)i gle
( i (
fj'ltrc dss Heux cfrnffltoai. cut le nre metile de wrir dw eujet métte, et de te lier indmementi i'acdon, poitr emboli Jìr »a march· , wuf U rtiirdcr,
Ir parilot jci de Fcnc/tìJS, et n'eit pnìntFauilyie d’uti qu.
■ vrsge ìhi.cordo, l'élcge d'ime production pitóne de uten* que ncut vcotcui préieoier- Nout avfrnt e etileni e ni eùuiu dire que J’effer A tirsi de« rtp rése d rad oùs qui tiottnent. da sei ^tbceéer, · été cptnpiti * l'émoùofr gémetele et ¡’improaaiaa
peintura | noue aVofte koish dire q*r !■ de*c* «toqueur? dfc philosophe , archevêque de Çimbray , *t laleriutc et tel· (ieuie doctrine, ». thurUc d«wnt pins penur-
five, qu’allé ett appuyée par de plut louehiat exemple« , cmt trouvé UtHe* Ifi bAes to*s 1üse*pldtf 1*cHet i cri'
trajner > qu'en fin , te qu'on ■ 1« plu* vivenuem teuii, n'était pas Jeulement ce qui ctaji le plus heure use inenl expritaà« tniis ce qui riait dù auk pnatéas le* plus tiînas, aux principe« Tes plut .utiles et les purs ; voilà et que nous »vaut vwslti Tdit- connaître ; certains que nous uDtnïût* d’offrir à l'bufcrtnf uns plui douce récospente de &e> travaux, en publiant que
«· louable intenti-on tu rempli* , plutôt qu'en applauditilo? 1 l’execution de «an ouvrage [ eu iccoanaissaui ks lervictt
du philosophe, plutôt qu’eu rrpelant pour le poète, 1er êEogex déjà donné* A son [aient littéraire. , ,,
ftnilov est remis avec If soin qu’oat toujours apporté uix reprcseniiiiotu trafique* le* artiste* qui composaient le théâtre de 1* République. Monvél est au-dessus de tout éloge duos ce beju tôle qui a non pu établi , thiit Fait revivre ti ré put» lin u pû ne peut eu tendre d'une maniéré, plus juste, dire mieux * exprimer avec plut de chaleur et de vérité- ■' -
Qp* cêI truste célèbre nous permette Line observation qun •4Us lui lOUsacUaiU i lui-racine -t an moment où rinloTtuiûe fléloise te oOxinsé , le prclet , qui vient de briser set fer* t ÿt-anné d'entendre préférer It nom de l'épouse L- ï ■ - Il Gjçe Jong-tems çctmme pour cherches à la reconnaître j
. Qi luloul ÎK-ni
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Gougle
njt'disj.nc rwMLìw» tu, 3! Dx/juntf
Moépaux, U* tnit· d'Hclone ne peureni rito lui apprenditi
c'tu d'iiij* **pbc*ijoQ ItLÌl * i|iiojtu Qf iid-tWt J(L 4’^n
|nnd effct , est irèi-appliudf, maù notti ignorerai «'ri «et urei,
i'il Mt à »a place. —-,
Ttjma cecopani ton tu* (aleni i d*> rii«· pini marinane
que «luì de De manet,y eit-remplicé par Diinu d'use su»
lift* ndcfMem|. Lt rqle d’HdoJw; QA iyi d$ epos que U
hioyeqnt VwrU conttrvc «vede pine d’Manug» t «a»d’A*
feìlie tt de Obbeifc ut ioni pisi jout* par lei pcrMauqp
yi U* r»mpJwÙ*st ea théitie de 1» JUpwtdiqu# , 0M>· fK
Ih«àfyetfeiM Pellet fai« ;ik »tur» pu yi’y ji^aej infoi*
*enh Vn* ♦lnerv»tknr (jìMmI« «■« U ™*i»*e 4*m lo«*
viij'e eai Joué ■ doli porter, non# le trapcnu * w l^lentcg^
h dtbit de» prucipnaa pcr*o»n*£e|. I,e jao^nde l'Wpf
P**J PC**r.» W|kra^0WÌ^1fcdA*Ìtì»
fante. '
|\w 1* r£le de Dorr»! Jatu 1· ^«irrti ijq^uest. C’«ii 1^
>MWr« Fai# q»'l il pwìlH^ i de M^U f i|
Aaij-lftbi!cmrnt «mtenu 1 tette place que le» amia da théiira
« lui in Jj tinaie ai qu* pire egifil# uretnqual ulani ut uè»
ffe*airc peni 1» reflue.
ANfcOfliUV
. AecnerF ferrai dei traiti) di paix , d’ilei neo et de taafecce*,
de neutrali lì et ruspe aiton d's reati , tendili pani#
fcfpublique Frangine vie le« difftretuet plurime«# aotflj,
perniiti, pendami# guerre d* La ré*Qhilwnj depuìr le pre~
Ìiier traile cóBclu avtij le grlnd-duc deTcìican«·, ju^qi* au^
per denjÌers , futi de Campo-formio, Fatitri d'alliarice et
4r La Franc«, par Srion- ÄParu.chci Tar ernie r, llbrùra,,
Mèdia-fiac , no, j3^ j «iDaacnu·, pai ai a Esalili , u^K.!
T +
Goi igle Dn gin rii ■rum
NEW YQRk’ PUOI IC U0RÄFH
NOUVELLES ÉTRANGÈRES.
T UH Q, U I ï.
: fronttcTfs , I» so (trjirtaZ an FI.
Jl yny une bataille très-sanglante entre Passwan-
Dglu et Ici ttoupés Ottnmanei- Ces dernier et afàient
le projet d’itraquer, nuit leur pian ayant été conté
par un traître à Pajswaa-Oglu , celui·« prévint str
trnùcniii 5 le« attaqua , et déjà il Ici mettait eu fuite,
lorsqu’un volontaire turc massacra Kara-Omar, pre-
Jtikr général de Pajs^an Oglu. Cet événement mit k
désordre Jaru k» troupe» de ce dernier; LcsTutc»
qui se rallièrent dans le même instant tombefeut tuf
les trqupes dc'Paitwan-Qglji, çt elles furent touleetnt
défaites. Le volontaire turc a été génère un*
eut récompensé parle gnnd-visir. Varmée turque
COruitiutrï actuellement tes opérations.
JlysîiK. l?r It ta prairial.
Un édit de F empereur supprime la plupart de<
imprime lies de tes Etais. Aucun ouvrage tie pourra
être imprimé, ou s'il est imprimé au-dchoti, introït
uit en Russie, s’il n’est approuvé par un tribunal de
ceniLiM. Toutes les galettes d’Alkma ftie sont prohibées
, à plus forte raison Jet ouvrages périodiques
français.
Du 17. Notre cour a ordonné de prendre dans la
Crimée des mesures militaires! tant sur mer que sut
terre, djoa h crainte d'une surprise; car depuis qu'il
cil question du fatnem armement de Toulon , nos
jnitiiatres ne sont pa> fort tranquilles ; ils n'ont pü
une entière CQHÜance d«nj loi ministres de lit Porit*
Crrlijlniil îair
«NEW TURK PURLIC UBRÀRŸ
' ( ®*T7 > (
qui pciHïiîent être tentés d'ouvrir les Dir^a rj»3]eJ
- à Bonaparte, dans l'espérance de voir reconquérir l»
Crimée pour le grand-turc-
■; Le» escadre* dont on a. annoncé le'prcchaiu départ,
sont encore dam uoi port»; il eu doit, dit-on,
Sortit trois-
DaNEWAECK. Di if ao prairial. .
La cherté du bois augmentant sms celle, il a été
nommé une commission pour examiner si ou né
pourrait pas se servir avec avantage du charbon de
terre de riale de Bornholm- Cette commission a fait
ton rapport i il en résulte que ce charbon peut servir
aii chauffage des poêles , aux brassçtiçs et aux
fours, mais qu’il n'est pas égal eu bonne qualité à
' celui d'Angleterre- Ou croit qu'on en fera venir'une .
grande provision à Copenhague.
La pèche'du hareng pris Dronthelm a beaucoup
diminué depuis quelques années. On y établit actuel·
le ruent une banque àrinsur de celle de Christiaais,
dont le fond· provisoire sera de soo,ooo rixdalprs.
Dans un transport de recrues allemandes arrivées
jdernicrfmcnL dans notre capitale, il s'esr trouvé un
chef des chouaui qui commandait,en Bretagne^
Allemagne. De Fienne, h îS prairial.
Nos gazettes assurent qu'un nouvel emprunt, ordonné
pat une patente impériale en date du ■ 3 de
ce mois, d’après lequel les possesseurs d'cbligaiions
de la banque doivent, fournir 3o pour ioot répond
ferlai tome ut aux vues de notre cour. Suivant elles,
Ù ¡nlértHéi de la banque de Vienne saisissent avec'
joie l'occasion de porter de 4 pour ioo à 5, les inté·
rêts de leurs capitaux, et ih fournissent d'autant pim
voiontitri le supplément exigé, qnepar-là ¡buts obligations
se 'trouvent proportiontteilement accrues.
' On fait aussi courir le bruit que, depuis le ad, il
Vetc présenté tant de souiuistionnaires à la banque,
' qu’un grand nombre n’a pu être satisfait , et qu'à
1 'dater de ce moment il n'a plus été possible de St
procurer des obligations à la bourse.
□r a -lii trnir
NEW YORK PtlfiLl C LI BKAR.Y
■ ( ■*** .
Bn conformité ¿Tûnphrt de ls chambre Üeï Bnance·, le prix du port des lettres *era abgmeptí de moitié , à couiflitacet du tJ messidor , dans les Etats héréditaires.
Le recrutement qui avait ordonne dam le moi# dernier, et suspendu deptjii, vient de rctommencer ivec uhe nûmwltsi activité, La etoti jSfcr&td ifenca- vçaux contrata avec It liaron de Wimmer, pour des livra h ouï de fourrages, et pour k transport de» autre) objets néccKiiret à l'amie impériale qui est en Em· Î'dte. La tue me opération a eu lieu avec d’autref Garnis »eut s , pùut fannpe d Italie,
La tempête qui a fait tant de RrMtJ h Finnt<\ n'a pal été HAoiui violente à Udin* «t dan» tout i«tv virons; elle a, dqri t# heures, a arraçhé des^rbre», culbuté de» maiiom^ et ravagé des villages entiers Toute l’étendue qu’elle a parcourue, çst nu ipccocle de dévastation plu» affreux que celui que la guçrac H plu# optniètte pourrait Lûimt après elle. ,
De Rattadt t It S mélddo-r.
Hier, Ira plénipotentîtire» françait oqt remit 11 uote tuivante t
fi Les soussigné·. *iinieir*s de la ReptibKqet française fiûtir h négociation *vec VEmpire germatiiqve , Ont fcço i note de îd députation de I Empire, du rg floréal dernier, qui leur a ¿tí eotzunuEiiqurc par Mf le comte de Metlernkh, ttiuüitn plédipOlfiltiair t de «1 m?jc4té Ltinpt rtttï.
■ i lîi site ri datent que h drpiitatinn , éclairée sur tes vêr CHtbks intérêts et sur le danger des ttmpomattout, pénétrée, ctir* ht* eutL· mènes, d* la nécessite d un* paie prompte *1 dur-sbl* , b'hésiterait peint à accepter tes proposition» énoncées dans ia ttett de la kiitiob française, du 14 fto- reaL dernier; qu’«Lle itoonn dirait que la République vktv- ri* me n’a pu s< montrer plvn modérée , ni plu· comfi*- qtndanie, et qu’on *àt su* doute érigé è'eite bine de vannée t si se» ennemis euçseüt réuesi thés leur* plant canbi· uct d‘cD>«h«5scpent et de partage s en En, qu'au lien de rt'e^-, jager d* plu» en plus dans une dije 1441! ion‘jnlenziînaltl*,, elle »'appliquerait I préciser sis réponses ; qu'elle justifia* <*il sur-tout l’opposition qu’elle mankertc dus Ici pointa,
I 1
«
Gûi -gle
' ( »99 )
];. ï«« pi ut HtportiD* par «tt± for« de raison i laquelle fa* bommes de bonne-foi oe rémittent'jameit.
, . » Tvonipê· (fatll faur ail en le ! les saUsifania nfau sût
mis que plu» d'attention i rurdjEer fa nbte du ig Boréal 1 jxkLin itf doivent déclarer qu'il u'est résliiie pour eux de eç ' màr eaavei* aucun itùlil de «on vie don qui air pu le* dé- -*i»tar 4e leurs premières detnmdei, Far exemple , ce n’eït pa.i fériéti»emcm sans dame que fa de pu ta non propose d* «rnvoyer A uq« çauTcniimi parlfaulfare de commerce et de navigation , çmit ce qui cat relatif , dam la noie de la lé* galicni fiançait« , i la navigation du Rhin, aux ctcrqiiii de -hallage , aux ouvrager nvéraiat., su* droite de péage , etc.
On ne tonte 1' par eu effet et que «’est qu'un traité de , c eni mer et en général ; c'«M *vec chaque Etat' en particulier «pi« l'en peut, anivaoi fai convenance* i foi mer dm relation! de te genre | rnnir tour h·* objet* dôiH i! ut ici que*- ■ion , à l’eiception peut-être deidtoit» de douane, qui -Tetiircut dams fa* tonvcoiiorir purement commerciale* , rîoiernt trouver pitre dani tin irrité· dé paix cttncïu avec I i’Empire., parte qu'ils iont pour KEiupite d’mi fait rét public
ci direct, il n'ert pan pfaifaiifa de se rendre compte de la dtclaraiioa faite par fa députation, qu'il en hors de «a c4mRécence de r'expliquât sur fa demande des rumlitre* plénipotentiaire* de la République Française , relativemeot A fa libres uavigatioD d« rivières qui si jeu cm (fan* le Rhiut et tu généret dei grand* Béait! d'Allïniignf, Il rçpibfc qui h dip'utaiian de l’Empfae ce réttt*« tnvalu dan* cette çircûnir^nce. S'il ne lm appatifattt p*a de prononcer, au moins lui appartient-il de solliciter la déct-jou de la dicte peint inique ■ et eenes on aurait d'autant plu* lieu de s'étonner de ion indifférence i cet égard que l'affsaiicîifafa-
* ment de* ffanve» inférieur* de l'Alfam^gtie tu un objet auquel , eu résultat, fa nation allemande est principalement interetfat.
** Lt refus de fa députation de coaaàtirir au rÿtablùiir- m«m du pour commercial entre le* deux Lrrtncli, n'ut ■pji mie.ut fuudé , sur-tout lorsqu'on fait a-ieniion que fa pretexte en eu tiré uniquement de fa.dispo.¡lion d'ancien* traités qui ont prononcé fa desi, ucifau de ce pont. San* -*:litTchtr ici à approfondir fa vcutuble ijioiil de fa lésfaiance pi-aniiestée sur Cet objet, fa; soussigné*‘répéteront que l'avantage d'une partie de l'Allemagne aie réefame pas . -jnAÎitt que celui de quelques d.p .iitesrien* de in République
.ÿr^n^ïiie, que cottt aari:jut u*ue «ait &nduT un c?*R” -
Go, glc
i
Q-igiiul Irurr
NEW YORK PUELl C Ll BRARï
mere* de* deux Β»ΰύηΐ. Poarquni lei truie te* qui Dubmt
de l'élit de guerre *’cpÿoi*riiveij-*llt« toujoiiri é l'moiri· '
bénéEc* de l'ttii de pux ? Si L'eo eutnit dmi le détiilde
et que lei préieniÎDu* de il République Frinitile dementi ni
¿»ai toute leur farte. Mai* eu ué^aciiliaa, le point tin* ■
nel fit d'ivmccr j et l'on π'1 vu t* c'è pis eu diicnumiL ι ipl
£*ut dune que de put et d'iutrt oa «Ί explique r»o» nmd-
*t uni détour. .d
» Lei eaujiigoéi «η do ne étant l'exemple, ·* n 1» bô·. I
Île ite dei objection« qu'on lient ■ opyoréet jutqu’ici rte pctXmnt-
ver de leur pu! raton iicnfice , il* en puiwrciil, I«* a
motif« ibm fi poi crique bicoiïÎMüit de leur gourerueaen,
dini ma ie*pter pour rhuminiie. et d*D> «od dei t lintett ;
d'itrélëter k coucluuion du truite débnitif , qui doit lier
1er dfüx puimnee* p«r leur proepérité commune» Voici eo
toDiiqoence le* madiEnliOni qu'-l* proposent i qaclquet ·
■rüclei de I· note du 14 fl.oréi.1, en tuppount que ledè*
puuiioq «crede lux «utrci uticki qu'elle renfertne, leiqaeli
rettesi dm* leur entier , le· «00*11^0«· y_ pmilitili de pi™ ?
fort, comme ne pouvant «ouffrir Je diucuuioo. ,ï
Ìiotir ne pi* itre comidéré com me ancìeqn* poi***iie*V·
riDfUM t et ion* ce npporc, on ne rioit pii «otre qM^i
la Réptiblìqae l’eq defiline aajourei'htùì min poor τι Murar
I Empire «or lei inquietude* qui lui uont inipiré»*t<» ,
promette» que «or c* umin il ne ter·, elevi ni ville, o**·..
boriimi à demaader qu ii polite itre co tu fruii i Huningu* 1
un poni c dia merci «I de gré 3 ¡¡ré entra lei nxeriiui» '
»» 5·. fiat vive« (teli miti piti de* pletiipo tendi irei de
l'Empirc, ep Eavear dej noNei ini me diari, mront uccueil· 11
Uè* p«r Jq gouveruement fr annuir, Il con*enBri i te ςο*,
ceut qui no «ont pai en me me-terni comt*i, pi iccei. Firn
d’Empire , qui u'onl i la diete voi* coilective dì itidin- ,
ducile, soie ut eoo adirei comme de-«ìmpka piriicolien <* À
Iraiié* camme tei* ; bien eatendu néismoini que de kdr
p»rt il tì’jc «un litu f ¿tutine re peti don flit iudeamité *lue^ j
^ΟΒ^ιΛ, fon paur juppruuon du drwt* féodaux, ut»*
G01 »gle ti
. . f 3011 ■
i. défaut de joinéixnce, on pont ns-dt dtgradation , jüaqn'i
l'époque où il· seront iviait en powcniati „ c'csi-â<dii t ati
joui de J‘éc|iai«ge de* ralifiçaiion* du mité dïfinilif. L'ir-1
rieré du revenu, dû à1· cette nime époque, ippartiecdr* f
la République.
J* 4°. Leï dépendants* 1 ta rivs gaqcbb d’établisse nets r
■ ecclésiastique* situés iur la rive droite devant rester i. ta1
République, les déptodaoces i la rive droite d’ctibïjiieEieiia
. ecclésiastique· sût la rive gauche resteront à l’Efiptrt.
. M Lei ministre· plénipotentiaires de la République FrauftaM
ne doutent point que la dépuiaiion de i'Empire ne
mette, à ce notiveaia témoigcage de la modération de leur
gouverne ment, ion vèrituble prix. De La réciprocité d*s
sacrihce* sn'iip, une psi» prompte , iol'ide et honorable
pour les deux Etal*, n
Riiudt, le 4 amridor , an VI de la République.
Îtfnri , Üohkiib , Jiah Deakv,
Le» plénipotentiaire* impériaux et l'envoyé directorial
de Haye· ce ont communiqué aujourd'hui, à'
ta députation de i’Empire, la note cî-deiiu» i tmL
J l'attendait i ion contenu, La députation ta mettra
demain en· délcbéruian*, et on prévoit qu'elle fera
de nouvelles représentation» mr ce qu'elle retileroie
aux rntaritre» ftançat*. .
Zta 9. La note de ta légation française a été lue
dans la séance d’hier de la députation de 1 Empire.
Le ministre autrichien s'est expliqué ainsi :
, <1 La note des ministre» français > du 4 messidor de-cette
• mait , ne rem pi ruant nuttamcni ta juste attente, sùqcjïtenu
étant d aillctaf· de ta plus grande importance pour lit'
tranquillité et. ta sûreté futures de I1 Altadugtie , et mélte’
pour son existence, sur* tout des cercles intérieurs, etpau-i
vaut avoir des soi[ci incalculables pour tas puissance* et!
Etats souverains des fromicres de l'Allemagne ; ta débbc-'i
ratloti u»i doit s'ensuivre demande la plu*| grande atterutauét
la plus mûre réflexion t chaque membre de là députa-,
don, auquel son devoir'impose de veiller au bien.être de.
l'Allemagne, *■ pairie, lé sentira sans doute de lu-i-mécnc. _
L'Autriche ** réserve donc l ouverture do protocole, etiou
vote sera donné après.un sérieux eximen, et ■mi-tût que
l'imp ortaucc.d* l'tsbjni le psrmstHt· t» - . - *■
□ rtqlr,:. IHiïï
Néi-; YORK H.3:l l L!iF.ARr
i
.( *>*}
Ï1 y i éu hfet une mjusclk confère« ci ï Setti. '
Si c) C5 * dans tojM U (aurs de fou voÿrga 1 Berli** < te tait pilier pour négociant, probublernt ni peur éviter l\mpQr{Un)ië4<S* tu ri eux, .
Le Rliin a enlrïïiiê derechef h digtitì prèi Rutadt ,' Vif à-vli Salut; etlei babifuni d'un village vdilin sont tue etili* obligli d'abandonner leurs habita-
tiotifl. : ■
Voici quelrpitt tfaiti luruil nouveau ministre 4c ή députation iTLmpire : / .
Le canite de MirewLi, envoyé dj ¡'¿Jvdeut de. Ravier* l'u couçrc;, ne tfrrqve pe» beaucoup dipi li dipiamaue·» filais il le dijtirt^uf pic le grand intérêt qntjé prend i. M cinfé général* de l’Lmpire , ituJdpt»d*m»ent dp ri lin 4« ton mal r;> ïei crpiuiau*, dant k .dei a
partent toujours tu> gi^d çv4cka* de ferme le , et prati nient d/or diluire beau coup de tolidlitÿ dnu Jf| jnt^ept, Lbderteti^ doit ila tei ponvein, e« celui, dei priore· 4« rKrpjure q» p*nt I* ··* «nriolh deennder» lp .goiLverMiiic*} friche·!.. Le coïtait - le Mitewh < uùvóiW doriti Ut ri>Hf Urti CHI» de |OB geniti rtaeita e «t, 1ÛC 4*t>»r tei« irtùiiieui j irini .nume dèm««ntnù»i iroptMrquV* 4‘iutiréi et d’iyi^iis pour 1er iqdtmrücaax r 1
. * Si tic privée cil simpìe et modewt*, carnai i'waiio« «on extérieur. Tout mi rappoii«, fi conduite et lei cct uiiiiancci etf i^ut ugi bauior* di&pe de l'*»w tLdutta- peci de ceux qui 5oçt3 tutine de l'apprécier^ . .
> PaaiJt/ £># lìcrMìih, It itT. mtssidtjr.
.C'ut 1« lodflicc ntoj»,qw!i]t’r4xi dodtêci* de retour ici, du Tùyigfl quiil vi«nt ¿«faire datB Uoe piTtiç d« Ita n cm veaux Etau de Pologne ; wee lui t reviendra Im minime des flfhiPE* 4n ingeres , le comte dii Hautgnitz, qui faecumpigne. Leur préaence e» attendue -avec impatiente par les différent ministre· étrangers, qui, thm ïa .dispotilîan a^tucHc. des cupriti et des affaires çti Aliçmagut? K tì^ltcut cacw» de rendre notre cibinçf favorable à vuc<<
Le prince dç ïeuflS., ambassadeur d’A^trithe au^ prè» de notre cour, a rc(w de VieapeHi iniLiucàal» nêceaiaim pputtrajttiauMÌtv*£ U. prince de Repi^iv der objet! de » coiiûau » jwi! ü.«£ fw* non plot
G(X )g[è
Origina "roir
DRK PUBLIE LIÉS.
( M I
uiajr de iti pouvQirj qu'apid* J'arri^i Ju rei ,.<!*■*
pii tei diipu^ilioni ei Sutvarlt la MiirocU ce diti nitire
que pi end tour lei confétencci de Sciti et celle*
de laMidc.
ÌYALtt, Dr Frurl, ir
Iti mémbrej ¡lu tribìiTmu* rifila et crimine li gqjat pnv
JiplupTri ooblei- L)t concert -avec lece* subaiteraei, iJg trami
leni i nói·ec la aacrlrcik Oigfnìeatipa judidaire , if»n
|O**lle oe rem ilare pai din» la pratile , et ab* de pouwir.
rélablir Linci sa ut ciiicitw, ' c
Lei nflblej pluvie» qui ioni teirii una e ippici se piailimi
bailiero.esu Le trèuement que Jeur flit i>inper,qurt
dt itti frati«« par jour pour chique iudriìdti de ietix far
«Bilie , leur paraît iD*uPtMiKit> III j'adrcticiit lui noblaj
whu . et prétend eut qua c’eat 1 aux à le* pourvoir, iir.*>
quii Ioni pronti* au uà iti abdiquèrent le jo*-
inqptìitit ari|toeraùgiBt>
lit nobles riche* > tant ceux qui t*nt etDpktéi que «tuf
fHHlt som par,» plaignent de Q'^ir p*» <o»l 1*
wwdìt et tout l’itifluençe dont'iti »'étaient flatté*. C.ac
imi chsJCl 4* noble* »e-pourrom jtrDii* s iiccntrutner aQ
•MMtl «ordre de chose» t >.U auraient préféré le gouvciu«~
*tnl démocratique où ils avaient. l'étpéndé'B d ocunpfr
1« jHffiicre* piiees. Si i cfl ifirtcmtrit* on jornt uetii qui
*ai perdu le or* pisce* pu I immuti «rdrt de choie« ; et
et·· qui SMM xttwhélr »UK prtHcjp*« droi«Cr*tiqiK 1 ., to peut
mjtcbuur qdt Venise ne r*rd*tw pan i «pioivtr qundqtìb
rire. . . ■■
On «UltWOt ÛCÎ C4tM in· propulsiti tenui li la g,l«n^
4**ii menuMtF®etc. On fut iMtticr 4 piti* d* iati «niUthsiNBf*
liiWMpti qui sont dan* l'Èliu «HMrénitwn
■dre cmm Les ydni de »vutewM cospa. L'anttlimi«
MWfrtn pat nana i«t iparaur tK.ijwueiiH.
Il * demandé, Hit-on, de quitter la Cbirtreme^
jni aller demeurer an pikts 4= 1* Croccila, i Florence.
, Qu parle )â |VflC U plus grande COny»iai*art«e dea arpa-
Wwt. dq ì ppuptrtur et du rfli 4e tipica- On Pc dèutp
jcigiqtir fet R^ppbliqne» Cisalpini ai Romaine tu aoû-iu
/bqquitci en queue jûtim-, Q^aut À la- Liguri! , elle a\
Wjl. de treize*t £t ici vQloxxuircs ne resinerò ut pu ajii
***** vctéimi 4>1^tentent. Lé palli idglw 0>,jUiù M
□nglna* tT:<n
NêW YORK PUBLIC LIBRARY
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. ’ . . . ( 5’4 1 . - .
ai ii riornbreu·', ni li peinant ta'TottHne» Le goaver» ntroeui partit être (ou* m tutelle» L'armée du ¡¿finil-due "tir mai n e mue lié stf,a-tjo bûnmin, dont 4000 de troupe! de lignes et iG,Ot>b de tiuupei. ptavindsde*.
De Haute, le 19 ftwirie!. Nûuj apprenons par les dernières ktues de Niple*, que l’on y continue le procès de* “détetitii pour opinions politique* ; qut pltiiieurt ont été jugés et cï:retirés» On dit que parmi cei dertJHtSf T y jtiil deux noble* ; mflis orl ignore leüTi nom, , etrnut se ftii avec le plus Grand myrtera, afin que f ambassadeur françai* n'en soit point informé- Ou ccnripie sur le tileoce dé tl ferre lit.
La tout de Naples coniîtme 1 faire de. grand* priptr* ïifs? Quelque* déserteur* napolitain* irrivÉr ici ce msdn, ¿¿posent que le roi a Fltit mettre en liberté tou* lis ioqa» 4c* gülcTes et des j/féiidei, et les.* fait incorporer danilei rt-f.inietis. On te demsnde pourquoi il met aur pied eut atroce tt nombreuse, a’ii n'en pas entré da-n* une nouvel!* Coalition. ' -
Une loi ■anciiodnée par !» général ftsï^ais , établit que l’époque des vacantes prescrite* au Corps léginHüf pat ii COmriTutiori , commence« le t*r. thermidor et' diireta ju*- qu'au aS brvmiire.
. Piémont. DeT'arin^ le irt. mruîddf, .
. Le al pniiiil, les Liguriens, au nombre de 4 1 5ow irjqmes, ai laquèrent Carosio, défendu par tiooo ikjinme», ai ta iureni repoiissii a«tc peu de perte des deux côté*. Mai* après l'affaire finie , le gênerai pi ¿m an tais ne jugeant piac i propos de et souttnir dâp* ce petit village de cent feux, au. fond d'un vallée, et ayant de* ordre* de ts’orcuper aucune putie dv territoire ligurien , abandonna Carosiu , ce prit le landetAfin une bonne position sur la frontière-. Dit) s h ‘retraite , quelque* traînauri furent fait* .pritonnitn , et a petits canon* de campagne faisni enlevé*» Les ennemis, encouragés par «C fuccéi l voulurent s'emparer des magasin*, mais uD parvint 1 les sauver. .
"La ai , il y eut une petite »Faire1 ièlii aucune conséquent^.
Le >d-, mi corps de' lîüt? homtnef parti de Novj , villa ligurîtrtne, a attaqué PoirVolo, et'en a été repoussé avec ÎeYte de jî homme*,' lîi furent de même repolis*é* * Sert»- aile'. Atant-hitet, *de* député» d Oneilte ariiverent iA pour 6Îfin d'accord avec H'vallée du T*n)i0oT l'iidi estent de 8000 paj^aiii. ■ *
REPUBLIQUE
Qdi. gte
Dr-3Ml rrom
NbW7ü«X PUBLIC LIBHAH
RÉPUBLIQUE· BATA
J -► De lu Haye , U 4 mts'idef.
Le* mcubrif d»s deux conseil* , ml* «b état
talion le ap prairial , sOnlr dttecidi a ta. l’tjjsun
liiiii que Ceux arrêté* depuis ïc 4 | Iilvidîc ; cri.tii
nuu des autres a reçu des idauçil*« ment qu: sçLntileril pl éugci
uue pioiluinc iOriie. Ou croît pqiut.nr que leur mise
en libesié u’aura délitiiiiveimeiK lieu en’apiè* Ij ténue dre
uieTübleei piimajtes, convoquées pour le «a mer si d or- Ce
reurd irouve beaucoup d'improbaieiit*. La vîlfi de Dordrecht
à déjà denundé , par une pétition , qn'rnl mît <11
jugement Iso détenus du 4 pluviôse , ou qu’un le* rendît,
un 1 délii, à la liberté. LI paraît qtie cet exemple sera suivi
proo grand nombre d'amies cumBitCei. li eal aussi brjiicoup
de ritoyeria qui tefusent de signer les □dresses tl’atîfiélien
u Si meuidor, jüifuà ce que Ici détenu« le ^4 p rainai
eoient libre*.
Dur G- Le Dtivctuire jttovieoire a piïs toutes Je· mesure*
rfinvenabtes pour mettre no* eûtes a libri de tonte insulte,
li a Ordonné qtit , pour tel protéger, on r^dütrblit lî'aetâviiè
dan* les arménien: maritime«, et que Je* force* tiivitti
de l’Etat , qui mouillent d»n* le Tekel , soient dis»
potée* pour mettre promptement à la Voile. On présume, avec
Ïudqnt apparence de certitude, qu'elle* lâcheront de forcer
r Anglais 1 gagner le large , et de débloquer le* tiolille*
Ïui Hxtt diitis Xei port* de Fîessinguc , MLtlJelbcurg et
lelvoe t-S J uÿi.
Irlande, De Dublin « It ig ¿rflirù/«
Aïiut'hier au *oir, i'Eurajba , de 64 tnont b et le Etn-
Prejp, de 54 , arrivèrent dan* note* bue, ayant à bord Je
J0e, léptntnt.
L'université Je Glaacow a arrêté de tw point idmeuçg le*
jeunes getii qui ont été renvoyé* du college de Dublin, 1
tiase de leur* principe* p u lin que*.
Dr Wexferd, le 3 meniJoT. Le camp etjneimi est lüc pieds
de Vincgar-Hdl : il tsr compose de ¡4,000 homme* qui,
'gré le* bû pièces de riuou qu’il* possédé ui, n'ont pdint
orc osé en venir *uk tu s in* avec de* homme* ttertiéa de
piquet. Il* sa préparent à livrtr bataille soi’* deux jatni, fiai* xxxk v
■ *. ·
;
friuiltt· furn
NEW VOF.K PL’OLIC 110RÄRY Google
' ( 3o5 )
Dt^s^fbaérx fmA notti fout espérer que leariFeiK seront
Jteinti cette nuit à h même heure ; alan leur artillerie
Éanü inutile, Ùtt li! unip de Vinegar-Hül descendrai
Tiqjtm, et ìli ne liront plus/ .
Awdtktrài*. De Lfmdref f u 7 dénider.
La fonderìe d’EuniicortNy Àftd plu* forte tfe iTdandè.
Beiuchamp BigHnill-Harvey f il a îiûB liv, iter lins g de
jtnte, ) tcnnniiûde i Wetford avec la plue granile htintitntf,
La pr odami don ¿u général ftarrey porte expmitiàébt
de De.jàmai* répandre ean! nécessité,· même h sang de fèdi*
plus trucie eûneniis. . -■■“
Qpoi qu’en disent 1er papiers ministériels, i! eût fetic-qlie
. le comté de Kiltfare «Jt sottrai*. C’en le piyi qui i-tu
mitre le malheureux Fit* CétSÎd. ■' ■
Lee IriandainUuij ont ditn le côtnli de Ititdafe in eitnp
dé 10,000 homme* strie b'ord dermaral· d'AHéi»; ïllFy
maintiennent la plus «vere discipline- ilr énéoienf
vedette» preiqu’mx porte» de Dublin [d cinq militi de-4i).
fia ptuvent ee retrsoclter i volonté dans tei plaines rnsré* .
' eigeuses , oi la cjnaltriç et l'artillerie ne peuvent iamms
le· atteindre. ■
Bei lijniu· psniruiiert paraissent toutes lei nuits iut |fs
Btotiiagnei qflî enlourrm Mallo*, dans le comté de Coi-
L» camp de Wicklo* menace Dublin toute* lu nd$h
L'an ■ fait éloigner t»ui Iti vaisseaux. Ili »ont précîà
" Mettre i: la voile...dans J* crainte d'une in^asiou. ,r. -
GalloWly «t Roseo mm ou soni loujouia en uiiurctctlkn .ouverte.
■'■
Les trbit pour *çnt cQit+dlidés sont encore fermes. .
Le* diicusiioüi de la chambre dei tordi sont toujouri i-.-
bbis-clo*. ■ ■ ',.
L'orale ai dvi codh4tm * ■ lo*tnitt ti rhrtrfbK , h 3 kWv-i
*îdot, que fiMcxtiment royal avait été dOditi i üx bill^u;
1 autori*« ï dispose? de» nilictt tavgsoóél bora de la.
{¡■tatufe-lretagn*'. 1 1 '
Dan* une iéstsce antétléirtd * h éobjtifel Tarie ton « **a- '
ténu qu’on ue pouvait meure sur pied que 3S,ooo homme* >
de antica, et qu’on n’en pouvait pa· disposer ainsi ttai» ua'
Moment où Londres «ttnt était menacé. .
Le secretaire d'Eut, Dundai, a prétendu que ces eaîdhfr f
H étaient f»x, et qu'il y avait déjà plus de q<r,ûdu hommesde
milice m arme*. t
(*7>.
M. Jekil a parli de l’tlTure J'Oatende tt de h ftunrti d*F ra ppOrt» TmnHWWtl#, et
•Bù-mant qui i'tiitreprise evali reniti.
H, Bufanti l’a tappe Ite i 1 orche! ; ■ ■ '■
Li ctiaiubre »’est vie et couiiié MDTtL
Le hadcruaiu , M. Jekil l’eat rèi racle pdbiiqueme ut , et le aecréta ire Duhcjii i obirr^e rii 1 airlit p. oltre soup-
feoué di voi r cu dei' ime ni ioni perorici-
M7 DuAdtj prò-piote d® rèutué tour tibit jour* Jr ¿Jumbe en contiti, pour un bi-1 de Tiratene »uppiémeotatre.
Ori Ut dati* le Jfsrui^tÌArfidMe, li cdpie (Tutte pé-oJli- *aticu du giWtral fruirai? Udirne , *drr?srv lui hlbìtHTW dei poAleteiotìÉ friinf aiuts- id>ddti da <>p de Bannc-£«pb-y ftnee i elle c4 u lieti t dts detìiiìi tur Tippoo-Saib, qui prua*-, quel portit ce prime indien d-c liste k;.Atixt«r*K fi deano di' a Lir* upt alliafifc offìeutive et défe^dv* avi« lei Frugai·, et pTopoie de prende« J il thirge, ¿uni Ipug-« Wut que li ¡¡uetT# cosìmuir* dau l'inde^lci itotipti qie eem-ci ponrrem Ini envopi-r. Topi en prepari, ai-onte le ttarerucu< de l Iile-de-Frincc , tom eit prepari pout ie- Ordir tt fcttailrl 1 lairivér dei Irdiipci ; lei che ri /t‘lev eicLcrs trunverout tóuc « qui ..ieri niciiuire putir'ió fife1 PÒ*r urte guerre i laqiiflte' tei Huropriiii toni ptu1 Aciu- tanti. Énfio Tippoc n itteud qut f-iVrifrit! dWvFiinr^nt pòtìP di'«rikr utfe duirte' i'tanYi ibi JÌnilsis, et Kd ÀihAiM rui 8 ■ ■ ' i .
Ììiftiirreclion eit fottio tir» coniti ni· i Wxlfltw, Kitònr,' Tipperarf , Kiiktfdiiy ei A airi ha.
Lord LiBgborough «K piiuMHT £■ Wnitfd, ind m pendei ■ , ; , '
Tini ha proceiuoi 1 Wenford <kh «t mptfti».
Le bri ve Munto, ciuf d» ininrgi* , Mi tombe (din* 1*4" *®ki ruyrfeit et U i iti penduA n»tanr>
■'l’hh vieht d'appfcodrc , par in vomita qir*on. 4 etiti < fbV'd Ita »£rvux dei BOnogae* d< Wickiow, do Kildar« «'rrtme de Dobtìa ,< avaienaiU a II orni· A>li4où, Lx ipiif dhniefe, aomrat un èuù c-inienti, 3o,aoo Irlmdiu ctaiettf Uv»atireì de Dubita,
’ifiB ^¿niril Hirvey ¿tilt duo* lei prùom da Wc*forti, 4*tM let répjbìicuni y aont entri· , et il ìiuÌl ieax?,· Il Mito lOtnmer le général Johm su de luì rendre la ville MVav<wk, om qtL'tl y metirair le feti ; Jobnidn anruf fair liuti èl^uiunt la parie men taire, putir loute
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FJFW YORK P. JB.I CU lift ARY
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REPUBLIQUE FRANÇAISE;
CO R P s législatif,
S faills dis deux Cemuls, Ai 5 «V 15 uwtifar;
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Deimoiin* a reproduit, d-ant la séance du G du ,ij ’’conseil des Cinq -tenu« rott projet de résolurippcoqi ' . cernant ici droits des enfaut uts bars muiige» Il
propose d'accorder à ceux dont le» pères tout ;
avant la révolution „ une pension égale au tiers-. ce qu’ilr auraient pn préteftéire »’ils étaient né* daut* le manjge. . . .
On »‘occnp* d'abord de î’urgence. , J . ,
Plusieurs membres la combattent, * -
Le cdnseït ajourne l'exameip de la question , aprèa , | lus troi» lecture» comthutîonneJks, -/ '_
Ou reprend ensuite ta discussion sur 1» domai4es ', engagé*. Plusieurs orateur» sont entendus pour UÇ t^utre. L'impression de leur discours est ordonnée*'.’.
L'état de détresse dans lequel ie trouvent le» ho*- Îicea civihda/is toute l'étendue de la République « . ae l'attention du conseil dans .'sa séance du
Divers membres propos eut de» projet* q.u ’ils croient , Îïropfe» 1 leur procurer de» secours cüicaces ; mai» O tienne observe que le eonicd a pour vu. suffi sam· ment < leur* besoins, en ouvrant an ministre de Tinté rieur, pour cet objet* un crédit de 5 milhotf# Etjtfc Pàn V, *t un de < pour l'àn VI | omis que Je* ospices n'ont touché qu'un midi on sur le premier crédit, et 800,006 fr. lurlé second, H demande eti ■ conséquence 4 qu'il soit fait un message au Dirétt* taire pour l'inviter à les faire remplir, sauf à/ret Tant- cher sur d'autre» dépenses du'tnmiucre de. l'in*^- rkVr, Àpté» quelques débat* «telle proposition·«*^ adoptée.
La discussion sur les domain et engagé* a replie. Le rapporteur a répondu ïïï objet lions faite» ¿wure
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te projet, et il a lu le*. diretp «rtrèle· qui I* c»m·
, pofeat» Lti deux premier« ont ¿té adapté*«, .
Hrurt* ut-La tuer vil le obtient, le 8, la parole'p^uc
une motion d'ordre sur l'in tir uct ¡art publique , Ht»*
dion à abréger Jet travaux du eomcil lurxetl* î«M-
¡mrtapte matière. La République , dit-il, soupire de*
ptfiS plmieurj année* apri* de* inatitutian* cou*
for met. aux dicüti»aux devoir* de l'homme et *un
principe* épuré* de la taitoir éclairée. La pairie e*t
elidé d'in*tructitm, comme la terre, apri* la· »«
ngui de Phtycr, est avide des pluie* de terminal et
dti »yens du toltik Sam la bénigne Lthuence dx
^ctutre qui fécondai· nature , elle ne verraitpoiijt
Ktpltre te* fruit*; de même , la République aérait ·
fiippée de stérilité et replongée dam kigjnqnDceet
(huit icïvitude , li on ne l’empresse d'imprimer i
ncrinriitutioni et à l'éducation publique ce cariettremita
qui triomphe des obmtle*,crée les homme*
Hbr«, «t augmente le dévouement à 1* patrie,
5i vaut nr adoptez pa* une mainte *iti*fai**.nta. t.
>h birhvie et le vendalitmc envahiront de nouveau
h paya de* Franc* t'vnu* n'aurei plut d'hommq*
cipiulc» de remplir det lanction* publique·. Ton
Wlgiahtentt de* peuple* libre* contractent Penga-
St de le* éclairer. San* intuuctio.H, la loi est
liqnt, et ion glaive n'e*t plu* qu'un poignardi
crimes atroce* ont touillé la plu» belle de*
téniationtfC'elt que le* homme* ont été guidés par
Je* pmi n ns plu* que par le· lumière*.
Je demande que , rapportant Faftÿté prit sur la
ÿropoiitLon de Du hure, qui ordonne un nouveau
'Uppoti,lç conte il discute ptimidi prochain., ci de
bois jour* «n trois jouri, Je .projet lut le* écoles pri-
-àïirït, présenté par Roger-Mutin.
■ Après quelque* débat*, le conseil renvoie Ce· r<-
ftïious à ta èomoiiation d'instruction ptibliqu«, avec
hjnnetion de présenter ion rapport, dans 1* derniese
détidt du mois courant,*ur l'organisation de* étroit i
triiiairrs et secondaire* cTcmeignemcnt public.
Ibott-dst-Gahud .avait appuyé la motion de La- .
«Hille , en te plaignant de* délai* intermiiubk*
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Go glc Lias ART
0.1*·)'·’
qWpKUWtt' prc^«ì prêtetitët tar Tioitwcüafr publique L:tft' des-dégcrftt qulila ó riapi ¡eut i la £Otq- feftNtato. Ma’*' locrtwaiLsiesi ¿£««»0400,d jpftéa.rpb- dc ^ritn, q^i'ihv-dauüucnx ii:tender «fletti* éf tii ji te-'jôtiK< po-ul· ptoudre w« mesure dAfaïtMK,.sC mc fc cetJégard. ■- ', ■; ·. ” . , . . 1 - . b
- irtlbis ^ ) pw; sente au rapport swï ip
tae1 <>titretien dei tcnirtt, rCeite taxe n’tii pMQ* Hrti impôt T^it^l;4on ftvttrt m doit csuciurui dq* *óritegniv ,-tti arnie Itxréwr public t'iL no ir, ètte ‘fcttiqtffmtnVr&ojïeîê i l i-bip aitano-de* rcMttabfìw- ptrfdiRt ‘<ela''ac pax Aprii avoir txfpaié. fa*
'ibcti./ùès fa'plupart d cio1 patei plinti cm avpCiiiqusli· . ‘pn a iti oWiîgé -i'tKÓ£»«erialoi, le jiqa porteur p·**·· paît d3swt<rrljé*rk lX?eu<^T< à établir tou te al et wtft- 'ïiWtW oJ-BeSSaiîi), pu ogirdaui localités; i fa if B <4* ngiénifent pour constater le pend air dt 1* taxe, et À; «ftxérl'e n-ombre ¿es pacèepikuTs, eu Égard*«* <W#i- cuités étd'la perception. li ne luâsctait pas ÙMCTÀÎ* .-tiif-dhni etici cbiÿticreSLÙ .ad¿udicaIi^4n;;, Diati -l'a dj udic ite ht tenait chargé 'de hpartcptaîtl d?Jfcl. taxe et de l'er^c reiieu dee 1 pu tes. é-·
> 'linpression *| sjournemenit. >, ; :..■<,i
Où reprend la ducusùon utr Lei rtarurót^ ■gés. Lwié de la <i dm misi.ion ett i que les délevptttl· . fa<qri it tjent 1 eu payant un cinquième jtn nurnéiMCt et 1* reste eu bons corno [idi s.. i ,
X* c&rtscH allait délibérer çxqsi in un mtmbic dft* mande tju’on citige qutti <t* mu siéra ire.
Ville» ut Btrgtcr estent qu ilocs la réf^l.Hr?. tiçn dtfvicut nulle , paie« qa'alors Le* débiteur* fc£q< sciant de payer : qu'ii faudra icmettre <lù vente , 4Ç peut-être lana aucun fruit. ‘ . ■ . ' :
Trois épreuve s suertssives para ¡tient dauictutl« On'réctame l’appel nominal : üxiieu. . l -.. iîz
Le fluitai de 1 appel nominal a été, que sur □n etn b te* , i-3g ont adopté F me n de ment « et qu£ 1^4 Tarife ftjenê. En conséquence, le président a déclaré que lés détenteurs des domaines engagés .
«aient tenta de psyec |« quart «1 numéraire de tt, ■' -‘ . .. ' ■ . . . - . '
Got gte
(SjiJ
léelLe des dì n dowaincj, fij# ■▼Qulai^nt rester
psppr ¡¿pires i ucpparó.utK blesi
Le coiteli ordonne TÎe II, motion h onoratile et .
dépôt à i-a bibliotbtqu* nationale d* plusieurs O|Jftaget
du rit. Su* ( mède ci-n cèlebre dont il
hommi^f aq Cftrpl régislalif, cinqui ani pouriitrc.l
dt rÀjiatûjnit tttnPartt; Obsfrvatioffs jur la Vitftittd
f élément d^ÀnàiontitaFusage dts Feintrti , Scutyittm.
tllÎwitfiin. ■ ■
Dww, par jQOtJOp ¿Tprdrc î Aprii avoir mis sou* ,
ypjupi du çqp#ejJ J'eqtibarraA qu'emporte dan^ Lpt ‘
j^g^eu^s de commerce la variété qui «adite dan»
1<» ¿püquel detenni«^* pour les protêt» deibil-
Iqti ¿rtdtei · tbingf , et autre» effet*
négociable! Jllpsì 9UC d»ns le» cpfiiquea potar lc<-
r Qrÿuaic umno.cic de proci drue uniforme
àcet eganf. ■
, JL·* Éimjçil ep ordonne Timprestion et Vajoumt-'
mp^t, ,«t le rçjivpi à une commitjiou spéciale.
Po^lay ( de ï,a Meurthe), au nom d'une coturni!-
IjQri fpc traie , fait un rtQuyeiit rapport sur le ru ode
de rje-rflplacecmjnt dça jiijgei du iribuual de cassation.
U réeu-tne les djpïrentéi opinions ¿tintes à cet égard,'
lfa différentes p.ropofUîont qui ont été faites, çt que
noufe avons présenté«« dam le ténia. Il termine par*
Mn projet nouye.au, dont 1* conseil ordonne l'im*.
pression et T a jour, ne meut. . 1
Génissieüx reproduit, dans l'espace d'une giSHide
heur* , tout le*.argument développés par les défcQteuri
du premier projet de la corsiuiiston, qui nuicilisait
le Directoire ■ nommer au* places de juges v*-
«ante« dans le tribunal.de casiaüqn, et que 1« conseil
a écarté par la question préalable. ' ' ■ '
L’orateur ««aie de faire revenir le conseil vue etc
ferrÈiê, et propose de nouveau d’airtibufr cette no.
vi.nptiou feu Pouvoir exécutif, p^r suit* de la foi du
ïd fructidor, sauf à prendre pour l'avenir des meipTÇt
définitives. Il présente tn conséquent* qna<»«
projets de réjokuioas-donr le conseil ordonne t'inv
.. gestion. . ... - , ' -
Li dis cession i fepris,]« 5, an conseil des Atv
Google *
r
I ■ ■
r - ï ■ . ( St'j . ■ l·"
c'eris, tur îi résolution du 7 prit ri al relative airi tMV
. tiens des receveurs généraux des dépit te me ns et de
~ le?u.rs piépOsés. 1 ' ' J’ ' ■ <■ : -1
. Lacuée vote contre Là résolution»' ‘
.Legrand vote pour l'adoption. ‘ ' - ' ' rf
Jourdain et Delmas v'ùtenr pour te itjét y
lLc conieiJ Ferme la discussi t>n, et rejetât la réso* a
lution, ’ ,................. " 1 -,
Le, conseil s’occupe , ler6, de celle condemant ll·1
liquidation et le paiement des.fermaget irtiÎtéf.'
. f Saligni invoqué conitela réîi>l*UtiQn lej principe· f
qui üt permettent pas là rescision deS'bidx'SttjSulsi i.
en denrées. II. ajoute que les fermier* riè pËûvtàt
point alléguer la dépréciation du papier’tnóttìijiie
Kü ûr de mander une réduction du prix de lieux* blu·,
s fetaìent soumis'à "payer leurs itïma'gCJ Cn iîcè*
r^ea. Jamais la valeur de cette espece d’or donnante j
n'a varié pour eux· Lorsqu'ils ont promis nne quaà- -,
tiré quelconque de denrccj., ils s'étalent air tire 3 d’à- '
vance que la terre qu'ils'prenaient à bxil leur i
rendrait assez pour acquitter leurs redevances T êt(
pour qu'ils eussent après un. bénéfice raisonnable, ■'/
. Cornet répond que la résolution ne percent dVi*
pérer de réduction qu'à ceux qui par le prix de ieujr*
. l?aui; seraient lésés d’outre-moitié ; qu’il ne s’agit'
que des baux qui ont été faits dans L’iuccrvaliéi Jn
1^. juillet 179^ au 7 thermidor an IV t que les nw- :
t;fs de célie téduciicn sont limités : que le teme danl j
leqpel ces baux ont été faiti, sont du cercle ordì- >
. ni,rp des prtbahiiitéi; et que conséquemment on ne
, pe^it invoquer contre ces baux les principe» “PP^Ο j
cables, en fems ordinaire, eu matière de reicHÎoi» '
LcJçonseil apprùuvt la téso lutici». . 3
' Uu objet d'intêràt particulier a fait l'»bjct de l*q
féancç du 8. ' sJ
D claies le a fait, le 9, un rapport nir larédolutïaitj
du W germinal, rclative aux baux passé* par antjoi—
palio□ , à ceux à vie ou 3 longues années , à ccûk j
qui font partie des actes passés entré les acquéreur·
<t les.vendeurs pendant la dépréciation dû papier- ,
, KiQcitiait. Cette ïésolution, dit-ii, prèseni»,cottime
.· . ’ “ V -
M13 )
des coToUairca de* lois existantes' de rfonvHle*éé»
- 'ctaionV relatives à ce* bau*, De tau* les piojctiprè*
sept« i il en est peu qui réunissent à un plut grand
_déçré de clarté, la perletiiou elle mérite dei difa~
cuites vaincues,
- Delà caste parcourt le* diverse* diipoiitiont de U
1 téftolqrion, dont il fait sentir l’udiité, et termine «n
proposant de l· approuver,
* ‘Le conseil ordonne l'impression et l'ajontnemeQtJ
Rallier résume le rapport à h mite duquel il arnit
Opïçrposé, il y * quelques jour), Je rejcttci h fésolnttfon
du 6 floréal, relative 1 L'aliénation de riale de»
é "Le contell la rejette.
. -L’ordre du jour appelle U dite u si ton iuî !> ré*o-
Ittüon du »g germinal, relative à dti conte*t»tiene
’élevée* entre ici créancier* des ¿migrer solvable* et
■ fes copartageant, ■
■- Dnpbbt défend la résolution tn rappellent Je* naOtïf*
que h commiision a donné* pour la faire *p-
"prduver, . .-
ta dise du ion cit continuée i demain.
’tfkentet Brottier défendent la réioluüon. liston»
’ifetnent qu'elle est c en forma aux. loi* précédentes,
. 44|u'çik amodie les créancier* de* émigré*aux créïa-
■^itr* dç» propriétaires d'office, favorite le* coobligé*
tt ccpàrtaçean*, en repartis*ant sur un plu* grand
jfrïrt rendu inévitable*. -
! /.' Barrot et Chassey soutiennent qu'elle est contraire
'*u principes, eu ce qu’tlk divise la loiidaxité de
Phipotbequc; injust« , en ce qu'elle dépouille le*
citoyen* de* action* qui kur mut acquise» , et qui
/jeun une espece de. propriété incartttitutionatHe, en
te qu'elle a un effet rétroactif.
La discussion est ajournée#
-. b séance du >1 n'a produit aucun résultat d'intéctét
je ocrai. .
itXs\ üoreau ( de TYoDria) obtient , lç it , la parole
féur une «notion d'ordre. Encore quelque* joht* t
éit4l,<tnovi »ttoû* arrivés i l’anoivcnatte de cette
(Sí*)
Í*Mttnéé s¿«KK«b1 e qui <i t-vain crq c4 rombt r la Bas tiU «<BionuïMnt de*vengeance* royqliitc#,Qtíii* furent beaux «i premier* jour* de ]p Jiborré ! cmx qui le* firent ¿dore, ouvrirent pour la Fr^ced-o«teclea de gloire. Ili tnc£ceiit de leur tang lea pEemíertt ligue* de la coutitution de i'*n III, ' ■ ,
Je HÍ* qne J. éckí, dt tea bdlep joiurrtéciíu* Kíji· ■ 5 ir d'autre» ; msis loin de tupí l'idé* 4jc rappeliçr t douloureux fowouiu : pí.W lea
vântbremet viciai*** d¿ Un> a.nwí, c$ll£* a pií queipa «uixt ic vainqueur dp lit* i i* k# ont ffUcé». £<* IknV. vom dttréiHci, maLg« J'jjílijeuec dp J’pr d< B l^n kc ni bourg etde Lcndret, que l’anniversaiie de ' i'aurore de la Jib^té lcr ait célébrée;]*: Ab-fPfWidQt· G'oti ce que je wui prop(¡«t aujourd'hui, Si Ja «ojisiituiiian voy* a défendu dat4*te< a aucune fíte,- que tertre voii ah fetc*lW4¿u*qu'í cette fiotrr
inexpugnable qui porte en ce moment iet derribée? d* Puni vert. Je propose duréter q^e le (6 mciù* d^r, jour, correspondant au 14 juillet 1 le préndot du conseil prononcera un diicours analogue àlafétç, que le iCips.de »«îique 14 taché au. conseil cxéjmtqra' H* rin. de la liberté ( et qu'*MJ?it 4.u ^rqcéitvCfbai tertid reaté au conieil de* Cûq-jc.ciM* et.au Di*ÿc* •oire. Ce projet d'arril* cal adopté, .
-Ciêtet fait iw tappott tur la réixd^ôon du 4 4o- réal, relative aua monnaie*. Il en pju<po*e je rejet , attendit qn'on u'accorduti ps,* ¿ox 4ir<c(curt de* hôtel* de* monnaie* un béiélite mr J* fa*
taioiion dea nouvelle· pièce* , elle çb* ceftc
fabrication , attendu qu'en *4Mime;t*qt l'arriéré de* contribution* 1 être payé en i>ua>éra¿tf -que l'on 4* prendrait qué pour une valeur dwiypj quant pour Gcnt, elle augmente la quotité de «s .«mtnbution» j. attendu qu'elle itncope lcx^iic: ^nnufl de* epu· tributioQi, et soumet celui dt Tan VI à upc double comptabilité ; attendu qu’iJLe OACt dé jUiuer *ur le retíremeot des monnaie* de* dêpaTterstn* rènni* - aùcndu qui elle ne détermine potnt Ja valeur légale de la pièce d'or, te qui cmpéctjeiaU.J*b<!WM* d«i awvdlc* piccatt . . .. ■ ■ ■. - 1
Cch gle
(Bi5)
- Irt »uteii ordonne Tinspreiüoa et rijovnumrtM.
Lrgiet obtient R parole, lie dans 1* rime* da
compii dee Citiq-ceaii, pour une ruolino d’ordre. ,
Je viens, dk* L, appeler votre ■itentinn tur i’iit. J
de I» Ipi'du 9 germinairelative à h vente de* ¡Mtm
IrMionvd·, Cet nati, cet aiuti Conçu ;<t Lct arrérage·
dej inscription* «urie grand-livre, donnée* en pn*-
merw , céderont de courir du prtmiu jahr da. tri»
mettre daai Le -courait duquel radjudkation au»
été /ait« ■*· - ■ r ■ / ; _
-Gótte ditpoirtioQ 4 «nirainé lu niuuité de lufantà*
tuerejiK ceetripewn·^ ordre, de* rfcwripiitm* rtôruir
cafvv* «t applicable# tenien*e«i aux adjurikataine
ydoeucét' te «fftt, rikl co··noimiree de U teéi*-
rerie ^'eussent pai ïé formé ce* rtscriptio» à ordat*,
tnnMiittbhe à volonté, «Hét auraieittpu être employées
à de* adjudication« utéûeuree au dripôt
Se* 4ns<npU0n» représentée#, et il serait résidé delà
-une contravention à la loi. Cependant une foui*
d'ttEQU'ércurt te plaignent de «epe me tuie, q J
osi fait de* vertement excédant le* prie qu'il» avaisni
Ifpayer, n'ayant plu« lafacdiléd* te défaire, comiche
ptìrle passé ,d**:*eu cip rioni quiàeor mitent, letto**
#eù fort gêné* ; et la ttéioreeie, pour le» £a*jc <-oa>
penlir à ['abandon dei arrérage* de leur* interi juionq,
iett obligée de demander de* procèwerbaui, d’oi
il-résulte de* enimeos tièi icmg*, do» w tardi -dan#
ItMédi.tion , enfin dit embanaa peur l*» acq^acutp
qatoLont pa« rigoureuiement faM leur compte. D*-
yrà» cei obier va tiou*, je demande le renvoi ivnt
c»Bnnijii»n spéciale, del proposition* luivaDte* <
■ ■!■. L'art. 7 de la loi du g germinal au S est rapporté-
■■. Lei inscription· définitive« donnée« en paiaracm
de domaine* natiwaUK* seront trimféréc· à i*
République avec la jouissance ta arante , pour Lai
- tramferii de particulier 1 particulier, ■
3°. Toutes le* reiçiipriom délivrée* par U t± 6«· norie,
1er a ut à ordre. - ■ · t
4P, Les reiori prions -namioirivc* qui s’ootpstèsé
fefc^l&yde» vteroai rapporté·« à la tr-étorctie, qui en
délivwa d^ai U. forme énoncée co fattici e- Ili.
□riginnl frnrr
NEW YORK PUBLIC UBPARÏ
( 3e® J
• 5°. Lonqù'une r oser ïpt ion délivrée pour nti dipa- Mm.cnt n’aura pu elfe employée, elle sera rapporte« à la trésorerie qui l’asaigaer^ sur un antre« Ce cLsü· |ement ne potttr» avoir lieu qu'c dent fait.
' i Impression et ajourne meut. <
- Hou*(et : Depuis 14 tiêdet, le r'eiptHÎùmt pesait eur b France; uü wul jour a.suffi pour le renvetser: Ce jour mémorable est le 14 juillet, qui a opéré le châte de La Bastille et préludé à celle du Irène* Il doitllic célébré dan* toute h République, cejou eher àtnui;nuis il ccinviem qu’il le soit »Ut-tout'par . 1er Corps législatif. Houjiet propose en consêq ue ace et le conseil inêtt qu'il célébrera liféte du 14 juil· _ 4et dans son sein, et. le préside ni pwc oniera uq dis- fûilri analogue, - -
■ Un secrétaire donne lecture d’un message du Di- «»ctoire, conçu en cet termes t ' ‘
■ *« Depuis long-tems. te gouvernement de Malte
avait, osé manifester des dispositions hoidlcs contre la République Française. Depuis long-temi il »'était fait un plaisir du un devait de protéger les émigré» réfugies dan» son iile« et les chevaliers de Condé «jui in testa ient .ron territoire de toutes parrs.Sa constitution L'obligeait i te soumettre.aux réglés de h . .plus tîacte neutralité, «t cependant dans toutes le» rotassions, ou le voit se déclarer hautement comte ia France, Est-dle eu guerre avec l Espagne? Malte protège le gouvernement espagnol. La République «lté-1* elle su» prises avec la seule Angle te rie ? Malte favorise de tant sou pouvoir h cause de net ennemis. Violant les droit» les plus sacrés, non seulement de Ja neutralité, mais de rhcspiuiilé Jt» Fiançai
1 qui résident à Jdaitt sont malt ailés , jettés au fond des cachots et traités coxAue les plus vils icélé- jati. Si k bruit se répand que Je roi de.Napks se dé» . claie l'ennemi, de la'France, Iss Maltais te déclarent ■les amis du toi de Naples, et ferment leurs putts aux tuîsscïuï français, tandis qu'ils le» ouvrent aux vai*·1 ■■ea un napolitain j/En 1 ?g3, Je grand-maître de Malte ne craint pas de déclarer qu'il a e peut, ne doit-et ne
> Veut cunjidêicri'inyOjré delà République FraftçaUc
Got igle
’ . nu jiLMl riiHl i
KBlM YORK PUBLJC LIBRARY
que corn me l'envoyé du roi de France-Enfin la grande
flotte, longraut L isle de Malte« demande à y faire de
l'eau; Ici chevaliers de Malte et de Saint Jean d^
Jérusalem déclarent, avec le ton de la plus iuanîtun
te Ironie, qu'il» ne peuvent permettre rentrée
que de deux bîtimeni à-ia-foil , ce qui n*1 aurait dettiandé
que 3ù&jourî pour que la Hotte enticte pût
être approvisionnée. Oier ititultEr ainsi l'armé? na*
vale de la grande nation, sur tout quand elle est
commiintiët. par Bernaparte !
- »vLe H prairial marin, le* troupes françaises étaient
à terre sur tous Ici points de 1'¡île* Le ,15 , le général
de brigade Mcrtùïndé, à la tête de la i g*., *'empart
du drapeau de l’Ordre. Le 14, l'armée navale s.em*·
parc du port et de 1 isle,tt force ses maîtres à renotjtei
au droit de propriété et de »ouve raine te qu'il*
avaient sur Malte. .,
, - *■ Nos invincibles défenseurs sc sont emparés de
v vaisseaux de guerre, 4 gaie res, i?oo pièce» de ennatta,
ifeo milliers de poudre, 40,0 00 fusils , et
beaucoup d'autres objets dont le détail n'est point
encore parvenu au Directoire! .
Le conseil déclare que L’armée française victorieuse
à Malte,a bien mérité de la patrie- La séance cSLÎevée*
La séance du 14a été employée à la discussion d'un
projet de résolution , concernant les délais d’appel
et ¿'opposition,dant lesjugemefis rendus pat défaut.
Après quelques heures de débats, le projet a été icn-
TQfé à un nouvel exaroen de la commission ;
Le conseil a arreté que désormais le quint'rdi énnt
employé aux travaux de la commissioD, il n'y aurait
pas de séance- , .
La résolution relative aux ntcnrjaîes a été soumise,
le 11, à la discussion du conseil de» Anciens. Le système
adopté par elle a paru bon à la commission ;
mai» elle a jugé en même irmi qu'elle contenait des
vices essetisielsqui n’en permettaient pas l'adoption.
D'abord elle ne donne pas un délai suffisant pour i cchangc
. elle complique les comptes des receveurs,
et elle laisse ïn détenu [née la valeur delà pîcced'or,
. D’apré» cts,ip°UfifCrctet, rapporteur, en propose le
‘rejet. Impression et ajourne nient.
OriflinBl t™r
NteW ¥ÛKK PUH L1C Ll K RA K ï
Un íécrftaíte a fait lecture 4 dans lt síi^te-d-u íÍ*
pu message du Directoire qui, annonce la prise dit
Tiale de Malte. R* g pi w obtient b patcdca Q Í' raíice !
o ma patrie 1 dis il „rïen.i est irnpümbieàfl· valeur de
ter g ó ne reaï túfaos ! Cet óc hcr, iéptué trup:e;>ai>ic ,
ce rocher qui avait bravé toute» les force· d.u Croie^
Mnt\ü'arp· résister deuxjocusd la iédortlahie bay&rir
fMtte Le drapeau ti ico for ûottte en es momient »tir le»
WMjn o»gue Rieuses élevée» p»T Malte ptfurrdndre nuit
Ses effort! de set unnetnis. Héros qui cíate cous le*
lté roi ! armée qùr éciiyie let cap bits de rantlenne ,
Rome atixjoürs de 12 grandeur ! pourtuivci le cour#
de vos glorieuses destinées ; arracbei lé sceptre de*
mets ¿ leurs iasohti» demi Auteurs 5 que pacvout l’tf.
aivert soie libre, et soyetles bienfaiteurs du mondej
fcpi^s en avoir été h t tireur. Je déviandel.ineprefttfoft
du message à 6 enemp. Cette proposition ettadoptôu,
Lebrun, oíganexi'LineA'üiiibiiisiión, a fait.le 14, n&
•Apport nr la-résoJutieh qui augmeme ls droit d»
timbre- JJ en propo.éJo ïojet. lmp. et, ajmjrticrpeçtr
£fo do· sert «de tienne J a tê sol ut fon po*t«nt qnd
Farinée française qui tí conquit Malte a bien mérité
Ée b pjtrt*. '**■ Pftès et Moreau ont psyé i ctftte
ornée et à ion obéi ntt justse tribut de louange·. ·
11 ny aura pat de séadec 1« qui midi.
PABIS, Ácnidi, »9 Mander,Tau FI dé {aRtpiMifvù '
IM» a 01* lirtnit lies Oûcveiks dt BobapaTtc, et ces
nouvelles soûl l’in nonce de Ü enquête de fiüe de Malte» .'
n&u» Boite > ,1 ■
L'armée d'expédition commandée per le général Bon spart
est arrivée te 91 pi'atnijR, à la p foie du four, à.k vue dy
ï’isle de Cose. Le convoi de Civ iui-V écris» y était arrivé d*·’
puis trois jours. * ’ ,
te si, la soir, il a été envoyé un aîdefoe-cadFp du £én.A ’
sa) cd chef, pour demander au gtand-miïire il facutré de
Faire de feau dans les diEféiÿni UiodillagEi de l’isle ; celui-cf
Chargea h ctmsni de 1» République l·rtfnçaiié i Moite, d*
porter «a répcmsc, qui ¿frit'nU refus absolu, a» pouvant-.
l Gb< >gle SVOr.K PURilC I &FL4B
( *19 )
tfiirait'il „ Tintfr entrer ptu» de d··* Üiiaied* dtyirinipoft à-la-fdù; m qui, cakiri frit, tgrût etigt 3oo jjun puw faire de J ftuLe
betùin de l'jm^e était crgvtit, et fartait ui deroîr d'employer I· force pour t'en procurer*
Il (ut ordonné à l'amiral Bmeyl de fuir· dei préparatif» pour tidtteenie. Il envoyait tenir*-»”*>rri Bitnquel avec atn eitidrc, ponr l cffectuerdaoakcalk de Metia-Siroco. Lcco·- voi de Gènrt débarqua d la lire d* Saint-Paul ; celui do M*t- aeitic, à Fille de Cote. Le géa. de biig. Liane et le chef de brig- jlfarmont deice-n dire ntl ¡a portée du cmtm d* k place.
Le rtnéral Dearix fit débarquer I* généra) de brigade BeiilarJ avec la tl*. IL l'empira d* icute* le» batterie». et fort* qtti défendaient la radeel lé meuiliitge de Mitra-Siroeo.
l·* sa, 4 la ptLte point· du jot>ri *®· traupe» étaient 1 terre *ur ton* le* pclmi, malgré l’obaiacle d'n«· caticmnado trii-vitt. — Le tt au roir* la placé était weeub de 10lu l*t eôiéf . et le mot 4* Ibtc jpomi*. Le général Regnier venait de a'tmpartrde l'iilt du Goi< ; le général Bnugury d'Hiiiirr#, de tout Je midi d* Fit!· de Molle, iptei avoir frit plusieurs chovalirri et îoo' iomùfi prit a onia ri. Le général Benhc était 4 vt)< perré* d* pritolet dm glrcii de la GotiQueee et-du fbrl Ricenoti) ¡1 trait fait'iumî plu 11 eu?» cheval·Ai ta Malte pricQUiuéri* ■
La» tsalheurén« ktbiiini effrayé· winlel* d* tout oeqo’m peut imaginer, »'étaient ¡oui réfugié» dan» la aille d* Mata , qui «e trouve pi r ce moyen ruffiwtnrpenl glrme de monde.
Pendant toute ]» roirée dn ts, la ville tiïonai a»oc i-prar grande activité- Lriaiurgei r oui lien 1 faire utie »ortie ; njaît le chef de brigade Marmout, à h tcie de Ta 1J·. leur enleva le dripe 1 ri d* l’ordre. Le même jour is, on comAenja À fairr débarquer l'artillerie. ,
11 y » peu de place» ea Europe auani forte at àusiî aoignfe que Moka. .
Le gfir.d-niritre envoya demander, 1« îl au matin , une luipenrion J"*fm.ee> Au tri-tbll'ride-de-camp , chéfdebrigade Jnnit, lui fut enécryé rrec fahenît* de rigiurn«« ruipénridn d'arme», »'il comentiii, pour préliminaire . â négocier dr la reddition d* k pl*«-r Le* ciroye*» Po»rtaly>e· et lurent «n outre envoyer pourtontar lot urientiont du grand- tnaiice cl de» habitas»; I» »utpenaioa darmei fut conclut porj -24 heu rat.
Le #3 i ttinuii. le» chsgè» de pouvoir du grand-nfîtic vinrent i borÆ de LtrÎrnt, oùijj coücfuatdL, dada Là nuit , thtc tomeutida dtfivitaé.
Go gle
( StoJ
■ A-lu de h dépntaiiùD du grand-maître état ta co»·
maudeur ^oiredoa-ftifiujit.. chevalier de la ci-devant laurgoe
d'Àtiverg-ne, qui, du mameiit oà il a vit que'Von prenait ¡es J
-iroMï contre Cm fiança», 1 sùr-le-rhainp ¿cijt au grand- 1
naître ,que ton devoir , comme chevalier de taallé ,' était. 4*
Caire la guerre aaxTHTcr , ec naii à ** psti.ic > qu'en rcrasé- _
jqueaci , il déclarait ne vouloir prend) e Aucune pari 4 la maurtise
conduite de l'ordre dans ccttc cire on s t*ac< : il /ht sur-
■ l<*çh» IJip ipjj eft pn'aoo , jlt il ti'eir çrt aorti· qnc f oui venir —I
négocie», . . ' . .
Hier, t4t l'armée fratiçiife est entrée dani h place , e> a .
pria paasestion de tons leajoru. AnjoutdAtti', kmidî, l’es*.
. cadre y est venue unruillci'i ' I
On a trouvé à Malte deux vaisseaux de guerre , Un< frtgale,
quatre galères, !,40ü piecea de tan y b , l,5ü& miilicjj .
c*piii!Ì>tiou i $ùt),<ioo franti de peni ioti, ¿t urte icnunede
600,000 fr. A tiire d'inde *nilé.
Deputa, catte nouvclk, oa a publié , dina quoque· jonrnnux
, qve l'occupili od d» catte isl* par Bcnjapane n'ivail
: gl<He ; iuM* celle, ciiomnitancé n'a aucun» garantie. On dit >U:j
contraire que le «ourler qui a apporta la nouvelle de Na pi«, ! “
a assuré tgu'i »ou départ cette eacadre af ait été signalée daut\;
cr geilfe. . ■ "tu
Il est de plus en plot vraisemblable que la destination de ’
' Kosciusko y est arrivé venant de Philadelphie, et qu’il pa-j:.:
" raît entièrement rétabli de ics blessures. 11 doit se rcndrltj.
incfiiiamîuen t à Paris« '
' - . ■ .. , ■ «H Ou pari« de la retraite prochaine dePitt. ■’
On annonce que Je roi de Sardaigne a demandé avee*,.
îusunce Tuiima-ce des uo ope s. trançaisej pour garantirvi
Etats,' ' ■ ;':
LOTERIE NATIONALE,
J
Tirage du 16 - mtnidir. , !
Lee nume r os sortis sont : 55 , 16 , 3g , '5ri , 3G.
. Lenoiï-LaïOchi , Menteur t* ■*
. fi*
il IC IIHRARV
«' . N’. 30.
MERCURE FRAX/iAÏ
-
'__ I
. J)ÎCadi 3o Meesiddr , l'an jixitmc de l
É C O N O-M I E POLÎT
Tut Statt of tht Paor 5 etc. I>t rÈtit du Pauvret au
HÜMm dtt Ciaises nmtrablei, tn Alfleitrrrrr, devait
ftpoqu* dt la fOnqu-te^jutq'L àu moment présent ; pat
tir Fgtotfirt: Müstüx Èoart.· Trcii ïolgmes ia 4%
" r -1.1»; î*r
A Ltadr/j. lynj.
*
SECOND Î X t U1 T,
* ■ ■ -
LjE tecond* volutnt de l'ouvrage de itr Edea contient
dti remei^tictticnj dêtjiilit »nr J'étit de» ou*
vricï» et des pauvres dans plutieurt comtés er'-pa«
saiiiu d’Angleterre. Cti renie igneuie-ni iont le rémJtit
de» ripantes reçue* par lui, toit de différé ni
èdclhraitiquet éclairé» et bienkitallt, soit de-quelque
s autre» personne» occupée* I reiueitiir le» fciit
qui peuvent intfücntr la léçïditurc et l'adminii-
" tratton , dam ieufi-oiilon* reipecrih t J auteur kl
■ doit én outre beaucoup aui recherche* d’un bomn#
‘ é n état de voir, qu’il aiuiraimc fait voyager pendint
ne an entier pour cet objet , dan» les différente!
partie» de 1‘Angkterre. Il ♦'«□ faut que tome catta
' »¿tonde partie dé l’ouvrig· mit bien in té restante 1
1 elle tu ceptndabt peut-être, dan» plupc·*» de tel
pjrtict, plut instructive que laprtnricrc, Nquj allant
rwiur. . x
Go* gle
. ' { )
■ t ' *
choisir «t présenter tin* ordre con'm: jli le »ont dent i'd.uvraft même , le* Faits qui njtjj pir*i4iemt les.pJu* dignes d’attcnrioo.
Dans la p 3. rois se de Readiûg , qui fj ¡t partie du comté de B-erl* T il n'est pat rare de voir un homme jeune, sain, vigoureux, ne manquant point de ira- viil, •'adrçsiér 4 )« caisse des pauvres pour .y demain der le salaire de la sage-femme qui vient de délivrer sa femme du premier enûnt qu’elle vient de mettre au mande, 11 arrive plus sonvent encore que le» tisserands, qui gagnent dit-huit schillings par semaine, ont recourt il» ch a tiré publique, pour peu que Itui travail éprouve quelqu’iQiertupti oa,Rien n'est si rare, ju contraire,qrw de voir un homme ays ni ufte femme et deux calant, qui ne réclame point sa part des muptÔHet distribuées dans son cintoa.
Dam une paroisse voîîinû de relie de Rçading, on donnait ,p?r.semaine, à tous îc* ouvriers, pqur chaque enfant hors d'état de gagner sa vie, unjchej * : ïing Cl six pCBtej par semaine; et cette prodigalité - se fondait $ur h persuasion que Je pauvre ne ptjut t vivre tans av?ir du meilleur pain de froment, d-a beurre, du ffoajage, du iucîc et du thé,
. ., On. ne saurait imaginer une.pratiqne plus funeste .que d’cütiiter U» .¿quprji dans les attellera clqs , connut. *ouj lé hqe» de wpM-Aîbj« ^pfljr-Aoturj, ou hfiw/i. b4ttitrj.AJtifi aote cov.qyëç de Wallinfojçd , > que dans faite lier rlç cçtie commune, il ne.se
: fetkabtcduiwtnt aucune espefç d& travail, et que le* ptpvjcs qui fQnservejtt çqçpfc quelqu’activitè tçut obligés d'en jtQrùr pour ailçf chercher de l'ouvrage ail 1 suis.
■ Go< glé
? .>r : ■ ! nz.7i
NtW YOKK PUBLIC L1BRAR
■ (^5) J
- Les OUvriertdtl attelicn peuvent ne pal trevqitfet
¿m tout, ou travailler aut*i peu et a uni mal qu’ifefe
veulent1, ils ¿'en ont pal moins une uounkure beau*
coup meilleure que telle qu'un exceiUut tïivulltur
peut te procurer. Dam different,eodroi'.i Ou leur
dorme deux, trois Ou *i&»e quitter fondas Muniaet.
de la viande {tafebc, ;■ >. ' ..
Durant l'hiver de 1794, il y ivair dan» h vide de
Ckwter, environ Soflû p&raBDnti Inscrites lut La livee ,
tltipsurtet 4 c'est-¿-dite I* incited dci kxtùid«|/
Nulle part aille un, le» fnnesiei effets du chdà^uuttt
tonkieeel de» »or veilla tu de 1 aotaone publique ji*c
te sont fait s eu ri r tnc plut de force. Quand ceux
d'noe année avaient établi i grands frai* qociqqe
, genre aie maoülicliireriias i'irtrrricr, ceu* de d'inné »
rnrvams ne minquucot paid en abandonner Ininanm;
<t le* pians se ceoOuvcil«Mab*ou»iiq* MBr
chique nouvelle nomigalion# i " *< - ' :
Dirai plusieurs ptroitic* f le» anmâbei ont qè»-
:dniptt depuis t renie a tu. .·· t ■ 1
-y, ■ - ■
L’objet pour le que L »r lot os «r en t de* *ft die p dint
pfeique toute l'Angleterre ,-fur soitéidv louMje
da travail et d’as tu ter un taltire -6*!« «ta Wtitéobfes
^uvrc^ qut d'écanomi»« ifeüTUÔiïeeÜe-ifatet T ,çt
jéfiewfctcr le» projr^s 1 rapide* de» Jé pense» putr ì»
.stedirité. Miu un-t)«obtint ter “édit que porr t*n
k*os t fe secourt. Par àièfei*w«wbr eux rntoBvéuim» qdfe
^gtoduit* cri étibUMément, il nrfaut >pa oabitte
celai de frapper de dégoût et de terreurÿkireura
.pjfctp te* honuélel, qui aiment mfeili reiter dans leur
Mette, cipoiés à toute* le» horreur* de la miser« ,
qwdc se laii»»r «nferoker iféclrc -pfdduii
QrÿM ffiHn
NEW ÏCRK PUBLIC LIBRARY Goi gte
. . 1 3,4 *
de pim vil et de plut corrompu route une ville «t environ». - ·
Par l'exécution rigoureuse de· loi· de police r»li· tiVes an* pauviea, on irç voit pas seulement naître chaque jour des inc cm vc ni eu s »ans nombre , mat î> de nouvelles dépenses résulter directement des mesurer ■ tnlmt qu'on a prises pour le» diminuer. Par exemple, l'CMicice du droit qu'a chaque canton de taatrtiir de ton territoire les pauma qui ne lui apparticuoeHt pm , occasionné souvent des procès coâteux et quand il n'y a pas maritie à procès, dm Frais c*»/i- détable· de déportation. Cet article oeetpc toujours une place importa nia datrt tous 1er rompre» de dépenses pour 1« pauvres« .
■< R*ni plusieurs parcts»s du Dcvonshirt , U Ut -prouvé' que l'ouvrier la pim sain et le* pim vijou- »jtçnx, xpri a une femme et deux enfoui, at peut pss , absolument vivre, mime quand la petite famille se -réduirait à du pain d’orge et des potn tnes-de-terre.
Dans la paroisse de Newton-Valence , la seule trité -dns piiivres mente inimtvnant 1 sept nbeUîngs .|Mr chaque-livre de revenu net (ij.
. À, Pmen&cld, un survcHhntdc* aumtaei qui rcm- -pjijaaêt tousses devoirs avec beaucoup d'exaetitud* .tt,do probité, devint pardi, l'objet de la hait» des pauvres k» plut fainéant; iliteMtreM plusieurs foû dçtmefarfl Ic fttr à ta-rMvMtt.tlèt fdrcerrtrt dequit- rttn'un «eqploi ditil te quel· ib «'était'acquit l'estime .ginérilp. . ,. 1 : - ■* . . ' ■ '■ : >
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Ûrfl-■: -om
^i’A'ÏÜtKf .BJL UBRARï
A Porlimouth, l'êiabti»»eraent d'utl commit»rire ■ aidé pour la turvciliaoce de» aumône» publique* * produit unri bon effet que le» dépeça*»* ont annUtJ- lement diminué , Et que k* véritable» pauvre» ont été plut compleitetncntLiecQurui, ■
Parmi le« régleoitu» pvojttrèi par h corpontiàa de i'irie de Wight, lor» de lé ta b tu*« ment d'unittc- lier ou tu a il »n d'indu» trie ( Afliae </ inriurey ) , ou trouve l'a T tk le mivant qui peut puritrc un pra tîngvbei i «* Daai le» teth» oi le talake de» ouviieiVL iers porté au-delà du taux «idÎMÎre , U cri»« de» pauvre» tiendra compte à cem qui ter ont employé? dan» 1'« t tclie r, de ]» «ornent (L'a ugro en talion jonru» Hcrc. H , :
Durjnf te» dcfcx année» de 1)g4 et rfg5', ttfnsJrr entrepreneur», chargés à forfait de fourniture» pour les pauvret, perdirent contidériblementi et L* plupart de» par omet fuîtitt obligée» de leur accorder des dédommage total proportionnait*. *
Data la paroi»« dite g rtai thtrfÿ tut la fav*nne de Kent, il e»t «connu coxnçDt conllint, quatifadum* avec use fanone'et ttrâ'cnhat p^ur vivre lui-mé-mc et faite ?ifte »» famiüe r mai» lit » plu» de trot» enfant, &n lui don»« le choix de le» envoyer à [a maiton dei pauvre» , m de ueevoir par rcmuiDt ut* ictielHng de leeuutî. ^s- <
Le pttK de» objet» de première néceuitê o’ert pat plu» uniforme dort* le* diyer* comté* et territoire» , que celui deijccwnéM d'ouvririi* Li journée de» ouvrier» ordniire» va déport un tchellibg juiqu'l dem. et a ode si us. Danr l'artclicr do Lancartre, il y a cinquante-lnpt pauy*et rparmi eut, il te trouve
X »
Dl||il ■ 1 C lO< ^K'
tm Uuÿner qui dûM« ithcllings pir semais*,
ctaHfdfat beaucoup plus que tout lei aurei. Com- nent peut-on ion*i4éct* te*» me pauvre «p boni me qMT peut gagneç teli· tephM pjf «un travail journalier ? ,.·...- . . ■
!<r«M ont regie die» plu» ¡euri «od¿té» de bien- faiijocc, que 1« Vlavm 0« 1« héritier! dèi paivrti qui do e nés lajAtfrtf ne pniitent ree Sauter l’ei-
’ petc de le.gi,que la; locicté. leur efif accordé lì li jBoét avait,¿le uatureile.jQn infligede* pupi* wofes.itoni ceex qui-, peodanl quill reçoivent dei ■ecoiir«, vaut triuerVkr hHcuì»,ou»"enivrent, Qua rentrent ptó en hi ver à huit heure», et en.été À neuf. Il Cil ilkt extraordinaire de leur permettre de «orli rL’Ot dcpepalleue p ferme Uro de tenir pour ire- vraïEtçra -u. ; r"; .... ■ < .
- 0n *1 généralement dbiervé dam toute 1 iti pittici de VAngleterre,, que U nombre dei pauvre« avait rapidement au giti enté avec cedui dei i>*imfa.cterei} qûckt ouvrit rude* wanuficturel et fabxiq^c» étaient pini lujttaâ 1« ruiner cooepkitetncnt que lt« otariktt cr dii ntiir 1, quoique 1« premi« r* gagnent beaucoup phmetqncdamiet vili et de «s a nu jac tetre** k*. quitte einqukmei de* pauvre« ioni de» oui nei», qui «pp artieri tient à cet étahfatnvuemi»- . ■. . . j ;■„ . ,·■.
Le paiement dm médeclni et dùrutgitm employée à leccurir tei piovre»# iaitpMlïÈ dp. dépenser dent la caüie du aumône» purbliqu». cif chargée annue He ment« et c'cit une choie Hnqbctr ment inouïe ci» Angleterre , que dut «hicicra de »anté donnent -aux pauvre» Jeun mini gratuitement.
Daai la parut mc de Leu »h en LinepJr>»Lice,
Got gk
Cnlijln.il ïn-n:
y ork puh li c l ibflary *
(3«7 )
Fiije Portland, oh le sert encore de fumier de vacue
séché, comme matière de chauffage/ *
Il y a quelque» année» qu'en plusieurs endroits de '
^Angleterre, on a mis en pratique l'heureuse idée
de donner ,en prime de récompense,, diffèrcntél
pie«» d'habillement, au* enf/ns qui, dans uti espace
de deux mois, fout ¡c plu» d'ouvrage, et l’e fo'ftt
mieux. ' ' ■ " : -
A SjiiJsly, l’on a supprimé l'école de Ëlaluïe d’aayoir
quitté l’école, ils ne pouvaient plu·^giierel
»'biVuucr aùt travaux de l'intérieur dç» maî»onj et*
te» entrepreneurs des attelicr» dtsecour» et des
ispicci »ont pour l'ordinaire des manufacturier^
^m.sc flattent d employer pour J eu ri travail»Oïdi-'·
ftinoi, fÙï liras de» pauvre» valjdei, plu» ioüv'eat
qu’ilt ne le Font ed effet. ' f
Dans différent end toits , et notamment à Calîng,
J-nilé Middlese*, ou a la urne expérience que les
objets fabriquéj ne rendent jamais k Çbii d'achat
dé» matériau* et dé» ïiistriimea» de fabrication. 1 >
' C'est un usage lu»« généralement établi dans lef
MieTter» d«s pauvres, de Uhitr à Vouviiet Mne par*
de dés produit» de ton travail. J
' Lès pauvres âgéi dé soixante an»et àude»iu» sont
¿[»pensés de tout travail? '
*' ‘L'auteur donne, sur l'acc roi s se ment'de» manufic*
titre» de coton",'' ¿eruitis détail» qui peuvent £a-
^itrd Mtc> étonna iis· fat exempte , selon lui , en
, oq évaluait à trou oeilLions d'eJîv. »terling,
. · ; (MF .
ïs coton importé en Angleterre : en ijç)3i il passait déjà vingt-huit million·.
Dans l’huipice de Nùrwich, il t'élait introduit un tel détordre et une telle, profusion dans les Fourni' turcs de viande et autres objets de »ubmtjHçe , que la nourriture de chaque pauvre avait Uni par monter plus haut, que ne l'eût fait si pension., à table d'hôte, dans une bonne auberge* .
Il paraît que les clôture· des champs excitent en beaucoup d'en droite l'animadveuion du menu peu-, pic ¿d'après, ¡'expérience vraie ou prétendue, que 1er champs endos le transforment bientôt ta prairie»,que par-là Le* petite· fermes vont te fondre dans de pim grande*, et que de toutes ce» circonstances, il ri·* lutte une augmentation progressive du prix de tou*. Je· objets de subsistance. . .
Dam plusieurs cantonr, ['impôt sur kt terres u'eii p» moins inégal que la taxe de· pauvre·,
ïl n'y a que peu de rçnictgnemen* iut la mary- litÎ des atteliers et de» hospices de pauvres t nuit d’ipîi» ceux qu'on a pu »c procurer, il est évident que cette mortalité est très-grande, et quvit régné dan» Ce» lieu», où les homme* k* plu* mal sains et Les plu· osai*propres >o trouvent entassés, de* maladies contagieuse* qui les ¿¿peu ptcOX fréquemment. A Nûrth- ihields djni lc NarthumbrrUod , il meurt chaque année un huitième de* pauvre* qui vivent dans les qttelicft de thixîtf. Daut plusieurs autres endroit», le mai est encore bien plus grand. L’attcUer de Nottingham est un des plus mal tenus t le* ouvrier* y couchent quatre à quatre', aussi sont-ils dévoré· de verraioe, Ct tan» «ut exposés à de* fievres pour-
Goî glv
I F
NEW YORK PU fil IC L IBFtARY
pries contagieuses, extrêmement redoutables. Ccldf
¿'Oiford n’est pas mieux tenu. De tout le» en fini
qui y naissent, il en est fort peu qui vivent* et
presque pas qui viennent à bien,· En 179^, les surveill
an s de cet sttelier disaient dans leur compte
rendu, que depuis le en mm en ce meut de l’anrrie
jusqu'à la fin, il y avait régné toute sorte de délerdres
$ que vainement avait-on cherché le*
ELOyen· d'y porter rcmede; que les jardins, la <uiline,
les magasins avaient été livrés constamment au
pillage ; que les enfui n'y trouvaient point dé L
gjrlci pour les soigner, ni le» malades de chambrer'
particulier«» pour les recevoir i que le mélange le
phi indécent des deux lexel irait lieu , même dan» '
Itt dort o in ; qu'une manufacture importante était'
ibaadannée au caprice des ouvriers; enfin que le '
sntvrillaut eth tu 1 veillante delà maison étaient tan*
autorité véritableet d’aUleur* ne pouvaienr rein·''
pUr leurs devoir»,' ayant leur demeure dans «ne aile
écartée , et loin des objets dont l'inspection leur
était ioumise. Malgré toutes les recherche» les plus '
attentive» , Ton ne put découvrir la »ourct du
gaspillage affreux qui »'y faisait de tierre et *dc
peur.
Barrant l'étédc iygS , on fi (vendre dans la Mm·
noue d'Unpingham, du boeuf et du moùton à. bat
prix, aux scub pauvre», pour tâcher de diminuer
la en n sommât ion de pain 1 le» pauvret commencèrent
à faire de la-»oupe-4tl y joindre Tusage de»
Légume» < eu conséquence, on put espérer qu'ilt ne
■c nourri raient plu» désormais exclu ûtement: de
-püfe
Ccx gle
( 53o } »
ta iocihi/induit fil, fermée en i^gS^dans Itcomtt
de Rutknd , a mérité de letvir de modèle À toute
■- . * * J
J'Aniiçterre. Cette lOciété ne s'est p;t contentée
d'amgucr de* récompense* pour Ici ouvrier! qui
élevaieut quatre enfons; elle ■ pri* soin eu outre,
de procurer à tous tes pauvres voulant et pouvant
exécuter un travail quelconque, des inst umens, des
matériaux , et meme du trayai!. Las pajcnf p’y r(*
toi vont d'aumône pour leurs enfoui c» bis 5?e
’ *1 * 1 L ■’ * ■. * « ‘ · * s . ■ · * *
q^’a^tant que ceux-ci savent.tilcotfer i six ans, et
€Jer à neuf Cette société paraît être presque 1* sceJequi
ait fait quelque bien, . '
O'aprèi tout le» détail* que contient ce seeondl
Tÿlumq, les afrçUcr* et 1« maisons de pauvres sont
tr.is-ma] organisés, et encore plus mal admiuKltéx
d?ps toute l'Angleterre, Le* frais énorme* qu’il» en*
traînent sont le moindre de leurs inconvéuien» lilt
• ■ r _r . i . . r I _ . ; _
altèrent profondément h ta nié du pauvre, ils per*
venir sent ses meeurs, ils détruisent ea lut tout pria»
tipe d'activité ; en un mot, ils ont produit des effet!
* *i funeste· et si généraux , que les homme* les plus
•eDS^f ^'attendent d'amé Ho ration réelle datu l’état
du pauvre , quç de leur destruction prompte , ou
du moins de leur entière réorganisation,
■ ' ■ ■ ' Xft’Mltt 4Û itunuhe jbrdcà<?!ti.
—<r·
Qnqlr-sl ITO1
Nt'A1 YOA.K PUflUC LîfiRAKï
■ M O R A 1 L u ; '
faw/JL ¿t la vit Zun Hffinme di bi&t (t).
C.journil Clt celui d'un propriétaire lité qui vi-
Tiit à la timpape, it qui i voulu Iriser à Kf enfioi
¡'exemple de sa rie « parce qu'il penjiit qu’on
imite fâcilemeat ceux qu’on aime.
Je mil né, d'honné^e* pifcuf qui u’éUicnt
victiei, raaii à qui lei bonnet rqopum et le tuvail ont
dnaj^ de Î'iijaqce, . . n .
.pyiii plupiçur» frerw et que
aîetéi dan* J$qr ^asâ^e..,. Jeme touvietu que jft
lflpî hïeiijinjretté*· ,,...; : ... i . .- ■’
Jérôme, la «ni frété que h utcrem'rit çoütcrvé,
det récdipcptFvque t*pu 4pri^
on à l’étnde t je.jflriii eu xcrei mon pqrs c<
Mftel« d* çveit^r Jérôme autant que 4>QÎ.| ¡1 dçnet
itùdicu*, et il m'aixna. - . ._„ ,
¡hpçii ççtfpf* t noua u’ayou» pM d*qa.énà po»
pr^Je7tMlçnn de ncui voir réwttçr à km· voT
kutéi. Héiei ! cea bon» parem, iU au* M>uyejpi piéwpa
Jet pàtiis. , , ,
Le bon homme Iscruard habitait le même riUajfp
^euQuiii) cultivait un jardin de tipù arpen*qt^i
ltfiiiait vivre. Il perdit »femme* et ipu travail Rp
gavait eutrettuir »e» cnf<ui>; dam me» jour» de rc----
.—— -----——i ■ ..----—r
■ W faitiit lui d*i Priuà^n ¿aMnri dtn tnltr ¡U nstoit;
par le eit- Saint-Lambert ! 3 vol· in-81*. Prix/lO fr.,
«tiJfr, itmc dé port- A Paris, chet IL Agai»>inipriaieur-i
ittiift, Tut dti Foi revins, ttD. '18. L
□FiginaJ h-arm
NEW ÎORK PUBLIC LI0RAR.Y
t «· )
création. j’albii arroter k jardin dn bon homme
Itouard. ’Ses eufans tant nos amir. ·
Man frere Jérôme quitta la m ail on paternelle ,
et fit an cotntnrrcç qui Venrichit | pendant soft absence
nous perdîmes notre pcte; dan» son testament
il me faisait de grands avantage·. Jérôme ne t'a ja*
mais su. ■ .1
Quelque tests après,Jérôme fit de grandes pertes;
notre mer«, qui vivait encore, et mon industrie kl
ont ré parées.
’ Ge fut' alors qu’on neùs proposa de nous rendre
maîtres du pria d'une denrée précieuse, eu achctant
route celle que produisait la province. Nous
tidut dîmes : Quel bien cc'commerce ferait-il t noire
payl ; nklC-Jl paj un abus de notre fortune? ne nulra-
t-il pas au pauvre ? Et nous ne voulûmes point
faîte ce comme««. ' "*
'Je devins amour eut -dé la belle Hehriettè, l'épouse
du plu» b on ni te homme du cintcô. Oh '1 j'étais
Lien amoureux, Je demandai 1 ma mérflu peirtnk*
rion de voyager, et je partit.'
*' A m'o'n retout, je cqnn'üs votre m'eré’; sSi figure
était agréable, elle avait une amê tendéefct de la
raison. Je l'épousai. ' '4 ’ ■ "■ 1 ' '
Votre grand mere^ que nous avohs’éu le bonheur
de conserver Ion g-te ms , a trouvé dans rn dn épbuie
et dans celle de Jérôme deux Elles- qui ont adouci
et égayé sa vieillesse. "’- ' ■ ' "'■ *" ■
Jusqu’à ton dernier jûni·, nous avant ttfuï vôuln
xtmttrvtr k plaisir de’dépcndre dkfk.· '
■ . A ■»'atort, Jérôme ei rnoi ntrua avons eu deux
Ytaitani différente», ’ , . . .
J’ai établi dans la mienne un ordre dont aucun
Dnglnal iraffi
NEW YORK PUBLIC Ll&FLftRY
' ( «3 ) ,
dq virai, aucun de me» serviteurs, ni moi-mctne ne DOtti scTninM jamais écartés. J’ai vu qu'un travail assidu et modéré , l égalité d'humeur, unt ug? vigilante, h douce paix, et quelques aurnsemenî ont été (et fffttrdt l'ordre qntjavais établi. .
J’avais pour voisin fuir des membres du grand tribunal, il voulait ajouter tin démet champs à son jardin , et me. donner en échange un terreiu plu» étendu que mou champ , mais stérile. Je refusai d’y con sentir, - ' ’
' .’Je fus contraint de m* soumettre au jugement du grand tribunal où siégeait mon voisin, condamné à échanger mon champ t outre Je terre in stérile; ¿¡obcu, et ne murmurai pas, *
Le jour où je perdis mon procès, j'allai voir mes païens, mes Jæu , mes rotsiq»; je ne leur parUL point dé mon affaire ; maïs je leûr demandai s'ils avaient éprouvé de ma paît qneiqu injustice : ils me dirent ton» que j’avais été jnut et bon , et la douce joie revint dans mon Cttur. 1 1 * ' .
Je me souvins le mime j*ur, que ¡‘hohnéte Joseph qui avait souvent été utile à mon pcre , venait de mourir; il ne Laisfait d'enüus qn’une Elle fort jeune; clic était volve , paresseuse, dissipée ; j'allai la trou* ver, je l’engageai 1 loger chez moi, pendant quelque Elle y logeait encore quaud elle s'est mariée,; elle e*t aujnuid'bui nne excellente méua. gère. . ■. ■ . . T
Il y avait dans un vilbg® voisin du nôtre, un hemæ qui »'était erniohi dani le recouvrement , des impôts; il était Ù méprisé que Lç$ pauvres üt r teccvaicqc de : lui qu’en pleurant , ki »eccun
Got igle
Dr-?ral Itam
NEW roux. P'JÜLIC L1BHART
(
qu’il leur donnait avec ostcutiiîotu If vînt m’ef- frir sa'fille pour ¿ponte à oeou £1*« je icfaiai ta fille, ■
■ Cependant le te ricin qu'on nfreait forcé de prendre en échange, cessa d'£|ft ttéfiluf f'cttit Un sable marécageux où croit oient à pefac quelques rose a ui.; je ¡’entourai d'un Foi ti , et Ici eaux i*i- c ouïe rent, mai* le sable diwéc hé ne po uvait ri eu produire eucere , jy fi|. pru-i^peu tra&jpimer du limon et.de* engrais. J'employàis à ce travail ¡et eu- ïansder pauvres-, je létumpensais beaucoup J es plustélés « je drandt è tou g de petite« fêtes. Ils sont a ufouzd’huif vous les connais les, de laborieux ,· t ültivateUTS- ■ ' s ·'“ t *
> GcjSerran psddnirit biaritbt une hutbe qui nourrit «nos trnupemx^rr mot tr-oupeaux en icjournscnc <t ïsict terrent l’cngriaitscrenr eucorei il nous donne aujourd'hui d'abondant« pnitton·. · ;>
Le ravisseur de «sua ci h amp me disait un jour 9 ; Eh bien 1 le champ que vous *vri eu en écLange d□
1 voire-a fait voire fortune. Jc vntii ai fait faire une : bonne affaira*, je ne lui répondis tien.
Il y av»it dans le catrttm des jtijei subalternes , qui faisaient mitre deipracé» cotre met voisins <jF': tjimasquai leur caractère. Les prccésiont devenus moins· Iriquerii, - ; ' ■
U» dtrel jdgel avait, aigri dent fre* et Pmi centre l'autre. Ils avaient toujours vécu dans la plusgrahd·^ un, lentmais, à:là mon d’ü· oh cl*-, dtffik ih étaient les héritiers., ü.y-cut entre mit quelques différends ¿'ajoutai une intime à h reccessidn, à condition' qu’ils icrmi^criicntlq’jr-q\xpclk,: L<-j ugedki ptàd
ni!i)llMl ftïHH
KFlM rofilt PUEUJ£ SIHRAR.Y
Go igle
(3M) .
tribunal apprit que j'tvai* r«CânrïlÉé les deux frété» i "3 et hcnirnt là T di t il, en parlant de mûi , ireu t »? nâlet de eodr. <
Le pajteur de notée VÎTlage et Celui du Village roi»in avaient entre cm des députes'fort vives e ut le mérite de» tonnes oeuvres ; J'engageai le» □.eux ministre» à expliquer les mois durit il» te icf- v' xïerit * et à faire de bonnes oeuvres ; il» n'ont plM rJifipUtÉ. '
J« devati l'idée de fertiliser mon marais sablonneux à un voisin plus éclairé que moi; c’était l'é- -jjoux de fa belle'Henriette il était le conseil ttt X appui du canton, Je ne pouvais l’atteindre uî dais· ÎÇart^nî dans les moyeu de faire le bien : je fit» d’abord un peu humilié de la cdrnpàr^îsbti que je fis de lui et dé moij mais je mi dis : L1 bot»tnt de bien doit choisir pour ami 1 "homme qbi vabt toi eux que lui ; je voulus être l'ami de tnon vot-sift, et je Je fus1; il m’a loujôüt» effacé ; etje Tai toujours aimé, '.■-■< .
Votre mere a contribué autant que moi if rendre vos coeur» honnêtes ;noui avons rendu héuèenM les beaux jours de votre premier âge ; Qotizvbns fermé Vos coeurs aux passions tristes T nôu» en avons détourné tout le* «entitnen» qui'pouvaient iutér- rompre eu vous k plaisir d'aimer* ' 1 · .
Vous comméneiei à devenir grands , lorsqu'il y «ut une mauvaise récolte qui renchérit le prix des blés. Je pris ce moment pour faite qb tiques ouvrages i ma grande ferme , et je payai les ouyïicri plus cher. ■■-·■■■-- t
Une maladie cootagïéuse enleva peu de teins
Gût Igle
> ( 536 J
après beaucoup d’^aimsuj nécessaires au tibnurag
et au soutien du pauvre ; nous eu .fîmes venir quel
que!-un» de l’étranger; t’est depuis ce tems-là, qui
notre table a été. plus frugale et nos vétcnaens plu
communs. ' . .
Je renvoyai alors Lucas, un de mes serviteur* ;
je n'a u g lirai pas bien de tojl Caractère ; Lucaj êta il
Cinel envers les anima nu.
je ne remplaçai pat Lucas, parce que je me chargeai
des infini du pauvre Delon. .
Le tenu le plus heureux de notre vie a été celui
. où un sage gouvernait l’Etat;il voulait éclairer notée
agriculture , .augmenter noEre industrie, épurer ne»
inctüri. Je pleure encore sa disgrâce, et.le malheur
du prince qui ne l*· pu connu. r . -
La guene suivit de prêt cette disgrâce; et pendant
que la guerre a duré, j'ai payé, pour quelques
voisins les taxes auxquelles ils étaient imposés.
. Je vous ai maries à des Hiles ou à des homme»!
qui fout votre bonheur; ce Lie pensée est maçons».
talion depuis que j’çij perdu votre uucrc*
11 y ¡1 deux ans que je l’ai perdue 5 son lit de mort
. a été entouré, de sa tam i lie ; Jusqu'à son dernier mc,
meut elle a vu coinb|en elle nous était chtre, et Cd
moment K été doux. . .
Je vais me réunir à elle dans le tombeau ; jt
vous recommande les petits-fils de l’honnête Joseph,
,ta tamiUt du pwuyre Dolon^ et le minutie du
pillage qui m'a aidé à taire le bien. Il commence;
vieillir,
Voti^ dnnnertz.à Simon la somme que vous trou
votez dans le troisième tiroir de mou. bureau. Il j
' ' ..................... ‘ T Mil
Goc 3 le
I
L J «
I «
; ì ri'fV -
. ■ :
tot un tétnj oi Simon disait de moi beaucoup d . mai ; j’riJai le prier de nTapprendrt ì me can^faif siieuk ; if ine donna quclqués conseils Attici r-
hiì appris qoe jÀ savais pardonner jt ne trtrippai
■ <epnrdiDi qu’il m'aìt jamais aimé- Qacfrei donc «lin d’oiHui viendra là tome qa$Jtr]rii laisse» li y a long-tems que j‘aj récotnpenié* urti «ervì* ttuTi ; mai« donuerdenr %*otrç appui ^F*®·
dios Jejddvéaemetis importici) de ic,ut vie. .
Nea Ëis et met filles, vani vous uniti tout , .‘. 1L· .. . '. 1 j. ■ i r'- · ”*
tinti, Content,'
Mr . J t? ' ,-i
. ■ ■■ ■ -■
1ÌÌ $ f I T Ü t NATIONAL*
' . . * ■ · : r · ! . ! - ' ‘1 1 - J - ; '
f ■ D ES S CUkGÙ ET ARITS- .
, ■ ' n .· J ■? | ,. il '.· J ' ’
fyatçpuktiçut di FlusiiikietMitnàì ¿ài Sàouu tà '¿rti;
_·. i , du lì AMxrrdw «n PJ, : ' . inj-, ' ' r , ' ' t
. .::■ :.V ... ■ 0
. diète dei Scitûce» mit frèma ricuci t’t ^frÿ-éiquti
iiiif proposé <’polir sftjet d àh ptH rjd’elle devait fWumerlc 15 vuidjémraLrc-d*i d,’i» VIÌ ,«'«ari alt votemi ojaftqu'au ij4t. gemimi dernuli,!» question KlivlQte !.. /■ ' ■ ■ ' '. . ■ i
ì- ■
1
'" (Jitrij reit its usants du fait dam Iti ditemi ciana ’‘icHnwaux ? ■ ■ ' ‘ 'l1* ; * ' '
’ i
. h}). »■! - ,
Elle a re <¡14 un seul mémoire iiir ce lujet, et ce ttimbiré ne' répond pat à’ia queition. La ciane 4 ÿjgé ì propat de La diviser pom en faciliter la salii- 1 tipi, et d-en frire Peibjet de dem prïi. En cemé- fmt XXXK Y '
Go gle
£W™< PUBLIC LIBRARY
(¡Aie π ce , elle met au concours pour iujet du premier
prix t
La Jermn la situation, la grandeur, le poids corn pari
et la description du tilttt t du vaisseaux , dit canauae ,
du appendices du Jtie considirt dans Ici principales tlasses
d'animaux, depuis i homme jusqu'aux insectes , flux mal·
.lui quel et aux vert, .
Le té coud prix «un pour objet ;
L'analyse de Zu bile hépatique eu djsti^Mf danr les di*
'vertes classes d'animaux dont il a lit parti, .
. 1 ■ ·_■ ■ .. ■
Le conçuun kn fermé lit t", uîvine de l'an VIH.
Le pnxtm décerné dan»d< téincedu- rî-gcinoinJ
iuiv,nt, Çe prij Ρ°ψ ¿baqi^: Question ixp pur médaille
d'or du poidi d'u· Liicgramrai, L’inilitut a
publié urt prng tapir· e._ dé Té b>pp p que Ico.cQncunem
devient te procurer.
. .AI» pii* -Kéfe' décerné, Divisé en deui.-ouvrages
difieren», il a été réuni ¿aai le fait* parce que ces
deux ouvrages »ont de la même main,
. En.l’a? ly, U daue dej Sciences ma φί oxalique s
-flt pkyfiqufi ayait mit au concours le aujel suivant:
_ . IdjsCWtT'ùdated uFM tiunm ds poche propre d dr'Mv*
Jtxiwr Ifj Jdnptud« enrter , su observant que les dwùfear
rndifmni les parties décimales du jour , xapsfe/ .Us
:piÎüï<mfj et eent. milliemft { ou fur le jau· soit
dfotid en din heures, l'heure en cenl minuttt, cl la mintfft
en rene secandAi,
■ ■ ■ ■ ; ■ ,i . 1’· r ' ■ . '-x !. ■ ■
L'In s y tut a partagé |e pth entre deux montres ,
ο*. 1 ut nù s, portant pour épigraphe, savoir; n°, a.
Ma libtridfaii ma constance; nB. a} Au lemt qui instruit,
Y
□rdrji ftwi
NEW V'GRifPUBLIC LfBRARÏ
.( j
Le dt* Louis SLertbo’jd est fauteur, de ces dett^
tnpotren ; son nom a é té piodamé et couvert d’ap*
P lauditiemen*. ■ ' . . .
* La class? dei Sciences morale et politique à prO*
pose Les deux questions itiivantei1:’fuite relative à.
la science sociale , l'autre i la géographie.1
f r . ra · · . i i QuîIîh doivent ¿tre, dans une R t·. mblique"bien fri urli·*
ttiet y l'tiiriiiut fi Iti limites du pouvoir du pere dt famille
1
. , L* concours sera fermé te t ü nïtssidar an VU, et
le prix distribué le l5 vendémiaire aq Vili* - ■ ■ , ■,
rhislotre. F *
j ’ ? ■ ‘ ' ‘ ■ - · · , - : ,-r > , - ■ 1
Le concourt sera fermé le i 5 vendémiaire an VIII^
et le prix disilibtsc le 15 nivâie tuivant,
La même claîle avait à distribuer deux prix darti
b séance ;-fun lur'cetle question f > - '·’: !? ’
Four queÏJ objets et i quelles conditions ionvìe-nt-il Ì
an Étal répuitlituin d'ouvrir des emprt/»^ puilitüf
L'autre lur cette question t . . ,
QiiêJÎfr rotti kl institutions tei plut frtyris d fondtr la
Morale d'un peuple f '-,h -1 ■ -fl'J ■■■:■■'■ : ‘
V .
■ Lçf raépid|.nç»<cpvpj^ ata concourt pu
tempii les coudjtio.ns-dji-pirogratorni , Vlupfiçut .prpf
paie, de nouveau la quesi/ou Jtejlllve aux.fflf£jtp(4
p^yrl^nVlI- rl, q -*!L
L Le contp^rt içra.Jf^é k y tftCj*idort Iç
F
Y f
Drilli Go )gle NEW YORK PUH LI C LIERAR r
(S4-)
donné 1e » vendémiaire suivant ; et la classe des
Science! morale et politique donnera , dam sa prenne
re séance publique , un nouveau' programme
pour Je développe me nt de la queition relative aux
ânj/(tuLoi».Eiie a distingué entre lc^ mémoires qu/ellc
■ ;eçui sur cette question ; *
1% Celui qui porte pont épigra pbç cet vert d’Horace
: Sifortinetiist tsl...fngtri,.. nan exatidiia.., can~
tmgetf dabitwqut lictntia swnpta pudenter.
Celui qui a pour épigraphe ces mots de Ci*
céron * jV*e enim ulla rts uthtmtnliùs rempuiflicam ftdtiiMh
çuàfltfides. :
J·, Celui qui a pour épigraphe ces mots tirés du
mémoire même : On pas la vertu , an la rei'
v. *
ftcil, ■ , ' !
Le prix proposé pour «s quatre questions teri
Ùnt médaille d’or du poids de cinq hectogrammes*
■ L' ■■ ’ ' L L /t
txTtUT d’un jtfrmojti sur dnne Statuts'antiquis de-
<■ . signets par lt npfli de Gladiateurs-
Fir le «t/MûKGii » membre de riutiüuk ■- ■
monument anciens et modemét. IUes eutaisç Wales
glacct de i’Ouïie* et ces richesses n'y font éclora ,
fiipeittrtt* ni sculpté uh Hoi-conquetéi vont otÀei .
fri ^iv^t dé la Séìite desiliefs^eéuvife de la Greeid
et "de Fl «lie. aI>ép cependant l'Écble française ‘•(H
proche de ¡’¿cole romaine. Nos gymnase^ ri vainni
■ràtei li têrs^üflr <TAlcMO»dr/t et les collèges des
i £
Go gle
fe ‘l
i'3p) . ,,
CiliitJ, auxqueit Je* menâtes de finiiitnt .coudait*
paraître confiemrridlijur, vGrrt bientôt rçrtdre
leur antique splendeur. C'elt une vérité qu'oip doit
proclamer dans l’Europe : non pour noua enorgueillir,
maii pour détruire ks caiomnici de* imphcabkl
tanémia du gouvernement représentatif. .
Ce n’e*t pis allez de kf avoir conquis, ces mommenj
précieux ) il faut ¡ei étudier, pour se mon·
trtr dignes de cette acquisition. Ainsi, le* triomphe*
deMiitîade réveillaient en sursaut le jeune Themijwde.
’ .
Deui statue* connues, l'une sous la dénanrinatiqi*
de Gladiateur mourant*, et l'autre »ou» celle de G/aéùlmr,
n'ont pas paru à Winckelmann être bien délijtitti.
Ce savant, le flambeau des Antiquaires, a
lübititué d'autres dénomination*. J’ai cm pouvoir
néditer de sou opinion. On ue m’acculeri pas dç.
ttatrîté, ri l'on ic rappelle que le* noms irupoiê*
su itatues et aux buste* dépourvus d'inscription* w.
qe»at que le résultat de simples conjecture* et de,
probabilité*. Dès-luis la carrière u'eit jamais fit·,
w.
Il a fallu d'abord établir une distinct ion précise
aire les athletei «t les gladiateur*, que L’on confond
trop souvent t afin de discuter Ici déaomina-,
don* proposées par WinckelnratiQ, Les- atbkfei
¿tuent Grecs et non Barbue*; il* étaient mÊinf d^O-*
rijiite céleste , ri l'cré en croit h Mjpiriûgie, q*i i>fai- '
Ait partie de l'histoire, II* dayaient tou* jéfre yré;
cpndùUn libre. Leur prokuion .était henorét-^
^*s«rait leurs triompha* par df* njonUrXnU dqp
«Cftri.eu. Lfil préMOMM
Y 3
Nï'sV ïCJp.li ,r|JSUC LlBRAKï
( U· )
diffétent. Il* ¿latent ordinairement Sarbntçs Çt esclave*.
On tie leur consacrait point de mannaie ni
ìl i ou eu eitcepfe quelque* pe niate*dont 1 objet
était d'eïpdier aux regard* du ptapîe les assaut·
rjii ils devai¿ht ioutenir. Enfin, leur profession était
méprifée-, quoique le-goût pour leurs combats fût1
divcfiu un délire universel· Cette contra diction
peut-elle nous étonner, nous-.-Fran^aii, qui 3 vont'
vu si Jongtems flétrir par nos loia les artistes qui ré-!
produisaient le* chefs-d'otuvre de Racinei deMà-'.
liere et de Rameau; quoiqu’ils fi rent avec rafsod
ilo» délices; quoique plusieurs d'entre eux fussent
aussi bon* citoyen», qu’habiles artistes ou célébrés
écrivains ? - .
T aj odierai, pour achever le parallele, que lei
•thlctei fortnr toujours chers sfa'· Greci, qa’ils l'étaient
même encore dans le siede de ^rajinf et qnbr
lés gladiateur!, au contraire, ne furent admis dar!·’
Içatu iptctiiék» qné depuis 1« régné de J «le* César. -
lia répugnance des Grec* pour te* jeux i angui mire·"
leur permit même de lei admettre que m eterni-’
. vcmcqt dans les diverses contrée» de li Grece, et de
' l’Aiife mineure. On peut juger d'après cette répugtUfte,
fi h iiatue,'dont Iç brohïe est placé à l'en*
tréè dii parterre dé* Tuileries, qu ou appelle k tìM- ·
diainret1 qhi est Potivrsgts d’an elicati gTecta jàgiaii
repiéfen é un gladiateur- · _
Ge-tfest pqthl uu Ditcobole s comme l'ont penaé
Cftttlqatt écrivis ni î patte qnéiea figures de dlicô-m
bijlé, qui inatti itfjrt parvenues, ont le visageriaurné
vttfc ll'mait» d rolli qru linee le disque, Notre'
ku «ittsai?«, tcjxrdq du t&té gauche, · ’#
f . , . . ... i ùi t ;..........................
Oû a dit encore qu'elle représente le général athénien, Chabrias, qui mérita l'honneur d'une sta-* tue \ pour a Voir arrÎLç l'effort des Lacédémonien b in faisant mettre un genou en terre à sa troupe t lui faisant appuyer lé bouclier sûr le geuQii, ét présenter la lance en arrêt. Les historiens disent que cette ïtatûe le représentait dan» l'attitude ¿tflitaifiï qui' l'avait rendu célébré.1 Mais ici la statue s'est' point agenouilléet et le bouclier, (font bti; Vûit lêf rettet ïur le bras gauche, est élevé4! la1 hiüfdir ¿<‘ h tété/ ■ ■·■■■·■■■■ - · ---■ ; ■
Cetie statue, digne de tou* nci éloge», ne prélente qu'ùci lëàl trait qui puisse servir à la caractê* mer, c'csr l'oreille écrasée qui distinguait Ici farté fTaiïaitiîi effet produit par les coups fedcnibié» dd " cette. Je me conteiitératt donc de dite qu'ci!» repré J tente un héros ou un Dieu, eiircê aUxcOrabâts du gÿmnasé. Oh dit wVrti vu nu Ptc·»,'jsi'rrt qutefi t£té «>i un modelé parfait de cè beau idéal« qui ci· ractérissir lti être» imaginaires, tels qbe Us diviài- tés, ou les personnages célébrés, dont dû' travail? pai lev véritables portraits. Quoique le h'éii?utêlilfï|,i un dans ie» principe», iJ variaitcepéridih^Osî lés détail». Les Apollon. le»j|npuer,lès HéTc’tilé'tleirMà'rs, le» lution, le Laocaon','dtlt été cértàïiiéiûeàt fait» d'après une conception Idéale ( si je puiàJ m’exprimer ainsi ) ; p üiiqu’aÙCTjn ^de cé» Dielik oi de '¿ci héros n'a exiit'é J: et Cependant iis £r'é»enïcàt de grandes variétés. Je n’ai eu garde 'dé cîiféftcî Üguréà Ùe Mfefctire', parce qtlê ¿ousiivoni ^iPïllés ïcpréi »entent Alcibiade , dont ’le» 'sculpteurs: d’Aih’éàeb. iinp ru il tirent lifi' if cl tu tÈ- griclétlses/Âtijs'i diàs' Aris·
v *
I
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Got igk
NFW ■ '
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r
. - 044,)
tenete, tuse femme passionnée dit-elle d'un beau jeune Umnit : a Ab ! e'êiait d'après lui que Foi ti aurait dà faire les. Mercure, plutôt C1UE d'aprè· e» Alcibiade î »* .
i a - - ■ L i v . . 4. ,
Li statue appelée le G/ddiaisvr mourait/, et dont On voit aussi le brome à l'entrée.du partent des, Tuileries, va bientôt «embellir notre Muséum Sa, dénomination n'a pas clc plus peureuse. Quoiqu'elle qc sotttpis coruparjble à la première, elle eat pré- cieusç , parût, être j’ottvpge d'un sculpteurgtee soumis aux Romains; car tu ne peut dire qu’il y ait
■ - ’ * J f *x
- »p unJt^lc , pa^ce · <yie ces guerrier^ de-
daignerrut U-s :b.ftf Uÿtf$s? I^s,«MÀ yi■ a 8$ ■?»V ceux dh Içîtjueb les anciens caractérisaient Les Ç«>_ , b^qjk,Ja l|gne facile trüoucéc entre, lesyeiM,lea ûj de^ lift» saillaps, çt une barbe courte sur
' la lçv^g(supêjifjxrc■» Le. cûu ca.t orné d'un collier tr>- y^illé^ep^oyn^île corde, que I on voit plu-, fitp;s^aqiÎ Mfontfnuctyi. Ce culiiey
Ujélé prj^ûialà prppos pour pqe Corde,. C est ainsi qu'une çouchtc ot endormie a etc appelles
Çléopyïfç^ qu'un bracelet façpané en icrpent
entourç.sqpjhras gaucbj^
Ccite ru^dc, p.Fétépduc .et le cor qui est à. cçté de la i[a£uç,rppt^L[ ptendfc/paÿJVincktltnauft, pouç, un bcra.ul40u.ut1 ambassadeur jgjftc étranglé et-mU i mort ^ontiç le.droit des gens.- Mais l'ornement du Cpu rendis.i.^a ■véritable destination, détruit r$pi~ tüon de cci^vapp Si je voulais iqbtiituçc à son çjc-j plication Mtppautte conjecture, je dirais que les du visage iftn£ ceux ^¡Gautaü nos aycu^J Vaion^ .<?»“· «s <®»»wi« ».’."’'.¿»«yf· msïîj^sr i ï .
AmwKdby Google
■i
tiur Cpnstancc fit élevti à Édeut «b. l'honneur des .
tbefc d'une .légion- gauloise qui périrent, dam" la
tente de SspQr, cù ils avalent pénétré pour détruire
cttimplacable ennemi des Romain* et des Gîtes·
Mais l'art était liais tellement dégradé, qu'il en
impossible d'as ligner à notrç statue une époque Si
ptu reculée· Je borne me* conjecture* 1 voir un
Barbare, peuvélrc un enclave qui aura péri tn défendant
son maître , eu quelque personnage dii*
. ‘ ' . * ■
taflÿuL .
tJe petr a vaille pai, j'en conviens, à satisfaire 11
curiciné; mais j’ai un dessein plus utile , quoique
juvîds brillantt J* cherche | diminuer le nombre
des ntreurs , i&p que H vérité puisse l'éubJir plus,
fi tilt ment·,, il jamais on la découvre sur cet objet.
Craira-t-OG que celui-là u’àit pis bieg mérité dei
royigEui», qui leur a prouvé que le* routes ouvert«
in tâté où les portent leurs vceui , n'ont aucun*
ùitt? 11 leur a épargné une fatigue inutile,et unt
>ttfe qui est toujours irréparable, celle du terni.
MÉTAPHYSIQUE.
tfrutiiÿ rur la nature prtjniiiDt de f homme, rur su rex-
1 Îjli«iitétCi Far F* SsNANÉt/vo. Pretnier· cahier ; in-S*/
’ït 47 pa^ Germinalt an H. Â Par ir, thti Delà rr^r/r/,
- rue Honoré, n°. roc; et ehei Cériobî^ (jBdi
7Fhitaîre, û". g.
^^t'.oqvra^e ,.que des particulières ont fait
J^Uimer pat cahiers, foinufjça^uü ou deux ytjdqjp^u.
Go îgle ■Zdq rail item
IEW VCP.K NB UC UBft*
. ■■.. ■ rM’ ' . ■
Il phîra i celte clane de 1er leur) qui aiment â s'abandonne! aux rêveries f et qui jouira ni d’une heu- téuae iisanci, ayant peu de souhait} à former , se laissent égarer lues Fe vide des 'contempUttioul abstraites. 11 pLi.a aussi à ccj amcs ardentes que l'infortune eu l'injaftictf oppressent ', dont l'îmagl- nacion flétrie ch ci ebe ’dam des rêverie* vagues et tnJéiirminérj un bonheur qui tes (oit SJ ni cesse. Rç- pé torts ici, et ftrt le lieu ; répétons ici qu'il y a* celativcnieQt aux situations de Famé , une ¿candi différence entre ptnrir tl ionçtr t oùrtvtr, L'horont qui ptisji /réfléchit sur son tort et sur lïa moyens de* l'imélioret-i nuis là nature a placicd moyen* i h Haute ur de ta main. H tort dont de set réflexion* ' moins mécontent de la position, plus Fart pour supporter les peines; il s gagné a pinftr, paice qu'il a comparé son état avec celui d'être* plus malhtU’’ ICùx. Au cOritfjïre, lorsque l'on stin^f, ou que l'oa rive ( ce qui est exactement là même close) , on x’égart dans de* régidni chimériques . oh *e ligure une cspecG-d,’jrqpwcs puifiùs, un rçjftie éternel de justice et de paix, etc. ; et l'on revient de cet éga- rtmenr. plus malheureux et pl ms triste.
. — Il y » nos* anviron (j'cn-avaii vingt fiait ajor*), je m'appuyai tut il sagesse de* {Stoïcien* ; et sa fiqit indifférence me soçtir>t contre, le-s alfficiiom* mais elle n’eut à opposer-contre le sers iment du néant de k vie qne de spécieuse* chimères. Je trouvai que par la sagesse on était moins malheureux t ja trouvai qu'elle pouvait beaucoup contre le* maltic, ¿rais lorsque je cherchai par quel bien positif «lté ÿoiivait Jrcndïe U v. ch turc u :c, et sur quelle vérité
Go. gk
Olqlnal traftn ,
NEW YDP.K PUB UC LIBRAFtt
.. . ( ’r 1 .
inébranlable ¡/¿levai( son sublinÿ édiScr , jcdii avec
détOurjgeiJient t La sagesse 4»ç-mime est vanité.
Que faire qt qu'aimer 11 radie a de ]a fnli e des joie*-
et de l'incertitude des principe!? Je délirai de qui«-’
ter J* vie, bien plus fatigué du néant de ses bien*,
q n’effrayé dé toul ici maux. bientôt mieux inetruit
par Je malheur, je le trouvai douteux lui même, et
je connus qu'il était indifférent de vivre eu de né
vivre pas....................... ... r Je vît qu'à l’eiception de
quelquetdodleurs instantané et, wiérabkt ou nsor- 1
telle», qui dét-lon ue pourraient constituer unétaf
de- malheur, tou* le» maux de l'humanité découlaient
d'erreurs totale», accidentelle» ; qu’a in ri le
sort de l'homme pouvait être amélioré.
Je m'occuperai toujoiiri de combattre les crrquri ,
daiig^reusçi , de dévoiler le* p ru grès séducteuil'de
notre déviation , et de chercher quelles inkitutiau»
peuvent ccmvenii à l'homme social de la dattire ,
c'eM^dïrc quelle cit des formes possible» à l’homme
1» plu* facile et la plus heureuse. Je~ ne me suis jamais
dissimulé combien un pareil dessein était au*
dessût de mes moyens , et peut-être du génie d'un
bornât, Que Ton ne m'accuse point d'être le jouet'
<}« vanité# de la vie en méprisant »es prestige·. L’e»-
. poir de servir le genre humain n'aura été pour moi
qu’une illusion sam doute, mais l'illusion e»t nécrHaire
à la vie, et celle-là seule restait à la mienne t
voilà ma réponse. Il faudrait trop loug-tentt perler
<U moi pour l'expliquer à ceux qui n'entendront pu
d’abord tout ce qu'elle contient.
X)o pourra juger par ces idée» du plan de l'an*
tentées causes qui font engagé à écrire. Elle* !O»C
□rigfaal nom
NEW YORK PLRtlC LlBRABY
, , ' fS+8). \
tirée» de» deux mûiceauï qui servent de pré fi ce ait
Recueil- Ce cahier renie titie Les ' deux premier ci
L'auteur ne leur a mis d'autre titre que cew
de la numération , et ses couleurs sont il vague»
qu’il lui eût été difficile d’agir autrement. Cependant
on -peut dire que la première Riptrie a pour
’ eaonevis , tes Rapports de l’Homme à l'Utiiveri*
Nous n'en donutrom pas d'extrait , te qui serait
presque impassible ; mais ^noui en citerons ,quek
que» morceaux, afin que nos lecteurs en prennent
une idée. .
— Trille et indchaïssable opposition du Tout
permanent et sublime à l’individu souffrant et mortçl.
Q_uc m’importe cette Beauté que je n'admire
qu'un jour 1 cer ordre dans lequel je ne serai plue
rien ! cette régénération qui m'efface ! Pour quelle
intelligence suprême et indéfinissable fut donc préparé
ce spectacle rapide cl durable., toujours varié
cl toujours le même ? Acteur misérable „ formé pour
r un rôle pénible, esclave jetté sur l'aréne pour être
immolé au spectateur impassible * u'i'ppietKirii-jc
pas du moins quel est cet être qui eut besoin de
moi pour me détruire, qui me donna Les désirs poQt
ne donner les regrets » et 1 intelligence pour que je
connusse ma miser«? Si tout passe ataji t et que nuJ
être ne jouisse immuable de cette succession de vie
cl de mon, coucevrai'je davantage cette tc.rible
nécessité qui forme pour dissoudre , qui produit
fcpns relâche pour consumer toujours, qui Lait toute»
choses et n>n raaiuli.cjpi aucune, dont-les lois sont
inintelligibles , dont la cause o’est qu'ç Lie-même ?
<ÿui m'expliquera pourquoi, anima, eu le qui m'agite
□r-gral tror
NEW YORK PUfi.Ll C LIBRARY
( 3491 · , . . ,
sur un pcïnt et végète un jour, je perçoit i'tii^tvere
fl veux l'éternité,' N’?t-je reçu’
dei conceptions ineffable* que peut m’irriter Je 1
mûtinéint, et des espérances imniOTtcllei qüe peur
«bhûrrcT l’heure de mit destruction ?
— De tetiê étonnante élévation d’où j’ohsçrve
reucrKe des êtres et juge la nature * quelle for«·
irrésistible me précipiter» dam réccincl néant?*
l'anéantiwemeEt est CDDtradictQÎfe. . . * MaisLim-
Banalité es 1 imposai b tc< O profonde a*
vraiment sinistre * tu appartiens à h dissolution j
inatt le vê nouvelle ment ne peut le reproduire ! Tu
h véciiftu at senti , tu as pensé durant un jour
pi de, pour ne plu* penser, ne plus sentir jamais....,
jïslais. Cet uni vers t'épuise et 4H1 h ni ente, se dévoré
érsc renouvelle; il aubstete toujours vieilli et tou*
pur* renaissant : mai* toi, tu ae rtnaitmt pa
Ccrauue' cite est liniiüc cette idée de de mue tien»
totale, d'éternel néant ! elle fatigue, clic Üavaiifo
roué notre être , elle Je pénétré d'un frémi »puent
it taifrt * comme tout génie, tome vertu te scclseaifc
efVéteigîîtiit dans sa froide horreur f elle opprime*
fMe terre Ite coeur, elle altéré ! Tel etc lé délire ds
tateasion ; telh' e» U séduction d* egeta soitti
fWreme, et van retour navrant. Romins trO»pê ^
ftt miser çs sont de tel· seul ! Rien neit contr»dimt
Ittte , rien n’est injuste; bien plu*, rien n’e» miaéri
Àble darrt tu destins mortel s. Tujre plains de l>
tittjrc, homme aveugle J elle ne peut rien conti·
tü, elle ne peut'sien pour toi toujatra inditfé·*
¿nu et toujours né Ce# sa foc , eltu, ;e ■ forme ot
tfiuét dans lei nnititwni iiiéiiuiii^s.'Tu csinibla
I
1
fritfnii fi df^i
KDV YORK PUBLIC HORARY
( MS* )
pour les jouïtiatice», tu à· donc lïrptté pour. le| douleur». Demain tu ne seras plu.» ! qu'imparte ,■ cq vis-tu rnoin» aujourd'hui ? ou ¿quand tu serai dissous, tera-cc ah mal ? i ni fusible , ne aCïiS’tn pas impassible ? a s-tu gémi de n'étre pats né? te» rives avide) ont seul J bûgué tan CfiUi périssable par le délire de» vaux immortels, etc. etc. ?
Le style de l'auteur en poétique^ maii Fabon- 'dun ce des épithètes, leur accolade avec le lubsuntif ço us ts mené a t répétée , deviennent une surchiTgq quclqutfcisinonatoDeX'eit »au» doute àçtt enthousiasme qu'il faut attribuer 1b légère in^dyerunce que. l’on àpperçoit dans la note suivante. /
<-* Dan» lot plaine», où le* colline» uç «ont que des taupinières, et où h petites^ de* objet« donne à taute une contrée U mofiotquic d'vue surface DÎveléo et comme dépouillée, Fbçmmt voit une grandeur , urie .éié^aiten qui n'existent pat, Ùn croit cet arbre à état toise» ( ¡ix unit piedt J,-et il •'eH qu'à mille.pas l ie plu»,petit pai étant évalué à-un pied et demi, les mille p^s don nent an moiu» fwtu r«V< pitdi , ou ,4isx i<MJ! rbiÿt»ai»M UÎHf ) t .i’ou, pense qu’il faudsi uri qp^rt-d'bcujqjieur rpçnter une butte qui n'a que cent pied». Cette illusion trompe[ «a» «lie le monfcaguaid habitué à çcUmer differem* ■»eue les griudcms fit lé» diitapcç». Fin Rolland ai» transporté dan» le) Alpel, croira triveiser, en quç, demi'-béUTe -, un Jao de trois lieue» et parvenir, cïj dciuc heures demiichc., ad pied d'ujp. mont qui s’é|eve à doute lieues .à l'hod^bn. Ainsi , les d^u^ eXtréwc» «' rapproche ut à la portée de potje vue. Il Manblcrut.que ht.nature ait éjüleQicm cjajflt. dfi
Got igle
Dr-^nal Itam
NEW roux, P'JïLIC LlflHARr
4
I , < 9S» }
■püs blesser p?r la petitesse de leí forcipi , et de ■üj désefpéter p^r leu·1 immensité. Le ttéi-gr-and K le irèspetit sont in¿icccís-bks à l'ttil de l'birati^ ; ■t dans la sphere étroite qu'il peut embrasser, le* ■¿¡¡vj extrêmes nùnt encore rapprochés.
B Voici une autre note1 aussi pltilnjophique « maii ■üt.Tipte d’iurorrettion. — C'est le propre dupe ■jtLtuie ignorance de n'être étonné de rien : d'une ■tu citan ce qui commence â se connaître , d'etrd 3+1 ' L ■ * ■
■pnné de tout : d'une faune iciencc, de ne J’ètte ■iis r d'une acicate plus vraie, de Titre souvent: ■p d'une haute aagesse. de ne plut pouvoir l'étrc^ ■Oindre modi Beat les ju^emena de i'honini e , deputi

insiintt inepte d animalité jusqu'à la raison du Kige- L'homme Stupide n’est ér nné de rien , non Katrc qu'ÍI ignore U rsijijn des choses , maisparçe Kn*il ne Botipçpnfiç qu’il cq io.it une à conn^îtrq; ■tt k. vrài jt.sge ne »aurait Tèrre, IjOn pai q^'il COA- Knaiiit tQntes les partiel de la nature , mu* p^rce ■jü iï i^it p[eMeptir agn ensemble et douter, dans SÇ1

¿la'^· ' ■■■■ . . Á : . ■ .,■ ' A* ■
K La feconde Revene est moiu> vajee que la pjf- M*e[Cr Après ^voir préludé par.quelques ré^qjçjcy}· ÏJjiViv 301,1^ tte la méditation et sur i’aft ¡dq
Ifch,1 ■ inerir chante lei quatte intoni t je dj^p
,ri7? exceptée, oA .rc(pi^c fil tout de·, irna^e* br^Uinpi,,dts épijht^p-am- ¿mei, dçi . toun fiorii, fú- Qn eu jngqiâp^jJ· fjgjfapaqt qùcoous en citerons. Non» feront .«T au^navapt, que l é^uvairt j’occupe, cjfç peétq- ^e, d^idçux moyCDD«¡i, Je prÎQtepfs^t
Vawf^;, Mwriçj peine üok
I
|; Gcn tglc
«I
(SSaJ .
.MÎfoof extrêmes, l’hiver et l’été ; et qu’enSa l’stf- . tûmQc est de toute« les quaite, celle qui obtient ion hommage le mieux prononcé, parce qu'elle perte davan sge l ame à la rtrerki.
— Doux p i in tems-Jeunesse toujours nouvelle de ' l'inépuisable nature , iOUS les CCrUt* Ont aitné tes premier! beaux Jour», tous les porte* les ont chau- "téf : tu soutient et consoles noire vie, tu fatB fleurir “r«péTançc sut tes traces annuelles , et vivifie nos jour* flétris durant 1e. sommeil de ¡a n attire. Tu la montre* toujours jeune à nos y qui vieillit, et son immuable durée scruhle éloigner le fermé de not ' jouri rapi ries ; comme s'il'fions était donné de nom renouveiler avec elle , comme ai chaque printerns n'abrégeait pas notre vie passagère, comme *ï n&Ui n’dtiont pas des parties mortelles d’un font impérissable, H cor tu* pourtant qui peut encore sentir iimi, et n’à point iffiiti T iotis nos formes fàclîteg , son etnpréidte primitive ! heureux 1" en fini dé1 la ni· turt,qui·, libre d'un jodg étranger. Chérit la main féconde qui prépare Les délices de l'année * hturcdk nelui dontip| misères et les ennuis n’ont point léché •le Coeur. . ?, ! etc, Et "mot aussi j’ai aimé Je prili'· J 'têtus, j'âi observé le bourgeon missent/ j'tiï cherché Ut prâmtvetti et le muguet, j ai c'tiéïlli ta Violettfr. , J’ignore si ces terni se reproduiront feii'tortf. jt n'ai I point perdu les goûts primitifs; ns ali leurs'; ni prêt· 'irons ont changé lorsque mori ééeura perdu Us dit’ ■in , altérations passagères de l'étre qui ' iedt' prrfi'· ftmcHtnént, et ne végétai qU'utsjtnir., i ï <■ , , ■
’Maiii'jê iflnïqutje Tuï'^rifére déjà 'ta mthAiioliq'ùt I ilh#ftiic | ttSiè épiiise Ui la’sptehdibf thii ieaiA f
- ■ ■ jours , I
-
Ciüs gle
* ..’fîiral i
NEW YORK PUBLIC Ll&RARY
( «’ )
jiriskt, dernier tffort de vie mêlé d'une lotie de hrtguent,
qui déjà repose , et bientôt va s'éteiodreioü»
le» frima U ténébreux. ....
—»■ Ld fleuri du pridtemj, séduisante image dis
/rfw Aettreutfj V, sToVn··*t pour les h-ow mm4.« *e s„ .fvorr. tuné*» -qJ ù— -i —
cpnh pa5>i0u dt>UCe de» jeunes taur», (« Æ&W
plaiairct set illùsibtri charmantes. Li teinte au tutti fl1
uale des Feuilles jaunie», et ce vêtement de la natu
J-dijü flétrie convient mieux à Lbabitude des rêverie^ ;
profondes et det pebstrs amers. Pouce et mélancolique
automne ! saison chérie de* coeur» sensible» et
des tcéuia infortunés, tu conserves et adoucis le
*■"
îemiwent triste et précieux de nos pertes et de nü»
rfôtrieurs 4 tu hou» fois reposer dim le mal même ,
■h nous apprenant à souffrir facilement, sans résistance
et »ans imeftumt, Tes ombre», tes vapeurs ,
tes feux qui s'éteignent, et ce revêtement antique '
qùertu tiromcacts à dépouiller’ tout' ton aspect détideuxet
funehre attache nos tau« au souvenir des
feins écoulés, aux regrets des impressions aimante».
Émus, attristés, navrés, nous faim on», nous té bémisons,
car tu obus ramenés au charme aimable de·
iH U lions perdues, tu reposes à demi k voile consola
te ut sur nos ycui fatigués d'une imprudente lùtoi
etc. Douce automne, tu es 1* saison chérie de»
toeurs sensible» et des ccturi infortunés !
1 L’Àge de Tabierir, vingt-six ans, nou* s atonie A tu»
faire quelque» ebservatiom grammaticales , qui le
r rendront plut sévere et plus agréable â l'avenir ;
CM, tan* ta correction du styk, il n'est point de boa
écrivain. D'abord l'auteur supprime trèwouvent le
le tondrai diùsks phrase» à deux membres, teifo
XXXf, . Z
Ldijlnr-il ïïîit
NFW YORK PUBLIE LIBRAHY
f
jFeHe-Cit h Heureux pourtant qui,peut eocoft ^¡p.tjr
. o ainsi, et c'a point effacé, etc. i> Il faut.» et f ui n\i
point effacé; parce que, 1". k premier tnetnbre ejt
ppiitif, et que Je second est négatif i pare* que,
i°. ssMtr et effteer ri’cmt-aucune-analogie entre eux.
On lit à b page 3··. vie.,. Je fai seulement toléré,
pour lolirtt : et ce n'est point upe faute d'impr étalon,
caron voit encore à la pag.c ?... carriarç-» Je
l'aurais abandonné tout>à-fait,pourabofulàtuii^· Cetl«
faute i|t t rés-ç Oman une chez ici habitant dçt déparr
temena méridionaux, '
tt Un être actif tan*.‘volonté, ou qui ne s* propose
h point de but 4ux Mu de cette volonttk >» Ayant
mis qnn relitiouila petioane, j(t c'est use incorrection
d'en placer une second* à un autre objet ,
qux 4dcs>>·»L’opinion sifuciif aux novateurs, est une
locution hasardée. si même elle n'est vicieuse..,.,,,,
i.$, m Dis .colline* lointaines iUvaicnJ de divers
ïj points de l’horiaan des souvenirs douloureux et
y des regrets îtxénirrablev, n Du tollinu çni iltvaij
du itufitnin ti ¿¿i rtgnis ! Quel ncoJogiame
34- uCelui-là est fait pont b sentir tout* env
tûetc [ U nature] ! qui éprouvera tout es que peut
y produire cç moyen si £aibjc en apparence ( que
m beaucoup trouveront puérile ] tt ni pour la couii
naître, qui en eu tondra, b ko Icscaus.csyiMe CaUait.il
pas, <t qui. M £<*■“*' ha. iOpqaUrays cn/tndra bien la
ffiiiftî..,.. Page S6. t* Qui aaityuut et calmeiu aller-
»► nauyenxmnotrt vie^ uqs la.fatiguer i^ul’sicêter. n
Jpq^, Fairé t*r t et non pas qu se de pu eut...,
Jag* 3g, «■ Tq aouUgea nat caprs attendria et pacip
fiis. yC’cM jtyfwtf piiiiibiu quç routeur a. vaijlq
Diijil xr
□dglral tram
!£- 'À· Y:·-·- PUHL ■. . I r .·■
i ■ (WS* . Sjè ; mais pitrifiéi né sé tifiìj t^Féi
fa^e+k <‘Unt rot^* qui piombe lu^-lei caujt, n Reni*·
lif he »'empioìe que ehm) It'hofs^ cf#p ari»1 -'
■ ■l . - ri ■ ■ j 4 ;
p ©ti ti. -^ ■ -■■ ■
■ »r£ tJlT . L ‘ J ‘ - - J. ■ 7
tiirtf piwr la Fttt dt ^tìi a iti céi'ibrtt
y U id ai»· Fi- ,
' - - - i . . ■!
Par Fìan^OU f dtJ,N*flrfdhàMUu }. ■
I
‘ ’ T '
Aia t Dei Maritili*^ .-
~. r I ■ J ■ !
^^Lllcns, imi) dv aborti(t*, ·..■.. l
Pbirtféi le eoe idM* vtguWt 1' ' .
i Charatr 1« lortA dé irtre bntrtje [> ■ i
Par in ebani qui patflf <ìvi dtfiA. ■ ■ (■ Mfì )»■>
Da ititi de 1* tu cn*i cui rtHisinti1*
1 Tù» heioìai, l'espoir fdbtwr{- ■ ' r
' baùut vn* trnìa», par.tout Bearli ,
li campagne reconnais .iure.
luinsei, Lahduritin ' prender votrtf rìgdilfoiG
Mattati ( b‘n ), qu'ua btqf dfrciTe ds^ft nù'iiF^fe ¡Elidi.
, 4 Aldini de peine’è Pònifogf 5 ■ ' ■ -
Qaiod ou t'y nenia avM girdiiv ■
' Pone le pria de voire-emiri JVt ' '■
Le dal vane donne la unte·? 1 - ( ih* J11
d Pour ¥ous fyidet. pOB* f<?»»Uwtniir*11
Di tu Èt lei Mini de* iiiion*.,. · , ,
Ce qoe demmdent rei moiiiou· ,
C «t dam 1« elei qa‘*l faui ie iim-
Att irai , ritirili 4/r^ ,' '.i > , .i
Sarai iute «” itti aitata e1 óptflé'ifèi ,
cVfliM erit ]*i' retali +rHis- tt'iyàr#,
, Voui fikftl· geirtner'Tabnffeifte*,
hrmaMjdr«* Bfr'rtf efcrtéz . (’ Jfffr. )
Z a
Goi >gle
(-»«V
TraHil^ï d'tnif ardenr «tictne ;
Que vci» guère u toiear toujouu pleine
- Ab ! le meilleur de tout le» paiiit
Ait celfti fx'on,smbî a*i-intme.
Aux irnu , Labonnnn ! etc.
■ - ■ *■ · * .. -- * r- . +*
In culdvitit votre héritage.
Songe» i nui Êera $ e fripe art ,
A qui vooj derêi l'avantage
D’en être libres pcntesieur*. [ Ütf* J
Leur usg coda pour la Patrie «
Pour elle renea vo» auenra.
Heure nie . par leur* brai vengeur» ;
Par iet t diraif elle eu nourrie. .
Aux arme», Laboureur» ! tt£.
* •i ' *■
Voua fl’tllee plut 1 )i entrée
» Voue épuiier pour un »eigaenr ; <
La gerbe a'ut plut enlevée
Sour iot yeux, par un exaettur, ( £ii. )
L-» charrue , anx yeux de la fiance ,
Apjnwd'hui remi-ie, en bemntur *
V oui «Jure , arec le bonheur,
L> véritable iudépendauco. .
Aux armer, Labüurcufr ! tic.
Honneur, uUl à la Patrie
,04 1* *oca rapji·5 ifi1 droit» !.
Honneur, ialut à l’indirtkrh
Du Laboureur , uni du loii 1. ■ £û, )
Chez vau», Français. I Ici aru utile*
Dci préjugé* iODt trionplua».
Faite· chérir i voj enfant»
Celui qui repd Ici chanpi fer die».
Aux arme», Laboure ut* ! etr.
I · . » .
—-—VI .................
L 0 G 0 G ni P H l.
Ji mil Friûçri», quoique natif d'Afriquu,
San» être marié, j'ai bon nombre d'enfaa»,
Qu'on tire, avec travail, de nje» flatte· abondant.
Je rien» de» deux pay» , et suis , »aot qu'il implique T
□r jfhsl Itarn
‘ NEW ÎURK PUBLIC LlEJRAfcf
. ' - , r 357 ' ; Tnfh ricréiiif, pltiunt mélancolique. ’■ * '
Dixmenbiei font mon tout, que m doit combiner,
Ami. lecleur, ai iu veux deviner, 1 '
J'offre d'abord ce qu’cm cherche àla guerre ; . '' ' ' '
te puim autour duquel loujour» tourne 1* terre : L'o grain grcaiicT i'I'homnie , à la Üetc eoihiiiun $ Le métal téducieur'que délire un éhetuu j Une imoureuie , îlhwtve dîne la fabit ; '-
L'appej des ianoceQ* , la rcgi'e invariable , A qui petits cl grand* dàivent ¿ire fournit , Un bewHeuve cédé, bien loin , aux ennemi* ; >
Un antre récemment fameux dîne Ta gatetfc ; Unftaud pontife juif qui te çâiit h télé ; iatre deux grands terreit·*, nue .petite mer J ' Un outil de cuiiint en fer; " t
. Celui qui porte une couronne.
Itregot uü tur un trône j
Un pc^atoo plat ; on endroit
Dam lequel il ut Lit point froid '
Uûe note de mutiqna t
. Un mari épidémique -
Let pied* d'on pont ; un péché capital *
Ce qu'au biebier me taupe tan* grand mal i
Ce que chacun pendant *a vie -
LU «on minuit, ¿don qu'il eo a Le pouvoir; ' IllL, certain* choie, à mon goàt fort jolie ,, ty’ttitte aime i montrer, et que l’autre lime i voir. #
. ¿4 Chu a de et Énigme du N4« sg»
Le moi de la Charade e*t Îii'mtîai; celui de FÉ-oigaie *n- Mfhi, " > .
SPECTACLES.·
ï » i A T H £ DU V A U h 11 I L l 1.
Taet ]e monde connaît rauecdote du Affoulia Je Sans- Jinci : elle a fourni'au ctt> Andrirnx un de *e* plus joli* aW*i, et cette moralité ai vraie , *t ninirellemcnt exprimée.
Ce tant li jeu« 4e prince ; „
On reepeetr oe cnouJin, a· vol* un· provint*.
Ct naît de la vie dr Frédéric rièat d'itre emplnyé au Z 3
' s
Original iftxr
NEW YORK PliSLSC UffiRARY
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J.
feg ; , ,
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: : e de ,çn uàiïiit cl îe.
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Vaudeville ; et 1 ri
ikr en vp;ô rf<:
Guillaume raller , po^c^SfUr. (lu raquhci UE Sapa-Süuël,
te ut unir ii F.l^ç .Naiicy^y fils ,de Georges ; nj^i| ce $«nier,
ancì^p i^r^eet sicché à FrrdéHc\ veut qtit Vallar
donne Uûtir dit son moulin ± » ri ¡Je. Valter refuse·, Ju
- ." /'.■■« ■ ¿F. ■ ■· l· * I VI. fl.f . ï <'£ L .* „-· ‘■‘. ·: k·’ ■ *. "J
^TnaDi se dtmperent. Ai rivent des ing&mcnri qÿi_, ae U
part du roi, prûriôsçn^ j ÿ^ier j)ë Îats^çr abattre rem ôtcfllin;
nouveau refua» JFré|énc „ jaloux de çônçaîtpe te pre-
«lier homme qui· lui ait désobéi ,.diujre' sk privitienaîte qti
. . _ .1 i JÜ/ri z JïiS'J:*-.·.· .ç 1 »Jir1 -· iJpr*jr >·^· A ·
côte du roôu'in. II a ciunne de manie ;. an Heu d# ta»re la
5uerre.t il fait .Je» yer»; Ed^cpuu ^-®hîs cher .a !· p u W’
it-il : asti» sous un VP'? » ®u P'Eu *iJl pionhir, il corn-
Dfie une TOaMEtcc· Nancy îcstrc Seule lippertoitl ■ Sqp
■ > . .. , , ïtsÿ‘ - Itü^rirr ri.r.. - . T<r· t *
vjeil habit bleu, a ses Doue» tfsees, i ion .giand chtipeau,
elle le prend pour te ler^ènï', %eje1<Iï: md ¿niant , cl ie.
plaint à lui de l'rimïtldnoil met' d sautoir cnliVCT À
Valter le moulin qui le j&it yjvj'e1.' Fiédcric Iflbf’f «ancy ’
darti l'erreur, et jtiuç'ijii'mbmétti Te rôle de 'Çcorisei ; il
jtiitite pour avoir le' moulin i tin' ce "cas, '.dit Naùfyl· joui ’
le disputerez donc au tüI , ca/fl veut'aussi sc frirf mcû*·
nier,«.> Pendant ci/tt Sctui, Valici- e? le veiîtaUe Gco^gief
paraissent, “ ' r ' i | ■ .’■ < 1*
Georges connu dt FrWfnÈ pdûr uyc5r été Messe A se· ,
côtés > Fuïce le roi i *e découvrir. — b’CQ . wuilkîuçHje
viens moi-ûiètne tp deÂaijâir ce <jùe tu mis éêtaffi r '
Maa nsoûtili, icn-tyïl dótte comme la Palojnfe'i1 io®
le mónde «it doue en avbir u put, II geni fi' va* "
des fenêtres du diitaau ,■ il faut.cju'iJ soit aba^n. :— Ce
moulin e;t m* propriété, —Une jpsip ipdeaDÎ& —JaÎH
t-tìti fé bonheur ? — Je t’·» dit lï raison. —"Siri , elle '
Îiÿg s»t pM ugc i/te qvi ùouryt Jty j^/jtas, bUv« ’’
es yeilir d'utt pere, — Que douüaatH><i ! lerminpT^,
jp fais avancer nu çanon , et le moulin saule ta. ■*— Uit en- ilj
non ! sire, comte ün rnoulin A vent 1 non, tion votü^''·
n’êtei pas dA Quuluitl« , «s l’Europe 1« saie bien, — Ü',?i
Bt suis pas accoutumé à des refus, Guülaume , jç veut ca
Aouliti. — Vaut ne l'aurea pas, »re, <t sirverni employé^
fojee, j'iuvoquerai la jjusitcç ; n'^ans'^o.m pas de^jt^e* /
îà Merliti , , . ', 1 .
,^e trait désarme Frçtj^ri^ Il ¿’applaudii debiti
de bonnes lois à b Fruisci piùmpe le peuple les investi*
ivec securité ; d'avoir eboiai de bqus , puisque
)« JKuplî kl .«oïl iatfjjr« Il itvçjiLjjiibki, U ççjj<j rt
' * * ' -
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KFIV YDF.IC PL.'fiE IC II0RARY
ptomet an tnéunier dï tTi*oir pii ie protlï iW% lu! de-, vaite le 3 juge, de Berlin. Mail, tire , dit un dé* ingénié ut*, nour a tir on, donc tiüf angle bbtnr .
Messieurs, ta ou». Piuran*'confine nom ls poarrtMix, té- poja.d .Fi.édériç en riant j <any désormais ,_ïc que j'*igivrai , le phi» en Fait de perspective, iera I» vue de te moulin. Rien n’eit ululai re ^nj-ur'tiii tifeiHard, 'rien ne réchiüffe ion amt tonnât Je lauvejiir d'uuc bonne action. t
Ce Valide*ilie ejt ie pvtrtrïe* ouvragé du cit. Dieia-Laftirr ' c’en débuter bien h.titr*n*em«A< daus. un genre beaucoup plu* difficile qu'on ne Je pense , et 1 l'égard duquel chaque j^dr lé pkihb* devient plut eiignuL· Les tofeplet» ttifek bjeei (ait* i- «HTMie«**it -écrit», £ia*MreUement incab - rÿ*«U **ni «ffenerè , piquant, **t)rrnqi*e* Jiiértf, tav, ôtrtp dit à we *dée étrangère au MD«. Non* eotneatir»» w ltaaùexr* ut nttntcchemcntô»» enupéet*. qui Uni alkwéu à; du g*pte n ei àAi peuvat tntverxçe c*tui Han* lequel' Je mednier défi dit 1* génie, de ceux qui vEohrut lt* talirir «* propriété,
N ou? avun» toiendu objecter coûtr* celte joli* p rodât-, tipn , que le (ujet promettait plu» i que la pteniere *n£fiiiéf de l'ouvrage offrait de* longueurs, de« inutilité* ; et que. , la seconde, celle qui cousiitue l'ouvrage, était UOp Pe®v de" those , '/offrait pat u*et de développement, éia*t ter-, ■qince d'une manier« trop bmaque ; tiu eulïù La pire« «a. tiere ae prétendit que deux sceue», Ce serait déjà beau-^ coup ,. dam un petit acte , que deux scettes bien faibei'^ en S' t auraient été univeiirlleme.ut appEeudir* i mai» il est scale que le dé Faut ici reproché n appartient pat i l'auteur ;
Int *a circomptetjon a dà noua pnuct de beaucoup de était* qui eussent été trèj-agrëaUef ; que 1er citco&itincri- Otrt exigé 4e* rstrata dhe neo*. Ce* tacrtbcei doives 1 êérn pMÎble* aux auteur* ; un* doute uou* iHeindrone Jneotô** i un état de sécurité, tel qn'il ne sera plu» nécenaère d'en exiger de »erubtabJc*· I>i* A présent oov* aimons à déda- itr qu’à la rcprittiiLalioa du Afoifiin de Sfns-Sauti, taon- «éul^iueut il n'y a eu aucune appEitatum défavorable au. gouvernement, nui* que nie ni* ¡’idée d'une tille appltca- l’ibiï ija partait être venue i qui que w soit.
Une foule de periocini* ri publie* in es. et prndeBte*Ti'rt**H Mne par ms tiqué d'étouffer dti datnnur* indiscrvutsi elle* “'•o oat pi* eu beioin ; elle* « »ont emprtHôt* dtjsiad*· l**»** 4ppla4dti»eMtt»' A ceux que le public tout mur i 1 dtwjé* i l'oMvraÇe «t *wX »»Uwv
Z <
Go* >gle
«
Dr jrjl Itam
NEW TÜWK PUBLIC LBRAftï
r. f«o'ï . -
Nom leur devûni » éloge panicaut-· Dtnlutime. a
joué I* ïôie du rpcunicr avec'bnnmup.de vétiié et d'aplnmp,
Veripré « peu d'efforts i fun cnuirc pour parveuir A üï*ir
Fatt^nck et le jetu .d* l'homme célébré qu'il teprùxnte.
, j . ANKÛNCJS.
Unité aeuoriHiv; fuî rt irottoeal ci«« Cerner, liiraitf □, rtt
' ■ - Gii-le-Cèvr, ··, S, ■
;Dmùte Mfttor , on moy«tt d’euseigoer , par
attziit dnjen.i pToAeur» disciple* t In lettre««
les dufftei, lu noqtbrts et Js Itetvn : iu*enii<m qui peut
être d'uH gteBd «outagemeni po«r ici mmiuiewii, «t vùle
aux, ban* mm· qui, peuvent iottreire «ux-mémei leur* eafan
»; iuhî de l'sbrégé de L hittoirc d'Kmilieo ; par ie oit.
Jnvîllç. Fri·., t fr.
Plfl» ¡Tu·) ■fuma ttrif far kr frntrïf itrïe·; , cru TDiuîirt
de dimiituer la contribution foncière, et mgruenier les Ce*
venut de Ré publique Frmftüe, luivîe de h description
«eptemftride (nouvelle moire décadaire}, avec le pntiçrp*
dn calcul géométrique et de géodéiie-pratiqtt* ! Ouvraje
utile aux agent, rommiuiirea, répartiteurs de mmiannet,
süx propriiTaiici et,locataire», etc,, prétenté >u cnaatildel
Cinq-c«n(« par le» cit. J, F. Loire tt L/’F, Loire-Do-
•hemin , « rp este or» - géomètres du eititoa de Liancourt,
département de l'Oite t brochure ie-8”, Prix, I fr. so cent,
. fflidtirt cTttite Fdinillt, par M. d'Orion , mise au jçiir
par M, Cagojard i v vol. M-lt, a**c fig. Prix. 4 fr. .
Etktllt dt déftdfitiwi ¿u «Ltyertcrnrti de itt Sfitt, «nee
des ctungcnieai tyïtt Ht citt* Ecbell*. Prix , S h** H
1 fr, So cent. franc de port.
' £4 jtfrtfe de Guide, ouvrage poithtime de G, NobodJ' >
1 ¡1-14 "t tjouv,.édit, augmentée. Fax, ji cent. A Centre,
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( W1 1
1 i» .a.·.· j ■ . ■■■■ ■ ■■„ii·.·· ,a„ s
NOUVELLES ÉTRANGÈRES.
. ÉTATS-UNIS D/AM^»IQ.Üt
\ MCI une lettre qui iroeblc démentir lei dîipouï- dont ami tal eicue piiicnuient Ita dcruieiel uGfl- Teilei de Neyv-Yûxçk t , . ,
1 4 J* rótta *drn*e ; cifoyna , u« loï.dts etmgfè* Jet Ttiti- Uii^do tinnii qui ordonne li biìiìe deabirimea* de guerre inaiai qui irouhltraient le cùiatuerce américain et w* *r- relè de la ebani tre de* re prète ntitiu ‘ du 1 tu*it qui luspeud tant cBfflUiiiüiiitirin commerci-ile irte Li Prince et sèi pùl· «uiont. Fai perni que , dilli h situation respective oi te UMtEQt d»us ce raqitteut-ci la France et Iti Etnti-Unit, ì* pblitaricm d* tu dennt acte* pourrait ètte iutêreiriaüle ;
quitte Philadelphie le 5 db juin dernier (v- *t.),je Jimc que voui tTen. ivei pu encore eu connaÌManct- . hTìcuì anice» projets de loi relatjf* lui ckc onerali ce* prêt > afflo. étaient devant lei deli* chambre* du eótigt'é*; *i d'à- più l’opinion nuniffitrt du prérideut et de la majorité de' «i deux ebambre*. il iTy a pretque pas de dolile qu'il* ne Mien adopté*. JL'un a pour but rei pulsi on et même l'em-' prive ne meut de tout étringér (c’ett-i-irl de tout Français] éoat k prèsi dem jugera h présente dangereuse ditti Ira fcut-Uina. L'objet du lefind en la téqutnritioa de toute» '&■ propriété* finçaisrs dam ieidlts Etauf et il est question. i*tn ir iroisieme, de donner pim d'activité i la loi qui cotta iene Iti perturbateurs du Tcpo* public eL ceux qui apporte·· meut eu te ôteraient d'apporter * en quelque maniere que ce •tn, de L'opposition aux mesurti Jkttitea Ou A prendre par le gourttnement.
ii Lé S de juin dernier f v. «.}, les papier* public· de Phi- ladalpliie apDQDcereut que le prraident avait cummuoiquê ce ■ine jour an con^fèt, de* rliepêtht* tjü'àl vtTH.il de recevoir daPuii, de* co m miss ai res smcTÎctim, 11* mandaient dans ^dépêches que le Directoire, avanj d'ouvrir des négocia- ÔWaveceuXi ÎQ*ii»ii *ur la demande d'un emprunt qui
- Olirai rom
NE'iS1 YORK F-JB UC UBRARV
Go gle
r ) -
Ifrsît Centt setTtt, ne pli JùrtrtEf dt !’r>ïnhrtge i !'Att’
glwHw^j et *u-r Uft* ttparalion couvcoahlr pour les e*pïettioni
injurieuses dont se snnt servis cuver* le gouvernement
rrzi>^*riti i^fVl 1 bt> y iraii^ ù de. ses dp ? qp uf h j ft- A^asu
d*bi deil* des siens ; et que n'itiul pas autorisé 1 1 traiter
pour cet objets, deux d’entre tu*, MM. Marshd etP-nkjiey,
■'étaient dértTminrs i plttir ptn r Philadelphie , aün d'y recevoir,
de rjo-nycJJe* imtri-c ion*.
jt Li -ptrsiilcirt XAflini a «fwé1 dé- recturtiiAti-e eothme
cooiul-^én/ril le cil. Dupont, qui avait été envoyé avec eut*
qualité i Piii^delphi e p*ir le gouv erse ment fr itufais.
h Le jjouveti)çiiietil fédéral, rt 5 U r-tout son chef,it deÇATi/
setn' lùjduhl hûl dûiaasqne detriets lequel ils ie sont
caché* depiiir quatre ¡m. Touttr ktnr trierurej parôgjeitc
éyidev^enc oe^pepd^ A J’1·®«· i'pniiw qui Çsûrtt yntr<
J* .France et Les Eiats-Uiij*. ti
* *■
" T,ti Ütt Etats-ïf eir d’Àfï-étiqqtt traJtiit fittêrilrmtnt-
,>(, [jui dùS, vaisiSUX trtnfa naviguant Ou préjetlî^
nr pivÀjuer iou* l'iurprité de li République de France,
O^t ct.çjpita des dfPJcdaiipot t,ir ie commerce des Eiats-Uciù,
et eut rcieniioçnt capturé tie» bâtiment apparniiaus au* citgi-
eas deiditj Ëlàts cor ou prè» lu c&es. eu violation de fa
loi des qatJOp■, et dei traité» entre Iti Etats-Unii et la nitioa
t francise 1 «fat pourquoi, . .. .
11 II «,t. «viré par le *cuat et la chambre îles rt pvëseattiDfc
des Etus Unis q Amérique , jsstrr.bk* en ■congrès , qu'il
MU WgAl pour le président de· Etats-Unis,, et qu'il eit^par
le présent arrêté, tuiorué i donner des ■ pi 3 truc ti on s. au*
cp.mqian.daus des vaisseau* irméi app.iricpini.wnx Etits-Unit,
pour saisir, prendre et conduire dans Je* ports des Ëlatf-
Uius, afin d'être jugé cûpfjrmraient au* Ion des 'nations,
tout vaitse^u arruê de l'espace ci dessus désignée « qui aura
ccpoasu des déprédiiicnt sut les vaisseau* appartenant aiqt
ciioyeiis des Efuti-Cni*, ou qui-sera trouvé croisant sur Let
côtej des susdits Eta 1*, avec Jintention d'en commettre, tr
aussi ¿r tepreodre tout vaineatg ou bâtiment appartenant i
11 u ou 'plusieurs citoyens dis $i3t*^Unii qui auraient été pria
pir vu des vajijesu* ci-dessus drsignéi. h-
■ En ciomtqjnsce de cet arrêté, le vatmcaule Gang*,
de g» canon», appartenant au* Etats-Unis, était déjà
sorti de la Delawàtc , et la frégate américaine lot
ititi-l/nrr, de 44 cttiM, était, le 6 juin > au moment
■do kvc· l’ancif. ' ,
Ungi
nêw/vork pubuc librar
tsei
'lip la di*CWλ« CW:>r·
pilé, Al- M^cpji fit une «o.tàoa qui anima b au è ut '
lirait caractéristique 4e la on p ri «eu te de Jt
■ »ajebi« d< U chambre d<| rc-préf prit«™. Il pt-ftp·«·
4c g¿véndxscrh loi* et dp 1) hirt porter ejaietpe»*
lartpv* kf vaisseaux uns exception, de queiqun
Ffltiftfl q$w f* Jfttf qiikî’u-iiiju i&njûüi» des dèpredae
fions sur les v aisscs tu de* Jttatr U U·*- Ce (te mojiUB
était d'autant pim juste » ^tit Ica vaisseaux anglais
arrêtent', atjstî Sien qnï'iês Ftatiçait^ let vaisseaux
nj*ii,|tPT)oep ç^itÉ jntxurf p^iit dirigée
gu« cp.ppq ij ^épphlxqux Fwn(aise , Ja,mq»□ u fal
rejettte, .· , □
ds So ^rafria/J' '
bruit ,f¿ùjt ripant!u. que P àss^sir-Oglu axa U
■ remporte une victoire signalée su; J’i/niéê^û
jcipifUf J rauiyif de pjusùnti qouriers vient.de
çonfinAer cfcjiç nouvelle, Loq.a en o^trç upprij
{dur Une attitude pin* rcdouUpk. Eq conséquence^
P/Îff a çré envoyé aux co'jnujnedür.; di&rejUei
provinces dç Tutquiç , d< fassenjjric.r .¡¿Jisi-tôt.1 ç pcy .
dt troupes qu’ils pourront i itt dcks réuni* à l’axrucç
du capilan pàcha, ' ' "
Portent voit pat avec indifférence les mtjuvtmens
qui ont lieu dans 1;j Médireruiiêe. [/ordre ?
été envoyé aux commandons de notre marine dans
¡ Archipel , d'avoir an (n'iJ altcntri sur les Gcuet
étrangères'. Patctl Ordre a été donné sus comrokndans
de nos ports et pliera miritiwe; j il leur a étf
aussi enjoint de st tenir sur leurs gardes. Un renfort
de canonniers a été envoyé aux Dardtneile* ; plusieurs
vaiiisaax doivent aller renforcer 1 escadre ut’
t*rRane qui est dans F Aie bip« I,
Sutot. Di Stockholm, le So prairial.
.Le ci-devant, coajje de Saint Pries t est pirti d'ici,
sort ëpouie % pour se rendre, par F.iga, t Wittatt
prés de Louis XVlll. .
Go. gk Orignal tram
NEW YDP.K PUHUC LIBr,AR¥
( '»+ )
- Le toi u propose d# ¡foirenu voyage kOopewha gne,
g qà ¡1 compte se rendre à Berlin, Il rétabli un
conseil d’Etat pour gouverner en wti absence Parrsi
le* tnetnbrei dfe ce cohieil , □□ nomme le comte
Y/athtmeiStei ; les awiret lie sttnr pas encore cofinu»,
On croit que ce voyage i pour but de former, slil it
peut, une alliance entre lt* trois cours, de Berlin ,
de Copenhague et de Stockholm. *
J^UBinUMiB. Dr F’itsac, U t pMrxddr,
Le KeUtcnaut-gétiétaE prince d’Otangè a reçu ordre
de S. M. de ir rendre à 1 armée d’Iiilie, H s'eit déj·'
mit en route. . '
On assure que M. le comte do Ço b entre! mm
nommé président de la nouvelle . commission de
banque îM-îe comte de Bergen* conseiller aulique*
sera viie-prciidant, .
M.' de Caitipü-Chiatp', qui se trouvait Ici depuis
« ¿tiques jours, chargé d'une mission de labour de
rap'les , vient de recevoir l'ordre de k tendre* ram
délai, à Copenhjgue, pour uh objet important. Il y
déproiera le caractère d’atn bissa de ur.
* M. le comte de Keller, ministre dp Prune prêt
notre cour, est parti pour Neisi, où il a été appellé
piï son roi, qui veut conférer avec lui.
Dt Francfort ,lt 14 mttiidor, Le duc de W uTtemberg
Îà tait' aujourd'hui disposé à s'arranger à l’amiable
vec lu États du duché. Il rapporte de« ordres qui
avaient alaïmé ces dernier». On ne croît plus à l’intervention
annoncée de quelques puiuaucei étlan»
gères.
De Hdiindt* li 13 mestidar,.' ,
La noblesse immédiate de ¡’Empire demande, relativement
à la derniere note de h légaticm Française
. que U députation de l’Empire veuille bien
s'employer,
A ce tpe le· mrmbres de h noblesse immédiate qnl
possèdent fticore -d« biens sur h lift gauche du Khin Ici '
conserve en , et que- le Hgucitft mû sut ica biens qui leur
appartiennent soit levé. l- '■ ■ 1
Drdrtf I rwi
hEWÏDfllt PlIBL IC LfBtyWH
·. ( 3fl5 )
, 9*. A <* qn’ü leur toit fût compte <Je> nvent» du tu ■!■ V<mj pis jovi j.aïq/J présent.. ,
3’· A ce qu'ils puissent ¿¡»porte libremtnt' de leur* pro Jriét(4 ÎOD^ttef «I taobiliair«,». '
4·, A et qu'ii u’y ait aucune di*tiBciH>n din* te trtite- Eieni A faite aux metubres de et corp» , qu'il» aieot o*S qu'il· a'iieni pu voix A ta dicte de fÉnnpir*.
,5“- A tv qitils obtiennent une iudetnnke pour lei droit» fitidjux, a .
La députation de IVItctem de Cologne deatïnd* dans Ion mémoire : *
, 1", Qjrt le» pia^er de la rive gauche du Rhin apparie·, naria ï tt prince , placés à Andetnich, Botiu et ¿ctu, «imi que le droit connu roui Je Boni de littu i Urdittg«·», soient trinsponés eue la rive droite, ou qu'il co-mtruc au -Bxjin» de te coté le péage 4e irn/e, -. . - (
tB. Que h L'on supprime tou Je» pcigè·, in donne 1· »oint de» sûreté» iux cnucien qui ont prÉté de l'argent mf cw péage·. 1 ,
La chambre impériale de Wettlar obierve d»ns tca jfttaoire, que souvent des parties de ia rive g«ch> Aéftbiti cédées à la France , qui ont des procès peu- i la chambre » demandent leu» actes originaux, et qn'eil· a ?rrété qu'il serait donné aux pétition- irëirtl de! copies duement légalisées de ces actes, lés originaux étant h propriété de la cour de jt^ti^e quieti est saisie. . *
\Cette chambre réclame en raême-tctns set acres, tÿü Ont ér· enlevés et transportés à Strasbourg.
La dicte du cercle de h Suite qui devait s'assem^ Mer 1 Ulm, a été différée, dit-on, sur U demande de l’envoyé de: l'empereur à Stuttgird; ce qui ne puait gueres pacifique. ï
Pu 16. Voici la traduction littérale du vote de jf Au triche 1
«» L"Autriche ■ déjà proposé , à li 44*. sétecc, de faire de* reptcrt&wjotu aaicak*,, mais cependant énergiques , covtre Le* nouvelle* deimudes contenues dm* la note des mnütrea français. du 14 liorêa t, et nli *vcc d'autant plyi de itisjjn que, dans Leurs déciirsuoat précédentes , ils H *nut ÀcaplcmcDt borné» aux limite* do Rhin· La· réponse
Go< igle
Dr^iMl Itam
NEW YQfiK PUBLIC L1BHARY
('W
dis 1* 4éçutirtau r, di» flû fltn'ésl , doit1'ïtre' ttftPvrfnelHl*
p^tif Mdl* personne qui, n’ét'jnc pas iu£uettée-| TouiirJi'
«t'üfcT lei principia quitte «Mfttanb 4 .
»r Ccun qui coimaissvni lés négotistid*! qui fitti « litui
jueqvTi 'Ée'juiir, 'il qui les'jfi'genl sans prévrùtiôfi vrrépai
en do tire que la députai»»* est petlêfrèé driJ
la necessiti d'tine pai*. pmunpie et durthle· Elle a dcj* rtìn?
stati, ttec qt>eiq<Ltl· tnoiiiAcmitjns, ani demande-t tes piti»
dures , et tnu dius se* dilibfraùnnc ime aciivité rare < vù-
■ 1* marche Unte de'1*'coniatirmii de ntanpire ti cela
polir dèh a trailer prompieiueut du logemenl de» troupe» lei
proviti re* alleiiaande* qui en scuri sui cbar-geen- Le* darri
inémea noie* échangées , ptouveni cònica Ir ve prische
rjtTou lui a Lil dei temporiHtiaùi; die tré Lttoporise poidt,
il dèput/lico, lonquc s'ei t'onciibnf et *oa leecir l'bbligert
de fali'é del rcp rese hi ilio ni sur de* de ma a de* silice* si* ti
et auui nonveìtri qii'i ri atte ndù e*, fi firudtail doyc enlìi're- .
rflent patalyier la ddpuàiiod, et borii er le ce re l e de st*
c*pc’ir*riiJns A et sotfniètftdef i ateepter sur-lt-cbim'p cteaquer
de man de , «ni tucul» e couditioa.
w Lr detniet» nate' , da 4 iMAóforr W- bìta
Jet aiutili11 munì tatua, rikgtert
po*»T qbtenin dêf cOndÏLTÇin* pftj* £tv4rable*^ serttïtfti
TCCOinp t n|é* tubri du 4i*cCèi mêniè ; puitqrie·, 1 t'exttfptiatf
d'e quelque* madüictiiüni peu- liguiEautei, uji y iniînt »ur
le* pointa priacipaui : On forme même actuelle tu eut et
déni an de ce qui, relativement a la libre nivig»non duRhin
et lu très" Heures d'Allemagne, n’itlit manifesté jusqtfà piéstnt
que corotne un, L’Autriche n'a couiuJlé ta tuiit quasûfi
devoir, qui racine dans le vole aciueS sera «on i?h|.
guide t elle propose dont iléralivemeriL de deflafeT1, dittl·
une nouvelle ràpSttse^auï. ministres de la République, qu’on
est dm» Jktrenle :
. *“·’ QJ- e Fa République h désistera de il préteur)*n
sut toutes le* islri du Rhin, et qu’elle se bosvitta' flûte Ita
mites deaumdeet par clïa^métne . moyennant le-chemin du'
haï>age, ou la partie navigable du fictive t
, îfl. Que Csssel, Eçth et la tête du pont d'IÎuoingae ,
appartenant à lit rive dr'dite dlr REin , resteront i rfirtfpilje
d’ÂlIetnïgtre, et qn’en général·tout ce qui est siti4 le Haut-
Rhin , sen remis 'dan* fêtât' où il était avenu la présente'
guerre-1 ' ’’
3". Que h'foTtï*résie d'EhrejtbriMtrin réitéra iniSfeTé’,
-4·; Qjie le ié^rrestfe -sait sur le/ bfem de ta nobtaisr
G O; <gle „ üiiqmni hem
. NÉW T ÜRK PUtìLKC LIBRA
< >
rÇiiIpue ntt Im.t lui «»iHütra m
dont tllei ¿ri privée puqu’d présent; qu'on d "empêchera pas la libre ititaiMitiAa,clqa’il ne sera,faitaucune djUjjitctkH* entre ceux qui toni situes seulenren sur la rive ^udbe duRhin et ce me qtii »ont ainsi sur La riVc (traite, ainsi qu'e^ïie ctu* qui no al pal Je voix à la dicte de I Empire ; ereeux qui y siègent et y votent, et que la noblesse minicdisie lire, indcminsie de tes droiii féodaux supprimcs-
5U- Q“ d l’égard der éiaHitserrieni ecclésiastique/, it trra déterminé n l’on y comprendra fiMjk hes pis rt-rf/art , comnit on le croît ici, . ■ ’ .
Généralement l'Autriche doit proposer iiéniîvtrùerïi de -représenter tout cela, et ce que L· dépnilliCHt jugera ¡bp ru* put d'y ajenurt, au* minwtr» fraujaix, avec des expreir tïona am,calcs, malt en mémc-iEuit énttgiquef , pour qms le gouvernement français se détemuue 1 se desiittr de ,e^ durer demander. Oh a lieu de s’y auertdre , d autant pl;iq que« dans leuc dernière note, lei ministres fraaçais eut- rtêmti cirent h politique t>>* niais an le de leur gouvernement^ ton respect pour l'humanité , et son désir liucere d'accès lcret la paix.
La dé pu mien a trop 4e COflfiance en ce lie dernière df- durition-, ainsi que dans les précêdentti , pour qu’elle puitre do b ter d e leur «»kiuûon. . ,
Les plénipotentiaires fiançais viennent- de t’expfi< quer oKcicliumcni contre certains émigrés f»nçai>, · 2ni te trouvent an congrès revêtus d’un caractère iplomafique. On prétend qu’ils ont principalement tu vue un Français qui est ici chargé des intérêts de Pordre de Malte, et les députés du cardinal de Rohan, qui, tout émigré qu'il e*l«i'eit cru en droit de se Lire représenter an congrès pour la partie dd ion ci-devant évêché de Strasbourg, qui est.sur la rive droite du Rhin, et à raison de laquelle il n’a pas cessé jusqu’ici d'être Etat de l’Empire,
Prusse. De Berlin + le 6 meaidor.
Le roi est arrivé, ie s , à B reniais, où Ton atte ad Te prince héréditaire d Orange,
Le cit, Steyes est arrivé ici le aS prairial au soir, 11 est jbCcompagTié dcL citoyens Otto et Sabatier t en qualité dç secrétaires de légation,
La grande lé.pH^ùon· de ce saufeL aoab*ts»d«ur
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G(x «gle
OritjIrrB “ram
NtWÏÜftK fUBtl-C LltElAF
ÎTiftÇaij excite «ne cnriotité générale. Tant Je mande -veut voir cet Liornruc * dont la présence donne lien À tant de conjectures , et occupe avec tant d'aetiwtf l'imajjinaûoii deapolitiques. Il ne p¡.trait nasse prÉr« ‘ vcïlonticTi au deîtr que Ton témoigne de le voit« il évite,, au contraire, avec le plut grand »oin, îei rc- gards du pub de,On attend avec impatience le résultat de la négociation qu'il est, dit-qn, chargé d'entamer*
Italie. 1>î G inet, le 14 mMridtf,
Le cil. Esüevillé, co c s u!*g tuerai de Ja République Fna- çaue, vient d'écrire i notre ministre de* relation* extérieure*, pour le prévenir que l'intention düDïréetairl de F. ante étant de maintenir la paix en Italie, la guerre cornraencée entre . ]i République Ligurienne et fc rai de Piémont devait finir : M etmiqaetl.ee, la COtir Je Turin retirer· *rj troupe* ¿u ler- . ri toire ligutitu, et le Dir^cioite ^éud. de tclui.de Pic mont, ' De Florence, le t,f. Ktaidor. ,Ou sait .âujourd hui que l'objet de Maufredini 1 Vienne ■ été de concerter les moyens néetiHÎrti pour garantir la Toscane, jusqu'i ce que la coalition soit eu état d'agir. . ' .
Espaonju £)# jMudrid, fr 3 mttüijr, .
Le prince de la Paix en depuis qoeïqtie* jour* i Madrid. Jamais dam Iti^tcmi île'*· plu* grande faveur, on ne vit autant de monde l'tmprttter 1 lui faire la caor 1 ce quiLit un contrarie remarquable avec l'iaoletneot daus lequel si vivait à Aranju». D'après un ordre particulier de l· cour, il reçoit 1er houaeuri de capitaine-'rentrai , c'est-i-dire les hictuci qu'on rend au rü et à la famille royale. *t il jouit, du droit d'avoir à ra voiture, en ville et au* promenade 1, Je mime nombre de cheyvtux que LL. MM,-Ttiui Un signe* de puissance et de -grandeur qui î’çnvifDiiDenc en-cote , et qii? Il cour prend soin de'lui timse-rier , ulannonceiat pas Un homme tombé dans nue disgrâce s mitre.
Son excellence, iWuï lui que les décrets bureaux furent annoncé* , écrivit an animtre Su^cdn, qu'il abandonnait pour sa part tous se* appointe men* , tant que durerait U présente guene. ne se rinemui un qu.tm.ciit que èeOk de capttaiur-général et la pension de 11 Femme, Cette ctssiott tn an tuoizt* à 500,000 r cause, vilain tïi.ooo Fr. Lu outre, il donne M vaisselle qui y*t COtliidérabk. On ne serait pi* rtouné qui! lit encore beaucoup d'autre* iicri6cétP si le» / besoins de i’E:a: dey-enaic-tu. plu* urg«n*. . ■
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r" AKtfLïTKlUt Di Londrti y ft (J tfaJi-Jör.
|y L« commíndaas dí* troupes nieditiiect depuis fou
, tut nuque contre b ville de Wexford et les- positions
' mpsient Ici insurgen? fidrtni. Cette maque
tu d'avoir lieutaprè* qu’tjp hüt luitrr'iblt iitr ce point. t
le· Í urce s Tôyiiti dact ou pouvait di ¡poseí saus in ton vente dt»ï
Cerite général an rhef Lake qui conunlndait ccttc expedition.
Voici Ce que connenneut de pili* marquant le? journauÿ
ihn Sais dèi 1-0, 11 Ci J t :
Wrxfûrd ■ etc évacue volontairement. Le camp dr Vine«
Jlf'lii 11 ,' dam ba bulle níraSú, et rcveiulll j la charge, a
saisi j le part d'crtilierie royale ] $0 pieces de cation. Lei It’
landih-Uti l, persuadai que les croisières de la fierté anglaise
pci«Tiic.iit long-te ms eticare iuieccepter le* aecour* qu’iis aticudíicui
i oni tesóla de ie letter ed Forer dans le comté dje
■CoA, pDÎüte de Biest, han d< canil, et d’en autre côté,
ém Il bile de Galloway , pointe américaine. L'îll d'Angîe.
Sty [íisie célèbre de Mm), a refalé de pitadre ]h nri&M
roui te les Irhndai**Uriii·
ïb ¿tient iodigbéi de voir stir La liste des milice* royales ;
telle de Kerry t ili comptaient iftitieoient sur elle. Cette
liitrente milice ne Lei * point trahi* : le régiuieirt s'est détindé
; mais la gouvertieäiem l'éM bàtu de former un régi. .
went d'drdftgrmeti, auquel il a donné le-nom de milice d*
Hen y : la véritable ntilicé de c· cOtuxé ait dévouée toute en.
¿etc 1 l’année d'Union.
Le* signaux de nuit »mit tellement organ iris, <t le secret
dele Trtmion , pour Le coup de maint ici le ment gtrdé, que
Siflhomnici dans un seul village ont disparu à-ta-fo^, ce
*o«t rentrés de mime, sans qu'on ait pu découvrir où il*
- avaient passé la jouit. ‘
Le gouvernement b rltau trique paraît encor* *i ¿ponvaaté
- fri Teste* de ces lilautfàit qu'il a vaincu* . duperies «tiués par'
nullicrt, qu'jil vient dt mettre ea requinition J s grand? c lia ri ou
■ ChdnisTord, pour tritisportet à la hîie le Royal-Buckin*
(bun, le ri [rini cm même du roi- Il a mil également en rt*.
quiiiticin S3 grand* chariots, pour t rampe Un en pouc Je ré*
purent de Wsrwick- Esl»ce li ua a»«« btl avvn de ie^men-
Mrngt* ËiÆciel», ; , ■ ,
Mail comment a*t-i1 pu laitier imprimer A Loudre» la
bure de te matelot de Splihwd? :
tyrtinrf, le 6 ntrttiifor. k Noua sommes arrivés hier'de
Wt^TFord» et it y fait bien chaud : c'en icî tout comme £
laferdage ave* le» frairviu > «‘est une bordée et nu feu rsu-
Teme XXX F. * .A·
Gck jgle Q àl Iran
MB UC U
il
É · r '
( Syô |
Lut qui i Ut Hcukr poire tjiinn un rude .irai«; il* »ont ULLSli «erré» tt luiii nombreux que de» tu On Ligne! de gaaon. Il· étaient biqtj 1.00,000 sur Wlue^ir-Hjil, plu* de 5o,oi«ù ’ éur une autre monwgTie ( et près di ¡0,000 sous le fort de 4 lïànéïiiou, qu'il· u’om pi» pu prendre A «uae de» pont*’· levi» qui tUttt levés. Non» y Tnthlcn» , daril deü* vùiiicautr, il do hottames de troupe» de Guernejtjt, et beaucoup «l'autre» encore dan» d'jutre». Il» s'appellent entre eux Jfluif^air-lZrnr, et il· »ont gens A devenir plus fort» qàr août.
>1 Je ne pLiii pas aller à terre ; fît il je pirlais A un Ir- ' landaii, nûiit capitaine dirait que je ivïj ua ktt, cor il nous appelle d es voleur»·· ■*. ■ J <
Du 10, Le» iTlandiîi-UuL» »ont bien loin d'être vaincu» - ( ils in en? « ut la capitale: le* barrière· en sont fermée* : on · Îr arrête. 1« rui^rcfr, to.OOo habitans de Dublin ohl pris Il, ■ iiite. On présutue qu’il»>out déjà réuni» aiix Rtpubliciîf» jêndomptet.' .
Une in »arrêt dort înittendue vient d'éclater dan» le comté 1 de Derry,. Le gouvernement l’avoue. — Le» rebelle» qnt pris pcu»e»riott de Gorey, de Cartow et de Kilkenoy. Il» ( ont lut retrait* sur Briy pcuT attaquer Dublin- II» oui bautu lé^erdtnenL la milice de Wertmeath, qui t1 opposait ■ leur . passage. Ils ont pris une forte position sur la montagne de Gowrm, où il» ont été renforcé· par un corps lrès-cou|i- dcfable de fermier» Ju «Onsié de Kilktopy, loi» bien monté·· Gûwrin e ai A huit-mi Ile» de Kilkenvy e.i A treme-de^i milju de Dublin. — Le bruit court que ces révolté« tout , de pou veau Les nuitres de Wuxford. ' . t
Op dit que M, Piti pu ibatidonné Je» médecin«.. Non» r»e ’ pouvons garantir ce l’ail; mais il est certain que »On état .' irè»-aiarnilot. Son indiiposi !tou spasmodique est actuelle- ' ment iulermiucntc· — Ce ministre a profité d'un de ie» bonis « 'BLitnetn polir avoir avec S. M. une longue eocférenc#, A la- ' . quelle te »ont iremvéi-M. Adimgto'n , le Lord chancelier Le j :co«nte Spencer; le comte Camden , le lord Crenville, air
VV. Ho*re, *îr Jn&e» Marrult et kir C- Morgan· .
i-+— Miitviiwon de-quelque» Irlandrie-Unit, A leur· voisins - Jm £couai»\ convuetice i circuler ei A ttveiller d:aiis le» SCHUC» d«' uiémerableri-Mitciiirt. Déja-det corps eniîtrs-d'E- , toisai» ont reluit 4e fosüler de» Irlaudais-Un.·». Opprimés l Wnt»« -eu*, et: comme ryx »ans arme», il» attendrit un montent propice. — ioo botnwtes dit régimrsii de Sutliérljtnd ■ oax refusé ,ds marcher contre U» Iriwidais. Pn n'a trouvé daç,» ie corps du.Gqrdpn ,. composé de ioo »o|d*l>, «jut: $8 hopwes.qui aiaat c(UM4uji-â.obéira L^teiU a le nu ferme.
i· Go< >gle
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X È» U e L I Q.U K » « A H Ç Al S fc
■ ■ .. a a J . *
CORPS LîûIÎLàTIÏ.
J ■
tiatiett dei àitix Cenati:, rfu rï jî’&S mfftml·.
r ...
Le cì(. LaUgiès^ constrvalcur dei manuscrit* oritnïjni
à 11 bibliothèque nation?le , Tait hommage '»
k 16, an conseil des Cinq.çeots, des premiers vo~
biffiti de sa Itaductio· de divers voyages écrits ea
' hogee orientale, — Mtotion honmlbre ce renvoi i
Ii,)tübliatheqn.o du Gcups législatif.
^ûns (de Verdun ) rappelle qùe déjà pluiïctm fois
Ærers orateurs se soft plaints de ce que T tandis qtó
4i¡torre de nos armées inondait Turi vers, nnlrtibnuttièar
n'«(testait en Frante quels furenr les haute
Ails de n<5s inaiar iblea atmée». U· usage constant
tktt tous les peuples » ¿té de perpétuer, par dw
iMntitnens publies, te souvenir des époque* glu”
nrmerde leur hisi&trt.
Honneur donc à l'artietc qui ft»t uceupè des
ffidfcns d'eb élever «n qui réponde à !» grandeur de
»a objet, tant lürchaigeJt ie tré sot public. Le cil.
Pûpta con^B uo phn t ce sujet, H propoie d'éleVet,
lisi frais, sur la partie du Pont-Neuf où était lâ
4tMbe d'Henri IV r tint tolbrtne caldai a le qdîSètn-
WtFait sortit dei eaux, et s'élèverait à tSS ÿriedk ~~
St bàie serait de 43. piedi de di4mette t if étage*
se mmv.Maitnt daua stf hantent > le chapiteau serait
WrtOutê de Statues coi 01 sale 1 ; ôn pourrait y établit
'tt otarvMuite, toit pour l'nirenetBt«, soit pour
fci expérience* sut la pesehteur de l'air» etc. Dasii
II·1 pourtour d« ls bise seraient detc^laeineB qüi
épileraient les printipitix npleits de chacune dis
ibi ¡tfftéct. ' ■ - ■ ■ 1 r
Ütt artiste démiudit» pour prix de ce tnonumettr,
La gloire d'avoir concouru à perpétue rie lUÜVê*
exploits d* tipi «’· U <omc**i«rr du
■ ■ ' ' Ail
KfUtOM ¿J0UC UfiRAKï
I r
tefreîn pendant 3o an$; 3°. etiSni Ta faculté deptÿ-f $ lever«« (trait d’enftée pendant ce teins, sur les ci*
loyens qui voudront en visiter Içs contours élevés.
La cohiinitiion chargée d'examiner ie projet, a cru qu'il était du devoir du Corps Jégulatif d’adopter Mir ic-chàmtp un,projet si favorable pour U gloire de ' nos armées, ii bien assorti avec Vintérlt du trésor puhtjoc.ee ti propre à encourager.les arts. En conaê- quetice elle proposé, par J’organe de son rappor- , leur, d'accorder au cit. Poyet,.pendant 5o ïdi, le terrein qu’il demande, à la charge par lui d'y érigoc le mûnumeBt proposé, sous la surveillance du Di^ icctoire. — On réclame l’impreiiion et l'ajourner».
Le président consulte le eu tu cil, prononce l urgence, met le projet aux voix, et déclare qu’il eit adopté- 1 Areas t Je viens demandes le rapport d'une résolution prise sans nulle discussion, Sans doute il est dans tons nos coeurs de consacrer, par des manuàrenn z pub Uct, La gloire de nûs armées; mais n'avet-Voü* £ai à examiner s’il convient de charger un parti titrer d’ériger un minumcnt à la gloire de nos armét*s^ . L'artiste qui vous offre ses services demande à être autorisé à prélever un droit d'entrée pour ceux qui voudront voir ce monument. ",
Si'cette condition était adrpijt, on verrait un vatn-r queur d’Arcole, «'ayant d’autrça richesses que sea bleamtci, nç pouvoir visiter les colonnes qui altti- teraicot scs exploits. .
. Le;£çm;*il rapporte la féiolütion ptécédimment prise, et fit ajourner h difcusûnn jusqu'après l'im-, pression du projet et du rapport. ,
L'ordre du jour appelle .un rapport de la commis., -itoudes : finance s, sur 1rs moyens de pourvoir aux' dépende» locales des grandes coptra un es. Après avoir examiné Ut diverses lois qui ont été1 rendu et sur cc^ objet depuis la révolution, le rapporteur termine p»r un. très-long projet., dont le.conseil n’entend pat La lecture, et qui a pour objet de refondre en une seule, loi toutes celles existantes sut les dépenses etîflfc· ce etc i des communes. . . I * . t
Patau les moyens indiqué» pour 1« dépenses dqa
, £ . A ' -
f

' / |3/3 )
{études coninrunes, le rappotteur propose d’éublir un léger droit d etnrce tur certains objet» de top- sommation, et dont U perception serait dégagée de tonte» le» cotflfti qui b rendaient ri odr<u4e s Ou» l'ancien, régime-—Impression et ijcrurnenveR». : ’
La diiC’jssicn »’est ouverte, le ij, mr le rtKode' d* remplscemenr des 5 juge» du tribunal de cassiatiruu devenus représentons ds peuple, ou de tenis autres * dont Je* fonctions viandrrôjst i vaquer p» mort,' démission ou destitution, '
' Berlier fa. le premier I* parole. En adoptant,quel-1 que »-un» de» principe i émis par Jtouhy {de h Meur- the J, et dont nom avorte «adu compte dam leietHk, il cotebil b plupart des ccjiséqucncei qu'il"en a -tirées. Il est de» jugel » dît il, qui root »cutis , et qui avaient été nom met par le Directoire, en vertu de» •4- *7 et a8 de la loi du 14 fructidor dernier. Je Vaudra il que, quant à ceuxli, le droit fat bii» an Directoire de lés remplacer; Mijspour ceux qui dpi- Ÿtqt leur nomination au suffrage du peuple,, je pense qui il est convenable de les choisir parmi leurs suppléant, »'ils en ont, ou parmi ceux des -autres dépaf- temens, dans forden du tableau. L'ûrareur termine

an discours par un projet de résolution tn b>it ar- ticfrs, dont Le conseil ordonne Tuvpretlion. - - Scherlock qui parle ensuite, voie pour les trois projets présentés par Gétiissieux. Il ta, soumet ’au conseil un quatrième., qui a pour objet particulier, on juge. des Basses-Pyrénées, dont b nomination « .¿té an nul lé c parla Ici du »a floréal dernier.
-, A l’égard de cette nomination-et de celles qui, 1 Ed venir, épiouveiaictit uu pareil sort, comme le dh>'1 constitutionnel de l'aMcmblé« électorale n’a S lut été consommé, il veut qu'il le toit par l'assem-
:e électorale prochaine 4 de sorte que l'attribution donnée au Directoire en pareil cas, ne. s’étcpidrùx fàt-plu» loin qu'à cette époque. Les font lions de ce jU(je provisoire , et celle» de-celui qui lui succédera atni, cesseraient à l'époque on auraient cessé telles di> premier nommé , si sa pcunîniition eut éténuicu ■ .tasit. Dans tony les cas, le Directoire serait reau de
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paMfrt des euoycm qmi bnt «Btpli de* îortC- tions judiciaires i la ne mina Lion du peupla.

JtBprcsduti du discours.
i Du placier Appuie le projet de la. deîfiiere corn- million« (Ou te rappelle qu'il y en a eu. deux.). 11 pénst qu'en ne peut ie dispenser de l'adopter, gâtai Ytoler II t b a rte comtitutionnellE t qui attribüe iu peuple le choix de Iqt juges : seulceiq^t il vital ^Ulx lie a de suivie drei h nomtantida des sup* pléans l’ordre alphabétique;, comme la {Xieniroastosl ld propose, cii *'é> eappnrtr à. la voie d usent.

Bezard uon-icUlcitent ne «eut point i’oedne alpha« Jtédq’rc des suppléa»), mais il n'cn vaut peint es jean phfg meut des jugea dont il **g’f * i®t il ne le Veut point par or die alyhahitiqne, patte que, Stjlùù lui, un pareil appel deviendrait jjne véritable otami« tritiox de 11 pitt dû Goips législatif; cuit« îtip- plé.ijpi étant déjà ccituin , déclarer que Ford ta alpha- Léâquç çonimeucera pur telle ou telle lettre, c’eti alite que tel ou tel an p-p liant au ru la préférence. a". 11 ne veut pas do h voit du fort, parce qtjexW fawp dlqÿÀratLrc la différtnci* que la coiuiitutios a mita entre Les suppléait! du tri bu ml de caiiMiou et ict suppléa ns des tribunaux ordinaires, Il trouve d'ail* leurs ce mode de soroi nation contraire à l’art. sbo d· H çomticution , et à la loi du 14 messidor an iV,'
. Quel sera donc le mode de rcEOplacetaesi 1 ? Aurun^ dit ï‘orateur. H seulement de bhter les pi·on vacante*, et je n’y vois aucun inconvénient, L;ë Coipi législatif en bien resté incomplet. Or, quand il p à tirait pendant quelques mois, deux ou tfQ.is rném- hrcs de moins dans une section du tribun»1 de «ssa* tiou, il n’y > rien b dedans qui fasse péricliter b chose publique ; les operati uns n'en seTOut pas moine buanes. Je de mande b question préalable mi tous ici projets. . - -
. Bouby (de laMcntthe), rapporteur de le seroudc tonntiissiou, résume tout ce qu'il a dit dans son rap> Eort, répond aux objections de ceux qui ont corn.- 3UU son projet,pour lequel il demande b priorité.
Un de ri su de que Berlier et b rapporteur lisent
Got glé
□riglral Hnm
NEW YORK PL RL IC LlBRA
·, l’ài rt l'autre leurs projetj, — Le" pré ji d tntmet au« '
vôix la priorité pour L\uh oü pouf l'iu ire projet.
Deux épreuves dnuttuset forcent d'en venir à i'ap- ■
péï nominal.
'Lecointrt’Puyravaux. par motion d'ordre , daniîla
liante du tî t la viens fixer vos reganfs xiirce, -qui se
pàssé autour dé tous; L’Angleterre- trame Cric »te de
■ pquveau^ forfaits; leun agent p-c 1« tachent plu*·
Dhtis les lieLtx publies, le ttûra de ciloytn est avili ;
erquand il est proféré, rfnt toujours avec la ptui
cruelle ironie : des patriotes mêmes sont Hhtt Faibles ■
pour craindre d'end ployer ce nom honorable dfcvïirf'
certaine· gens, et se servent devant tlJes du nsetde
Wfliim, si-délectable aux oreilles des pervers roy«**-
I HÿiCf, La cocarde nationale est imperceptible; elle
est si petite, qu1! peine on l'appelait; et, de peur
, qu'elle ne bletje les yeux de ses ennemi», elle est'
encore couverte par im large ruban, qui achève, de■
li faire disparaître. Malheureux, votre espoir sera
*çtH Maisde quoi me plaignais-je ? Votre aïectaj
Irfvn, lâches conspirateurs, est pour nous, un aVcr-*
Ûr^nrrnt saints ire da tic us tenir sur nos garde*. Nô us
(ftyttas dont nous réjouir que vous vo ns dété fiez '
Ttfrif-raimcii et quelqu'effon que vous fassiei rttïgne
n'en reittri pas moi ni celui de l’hcmnenr na-J
lional. Autre lois, et dan* des terni mains henreux ,
on entendait jes hymnes à la liberté, aujourd'hui 1rs
chants patriotiques sont relégué* dans les orthetttes
plus obscurs théine», et les artistes souvent en
fïrhtten tendre le* ions d'une telle maniéré, qu'il
. m’est pas difficile de deviner que c’est 1 legret qu’il·
létfcnt e a rendre. L'étranger vient dans cette com,
^àüne pour admirer l’attitude fiers et la physionomie
^dïpasante de h grande nation, réfléchie sur le visag»
Itjéiï citoyens qui l'habitent. Il esttoUt étonné de ne
rtrntoairer que des rusjenïb terriens, de ne voir qüe ■
signe* de ralliement, et de n'envisager que de*'
énjigrës, des agens du cabinet de Sainvjsfïi es T er de*
Ctaspirareurs. Dan» les conversations ; an lieu de-1
-»‘totietenir et d’admirer le courage de nommées et
L i&teur* chef» > on se fait un plaisir malin de te nier,
' , Aa4 .
Jigil Got gk Olqlnnl tram
NEW YDP.K PlJHL t 1 IBMFV
. - < 576 )
cm de le révnqueT en doute. On «e voît p1n»\ à Ix
vérité . tes écusson* sur le* vûiturti ëk junte; qui
^clabousient l’humble pict/m , mai* ce* ¿Cm sort*
n’ont ps* pour tels totalement dupatu*. On ks re- .
trouve sur les boetes. turks bague», aux doigts ou
> dans là pcchç de» mrJikurj, L'étranger scandai hé do
ce qu'il a ru, s'en retourne en t’écriant :Uan*mon
pays. oo est plus patriote qtTici. .
Lecointrc-Puyravaux terrnioe^par demander qu’il
VQtt fait, séance tenante , un message au Directoire
^our lui d(mander si le* moyen» brdinaire* de police
qu’il a. entre les main* sont iufHjati» pour at- .
' teindre Içs émigrés et tou* Je*' ennemi* de l’ordre et'
de h chose publique-qui tant taché* dam Part*. .
. Adopté à funanirnité.
Briot Ç du Doubs J t J applaudi* aux mesure* qui
vdu* sont présentée* par mon collègue Fuyravatr*.
Ma.h je pcn*ç que son succès dépçiïd de la célérité
de l'exécution. En conséquent, je proposé, t°- qné -
le Directoire soit invité à répondre sur-le-champ »
qu’il soit fait un message à no* collègues dea,
Anciens pour ks engigcr à ne pas lever leur sèaucc .
s^n» que nous leur ayons donpé communication du
raçii^gC du, Directoire. Je demande en autre qu’il.
* OU nommé à linstarit une commission de cinq rqem*
pour présenter aussi dàti* cette tuante de* disposition
| pénales contre ceux qui recèlent dcs éoeigre* ,,
celle* du if 5 brumaire itapj histi lisantes.
Ces propositions sont adoptée* , et Jjt cotumiisiou
formée à l’instaot, est composée des cit. Lecoititre-
- Puyravaux , Priât. Chabcrt, Qaijct et Porte.
Chaberi dénonce un chef de brigade de l’infanterie
légère qui, en défendant un as saisi n traduit, devant
une comstniqn militaire , avait dit que *i le
prévenu périssait, ü se ferait üneuïnte insurrection
des honnêtes gçui contre le* canniôaks. Le conseil
Qe.prend point de parti sur cette dénonciation.,
A cinq heures et demie le ramage du Directoire ■
çsi arilvé, Lt manque d'espace nous empêche dp
fe donner. Nous dirons seulement qu’apré* si kc*
turc i U canunissjou de» cinq a présenté le projet <k.
I .
'Gck igle
■ . P5”!
féiolntiirti itùv*qte : Art. 1CT. Le Directoire at risé à ordonner pendant tin mois des visitas domiciliaires, aux termes de l'art. CCCLlX;de la ccnniti- iïon , pour arrêter les ageusdc l'Angleterre, k* émigré* , les prêtre* déportés rentrés ,,,ou sujets à ta déportation, kft égorçcun, chefs dcchouin* ou b ri- giï*d· qui n'ont pu déposé les arme· , ou qui le* ont reprisée après l'amnistie. Art. II. Le Directoire rendra compte, dans une décade, au Corps kgtfia- . lif, de l'exécution de la loi sur les passe ports , de celle relative aux émigrés, aux ptêtres déportés, et à' ceur qui Le* recèlent, ainsi que de i'exécution de la loi du rg fructidor. — Cette résolution,.adoptée par forme d'urgence et à Punaniinilé, a été aur-le- cl·amp adressée aux Ancien*. . , . .
, Bonnier ( du Cher), organe des commission· dç(. ■ institutions républicaines et de 1 ¡pstruction pu*, blique, fait un rapport Sur 1a célébration du décadi et de* fêtes naùoualts. Le but de son projet est de - détruire enfin cette espece de despotisme que le calendrier grégorien semble s’être arrogé sur le calendrier républicain, et de faire observer exactement lesiûlemnÎLc» du. décadi et dei fête*. Le rapport en r observé que les fêtes doivent être attrayante*, ai ¡’ou. Veut que ki Citoyens s’y rendent avec empressement.. Impression et ajournement. . ·
, Jacquemiuot a fait, ksi, un rapport relatif au régime hypothécaire. Deux principes font , dit-il, la basé du régime.adopté par la commission lia publicité des hypotheques et leur spécialité. Cette publicité , que Ici lois d'Athenes et de Rome avaient éta* hlies, et qui. est admise dans Ici neuf dé parle mens” réunis et dans tPVte l'Allemagne, y a ccniiamment produit le* plut lie ù ceux effets , sans le moindre abui, tiens le plus léger înconvénienp Celui-li seul peut tepoutter cette pensée, qui, accablé de dettes, ose encore abuser de la confiance et de l'amitié. Quant à ceux que le malheur a atteint, s’ils sont probe*, la publicité ne Leur nuira point, parce que les regis* ttes publie* ne diront que ce qu'ils eussent dit eux- tpètnes. S'il* empruntent, ils n’offriront pat en gage
Go tgk
□r tirvil rtz-i
NEW ÏC-RK. PUBLIC LfHRAR
dW ftanreubl'ei déjà grevé*, mat» lé^t1 idyatité „ leur
industrie'et leur amour du travail· . - '
La spécialité est seulement J obügitï'oTi JO* partiel
contractâmes dt déiîgnCT les immeubles qui doi-!
vent être affinités par-^’hypothèque; Celte règle est1
utfle ru crêanéier et au débiteur, ¡1 îrti^orte s celui-«
c? de n*alfrc»t âfuji droit* de suit cfc&pcier qu’au- *
■ tatit de bien* du'iî fui eu faut poni garantît sa triant
ce, et i'ihtérêt rieî du tri ari ci ér Itt?- njérne n’en
exige Jpa* davablagr. Ainsi l’hypotheque générait'
dhViédt lartr bbjiçt tt niitoe trénantV, en « qu’elle '
astûjèHÎt· ht ttéiçrcret à une surveillât·.et trop éttrt-
¿■■ne, et le mttdartx'la iléctsjiîié d’à provoquer, pour
«*te senle dettc, la vente de Fiinrvrriilité'diès Si’eiff
d’un débiteur r de-là-ïes opposrtiuns ,‘fiis direcrifini,
Jé*lettreJtréï, Lét apporteur donne cniOîtc lecture,
de ion prtjjè£ ItifpTrisiOn et ajou'rtieandnt, " -
Un membre, an non! d’une commission , piiridtit,
lé tt, un projet’•dè réiohiftdu tendant à foire cesser*
1er difficultés qui «ri sontélevêès (fans jjlvisie u rs dépVftrmens,
ruf«l’exécution de ta loi refothri'au droit
de taxe dcTé titre tira des routes, 'Pïr « projet T lé
Directoire est aulorisg it dé terminet, suivant le* Joctefitéà
,'lë ncnnbrè ét'h positimr.^m baniorei, et i
faire mus le* régiemms concernant la régie et Lé
nombre des employés,' " -
■ ® dit aventure dit que le produit des barrières -est
«muu dan* le Belgique, « qu il four fafftrrmer sur-·
le*cfrirftp , pour l’employer à i*entretien des route»’
qui sont dàrit le plns mauvais étatpoisible*
■ Génitaux dèm^nde qu’on fixe un délai pour fo' ■
dite en ferme éferbirtrirei.—Le rapporteur répond1
que ce délai ne pourrait être le même pour tous le*'
départe™ns, — Le projet cit adapté*
lit. conseil tfé*s-Atïtlèu* »’est odeupé, ïé 16., de la
TÉfolmion idditiormeHe aux loi* sur les donlaioei
ôotrgéabfosj La di seuls ton s’est ouverte, et le coule
il, après avoir entendu plusieurs orateurs, ns t’étant'
pa i trouvé suffis ara ment éclairé, a renvoyé à h corsmfMtoû
pour lui foire un nouveau rapport,
- Licotte, dans la risnce «du Ü*Lftïdialyse de
Go >gle
(
ton wppem «ut ks à ferme, à vie, ou à i«eguei années, pendant la dépréciation chi papier-m annate#
La réioküoh» éic adoptée.
Marbot.au nona d'une commttrion,propose, 1« tôt le itìjet de 1* réidlpiion du 19 prairiaL, qui Eté ie* pptiaioat et »aaourt qui serpai accordes aux veuvw< et cniam des milita ire 4 de toute * arm cl et> de tout gràdei. Le motif du rejet clique h téKiluiiOn/n’eSt . pas coiUmuoc à l'armée de mtr, qu'elle congedi jjcft 1 drtpeitiasi ton tra ditto irm , et que ¿'aprii elio il > faudia user de lenteur, .et (lire de* ¿¿pcB3-e* pour ; obtenir le. paiement, de ces itcopri <t pernior*.... ’ -. Snvwÿ dodue entuite lecture d'une apHiwo quo
yérè», qni çst malade, a flit paner à la »mmiiiklsk Ç-ciiM prouver que h rétolutiou ne l'applique paiatM ’ ma^in*; üi»prci ici <utuik»kc*ûSeil rcjetJc U JW 1 intion. ■ ■·. ■ .1 .1· -= . . · · <■ · .»
- Huguet uu aur des citoyen» Laagudbers fremi«
■if pneoçore, tue d< l* Harpe«*?. lit, fait bomjnfgft iu. cenemi dito ouvrage ayant pour titre : Atad/i 4m -ftfrtu ti det trattfi de patii de k irance pendaiH jti tbgnH de LouiiXlV, Louk XV et Lowi XVI * dtpiM Wpiix de Weitphjüo en 1^43. jusqu'à celle de Wsr- en 17(3 , pur UenoyM* AaqucùJ « menbtâ^A l-éitnitwi naiiomi. ■ .
Le con «cil approuve le même jour,à hwitlieulfl du MW t la téiolution relativa aux visiuidstnicitkite**. i ,;.,Laiixei, ergane d'une curialissimi 4 a propoli, fw aqh d apprtjtrvei h Kiolutiondu 14 patirti, üeiyaot ¿c* mtc’à «lies tur ks ir«rtartiorw entre pMtrculiefl : fondant le cours.du papier monuatc. loep. cl Ajoqiu.
’ Barreau.fait, le ti, au rapport tur la r«MlmÌDU dv
jlt' mcitidof, cgtnpléïive de força ni iati or» des court ■Û rts airs* Il eu propose le rejet, lmp. *t Ajuwfi. ■ , Leosir-k-Koche kit ensuite un rapport «ur h léiOr 'àtition du iBflotéal, put tint que ]<i c nia ns yn> boro i de mariage, dom imponi suor mon» depuis la pur ■ ‘ .àJicWQp de h loi du it btunairE auii, et ceux dèiu k· ocres mourruat, jusqu'à.k publication do uodp will, ne iw «nui de prouver-kur po*ac»Î4ft d'état qés darti sdu marnerei déterminé «par fari. Vili de
{. lOl ¿S'1-
ai Hi ili. “
NFWÎQRK PlJfil IC UH R AH
V
I
■ . - ( H* )
’ ladite loi. Il fait en même temjïa mpprwraut «telle ' t -du même jour , relative eux jugetncm sur le genre· de preuve de possejaioni d’état que. kl enfans aés hors-du mariage doivent rapporter- ''
. : Le rappmt&ut ma lyse juccesaivemeUt cbaquç réfifr-
lut ion. Selon lui, si k coBieil adopte 1* première ré' loliitionvil rend les enfane nés hors <k mariage victimes d’une omission qui est du fait du législateur et ueu du leur. Si on la Tejctte, on anéantit vitrât mille jbgemeni que kl tribun «ms ont rdtidus, on donne un effet rétroactif-aux loii, on arrÊLe* le cours de la justice. Si oji veut réunir ks fieux révolutions en „ unie Muk loi , fondée sur le besoin d'une loi générale , un confond deux objets différons- Si on adopte k résolution, o* donne un-grand exemple d?aiiaciic- ment aux lois tamtêtutéonneikt ; On upuûince que désormais k peuple français peut compter tuf itm stabilité. La ccTumiision a cru devoir ipioposer t'a- dcptkn de iaprttbi'eré résolution, «11« se rèeeryc d· parlât encore Wï kitcotnk. lmp» et gj cornera eut.
Un membre dénonce, dans la séance dit iJ dit conseil de» Cinq-cents,- un abus relatif àlatrop grande nmkipliçité des hôpitaux milïtaires. H observe que dam plusieurs coipnmoM ces hôpitaux août devenu» absolument inutiles r et que les préposés n’en reci Ve ni pas moim des idaircl •cooodérabks ; qu il t evttems de tôt tire ffn à tes dilapidations; L’otawar demande qu’il soit fait un message au Directoire * pour l’Inviter-à prendre dei mesures elffcaces, pour retraite h et cet abus. Adopté à ¡'unanimité. ** (
■ -Lecointrc-FuyiavOtix a fait k même jour le rap- Î'Ort turks dépenses du Directe!rc pendant l’an Vil.
[ les range dans'quatre classes ; dépenses per J on-, nelks, 75a ib. fr. s dé psni.es de kgemcriti. 8-So m". fr,^ dépenses du secrétariat ; 3i5 mille fr/j et dépenses
- serre tles , Son mille .fr, De plus, l'achèvement du pal ans directorial néceuitc-une dépense du· million 15« mille franc·. PnyravaVK propote un projet résolution qui est adopté. * ■ .- j 1 ,
L’ordre du jour appeihnt la diicusstOndu projet concernant le rempLacement des membres du tribu-
■ » , - s ' V
Gch gle
> f 38ï 1 nal de catsatïonl'*Boubi ^de la Meutthe ), rapporteur de la cùnjFniaJLon , a !» parole ; Dan» la derniere- di*cu*sion, dit-îl, le conseil a paru daccûrd *ur 1* principe qui c cuisinait à faire remplir ici place· vit tante* au tribunal es cassation par leurs juppléans * et s'.l n y ta avait pas, par les suppléons des autres juges. Tonte h ditficuliê a consisté à savoir dan* quel ordre les suppléant seraient pris. Seiait-cé dans Tordre alphabétique des tlépirtçmens? serait-ce par ordre d'ancienneté ¿.’âge ? scrait-et paï ordre d'aiï- - cîenneté de nomination ? Quelque too.de que vous sdopcieide ceux dont je parle, il importera peu aüat aux yeux de la constitution; ce sera donc parde» vues politiques que vous autet à vous déterminer, Ce sont des idées de cette nature qui ont déterminé votre cammiision à vous proposer de lu prendre en Gens iovejse de l'ancienneté de leur nomination ; c'est-à-dire de commencer par Les no minait ont de l'an VI. et de Unir par celle dé Van IV. — 11 s'éleva .de* murmures,— Le rapporteur interrompu un inj* i tant, propose le projet suivant/ .
·. Art. 1er. Les place* actuellement vacantes au tribunal de cassation seront remplies provisoirement, et jusqu'aux élections prochaine*, par les suppléant ''des autres juges du. même tribunal. .
II.
Ces suppléons seront choisis par ancienneté
d’âge ; à égaillé d âge le sort décidera, ;
III.
Dans tous les cas, ils seront pris d'abord parmi
ceux de l'An VI. ensuite parmi ceux de l’an V, et enfin parmi ceux de l’an IV. ' ►>
IV.
L'acceptation des Suppléons ainsi appelles, tt· nuit en tien au droit que chacund’eux a reçu originairement de prendre la place du juge en remplacement duquel il a été spécialement nommé« et quand ïiquit- teia unç plu ce provisoire pour prendre déhnltive- meot celle qui leur appajtient. Il est pourvu à fa vacance atucllc . Cùnfùïmément à la présente loi.
Le premier article est mis aux voix. Il excite vue très vive discussion , dans laquelle tout entendus , pour et contre, Crocbon, Geniiiieux , de Moore et Aholiu.
J -
b
Got gle
NEW YORK PL Ht IC LIBRAR*
•qsa.j ■
On dcrhaade qtie Jfc diicttiûon «pit fermée.. Q» remet? F article iui roi*. *
Heu» ¿preuve! ae îufttint pas pour connaître la vmu du copscii, on réclamé ¿appel nom mil,
b'»utrci veulent et iuiÛLéut pour l’ajoarutniene du «eut. ' , ' . *
Lucien.Bonaparte : Je.vient m'opposer à Fajcit- ' riemeni qu'on voua propose. Je crpn voir dans cet ■jouiDEiuent une subtilité de plvs parmi celles dout ’ le conseil a été environné , et qui »dut indigoet d* Jégithteur. C cit U flûjorité qui décide , et CCH à Cette majanté «a lut aire qu'il appartient de Lira ‘e· loti. Le ou <e au i cédaré que U d entière épreeri ti’était par douteuse; néanruoini , bpur coevaiott» ceux qui croient qu'elle l'est, je ne bs oppose pu i l'appel no nu ml, mais je demande qa ou en fininc.
' On procédé à l'appel nommai. A quatre hctifu·· » quart, le président en donne le résultat, cl dôrljr» · que lur 3o4 votant^ i}S ou été pour l’a do p d&n d· / firemier filiçk 4 et rie contre. En couséquentér i' lart. Ie\ est adopté, et k président levé la stijir*»
Dan« h séance du «4 , U ditcusiiou Surk prejet de Boulai, relatif au remplacement de· car ni tu. tu du | tribunal de.cauatbm, reprend, ç -
Apiéi une légère duc usa ion , le» autre« »triil·» f •est edopLü, «a«f Je J V\ qui en ntjcué tumatiuu- j til*>
L ordre du jour du ta appellait au conseil des Aa- cieru , la' ddeutuonaur la résolution du 6 iDtUidWt i qui porte qu il sera substitué de» letttes de crédit au* , Ectcriptioti*. i
Grettc l’appuie. Il J? juge née ci «a ire pour fiirt tcMcr la lenteur de J rentrées, '»
Cornée h combat. U observe que le« fro (niUici·* accordé« «u gouvernement doivent 4uc îhujî» ■ ma b» tant faire du affaire».
Mais le rapporteur répond que h délivrance ck· lenr<· de ci edi liera bornée aux 60 miUiODi.
Le conseil approuve h résolution.
Dani la séance du «3, il ■ rejet té ctlk rtLatkc 4(1 droit de timbre,
Go gle
1
( 383 ) ’
PARIS, fonieti, 19 FI if taR^ailique> ■
Vanoiyersaire du 14 juillet.1 éic célébré au Cbump-dz’* Mu-i, IviC unç pompe ci uile ioEemriit-e dipnt» de cepie tpçqtie foudjirice de ta liberté, J muai», de pu ij II hmeuie [¿(foritidçi de 1-790, lw fete» nan<i traie» H'uvtieaL «liiîtui cDncau'J anïiî noulbreux de spcçtKeun., ni de» témoigregca fuse »aiirfacùan plut »1« et d'an civirtue plu* yrai, C’Mtqur te» iouTCtùn de -ente jncworabJe jonrcee ne retracent 4 l'ima^nkiinu que de» idée» de grandeur tt d’énergie * m*i» iucüu tiêlaiige qui pui^e eu altérée la pureté, Tnjutei Le» mtorhe» cpaitimact y ont aiaiui, chacune dm» lajj ccrtuine ; te Directoire ir.rmaii b. çorirje, De» mIvc» d'vùUcrùî mu annonce le coin me uct me ut de 11 fïte, Apre» l’hymne du 14 juillet, compoié par Chénier, mu tique de Go*»«, etéctité p»r le ConJtr vatairc / le directeur Merlin, rempli mini lé* - facti-oni de prétident 1 b plane du cit, Rewbtll, i(«uu par ntt tadiipo/iûna don lotir ti >1, a prononcé un duc 0 on dan» Itquei il 1 cafUliiùé, ivetc nue eairéme conteiHBt*, le» eîlis de cette glorieuse journée, De* dvolut on» milàtiite* oit »accédé, et ont été exécutée» Mec «n cwteuMe et «c prlciaion qui ont du convAiixcrc le» rncoyé* d(» puiiatncei niMiÇerv» de Ja supériorité de» tnan*4vrc» de» ttonp-e* républicaine* , tt de leur effet leritble dsm le* cotnbau, lon- Îireli valeur et {‘intrépidité diligent leur» acurermi. La ire a été terUtinée par iMceniiat» d uo ha Ion, qui aariit produit plus d’effet »i l’artifice qui lai était adapté u’eàtpa» éclaté trop p rompt ornent. On a remarque le * eut, avec beau- tsup de pbîiir, l’iUunünation riche et pleine de SOut SU1 ituinàff l'architecture de» pabi» de» deux cotneib et celui di Directoire, , ■
Le malin, la Fc-te a été célébrée dont l'intérieur de» deax tflujpii». Chaque president y □ prononcé un ¿¡scOLit* *ur te» mie» elle» effet» de tïjôvrnéedui4Îui!letitoii31ei deux «riant fethouDeUt , avec raison, aux progrès de* lumière 1 et 1 U phiioiopliit„ qui ont été et s. ci ont désarmai» le* seule* camtt de» révolution» politiques; car toute» le» mire» ne *cnat. que dn cnit» accidmtrJJe*-, qui mettent en jeu et développent ïwtvrige qui a cié préparé avec lenteur par le» luairCM te *'flrtce qui doit en aJiurer le uiccc», pat-tout où le» lumière* {rivai éclairé une »aise d'hommes aisri coniidéiibb pour
Diq :l
Go gle
rortiKiniHjlîer leur influence i la multitude. Une circón s tan ce
a briucijijp ajouté > nmént qui naissait du «njet ep lui
aicLtui ; c'eit uOe ad l'esSe des Iiland*îi-Uo>s aux deux
léili du Corps législatif ; c’était à une nation puïs^antt· e
litre 4 apprécier le» «Forts d'utt peuple opprimé qui cher c tu
’■ i briser se» fers t et qui implore des jççouti que la Liber u
ne peut lui refuser.
. ■ i 1 ' . -
Le célebre ¡Coscîusrko <|i arrivé de Bayonne i Paris; îi
a été reçu avec distinction'par ¡"administration central« da
département de. la Seine, qui l'a fait accotn porter id bureau
ce a tril peut'y faire tiaft añil pissa*port- Ce brave ci
courageux atüi de la liberté ttotivera parmi nous des irfliVf,
qui sanrotit accueillir's es malheur« et »'intéresser à ta gloire,-
qui n‘es; peut-être par 1 sort terme, et qui sera tôt ou tard
couronnée du succès que tnérite une abas· belle cause.
» Le* conférences de Selti sont terminée». Est-ct rupture^
eu bien les pUoipbtemiïires sont-ils tombé» d'aeccid *arj
¡'objet qui le» avait réunis ? C’est ce qn‘od ne sait porfilj
encore. Ce qu’il y a de certain ,. c'ait que Fiareis [ de'
Neuf-château J <A M. de Cobaoiiel le s ou (quittés avec de·:
tcruoignsi^ei d» s-t faction-mutuelle. Quoique plusteur» jour-.
■ nirUK aient aUtroncé l’arrivée de François (de Neufchâtean )#1
la vérilé est qli’il n'est pas encore de TC Lour. IL revient pari
■ Mayence et Bruxelles s On ftttapd injourd'lrui ou demi ion- |
Let con Tétenos de Rasiatd ne preunen.1 pas vue tournureî
pacifique. On présume que la guerre sera inévitable- On peut
croire qu'elle KH itrribLe. - S
Aucune nouvelle de Bonaparte; on presume que les Anglais
auront refusé k combat et le refuseront ¡uiqu'á ce
de» renforts leur donnem une supcrioriié de foïce qui n i»-'
nonce pas du moins une supériorité de covragel
B 1
Quoique-ks Irlandais-Unis aient essuyé quelques écbecl r :
■Il «ont loin de se-décourager, et u’ea seront que plus terrïblei
à lents lyraus- - a :
Le parkmetit (TAn^eterra est prorogé jusqu’au Si ther- (
midor. . ' . '
LtWû tu-Latomie T Rë dictent ri ele/". j
üüi-r- tflir
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PAR UNE SOCIÉTÉ DE GENS DE LETTRES
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Z?îz ¿¿Wi Jd Thermidor, an Sixiemé
de la République Française* ■
TOME XXXVÎ.
A P A R I S , ■>
Au trureau du Mercure, rue des Poitevins^
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TfitOKl^tJei i*nljnjítisin¡
Qj*4Íffe® ■· ■ f' . r Sur irf c-inaují de. 1» Cbioe. etc > ;.,. .y, .t ,. ;
Lt$ Pian íes , poema , p¿r R.enc - Aie ha rd Castel. >
Esi^i d'jj □ ìinnieaii cqu^i de languir alleooinde. .
cpd éa^cotii ique,. i > I
j/v'JtUflJf dir [letjt tlttudfvillf a-u grand Rlcixt. ....
Le$ riféis ¡tinlaíoi [ J. Jt »,, <4 . I
Gf'ígrapliia d;i nord de l'Aiie , etc.. .
ARlnOÍrca da S téphí uit-Louií e d e Boti ph O H*Ci5 n 11.
dellfTSljcrít ApíiXís JípiMí/ ‘ >t %í , . ij
Le Loup tt l’Qie [fublt j, pit k dt. Bodijoslin,,
Notes iur let (Envíes de Fontenelle.« ....¿
tfitíe}» atr A, C.Wjrnpgnn. , I
Cor respóndante de RotiLÍier.
•lAzrL·^··· ·/·-·■ 41 ?'
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3o.
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36.
65-
JO.
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1..·
LaJournie-diiTajHifrUTi Aisé^rJeiiéì/pa.eÀ-CheiXcKiegfle. iGI.
Spcctadet· JtwB&jrittie, par leCuusin Jsteque*. “c'>
Optuculet tinnii qua » de Baumé..r..
Variété», Htraiiei det Prrnrijiej His Mauri , par
Sii nt-Lambert.......... .. J. #.. il. 1 «....
Dìa seria ¿Olii jnr |* maLdi* appellee Pellagra. ..
Th amis tods {irujérfie ), par le dt, F. Larnar. ..
A Venus, imitati on. de Fon tana, par licit. Mina 11 d.
Anni!Ptcs de Jìvrejnouvttiix,....
Dtl'itlt dii panine, ed Ajs^khtire, . . .... ............
Empio! d’un ma^en iatértMant de diip^acr dai
emit pour Iti iravauxpuh liti, par Tlipma» RiLotid.
Le Memorial·db jeune orth-tigra pillile, parDomirgue,
j 53.
i65.
igJt
iq5.
BOQt
ÍS7,
¡¡57—3íi.
1
. syL·
,... . „ 278.
' Séiti tí publique de riniti tul national, du 15 meat, ayo—33y.
Hymn e i F Agriculture , par le di. VaLni.. , , , , agt-
Journal de ia vie d*un Homme de bien, exirsut de»
Priñfifet du AiaftTf, da Sai nt-Lambert, ,>,,,,
Ext, d'uu Memoir· lur 3 ctalneamiquu désignJej.
par it Min de £.7<.ii a tnrrr, par le dt. Mori gei,
Inveri*· sut la nature p ri m ì t i r e de l'ho rum e, par
F. Senancour................................................ .,
3ji.
- 340.
-{lhant pour la féiotk í'Agnqalture, Ib 10 Hacedor, ' ,
par Frantoi* ( de Neufchatnn).............
Spedir:lai. L< Afuiíin 4 ¿duJ-JaufL. , *... \.. ,.
An nortees de Hvrti nouvetus. ..
J45.
355.
35j.
36a.
» N°. p.
MERCURE FRANÇAIS.
Décadi io Th ¿¡tumori , fai ròcienu Je la Rtyubfyut.
■ POÉSIE.
Di L’ART POÉTIQUE.
JÈpî.'re THorJce atta Pisûns , tradititi par ie cïiojtn
¿efeeìrpL.ìroóhì. A Prtiir 5 ¿t iitnp tint tria da
P. ' [>/pi>r aine. An VI,
Il t*c>t fait phu d'nne those extra ordì as Ire «t difficile
4 k fin dü dh huitième tféde, Mah ce n’ciC
pai seulement 1e monde politique qui a présenté de
giïuds phénortjçnEJ * ie monde savant et littéraire
peut aussi lui’ opposer le» siens, qui moins frappa ni
♦an» doute, ne hisseront pas cependant d'avoir une
influence trèsétendut tut le* progrès de la huguç^
■det «tiencei et de la raison.
Parrai les entreprises bardici qu’otiu vu se fdrtnér
ft »'exécuter dans les lettre», celle de traduire en
ver· français plusieurs grands pactes dt l'antiquité ,
n'est peut-être pasce qui méiitelc àmin» d'nttention.
Quand on a réfléchi sur le carierete de la langue
française, sur celui de sa poésie , sur ses rapports de
«essembhnec et de ditférenct avec Ici langues ancitnttei,
enfin sur les circcttstancet de tout genre qui
nécessairement ont dâ lui donner un génie u particulier,
la rendre «i dédaigneuse, si difficile , l'ofl
entrevoit une partie des obetades qu'oJfre cette enA
<
■” lijllin fl 0 ni
NEW TUP.K PUBI IC I ':RRARÏ
( *1. . . .· trepriie. Mais il faut avoir mis sûi-même la m^in à l'iïijvrt pour le* connaître dani toute leur ¿rendue v pour imaginer jusqu'à quel point ils peuvent se multiplier et renaître à chaque pas.
Dan* le dernier siècle, Racine et Boileau furent contraints de jettes au" feu plusieurs chants de r/ïiddf dont ils avaient essayai* traduction: or,la poésie d’Hcmere + qui tient bien plus à l'ensemble d'une composition féconde , qu'aux détails d’un style riche de traita, comme celui des grands poètes latins, semblait pouvoir plus facilement passer dam h langue française. Si deux icrivains qui sont tou* jours testés tes premiers, échouèrent alors,l'on doit bien se douter, que les autres n'ont pas eu des succès plus heureux. L’insirunient poétique avait besoin d'avoir été exercé sur beaucoup de genres,d'Être habitué à beaucoup de tons, avant de' pouvoirs plier à tous les efforts nouveaux qu'exige une traduction élégante et fiel elle r et lorsque notre Dclille publia celle des Giorgiquii, presque toujours si brillante , quelquefois si peu inférieure à l'original, le public ne Fut que juste en h plaçant au rang de nus meilleures productions.
Virgile est sam doute un de ces écrivains détel·- péransquine se contentent pas d'un destin général, riche cl correct, mais qui cherchent en outre tant cesse à renforcer chaque détail, en entassant tous Içs traits qui peuvent être réunis s ans confusion, aini - embarras,et concourir à l'effet de l'ensemble. Cepcn- , Haut quelques difficultés que ls traducteur y ren* contre , peut;êire Horace en présente-t-il encore davantage. Ce dernier poète a parcouru presque toux
ÇMÿnal tram
NEW YDF.K PUB LS C LIB?.AP.¥
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( ?)
les genres, depuis la hauteur du style dePindare * jusqu'à Ja plaisanterie ta plu· familière ries odes , tantôt galantes , tantôt philosophiques, tantôt sublimes, tantôt rapprochées de nos chinions, ne ie ressemblent point entre cllcrt tes iplires ne ressent - tient point à ses odes, ses satyres à ses épîtres ; enfin, ¿ans Kl épitres et scs satyrei, il a traité ¿«1 sujets, , il a pris des tons si diffère ns, qui! Faudrait sa verre, sa souplesse, son criminalité, pour le suivre par tout avec le même succès ; sans parier de cette patience et de cette opiniâtreté qu'exige avant tout, dam . notre langue, toute traduction, eu Vfr(,.
Tant d’obstacles n'ont point rebuté le cit, Larochet il.n’a pat craint de mettre notte Langue aux prise» avec l'écrivain Je plus singulier et le plus heureux dans la tienne; et restai qu'il donne ici de ton travail justifie ce qu'au peut appcller , avec raison , ■ l'audace de son entreprise. Un» grande fidélisé, le sentiment des beautés de rorigtual, une élégance en général très - soutenue , beaucoup de richesse de poésie et d'expression, da moins toutes les Fois que le fond des idées le permet; enfin , si ce n'est toujours cctie maniéré complettement libre qu'on veut trouver ffiimt chea les écrivains qui portent les plus pesante· chaînes, du moins plus de facilite que n'en ont eu la plupart des traducteurs.les plus «ttimubktt telles sont les qualités qui distinguent l'ouvrage dti citÆaroche, et qui doivent le rendre véritablement cl a nique , sur tout lorsque les légères. corrections de, détail, dont il peut être susceptible encore, auront été faites avec le soin que l'auteur paraît portée dans ses travaux, . ”
Djîjs un disccuLt p [¿liminaire tcét-bien écrit t
A 3
p Gck >glc
»IHiwJiHm
ÏJÊW ïTir’.K PUR. IC I Fl FU K ï
(fi )
SI explique en quoiconslite fa véritable utilité
de Têtu Je de» anciens , le génie de composition et
de goût qui les earaciériie, L minière psopce d'Ho-
Tact J il fût obère or que loi cïrcooMJDcei partie«*
litre* où le »dm trouvé* tel Grecs et le» Latin* put
dû donOM à km éloquence et à leur poésie * trac
marche , vt aèrent et de» traits, tout differtn» de
ceni qui distinguent le» p réduction* merde mes; que
cette comparaisoa est extrêmement suite pour, farmer
le tact et le jugement , qu’»i cm runité «tènr
des idées pim saine» et plus juste» i«r tel mmitr*
de» nation«, aux différentes époques de l'iihtdiic ç
qu’ert conséquence , l'étude du grec et d» latin nfc
pas tenkincnt de no» jour» urt simple but littéraire „
et qu'elle doit être faîte dam un eipiit tou» non·*
veau, approprié à celui que la plus étonnaaie r<-
vç lut ion tient d'irnpr-iroct au peu p te faaitfdis tt à.
Ion gouvernement, Le fit. Laroche pente avec rat*
’ son que tes art» sont fa Vraie parure d'une république
. et 1e moyen te plui sér d'enapècbct cpte
J'éoergte dfi la« y dégénéré en rudesse * en effet*
11 d une part eux teal* peuvent y nourrir rm nrthonaiasme
ioutenuT en· offrant ms îmwi de te
gloire tes >entes rt compense* dijrtes de le» touche*;
de l'autre , iU tcriipereni xt dirigent cet'élao par tel
impTcsaions agrcabicï et délicate* < dont l'aipxel
continuel de kun chef·*d'vttvtes hit coursâtrer
Phiureuie habitude i et cette réunion d une aine
Jatte es libre, d’pn esprit ¿cfaiië, et d'une KunhL·
lné juste et vive, ne far me-telle pai en effet dan»
l'homme le d tinter dé gré de 11 perfection î
Pour bien faire connaître tout le mérite de l'on*
VBj.edu tit, Laroche vîl faudtaïi suivre l'auteur pu* à
□rigfaal nam
NEW YORK PLRtlC LlBRABY
(fi
pal dansait te lutte pénible àvéÆ l*Aftg,irltf!-7 it fWdïiil comparer thaque mòte tati des dtût Hnguéi, Hliqüt phrase 7 chaque ver J , chaque etpré jiitìm Mats tèi examen, qui tant doute pourrait avoirion genred'ütk Jité.est un p] ^jsîi que nous devons laisterà nojlectéurîr il ne qoui appartient pas s^ns doute de les avertir ainsi d'avance de ce qu’ili aimefont mieux découvrir eiii-oermes dam leur* lectures , c'est assez pour nom deleurindiquer celles qui nom paraissent meritci leur intérêt. Nom allons donp nom borner à citer quelque! passagu de ccttf nouvelle tradir elione ils leroQt mftiiam. pour leur faire apprécier la manier* du cit,,Laroche ; et peut-être aulii leur donneront-il^ uns idée plus étendue du degré de fidélité iuqud ça peut atteindie en traduisant les * »oient en vàri.
Horace parle de L'adoption de* mOt· nourotu« tt dei boEuet qu'on doli ae pitseriïé pour Ht pat faire dégénérer en lie eût« la li bérti de lé J ¿rtét Là jocts latin veut que cetra libèrti esule.
I
Ponquor priverioui-noui Vxrius et Virgile * Di même droit qu'ont eu jadis PI»Utc et Cécile ? PniqueLii j'en uhm , me refuse raison la liberté qu'out prise En n lus et Galon ?
le crèmi d'autres mou la tiuon nona «ngtge Àlea frapper au coin, tonne ré par L'usage.
Set faills au priqtew 1rs iroqts rcnouvellés font hit met par l'hiver de teaiHes dépouiller, êhd de* taon re j os la brillante jeun Èrse 1
Sdì eelrt r^Beaiit, et se flétrit lini étwé. " ' 1
Ioni e« qui brille lu jodr subit 11 loi da S oét : ‘ K«-iSt«ei fibirt dtafeils U tnlur Ì là ton ri. font digne d’trif May qù’ül« ride ita* Jrite SsiTt iwrnc lu venu , à aj; JÎjfirj, ¿affit,
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Driqli.il Item
NEW YORK. PUBUC LIBRAR
(M ' .
Hj« mu'àii lcagUBtni.de limoc infecté* . fie co ivrcnl· de moisson* , dés cité* 1
(¿u’un fleuve détourné des pliipes spi il inpnd· , /Lp prenne i rgieq* ijglcï ** course vagabonde r Tout péril, rien m'échappe à l'injure des »nie Les mots jouiraient-ils d'un étemel ptimemt? fi peine ils ont brillé que (e teins 1*1 dévoTe i yiBtiiUT* oui disparu qui renaîtront encore- ^Linsi le veut l’usage , oracle itnpirietii , „
P» la mode et du goût tyrtrn capricienx.
Le» chantres de* héros jjaptirent dan* Homert /c peindre 1« combtti et les mita* de ü gqert-c. - La plaiote »‘eahsla dan* dei +«* iiégaua : Par «UX latniot sut plaire et vaincre $cl rivant, 0* M dij^ute nrir quel timabie ¡i*it : Confia le premier tei Feus, i l'Élégie t JRirmi sesjtut bruyant le thé lire adapta L'ïamhe qu'en fureur /LTcbiloqnt'inyenli· pe v^r* rctcnilsaaut sur une ictqe active
. Trappe d uu ton plus Tçr( l'orçtllc ÎQgtiemive, ÿùn rythme plu* rapide et plu» libre en ton covrl propre au dialogue et presse le diicpur^.
Le* porte* divins que Calliope inspire In vçtj harmonieux chantèrent mr la lyre Les nohlti actions de» héros et des dieu* , Le* laurier* moinonoés aux olympiques jeni, L’iudOf et les soucis de'i’ardente jeunesse , p les libres feiti nt a à brille FaUégriise,
Ça morceau déjà une i^ée d$ U manier^
du CÎL Laroche, qui en toujours ferme et saïuç., pretquc Loyjouri correcte et toupie, souvent iîeKq, Ct btiUanlç- .En voici uu autre qui te fait remarquer çjjljt préciiipu, par le icrapulç d'e^s^fitude à luivt«
Go gk
niififMi rtiHH
L'/ rGRK PUBLIC LIBRARV
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l'origan il,et piroette espece rie dirmi, en quelque sorte purement technique, qui tient 1 ladifhculti vaincue, ' -
Peigner au vrja les tptsurj Je chaque periOxnage ; A chaque état diveri prêter divers langage ! ,
Un dieu doit autrement s'exprimer qu'nn héros. Un vieillard , qii'un jeune homme ennemi du repos, Qut -d'un ton différent l'éooncatii itu la scène ■ Et la Ltndre nourrice, et lidamç romaine , Le marchand vagibcad , l'hebiiaot de Col ch os . Le citoyen de Tÿr, ou de Thcbe, ou d'Argor,.
De perron nager vrais Îaircs-uotts la peinture , Ou que roi fictions nous offrent la nature. Qu'Achille en vos Aprili soit joujou rs prê renté Impatient, cclere, inflexible , emporté , Ne connaissant de droit, que le droit de scs armes ; Peigner Médée atroce,' îuo roujutirs en larmes; Qu'lxion soit perfide, Qreite tnallteurtciK , lo sans cesse errante eu des climat) affreux.
Eu créant iqr La reçue uu nouveau personnage , VoluIci-vous du public eulriiner le suffiagc?
Que semblable 1 lui-même, au portrait commencé , Il soit jmqu’â la fin tel qu'il j'cit annoncé.
NoU3 alloua termitier par la peinture des quatre âgti, dao· laquelle le Ctr* Laroche, ayant à lutter COQITE un redoutable concurrent, courre Boileau ,
l'a cependant fait avec honneur.
Tract-l le cîrjcltrt cl bsa mutiti de chaque ige. La naturi changeante tn Variant nOs traiti , Des Âges différefij.a. marque lei portraits-
Déjà vers Jtj objets qu'il ne nomme qu'à peina , Utufcni çherche i guider sa démarche tueetuiae ,
Go* gk
CM girai tram
NEW YORK PUH UC LIBRAR
‘ ( «· i ,
Jftae avec set égaux * Ie courdace wéwrent « ' <■
S'appaiii , rit bieQlâi, ei cb?t)g<ji tout wjnetlt.
Le jçürtt homme , eafiu libre , an gré de son oprrct
3c gouverne ; ii-M plaît 1 courir dan« la lice , -
A voler à la chisie , 4 dompter tin cûtHwèf?
In do ci k aux avis, prodigué , Vain , ihi*r ,
Peu soigneux d’undMer» sis protaptfi jautsiaûies.
Étouffent le désir d'niitei connaîtiatees·
L’âge viril plus tâge , à tes devoirl rdumit,
A tu s rie d'xalrtr gûËtS, cultive des ateis ,
■ Travaille pour la gloire, et redoute d'avant«
Uii long te mords qui cldt une tourte irtiprudïnié.
De radie rfiaoK divers le vîsiüard oppresse,
Marche en tous sel desieini d’on pas lent et glacé ,
Àmsssc sam jouir , temporise sans eesrt :
flatté d'un vain espoir, sa timide paresse ‘
Se fatigue tüproiels qu'il n’ose exécuter :
Sur tes travers d auteuj prompt à ré tourmétitef ,
Du présent qu’il teoiare et du pari··qu'il valu« , -
Il Faii à chaque instant la peinture éloquente.
Autant l'age crobtant embellît nos beau« jours ,
Autant vers son dédia il en ternit 1« cOursr
Celte traduction e?t accompagnée de courtes note»
pleine« de goût, et suivie de rdfie&ioni plu· értn*
dues *ur différent points de lit té rature et de critiqee.
Le cit- Laroche, ami d'Helvé tius « y a jerinr
xiMiL plusieuïa morceau« extrait» de a mjn a écrira da
ce philosophe, lesquels prouvent par le fait ( V·
ks véritables rcgki do beaux «rts, tout ctroiicjucut
liées avec celles 4e h saisie logique , «t qu'ri n’y l
de juges profonds ta éloquence et <n poésie que
ceux qui. cotiuaiatcot' bien les procdsàé» dcl'ostdadément
ai les lois de h »sniibilik. ,
□r-druil rtc·-»
* NEW y&RIC PUBLIC LfBRARÏ
L
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MORALE.
Duloûvi entre la Goutte et F ban eu N (r).
A P»>fy , le et Octobré t-jiû·. -
F £ A N K, L I N.
J£h ! oh ! eh ! mon dieu ! qu'ai-je fait pour mériier ce» aouHrance5 cruelle* ?
la Goutte.
Beaucoup de cboici. Voqi avez trop mangéT trop tuj* et trop iüdulgé vos jambe» an leur indolesce.
Füanillik. Qui e»t-ce qui me parle?.
la GOUTTI. C'en moî-mèmCj la Goutte*
FfiANKLfN. Man ennemie en peritjnnB.
1a Gotmi. Pat votre ennemi**
F ■ AN K UN. Ouït mnû ennemie t CAT t»On-*eük ment vftm v ou lcr me tuer le corps par 10! tourment; mais vont tichez aum de détruire nu bourre réputation* — Vous rué représenter comme un gearmand ttua
. (1) Cette pîece 1 tirée de* OEuvrer wtoretn, jtUtifitr ri lil- tîmirti de B. Franklin , 3 été écrite eu fahçûf par lui-même lusei y iTourcrz-t-on divin ànglic’utieG:
Got 'gte
Dr^aul It’orn
NEW YORK PUBLIC L1BRAR
' ( K ).
ivrogne ; et tout.le monde qui me connaît sait q u’an
ne-ni a’jamais accusé, auparavant, d'êttre un howine
qui mangeait trop eu qui buvaii trop,
■* . . 1
LA Gdütte. Le monde pçatju^cr tomme il lu· ,
plaît, IL a toujours beaucoup de complaisance pour
luvméme et quelquefois pour ses amis. Mais je sais
bien moi, que ce qui n'est pas trop boire, ni trop
¿iingeT , pour un homme qui hit raiioun?bJ erp eut
d'exercice , çst trop poflr up homme qui n'en fait
point.
Franklin. Je prends — eh f eh ! — lu'ant d'excr*
cite -*■ eh F — que je puis madame la Goutte. — ’
Vous connaissez mon état sédentaire, e t il me tenable
qu'en conséquence vous pourriez* rua dame la Go titre,
m'épargner un peu * considérant q'it ce n*Mt pas
tout-à-hit ma faute,
ia Goutté, Point du rout. Votre rhétorique et ■
votre politesse sont également perdues. Votre excuïc ,
ae vaut rien. Si votre état est lédcntaire, vos récréa'
lions, vos ara nie mens doivent être actifs. Vous devez
vous promener à pied ou i cheval^ ou ai Le rems vous
en empêche, jouer au billard« ,
Mais exa mi uoui votre court de vie. Qcrand les roittnées
sont longues, et que vous avez assez de lent!
pour vous promener, qu'est-ce que vous l'ailes? —
Ali lieu, de gagnet de l'appétit pour votre déjeûner
par un exercice salutaire , vous voua amuser à lire'
dejliyres, dei brochures ou des gazellel, dont la
plupart n'en valent pas la pcm<.— Vous déje^çn
Hily ..Ifi . -
MFW YORK PUEL IC IIRRARÏ
i tS)
iFéanmoint largement. —-'Il tic vGUf Fàot pas mains
de quatre tastcs de thé à la crème, avec une ou derts
tartines dc-pain et dè beurre, couvertes de tranches
de boeuf fumé, ¿¡Lii, je Crois, i>t sont pas ka choses
du monde les plut faefka à dii'ë’rer-
Tonl de suite, vous vous placez à votre bureau,
vous y écrive.', ou vous parlez lux gens qtri viennent
vous chercher pour affaire. Cela dure jusqu'à tins ,
heure· après midi, sans le moindre exercice du corps.
— Tout cela, je V*>uj le pardonne, parce que ccti
tic U, comme vous dites, à votre état sédentaire.
iM jis ■après dîner, que faites-vous? Au lieu d'alkr
'vous promener,,dans les beaux jardins de vos amis
chez lesquels vous avei dîné, comme font les jem
sensés, vous voilà établi ¿l'échiquier, jouant jux
échecs , où on peut vous trouver deux ou dois
heures. C’est Là votre récréation éternelle; la récréïijou
qui de toutes est h moins propre à un bonjniesidentaire,
parce qu'au lieu d’accélérer lç mouvement
des fluides , ce jeu demande une attention si
fane et si fixe que la circulation est retardée, et les
secrétions internes empêchées. — Enveloppé dans
les spéculations de Ce misérable jeu, vous détruisez
votTe constitution. . .
Que peut-on attendre d'utte telle façon de vivre,
si-non un corps plein d'humeurs stagnantes, prêtes
à te corrompre f un corps prêt à tomber dans toute
tortç de maladies dangereuses, si moi, la Goutte, je
ne viens pas de tems en tems ivoire secours, pom
agiter ces humeurs et les purifier ou les dissiper?
Si c’était dans quelque petite rue ou dans quelque
coin .de Pâtis, dépourvu de promejiadçs, que vous
•(H)
employassiez quelque teins aut écbeci, après votre
dîner , vous pourries dire, cela pour excjse. Mût
c’est la même chpie à patsy, à Auteull, à Sîpn^
martre, 1 Épînay, à Sanoy, ou il y a Ici plus beau»
jardins çt promenades. et belle* dam et, l'air le pl*J,
pur, les conveisations les plus agréable# , le* pim,
initiuctirés, que vous pouvez avoir tout en vuü.
■ promenant. Mais tout ctJfi est négligé pour cet ibo
minable jeu d'éqlwci, —Fi dont. mon de tir Franklin.
— Mai» en continuant m*t imtructiom, j’oubli»^
de vous donner vo* correction». Tenez : cet ¿lanet.
ment, et ccIuî-îlv *,
Frankljw. Qh ! çh ! oh ! bhhh ! Autant que
voudrez de vos instruction* , madame la Gsmttfi
même de vos reproches. Mai*, de grâce , plut de yf
correction*. . ?
LA GotivTE. Tout au contraire : je tte vcai rihi
trais pas le quart d'une : elle* sont pour votre biéi
Tenez. '
FRMtKUM. Oh ! ehbh 1 —Ce n'eH pat juiR
souvent dans ma voiture, en allant et-en revenwtj
' ' ■ ' 5
là Goutte. C’cu de tous Ui/tcfcUee smag^l
bit«, le plu* léger. ]« plu» iutigniÈant, que celui
est donné par le mouvrincnt d’une voiture suapec
due sur des reitorti. En observant la quantité a
chaleur obtenue de différentes especes de mo
mérit, on peut former quelque jugement de la
ôté d’exercice qui «t donnée .pur chacun* . .
Coi gle NEW ■jFK PUBLIC UHRARZ
(
, Si, par ctfroplt, vous sbrtci tn hiver* abêc Irt
Md* froid». tn »iithïnl une t*“** veut ïutn le*
■rdi et tout le coeps tchiuiléi/—. Si vous montez *
itvalfsot tEjotttr quatre heurts avant de trouver
iflime effet. Mali si tous vont placer. dans une
?intreVieH sütpendue, vOuiipOUiSCt vnpsger tout·
rf jeusnre, et arriver à votre derniers auberge, ·¥«
rtfcdnc froids. —' Ne vous Hittei donc pu
î'tn piMiMïf «ne demî<-heure dans votre voitur*,
preÉtat dsi'ritercàce, >■;
Dieu n'a pas donné des voirurel i rouet à tout ls
.rndç 1 mai» il a donné à chacuts de ira jambe», qui
inr des machines infiniment pini commodes et plut
Urlatici' Soyei-to isconnaiiiant et faites stage dea
tllEl, ' . .
Voulez-vous savoir comment elle* font circuler
toi Quides en sué me-te coi qu'elles vous tn n* portent
IubV<b A l'autte ? pcpi«i que quand vous marchez,
Eut le poids de votre corps «St jeté slterc*Hvement
k fane et l'autre jambe, — Cela presse avec grande
■rtc ¡*f valutai* du P’>d, et refouie ce qu’ils con-
•witot, («ndtnt que I* poids ni ôté de ce pied
■ jetré sur l'autre * les vaisseau« ont le temi de se
I, et par le retour di^ poids ce refoulement
ttd.
t la eÎTCulalion du sang «il accélérée en
il. La chaleur produite en un certain espace
, est en raison de l'accélération. Les fluide*
nus, le* humeurs atténuées, les secrétion*
■ * et tout va bien. Le» joue* prennent du
, et la noté est tétibltr,
Go· glc
fr
/ fî«) reçu de b nature plu» de iciencs vraiment utile
qu'uYie demi douzaine ensemble de vous, philojophes
prétendus, D’en avei lidé de vos livre»,-Qdaoi
ell.e voulut vous faire Viionneur de sa visite , elll
vint à pied. Elle te prdinerte du unaitîfi jusqu'au soir,
cl hisse toutes ki maladies d'aidükace en'partie
à tes chevaux. Voilà* comme elle conserve » sauli
■ ·
jniroe s» beauté. Mais veut , ■ q 14.3md .VStu' alki i
Autcuil, c’çil dans la voiture^- Il n'y ■ ce
pas plut foin de Paiiy à Auto&il* que d’AuicuiJ
Pasty. . ■ .
* I . .
Franklin, Vous ju'connyri avec tant de laisofl
pÇmCtiS. . 4
_ la GauTTi.Jc le croit bien ! je me tu», et je cou
lieue mon office. Tenez : cet élancement eteelui-t
·
Fr an run. Oh! 0I1 ! — Contiautz de parler, ;'
vous prie. -
la GoutTI. Non. J'ai un nombre d’élancimea!
Vou» donner cette nuit, et vous aurek le tnt
demain«
Franklin. Bon dieu*! la fièvre* ! je me perd»-! et
eU ! n'y i-t-il personne qui puisse prendre cctt
peine pour moi. ,
la Goütte. Demandez cela à vos chevaux. lis ou
prit la peine de marcher pour vous, -
Franklin. Comment pouver-voui être si eruei'B
de oc tourmenter tant pour rien ? '
L iî
■ rilliji ill ft.'ir*!
HÉW ïOWKWBl IC I IHRAR'f' Gil· gk
' L* ÛOÜTTE. î*4s pout rien. J'ai ici üdfe IHtf dC
tirai v os pêché* comité voire »anté, distincte: ment
écrire, et je peux v-oü* rendre taiian de fous tet
coups que je vous dûnrL«< '
. , . ... ■ ‘ ■ , '
* ■
Fxahkiini Lisei-Ja dont, L
. i*. G6irt'n.C*«il trop kngù lire. Je Vbüi et dod··
Xmi te mpîKinii . ■' ' : '
. . P-. . > j : :. . ............ .
■ ÎmnXUN. F»jibi^e. Je taii toute atteuiiori,
. ■ * . < «
La Goutte> Sôuvenei-yods ¿Oinbten de fois ydttt
tôt)« êtei pïcpùst de yiioiprotnèner lt matin sbivent
dan* te bois de Boulogne, dtm le jxrdin dB
¡1 Muette, ou dans te vôtre, et que vous ares ¡oia<
iftié de pùtoié , alléguant ^uHqiteRÀ*' que Ifc cens
était trop froid ; d'autres fois, qu'il était trop chaùd,
trop Vent en*, trop humide, ou quelqu'autre chose,
tpan£t et* vérités H n'y ·*■&< dé trop qui ita*
, excepté vûtre trop de pareil* r
;ÿ«jUfÙ.tNt JfeçflifeMi que cela pétri arrivée cjüélj
pcut-éirc pendant un an dix fois·
. ■ ■
'. ■ . ■ ' ' *
\*’L* Goirriii Votre confestion est bien imparfaite,
.L* vrai montant eit cent quatre-vingt-dhr-neuf,
,:ÏBj*NïLtN. Elt41 possible?
' *“ l
- / t
-■U'€oirra. Qui , c'est possible , jjarce que c'cif
■»-fait. Vous pouvez «Mtr assuré de la juiteiav tki
Tvmt XXX?L . *
1.
\ /
t ■
. Google Crrlij|n;il fl-n-ir
, NEW 7 nH.K PUR Ll £ L IBR.ART
| . ..
, ( *3 )
Vp us iwdtaptic
J3<?inrt<b ÌJ* sont b.QJii bpFW44^'»Y<9V* flOnt
f¥MSW4jle.bd o»p*lI|ftdft,f c«t dc^rea« qui
mene de la terrasse en t: jüjgpiJi la tUaiae en
haï. -— Vous avez visite deux fois par semaine Cette
aimable famille. C'cit uqe.iwx[me dt v.Qlt.e iaVtntion
, qu'on peut avoir autant d'exercice en mon*
UqfMìLW tU^esdgTV^a-iqilk ce cïillwr, qnlen
marchant dix mille« sut une plaides . qy^lle. h.qUft
occasion voue avez eue de prendre tout les exercïc
«ÆWfff>Wf J ?. efjÉQDiiJÎeii
de fois ?
■ , j ii·,.! si e;-.· ■ ■ :!?■<'·!’■ ■’ ,■ : I '.d i J ■ ■
Çk^k^jis.j J5 PC. JÇ^Y Mponto A. «et«
s. ï.'fc.j , ô'H U'i.t ,i .' ¿IL' : Jt Elitil )■?. J
• iiaUl i .· ■ <i-l: ■' -if; ■■ ■' ■ 1 ii. ’ P .-"CulZ :l ■
ÇpU£ïF.:Jq iépoqdrai.4gHç pcuviW· 'trflïp
tlh 1 1. .'> .iiwl i-i' · ■· '■ ■' ', ' ■ ► J
'.............................................................. , ’ '. ' ■ I ri v .· j · · J |
. w foU î-’n :i .. I.' ·® >tn<.‘rp ■
'i’i. U ; s b rjc :·’:·!: .' · ;r -I ·. / . . t£djà]
la Goutte. Fat une fois. Pendant tout le bel été ,
pjytîé vnys- y è^es airjyi, > mk, hn^q Vww^yatri
trouvé cette çbarniafUQ.XcftmÇj^ ses bfiAWf .anfemip «
et tes amis, prêts à vous accompagner dans tes pro’ t
qjerpff^rn RI 4 vOUir WMjW »*<*«■
conventions· — Et q£'avci:vqpif3H£ ^tuXpui v.oìiJ J
Êtes assis sur la terrasse ; vous ayez lo.ué la belle vie, I
regardé la beauté des topina« vqua.n a- |
vez pas bougé un pis pour descendre vous y pro- ;
nienti. — Au cotÿrairpiiAous Jtvq* dcmmdétlu. thé
et, Vipbiquipjr fcj vqus. VoiK çoJU à. vqtr^.iiia»
NFW Y OP K IC I IBRAFW
( *9 }
jusq^ à neuf heures, iprèl· asfefr-Jobé ; tfétit*·'
être dus* héme». q4 votfs ^ve^’tfîhê/iflT&rs, Ma litii1 de rstoditniT phtl vblït ¿pied, céifrn pdtidi’ait -ÿàüi if muer un peUj^. v£>kHp*4ii<l VOtrtËTÎflWÎH KHinjp.de tiroir* qti'aMC loin Cïdérlf^FHiicÈri ,llott peut tq <oi«<Tiéf en ■s^Até Ijhs éio! iT r i'1,; '
« . _. . ' ■ ‘ 1* H i "j · 3 1 ' *
' ' ' r’ 1 " F ' .
Fa^KitLiM, A jcëtre htOrë, je iuii cVM>rnktiJ& là jaétfestr de eefW»t<ltiMp>i d-tf tPjiHdüfbe kiftirtfi Qs* nos «ÿtf'ÿtahÎF »dtrt tobj'ohii -pïài
üt/oa no jxtut. r '· i'' .< ’■*:.>-··-' ■
, - » - , ii *S · rl ' : ’ i j J ij " ' ■ * C ’ ■* · i ’ · 1
ti Goutté. G*fclt cofcidte feia vérûs- ititfdÉ pliilosophri avei toujours 1*5 dti^rtiéV'dés 4agie¥ datts voire bouche, pendant que votre conduit« est tomirot celÉo det-rgnowane. ■ ■ » ·"* ·· ’ ’ '■ 1
i'iArikrtN, Mad i»Hc»-vou5 utl déüiei dflffliA, Md ttqaflja recoeutdo «a veHüïé dd c hêiTOïdSidé È.l.i
lA'doütTffi Oui s-zMurtihcnt; tar'iiduÎ^ q’iïViÀi été uni toute la journée, vt>ut ne pouvez pat dïr^ <jhd vousêtes fait gué ddttavaii du jtrur. Ytuj"tfavci donc pa» besoin dette jouhgé p jF ànfc'Vhftiirfe'.
: FRA3iiLiid> Qm vonjie-e-Vou» donc qâè jtf fasié da nu voiture ?- ■ < ' ■
LA Gouttî. Brèlci^Ia >i vous voulei. Alors vont eh tirer A àn moins pour une fors de ta chaleur? Ow,ii■ ttfttp proposition né vous pliait pas, je vouj une autre/ — Rsgardei lei pauvret'
K ■
Dipras
Gqî gle
dafiJ 1» champ* auteur drt village J. de Pasty , Au-
1euil,f.Çb;iji4ot,^u..— Voue pouves tout ks jour.l·
panui:5Ci Ef>QHO£,ci'4ïtüiei , trouve/ quatre, ou cinq
vieille# itmmti cl vieux liortinjes, coutbés fit peutêtre
estropié! sous 1e poids de» années et par un;
travail trop fort et continuel * qui , aprej une longue
journée de fatiguer ont ! mircbci peut-être ün, çu
deux rpàjie! pour, voevat leurs chqumtece*. — Or-i
dqunci à.TOup jCpchçr dp ks. prendre et de ka mci ■
ner chez eux. Voilà une bonne cztivr*. qui fera, du
bien à votre ime ! Et «i , eu même temj , vous rctournci,
de ,vpt/< visite chet leaB.i, à pied i ceii
fera bDQ'poy.^yxMie corps- ' , ' t
■ -îi: L·1, ■ · ’i .a V1 * 1 ■ * ; “ ■ f - " '
FfiANkLtK. Oh ’ comme vous êtes ennuyeuse f
i.a Govtt^- Allons donc. à. notre métier. Il faut
vous souvenir que je îui> votre médecinu Teptu
FRANVtsjf.QhJ joÈ ! quel diabk de médecin F
-.. u q ■ ·■■;.■'·
la Pouttl. Voua êtes un ingrat dr me dire Ctlni
. N’cm ce pa# moi qui, en qualité de votre .médecin
, vous ai sauvé de la paralysie * de l’hydrOpisic (
de l'a pop Leu c + dont F une ou. Vautre, vous auraient
- tué, il y a long-temi, si je ne iei en avais enpt?
chées. ‘ -
Franklin. Je le cùnkisc , et je voul remercie
pour C» qui rit passé, Mais, de grâce, quittci-nwi
pOurjnmijj ;tar il me semble qu'on aimerait mieux
( «I )
mourir que d'étre guéri si douloureusement« — Sou* vtnez-vous que j'ai aujji été votre imL Je n’ai jamais loué de combattre c ointe vous, ni le* mêde-cîns ,
ni les charlatan* d'aucune espece ; si donc vous ne me quittes pas, roui serez aussi accusable d ingrali- ' Inde. 1 4
1
H£W YOflKPVJBdC LlSRARï
la Goutte. Je ne pense pas que je vous doive grande obligatiou de cth· Je me moque des tKfcr- liUns. Iis peuvent roui tuer, mais ils ne peuvent pas nt nuire ; et quint aux vrais médecins, ils sont tain convaincus de Cette vérité, que ta goutte n’ett pu une maladie , mais un véritable remede, et qu’il ne faut pas guérir unrtmede, ·— Revenons àaïQtré affaire!. *■ - '
F . ■ ' 1 r ■* . *■ .
Îrankun. Oh ! de grâce, quittez moi; ci je voir» promets fidèlement que déformais je ne joueiai plus mi échec» , que je ferai de Ceitcrcice jour- Atllcm'ent, et que je vivrai sobrement-
la Goutte. Je vous connais bien. Vous ête^un beau prometteur : mais après quelques mois de /bonne santé t vous icCommsnietu 1 aller votre anl· tien train. Vos belles promesses seront oubliées comme on oublie le· for met des nuages de la der- nicrc année. —Allons doue, finissons notre compte r après cela je vous quitterai. Mais toyei assuré.que je vau» visiterai en te*» er lie ta : car c'est pour votre >Wüï et je sait, vous savez, votre bonne amie»
*■ - /■ ·" ■
> »
Go 'glc
< « J
. Jrtich omit, tfi. 3*%fsifi
Là classe de Littérature *pt BçauK-Arli proposa
pou? sujet du prtt d= Poésie : lJ LinptTÈ i nie f
poème, diseûui( en vers , au épitre.
(¿grammes. ji fêta distribué dans la séance publiée
¿jj SaMMtjjrv ,- bt SÿtyfluH ti ia Wfoitrrfù , ÿôj
G. J,KG0tif^s Mftfit â fJnrbfiil noiioriai, oüiin'r· dç
- Ja mort d'Abel tt d1Épichair, Scronrif iàition W<
A ¿fefi-jyintT, Wdïrtt rue n*. 8-
JUtS trois poèmes que reufenpc ce recueil, celui
âe ¡a Stpvllttrc i(ÿit impriitié depuis iQiig teny T ç(
je! deux autres étaient rrés^avartlagcuse^enl ÇPH~
¿usLpar les lectutea que Faut e tir en avait faites
■ jes'iociétés littéraires de Pàmi. Ou se rappelle,4xtfi
quel interet Je poème dçs fcuuMÎrr .fol entendu 14
™ Mtfti - SiJb1- r - ■ . · 1 * ■ ' ' ■ ’ ’■■ '
Cette ççcqndfîÜitiou eiiTi'sèûIë avqûée par
F J
ailg?.il rifrti
NrW YORK P1JSL IC IIB R ART
ï
premier» feh au Lycée TtaêiuMtm. efl
icg^Tdéfe wttcore aujourd’hui c Dm pie h'pitft ' btü*
iantc déboutes celles qu'a lerrutfe te Lytét ;et lt<
getil de goût Convinrent que [« cir.Légou vé avait
ra dérober à i‘*b bé Ddil te on; partie de tonnerre t
er icrr-toui ititt ieirmit mtiltist otnattent litr inanit
vers. ' . ■■;'.■
Noua n’examiDetoni dam cette itoiïtt que les
SixrerfirH et i* Mtlancilie > le pbjinré de ta ¿¿¿Mjfrrrre
«t *7ûp connu pour en parler, Noq» nom fedrMton
» 1 rèiflBtquàr qu'il entre trèi-bkn {labile ré*
cneil que noui indonçoas^ et que i'ü niait pmuhrtî
parfait que las deut autreii, J1 a de mérite-4'ivck
été cortjpoié le premier, et d'avoir antrodré dada
la rit. Legouué bn talent pour l'é pitre égal i celpi
qu'il avait déployé dam la tragédie, et qui ; en te
perfectionnant de plu* tu plus, le placera w> jodt
«tâté de l'abbé Dell lie, Cette nnnioa nqj iera
point démentie par Ici vraii conmùaieurh 'après lu
lecture déi 'Svbtvntfi et de ia Milatrofa L’du
trouve un grand oenabre de morceau^ que ut déiçl
vouerait point Çjlluitf* ttaducleucdea Géerg^mi, i
Parmi noi auteur« tragiques [trivàoi, lut d«oyern
i Dudj et Lcgouvé sont les teub qui ait** uhorcbt
àie faire une double réputation dan* i’épître et la
tragédie; car Chénier n'a encore cumpoié que de«
iityiet. . f
Un journal ittt trèl-eitimé, en. parlant dp-poëntc
dei $vurffiîrjt a prétendu que le genre de Tépltie
était plue difficile i traiter .que celtrï BMgédit,
1·$ raisons sur Iffsq telle»ü i'^pp-étLér.¿tfli':ffirB\ifc irfrt
point paru aurt HJÎitJés , potir ùitfui fattÿtï I iiAi
B 4
1
NEW ïORSC PUBLIC LIBRARY
“ ( *4 )
iCpSnlan. San* entrer dam les détail», non» pente hl·»
comme beaucoup de geni de lettres, qiw Racine ,
Buteur d'immortctle* tragédies, aurait tuile iupé^
ricurement fé pitre tu yerst et qt»e, Boileau < auteur
d’excellente* ¿pitres , n'efit peut-être pas fait ivee
le même succès, nom nt disant pu uns tragédie ,
mais seulement une icene de tragédie.
Au reste, il· ne s'agit pas de juger en cfr moment
*i tel genre offre plq* d« difficulté* que te! autre f
mais ii celui qu'on a traité a le mérite de U perfection
, et la perfection, tomme on tait, «H également
difficile dut toi» les genre*, il n'est donné qu'à
quelques écrivait» privilégié* d'y parvenir. Lo citt
Xegouyé est muré ment du petit nombre do ceuxque
Virgile désigne en ce vers > Fa uct «par
truwwir Jupüfr, cl qui forment ce qu’llnracc appuHe
furiZia* gri£itt> , . ■ 1 - '
F en: r en tan vaincre nos lecteurs, nous allen* dé^
tacher du poème des Siumnirr, ¡'fpùads touchant de
fiaim-Preox, «trsÿrjtde magnifique de rHistake.Qi
y verra que L'auteur a in rendre le* idée* tendre·
«t itiblimcr, dans un ityle pur, élégant , harmor*
tlieuq, enrichi d'exprcMioni pittoresque*, brillance^
çt neuve*,
- Î|?ÎJpde <ic Sdini-PrtMH,
Voyii flaint-.Prauk ecmirùm d'abandonner Julie,
- Il coqrt parier u flamme et sa mélancolie
pic* les ntonu du Valais, *ur ces turnm'e» déserts
©em Les fcfaMeqtarpiy v perdent dan» 1« a*ru,
Xc«T itpnepfé h^mçur, ç«, roebet. cfleniij an te ■ ,
Ç?? pw*h·!«w .
flllyi ill ft.'r-l
NFWVQRK PIJBL IC HHRARÏ
( >5 J
C* ï&îitime rooliot dut t'horùoa lointain , Le de t*il de ¡'il lugubre, et du «ombre rapiü t Bei vorace» vitcaux le* crii lent* et Îuuebre* « Ce hrnuiliird plut affreux enter que le* ténèbre· / Et de cm vieux glaçon· la lin litre pâleu r, Tout Fépotid j ion aepe , et p^ile i ■■ douleur, Sun eeïl jéitipéré, de h plu* haute dm« Trouve ud plûiir, cruel i plonger d>t>J l'«byme t Il eit pîé* d'y tomber, fatigué de toutfrir ; Mai* il nommeJulie, *i or «eut pti» monir. Julie L,. a mi côté* ci e*pn> il l’ippcll» ;
Il at fait pi ul Un pu qu'il ne marche avec elle. Avec elle il frinchic Ici rochéri et l«t mont) t Avec elle il duc en J dau* le* riant tilldii. Trou»e-i-il un boîqutt ? ce bviquet dm* *uti une Pu baürr de CZermi a réveille U Elimine. Lu paisible hameau i’oHte-i-ll â m y lu* * ]l 1 et CAtJeJ qui dut 1« r en die heureux.
Lit-il tue un ormeau de* Itrrrei enlacée» Tout-J coup ie présente 1 te* icadi«· pemie* Chaque arbre, confident où, dan* un doua lien Au chiffre dt Julie il enchaîna le tim.
Julie enfin ilm» tout en l'objet qu'il edndre ; J1 U voit daut Ici fleut», l'eutend darts lt xéphirt. Parce prenigE heureux la rapprochant de lui, U trompe ion exil, il charme ion ennui ■ Savoure du bonheur l'ivre ne renaiieante. Et remplit [«* détertt den maître*)« ibiruie,
¿puodt dt tHütàrt*
Aviut qu'au vît briller ta lumière féconde , Lit tcrai h tu;cédaient dan» imt nuit prgfoii4ti
Go igk·
Les peuples ι^πτ-i-tenÎr'p** l’oubli dévoré* μ
Sur la tsrre pj5.sïietit l'«n· dt l-eiine iptorïi ; ' .
Lss grands tvéhemeru n1 avale ni point d’iütwpn’ttÎt ;
Lm débris· étaient morts et-i«» lôuibt* moruih
L’Hisiûire luit ; eoudun les leuuont recuti ;
L'ombre * fui f les t-otnbeanï , les débris oui parlé; .
Les générations fiûleutdeni ef i' ituiruistnt ; -ft
El de l'esprit bütiiain lai· travaux s’étermittn-. . .
O eharmes de i'Itud* ! é ■ ikhlitaes récit* !
Dans qurli tratriporti 'h'ssge, i'sod foyeuraslil
Suit les nombreux tombât s dtæArtte·* etde Rotse-t A travers demi mille an* ïp pi au dit as griuel liOÎumé i Consulte l oriledr et le guerrier f*tne*x ;
Partage les revers des peuple* -graads côrï*ml ύυχ. Voit l’ErupAe.romiin sou* J* fer ries Vandate*' »
De les vil* empereurs expier In stalidjîes,
Ei bxCtiiüiT déchire par divers potentats , .
Son cadavre fccü-cd en Tan tir cent Etats ; - i
Ketronve en d'autres tieuK , sur la *ainglttnte iténe , - j
Mareîus dam Candi, Scipion dans Turanne_ I
El rempli de* h ¿roi et lies taies écUtam , ’ '
Ainsi que tous les lieux, embrasse tous les terris. ·
JndépçndacDnicnL du talent pot tiqué et de li ver-i (ihestion , nti doit admirer dans ce poênoe Fart des transitions, Une de; plus heureuses. est le passa je de rhistoire aux voyages, par le vers suivant î L'uoirtrj est «ntûr xrtic viriujtc hisioirc, J
Le poli», en Italie , va rendre son ÎmmtDage tes cendres deVirgiié, et Foti croirait* que cet vert <H>t été inipirci sur le lambeau du rival d'Homere* Virgile ! ab ! c'ert jnr-ttiut pré, 4e ce mottiÜitÀ’r !
Qpî l’ctranget iatrètc avec rtiiisetnêm*
Go gle
Ziü-ΛΐΙ-ΰΓΠ
New YORK P JB UC UBRAAV
, ( e7 1 *
Cille riche colline, et ee» pLicéi féeondti ,
la mer avec érgnéil divelopprnï »et citj'der,
ft <Tüti ciel toujouT) pur l'éclatante beïuli J*
TouLjrcrttbic· j m» regards par Virgile enchanté.
Au± tombée de· Cciïtî ion imt Fut ¿1»traite ;
• r
tanHUM recueille m tombeau du poêle.
Il y chante ce* vert où Didoit i geni T
Jt quitte ce tombeau comate on quitte ’ua ami.
Nous tenvoyons les amateurs de h belle podtk
tu motceau du. voyage eu Grece. Nous ue le iuppriment
ici que pour ne pat trop alhjûger ccïtp
notice. Mai» nous ne pouvons nom réfuter au plsisir
de citer le fragment où k poète ta rappelle le» jeu«
dç ton enfance. La poétie tn est douce ,et respirç
toute la fraîcheur et la griic de l‘âge d'or Je ¡4
vit,
Plein rooitij heureux celui qui peut revoir ¡a ¡vis
Dont U paix protégea ion enfance tranquille t
Dn monde vwi ce lieu que j'aime i m’ecbapper ?
De me» premier» plaisir· je revient oa'arcuper.
P* mur que jt fi uppait d'une balle docile.
Celte pierre applan¡4 , ci, d'une corde agilé,
ïétn tu ci pieds bijndiisiQi, ma main doublait ici lotrï» ,
Cbiq'OEt objet toc ramené i ce» ii niable» jour* tùl es plaisir» sont vif» , 1er peiner ront légère», On l'on ci oit tous les caun généreux et rincer·»,
<% l'ime * v'prge encor, dan» le sommeil des itiil*
Dt» foi Ici passions ignora les tourment,
Dà l'un ne e on naît pas l'orgueil de l'opulence :
Jtredevient enfantine lieux de mot) etrfifice i
fcr reprend» t i l’ajpect de »es jeux In n eut tu , Le c;lm« qui »'ente le avec a oip minier s uni.
nnni'ni nitti
NEWVQFIK PUBLIC LIHfiAHÏ
{ îS )
Les littérateurs teront tans doute charmés de retrouver ici un morctaü plein d'jg-¿ruent et d’intê- t£t, tiré de l ouvragé fur ï"()rigitn dti Sdcncer, par l'infortuné Bailly qui a laissé de lomgsregreti à i'a*- tronomiç,
u L’âge d'nr est, ¿¡t on, l-ourrage dune poésie mensongère. C’est la chimère des gens verlnem qut . le mai afflige ; pour moi\ je ne puis prhser que ce mît une pure Ectlun. Jy fois des ernbchiüsemenï ; mai* j’y crois découvrir un fond réel, C est l’objet de« voeux et des regrets du monde. Des regrets rup- . posent néetiSaircincDt une perte, un changement ¡mur ]’espece humaine. Il arrive à l'espcte T drus Je période des générations, te qui arrive à i'indi' vidu dans h suite de ses ans et de ses pensées. Qui ne regrette pas le te ms de h jeunesse ? qui ne chéiït pas les iàbleaux riant qu'il h hissés dans le louve- 1 nir_? C’est l'âge des illusions , c'est lt tenu où la nature puissante grave des traits profonds et chéris. La maison qu'on a habitée était si belle, les horiuts si bons, les ami« si vrais, les femmes si unceici !
’ cet as-yle était environné d'ÿn air pur, le joleil y était ardent comme l’amitié, le ciel aussi tranquille que le fond de* -eeort. Voilà le véritable âge d’or; chaque homme a eu le sien. Si les poëtei étaient des vieillards, l’âje d’or ne serait que l'image de Cette jeunesse toujours regrettée. Mais le terni de la poésie est celui de cet âge d’or même» Pour peindre la n a lu tt qui nous environne , il faut que Ja nature intérieure soit dans ta force et dans s* puissance. C’cil la plénitude de cette puissance qm permet la création. Le poste, dans la vigueur d*
Goî tgk
J
/
I rç)
. Clunte ses jnuLsancêt, ses plaisir·. ici pefo es, fui sont (score de» plaisirs. S’il regitiie une mi- reîje volage , t'irii avec un icu qui le rend digne i'ijne niaitidic fiJde. L'fspéraUcc anime loutca *s peinture·; le regret est pour l'âge oi il ne ctian· ifra plus, !■ ' ' ■'
. Noifl atoTn mieux lîmê fïtet des rnoitc^ux du pûirfic des SacwMln , que dri vers isolés, de «I r*r/ s rttinif , donc ûor buos pcëtet sont remplît, coiame Boileau, Mine, et sur-tour Voltaire. Boileau cl E-rcine offrent bier> plus iouvcnt lifihfatt d retenir, Nôuj remarquera ni 1 ce sujet , que plusieurs poètes aujojrd hui, après avoir jette dam une pièce uue dtxaipe de vert isolés qui reü forment ou-un *'* beau ¿enFimcnt ôiï ijne pensée brillante propre! forcer Japplaudisscincnt , pensent être afiranctir parla de faire ùù t&üt bien ordonné, et dout les diveïici parties soièat liées par d'Lieurcuiei nanti*' ton1- Quelqcci-uni même a côté d*un beau ver» tt toi pas hante d’irollci' de· vers du -plat mnrv dît goit* On a peine à s'imaginer que h même luària ait pu accoupler des veu d'une touche si différente. Cette temaïque nod) conduit â cette vérité , que poujr le nïêtite d'un poème, il ne faut pis seule rire rtc de beaux veis, mais de boas vers. Les premiers sou- Tent ne sont qu'isolés, et ne lien a eut nullement*! i'ouvragr, qui peut être d'ailleurs mal conça et mal exécuté ; Ici seconds, quoiqu'isoléi quelquefois t sont taujouis habilerurnt enlacés dans le tissu poé- 'rçuCb Aussi Racine est-il Je modèle parfair des bons vers. Eu un m»t, les bons îcrs sont ceux qu OU lüïi par c(rur qu^nd o» foi a foi , et qu’au
Go -gle
H
du reste- - . . ■ - ’ I· U- u -j . ...................... J · tilb t» .] i
Vf'BKAWàiRrêWÀWl MciwlkflKiH- .. .; · .
LJ,lrS '* ÎTOK J,.
Pe.Ç». un rnskaq^ê. J^utue aua^hex ¡i^inpitre ,
Larsqu'inqucla u les xîeüx eu son cquxs yg^rjutii,
Il déploie â Ici ogr fjQtsJa splendeur dp
'. j i '. i " . j
( 3d.)
relit encore* quand on les sait i par ctt ur (0*
Apièi cette digression, qui n'en point hors
propos, pouf allons c«. miner /a AfxlaTifshf^
La premiers idée qui sf présente i J’csprit., quan^
on vient de lire ce patmç, et qu'an lç canjpüfC'a’ji
, C t« que i’auteur a très-bien marqué
caractère de style propre aux deux Sujets,Dan.s, l’an^
sa poésie est brillante et variée sut (oui les ftyty
dans I auLrç^ ellç est toutraij^, et Conserve d'urtj
bout à f aut te la Joyce l^ngiiepj· quj.luico^y^n^
La Müancolte doi^Qffpjrpar coijsé.quog{ des période^
nombreuses et Lu^uis.san tes, eiJjrpfit d«s vêts
i s aie s, à ni o i q s q y’ il* ■ Q >j Q.u t ç 01 un d r nk r i rç iç
dcspetnèes déjà Jçveloppces. Toutes lei parrii-j dflj
te pùëme se tiennent si étroiteçn.ent lr qu'il faui
craindre ù'en affaiblir l’intérêt cq lo détachant dq
J’f iMçmble. Nous avons lieu de, c^jrp,· cependant
que le morceau suiyan^ ne perdra rien à ël^ sépar« ’ ' ■ I
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■ 1
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■'■■,■ . '---- ;----- r ·. . r j —.i ■. I. ji', r·’ ... j, ai,. ,.j ■
(i) HnliuérxutQ^^Bi.éxprAfsiuiu^ ¿4iEuf i/trt <t de irrfy
uir$;« prçmicin t'u^« pWi l'aufxl; nuit dqns.Lp m®pde< cifl
inicLles ueTs, Jai'ii'Ulu iid ippedle générale me ci t dtiéeawr srcxii
C'est dürj ce. cets* qu’il faut en tendrç « rts ekpr«»^üu dan*
l a. ride ei-dessw On connaît ne «qi cÇurü ptajiini < U «b «·
des appUudiSiemens donné». J quelgufi vtri , conarft^;
des Di/tu vms btniat aux jens qui éctrimeno _ u'
i
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■>loiirf lirr-1
rrwïcmr: pi.tii ic ubharv
qui par Jcgrcs finit , , « fonde nui feriieit,
.. ■ . ■■ -■■.
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l,r rr‘ l ■, :■ ■ S J.
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Mac; l'nil qn'ocit ébloui »es lu filantes atteintes , jDrrnind* J reposer sur de plttj douce; ttintts. IH je plaît A. tfiêîtlier erf nueg«» cfor'. ·’ jL’sstife’ qn'ritc ut n>ir phua, etqAed'ùn aetn.eucot, £r innr j 3O¡1 déclin ! la nuit J ÿaL niminit T Lcrubrsge de* foret» qufdac» le; chatzip; s’avince t L· chanson de l’ois eau
Li TOie qui s’etTaee , „___1_________,
Lts bois | les prèj dont l’ombre obscur tic. ha verJure , L'air qui souffle une douce et légère froidure , Jtett qui T jeuk «Heure , tt B->jetq.«C saqu rUrlé *. Ac milieu des vapeurs lev« vq StDpiar&D-li Et semble , en promeut »□$,ajignble inilftUnee. L’o iiacâtne voilé que guide iit.^Unee , , L L· murmure des flots qu’on entend saut le; voir Et Je cri du hibou dani fe ’CAliÉf ^tf-iorr, ÇiEwbien dt ce» objets idrt ghiieda itislesiét - Qs< tons aoncièpe encor h iratnre îttre^e+ic ! A likenr* où h journée appPébie de si-Êtt^ LfHge, tt soupirant, contemple ce déclin, Li. ramenant sur soi sa penséd atiendrte'î f dû dîna le jour mou mit 'ntnijt de la vie»
» i li iqtu ■,-,. ij f - .
C'cit un de ces morceaun.dctit nous pa/iipji an nmameacerne Ht de cette notice , et que Dejille ne .. . r u '. f. / ■ i?. ou/, i A
Whvouerait certaiaemcat pal.
£ctlecteurs, d’apres cet citation», jtpuyent prendre Boe idée du re«e de ¡ouvrage, ^i*i offte j^arj to^ei le Rtîine intérêt , la même beauté dans les sert lime ni ti tes images, ia même correction et la Rince dans le style. ............ '■ -t jrl
ï 1« poèmes de* Spunnrrj erdéïâdkfÎ/flttcifH doivent pjouïer beaucoup à la téputafidh-rftiê le crt. Legbuvi h‘tk) icrju^K dbnj ia poésie depuis sa première (U- Ig&lie dc'la Mort d'Abel.
, j siatî
1 .· t ’J i'1
! lAÎ
F.
P
Cü' 3 le
(Jl J
Stantii au *cit^ Francis ( dr NfufcJtàteatt } tjui avait rtiinmMidi md tifino nde m min in iurviilitintl·.
DahS tei 9ou de ÎVilretiiid «
j'ai lais- s ne coin ber i dorage ;
Ta main propice ra'ajdué· ■
Vue corxlt dfpt mpn moirage-
Par cilr ttriJré ¿ idudrin
Veri le rwige je m'avivct T Eiûien rcrït médite eu thtraiti Lllytnae de a» tecdn habitante .r i. . . I -
Si Le io r! co in Ma ni (bon loflhvl Ali port ictit etiiio que ,
Sur «IBI Jeu ailiFiCl ¿»,H ,C¡VÍ Ma mai u grîyrj» c« bienfait-
-1 Í ■
* . b 1 J- , ■ i i I ■ ■
Mùi r«utd Mcri.de Neptune (Ce iccerra point mes tnbui^ Oii n'y verri poiitr «uipendoi
' liA’débrt* &‘ìaoD iiifórtuii*.
À lÀpùllob de Ñ e ti Tl fia t-r^ b
t -: i i <i .
Je porterai lûui me· ¡iodi Jtitgci-
Auâ predi de tee fendei image* 1 jSìtlc li* rii mon éx-vdto- '
-
ùìiìt .- . . í.i'J. ■■ ■.■ r.-.-'J
: ¡M.w» noli„ écho de la Frati ce, Dira ¡ani une à l'tuiivert, . .
Q11C chea nulli; le .djfu. firn beai» ver» _ )i>c 1= dii« 4ç lyb^pfjaiitfüce^
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[Inginsl tain -
- NtW ÏÛKK PUtì Ll'L tl KRAK T
Got gle
1.
Tu Jâigr.fs quelquefois m'admettre.
Le feu brûbftt de tes soupir» ,
Sobdain ci’ëtliiijH’e et me peu tire.
Je lit» à-U JjjUlvte çumme AU grand -,
A son grç de moi l’upi dispose ,
Et mon enveloppe « pour cause ,
Si renouvetl* fors souvent.
Je suis l'ami de la mollesse;
Mon' corps exige quelqu’apprét>
Je préside au séjour d'ivres»é ;
Aussi Ton tue quitte i regret.
Si quelque souci l'importune
-Sur moi tu viens le déposer.
Entrevois-tu que U fortune
Commence à te favoriser ?
D'une espérance qui te flatte
La ouït je te vais occupe.
Lorsque lu maudis uoe ingrate ,
Lorsqu'au jeu tu te vois dupé ,
Sur moi Ion désespoir éclate.
Adieu, je t'appelle au repos.
En paix que ton cuir se dilate!
Demain tu seras plus dispos.
lOGOGAlPHB,
Mon tout est isset singulier :
Tu vas en convenir, ami lecteur. Entier
Je fus ua général, l‘honneur de u patrie i
Tirai XXXfl. G
Ulivi lì uir
PUBLIC LIBRAR'
(34 )
Je sais rm livre aussi tTÈs-fnmrux eu et têtus.
Oie r>S premiere partie ,
* Je fais pjui Je ii«?is fuis iron cens.
Empoite entcT(la portion iiri vante ,
Rene une région , ou sauvage. ou charmante ,
Qui iif peut confronter avec aucun tcTrein.
Suis itiujtjUjLj le même deiatiu ,
Coupe nue autre parcelle t
De met perte« je tire une force nouvelle»
• réduÏL ârpeu je suis toujours fécond T
Et je produis uti ankle, un prénom.
Jusqu'au dernier morceau, mi valeur est égale;
J'expire enfin lettre dominicale. ,
Explication du Lngogriphe du N·. 3o.
Le moteit Legegriphe, dans Lequel on irtmvd gleirt, poli,
orge, ot, hire t toi, rOfiie, Upe, Hali. gelptie, grit, roi, plie,
petit, rt, gripe, pile, ire, poil, rtle, go,t^.·
ERRATUM. ܰ. üg , page sgî.Au dernier y«i île ta
Charade , à La Gu : an lien de mon dernier, llttz mon entier^
SPECTACLESTHÉÂTRE
Dt t'OfÉAA OÛbflQ.Ut HÀT1OKAI.
Q'eat avec une bien véritable aaiiifaction qiie ats*
noDfon· le attecèi brillant et tfluten* <J’uo oavnge doit.
Jea représcniationa se ru rendent à ce théâtre avec rapidité-
Le litre est rOpim-Ctntij-je, et l’ouvrage est Jui-mènie uü
des pttia joli* opéi^J Cùgihjues que nous ayoïit. Les ante un
ont prêché d'exempte; puissent-ils avoir de uombreux ituî·
tateuri I lia ont fart, tacts parti we y prétendre, la centme
la plus cornplcite du genre mounrueiix auquel nos Lhéatret
lyriques mêmes ont été trop longHem abandonnai ; Hf Dnt.
heureusement éprouvé que le goût, du public était bien loi»
de ne demander que des opérai larmoyais, des dratnes cl
musique, pu de véritables pantomimes mêlé» d'adiit»; d
□rçSrvil ITE-m
NEW ÏGRJL PUBLIC LfBRAR
(») ·
apte la comique véritable s fort de 11 iîrrtpt^cîtê , laüt tou* jours li.r plaiie. '
Leur iuccé* i été complet, ei cependant , dans Itut* muyens, il n'y araii ck peo ordinaire que le goût avec lequel te» moyens OUI ère employés. Le folid -de |'quvrag,tf eil eïtrtiaemtiij L ieqer ; tiûis pet sud nages Ilfi iultûeijl· Luis etnirr nt présente, 1 bien dire, qu utie siiuaiioti 1,CI|2Ï5 elle isl inféaieuK^ et les seett'e· seul >i bijja filées, le du légué est-tellement urtuccl, si bien coupé, si hcilemcDt Spirituel, que ceire liiuïùon sc prolonge t»i>* monotonie. Lu Vaici wue idee :
' Lztir« , jeune artiste, oompoie la musique des opérai de sou oncle ; y· jeune homme , nommé drnwid , n'a vu Luuft* qu'au spectacle , et il en crt devenu irés-atnotiTcti* ;
. il n’a pa enifereoir· la jeune personne qu'une fais, et de *a fenêtre. Auteur d’un opéra qui vietn de rênnitr, il ima· pac us) moyeu de M prupuixr clict L'qacle d*. Laure,.
<< Je MJ1 , lui tcr-H-sl , que VCtul· cOniposta un cprrt sur >e oaéiue sujet que moi; je m’empiesse de vqui rendre 1« dépotitaire de mon ouvrage, si vous ne préférer k terminer ensemble, rs L'oncle reconnaît la nue , et cependant Content â jontr lu terni dit avec Armand, puisque celui-ei Ta désiré. L'entrevue □ fieu *, il s'agit de nicître en répetr* lion et d'essayer ['effet de f'ispér» comique auquel on travaille- Annan-d çjt chargé du rok d'amaul I Laure Mil le lien par cnlur, et l‘*nc|c conserve celui anqutl il est aCCÙü- thmé. Gn dresse le plan, on arrange kt scenei, ou cou* rient du dialogue1. on répété; et dans celle ahuation , J’a- nom des jeunes gens et leur vif deiir d'être uni*, la tmsü d'Atmand et son embarras sur le moyen de sortir d'affaire, fout se découvre aut yeux de l'onck déjà prévenu : il stf charge du dénoue me ni de l'intrigue f une vive téprimandé' nr adressée au jeune homme t' il im reproche l'abus. dccbn- fiance dont >1 i'e*t rendu coupable, I artifice dont il s'est1 servi.... Déconcerté* et tretnbuns , le* deux aman* «'¿loi·* u Attende* (dit l’onde'qui veut jouer Ja comédie frMta’i h fia ] , il y a' encore une sretie..... i, Il les rappelle , c’en pour Jet embrasser et le* unir.
Nous ne donner ans pas plus de détails sur cette jolie production du» aux eït. Dupaty et Ségur jeune ! mnitn k' spectateur est prévenu, plut la représentation d’an tel ou- nage <« agréable.
La musique est du est. delta Mari· ï c'est celai de ers oi t’auieor du Aiminr wt le plo* facile me ut G a
Go* >gle
. I»)
ntooou. Noua ne savons si (es premiers morceaux ont tifi leur peu'di sncei'i i quelque defaut d'exécution, i des pi- volet trop négligées, ou à U.es, couptirçs rnusiedes auxquelles nous ne sumpçs pas ittOUluuiês ; ils Ont C{?in p L e He ve Kl . dtplu t mais le dau excellent entre ronde et L amant, le ititi de situ alieni, les airs dctacLé· es les co.ispieu, ont réuri .tout tes su tirage». Lei ace ompigne mena sont toujours d'uue. fraîcheur , d'une élégance, d’uufe simplicité Tema r quatta, j: 't'est le tic bel particulier du j citile co »positene doni noni c parler» >■ * . ',
Nuli» avom dit que troll peTitìnnages seulement parus- ■ alieni dans i yptj'4-ó'eifiijiue. Ces trois rnjei ioni joues par k riioyetiiie Saitìi-A^bln , ZILevion et C Le nard. Le pnblit 1 ne les a point distiugué* dans ses.nombreux applaudlué- " meus : noni de von» les confoodie dans l’cloge waçere qu* - a ou» uolîs plaisons à leur donner- .
" 1 - ANNONCES-
ata Jvoirçnw eu Iltiit.. oji histoire militaire , '■ politique et pliilüsùpbiqiie de la révolution ; cotneuant ce j" qui y est ¿asse de relatif à 11 République Française, en *■ Afrique, en [tabe, ta Suisse et dans le midi de la Fumet ; ' tii outre ce qui s'est passé de pins intéressant i la Cotveft- f tien nationale et dans les deux Co-useili : par le.ritolta- j Deijardini. Ouvrage eu 5 voJ. m*8°. avec, une carte, Prix, 1 i6 ff, pünr Paci; , ttïi fr. Franc 4e port pour Ici dépit- |i terriens ; se vend rue des Matliurini, n°, 33o* chea il : cil, Pûuthicn , libraire, â Paris* i
Parliti les campagnes qui feront epoque din« pütfffâf, „ CfHu des Français en Italie laisseront un sonie ni r aimu durable que les ëvénemens glorieux qui en oui été h torti· '.■■ Les dl'olts dei peuples Mlevés sur le sol de la superstition,' les armées des despotes brisées par l'armée. répnbb«ty<4| d'Italie, l’aigle des Césars repoussé jusque: dans Vitn»t,,< le . Capitol e te relevant de se* ruines , et la thiare fu gitivi i l'aapfct <l,e trois ?au veli es-républiques : tels soûl les jjnutii objet» Fcnterinél dans cene histoire de» Campagnes, 1
L'a ut tur a traité ce çyijet avec toute L· fidélité qç’i do.r carac'tërüér Fliouimt qui veut écrire L'hisiùire des ptuplcT, Il a su vaincre les obsudes qui s’élevaient □aiurelleiaci11 de tatiL d’intérêts opposés, Ferme dans les pi in cip es qui cp[ ‘ consolidé la revolution , il montre dans tous le tours de v ¿a· ouvrage , la cause des peuplés triofnphauti , et le*. '
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□rapali cm
NEW fORK PUBLIC LIBRARY
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.................. l*r)
bien· inappréciable s qui doivent en lésùker pOurlhuiHi'anùc,
JfDfllijftiïiu ttntiJîre dam une Rêpnhlijue, ïrüduirc ji-8e. dt 40 pages d'impression; par te tût. Delicroix , juge ri tributiii civil. du, drjiarlémien.tj^de- Selne ei Qisjl. C¿tçr.Brochure , {fui nom paraît digne dette joint« aux diverse! édition« des.OEatnsi de Montesquieu, se trouve i
Paris, rhei Moutardier, imprimeur-libraire . quai d es Au· gbstiii; , 11°. ï8j DisêntA , iiEwirt , ! au palais·Egalité ; et Versatile« , cher E*tcnc, imprimenrdibraire , place dArme*, a*, l. Frjic, 6 déc. ;
Biriiflnnaire géographique partait/" , ou description des tnyMimes, provinces et villes , el autres. lieuK comidéta- ble* ; pir Vosgien : jiigrlienté Je la division Ali tcTrilûire de :fa République en départraenB et en cantons, et d'une ■■bleilphahéiÎqB« dfaÿ tille· delà Rép, Fr*.· «Aée' le netn du dépntetnerii oc ίΐΐΐϊ'ίίtrouvent ;dè fadéogreplde rïtoderae, rcrrijte et augrnetnée , eie. « -voir wt-8°. Priic, 7 fit; 5 dtc. et lû fit. frauc de port. A Pari» , chei MamaTHirr , impri- . ,Sttiir--titrairc > rpntj des Au^uitirrs , η.-0, iB. H est inutile d’entrer dent un laag diXa>û|*r l’htililê de-c# Üictiertnaii t : h succès de celui dEschsrd, tel que Pavait donné l’abbé Uvqcat ( Ici augrçerHatÎop* ex coTtecdtitii fiït-ri 4 toutes les éditions qui l'ont précédé, patient assci en sa faveur. Nous . toj*. tonne ο te rojii doi>ç de prévenir le .public sur les etan- ■ ¡de celle-ci. ifl. Quite fa connaiinuce parùcnl'e e de fôltopp occidentale que ¡fauteur a parce mue, les dficrip- tfojis Les plu-srccc-ptes, les topographies le* Mu* dclatllces fini itrvi de L^se 1 son inirneiur travail. ç°. Ceitc ridai, ron- pfant plûide }oG ai t. nouveau! que le* rliingrinftis politiques ,uo'flnbc 'ont accaiionués- 3**. Le nombre de correction· *eà"tf'atiicles: refaits surpasse ce nombre. 4°* Le* ¡oneitüdet bien les ont été vérihée* jnr les autorités de* voyais m s ^itroDom«* et géographe* lt* plus esiimèi.--Sa\ "La partie yde grograpLie mueuiit daiït c-ïtLe nouvelle édition est au' gnentè-e nfa 'pas été plu* néglige« l^jî la moderne t lfait· -/nu nLly 10tint pas 1* dénominalioti que Grotius donnait Λΐϊ de dictionnaires , a plus cherché i être utile
-qu'a lir^jBï l'honneur dfun travail dur et difficullueust. Md gré éette modestie, nous rendons justice à son isle- et ■Ait* recherche*; et nous crayon* que cette nouvelle éd·* üan l’emporte de beaucoup en ¡mérite sur toutes celles qui . T trat p recédée s, tant pour fa beauté du cïracttre et du papier, ..{tu pour L'est édition typographique. *
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VY-ORKPU0
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NOUVELLES ETRANGERES,
* ■ 1
T U «4 ■
De Camta^tino^li, le i". mrjs ¡dur au Fl.
Ï_/aMBA5$AI>£UR dft T.ilSjie fjjt (qui « £4 effort· pçrçr
faire .entendre au divan que jaUaue sortie deToulw1
menace lel ^ie» (le la Grèce. llámeme ûffeTt.jAtk .
la part dtsitûur. une armée de
anille horruu«, qu’elle ««vjertaitoMcda
ha ut estele trouvait nécessaire. ; ■ . ... n
La Porte n'a pas cru le dasigevaeui i«rtni»nt t
pour emprunter dei tecMnrc ñ:<hn£tr tt¿u · '-' ■■·
■ ' ■ i , I : ■ . ■ . J1 j ‘
RuSMK- De Fúrtiatt, le i*7. «wràfor. :
■ 'i ■ ' ■ . J“' '■ *
En passant par cette ville, çim le mémorable>pg(t~ '
tige a mise au nombre de tes dothaities ■, *íe;'rdi de Í
Truste a en une longue conversation avec îc gihié- ,
tai Mariai inski, un des chefs qui signalèrent vainc- '■
ment leur bravoure tt leur patri'ôtfsm t, ehcopiblj- '
. tant pour i’iu .lépendaiice de la Pologne. Le ¡süjét'iét· ■-.
le· tésultata de cette conférence tüQt égak^njçijjt J;
ignorés. . ¡ ■:
Pobtugal. De tislrinne , le ij ^f/uruL
Le gouvernement vient de déclarer que tout ap* v
sialeur pu toute société de négociant qui shudra ep- -j
voyer des armateur* pour faire la pêche df*baTeirs£t ]
sur la COtfi du grésil, en »¡Ùr celle d'Afrique , ost <6’
jûrmaii nna seulement libre de h faire dans scs fpfcrager,
man même aussi d'établir *m Jes tslev portnga'ïts
<ie l'Afrique etMut le* côtes du Brésil , féfr
chaudrons et ce qui est uéccuaize pour en çktrdire
p-ly|i.w:num
NEWYCmiCPlJHIir I BRJULÏ
(’!>)■ ,
FTiirtté, et prépare* tes autres prrÿdiiits'ie tctfépiAe-
Nôtre ministre de la trutînt, animé du plus grand
i zèle poqr Le bien de acn pays, est celui qui a «ohveillé
de détruire tes privilèges exclusifs enisians. et
. il a fait sentir qu'il en résulterait un grand bénébee
pour te Portugal.
k
, S U EUE, Dt Siocihtlm' ¡4 II IMHhfrr,
k
Oh assure que le rai permettra incessamment, par
xtn édit, d établir des fabriques dans les iumpsgut);
1 et par un autre , de faire des recherches üa£Q Ica
| tu a lions pour y découvrir tes marchandises de ton*
trebwde. . 1 ,
L Plusieurs incendie* ûnl; 4u lieu , depuis quelque
k, 'teart, dans nos foré» i un ignore s'il sont été l'éffet
> du hasard ou de la méchanceté.
j JJ«i?misdu baron Armfeidt ont fait courir lé bruit
k qoe son procès allait éttç recommencé , en vue-d'établir
son innocence i mais celte nouvelle est rcut-
; i-fait dépourvue de ion de ment.
I Le cours de l’argent de banque conrrc des cedutes
f àndertet de l'Etat est tombé à jo pôur ioo, ec-qui
! Cfê'une suite des
; jwit a cru elle tu eut
■ Du «5. Lrsroi ¿»parti hier pour IçJ bains de Me.
dcvi< où il doit séjourner six ou sept srmsiiics. La
' «litt,ctten des a fur ci , pendant son absence < tic
Confiée à un conseil composé des minute«* comtd
de Wachtmei sire comte de Kmk, bai ou d’Ugglus,
baron dEhrenheim, du général Liilicnhorn cl du
1 cou ire-amiral GronHecb.
I I.
»■ .
.. Dt Coptnkagtu, It si flUiisidor.
1 "Oa vient de calculer que te seul commerce du
- fréis dé Norwegea occupe, l’année dertitere, 3iuua-
I yirci' contenant ensemble »»,344 test* ( de 4.&O0 Jiv*
f poids de marc chacun ). Sur ce nimbit de bàttemai
chargés, 63 lentement emporté leurs cargaifeuù
en Augleieïic. -
‘ <ï t
operations du juif Raphaël , qiiL
ici d une trramte considéra item.
Cmtjlnal tram
MElN YORK PUBLIC Ll&RARY
('4° )
. .L'esta dre runeco os »stani en cinq vaisseaux de
ligne t une frégate et un cutter, a mis Je 9 dece mois,
à la voile pour la mer du Nord.
Il régné ici depuis deux, à trois moia une si grande
léçbçrrssç , qu’on craint beaucoup que l'a mt>i$ipn
üt soit triamédiocre.
Une frégate danoise a envoyé à Cbristtantïnd un
corsaire, fratiçait, parce qu’il avait pillé l'équipage
et les passager* d’un navire danois.
Le 14, il est arrivé devant Dragoc une seconde
escadre russe composée de quatorze vaisseaux de
guerre.
Allemagne, De Hambourg, feti mtrridor*
Outre la loterie qui doit produire 600,000 msrCS
de banque , notre ville se dispose à faire un emprunt
dun million et demi, même monnaie.
On a mandé d’Angleterre à M. Westpbal, sénateur
de Hambourg, que les Ïtats-Unil d# l'Aruéïique
septentrional« avaient déclaré la guerre à la
République Française,
Encore hier on assurait à dix pour cent sur lis
vaisseaux américains; aujourd'hui, e o conséquents
de cette nouvelle, on n’a plus voulu assurer du
tout. ,
Au surplus, 1« lettres d'Amérique peignent dtJ
Cüttictiis les plus tristes la situation de ce pays. L'argent
y est aussi rare que dans la guerre de l'indè-
Un médecin habile a publié Ibnncnce suivante,
sut la mode des perruques et de; cheveux coupe*
que les femmes adoptent,
it Lt· chevmx sont un ornement oalurelf Je? perruques
sont aussi miibles 1 la s an ri qu’j h beauté de* fem tr.es>
'Dépouiller Je rû*ttr de ses feuille«, il ter* d'abord momt
bt.au, et il ic dtt léchera et ae firirir* bien ici. Les cheveux
lotïi autam de titiiiii pour ¿conduire l'excès desLumeuri
Iui tt portent vers le cerveau. Quand une fois ces canaux
e transpiration sont coupés, on drtrnii L'équilibre des par*
des fluides i (Un se répandent «lois par U peau, Urmce
l G<x >gle p-ly|i.w:»um
NEW ÏTJF.K PUR. IC I BRAF.T
de petit) pfrr*S , »ht les yeux et je» dents ; de-là résultent les etcurdiiscmenj , tes vertiges le» lEÎnii pâtiret les twx d'yeux et de detiti. Veut-on tüxijETVtt jt)m 1i perruque se» propre* çhcveui „ le» suites en »¿ctt ip^ins lacEttuc»; mjjf elle* U »oui néanmoins encore. 1
i» Le plein air est ïuOî nécessaire am cheveux qu'aux
1'
i
4

1* Le _
J plan se*·
L< st Si les femmes persistent i girder cette inod«T hIot» (je :j ^rasie ici comme médecin ) ou verra sou» peu h mojuê

d'entre elles ayant de» accès de folie, le teint «ivàin-, le* ' dent» gâtée» et le» yeux aHiiblis.
>s Quel marnent heureux pour déployer tout les moyeu» de l'aft !
tî J’observe que je sut» d'autant mains suspect. que je parle ici contre me» intérêt* et Contre J’ci prit de moùiiit; car d'ordinaire |e» médecins aiment mieux guérir que prévenir le» maux, ss ■ , . ■
I-
De yienne, le sa meuidsr, Les préparatif» militaires coislitjuent ici avec beaucoup ¡1 activité ( ainsi que dans tous le* Etats autrichien!· Piusieujrs bataillons cantonnés en Bohême, en Moravie et même en H on- ' Eric·, ont reçu nouvellement ordre de se rendre dan» la Gatnicle et de là dans Je pays de Venise ; ¿'autre* ie portent en Bavière et enTyroL ©ci ne Cesse, dé transporter dans çç» deux pays beaucoup de muni- tiens de guerre et ¿c bouche, ainsi que des trains considérable*» On garnit sur-tout de beaucoup de troupe» les frontières du Tynol qui a von ment la Suisse et 1« bord* de l'Adige. > - - ■
Notre cour vit même , à ce qn'oui assure , sur le point de conclure avec le prince de Brikenféld, 'envoyé extraordinaire de l'électeur de Bavière , un traité d'après lequel ¡’empeeur pourra*! occtipir toutes les forteresses de la Bavière, et faire dan» « pays un recrutement de vingt mille hommes, ;
On n’en redoute que plut vivement en Surjeté le joug de-i’Ajtcïche,; on ne le trouve, pas moins Itsint dan» les provinces nouvellement acquises en talie ; jI'Allemrgae est aussi généralement aigrie contre ce cabinet qu elle accuse des dangers qui la menacent eucore.
L’esprit philosophique gagne ptiis que ne le croient
Got gle
NEW YORK PLHLIC LflKAR
! 4* 1 !
certaines personnes qui t’en défendent ou qui *’»l
jurent après l'avoir autrefois ptôné. C’e$i lui qui a.
sonné 3a dernier? heure 4« 15 pliypart dçü prince·
i ecclésiastique*. On en regarde le ttcqfcc cornine
propre ¡i accélérer la pain. Ainsi p rosque,* ou s iti
v«iix l'appclknt» Le baron deThugut s‘y oppos« eq
vain- On opere que Je comte de 'Cobenizef , donc
Jes vues’cqnciiiairkej uml xonnuer, ttêtruini enfin*,
«n prenant Je tímen dei affaires, la désastreuse iu^
fluence de sou riyalT ..’ ' . ■ ’ 11
C'est décadi dernier qut l'armée ottomane * d£
-attaquer Psiswani-Oghi sur tou« iti points', en con-
»équence d'trtt ordre'fort* et du ■gtawchfeign e*r. On
croit qu’il aura 'bta-utoop de peine à téjtsteï 'à' tirtt
de forces réunies contre lui, »oui là iFitetfion iltf-
-mediate du capitanrpabUft. 1 .■'·.-' ■ *
' Di Francfort. ie 90 ntfïiidûr, Le roi àc Prune a fait
publier une déclaration par laquelle les ducats tic
sont pas compris dans T* défense cTcjcpaìttr í'pr et
l'argent de ses Etats , et V c^pQitdtiou en est permise
«ans aucune rcutrictioq^ r
La moissùn prochaine s±ra, Siítvaaf ¿butes lés apÎ
arenee« , des plus abondantes dm^ presque toutes
es panies de [’Allemagne. tj ■ /
L’archiduc ÇhyrWsa» ectouroé à Prague, 1« i& dp
ce mois, de son voyage i.T«pfcta , «Toi ÎL a fait
quelques tournées dans les enviroM* -. ■■
Le supérieur de l’ordre de la Trappe/cjut a quitté
la Suive pour se rendre (n A lit ri che nvet ton« *er
religieux , comme il avait quitté la France en ijgu
pour «e transporter en Sur «se , vient JA’ae quérir le
monastère de 43 ali miti g-«b Autriche t ch dit queett
ordre a emporté avechui plusieurs millions.
Il paraît que nous touchons tu montent d’ètre privés
de notre indépendance. On notis assure que. le
Sort de li ville de Francfort, ci-devant ville libre et
impériale, te discute sérieusement à Rastadt , et
qu'elle va passer wtu h dcmiaaüon du l^udgravç de
Îïtisc Caí »ci.
Vr- ' V
Lili ij In Fil ïn-ïT
NEWMDRK PURI IC L IBR.AR
(
1 De Rastaàt, te iS ijitisidsr.
Le Comte de Cobentrcl O$t parti pom Vienne , hier à VX>ii heures du mutin , açrês avoir assisté à Une représcutMioa de. Pametd, tmvtstge de François ( de Netifchâteau ) , et à un jrwdioupei. donné pif le comte de -Metternich, à bl· fa dm S k- du margrave de Badtn, qui .était venue pour aastalet à ce spectacle. .
Le .lendemhi .de La clôture des coniérenaci de ïSoitz, iai tumislrci Sonoicr ci Jon-Ektxiy gmt. notifié au ministre directorial Içjjis pleinipotiYpirsde jcnnclnie ift de situer un traité de p»î.x avec -TEm- ■pire i jusqu'à oe japrs ils njtveKBt’eabjbé qiK. de$ ’ pouvoir» de négocier. , ,
Hier ajt icit en arrivé ïçt Je ttt. Robçrj-cit + en qualité de troitiecoe ministre plépipoientiaije.- i JLa dertucre note 4c b députation de l'Empitc a èrd ce mite *vaot-hi0r aux minktret français pat le rontroicsaire impérial· On pense »qu’ils ne donne* font tme réponse qu'après la vé ri fient ioü des poti- voiri du dit. Rébeijot, qm suri lieir demain ou après. Cette -répétme jettera tin grand jour *ur l’a venir des négociations et sur xe qtf on doit en attendre,
H est arrivé aujou .4 hüi de Vienne un olfiiïer eu couriçt , avec dei dépêches importâmes.' On tu pourra deviner le codecqu pu l'altitude des minû- 1res autrichiem- . . 1 . ”
L'évéque de Spire a fait enlever ses irqfuvci et autres piïets du.cikâieau de >EUçb>»]. Cette-évacua- tioti a tu li-eu < il y a quatre jours , à l’arrivée de deux eslafettes.qui lui sont arrivé» du Ba»'4hin.
L’tvéqne de Liège, qin était à Eitingcn T à quand lieues d'ici , depuis le comme ntt ment du eemgrè» , est parti, il y s quaire jours, pour « rendre à Eri uri.
Piusiewri otivoyts particuliers et autres personne» imérrMces mtxnégarci*Ti<ftiv de Rastidt quittent cette ville mcic»livciDCnti loit parla lassitude cjuièe par la lenteur de leur -marche, au par in crainte d'une £□ precUiujc san» aucun résolut.
LUgil
Go. gk
Q’iqlreftllratn
NEW YDP.K PUB UC LIBRAFtt
(44)
P r Pc Btr/tu, le i§
Hier, les Etat* de Js Manche, de la Silésie, du duché de Magdebourg ,■ de FOm-Frise et dêrptovibcti de Wcitphïiie, les députéi d« ville* et'des villagts de ces ptovihtres ,' cl la bourgeoisie de Berlin CCI prêté homitiage idfùi. ·. \ < f - :■ .
Après avoir reçu FHomwiage de là -noblesse , le ni aejeridit à un balcon qui domXi tu ri g ru ta de-place
du château, où étaient rassemblés les députée det -ville· et de toutes lesprovinces aijemeü-dts, labour- g toi sic de Berhn divisée en différer te scanrpagwis, «t utiefoqlt immense de tous tes Etats.'i a · . :
Le ministre barbu de Reet ieut jdr»M^nridi «cours, dans lequel on a ve marqué le patagra pEe, Msivaûit, ' u Regarde! autour , de vous, et comparèrï Où frou*- ^er-voùt plus d'ôrire 'dins les diutilr , ^la«· d'ensemble dauj l'idm¡nisrratjÔTi -générale que ¿Bni 'les Etats ptuniesii1 Où les finances BOlitrelliia dui^éru arec pl-LLS d'éCntiAtÀle et : dôisgtise ? üu trouverei-vous p^as d'inco® ragemalr pour FradnstrU utile? Oi jetnafq Lier et-venu une:-harmonie pim parlait«, entre les- droui de l'hotucue et- ki devoiri ? Où, y i-t-i[ plus d éftdüé deyam la loi, la sa égalité ■pqsdVLe-'1 Où-¥CÏt»ûn plu» de liberté publique, qui hé çpppaû d'aufiis bornes que celles qui lui «ont iudispentiblemcni uÉcessairri, , celi.es ^e$ Ipji?r0u y.a-t-ii plus de liberté de.cquscietsrt?
Où les tribun*^ sont-ils plus indépendant ? Où lés propriétés sonr-elks mieuw protégées ?Ûù y i-l-if plus d'abri cemur fe ptniveir arbitrsire , c'onirt J'ûppreijîbn'!* * '
vt Je parle à des Prussiens, qui BaveqS tidp' ajipt'ifcîer tder bonheur pour permettre qu'il toit troub.li- V.&ui tfe 1 vont laisser et point emporté? par l'tvTfjie~des:4piiâmirs
' prêter et pas -IfâniUe à des iminu nions perfides^ vomi te fiiestf pas v») regards sut des fantûtn*a «édaitans qui, dari in moment'sc ehaugttu en fu\ica T briicat audacieuse meut imt le* liens, et pour rendre ton» égtltsaent malheur*»*, éblouissent Iti individus par le prestige d'on parfaite injé. pendante, et fin in eut par *n chaîner la naliotu Non, 1.” lieur£iix habita us de b Pruue ne *e cottvrît'Ont pas de ceitt ignominie- ti . ,
... Le président de la ville d’Ei s pnberg. répondit î et discours . en protestant du dévoue ruent-de» bojr- ÿcois pour Je roi et U constitution de l’Etat, Apiéi
Gch gle
NI-';, ■ . iR< :. ,· ¡wv.
MS )
qrfrîï le* magistrat! cl h bourgeoisie prêtèrent le ter·
ment. Des cris réitérés de mtr* le roi ! vive la reine b
et une triple décharge rie canons, terminèrent La cclémonk.
- , , ,
Lia Eiàtj furent invités à dîner avec le roi. il y eut
plut de jîcû couverts. Ce soir, un bal paré h la
tour mettra fin à ectie fête qui, en général, a été
ordonnée avec beaucoup de î s gesse et de ptècaulions.
■ ■ ;
. En mémoire de.cette Sûkmnitè , ou a fait frapper
une médaille, qui représente d'un côté le buste de.
est nu Etat militaire, dont-U force et 1 éclat consistent
dans une armée bien organisée.
Pendant tou te la cérémonie, Us yeux d’une grande
Îarrie du public étaient fixés sur le ministre de la
époblique Française et le prince Repnio; k morgue
etle tan arrogant de ce dernier n’ont pas pin à tout
ïc monde , et a contrasté tFune minière sensible avec
le inamticn décenr calme du ministre français ,
Sytycs.
Tous h* préparatifs qu’on faisait ici, Jet iHumîiia-
Uons, le· arcs de triomphe, ont été suspendus par
qrdre du ni, les contributions que Jet habitant desttuaient
à cet effet. seront distribuées aux pauvres,
Les noms des contribuables , avec la tomme que
chacun aura donnée, seront imprimés. .
Ce n’est pas la première fois que le roi montre une
tveisioa déclarée pour tout ce qui est luxe et appareil.
Au moment oui il arrivait à Koenriberg pour son
couronnement, on tirait un nombre déterminé d·
coups de canon, pour célébrer son entrée dam la
lallc oà l'attendaient les différent ordres de 1 Eut,
Î-ê toi fit aussi-tôt cesser le canon, et appercevant
un trône élevé sur plusieurs degrés et surmonté d'un
dais, il ordonna d’enlever et les degrés et k dai*,
et tome autre marque diitinciive-
■ Un jour le cit, Cadhrd avait été invité à la cour,
Eh grande cérémonie. Après dîner, ou présenta au
comte du Gorti, goqvéiûtur de Ecdüa, une cart·
Lui
Olyiitri· front
IfW rnF.K PUfll IC I R rap.y
( 4M .
pptir faire h partie avec Je ministre français. Le prussien, sachant qu’il demi jouer avec Gaillard, eut l'insolence de dire au maréchal de hcour, haut pour que le roi pât l'entendre : t* Monsieur, je ne joue pas avec un roiu ici ■·. A peine eut ci lâché ces paroles, que le roi lui dit : h Mon cher Çorti, v.utiC voiture est en bas, et vous attend i je cnm- plctterui la partie par un autre ùitcicr >·. G or 12 Jjr obligé de partir sur-le-champ.
Bu co. Le cic; Syeyes , ambassadeur de lu Répubît Française piès notre cour, a eu hier son audience de réception. Voici le discours qu’il a prononce en préienidiH ses lettres de créance à sa majesté ·
«i Sire. la Ifiire de créance que j’ai l'honneur de ih Hictthf i V. M. , exprime Jes lentimea* qui animent le Pb Tttiüiie de la Ripul^iquc Fr-ança^t cnveia votre ptriontit; elle annonce le> 'motitt qui l’ont CDg*i;é a i me confier!* mission imporlinte Ci houorible que je viens remplir près
îî J'ai accepté cette mission, parce que je me suis coni- iimment prononcé daû* rtu patrie , et' au milieu de toute* tes fonctions au* quel les j‘n été appelé , en faveur du lyt- tinte qn.i taud a unir par des liens intimes les inrétêts delà Frsdea ai de la Pru*** > parce que Je· ÎQihruciitius que j'ai reçues étirtt son former A mort opinion politique, don flti- niatext doit être franc , loyal, amical , convenable cd tout l· Je tnnralitr de men caractère ; parce que ce *yatêmc d'unioi· d’où dépend la bonus position de l'Europe et leaalatpcvt-êiru d une partie de ¡'Allemagne, eut été celui de Frédéric II. ^tand parmi Je* roi* , immortel parmi les harumes iparceqw ce système enfin ut di^uc 4e I* raiion judscHW* rit- bonne· ioteuiioua qui signalent I* commencement cU vou» légué. ’
si Puissent let espérance* de mon gouvernemtRl n’étK pu vaine·, 'et ru et lentimm* bien conuni A cet égard être regardés, par V. XI. , comme un titre de plu* A 1* confiance de ut* tninirtfts. n .
Italie, i)t Jftiplu t le io ffltfjidor. .
Sur la demande formelle et réitérée de i'aiabiisideut français , de mettre eh -Hberié le* détenus pour opinion* pb fi tique* , la (curs’eu déiciminée , non A Je* élargit, n»b A laire cç&tÎBtier le prows de plu*i*t*ri, tr à nkt- ·*■■
■ Go< ‘île
jininxl hem
NEW YORK PUBLIC LIBRARï
- ( 47 > . . .
minet les sentences déjà prononcées. Le dievaliçv Mcdici et pluficDT) autre* OUI nbtetiir le décret Je liiirrftuf i’iy^riud; mais Je premier n’en est pas content f et demande à êtr* absous cûwtue tune cent , afin de poursuivre ses calûinnia- l-eucs. On assure <]uc tou» les antre* deieiiui obtiendront h ménse semence. Ûn ignore quel expédient Ion pre-njr* pnhr le* individu* cûiidirtiiici e-B Jn Et pouf fei .fugitif), il est certùn que le cil» Garai inmtc pour la liberté d* MJttt , et pour leur riiuiègra.ion dsna tous leurs droit*,
i 1
De Florence t le n iTresitiinr.-Notre gouvcrticment vient tï*dpprendre , pat un co-uricr extraordinaire, que le chevalier Atari a expédié au cardinal Loreoiana, h détérnrination pcsiilve et imprimée, d'après hqnelle le pape doit se retirer i Gagli-ui· Ele a coniler.nè le grand-duc et le marquis Wanitedirii, qui *e flattaient d'avoir réussi i assurer i sa sânteeé un »vie pîui agréable. Le ministre lOiCatt, que le pipe avait prié de ? aller vair , a éludé cette entrevue embarrusïûte. IJ t'eiE appeau , un peu- Ltop tard peut être, que les p rit rit abusaient du vannage de leur sosveraiii püntîlo-r Le güqveititentai ne Sachani trop qui iJ pouvait charger de lui annoccer la fiche use nouvelle qu'il venait 4t rêcevDÎr , avait enfin jette Ici ytux adr wti abbé Pirisio, qui i été lecrétàire du minislrt véniniten é Rome , et qui ■e trouvait ici avec tahl d'autres Romains, b afin i* de leur patrie, sans (tuer d’itre attaché* é leur ancien souverain. Il paraît que «et affidé de Fie VI s'est refusé '1 fui dotmet •»«e fatale pnemé de dèvoneAenl. Nous avohi apprii S'bier matin , le ministre Serme et trois astre* iuinistrs# 1· anrrtmTerie d'Etat, se *dû4 rends» i fa Chartreuse, auprès de Pie VE, penir lui annoncer ion son. On prétend qs'H a reçu cette ponvelle avec toutes lu appât* s et t il·* la rêrigoaiiem ( mai* qu'on aeeret il n'a pu s'empêcher de répudie de* larme*, -
■ Di Rente, h 5 e^etiUtr. Quel changement, entra beau- «Mip d'autres, *>st opéré dans la ci-devant capitale du monde chrétien ! Les Siibun-anx, tant civils que criminels, les banques publiques, les écoles, tit coanaiirenr plot ignare* jeurs de vacance» que ici décadi*, et le jour de Piques nrèiue , les tribunaux oui l»nn leurs sein ces. Cent qu’à présent, après tant de siècles signalés par le renvetsetnené de* idées , ce n’esi phi* i Li** qui est dam 1 Eglise , c'en J'Eglùe qui est dam Iktat.
G(x «gle
Stl’.'ÏORK PL'HJ L Ll-F.AF.
( 4« ) .
Au-re rvcnfnunt ¿(Tango1, quoique d'uné moindre ira*
jjoruiice : Le prciro Guerrioi, ci-devant re-crcuire de l'exsécrétait*
d’Eiat Dotîï , vient de se marier.
N cm uoupes atxicem Ici vagabond«, et é»u le* envoie
dan; le» ciinpjgnei pour travailler. .
J1 y a quelq Lies jour* qu'on a faillir, SUT la place de
Bairue-A-tune, d*a* le fitiibourg de Tr^nstevcris, un jeune
liomme de îi un , comme un des chefs de h contre-révalutioo
qui fut leuke SU CUTnmeniemçut dç ventôse (tertai<
r.
Ou i commencé à élever , iur 1· place d'Espagne , 'n»
monuineni 1 la mémoire des cal* Ciuiti tt Bulblini ,|H>irtyrs
de la tibcTie', dont l’un a tië tué à Rome et, J'autre i
éitia-di-Çasiiilo.
On prépare la conitruction d’une machine oè l'on doit
btùlcr toute) le» procedures de l'ancien gouvernement,,
c-rlle» du Saint-ciliée, et en particulier le livre d'or qui cuit
conservé dans le Capitole·
Ancletkrke. Dt Londrer, U îo tnti/jdor.
M. Pitt a paru, le 18 raesildor, au lever du roi, premier*
sortie qu'il ail faite depuis son. indisposition. .
La preuve irrésistible que le* rebelles irlandais interrnmpcuL'
aussi le! correspond mecs du gouverne ment, c'en une
promesse de guidées 1 quiconque pourra fa ira retrouver
la malle de Bromley aux Sn'tn-Oait, qui a Etc perdue le lâ.
messidor.
Lord KtnsboTongh vient d'arcivçt de Weiford , où 4
avait été fait prisoonier par les rebelles.
M. Slcienne?, secrctiire du capiiiide jZoatei, est de rewav
ici de Pari* « d'après un„ûrdre du Directoire., qui lui enjoint
de quitter Le Le ni mire de la République* .
La ptise de Malte a consterné notre gouvernement „ qui
voudrait faire regarder tttte pris* corn ras une preuve nouvelle
de L'arsbkion et dc-li foi punique du Directoire-français.

[Joe lettre particuliers assure tju'ily.a des morvemeni en
Ecosj*, et que ne pays semble vouloir suivre l'exemple des
Li lïüd^ij. '
La malle de Dublin n'e»t point arrivés,
L*i trqi* pour tcui consolidés sont 1 45 ntl quart. . ■
RÉPUBLIQUE
ü'tqlnfil tram
NEW YORK PUBLIC LlflRARÏ
( il ) 1
JèPOBLlQ.Ul’fRA
CORPS L è G I SL
*
Sidvci dei deux CinJiilï, ¿¿a ¡5 mrtsit
Aujourd’hui vh,à midi, le Conseil dtr Cinq-ctnts,
en c^ïiInTmiti de l'aire tü prit le 14. s’eït réuni dan*
le lien de iti séante t. H était précédé de sa musique
ordinaire, qui eH cmtèe dïDV la salle « a exécuté
dça ait* patriotiques.
Ensuite un secrétaire a «Sert, air nom des Irhn-
? dait-Unis qui son; à Paris, une médaille d’or repré*
tentant une harpe , surmontée des emblèmes de la
/liberté.
Ces patriotes protestent de leur amour et de leur
dévouement à la came sacré c4 de la. liberté, étiolé-
Tels cm au soutien de celle que leurs fie res défendent
- au sçitt de leur patrie, toute» les aititi énergiques ce
républicaines, qu'ils pressent de seconder de tout
leur pouvoir Us généreux efforts de cette nation
magnanime, qui , forte de son courage et dt la
bonté -de sa cause, ose lé liste r ils tyrannie, et braver
les menaces du despote des mets.
Un' membre vient a l'appui idci péûtionuairca. Il
iméPtise se» collègues en faveur de la cause générale
que défendent en ce moment les Irlandais* Unis. Il
. couvre de Heurs les tombeaux des O’cogleid des
O'connor et du bt*ve Fitz-Gérald.
' Le conseil ordonne l'impression du discourt, et
. la mention honorable de l'offrande offerte ; ¿prés
quoi la musique reprend Ici air» patriotiques.
Le président prononce un discours en ¡‘honneur
de ia [¿te. Ce discours consiste principalement dam
le parallèle que fait l'orateur des abus , des maux cl
..de ia honte de l’ancien régime , avec la réforme, les
avantages et la glaire du'nouveau.
Le CûTtiçil en ordonne ¡'impression è trm-caeruftai
« XHH, - D
Go igle □rtgfaaJ Hnm
NEW YORK PLRE.IC LlBRARY
1 -' isF ■ . « . Sur tnatioH d'un membre t la traduction
i ’ eu plta$ieurH:ing"tiej. -’ - ’- -■
Félix Fitdcon veut parier ensuite ; il en est empêthé
pat des rnurmures ; e t le président levé la séince
. ali nisSicu (|l s cris : niïif iti R(t>ut>ltqut ! etau bruit Jri
\ ■ taiifarcv' * 1 ,
Chaliijd a bit, le, 57, le rapport concernant 1er
lettres de-change et Ica billets de commerce- L'ortArjiirfaricç
de 16; 3 continue d'être la base sur laquelle
les tribfjTiaux de commerce fondent leurs jugent eus.
, lArt, XlV.du titre V dit que les porteurs de lettres’
dc-ciiange qui auront été acceptées, et,dont le paicçiççt
éqhçqt à jour cçTtajn, feront trous de les Lire
payer ou protester dan> dix jours ¿prés celui de
J'échéaccç.. JJL résulté de cet article que le poiitur
qui ne kit pal les diligences dans le delai requit,
perd sou retours contre son endosseur. Il indique
que le débiteur doit payer Je jour de ¡’échéance,!!
que la faveur des dix jours u’est accordée qu'au
porteur pour en faire U protêt-Cependant, dit le
rapporteur, h juritpfudcncc n'ett point a b ifor me à
cet égard, et dan» plusieurs tribunaux de commerce)
Pop te garde cette faveur comme commune au débiteu/
et au créancier, ,
, Gliajand propose un projet de résolution tendant
à supprimer les dix jour» de grâce.
Impression et ajournement.
J-'oidac 4u jour appelait U discusa ion sur la q^eitiou
de »avoir par qui pcrqtu réformés ks jugement
faussement qualifiés eu derruer resioit. Le projetdt
La co irsqttsiiop consiste à déclarer que tout jugement,
autre que ceux rendu» par les tribunaux de paix,
dont le dis positif annoncera qu'il a été rendu en dernier
ressort, ne pou ta a être attaqué que par la voie
de la cassation..
Ap;^,dc longs débat», dans lesquels divers oraleurs
éti entendu^ pour qt confié , U projet »
été adopté, - ■ j; . .
L;. di^cujssioç s'ouvrq sur, celpi concerna ni kiîïUJ
décadaires. . . ■
Gapfostr ,(4u Calvüdo») a 1e, premier la. parole-
I
NFW rbhs PUBLIC LIE
* (SH
X.fe rnatiig«, dit l'orateur, cette sûutcc fïCMidé dé
vcnùj et de plaisiis , tie trouvera pas sans doute dans
1« re ptCfçatini d’une parion régénérée . des obstacles
à si céicbratioh. Jamais les iégistateUis n e mettre
» ¡it des entraves aux désirs brûlans ei impérieux
de la nature. ’ .
Oh rit; ùri lié iait â quoi l ûràteur veut eta venir
f ir cè début.
tS’é.it, dit-il, un des dtriélcs du projet de la cnmj
mission, rendant à fixer la célébration des m.iriigei
aux itiécadis cxiluilvémenÊ. que je viens- cnmbattie
ici.-Je doute qu’ellé trouve . Jd COiïïrtlisiiùQ, uh grand
èo ni b ré de s tétai tu fs de cfetté idée anti sùcidle ; mais
je ne puiç concevoir qu’en encbirissjnt sur les loi*
bkâétés <Jf fidieuki du pbntifé dé Bonic, tlfé projdurs
sur dix, quand il nért retirait qu’un sur sept.
Qttciqiici exemples que je vais vous lettre ions Ici
yeux , vont vous faire Sentir l'incOnvérta^et de tetitf
Idëé. Jï sttppdsé qu'tïti négociait, qu’uri rtiafin _
qri’nft ffdlitafré, Suf le point dé éririariêr,· et Qui
S'ïtiéndent plus que ce bienheu'téù* détadi, séfeirt
for'cél dé pàftit le primédi nu If dandi qtri le pié*·
éédénf, i’urt pour une s ifa ¡Je de cûmrttércé li plus
pfCïian¿e < l’entré pônt un voyagé dé l&iig céufj, ïé
Itr-Ü isittitè pour obéir à îa Voix de là p^tné qui l’apJ
jielle ariiK combats ; la cniÀnnfsioii voifdtait-dont
ilord que ces citoyens s'exposassent â seréaéit, à?
désbbéit à la loi du devoir. Où i prêter, tvdür de
partir , uire amante chérie et pSBSïè'irtiécr dÙF-ticitrx
éom d'épouse auquel éflé aspiré. ■■ ' ■' ¿ '·■
Si ni douté il faut donner aiix mariait 'la- plu»
grande publicité , tans po'üï1 éviter Ida inéonrébieu^
ét lçi dangers de La clatidçsiirfik ;-qbé jidné préserver
des ccciifs ihnqcéns -et vértireux rfi’ brikf d’une
flamme adultere; miisf îa ñéééssiré de rendre les
mariages putüici', né sera jamais une ri i son dtret- ■
tteindre .H eéléhtaiîdn à uit jour sur dix.
Je défnande ¡a qwé^tîoé gréais bit sot l’irtitle du
ptojtf dé la comtñijsroR que jt viens de cortib-aitrè,·
D t
Goi -glê Dr^Ml Iran
•JhW ZUfiK PUBLIC LîBHARY
■ ■ . ■ ' 0*5 *
et qu’il y icît supplié -par celui-ci : La célébration
■ des mariages auia. heu tous les jcml, dépura U lever
jusqu’au coucher du sole il·
Nui ne pourra y mettre obstacle; sous peine d'une
amende qui ne pourra être moindre de iüb fr. et
au-dessus de Soo. -
Chaque décadi, J’admînistraticir municipale proclamera
en séance publique les naissances, mariages
et dicta qui auront eu lieu dans le cours de la- décade.'—
Im pression.
Le conseil adopte le projet de la co-m mission.
On remet’, le sg,À la discussion la rédaction définive
de la résolution ¡ut la célébration, du décadi et
d« fêtes républicaines.
ThiesScy veut qu’il soit dit expressément que le .
décadi sera le seul jour de répits dans La République,
■ fin. que le· marchands et les, négociant ne puissent
pat fermer leurs boutiques Les dimanches et jours
de fêtes de l'ancien calendrier.
Duplanticr croit qu'on devrait au moirti autoriser
la yacartce du qutntidi dans les écoles nationale»,
parce que les élève» ne sont pat susceptibles d'une
attention soutenue pendant un espace de dix jotiü.
’ Crcuzé-La touche dédire qu’il n’est pas né cessa ira
d’adopter.ni l’un ni l’autre amendement· Le tenu
es» un puùtaiU maître ; et quand les marebandt çt-
. négociab» seront assujettit à fainacr les dé ta dis et
les jours de fêtc| nationales, ils ne multiplieront pas
leurs [¿ries, parce que leur fanatisme sera bien fort
s'il l'est plut que leur intérêt. Quantaux éccHer nationales
, 1a vacance du quimîai est déjà adoptée,
par-tout; et 1» instituteurs particuliers set ont bleu
obli^éi, ausripar leur intérêt, de suivre la même
marche ; car les parent se plaindraient bientôt de
ce qu'il» font perdre le Lems à leurs enfans.
■ On.invoque l’ordre du jour. . . ,
' Dipvicquet ii^istq pour qq'op adopte l’amendenirnt
de Thî/Sifçy; ii- dÎLty116, » j) ne. l'ert pii , iti
marchands : en .concluefont bientôt qu'en fermant
bpatique Je décadi* *tsic sont conformés à la loi ,
NFW VORK PURl IC LIBRARr ,
J' . ov et qu'ils sont libres de fermer tel autre jour qn'ili
consaettnt à la célébration de kur'tulte,
■ Giraud P ourol parle dans le même se ns quaCreuzclat,
ouche* Le seul intérêt des marchands ., dir-ii, les
empêchera de fermer boutique tous autie joui eue
le décadi. .
Un membre invonue Pajoüttïstne’ii, pour qnon
Îiuîsie' faire coïncider cétte dispr-Uttcm a'(tt la céÉt>
ration des cuite:·;. 1! croit que le Corps légi slatif,
comme concessionnaire des édifices destinés à leur
exercice, a te droit de dire que cçt exercice n'auri
lieu' que le décadi* - . ■ ' "
Lucien Bonaparte appuie Lavis de Crçuzé La*·
touche , et invoque l'ordre du jour mr celui d*
Thiestey. A la bonne heure dit-il, vent pou ver *
vous dcvei même décider que le décadi sera le seul
Jour de fête nationale, mais non pas de repos 1 vous
n’avez pas le droit1 d'ordonner 4 on homme libre de
Ùavailler ou de ne pas travailler tel ou tel jour. La
tolérance amené la destruction des préjugés-, nais la
periécutton est le type du fanatitme. f^t-ce doue
su* législateurs du dix-huitieme stccle qn'ri faut
encore rappeller cette éternelle vérité ? A Rome
même , à Rome, ie centre du fanatisme et de la su*
pciftilion , on ne forçait pas autrefois les1 partisan»
d’un cuire à travailler le samedi.
‘ LecaiiitrePuyiavcau dit que Crem-LatoucHe et .
le piéopiuaut ont déplacé h question. Sj l'irabirant
des campagnes est obligé, dit-il , d'apporter dans
les villes ses denrées, même les jours de dimanches
et de fîtes de L'ancien calendrier, pourquoi n'otilir
gériez vous pas aussi les ntarckands et négociant des
villes à tenir boutique ouverte ces jours-là « l'habitant
de la campagne qui aura quclqu'emplctte à
1 faire, et qui ne k pourra pis, que voukz-vcrtjs qu'il
pense quand il verra le marchand des ville» privilégié
? J : ' 1
■ Après quelques débats, te conseil ajoutât.
• On. discute ensuite le second projet.
1 hitisey combat l'etablissement du journal détai
daicj;, qui entraînera. des fuis pour le trésor publkl·
D 3
ni!i>IMl rtn-fli
KFlM rOfilt PUBLIC SIHRAR.Y
( M)
jçtteta delà (rûïdeur et de h tpcnotonk dans lpj
çxcrciccj du rjêcàdù, pt up fera pas, au bout dq
compif t uftlrtpr MI1 spul grain dp blé- l| p<^e «|ye t
dans les fetea nationales,, tout doit é(re en acttftt*»
tout doit pader aür feu* et à l'|aiqginqtio^ dlf
peuple. Il voudrait aussi qu’à la naisiaticq jléi £^î
fans on conservât le patronage, instjtuùp.q qui .a
d=s effets mo.raui, qui est une seconde patcr&iti c|
un ^cbçnji,ucrqcDt à ¡’adoption. Enfp, il vopdjtajf
qu.aucq^c I^çe fqnrbrç.pe fftt mêlée a'uf. ¡qsqíu^
lions du décadi,.et que U dép<ptil|p mortelle (Tuq
citoyen" fut portée dans ion dernier asyk, av^nî tf
lever, ou xprèfjq coucher dq ipleiL 11 pemp , en
p-piff, qup ces sprte» de rçselut^pi nç dcyuiçq[
être, pritei q^’aprés It^ trois je^urqs, con^piijfíoñ*'
fldkft, ? i ,·■■■- '
J-a .dijçuf Itqm c$t Loeptinpéc à i -,
m ¡«r ici«m pr<y? c ww
Jébr^tioçQ' flqs.fètxj dMédaarca icgiept] le
jnidpc* . . . , . ■ . .
Çqeurc-Lptouche appuie l’ëtjlilfssçri^ent.fjy h^Rçr
tfü .décadaire. Çe jamuïl, diç-i|, c'aura d.^uf^ë
çuç de raçiire »0^ kn yçyx dff ^QÎtivajçuri
fruits de.bra.vopre et de civiscpe, dps actions
i inspireç,Ja ijaùi.ç dq.yîée et l’amopt de h yc^tq.
Tous les amis de 11 i^ç.p.u.blic^.u.ç et 4c r^qtqpítí
yfrioqt If# plaisir uq pareil, ¿fabl^ teçji^qt, d’ruu
fïêpcud pept-étte U rç^nératin^ CûmplcuC dç JjH’T
prit public. , · .,
ÿüqhy-Patÿ par|e dans k ¿n^y seq(. Bjqi
1
J
t
I
1
MtgçqhJyi· quc.d’çclairqrltpeygk,. ç'£
^u^-lpDUt çetlç portion in té reliante des hatupç»
de la campagne, qu,;, srur plci, ce crçduiçs , r»pJjpÿ$ÇNf
aller au* iqs nitrations perverse* dca «uppô^ ¿M.
liSme et <,lea e^netuis ¡rtçconciljjbkl ¿'M.îiP.PAfih
publié, . . ' . . ? 'f ; /
Es rapporteur s'élève contre l'ajoqtüerqejJt dw
projet derçaridé par quelque» ipçmbwb C'W, eu
cherchant le ryic.u^, dit-il 4 qu’on néglige le bien.
He coûtons pu» a,pr^ une perfection chimjïjjq.u· > ce
^’«t que gradmHçment qi/oq pçuf préfacer lç peu»
;■ ' '
'1
C1O1 -^ic Cmqir-dl iTom
IEW YORK PUBLIC LIBRARï
I . (5^)
i p!t i de) iftndvaiioni salatairçs. Les frabfrlnjrtta la j mpignt ont traversé La tévoliiiiûh'Kins-iï contfjltre.: Ils ont sut-tout besoin d'instrociion , eh on peut la itpudre par-tout sans Mxjgmchter les déjpctn4S= du I [fciot public. ■ ■
, Ort adopté le projet de h commisai Un. -. - ■ ■ - j Garalidfait ensuite ajouter au projet pnlsi) je's itir·· j (¡tuteur* et institutrirès seront ttnüs dé eüfiduiTt i ¡in» éleves aux aisiulfolies décadaires. ·.< 1
,. Le Directoire envoie'un état de ¡initHSfcj péim fin’ ; Vli. lt prouvera , dh-il, à l Europé, que IttJWwo1· ( bliqaeest en étal de conquérir une paix efbe
kablrretarder. ' r ■· ■ ■ .... -
Le bureau a élé renoHvotîê: Leroittfr^ PllyiftiJif
Gt nommé président f Bonlayifàty, Wotliaiii·,· Kifc*1 et Buplautier Sont sétrétaéret; -■■■ '■■■ ■ -i’
Lrconseil des Anciens a retju, lé î
desuite , la 'résolution qui ^déchargé-lëi ha-biiatis dtrj li Munnnme; de Bedèniit, départerttent dé-’Vàùduté,- de ieiii* conlrib-utiotii jusqu'en Lan VIL :
Auioud fait tin r apport- sut Uné résolu! icuUdü t* netridor, Jfekti^e aux acquéreurs de demi hit*· ■Nriinjx.' " ■ - ■ " ■ ■■ .; .
7 ¿e nrétiF qui a déterminé cétte’ réscrliHfoti ;, 1 été* . fétitettir de* ressowcet^pnùr.«stnhier tm déficit· dct. millions dans le service de Tin VI; ert f.nsâiff-'dsSu , périîfr? les lenteurs· dîné1 le pniemébt des bitfxrda- tiomiix, par un nouveau m-bdé.· ■ ■ · - '*.?> 1 1
■'SûiiSce rapport, elle a-ddnditi poidt de vite d'n- stfite publique-; maïs ierpretniet article, qui tridvt <fc h déchéance tes arcquêréuts dontfes bïefcis à*»u- («t pas éti Tevcnrius'tore de h ptfbiica-éirrtit'de la ÿreiente loi;a Lait naître de grandesincertitudes, ç-ti exceptant des dispositions de cet article,d'és· lâieni .de) hospicesét 'buieau*· de Bienfaisance^ La léicéti* ttàirtie pitié point dô» collèges qui, pir h loi du 13· messidor an'V .sont çorapris dan »cette exception; jteticeplatit Ici bien» des condamnés dont te-s bëri- Ùtfts ont élé renvûyés ert possession, elle ne sd^ùLo «ta-'CD ce qui re garde- le* prfflrc» dépcrrës;i en&u , <Mt tirofiitroft· cop-djtat astfi derdifpo^rlnnfr' ,
P 4 '
Go 'glt
k£WrÜ».f 'JBUC JÏRaRt
!56 > . . .
peuvent porter i Larbi traire. La cûmmission, «a
cp.o^éqqflnci,* a été dç l'avis dit rejet. .
Impression ci ijüütpenient. ,
Boute ville .fait un rapport sur la rtiolution fêla·*
tire aux juges de paix élu» en l'an VI.
Cette résolution comntneo par établir que le» trihunaux
de paix doivent se rtuouveller en enüer
' tous le» deux ans, à partir de fan IV- . -
- Elle m dçd uit La conséqçnee que les membre» de
ces tribi^n^uX, nommés dan» 1 intervalle- dt.L'ao IV i
, la prêirwte.i.^néa, Aeton t tepq^kvelÎêa dans Tau VJ J.
' La cqmnxijÀinii a trouvé cette .résolut! Qp conforme
i la constitulion, La constitution a voulu que Hun ri
J»l. aiitoritêj> Fasient-rofiquvclltf » périodiquement,
et qu’un citoyen, rewpUçanç un autre dans scs fouir
lions, ne ¡es exerçât que le tem» qui restait à fituri
1-autre. Le! juges. de paix nommé» dan» l'iqicrvalle
ét/Julé de l’an IV à l’art V^J, ne doivent donc qua
finir le rem» de leur prèdécesJÉut, m le peuple peut
îenonveUer Je» élections en;Lan VIL Cette disposition
était nécessaire pour èv itériez rigues, çoibbic
il était également utïlp de rendît IcftjMa» de paix
réeligibks pendant tout Le tenij de leur vie. La fétwr '
JutioQ né peut donc huire à personne r puisque, Ipl
juges de.paix qui Ont satisfait le peuple peuvent éoe
lééius parIuL , . , L r .
La commission, d'-uu avis unanime:* propos« t** >
deption de ia résolution, ;:i\
Le coosed ordonne l'i aipresi je net l'ajoura ffnUJiL {
Le ccmieil a célébré, daps La séance du a6 l'ao+ ‘
¡niversaire du 14 juillet. Le président a pronOpcé.nu
djicouTi.Lès faits de l'époque méntowhle du 14-jüly
Jet, 4 dit l'orateur, sont écrit* sur fri débris d·-
trône, sur ceux de ja Bastille , sur le» mut* de ci. |
priais où le canon du 10 août les a gravés. Riuareurt ,
journées aussi miles i h cause de*J a liberté oui »us* i
cédé à celle-ci, On peut compter le if vendémiaire, j,
le 18 fructidor. H en sjt encore une antre qui ne '
fut bonne que pendant un-bien court espace ,dc
tenu, parce que le royi Li sine Yen » emparabien «fil» ,
Himus-nau* de jette: un vqiU sur les suites qu’çlie
. IJ-*· Il :■
NEW Y0P.it PUflLIC UBR i n.‘«
' ( *7 )
a eue». — Le conseil ordonne i'ini press ion du di*-
courj à aix exemplaires. La musique iiérute çtijnite
Ici airs chéri» de U liberté, ,
■ La résolution tur les uinnnaies ¿»t l'objet ¿e I*
disoutsiori du 17, Lacuêe 1a combat. Il pense que
Í3 perte qu'on fait et ru y et aux monnaies de métal
de cloche eit trop forte, et tju’il faut d’ailfoiirtdétcr-'
miner la valeur de la piec* d’or,
Le conseil rejette la résolution, . ,
Ou reprend, le «8, la diacussion sur la résolution
relative a des. conte (talion si élevées entre les créan*
Ciert de* émigré« solvabfoi et les copartageant, .
Bord» et Rossée parlent en faveur delà résolution.
Us pestent que c'est à tort qu'on a invoque.1« lois,
rotnaiuei et le droit civil dans cette disetusiou, l*'hy-,
poibese dont il »’agit à présent, dit Roasée, est ri-,
giée par le* fois particulière* faite* relativement aux
émigrés, ou elle est réglée par le» maximes de l'an-1
h résolution, qui n est qu’une conséquence de ces
fois; dan» le tecond cas, pour qu'il n’y ait pas de,
ton t radie ri on, il fout admettre ce système dans son'
entier; car il ferait aussi injuste qu'inconséquent de
t’appliquer par aburictfon, par partie, c'est-à-dire de
foire jouir les créanciers de mutes le) faveur» qu'il,
peut leur accor4cr,et d'en priver les cautions. D'a- '
prés le* lois romaine* ,1c coobligé qui avait acquitté
la dette du débiteur principal se trouvait subrogé au '
créancier , substitué à [’hypotheque dont jouissait
celui-ci, Enfin. Le# biens du débiteur principal deve*
naient le gage du co-obligécomme il l avait été du ’
créancier; cependant par la lé islation particulière,
émigré» t b garantie étant levée aux cautions;
ainsi ]c droit commun est aboli À four égard, et l'on
peut plus le revendiquer pour eux, farts établir
Une contradiction ipanifettc dans la législation relative
aux émigré», , 1 ..,
On a dit que l'art. V de la résolution attaquai t la
di vis ion-constitution ne lie des pouvoirs, et donnait1
au Corps législatif l’exercice du pouvoir judiciaire.
Ce reproche est exagéré, ¡-’article ne dçunc aucune
Got gle
f 5« }
attribution au Corps législatif ■ il renvoie ïe, partiel
devant Ici tribunaux, et Ijeur donne Ica moyem de
faire rtc rider les erreurs causée? pat une iuticsie ip*
terprétation 4e la loi du 94 juillet îjljSCutial
coràbat la réioluùon.
Corriudet voté pour son rejet, '
L'ordre du jour du sg appelle la di'icusiiott sur là
résolution du rs mejsrdor.reljtiveaurcoupf tnartiilçCi
Cotnudct pbtient la parole.. Il s’atpchè à prouver,
Contre l’avis de la cotnstiisjion, que la résdluritm est
nécessaire, et qu’elle q^a point d effet iirroiiTtrEJHÏi1
est nécessaire, dit-il, parce qqe la Iqf <h$ rioit. i/ei,1
établit un mt>de dê jugement qut éit inextCütablç
rfant les circonstances acïueJiçs. Ii faudrait pour ju^tr
les prévenus dç 1 intefcidïe dti vaisseau le (Tuiiiflnf - '
juillet, réunir à 1 Orient huit viccydmiriu^, et qui ne
pri utrait ic faire sans narre au 'servi« ma ri tirai: ,
*ur-tout dans un ¿wment oà nos flotrej^onte^ pré-' ,
tence de Penne mi. 1 ■ J : : -, 1 ■ ' i,
La résolu tioa n’anrart1 point d’éFetrêtrffactrhpaf«! j
que le principe dont elle u'c^t que lèdévêlopçenieiir ■:,
at été posé dans la lui du is ottdbrc s^ÿlÎEc délit
dont il est ici question a été prévu par celte loi Î 1
lqquelle on de fait que donner line inicirpïciatîati·^
1* résolution ’proposée. Néanmoins Çàrnttiic peW ;
pas qi/elïç doive 'être approuvée, Kl lu est in^ûfi^
de voii'tiécessiif et pour i;a coudam^itÀûri 1 elfe r /
cfaillèùfS un autre-dé faut, :c’eit celui dfe rendre le?.
Directoire lUàiiré üé h proposition du jtirjb 1 '■
É a rot justice l'opinion de la corami>$ioà. lie-cbn*1 ■
«cil· ne peur point ïpprpuver La réidlüifoji t pareil ■'
qu'eile porte à doflie le, hombre dçï juîttk, que la f
loi du it octobre' 91 ne portait qu’i sfept ; parce’
qtfellé «’indique pas lie nombre de voiiqui· feront .
nécessaires pour la ctmdarnnvtiojt; paTtt-qu’dk cm- ‘
pécheraitplusieurs^cçusésd.’étrejLijçs parleûrspavji I
pâtée qu’cnfin elle est Une îoj syitiihatiqïic ; tandis j
qu'elle devrait être tout au plus uiid le? interprétative. '
Il soutient que la Ici dp H vetobre ne conritnt point
düroqflc principe descelle gui est proposée ; t
Drlqlnri Itar
NE W YOR< Pl/BLX UBRA Got >gle
. (S9)
cette réioïution donnerait aux attui» de Γ O rient
d’ari tres ja gei que ceux que la lui du ¡ t octobre leur
a ajturis ; qu'elle changerait litui à leur égard et pai
un effet fé tco actif qui ne peut être supporté , fêtai
de* choses existant au moment an le délit dont oa
le* acc une. fut commis ; enfin ii représeme que celle
résolution .est partielle, et que le conseil des Cinq·*
tinti s'occupant eu ce moment à faire un code pénal1
maritime t il est pl üs simple d'attendre cette résolu» '
lion , et de la préférer à celle incompleti^ qui fai»
Γ objet de ladisc union -Le pome il rejette la résolutions
On reprend la discussion (urla résolution relativç
aux conte atutía ns élevée» etti rt Lei e résider* 4e5
émigrés et leurs copartageans cautions sirop Leí «tí
solidaire*· ·— Cren teres défend la résdl uiîch , il la ne·*
1 garde comme une interprétât ion de la loidu 14 aiq
vô\e an V, comme nécessaire an mode de liquida*-
ti&n administrative qui a été adopté et ne pouvant
csriccrncr que icsméancietï directs, comme utile sm
méitneiers étaux débiteurs Í¡ ep ce qu’elle pcoput-
: donne le droit de poursuite des premier» à la quotité
de l’héritage-de* seconds, et empêche ainsi que le^
débiteurs insolvables ne laissent ht créanciers sans
resfcourcesi r . r 1 ■> ■■ · <
Le conseilajqutne la initede h dis-entsion· ■■ -l
11 approuve! le iei> thermidor, Î4 risoluti órnela*
live à la taxp de l'entretien des* couws', ercelle qui
dispC rise le* i n^igcn* dt Comlgaer -tiameiide pour iepouivoir
en requête civile: On procede ensuite itv
rert.QVivellem.rat du bureau * La vaux est nommé ipré^
lideuu .Lei ■ trouveaux s^créltaires >rrat r Jonrpaiù ,
Perès f Nobiet et Moreau, . '. -, . , ■ ■’.''f
Les résolutions concernant les bâtit à cheptel ntt
l'appurcmeuï des comptes jugés par les ci-^evaiiu
chambres des comptes sont a pptoá^ées da «la. sé m ter
du 9. LAditcaSAion sonvïe stiri» résedutiondu 04 giriti
¡nal , relative aux con te* n dont élevées, etttsqdù
Creaticie.t*. dej émigrés solvable*, leftrt co-parta gados
et les cautions simples et snlidaïres, t
|iuguet, ■ LecoulteuK et Lograiiü rappellent , la ».
moyens qui ont été dúnntj.*n£avsar¿c Làjjhafax
□■itjiwl tram
NEW YORK PURLlC LIBRARY
tion,Rcgmct tt Jourdain présente àt Ici moyens contrai
res. — Le conseil b rejcsrc. *
L’ürdtcdu joütdti 3thermidor dn conseil detCinqtenjts
étrille nouveau rapport de Jourdan [Je généni
) sur le mode de recrutement de l’armée. I/ûra- (
leur présente d'abord.queïques réflexion^ sut l'ambi-,
lion des gouverneraens monarchiques qui nous enyironncut
, et qui n'ont demandé la paix que lorsqu'ils
y ont été copiraiirts pat lu force de mes armes;1
-tar la nécessité de déployer un CaCiCie« imp&sâùt .
Ct propTC-à contenir ceux qui aéraient tcütéi-de tainquer
à Jeun engagement. .. ’■
J'aime à croire, dît Je .rapporteur, qtaelet rois de
l’Europe mieux éclairés sur leurs véritables intéïttSr .
pendante en retpecfnut celle de*, luttes; Mai* il nous f
est permis de ne pas oublier la guetté horrible qu'il*·"
ont Faite contre ub· peuple qui voirim proclamer la
liborté ; de songer qu'ils ont vchïLjj démembrer la ‘
France , ti la réduire 4 l· esclavage ; de nous rip- /
palier que nous tfrons été obligés de nom lévtt en l
masse pour repousser leurs efforts; LL nous est enfla
Îtetmis de croire encore possible une nouvelle ».é" f
ition des gouverné métis nto niait biquet contre le» ?
gouverne me ns républicains. '
Après ce début, Locateur présente quelques ré* I
flexion) générales sur les pim ripes qui txit dirigé la ■
cornmiasian dans le projet de résolution dont H £
dfiane lecture. Il at divisé en cinq citrea. * -[
-Le prereicr.coniitnr dti principes généraux dont .
les principaux sont que tout Français e$t s cl dit T et :■
*e voqe à là défense de la patrie ; que l'armée st
farine par la voie des enrôiemttia Toiontajres, ti p.ar ■
la conscripti Cm ru ilt taire. ■ f
- Le-tt rond dé terrai ut l'âge que doivent ivolr le* '
cil oyons qui l'cnrâl eut volontairement. '
Le troisième trajto de la conscription militait« |
tous Iea Français y ton* compris depuis l'âge de i» I
jusqu'à1 *S an·- Ht tout divisés en cinq classes qui g
■ont appelées *ucc tu rivement au service. |
1
Gch gle CdQi-jl Irorr
NEW VORK PUBLÏC UBRARV
(«>) ■ . - .
. Le quatrième prescrit le mode d’exécution , et précise U maniéré dont seront dressés les tableau*, par les corps administratif .
Le cinquième renfetme quelques dispositions particulières sur les conditions nécessaire» pour obtenir des congés absolus. — Impression au nombre -de six exemplaire! et ajournement. d .
Le rapporteur de la commission qui a présenté le projet concernant les têtes décadaires , en donnant lecture de» amen démens adopte», observe que quant à l'ouverture des. boutiques, magasins et atteliers , les jours appelles dimanche»,la commission est d avi» que l’entètertierit et la résistance à la volonté det gouvernement, et non ladévotion, étant U cause de leur fermeture, le Corps législatif ordonne qu'il» ■ lernnl ouverts; maii comme cet amendement périt faire la matière d une résolution séparée, le rapporteur propose un ajournement qui tçra tics-court, 'Point d’ajo urne méat diseur qitelquc» membre»,
Lucien Bonaparte t Si l'on ajourne, jon’ai plu» rien à dire ; mais si l'on discute la proposition , je viens en appuyer l’ajourn. Le conseil la prononce*,
llelamarre , par tiw tien d’ordre, dan» ia séaeccr du 4; Par la foi du g vendémiaire dtruter, vous avet fixé d’une manière précise, certaine et irrévocable,f le sort des rentiers et pensionnaires de l'Etat*-Si lew besoin» de la nation vous ont forcé de réduire leut créance au tjeri de ce qu'elle était dan» l'origine. Vous avei voulu qu'elle ne fût plus susceptible de: variations ni de retard, et pour cela voui leur avei^ par une loi postérieure , assigné pour garantie., le produit do droit d'eafcgb(rcuicnt, apéci3leinert affecté à ce genre de créance- Gctrç garantie a telle- ruent pim suffisante et indubitable à un de no» collègues des ancien», qu’en discutant la résolution, il ne balança point à appeler cette mesure le pdlïndtujB d;i reiiiiCi> et pCBaiamuhci de l'Etat. * *
Cependant ce» rentier» ri'ont-encore, depuil ce, icms, rieq pu presque rien reçu. Vous aviez ordonné qu» pçur Fâu IV et J’au V, leurs cotitribniions liraient payée* avec des Ès.itr. qui Jçur Seraient fourni»
QHijiM riiWlh
rofilt PUP.I.1C î IBRARY
Go igle
X («<) ,
À compte p*T les commissaire* dç 1· trésorerie. La
Directoire vient db prchdtc un aritfè qtii autorise
la même mesure pour L'ait VI; mais ce genre de paierient
n’est que négatif, et ne favorise d'ail idurs.que
ici créanciers prûpriélaire». Les rentier* non piupriètaire
» eclc* penfigniuires de l'Etat^ n’en pioftEcnr
pu ou presque pu, puisqu'il» nont pas , au que
¡bit peu d iuipoiniom à payer, H C*t teraj, citoyen!
législateurs, que vcjüi v.cniei réelknt au secours de
ces tEjlbcLirEui'; il est terni que vous prouv.ez qu'il»
(Ont aussi le» objets de votre (ollicirude, de votre
humanité et de.voue justice- Ce n'est pas as* ci de
leur procurer Iti moyens de payer qu'il» doivent
à L'£tat, comme citoyens, il faut que vous Je tir procurez
les moycin de-payer le» dettes qu'il* ont col·
tractées envers ccukqui pourvoient à leur» pîua pres-
*atis besoin*.
Je demande que !■* Èonr qui reront délivrés aux
petiiiçiiii^ite» et rentier* pditcntjafiotnme coule de
ce qui leur c*t dû pour les tente »très premier ci dernier
d< J’an V, et premier de J’in VI, tt qu'il* pniasent
êu* reçu* en paiement, non te u km tnt de leur·
contribution! penpnnelkj, mai* de toute* les contributioi
» de quelque nature qu'elles sbient, et par
quelque* citoyen* qu elles «oient dur». Par celle
conduite franche et loyale , vûu» conserver« le*
principe*, et vcuira cquitterci Lengageineht tacté qna
vous avez contracté. Je demande qu* me* observitioni
teuept renvoyées à. une commi&sion apcchk,
pont vvtti.taire un rapport dans la décade.
Quelques voi*ï Appuyé.
. Lç. ptéridcdi t ,8'ik ny a ^pa» de réclamations, If
xrnvçij à une commisiitm est adopté..
, II.n’y a point de réclama lion*. .
Briwt (. du Dqabt} pré rente uji projet teodan* àdé*
perminer la portion dos appointeineat des employé*
de la République, sustepjtiblg üMire ctifeio par leur*
Cféadcîen. —.11 est ijouméj
' Qudot a fait itjeiter, dan* la séance du 3 du conseil
de* Aîilutins , deux résolution*. La1 première
le mode de punition dudéüt de falsification
Mijlnnl ïitir
NFW TORS PUBLIE L IBR.AR
(63) '
drt billets de Tôlerie nationale. L» deuxieme était
également relative à cette loterie ,
Locdre du jour du 4 appcljaii Ij dticusaion de
h lêjoiution du s messidor, qui rdeve de la dcdiéance
les acquéreurs des biens ou ti octaux t pourvu
qu'ils payent Jkhj un délai donné.
Cornet la trouvée nuisible au trésor public. Pour1'
quoi ne pai remettre eh vente les biens dis que 11
déchéance Cil prononcée? pourquoi h République
ueprofiterait-cllc pas de la valeur que ces objets
peuvent· avoir acquis ?— La résolution est rcjettec»
PARIS, Afonidr,9 F*jrm^rr,l'an VI Ji laH^ubliqni.
Depili la, prise de Malte, Je gouvernement n'a pubii*
istvnes nouvelles ollicielki de Bonaparte. Ou aiii seuleuyrit
que le »o prairial , l'cicadre française avait quitté ce
part, et-que , fa veille, le çû-pvqi avait pris le devant. L’escifrO
anglais È .était, le 6 rtitsiidoT, â la hauteur tic Sita-
<mî| ainsi Boita par re avait ùtie avance de sepfjant*, «île
convoi de huit g pl-j* 1« dïatinke de1 Sitacusc à Malie , qui
tu ile quatre *v i ngt Henri. Ceux qui ai trient it faire des calcuit,
s'amusent i-indiquer le point ,aù, d'après la rirtrché
respective des deux Boucs, celle dei Anglais peut stteiudr*
kr Ïiïüfais. Mais tamia·« en qui liant Malte ; trois rturtes
cuieot ouverte* i jiansparte . lelqn ta destination qui est
eccoíc ignorée, il· mi possible que les Anglais aient été
en defaut sur celle qu'arma prise Bonapaiie, ■Quels que joient
Isibruitj sourd* que de* personnes oAkieuses fout, circuler
11'vreillT, h vécue est qu'-uti ne sait rien de positif, et
qu'il faut st défier plu* que jamais de certaines nouvel!tique
1 esprit defactlou distribue, ■ Divani le but qu'il st propose.
Oiâturme't ouj ou r i de* coujeoTLtres visites sur.l'objet de notre,
expédition. lies journaux très-accééditéi semblent ëîôi^neit
1 idée d'aucunes conquèsti- nouvelles de la part de la Repu-
Clique Frfnçiiaès A les en croire, aucune p ni stante alliée oif
CtiUrt n'* rieri i redoliteli, tt l'expédition út serait iltrigce
que contre )es^eqa^mis de la France JF la prise de Malte était
le but principal de Le aprili non ; mais il est difficile de Se
persuader qii'i lu armeni eut suiti considérait tir soit dlAp>ë
vert un but ne conduire non moins impo urt. Quel esi-il ?
n Go gle Orinai Torn >JEi7 tORK PUBLIC LlBR-Rr'
. (64)
— Le» cspéraacei de paix, du côté de l’Aitemigne, pa»
raiiseni de plur en plut se réaliser. La dernier« noie de n<J»
mi dis ire s pktiipoLenliiirct'à Rulïdt ut de nature à 1-* préparer.
La République ne demande plu», dan* ion
que te milieu du. Rhin pour limite , toutes lés iile· situées
du càid droit de cé fleuve, excepté celte de fi«iiri-Firçrt prés
Mayence, réitérant 4 l'Empire ; mais □ □» plénipotentiaires
insistent pdur la libre navigatteu du Rhin , pour la démoli.
, tion du fan d'Ebrenbrihitiu , ri peur tantes te» c a mm nid*
cation* coinmerciales de l'une à J’tutrt rive, - 1
— Le» fiics de la liberté et i’entiée trio rn phi 1* de* objets
des science» je( d'arts recueilli* Italie , doivent avoir lies
te 9 et te 10 de·ce iBtiii; te programme qu_i en cotitittutaf
détails donne L'idée L plut impotacte de fête*.
•—Le» ttouvelles d'Irlande sont totijout* trèi-inceruiflei.
A en croire tes papiers ministeriels, tes Irlandais· Unis s trait ni
par-tout vaincus et pict* >1 mente bai le* armes; ruais d'après
te« lettre* particulière» publiées à Londres , rîeo n'en
tuoirtf certain que cette prétendue défaite. Un jdumal· officiel
* publié h lettre suivante :
Ur LitSamie, le i5 meitiJer.
m Ici nous avenu su dan* six joun\ par te paquebot,,
l'affaire d'Irlande , qui devient chaque jour plus conséquente.
Entre tes actions qu'il y i tu, en voici une bien funeste, et
sur laquelle il n'y a aucun doute ; .
ai Un corps de brave* insurgent qui »'étaient réunis sur une
montagne, et dont la plupitt n’avaient que des piques pour
armes, fut attaqué per deux régime ni d'infinterie , un de
cavalerie , et six pièces -d'artillerie» Ces braves Irlandais, tans
sortir de leur place, soufftiieut deux fols le feu de l'ennemi
avec le plui grand sang-froid t ils tombèrent ensuite sur Ini,
te mire ni en déroute, et eu Dut fait un ca/nagt complet t.
tous le* blessés ont été tués , et tes prisonniers pendus. Ce«
régime ns partis de Uqblio , y sept rentrés eu bien piteux
éut; car ils sont rentrés au nombre de 19 hommes- Voilà la
repr ¿saille de ta"loi martiale , et comme ou arrange ceux qui
ventent aiirtii<r 1 la liberté de leurs semblables·' i*
» LOTERIE NATIONALE.
Tirage J# l”. iAermiJcr.
Le* numèrus sorti* sa tu t fit, 86 t 15 , 44 , 73.
■ *
LEsajit-LAsiLjcuii , RéJactfirr r* ciçC
r ' r
CMijInRlïnm
HFW YORK PURL.IC LIBRARY
I
MERCURE FF
Décadi îo îii RAiibiiJt ràunuJc/tf
rf ». * . . 4 t.
’ÉCONOMIE POLITIQUE
- . ' , ‘ i ■
Ïjî£ SmII flf tht Poor , etc. Dr fElui tia oü
HiHpirc des Clttiiri mbèi t en Au^teftfin t, uipluJ
fiporjue dt la ionquiit , jusqu'au moment présent ; par
jijr FrÆoîjïJC AfoRTUS Evty. Trois volumes iu 4*.
s. ■ '
, J Ltndsti. lygj. .
TB ni ST TME tT Dltüiu ÎXT1AIT, "
* 4 ’* 'j Î *
Le tro! lierre volume Je Touvra^c de tir Morton
Un contïedi h suite Jet t£ntéigDéi»4H rccuçtllia
par tf j çortcsponJaut , d«n oiÜcrtna comté» •de
rÀngk-ter e , tuf 11 mendicité et sur Les moyeu* employé)
pour loub^cr Ici véiitihlei pauvret, ou réprime*
J ci v.igabondi. La picmierc moitié qui n'eit
ta« il plut eontidérabk , roule toute eutieie jur ce
f 7 ■“ ■ " i „ _ ■:·*! »■ double sujet ; h secûiide (nnrient difierons méimoiTci,
l ·.. - , " ■ t ' - „ " ■"·
cjni ne tnnt pat h puUt la moins instructive de tout
rpltvr«£4‘· r
• s.\l_ . ’ ** * ■ ._ · *■
t)ins la p^t otite de Buiwuth, comté de Surtey ,
tous les lidbiimt tout livré) but travaux de l’a jrrcuLtaie
; ce qui ri'empêche p*J que le quart Je ctt
j .is - 1 1 . ■ _ ' ,
tnétiirf habiiJiii ,Sl loicm inscrits (tir le livre dti
i * ; t t aurflôntt pu diquer « et que la taxe de* pauvret
n'emporte le tiers du produit net.
* ftâie XX.VJ. ' " ‘ ' E ‘ '
frttjinil llcm
NEW YORK PLilJLir S lÔA.an*
.La patqùs€,d^ Btidfort datij te Wilfsbïre, s'ét^ït faut autoriser., par ua acte du parknseat. à criât une plate d’inipecteuron surveillantgénérul dcSpativres» 2Uk appüinlemcTig de cent lïvtc* Ittll. par an, Un des pri’priétiircj le* plu* riches du pays se chargea de ce* fonctionl moyentljot Si i tante iivTtJ. 1/am- leur ucu* apprend que te dé »inté rei Je ment parut une choie inouïe dans tout le canton, et il en paraît lui-fuémc laiti d'étonnement.
L'» domestique résident dans b meme pirobie , Cl qui gagne annuellement ¡oi x an le-cinq liv. «cd,, en dépense trente*cinq avecsa femme et tel cinq eo- ! faut, seulement pour Je pain ; de sotte, ajoure le corTciponda-ut qui fou rail ce détail à eir Eden, que le commun des ouvriers de B radient T qui gagnent par semaine de huit à qciiF jchçHiitg*, ne mange* ratent sou vent que b moitié de leur MOpUet »raient presque nus, s’il* s'obiticaient à ne vivre que de i v 1 ' ' ‘ *
pain.
Par-tout où lei objets de chauffage; tel» que le bois et le charbon , font trés-chers , les pauvres envoient leurs eidanspouï ramasser ce qu'ils appellent les branches lechei i mais cet usage occasionne beaucoup de dégâts , car les haies vives et le» plus beau»■ arbre* ne font pa* épargnés.
En *jg5 , Je* pauvres vécurent eo beaucoup d’ert- droiti, et pendant atsti long-temi, d'orties ajjaison* nées avec du *çl et du poivre.
Kingston , surnom rué Vpon-Hùli , est du petit nombre de* communes d'Angleterre , où depuis vingt ans h taxe des pauvres n’a point augmenté i elle y eu meure si modérée , que les plu* riche*
' Got L^C
marne.
Dans,la paroisse dé Wrc\hara, éomlé de Nottbvaks,
en levé, d’après une ancienne esiitnatiûfi «
t|iiaîrç stheilihgî par ?jvi( de taxe pour le3 pauvres*
La petite ville de Kingston faisait autrefoit soigner
ses pauvies pii entrep. ise et à forfait ; ÜS ét.iiizn r bietl
soignés alors. Dn 3 depuis abandonné ce spstêmd
simple ,. pour revenir à celui des inspecteurs de
pauvres et distrihiittufs d'aumône:! t il en est résulté
que les dépenses augmentent Tous' les jours ,
et que joui les jours Les indigeoi sont moins itcnu-
Yîis> Non-seulemenr ceux qui jont chferméi diins
l'aï relier se 1 cluse nt à tout travail , et bravent lé>
ordres de leitti supérieur* ; mais ils te battent souvent
dnlrc eux , et quelquefois Le supérieur qui vedt
titttie le holà, ne s'en retits point sa méfie devenu
i'objet et la victime <fe leur furtftü/
Le premier des morceaux qui forment l'appendice
"de l'ouvtagc , est un tibleiu comparatif idfittiment
intéressant,qut présente,sous le même point de vue,
Te prix des objets, soit de nécessité première , soit
Mé joui s sa fie es puremeüt agréables, ainsi quft reluj
'des journée* d’ouvrieu, ou deslopeca de peïionuei
l ia semaine et à Vannée, depuis Tatt 1 reS4 jusqu’à
Tan 16ig> Ce tableau est précédé de deux autterq
dans Pua desquels l'auteur fa.it connaître le'titre Me*
difFé refit et monnaies anglaises « et dans Vautré la vau
leur de l'argent aux différentes épcqùei\ à partir
iTun quart de denier. jusqu'à cent mille liv. sterl,
Un amie tableau, qui n'eat pas moins digne d'atten-
'don, est celui du prix des denrée* ét tnarebaudrirt
E ■
Got >gle NEW ÏÛftK PUBLIC LIHRAXf
en divtn endroits de l'Angleterre , pendant 1« t aie cl es précédent y et dam le cour* du siècle actuel.
Il faet lire encore les morceaux intitulés tS^rt/nuau Formulaire df approvisionnement, publié (uns la rein« Élisabeth ; Lréru de ¿ample de ta famille Howard Livre de minage de hr £. Cotkei Réglement pour la rdai* »n ¿e rnrfttüwi à Bury, de l'an >588; enfin, toute la su te de* acte* les plu* essentiel* du parlement ¿te- Jativcment * la mendicité. La plut grande partie de ce» pièces originale* méritent d'être consultées at- ■ teutîvemcut ; nuis clics ne sont pas susceptible* d'un extrait. , _
. L'acte du parlement de 160$ est cneoie a en An- glçtcrrr « la base de tous Ici reglemen* qui cou- cernent le* pauvres. C’çtt dan* le neuvième morceau que Fauteur présente le tableau rapide, mm complet, do tou* les actes touchant les ouvrier*,le* *wt- diaus et les vagabond*,
, Dam le >*. X, on lit les détails suivant touchant je* détail* d Ècûite. Il n'y a tien de plus contradictoire que les ancienne· loi* écossants sur la mendicité : aussi D ont-elles jamais été mises en exétu- ïipn. Le* fqnds actuels pour ¡’entretien des pauvres dam la plu* grande partie de ce royaume, proviennent des autnâde* qui lopt jette«· par le* fide les , dan* Je* tronc* à ta porte des église* , les jours de dimanche et de fête t.anxquelles aumône* jl faut joindre le* ofFrunde* des baptêmes et celle* .de la ç£ec ; le loyer de* chaise* ou des place* dan* le* églises, celui des corbillards et de* voile» mor- .Cuairci; enfin-, le* petites amende* infligées pour de* faute* de pobee, l'intérêt annuel dancitn* le^i
üigiiz^L-, GO< 'g K'
. OrlqlMl tram
NEW YDP.K PUHL.dC 11 Br, AFL ¥
(’9) ■
faits »UX églises pour i’cntreliçti des nécelliteux « et le produit de la contribution que le pere de tout enfant né hors le mariage , est Itou de payer.
Dam quelques endroits * le» ancien* de la pa· rois Se et les principaux propriétaires sont dam fu- Mge de déterminer la taxe des pauvres« Ils se réu- fü«9eut dans l’égiiie ; et là, d’apréi lci facultés pré* lumÎei de chaque contribuable, ils règlent amix* élément la somme i laquelle il doit Être imposé* .
Pour la distribution , Von convoque les habitant, à jour £xe, dans l'église. Les pauvre? sont nommé» Vun après l'autre ; et chacun des pâroimett» prérenà donne la voix, tant sut h moralité dé cetUt’qu’ou - veut secourir, que iuHeiïr dé gré d'indigence et tqi . 1a quotité de Faumûne. Toutes ces force a ¡nés «tint Indispensablement exigées pour retirer h pins pétiré tomme dé la caisse de charité. ' ' d : " 7
' La perception des revenu* des pauvres’ét îecté de^ aumônes sa fotir gratuitement en ¿cessé jl en est de même de tout ce qui «t relatif à’ '1W· rùiaistration des autres affaires de nncndkiLé ; tout au plus alloue t on une, ou quelques IM« sterling! de dédommage nue nt au’ ten<kt décomptés ci «4 , caissier. . t ■' ■11
n'y a point éü Étotie de maisons de répression Ou de travail*« dans lesquelles les mendians vaga» bonds et paresseux puissent 'être assujettis à des tich» plù» ou moins contidcrablçi, irritant leur> forces. ■■■ ’ ’ . 1 ■
Sir Eden regarde tette tire Cm» tance "comme trê*- 'funcitc. Aussi'tout le tùy a urne' eit-il infecté do-toco- diam, dont plu» dertrois quart» sont des vagaboad*.
£ 4
Got igk
□r.dnal rre-m
NEW ï'GRK PUBLIC U0RARÏ
. ' ( ÏO )
tans famille, sans asyle , tans reitburce et sam eau· tien. Ce» roenduns pèsent bitn plus sut L· petite çhsscdù peuplçque sur les ça pi iitbcs i ils ri'osent autres s'adresser à ces derniers , ou ils en «ont ïfe- *' 1 ' .'- ■ r ■■ ■ ■ .: -----3 ù <■■ U
pPg»«s presque toujours. 11 u’y a pas jusqu’à fo^· peliept4tj boni pauvres /reconnus pqur pr y.o^jp^ qu^ l^s spcourçpt, T dont je poids ne îçjpbe.paTjîfüHprtiuîSt sur la. partie du peuple 1| müia» A*î. *¿<1:<VJ » ®cHw >Ç, "
pjxs^ue.pail h^atnpayiiç j ils vp.nt r^ineat i |’é-
WW ! ptyltW-W ? h ?t jif ; WftW’W/tef&W îü^ii ¿H * idh^stcr
W , .-.'i .- it. . ’^7
w W. JF*<:?cpdhnj.d5«« c< JtfA-W sioim à plaindre que .les piHVjc» çn Aogk^qrrc, ô$n. ^p^i ^rrjbl.e fermi pour h vit , dans. Cc{ pliions u,qq MW'l·!.!*® »’y xÿr ^h(pW tu.-bu'At N^À™Ï
^pu^^porifl iqgt^fl de pi^lhc ur^- de çontija^çj p^uicQrrgptÎDu dan^^cette cow(Dupica,don :d^g$; rcusc ? ■ ' -....„»
, ' Le flscrçe tptcqr ajputg qpc dans lç rond, ile^cqtn- pijqe^ ipt habitani iunçut d’apprendre, /ïMfJq^ cbp«F d’un monde loin duquel ils vivent iÇ^guèîj *ttep4put,^ec itnpatigfgfc Jejetour d^en^gt^, dont ils reçoivent^ si i'ou peût t'exprimer ainsif . »çqvcllM^n écUatrçç^e kdP ,ehaniçsv L4 , L
. Lçt tefy'ochfl faitt par Pïtt.ÿ au hill présidé paj JJ, Vfjlhbjeith ipfQW* parlement,
4 ' · i 1
J
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J
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Go ’gle
■:'Id jinm
NEW ÏOTK F JB Lie LIBRAJV
¡3 tìnalìon des joui nées d'cmvnqfl , sent paifaite» ,
* É 1 ■ * ■ J · F ■ * ' * T1 mtût jüJtfs s en tcvancbe, le bill du ministre sur
ld infttòWt iMwiür# dt wittrir &t. pauirti t tft bien
ripe dont Piit est parti, ne peut être sujet à dispaner
«, maïs tour les pauvre·- en géaçntl pçui*'
Rient être* «m ployé i plus utilement dcr. travaux
productif», Maij le* dùpD»itioû» dx sosiJbiH entrîîpeuc
tant de dépens« » elles tout ÿ, catnpLiquéet
et skpe’i jûre* d<na ,1'exécutfon, qujl doit ««
çeiuïremenc m résulter beaucoup maùud’wajatage·
que d'inconvésieni. . ,
Dsntles ■*, XII et XIII, on trouve quel «t le prué
dtjj oui nées dam les campagnes, et à quoi se montent
lèr dépens« journalier« de» ouvriers t le priât dri
objet» de nécessité première dan» diyérâ« parti«
4Ì l'Angleterre proprement ditti, est terminé par
h doyenne proportionnelle de ceux r* dcruicrcs
anni«, ’ t 1
Le n**· XIV présente 1e tableau des maieoru qui
■ * ". . - ■ ■ I I ' paroi»« , tt i côté celui de» maisons plus nom*
brpules qui ne la piicntpas. Les résultats én sünfc
trèidiffércns de ceux qu'avait tir« le docteur Price,
¿es maisout taxées, soit en Angleterre, soit dans le’
pays de Galles, montent , suivant ce tableau, à
cents vingt-un mille ï celles qui sont dis pensée t -
& la tant , montent à neuf cents quaiatatë-troîa mille
et quelques tenta in ci. \
Le dernier morceau dé l'ouvrage «t ua'catalogue
chronologique de toiïj les écriti imprimés « Au*
Go* >glc ■JEW fORK PUBLIC UBRj
( 7’ )
jlç terre depuis l'année _i5s|mi les pauvres et sur
le* moyerqi de le» secourir. t
HTTÉR ATURE. * - T ■
fri dit -Ittfdrtt célibats t'ùiiilti Modiltt itr jFcutw Agt ,'
*nrfvir dit plta "ftiatrx irai« dt pitié Jiliâlt,: etc· ’ P«rl
X F. Î. FwÉrme ,^r*fev«ir dt htitrituTt ■* TÊc*It:
\etntnlt di Stint et Îùi. Dtvn volwni-i'in-1 f , au«'
r deux gYlvur«. À Parti ¡ -cht* DogGvR et fWl^Xp/
üÄTJfr« , tvri H hiitl Strptnie. Àn PI,
$m1th a dit des financei... u L'économie et ['iriteî-
*? licence de* citoyens réparent chaque joui le*
O fautes et les négligences dés administrât!ouf RS"
jt tiqua Je·, n Nous pouvons dire eu France la même
chose de l'éducation. Les grands objets qui ont occupé
jiasqu’ici roi législateurs M ut leur ont permis
encore de jétter sur. elfe que des regards furtifs«
que dedui contactée quelques élîblisscment îsolêi.
Mai* 1' activité et l'rniili'tfCwce det ei/tytnr répurint:
chaqut jour j ¡1 no f'éfonte pas on effet une décade
' ‘ ■ ·■ il 1 _ .’si * 4 1
renfaneç, Ç^lut que nous annonçons mérite d'être
ÿaillet coippoia un recueil de# viö de* ÉnfaV
^qciennci ou lef antiquités; et ces infant cttfbrts yi~
eurent, ppur la plupart , jiuqu'A soixante ans. Le
. - ■ . ! î! *
.· etc. Frétillé s’est formé un plan d’une utilité pini
générale. Ce «Ont les enïati· mtìtts jeunes, et jeddus
célébrés par leurs qualités morales que le professeur
place son s les yeux des élevés...-^Çhiel tendra
intérêt iTinjpirent pas d-aimables et dociles cnf^nÉ
trop tôt ravis aux caresses matetnelles ? Fìr'tìn*
juste prévention, on augure favorablement t leur
égard ; déjà on croit apptreevair en leur fleur lép
doux fruits de leur automne, et l’on est pénétré des'
pllîs vif» regrets en jugeant" par Te présent dç e#
qu'ils auraient sûrement été dans 1’¿Venir, On ne
. •aurait leur refuser également un juste tribut d'admiration,
quand on réfléchit que,'moissonnés dans
l’âge 'dei lis et des jeux , iU peuvent neanmoins'
instruire à la vertu leurs petits contemporain s, èt
présenter, long-tetri! jprès leur mort, des exemples
. frappane du bien, aux en fa ns de» sicclçs futurs ! ‘
Entre les vies 'recueillies p^r fauteur, ou remarquera
parti etili ere ment celle· des eufans de Sabinut
et d’Èponine, de Michel Vérin ou Je V indiqué, de
h fille dé finfortunée comtesse de Château Briant,
du perit Bèauchàteau si celebre dans le siede dorÉïer,
de Francesco Mikéli , du jeune Souffle rs tué
à là bataillé'd'ttrinane , du duc de Bourgogne *
petit-fils d'e Louis XV ; de Ma tic t le de Laroche*“
Beaucoup , du petit marchand de laine -Irlandais ;
delà Persanne Hal-Métii Cani imi re , et enfili dû
petit ÈmiHch sur nommé k Mûdtle de T Enfatici
L'auteur aurait dû ne pâ» insérer ¿bulcd rééûeît
la vie dtt malheureux fils du demierroî de France,
parce que la flatterie a peut-être créé ce qu’on dit
de buri de «t enfine , et parce que les détail
□rlqlra* rrair
MÊIM YORK PUH Ll C LIÊRAR
hideux de *a réclusion , sans itr^ d'art eu ne Ut/lïié
■pour les en fart s , peuvent leur faite attribuer 1 li
révolution ]<M maux dont elle à été souillée pardei
Criminels et par de« ignorsn». ,
Xrévifle. Ce reproche portera sur le style du re*
«P « I I — I. - « I - f ■ J I - - 1 '
enfin» du Romain Serenus ¿ donnent à ce morceau
«'histoire , d‘iiJlcurs tí ¿(tachant, S'ait d’un conté
| i ! ■· ' . s. . i .11 ! J ' — . . .
. -1 - . ?■ b ‘ ,» . ■ f .' .· ■ ■
dans toutes let vies tirées des auteur» grec» ou la*.
tVin i. Mais c< qui contribue le plus à donner Ml'a-Vi r'
Ui^i* au style du ptofciïcurj, c'est l’empioi dejdûnifiutHs
dont 1‘abu* est s.i grand dan» Ict.poéire* de
Marot t de Bdlcau, ctç», et que poursuivirent le J
bons auteurs de» sieclesde LquÏ’XIV etdc LouiiXVs
Vis sont le* mots enfatreta(ndetorir , etc»
,r J» ■ ' ■ < T ' I * . u k ■« / '
Dans la description du monument _ consacré i
ore, cet architecte victime de la jalousie d*
l'empereur Hadrien, le ctt- Fréville place te Wfh
húBí de sa fattix Quittait it pierre .tij^itárah·
tyou* ne savom de quel écrivain ancien ce récif
est tiré -, mais à Coup, tût le» anciens n’ont jamau
¿mié l¿ mort d'àne fvjix, Saturne seul porte ce#
instrutneqt mr quelque* tnoiuuiim antique*. G est
IjÇ. christianisme qui,.a lepieseuté Ja rnort íoul, U
forme hideuse d'un spectre armé d’une fauíx.
. la »te du jeune Beaachàteau, né en 164Í, et mort
I si an* , piéiCfUe deux anacbroaispies rejaarqí*’
■ Go< jlc ■i-igirul Irtn-I
NEW YORK PUBLIC LIBRAD
blea... fl II écrivait pit$s«bfaB,cnt dès sa cinqurernt
»» année , il savait par ctriir, et déclamait avec Ju4t
_ — . * ■ „ z . ■ / ‘ j 1 1 : i . ■ >
i» cesse les plus belles fables de Lafontaine, w G'ëUÎL
en ïfiSt» t et il est plut que douteux que les fable*
de Lafôn'taîne fassent très-répandues à celle épôquç.
i> Le fameux cardinal de fi.'tarifarc.». envoya chercher
»» B<a«cMtcan dani sa voiture, et ne dcd.iijgna pas
i» de cotivcrser' aisci long-tems avec lui,., h C’était
p l'heurt du dîner.. Jl l'invita familièrement à_i^
tt ünottft à tabler Et le fit Mieoir entre iuijct l-stjnf
H de >ea mecei, la belle Hoftfnst Afanii^. u..,L*
cardinal de Ricbelie*!usqu^ui . en. rlfaz , tzofa.aria,
avant la .nais tance de Bejüchâteau.· C'est tfanc d&
Müzcrûf t-qlii d'idUcUti était Î'ûntlc d* la bclfa Hor^
tenK-,i.qu'ï v^ufa parler i’a.utcurr Nous ncidyoqv
ri*a .de fa date de h mort de 3tauefiâi«au , 167.0 ;
«fait probable me a; une ■ faute d impres»faa_if^e1J^
, puisque 1 auteur fut,fa ^tifS^incf de çctf
enfant L liauiïRft IfiiÜ , et qu'il .ïjtjute qu'il pjjurnf
i ÿ ttinu1 ÜJrtS jMtfl W· . ; , ■ t *
Capeui citer, aujui quoique^ fautes contre. fa
fatigue,: A. »36 pu -lit. — E»s lyériij^p d<r$
plu» enitiM bourgeois diiicatfL pour fap mptftdr^
—C’en.1 p£iük;r’& jfaign^tfa etc.,
pour a,pthn dtignent'ils.^ P<gc î&7- — Eu-cfeu»
à quoi sert un grand poet«, 1'1.44^1#. qofan prgueii-,
leux...a U faüt , 4'1/ 71'cit. Pkge ÿyo.· -t- ElfaflttbrQ-i
(fait,de* rhber op des vestes., à.ion pçrcj... Le sens
divisé exige ou tüi irfldeif du veiitr. etc. etc.
“ . . 1 1., \ im* · « T «
Nous invitons fa cit* Fréville à publier .un errufa
de son ouvrage. Il importe bejtu^oup de tic rpetlrç,
entre fat ruai ni des en fans que des, livres ,1 ù»nw^
□r ï’jî tTar
WEW rDfilt PUBil t LIBRARÏ
?
. ( 7«)
élégamment, du moins correctement é:tïts ; et ce
doit tire un devoir »cre-pour un professeur dç
Liltératnrc.
M O B AXE
H'ÉGÉSIPPE ET PH ÉRÉÛR ATE [i).
Ctïsimîon avait tommsodé l'andée de Mégir*
4>ns 1è te ms qut les Athéniens avaient subjugué
cette république, Les· peuple* libres sont plus tér
Tttes que les rois pour les généraux malheureux,
Ctésiphon , dépouillé de ses richesse), tf avait conservé
qu’un petit jardin situé am bords de t'Ilmn»;
ü le cultivait avec une épouse fidele qui partageait
ton tehagri*, sa pauvreté et son trsva il. Elle mourut
jeune ,' et lui laissa deux tri : L'aîné , qu'on tiOtntnàit
Hégésippc» portait tôui le» jour** Mégare Léi fruits
et les légumes que leurs soin· avalent fait naître.
Il ÿ entendait parler de 1a fortune passée et de·
▼ertui de ton pere : on plaignait quelquefois le 61»
du mal b enfeux CtésiphoiïT mais plus souvent oa le
regardait avec dédain. Hégésippe revenait indigné
de L'injustice ou de la pitié insultante des habitas»
de Mégare, H se sentait accablé du mépris que* leur
inspirait «a pnvnté 1 il s’exigerait le . fardeau do
i·—-MM
(î) Extrait tiré des ptiattyti tin Jlftvrt chez ttuiri tei n*·
iitti ! par Le cii. Saim-Laniberi : 3 vol. is-8*. Prix , to fr,,
et J 3 fr. barre de port. A Paria, che* H. Agisse, imprime or*
Fbriire,TDc des Poitevins, n°, ■ &
ni!i)llMl HÏHli
KFlM rofilt PI IM IC SIHRARY
la mauvaise fottune, et plus encore le prfit des ri-
{hcs&çs; il devint sobre, économe et laborieux..
11 y avait dans MÎgWie quelques hommes qui
i'cij rie hissaient, les uns par l'usure , et les autres par
le commeiçe : Hé^êsippc voulait s’associer à leur
industrie t mais il manquait de fonds. 11 ne tarda
pas à tacher à son p^re une partie du prix de» denrée
» «qu'il portait à h ville , rt à le coin poser un
faible trésor. Dans l'âge où Je plaisir de l'amour est
presque la seule jouissance, l'amour ne put.le dis ■
traire1 de ses projets; il ne vit dans Je bonheur de
plaire qu'un moyen d’avancer ta fortune.
. Les Athéniens étaient souverains des »Jet de h
GreCe , et ifs y avaient établi des douane». Une
courtisane de Mègare » qui vivait depuis peu dans
Athènes T obtint d'un jeune Archonte qu’Hégésippe
régirait Jci douanes de lllle d'Eubée. U était à
Mégare lorsqu'il reçut cettç nouvelle; il pensa que
C té siphon , quoiqu^accablé de ta fortune présente >
qu’il comparait lmp souvent peut-être avec ta for*
tune passée , s’indignerait que le bis d'un homme
illustre et Vertueux se souillât d'an emploi méprisé.
Hégésipp· , sans avoir vu son pere et son frere,
parût avec quelques remords et pçu de regrets. A
peine arrivé dans fisle d’Eubée, il se trouva l'esprit
cl les vertus de son état, c'est-à dire qu'il vexa 1«
peuple assez pour qu U souffrit, pas asset pour qu'il
, le révoltât.
IL y avait danl l'ilk un temple Fsmeux, consacré
à Neipcsjiqut venge les opprimés. Le grand prêtre
de Ce temple avait du Crédit sur le peuple , et 1
même sur 1er principaus citoyens; mai· au lieu de
□..¡.Il
□ l
NtWTÜRK PU0U L LltH.fl
i'en servir pour réprlifitr Ri oppresseur? , iJ te ber
naît à exhorter les opprimé? à la patience. Mégêiippe
lui hisia entrevoir quelques remordí, le
gTund-prêire lui paila de l'indidgence Jet dieux; il
FêclaÎra sur les moyens efacquérir de nouvelles ri·
çheMM dont Héj,é?ippç fit part ahx die un.
Le grand-prêtre était Parni d'un pífate nommé
Alasiorqut, dans la.guerre contre les Perses , avait
R paix, il continuait d'ar
mer des Vaisseaux qu'il envoyait, disait il, aux rebellé
· d'Egypte ; mais on soupçonnait dani'Cfialdi
que ces vaisseaux allaient dépouiller totiles les nations.
Alastor suit une fille que l!e grand prêtre
avait aimée , et qu’il fit épouser à Hégéaippe. Le
pirate mourut peu de tems après ce mariage' , «t
laissa des biens immenses dont sa fille et son gendre
ne surent pas jouir.
* Un riche qui n’est pis heureux , croit qu’il n’est
pas asSCî riche. Hé^éîippc voulut exercer7 te dangereux
métier de son bcau-peie; il arma de» vaitieauï
et alla se placer au déçoit de Psros, pour y attendri
des marchand? de Tyr et dé S idem ; il y fut attaqué
par trois vaisseau» de Corinthe qui le prîtent après
un combat rimylant, .
'Hcgésippé percé de coups, et prêt à rnouiir^SB
rappellent avec un regret tendre la. cabane de t',à·
ptre , et les doux mom-os de son enfance, demande
à parler au chef des val· Jjsuxdt Corinthe. La mort1,
lui dit-il , va me déroL-çr aux supplices que vous
destinez auü pirates. ou à la honte de demander li
Tic; mus'Si i'üUrtî mité pinte quelquefois aux eteud
généreux en fiyeim de? coupables, il est une gracé
q«e j'attend» de vous. Je suis Hêgéisppe , fit» Clêirphon de M égaré, et ai 1« miser· tt le chagrin d'oui pas cornurrjé le» jour· de ce vkîîl-ird.,. A ce» tnoti, le chef de» Go.mthieus jette un cri d indigna* tioe et recule quelques pas -, mais bientôt ¡1 s’é-- lance et embrasse Hégéiippc, en »'¿criant > O moâ frire !,,, Hégéiîppe qui reeotinak Pliéréirate éprouve . en mouvenieai de teodreitc mêlé de home et de remords» Son frète ne sentit plu) que de la corn* puïioq et de l'amitié-, il fit venir de Corinthe un aédecin fameux qui ne trouva pas mortelles 1e> bkuurei du pirate-Le» deux ficres jouirent quelque terni du plaisir de te retrouver, et de te r.ppcllçe lu douceur» de leur premier âge. Ctésiphon était ttort depuis ]>tu 1 Corinthe, horioté comme un renueiiï vieillard et comme Je pere de Phérécme ; tu fit» le pleurèrent ensemble ; ïll te racontèrent les ivéntmeoi de leur vie, et par quel* ttincoijrj de dtcanttancci )ei dieux le» avaient réunis, Hégé* lippe dan» tes récite eut beaucoup è di(»imalcr ; Phérrcratc ponvait tire lincere, ci parla ainsi t
Lor»que mon peje apprit quel emploi voili veniez d'ublenir , «t, par quel» moyen) vous l'avict obtenu, ô terre de Mcgare ! »’écria-loi, tes enfant •ut dégénéré, et le fils de Ctéiipbon ne sait pas être pauvre ; il m'embrassait en venant Îc» larme»* Grâce» aux dieux « à toi, mt diuit-il , ma vieil* leste oc »’appuyrrj pas tôt tm fil* avili par la soif de for , il ru exhomit 1 sortir de ta pauvreté par de» moyen» honnêtes. Mon fils, disait ce vertueux pert,lc den des r.chcsscs habi>c tantôt l’Olympe et ttntfit les entcis ; »‘il est daa» /Olympe loitqu^
Go· glc
( »<· )
t>on» lui adr«jsoni nos «tu*, il vient avec peine, sa démarche est lente, et il nous apporte de faiblis présens ; mais lorsqu'il vient à nous du fond des enfers , il volcl et des torrcni d'or coulent à □os pieds, Comenlé tal d’une fortune médiocre, çt □ invoquej Plulus que lorsqu'il est dans l'Olympe,,
J'avais senti connut vous , mon cher frété , la poids de la pauvreté ; et peut-être »ns vos fautes , Saul les larmes qu’elles coûtèrent à raoti pere, je □‘aurais pas été plu* diHicilc que vonimrle· moyens de nl’cnrïthir.
Vous savez que la famille d'Alcméon < ce riche titoyen de Corinthe, nous est unît depuis long-1 te ms pas le» lier · laçais de rhorpitalité- Mon pere ■près avoir vendit le modique héritage qui lui re$* lait, te «iidit avec moi cher Alcméon apprenez à taon ils, lui dit-il, que h foi tune dans tout les genres doit être le prix des service! qu'on rend aux hommes : je ne demande pas aux dieux que sps ri* eheltet soient un jour égale» aux vôtres, mari je demanda qu'elles's oie ni aussi pures,
Alcméon me donna des leçons comme un pete en donne à ion fils ; j'appris quelles denrée·) aboo- diient en certain! pryi, *1 manquaient i d'autres, quels étaient les teu» cribles ppui acheter et pqur vendre. Je fus instruit dans l'art des échanges et même dans l’art plus difficile d’a miner 1 industrie d'un pays. Ou m’envoyait quelquefois porter «d Égypte les ouvrage! précicu* dç> artisans de Corinthe, *t j'en rapportais des étoffes de lin et de laine ; j’allais dtns la Brique pourvoir les habitant de cette heureuse cont ée des insuumens de l'agri- culiuie ,
Go igle-
• flrigWI faam
NEW YORK PUBLIC LlBFLARY
i
( SiJ
<iJture t ci ils mt prodiguaient l'or que lt s/îv 1 c:ôix'
rodent à leurs pieds. La Sicile me livtüii^fcd iilhtffl
nioif«OD· , elle recevait de moi la pourp
et Je» précieuses ewences de i Aidu.
lieiirs dé ces voyages , je fut Xi laque pur ¿(i-s ;
mais je ms détendre mes richesse» ci j eu* njujotus
l'avantage dans ces tombais-
Akruéon n'avait qu'une fi le , la belle et Mge
Pan ope, il me la Kl épouiar„ et retiûrjçta aux affaires
pour CûniaCiOr ics dernier?» années a l’érode de la
iageSte.il nie là'Issadf'tfrr'cûniiiLcrce iranienîb et des
fond» médiocl’es ; je Es moi-merae de nouvelles en*
fccpriiel r et mon commerce plus grand q U! edui
¿'Alcméon ne m'a d· n k qu'une extrême -lisante.
Je me suis toujours contenté Je faibles giil·» i en
mu ch rut à fa fortune, je me suis fait accompagner
de la justice; elle a modéré mes probts, ruais,tifs
Ifs 1 rendus respectable». Tout*» les nation? »'frite*
rtsitnt à moi, et si je oc suis pas le plus riche, oégdciaat
de Gonntiie , je suis peut-être Je plt»
ciùmc. : ..11
Après avoir pisé quelques mois erjzinbJe, les
deux frères ic iépjrcrenf enfin 5 Pliérzirflte resta
dans Corinthe avec une femme dont il était la
gloire , ci qui était le charme de sa vie; il y vivait
wct dti sages jst_aï«_ccux des piquant à qui
l'amour des richesses n'avait pas fait ou. lie rie» muscs
et La vertu* Le Citl lui réfuta des caiaiu, il semblait
avoir adopté tou» ceux de scs amis i il lent
donnait des leçons , et ses exemples leur apprenaient
¿ mêler à l’csprii dt coramerec I esprit d'hon-
Btur> C'est à lui peut-être que le» négociais de
TtJH* XXXf7. F
D'iQfjl Irair
NEW VOP.K PUBLIC L'BRARY
_ . (ti'J
Corinthe doivent h répu ta tic a 4e nobkite et de
■bü»nc ioiqu’iltoat daoi toute» k* contrée».
>; Kégétippe retourna dan» Chai H* retrouver dé»
eDÎau» qt»i hii nUc mbl ai eut trop) ce une femme
.-qu'il u'umait pu ; il ne put réunit auteur de Juî
que de» courtnane» , dn prêtre» et de» hiwriont.
Mêpriaé de* »âge», étranger eu>r plititri de la cou·
•cience\ il fut toi^our*. incapable de jouir de »H
«ûclicu»* et tou jour» tenté de le» augmenter.
P O B S I-.Z É T a A N G E R K.
. « *
■ k - f
' Uifictur* fauis. Hot.
¡TjOLIAV 4« PZJugr d'ttprèt:BoB>rxa, ÿdr *f, LJtÀvitt.
Se in-tfj. Pria, crnttmu; et frax dt fKi
- 4w ii» ¿0afé<jn*w, t/rujir. APon», <À*z GmfHtr,
jntft utUBr-iihrBtrt , ne Git-di-Caor^n’. 16,. ,.
>(jl fc'toi -te»-qtfun lonkt'ct agréable pi(ie-tWH
d’un homme, qui depui» long^tcm» «'est contacté
"è l'étude de« langue·, qui i’Ü»t Hvré à un twrni
-»eonünuel et utile ; et qut'n enrichi la iépuHiqét
do* lettre· d'titt riùafb« cFûuvrïge» eïtimable», più-
fie ut »traduit« de l'allemand et de l'anglais, etc. (i)»
: (t) Non* timon i 4 rappel 1er ici, lit titrei de çcvx del
‘ **etagt* Je cet écrivain que data ptmvanS non» rappeler.
■parce rjtifil r’art parement atjcanji', et parce que icu trtidc
. du* i<* Prjnri JiiféMiM t>h-exact. Htrtrire du
SnitiH, traduite di i'dleruDdu Pari«, au Cercle-Social,-n<
du 'Theiua*Ffiii(ii» -, Neuf volâmes ri·^·
OlaiiiW h n
KTiVYQUK PUB! IC LIE
- . (W)
Ce a'eit pas mérite ici uq poetaê feutièr^ cfi rifi
lOnt que des morceaux chotti* et détarhis ; ‘irtalj
quoique âipaiéi, et pardi privés d't*n grand îilti-
/fit* cependant ill ont eoéore plnsipuii puîbti d’u*·
Ailitè. Ces tableaux de Hcdmcr sont sii&iatii pOJr
donner une idée de h manier« de ce pàïte ,■ et en
quelque sorte de l’tcolç germanique. 04 siit qué
le titsctia des put ms allcmmdi «it sùut'eut uni
abondance, une multiplicité et uni répétition ici
tnêmél· inrager; Trntf riïhesie et \inè pru'inrtê' oviditnrttt
<pô le* distinguent des püem français*
plus legej et pisé résorbé* dan» lents paélte*. C«t
ce qoi faisait dire à- Voltaire v contre i1!ùégal et îbpéiueuï
Diyden , qui accuiaiile* Français iTtiri
t$nt gt'nit et tant karditut t tt Ne dire que te qu’il
li but , cl de 1a manïSr*' dtrnt H-te ftüt < tlt uÀ
fìTtgrùmi Prufii. de V/ieltnd i P79G· Xku* volumi s rw-iSa
Ftìcrars if finies, et de quelques surres SJttdcs pour faire mit#
â i'ds*<5t de Lete urne ut { eô-ui-le notn de Hifi ]. Paris ,
Dufvtl 179Ï - Trois volumes ii*lCç Queifitti vth , Ì7SJ j
R «eut il que Fon réimprime «tee des additions. Le eitoyeil
Lahiume a travaillé [ong^tems A no* m HH turt journaux Jit—
tttïûiaa qui &m précédé la rtvfrluLiùti. 'Une critique saine T
qutlquefaïf révère, mais motivée et éclairée, y faisaient di$i.
drq.rt« se't extraits. Il a encore travaillé conjointtUieni aveç
Watt lit, aux articles de sculpture, peinture et privare de
FEetyr/i¡frémit AfrMo-éifun II eut insti une très-grande pari ili
Ccrtjdr dngf«r , juillet, tjSi i 1^7 i seps volumea H-S*«
Rerntü trécca riunirle roui Mets de* rapports, pour noué
me tira au eouraot de.lt littérature anglaise , des science* et -
arts T de» spedatiti, dei moeurs , des njigtp, dea fêtes , etc«
' ' î *
Original tn-nr
WFW YORK PURI IC L IBRARY Go* >gk
(M). - h
n mérite, dont lu Pran^ai* * uni plus approché que n Içi écrirai 01 de i autre* itxtiou»^ n -
de la Graode-Btt ligne. Ce journal mrueUJut le vau de »111« t
• x Z r
répigrumme, l'anecdote du jour, etc- A côté de ce* petite* pièces anglaises, an y remarquais souvent la traduction en t(H français , faite avec beaucoup de. ¿délité , d'éJêgatict et ¿s goût,.du cit. Costard. Mais loi «UrepTtneorj pécuniaire· A* ce journal firetii deux taules i la. première , de i'impritM* . J-la-fois de deux formats : par-là il* icultiplierent mal-à-pc*1 pos de« 7ra.ii qn'il* avaient de ta peioc à couvrir. Duiuiaeuil eu second lieu , le rerapliisiit de livres entier* de jwnmiice, de métaphysique, d'économie , etc. , qui r« paraissaient-à
. chaque numeroi Au lieu de ni traductions entitrei, on ? «ftt désiré de* extrait» bien faits d’uuvrajes nouveaux le* plu* pi^iiàni , qui auraient attaché Je plu* grand nombre de* iouicripteura , er qui auraient pu rendre te £c*i&r Jafiilt un
■ de nos meilleur* journaux êtnafm»
■ ..
* i
□iqhlz«, yf GOl
A41 ftttc « par rap^oit à cc genre prolixe ( wïu qu'en reproche sûr poèmes allemand*, il eu à' remarquer qu'U convient paTticulicretsenf : (comme leipoëmei deTrrmp*onA dc Gray , d’¥oungt «îc.J à h peioiurt ; et qu’ïj peut tire étudié avec fruit par le* artiitei attaché» 1 cette «renr de 11 poéiic. -
Considéré de cp côté , cet opuscule a donc uit point d'une utilité marquée : il peut être joint pour , t’ueage de* pcinuci^ au volume précieux de» 7e* Keeiut tiTii d Montre et dt Virgile T i y 5 j, par le comte de Çayln»,
,;. Nous allcni mettre ipuileiycux de no» lectenti ^élqucjt'un» de ce» morceaux de Badiner, pour]<ut
□mjliMi ITom
■■· pjæc jgr^FV
4ot>ner une idé«, et de la minière dû jiétfte iTle« oeand, et de son traducteur fiançai«.
Entre pîiuicm* grand) Sujet) de l'Hist&src du Genre Humain, tirés de* livres llctél* traités par . 1«· Mttiti □ liera un des, Bodmer , te fécond B^dnier a Hit.deux pceraci sur le déluge, chacun en vers hexamètres non rimé* (i). Le premier en cinq chanta,
j {1} Ile*! j remarquer que la langue allemande, extrêmement feumde eu moyens ,’i *ur 1* nôtre Lcaocoup d\van. tige·. Les Aliemand» ont une prose poétique et cadettcJe genre qui ch« eux rinlup arec la piui belle verti^cxtMn ^ et dans lequel *‘e*s pirucn])*rentent diiiingut Je chantre immortel d'Abel, Comme les ¥rin|«*, le· Allemxnd*iont de* vert ri mit. Comme Hoiperc et Virgile , ils ont encore ds* yen métriques» Leur langue plus compl »liante, plus souple^ plu* libre et plu* hardi* , et pir-là, piiu nb on dan te en locn» _ lions , en tournure*, e» idiotismes étrangers, peut tendre vers pour vers les plus béants poèmes des »u tiens» Aussi plu*, riches que nous i Cet égard, Je* Allemands ont un nombre, de belle* traduction* de cette espece , en vert, presque littéral«. C'est en parlant particulièrement de* traductions de ce genre des deux grands poèmes d’H orner* , de celle» de* Virgile, d'Ovide, etc., par M. Vois , qu’un’homme très- îhttrplt de la littérature alietnande, * dit que M celte langue st est peut*être la seule parmi les langue* moderne* , ■ qui ” permette un travail semblable. Elle est in*eeptible de ter*' >r métriques par h qoàniité prosodique des syllabe*..i’SBS4ei>< ’»sif fé/wr peut de plus dans cette langue, en oSs^tansl’mm^ sr logis , composer des m*ü iscaoemtx avec laménwfxci|iUspwr dan* la langue grecque ; ei il t, qnaut d La construction , ir retour «¡rfrtnJ dt fliirii qui dam la lang*t laiint. s.s [ Lett» an C. Millin , LQtn. 11, an. IV ; ü*g·· £ar. î
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Gov >gk
Cnlsjlnrsl ïrrir
WFW YORK PUBLIC L IBR.ARY
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Q'^fei^çiL'iiDgprtnrierc îqu iiajct. 14»
ï morceaux, qui «ont quîvM ï JO ut tirés du secerai £0£dM, qui tu adoube,1 dont le plan est pi ni vaste , Ci dont le composition est supérieure au premier. .■■■.' ■ . . ■■ ;.■·.· ·.*-■' ( ’ » " à* En sortait de* brut du . sommeil, les hom«m
_r ’ . 1 ' '1 . de te* Cûniré« a-vaient in,inUe-metH porté leur* e·— ' garda du odié de l'orient· Au Jieu de la datte qu'il* ' en >/t««daicnt, un nuage its pénétra bit l'envelop* paît tour entier. Au>dci*our de lui, le ciel ct 1'0» Cna Vé tend aie nt dan· u#t ombre jaunâtre·. D’i^ trUttUM tourbillon· de fumée envirtujijaieut la Ct»- u»ute. La hinc trembla»te , et presque entièrement rfbtcurcie, Gageait au loin dani ces brouillards- Lés exhalai «on* de la tetrt i£ confondant avec tut, de-
Venaient d'horrible· fantômes, et re prés en la ¡eut la ïiort iou> des militer» de former menaçante». I.J Sambpyaiutit'des glaive* et des f;ulx; làr des nnonp- Üe* inouïs traînaient des char* couverts de linceuls , chargés de cercueil* et de cadavres« l'n silène© morne, présage de. calamite , pesait sur la nature. JL’hîvçr déployait M cigueur dans ÇC climat d< fçu» Entre Ici animant de»champs, le* pq» tendaient pé- qj^leqt^; If^rr tête à l'cpuée de leur* repaie^ j détail· triaient çà et U, s Mil ordre «t »ui repût« Piuùtl» «a, ram a Ma km en groupe» i tous présen- tM4dA4fl«rid«ctnictijQni ai poussaient de* h mit me® s W» Ujuicl·,. <>
. ·*·» i* ■’. ' à * '
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fl Di>IMC4fQ m*r jôéjour» plus varie,
t 1
Got igle
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QrÿM hïHii
NEW ÏCRK PUBLIC LIBF.ARY
I «ÿ 1 .
tonfondu» le» corpi de* roi* et c(<* de» évita«* +
Ici paUii dei giaud» »1 Jet ¿uhle* de* b rifle l. Te ntt '
chair qui prend la »smiore «nr 1* lent , était1
pçurruivic par la mert> La aurhee du globe-, parié
la veille dt tout Ici chindei d'un éternel prititera·»
lenguiicaît tout le p»id*de» eaux accwmüléci* L'aie
Wl Ici eaux iraient iufcctél d'tibaltllc m .arilplm- _
remet qui c'Éleviïot de* Fourneaux dé l'a b y tnt«
Cependant la <otpei{ h téptta de la terre victorien*
«), et n'aymtpt idu dam ce choc, qbi avait*
accahlft ton ennemie que ta chevelure tt Te blet
4* ··* montagne! de vtpenr». n : j
> ' ' ■' ■ -
e ·
h Qui nie beaux jour* de mire êgayiKût leur*
pentée*, et reaouvcWereÉit danc leu» veine» lei
principe* de la vie. Ainsi l’ccdciLfia U Trét-Haut j
car « routage ment leur était ttéceiuire. Le» nuée*
devaient encore une fui* couvrir Ici tiens de catat
ncte* nouvelle«; le* vent!, itcouer un la terre la
pluie et l'ofage, Licomete, qui avait atteint te 10-
kil, et leur p a rainait devoir bientôt déjem [tarir le
ÎTsumtnt vwbte, l'rrréta, pui* rebfouria chemin
parmi Ier vapeur» limée* ca-dtfa du loleil- Déjà
revend» aux environ» de ia terre, die fui montrait
feu front t crolmit i Vue d'cril, et k menaçait de
■ûuveaux dénitrei, de Faire mccédc r Fe m b taie méat
à l’inondation. Noé et sa famille h virent *>n* (tt·
•i _| 1 ! r g " ' i 4
quiétude , rempli» de confiance cri celui qui ici
avril mir *oui la protection dû aériphîri. Le iérajdün,
ami de* jüitCl, voltigeait ■*□» «4e autour
T 4 ,
I ■ ■«.
i'8« )
de TiîgÏ* « jfeijrtposBit dans. sa tente de tiuei étM-‘ p14es«th*wt dans le et et, t avili h le peut U» ye-titha-1 feain.1, Etri^pt. I wo, des bpakut^Düi! qui le levaient’ tyr )<t terre iüoqdec , il «ritra cUm L’iKhc ; aprta' avoir voilé sa splendeur éblouissante d'un conps^* rôhtu uàii*. -. ; ■ ■ îtr '· r -.:.
»* Ce que, y uni ave^enten^, dit-il, aHUïOachidti? W venait pqs des hcnpme|ltretelles. .Nant'Ctyt toit1 çpnfij|e^ étaient çcll.es do* L>ngçi :déc hitirquiWaJ gu ores ; venaient le». ¡wytrühs Mai*-'il en att-uar parmi <19* , qui ¡ic vetyait-pas Aut U tenr«·afirt»db- pervertir les bowqei; le. dépio/^ble tourmenté d’un repentir tardif, quittait l’enfer pout- eviter 4« corn pignon* de lëvohe. Errant de pli- ijftip eq ^j^nette, il s’y ^cachait. d*ui Im plua'int* Ijprdible^reJqi^ t pQtir ijt' tpititutiier de douleur 1 pour lç^.délices dp.jpçh Paikiÿtie des bem
ri » jt J a bienveillance.. i|e Dipn, Pendant le copi^àtydçU UUt çt de la il s'élança entré
^çi;dquijp ^spérjm qo’en^qécs l’une pquwil'aiiut hpri qjï leur,bét pf<iiçnt€relle» Feri-t
Vaî^eii/çv^ti djtus ^^éifTU du chaos« ntfi* #pn eteénuu fnt trompée,^ ¡y.demeura pilori Ici çau^ q^i cûuYi-iitnt la terre, Il vit pÿir toüt»rlé|j créatures, en via Jeux ^pi(, La pifte ^’cJl« fais^euf ,;4fJ* lt(nïieie et fin tpi pM&i
yin effet de h bénédiction du caeL Mais nui, dit'U y ' je ne puÿ_. m'échapper à moi-uléma. Le ver rongenï fuit ayeç «toi 1 ¡t çjre ave^moi d a*tfe en aitrc,:dc jnoqdpja monde. Je retrûjiyç les priions infernales £c, 1» lumjçrc, »Pus Fubti des or?te
□Il
remord est devenu mi substance. *
h En parlant ainsi , il nageait molli cadavre·,
et t’est luî dont vous avez distüpgsii tel iwtm. n *?
On remarque dam ce poème des «iprc nions sublrmct
·, poétiques et hardies, digues d’Homere et de
Milton ; cota me'dam k passage précédent, en pariant
¿d'ange tebéllc, qui avait renonce à un bonheur sans
Ib , « At ernel comme moi, le·remords est devenu tm
il substance. *· Et ailleurs : n Elles ne formaient
h plus qn’une mer avec toutes les zones ensevelie»
it tflmtnt elles, tous ce liquide vêtement* irriTotis
if les oiseaux de l’air, tous les animaux des bois et
n dti campagnes, toutes les race» d hommes ¿v iïèal
u bu la mûri dau» Ces mime) flots. 11 « Une seconde
ri convulsive agitait les plaines t ici tour» cbance-
« laient comme On chancelé dans l'ivreiie. h «Il
■■ «’ è . J · . *■■
ii inleil t quand il recommença de sourire an monde,
h sourit aussi, «U* i> Dans un moment dé souhaits
et dkipérarree : t> Héla» ! ce sont là de doux rêves
r» que dissipe la réalité de mon sort* h *» Le *up*
n pli ce d'un immortel doi t-il être immortel comme
ri lui ?.. Bluphêfncr, souffrir et maudirf, voilà. Iq
n cercle éternel de leur existance.^ Je suit, je icraj
» éternellement, étemel km fut rejette, n , |
L’arche ·’étant rapprochée dft navire des gêaitii,
construit par Adrutulcch, ti Un chien >c tiouv^it
n sur la proue t il voit i’iiche t et jibcie pont
h l'annnitcer. Un homme , en habits saCerdo^
i\ tiux, etc* ii , ; t . .. '
Ici Je chien est pittore»quc,et dans la plu» grande
b.
I,Il l[Ji i|l flirti
NFWVQRK PUBI IC LIBRAR/
■ ■ ‘ 19° ) . ;
vérité. C'jaf la hatare mime , précieusa pour tel
* peintre* wamt pour les poètes.
TJe Ht ne la.découvr«, un ¿ien It fait faeahre »
Mw XQû^«ipfix n'e pu du yef* pour h c&ftaaîbe··
r
On remarque dans ce p sème 4 plusieurs aotrei pillage*
de ee genre, d'une grande vérité. Cen’estpu
que ¡es tsop petits détails qui pourraient convenir à
la peinture, soient epcelktù dans un gjsnd B*ËBUl’
Deip remuât û’aime pas le petit cnfjût, .
f. . (Jtd *'*' . .
Ut j*X*Ur, 0 is mtrt ^ffri us rûlÆm fw'Ü ijtnr.
Sur de trqp vain* objets <?f H irriter si vue , .
" / ■ ·
-dit le législateur du Parnasse. Cela est vrai.. Mais
ruSti il y a tels autres petits détails, qui bien mÎoi·
gés,. placé* i prop&s i et rendus tu boni vers, ne
rféparent point un poème épique. Virgile, le poète
du goût, pourrait en offrir plusieurs ctemple■ dans
les jeun du V*. livre et ailleurs. .
r Ceimceurs simple· et prises dans la nature /dignes
' 4ti premiers âges du monde , nous rappcUont plusieurs
traits admirables de ce genre, chez Hnmtre
et aüs prêtaiets historiens sacrés. Chez Homere, par
érçmplc , bis aiine le'chien d’Ulysse, qui au bout
de vingt an* rec bd naît son oe ai ire, quoique déguisé
en misérable mendiant, que sa femme et te* dômestiques
ne reconnaissent plus. Ôo voit cc'ehjenqui
Le flatte,.. Ulysse qui. détourne ion v»^t, et ne
p,feut retenir quelque« larmes qu*il veut cacher, ci
qui malgré lui s'échappent de ses y<ua ; enfin , es
1 Û'Iljlllri ftlllîl
NEW fDF.K PUR i IC I !0FLftüï
vieux d«ibe*t>que mal soigné et in&nne ,qxnre «rat t £C meurt de joie aux pieds du maître qui J’avai^ ¿Levé, Ici tout est peint par Homcre et dans La plus grande vérité (i).
J S'avilit UJjtltai
PrvgTti-Sim lirai l/anrfliià t»»JU «
jirqut^ajf Mrtr, , » , ■ ■ ,
T Ce» dernier» trait» qui se retrouvent dan» le livre de Terbte, exceller» pour les peintres qui savent 1er tm- ploy-er i prop o», Roche fort dam sa traduction en ver* français, estimable i bien de» égards, n'a pas oié, ou ■'4 pflj pu les rendre dans notre langue trop dédai* gneusc à cet égard. ill· v '1' J : ' ■ ‘f ’ -
- Unian n'a point dédaigné de pareil» délai h (t] et Klopstock u’a pas cru déshonorer l’epopée, en y-citébram aussi le chien du bon vieillard Elysa» «b»(3). Au reste, S. Lambert fa dit, que parmi les modernes, les Allemands, concurrent meut avec les Anglais, tout lèi créateurs de la poélit descriptive. lis se »ont particulièrement attachés à la poésie ifariîfw, mot formé ad hoc ( qui fs.it image ). Mai» ou leur r»' proche de s'y être quclquefoi» ~ trop longuement jtbaxrdonnéj (4),
------------------------—---------------—--- -----------------■ ’ JiJ Odj-jiçç, 1, XVtl, v, ogo et »,
(t) Dans le poè me intitulé jtforîij.
{3} Chant XVI du Messie. l
{4} Va. U DisctUTf pfiimmaire ¿a Point· des Ssitrui> 4» Te· Ol·jîhjjlîc^j psstvriqiits wrh ïfttCrqÜiH af/ew«ufc du qt- 1. Th. H. Paris, 1774 ; rt-1^ 1 ObsitTiuont trèi-bie» faites, irè»'judideuics et Lieu tentes.
Got gte
Dr-3T4I tram
NtW
.IC L1BRAFLY
f 9’ y .
. Voici quelque! tuftei tableaux extraits du même
u Apprends Dp V>rt des hommes '-coupables, dit
ïlaph ael à Nné s'ieiA multitude était ensevelie tout
les eaux; lej smei n’avaient point abandonné leur
prison, jpt la pourtithre n’avait point triomphé des
. corps. L a oie demeurait suspendue dans les r'eplir ,
du coeur, immobile* cachée, débitant se fuir elle· *
* . I ’ 1 " . 1
même. Un Ange, un des An-ci de la mort, s’ttt
tb aj&sé sur les eaux. Sorte j, le ut a-1 il dit, tortn. 1
. “ de vos repairci; çdvret vus a^les, et tuivea - tnil· '
A ces mou, elles sont «orties de leurs repaite», ont
ébranlé leurs ailes, et se sont envolées par Joigne! (
et ténébreuses phalanges. Armé .des terreurs de la
mort et de l'enfer,.¡'Ange les a conduites aux borne!
les plus reculées de l’espace, où les astres sont.se- ·
mit; à ces frontières où l’antique Nuit et U ÇhiQS
rugissent: d’avoir été resserrées par la création. Làx ' (
se meut pesamment un globe énoijue, dernier «liai ,
du dernier soieil, qui l'échauffe lentement et le
blanchit à peine delseï rayons fatigué! ; ton J°l 4
d'airain esi hérissé dekollines glaciales, L’Ange sut. t
abattu «tir te sol inhabitable, et avec lui W sflût l
■ battues le« myriades d’aines. Sel vallons, set plein«. ■;
tes collines ont disparu sous leur multitude- Elles i
gisaient au loin tremblantes , nayrées de boute »t ]
1 dé doüléur. ' ■ ‘ ' , 1
- fi GÎÈsez et dormeid’un sorti m eil de fer tant qt>e z
durera h teire Jusqu’à ce que 11 trompette de» tient j
you» appelle à un aul ‘ ,
Ur.?ral*Dm
NFWY-ORK PUBUC UBRARï
, . . ,(95 * . .
» Ainsi i?jit exprimé l’Ange de la mort, et il l«i a frappée* d'une verge pétrifiante. Ames déploM^let* elles dorment, mais lent intelligence-veille ; eÜa entend aboyer et siffler , duns des songes prophétiques , les chiens de. la rage et les ictpent du temoeds. n z 1 .
I r - .
' * V . ■
u Nné dit à l'aîné de ses fils, d'aller reconnaîtrç dinf les plaines un lieu plus hit 1 table que le haut· d'une rûontigne , pour uüt f,<rn illc qui devait b J calot se multiplier. S cm partit turlr-chaiop. Il donna ■ un hai|:r à sa bien-aimée, prit son bâton de voyage^ ■r descendit de la rhontagiiB, Seul au milieu dei plaines , il marcha vers la iône méridionale, et s’en* fonça cbüi une terre unie que bornaient deux fleuves, et qui s’adossait à des collines doucement inclinées^ Veau des fleuves était encore souillée d'une lie marécageuse ; de larges couches de sable occupaient le tirj hupûbles rivages. Mais déjà Les hauteurs étaient couronnées de palmiers et de prairies où le printem» déployait ici charmes. La fécondité de la terre ne lui avait pas été ravie par le déluge.; ses. germes ttCLifs n’étaient qu'endormis sous la fange1, Dieu Ica ranima du souffle qui les avait créés. Ici les boutons précoces développaient Leur tendre délai; ailleurs» des branches élevées et de frêles arbrisseau* préjeri-
■ * ■ ■ ■ ■ s f i
raient.déjà des fruits, qu’ombrageait le duvet de la maturité. Snm cotoya Je fleuve qui coulait à sa gauche , attiré par des berceau* dont il ne voyait pas le terme. Ce fleuve était l’Hîdekel : ses descendant nommèrent jes belles campagnes Les son et Senuaar;
Got >gle
' fîMÏ . > triai* îïorj elles ét*3ent »am habitant et lans tient La voix humaine, le» aceem des anima ut fie s'y faisaient pis entendre; L'oreille n’y était frappée que du bruit mûnolone de»eaux qui roulaient sur |ei cailloux i des insectes lütnineux y baurdonnaient faiblement, tandis qu’il» se berçaient parmi La ratéc- 11* remerciaient., dah» leur langage, 1« ciel qui les AVi/it conservés ; mais leur murmure ne parvenait pas jusqu'à Sem. IL avançait toujours, il voyait de loin des corps accumulés, à demi recouverts de fange Ou de table. Bientôt il se retrouva dans les lieux qu'il avait souvent contemplés du tant des rochers d’Eden....... ‘J ■ ■ 1 —
si Déjà Serti voyaif, sms les reconnaître , le» vastes ruines de Thamitn, enveloppées-de b roui' »si Mes et couvertes d'écume i il les cutbya poûr Î*ïîcTituiiiicr à l'Drïent. Ost U qu'oit voyait ta mon* fugue sainte où Beuriisaic 1« jardin de l'innocence, Maintenant l’horlson n'est terminé par aucune montagne; mais des plimiers et des cedres dont la terre ingtbudt les cime*, présentent au det Icutj racine» monsrtuensei. Des rocs éboulés, des qtiailier» de marbre , d’ivoire, de crystal, tenvertéi lel'uuj sut te» autre» dans un affrfui mélange f forment une Îiarficre que Sem né peut franchir (il. lï retourne aux premiers décombres^ La nuit couvrait la terre, lorsqu'il iîriv'a dans leur ente in ter mais H tune tien-
u ■ t - . -—--■■■■■. .· ■ ■ - ■ --· 1 * ■ -
(il Tout ce dernier pu»ge offre encore des deuils très* pittoresque*; irématuiejs, et propres à être mi» en rciiyrr par tu duc qui um Insaiiir ci les ctaptoyer 1 prupos.
Go gle
-
Pi-EW ÏCRK. PUBLIC LlBftAR
( 95 )
fairaûtc lui permît de les obsçiver, 11 lut loi np
obélisque rcnvcrié le nom de Th ami »ta.
' · n C’en dîne là iüi, teioe de» ville», dit le jeune
horninc ! viuii de te» richeisc*, de la splendeur, il
ne reste plus qu’un nous,. trop peu' peur le» faire
coPQJÎtre, asse* pbur témoigner ce qu’elles tout
devenue». .
r- . * ‘ '
tr Plongé dam une rêverie profonde, il continua
de parcourir ce* bord». Une pyramide subsistait j à*
ccre en partie. Sém pousse avec violence une porte
fresques , revêtu» de byttus, et couché* comn»
itfr Un champ de bataille. Dam h suite t il apprit
ui étaient co cadavres, çt quelle avait
■ 1 "* - -, t - ■ ■ B ’ ■ l fit.leur mort......
n Aux premiers rayons du jour, Scm descendit
tt reprit sa route parmi des rochers monstrueux, à
peine couverts de terre. Il lui fallut comité trxvctttrde
larges déserts de sable, unis comme b surface
1 de la mer, où pour toute herbe, il voyait de* chxl··
■ dû a» et de mince* roseaux. Mais la scène changea
par degrés i des venss parfumés vinrent à lui de 1*
/terre de» stomates. Il avance , et du sommet de Mito
découvre la terre promise dans toute ia beauté. La
colombe qui n’avait pas reparu dans l'arche, l'y it·
Rendait tur uu olivic#. Le plaisir de revoir nue créatue
vivante, embellit encore à Se» yeux cent Con'
trée délicieuse ; il reconnut qu'elle était propre à
Goi ¿le ■Zdgrjl Ircrr
NEW YORK PUBLIC UBRARY
{s6)
1 1’habitidon de* liomnies ·, et retourna chercher u
Liuillt· h 1 * ■ I
Cet opuscule plein de grandes imafçi, d’un« bdlr I
poésie, de tableaux de diilérens gcmes, et d’uw
grande vérité ,,peut convenir sur tout au* peintrer
passionné* de leur art et jalôux de s'y diftitigMT.;
il pourra leur inspirer des caméras digne· de «vdiitf
avec les grand* sujet* de* Michel-Ange et dcsiianecdote,
qui confirme ma façon 4c pemer paï upport
à Lutage spécial de te Reçue·!·, Lt ait· Labia»*
avait entière tut rjt traduit le Déluge de Eodiasi-J»
Version finie, il oe juge· ps| ce poërue assis piquait
pour 1c faire imprimer; et il allait le déchirer, Jtqque
Watekl, eaçelieqi juge *ur cetie matière, thrr
qui le traducteur passait à Moulin-joli la plus giandt
parti# de l'innée , parce qu'Us travaillaient tonjaia*
te ment aux articles dei beaux-arts pour l’Encyclop!*
die, lui indiqua ces 1 invitai le*
É -r .'..···- * r ■ . .
' Ce petit volume m-18 , d’uue impression MtWi
soignée et ¿unirle, peut faire suite àia chilM’®!*
cQllectton de ce tonnât de nys auteurs le» fer1
^cékhie*.
ï
VARiLfÉS-
□mjlruj lt:m
NEW YORK PUBLIC ;J0 R AP Y B
t9#¿Ei 7ljffh'tt.>, .íX*eJ/c<í>n.>7tH itífídj ?Λ[·. ^,ϊ/ίί’,ΕήΙΙο
X/X/^f^e.j^Xuntí·j’titt ';rfo)¡t.,t üfitj?/c> Xaitd
ft e AplLci/ettf.»,tyi, ·$&.
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Ati· tinti 3er /tu* J J Um vat
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. . Jt. /'ypttdfu/í, 3aH-Aÿ 'at //n ^t. t^f.·
^inu .vrwarAe. //Λ, Ant fu AítftAájju’
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Alt -γ? r ft/^ fri lt Æ j-Vi-r 'XtjttM fri, . fc, fttf ftettiiyUnii/
Mt-J αΆ 7rnn'i^iitj Λ ■ riG' ( tW-?
jitù/lt.,· Vaici tu cti--f^~t.nti^ii.iiS
ßtiUeaftd ttatr^J*·· >rm/tt^Îrd) 'tra, i¿¡rt fr-
^eu/r.Y', L . i ’ i
‘ ^¡&ΛτγΊ/τfi? Hefti¿tt->3&C·tufi f/liJftrC>Ct
tíf*X Affen}; fAd ratfWft fretti* tTfft^^jfWtra/at*
J ' "” -:tj^t>ettrerr irvttrti efàH ^at¿i.r
' ' mAc> ¿d Ífi^afvSttr
Aj- At/ruftj
/X AjfflaÁ 3.rtt>r. etí/fyf
tßfiitftHtut /. 11Vt>(t.J ■ C> z,J)W"i
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ntt. Hcait/A^irt^j r./ry.n n/ti} uX^faO;^oe/ii^tttd>&r-
/¿-•^rttit'j.tT/¿ττιζ, ij'tt.· Â.J AtAifite/tCtnT^ rd^trtne.-
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¿ti Ulfi’k'fttÜtr-Qttí^ tírí>/.-Λ4'vaiflt eletteti, ¡Jai Oaüiú
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exUi^títf tfrvtntf, ti- Í¡S^sú*&>p&i -
/*r> ¿¿dwcjL·* Qm, ^aiL· ¿mu
fatàucfiu-r, art, t/pfAjjp^lT,
f9ti^irf/-rt^(_,r. ict t*CjQ A
c£ai4Í^ ■ ¡¿Kt/fití. muir/tú j fi- £t»r
fttn£r rtí^etis C&tfJi óritftÁ/ti : ttf/tj /at£<j H *t fát
Owr jy< /'y Mt* if i 'iii^flfu Λλ Si
CtiU X, cintdiiïtÂii ftúftiú, ar< 3oj¿j ~
fitMlwt* útr/fjtjiouf vo/tii/rt-^tttf.f
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putiti, e¿-pu ^l1^· ’
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’•7, μ 0Ϊλϊ£_η Zrí-lrit Zô ΐ,/i ‘-y·;’tretpifm ~f ttYfe.-^^en'H·C>
t pH i'ppitiJJti tru fj /ftÇ, VtuSifidllpfiït
riWfr'Jtj-.V f/lt-(. ufo
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v pH i^tj-aujJ/t trufar /i.Ç. VfM&f. I tí.Up I
* y^níjiumrttí-, iSÎ-e/tlir/èppiuJjj
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(TtJfJ Δ «τ»/« T æA_ ¡ureitr/nL riditi yttrij+iii
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/ZfO cor^ep* r r ' <Ζϊ*Λτχ tiinr tj ~
’nù/.iiflj, 'lìjpir^f ilib.^'iaü^ Î0Up
'j.lHl C> Ufi. <IkÂj ■ Z’i/JC’ 'D>
W*y>ï4it> mit, Mft Ά, oettwwi.-
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afiMt.>t ι/fu fauq hut, ¿UTO·, ii» 6 <
britjilHif JbC·iuJftîij Vpf/tpeeu/*^
tru/Îûirjkj ft-ifÂç λ ñ^Paa/f', if-
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Λ/ítj rtirttro tjrjmdíior(_> ,<fvrt oeat^r-ouji·^ ji-^m^ frtj^íj -^¡tííit^ts tHi i¿i^a*i- in fé*¿etti#''¡a? tifa/—'}. aìi/ìtC, üríú^f'^ e.Ca^tUtÉo^e^rJttt^é^Af rtC,
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Le 7 TU du eir* Xcjtek dü· Auteurs Âu Martine*
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VJtroVtÿS, diti» vôkttt journal de friHMaf an V J ifltii ivti bien vûulujrt’ndj'e un compte favàrabil du premier volume de men Abrégé dis HomHtrs Hi kitiretift Phitarq-at. Je viens de von annoncer iduS . le njètne titre , an ouvrage qui n'est que la crdduci tign-de ïî>a^itr, avec des tetrancbemtiüf ef de» côrret- ttqoi dan» le Style que l'fro tetir te connaît 'êtÎe^Aentfi triviaf-il· fatigant piriunifarmiti des tourneras. Je iariic au public à premoqçc-c ouvrée et le mien,
qui e*t VAbrégé de Plutarque, sait» copierT pi mutiler !«i traducteur»/J’4i cherché À intéresser par un qui puisse attacher le* jeunes lecteuj^,^tp^ des riflcxious morales si necessaires Jiui sn Ouvrage qui présente de grandes etictiri , quelquefois mém< de grands crimes , à côté des actÎDùt Ici pluv^ dfglicf d'admiration* Il m’a. pitu important de ne pas iairg le» erreurs des hommes illustres, mais de Faire remarquer aux élevés qu'c Iles QUI souvent teruijeurt gioitCj Ce saut ces réflexions qui ont fait jugç^qu· mon Abrège »était utile à Ja jeunesse , et qui lui «ut mérité la mention honorable du Corps législatif , ainsi que le suffrage du Directoire exécutif, et de riostitur national qui ont agréé l’hommag^ que jo leur en ai offett. Le ministre de finténieun^« ïpro- po»i dernièrement aux administration», pourJci prix à distribuer aux fhea nationale! ; et j'aie cipêrcé que
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Twu XXX Fl, ,
DngiiHl h*uni
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le tecond«datte, qui eu actuellement jow pttttt,
©btiendra Un accueil aunï fiaitcar. Jevotiiprie d’an’
ponce rqu’ti parait» in^enafpiseiÿt, afin de faire
cmtuaUrc que je tj’ii paj abandonne cet oyviage,
dont en verra que j’ai étendu le plan pout te rcùdrc
encore plu* utile : je vau» prie auasi ¿'ajouter tpw
j eu rçoderf le pria, i dritftJr^e par volume, poii
fu friiliter lacquüiUQp jiur pc«* de f+ipilie et au*
itMiitAteUrt. , . ■ r, ■ _o
Qu le trouve i Pati* cheale portier 4c^apaûen4
nt du.Mail,, n°. aj, oà ftit le dépôt généra); ebe*
DupovtJ'biticc, rue de UUho0. J* * çi J?; b ray,
pltitia-Égalité, galetic dc boii, n·, «35.
. j : Acufip.
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1
trnVi éu Motif trif de C intérieur, 'rar fer F//rdrdtinr
: - "r" Qu'il a ardenni défaire à rtirt logement. '·
ï. ■ rJÏ - '1 . ■
’ IX« t»t)e ¿ûthiqne Tint g are
' Oà [i Non«e, «a pitd dt ViUit!,
r -—L ' * I . ê * * I ! - S “] "T· r .,
De ton coeur b ru Vaut ie murülurà . ' î
faillir le lérment loletEnél ' ' 1
? ■ Dt dcrnJptér Vappéùi cHrat l , ' ' -1
1 tt dé' tonnât nier 1» mutr ; ' - · - '
’ yfeabitt ,-qcoique nu peu aerndain, . :
1 Une ¿trait« «tuotnbr«.ea(J*lk , . . . *
\ D]*Lj$dâ 1« btguinc Urikdci '■ ■
^■¿li.nuyM.i l'qtprjj. n| ali __ , .
: i J* < et, cf î te ¡de mur« j 4piiÊ.
M**4f tfMéWÎ1 i
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Go ÿle NEW YORüK'i gPUrjBl LIkêiCit LiBRARY
llj'ai pont hôtes çontte^rnerç»
le» venu doB|.j4-eehoTt« aîW*
M'îjicnirdrt de son sifficmeat,
El de mon oreille ébiankc
Sseiï pitié nourrit le itmrnient.
Rivale de son Insolence *
L’e-ngemee importune des Ri·*,
Dm* m« foyerj ^ienl*a*>,
Et décrété la permanette«.· - ,,
Au moins , si, dans njqp.gal*«·
Quelqdr Nônnaia jijüinf > bleu faite t
Laissait voir uu <
Un. «il tendi** Une «ain proyrfHe ·
De L'Amour dégoijnijj^a’pis ,
Et d» de! jaloitxfc 4rojtl ,
Feignant d ipani« 11 *.
Je p ouït lis titayéf p^rfoia,
D apprivoiser «ûn «éur ,
Et 4« dilani« t» ,9? T ; ..
Mai* du sort telle est la jÎgiiettr^
Qn'on ne voit dans mon b, cretti«^
Que l'insipide « vaine imig* - . .
De» Beau qtii peuplât; ¡H - r ·
Et dont l'iat modeste .
jdc force i détourner fct-.r**** i
Par le désordre de ces liei# , . ,
Dn tenti concerti le t
'J
: A
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De Sainle-A^if^jfiA WelMW f. £
Cìt som iimiin de Svp^PwfMP#- .. ’.
Ì,’®d de r
A preique un tir de yfttapii . - . ■
Soqi 11 bone he de 5tl|»4|Mcr
Ét mr Ita détti* , „ .
La bubt dti Pare¿t«D4|i ' ■ vi
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ÏJ'ntic Vierge «Mfre li fier,
Pour de* yeux tint toit peu cïirétiitti * C* ipect^eJe ctt ua vrai ccindaic. t Je ne mit point de cet viudiut Dont l'ispidtc tarit égile
I molle 1 l'ordre, i li mort la , Et k moque de Lucifeb;
Fraoet libertin·, dont la croyioce Kit qu'il u'exiite point d’enfer.
Driguei protéger Pianocence t Min: tire aimable et nrfwux : JL >uEt, pour me rend ré ht tir «O , b'une trèt-tnodique dépente. Ordonner, et bientôt cet lirn^....
* ■* ’
Mi·· déjà mon bonheur commence ; ÏJéj* tout jonrjt 1 met »»né , :
Et vou* comble* ™ce cep*rince. Ainiî. mDD lugubre tiildri, Cnce À votre pouvoir «igiqu· ,' Ve perdre t* forme gothique j Et hi manittiquei lombrie « Omit pir li «ente tiegetee , '
A met yeux auront plut de prie Que 1« tr èxoperbe-OpulénCT ' £)* net foun}iti«ur· defirir- 'D*qi où ou ilcove lolitiire
i , . Il
Le Dieu Morphie aura il mur. ' Le* i oc g« viendront, tour4-lour, F inter mr trio quille paupière , M’enivrer do pim doux io»wrl , 1 Et d'une rnifo toujoürf1 frgert , -
Me beïcer juiqu’à mon Téleil· 1 La font, de* ehirroei de l'étude 1 Je eaurai ftir* mon bonhyUr.1 *
Gôs gle
( «·< )
Dca* mi piitîblc jolîuide
b J'admettrai L'ami dani le ccent -
leuiblc „ ignorant l’ait de feindre, Dt TimiiH connaît le prix.
Mû 1« fourbe taujotiri i craindre,
Qui, *ôu «i perfide »outü ,
Cache une infernale ma lice,
J'il vient chei moi, pour ion lupplice „ Int ra» porte lira cet mot» ;
il Exempt d ambition, d'envi*,
Ici je partage ma vie ,
Entre rétnde et Le rapm, Àmi de la «impie droiture , J'èlnigne de tnoi le ctxu'r feux «
Qui vît d'intiigue et d'imputure. n
Pianne Chai, Julittiitur ¿tt Saurii-Mutltt à BarJtMK,
LOG OGRlfH L
■ - ' i
Paini lu nation* qu'on connaît tur la terrei ■
L· Francai· eit celui qui me chiril le plu.
Au ban te ni chaque jour je déclare la guerre }
La bonne foi, Pilotinaur , itjot dei moti aupttflak
Ke me voyea-vûn* pai agir en cent co oliai re t
■ Ce que je feiuïa hier, aujourd'hui 1« défaire.
Ü'iyïDt point d'autre but que mou ara bilioni
lie voulant écouler ni rime , ni riiidn. , : d
U*4i lei pin guida malheur* je plonge la patrie,
Clr je mil cü cifri u plu* grande ennemie».
*ma m peut m'arrêter dam urc« fougtwut accèa, Ji me porte tou jour» jusqu'aux plu grand* excie.
Àvtc U liberté, je poi* tout entreprendra r
Di Iunir et» nùtria ¿aurai at défendre.
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C'eit iint me* eiaq Jellic* qù'tìn TÒit^èn tisico ce ;
Qu’on y tranve ce dicu ¡pi gouvÈ'fne Te^ tetìt* ;
Ce qui retimi ì’hofcffit àt punir la vengùhce ,
Trap cgmnuEie enr-rout che* le* bòia iti m ì
Ce que, qutnd decìsi jonn bórre fràine!eìt Dtfr'dft ,
¿a pirque vieni cauper ,'riret fin 1 pótrt
Un óìieaii derni le voi* rivelili lei Uòmairri',
tir de leni* enne mi* ìi verter ’feJ desumi* 1
Unvìitere, dici rhamme’, àintì'qtiE <hià licite , ■
Qui qatlqacfoi» Fon lift fortipe ì'cm é*t tu T?re; 1
Un rem de tonuem doni on foie h Tiqueiiit,
Qui sDuveni porte plueà I* lite qn’rt tU^r.
Ceri eit iseei lecteur, dine tòip itii petit ftre,
£t tu dai* luainUnant jìvoìt qui js peùx ìfrede
finigme tt Logogrìphc (Cu N’. 51»
Le mot de IXttìcffle est Ortillrr; Cflld du Lo^ogriphe Ut
r U·: ■! >· ■·■■ ■■■ ■■-·. ■ ■■■·■ <
Ih nò n ò e $,
fnsfmjiiVf tt hwuìmì,
XVI*. ionie'; cununtni de* *ièmc*rea , ab servitimilei
pini intimi irmi- dina le* *tu dtiica et igrtibler, aie.
Rcdigée pii le* «t- JiirmsmieTet Deyecr. Un roiitmeti/ii
de piu* de ioo 0ge»--PrrM. “ frdhci 6 (Wciceei-brtrt* ; c*
Ct 3 iunci t5 crtdmei , fhnt de ponpeqr ìesdepvrttmtidi.
Pxrij eh»*Bumon ,· implica eur-'llilttiir* » rise Ha ubicai flit,
p°- £0. .,.>... . , _ . <■ ■ ■ ' , l
L’ouvrige c«npleb Fprme <4 vefum» en r&irnnFer^ ba
Vi Y?nd etncmbie àu
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NOUVELLES ÉTRANGÈRES.
ÎTATiiÜNlî D’AMÈRI Q.UJL
Dr FkiUdrijriw * it t6 gemunol ο» H-
I^anj U »¿tocc Jç la-chambre dei tr prêtes tJw ( 4u *o de ce isoit, Μ. Βία ont a propeiéun projet de féiolmion conçu en cm terme· t
Aaeudn, que te roi et te gnuveruement de le Grahdi-Bra.- ■fcgn* , UuUftt au« pifdl te» principe» de boüDC foi qui do»veut giramir i'obi·:nation de» rrattli, ont, enphiMenrt pTecmiUineti T violé 1er jiipnticioni uprenei de» traitée rub* «Mtan» entre le» ÎAtt-Unii et 1» Nation Brïunniqus* d'utre maniare .Miiintatnt jsjuieeic I J'inléiÎt et il'honneur dudit» EriliUnù, ceux-ci »Ont rtllchô de tant· obiigalio*. d'avoir égard aundiu traité», ou de M tonerdéreT cotunc engagé» par eu». II ru rôoln, ta coniéqutncr, qu'il cooriut de faire un· dé cl» pi titra Légiitfciiva qui Hotd>* bm-citoyen» de» Etati-Utit, et J «tii ceux q»< concerne eet objet, que lendit» traité» ne lont.plut otltei'aire» pour tel Buti-Uniu
Qu voulait délibérer à 1 îmtaot lui cette motion t mai» M. Blount a dit qnil louhriuiE qu'elle ne fit diicutée quç lu r »qu'on aurait dêteiùkiud ce qui regardait la République F rinçai«.
John CL· y ci t réélu,gouverneur de l'Etit de Net*· Yorck, par une majorité de s,3Bo vvi».
' Le bail qui »utorin 1 prendre Ici ciriiairrtïraÎtçiii· t été adopté plr’fa chaoibrcdéi ré présent-un ;ib A U n'a paiié qu'inné majorité de îo tentée qtf.
TciÇUJU ite Ci *ΗΜ truffa.» du t6 .
Le 8 de ce mnii/«fond'jour du Ceurïjfl-fleyrdiBi* U feu prit 1 Àtnuuteneil, gro» bouyg ajrçg, eur lp Mospbore , et 4c cqutuw etwicrew«iri dsp» 4ç.l£*Mi ‘ G 4
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dé six heure». On n'y retrouve que les cendres de deux raille ta*lions. ■ -**- -r
M, de Tamara a eu , le <7 de ce motionne confé* '< ven ce,-d'environ quatre heures avec le reis-elTendi. Cn remarque que c’est U-'tecBtide depuis un tftrii, ,
«tqu'çllei nue eu lieu immédiatement après l'arrivé* ’ , d’un confier de Pétersbotng.
r Jhttïri. Dr JVfcrrÿaiirf 4 If rt mtjiiiir.l J
On dit que Paul Itf. va déclarer la guerre; à la Ré* publique Bitave. et faire saisir toutes les propriété» que des citoyens de cette Répubjiuue possèdent daa» les Etats· « H cherche aussi à s'illustrer parqucjjuj Îrapdt entreprise. Il a entendu fÿiribucrà Botiapati* .. e dessein de couper l'isthme.de Suez pour joindre 1 la mer Bouge à la Méditerranée : tout-à-cç'up ïVs.ongc À réunir ],fi.moi Noire à U mer Baltique. Déjà ou <reuse le? panaux nécessaire» à l'exécution dé ce Î^rand dessein rie pi entier réunira la Dunaau Niepert e second recueillera en un seul lit les divers brw du P liber épars dans ia. Haute-Volhinie , et »'appel* lera îmiî , le rroisicme unira le Bnig su
NiepeE, «ç portera le nom de canal de Koburyn. .
. DiNaaCiSGiL, D'Elintur,. U 3o rwinidaf.
Le consul prussien a déclaré que tous les Capitaines de navires suédois, envoyé* pour protéger U navigi* yion, doivent à l'avenir convoyer las batimet^prul· liens, lorsque lents papiers serput en ordre, étquq leiirSçargaisoni ne se finit pas deltibcetpûur un port bloque- L
Allemagne. Di Jlastait, Is 4' iftcrmidur. ■
L» légation française a remis Mer loir h répopi« •ux plépipotc U ti aire s impériaux et à la députatieq de l'empire j relativement à la dernier« note qu’ell# en avait reçue. En voici le texte littéral :
*4 Lu «jusdjpié* minier* a de La 'RépubJique Frin^lte pûur J4 pégûdiqon avec l’Empire Germanique, ■ ont rrç· la mot* de La députation de l'JÇurpirc', du î r mt5*idof der* taier, qtfi If-u tété contniütiïquée par M- de Metre-rarcbr*.. vuaùue piétûpbteDdaiie d* S. M. L'empereur. Il lenf
r j . '
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J il? il Irorr +
NEW VORK RUBLÎC L-BRARY
' ftjt^oirwenable , avant tout, de rcpondr.e à que!qpç*-tbjtto.
rions que b. députât ici ti leur a faites dan* sa note du
- fltiréaj, et quelle retsouveile aujourd'hui , savoir, que ie*
ijernicrcs demandes foiméei au nom de la République Ftan-
Sitï-e , aonten opposition avec les precedentes; que l> note
i 14 Ûürral «notice des prétention* exagérées et inattendues,
qui nûrj-;euknflent t'étruiscni la iinyto convenue entr*
Le* deux Etats , tnais qui menacent encore le bieu-ctre et
rindépeudaQcc de fAUcmagcie*
>1 La députation de l Empire doit se rappeler qn< le*
' tiini'.tres plénipotentiaire* de la République FfinçSne ont
' manifeett , de* l'ouverture de la négociation, riuteniwn où
! il* étaient, pour L'avantage commun, d en régula.idi·» k
■■ mire h s ; qu en conséquence île ont loujours évité dan*
t leurs COinmunicaliDDi. écrit«· O» verbale) , de coït Fondre le*
: objet* , en le* cumulant, et qu ils Ont tenu cor*timmeut
r <e que Le* diverse* question* iiu»cnt craiiic* dan* leur ordre
;3 naturel.
. 11 Au premier 'rang , san* contredit , était celle de 1*
tttliap tics Pd)S lïtvica sur la rive gauche du Rhin 4 Vruait
, ensuite le mode d indemnité paj la voie de». *éc nia ri milans ;
maii le* question* une luis rcrolucS 11‘etl excluent pal de
î'ibiéqueülti. Jamais il h’est i rtvë anï ministres p.lêtlfpo-
' ttntiaire* de la République FraqçiUe , de donner i cet égard
if moindre *ig·* d« rtuoticiatiou. .
. si La députation elle-même, pt¿voyait *i bleu qu'il lut
1trait adressé des demande* ultérieure* , qu'elle a exprime
11 jhs d’une foi* le dl»ir gne k légation traiiçaise a'eipli-
' «prit i ce Bvjet, Loi ptopoiitions faite* aujourd'hui par le*
*■ ! tüùssigués 0« iAul qu’yn effet nes-si tu pie de la progrcisioll
t du idee*, qu'un développement successif de plan régulier
. tju'il* avaient. annoncé. Gûttsidii-ées eu elle*’ même* , clic*
n'ont rien de contraire à ce qui a etê proposé et coovtu*
| *□ Léri<!uterrient. De ce qu'un Etat a une limite reconrtns,
jl ue l'ensuit pas qnil ne puisse pourvoir d'aillenr* J ht
< nreté de «:te limite, sxtii tire taxe pour «ladavdîde*
j Vue* d'I^^T*n,di**emeiit ; et ici il faut rematquef que, k
, ; Ffitice aj Jut .été attaquée, et *e* arme* ayant triomphé ,
elle doit, d'un côté , portât plus loin «e* mesure* de prélui
lion pour l'avenir, et que , d’un aulfe côté , elle peut
justement prétendre à une cûtuptpsation plu* Tort* d« **-
oiâcei immeA*«* que la néceiiiié de at détendre Lui i
t iuipoié*. Cependant elle.* an modérer le* légitime» fri»
Jf
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f loS )
“ i> Tout* piTJflnse inapartiale ne terra rien ¿idi le· <ot- Maliopa de paix qu'elle offri 1 l'Empije , qtli Bt JOIt «tri* hsetuetjt ‘raiioutiable, ou qui pe tienne à la'nature de lOtu Jci mités , lesquels trupoTteni lûujouri une cerbaiat i&i· jilité d avantages, raivapt i* pour ion relative dv» puiaiude* «ouiracla mes- Non · l ïfitrûiion du gourerUeueitt français fce »unit être que l'jridépendanèe de ¡'Empire Ctrroaiiiqut fît ffi-enacée m Cümprdttihe. Son voeu'serait bien plutôt qu'elle acquit plu» 4c loi ce et de loüJifè, La depuantm ternira, h elle etni y rëflichir» que le» (te« point· p cubé Jri i la djrnita du Rhin par Irt Franfii!, bleu loin de lui flirt brnbrage , doivent su contraire être regard«» Cmut·* Un lien de cooffaïree , coinnie un dçi g-’jjet dé la imnquil·· tilé fuidrt de» deux rtalioiù<
'11 Passant ns a ¡menant ô la noie du II tncsidor, le» tou*· «K itéj obieivem tu pterater lien-, que la de pu talion d* J'Ettipirt ut puait pu avoir bien *ri*i Ht n*Ma apprécié le contenu de celle qu'il· ont rtmiae le 4 du méiui mois, et qu'en adoplam lin »pleine presq'i'absol urnent négatif, tanÜi* qu'eLix-inémei gÿ relâchent eur des poilu* impuriau*, c|lc friait peut-être dernier de la eiuerritt de ici inlendoo· Pacifiques.
»1 Le· stmaiigné» éciricrrïnt tcmjoirf· un pareil doute ; tu au auiii ta députation de l'Empie doit de son côté éloi- goer l'idée que le modération de le République , et le· facilité· qu’elle apparie i 1« cour lus ion de li paît, puissent •'étendre an-delâ de U mil june* bomn.
U Ha seconde obserwùon à fwt . mit qoe T* note de· bi iris très pléiiipnientiniéef de 41 Republ'q je Ftan( aiie , du 4 rnes.sidor t n'avsii pas *enlc mi m pour objT-l d abandonner Du d'adoucir ceriams article· de cille du r$ floréal ; mai» qnVncôre on y insis’aji i«r le» juter* iriicks de cette même fiùre . qui étaient 'maintenus et 'iûti smett i modïbeaiioti· Cependant la réponse de la deputiiiuu de I Ln pire tse coutre ut i cot égird aucune dcL'I^iaiir'n précise et piopre i imentr enfin un résultat quelconque. )-| ne “Veste daefc kltx sditisignês qu'un p^rti i pîetirfre poHr ±jj <r la 'ta'éjocia* tion deVri état de langueur et d'i-nceniiudï';, c’est de réu* cir tous un (cui point de fila les pi opbsiti-bb* rçnftrnréeé Jani leur· noie» du Ï4 floréal et 4 meuiticir ■; Jdé‘ lépoadri •uz point» objet té i_qui en seraient sniceptible··, 'et dédié- ¿laïcr positivement ce qui doit être accordé on refusé.
' 1· |·; Le· ministre» plér-ipotfenliaiTrt de Ea République JraOÇlUe pnai»tené du» ffrut ce qu’il* OUI demandé TilA
Got gle
S . i 1P7J
Affinent i 1» nerigtûfln du Rhin , et voient »Vec pllfidr ■qirt ii 'députïlion IC lOJi rapprochée de leurs prnpiiiitioUi» évidetualant dictée* par le délit ¿'une praipéfite cOralniU te - liais i|f tic peuvent voir Ud) burpriie qu'elle herîte à ie- ÏQLLtilitre'que «i objet étant d'un iutétéi direct pour îddt J'Iufpire , les ïiipidation s qui s'y rapportent doivent Tiëcei- jîirenjent trouver place dans le traité iciuel ! il* seroonedt "nr-lciui qu'elle ait réclamé le mstiniiea provisoire des droit* : de ¡I”KC jwaqu'â la contlusion d’un traité de comntercé**

« qui équivaudrait, «tendu les difibuités d’un traité de 'te genre avec T'Empire en général, 1 une cnnservaiiüt· püîe

et simple des droits les plu* gênao* pour le commette.'
it Les tûciiiignés demandent de plus fort l’ab> Hit-n des péages et rin$eriio£L au traité de pi in de tau* le* anjtrii* ' nlflüEÏ à L navlgltiorl du Rllju. -Polit donner Uiht uou- flejle preuve des prihiipci qui'les dirigent, et de l'esprit Hncilqrteur dont ils tout animés, ils cousvntirnet 1 ce que Cette Dïvigitian soit absohinimc libre pour les çtvcrüua^ que les dtoiu d'étape soient abolis, ûtiai que les cüipûrh- Unm de» tauliers- La drpniatïo-n observeta sûrement q4n c’est là , de la part de la République Erançsise , flirt cession réelle qui doit c carier tout» les drlL niés , et qui TUC- 1 ruera d'érre corjpensle. On espéré aussi que ta députa lion récfbmera r6cataniettt di h diete çernmïiijise l’affrmclin- «■«nt des fleuve· intérieur* de l'AIlcmagt,e, cru du tnoiù« des livierei qui le je lie Ht dan* |e Rhl;i-
si a°. La 'République Transat* e s# départira de » demande de la totalité des isles du Rhin z des deux imyenc proposés par la députation pour le partage du fleuve t on admettra le Thûlwef- Ainsi les isle* qui sc tntuycroùt d 1a droite du chemin de navï;aiîon , restirQiit 1 l’Empiré j telle* qui seront à la gauche appariieudront à la Rcpü- bliiprt , ajtiii qtie l'ille Gaint-picrre , située ÀU-deaaoil* de Mayence , laqm'Tle eil Lortnei 1 e in eut cxcrplct de II pt>1- tioft échue j I Empiré- Les amuslgnét 'Font neanmoins anJsi ' 1* 1 « serve expresse que, ai au-de 6 du cours du gicid Rhin il y a de* i*Lçî dépendante* de la France , eiîri lui seront 1'conservées- Tl sera encore rortvinn que , d>u* 1e cas iJù le . tenir* du Reuve changerait, le* isle* dent eu rend eut süusti "itiavcTlitieLé à laquelle ellei anroéii été attachée· par 1-e traité. Tia'u* 'aucun cas , fl ne s*ta touché l li neuindllé de la tih- '»rgatios. ' ' _
s* 3*. 'Ainsi qu’on L'a dit dan* la noie du 14 Suréaf, '’Çiuel, lc foTi do liais et territniiTtfl ue-peuvent' pu'lêtré
Go· igle
'117".' ÛP* PIJB.!C LIÎ-flARÏ
I
( *°8 ) . ... »¿parés de Mayence, dont if* oni.-ëté tcujo&n cetMidèrü Cotrime faisant parité, et qûil» menaceraitm sa.t*'ti4H, s'il* q'étaient pas dans le» mêmej mains. -
_ u L'existence d'Ehrenbrehttiu éttul in compatible avtt .celte de Cobleotr. la iÛrtlé da la République exige s'a d». . sbûlitina, Ce anal deux points-sur loque b il ne peut y avoir lieu â diseur si on toi A mût! ¡5 cation,
il A l’égard de Kehl, le* soussigné* devaient oroire qu'ils «'étaient tuiEsarnnieot relâché» de* prcrniciex-dcmandta du* fait. 1*T. de leur note du 4 uicutdor. P-Ojar lever Loutt difficulté * on reqoarer· encore aux redisent» qui ctaiçni empressement téservee» par ledit article,
si 4*- La députation1 Oppose A, la demande d'établir, de* pont* nom merci aux â ÉJurüisgua et eutie le» deux Hriwch.
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Ìnt Its établisse neDS de Ce genre »out ton jo tors Ud point '1 e contact, qu’oo ¿vite ¿untai quii «st possible eaire It*
deux Etau, * ' . l u
tt On n'exarnînera pas ici si cette opinion «t bleu on mal fondée; mai* .une vérité reconnue et très-i tu portai; |ç, t e'cxt que t'agricuttuc* et le comiOiCfcet ■ ce» deux grande* j source» de la richesse de* Balioitt, réqlaipeni dans tout k* pays des euiutounicatians’promptes , ijtciles , multipliée*· Les intérêt» cumrDcrçiaui· un *cnt-il* pi» Je· plu prrtictix, et peut-être le »oui véritable clément dcirtlatiotii de pe ¡Je * peuple ?· ,
»» La dépntalioti abjecte Encore que riitbZii;entftii it fÿJUvcaux ptnij ittr.lt Rhin ni d'autant fnvtn* par
if tommerif, c'c* utin.yne pai< Cette seconde objection,
peu solide en soi, détruit en quelque sorte La première, I)1abord l'existence de cas poiits prouve ■ que le moyen de rapprochement ejr mile tau» danger : ensuit» ' quel i 11 confinient y a^i-ll à en accorder deux de plut, (HT - tout qualid ce* nouvelle* construction* (0Ht si bien edaprcû* sux localité», et desirée· ¿galemeut ndr le* rive- Tain* rpuptctift? Au surplus , ou pourrait se borner i dé" dater qu'il n'y aura point de difficulté â Laisser établir le* pont» C Onr merci aux.
. ** 5°. En ce qui concerne la ooMtsse ira médiale , le*
Soussignés persiste ut dans l’art. III de leur note ¿04*°^** xidor. Le* représtniaLiont que la députation de l'Etiiprè . fait à ne sujet oe penvtnt av-qîr aucune »uiti; , parce qu'elles ' «ont contraires aux pritrtipe* et aux loi» de la Répubiiqt» Française. .-
s» fK Il en die dan* la note du 14 ftcrèa] qm, confbi*
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' neWMlt irt prfocrpe» gì néra! ita* et reçu* , lei dettié dànt Hiiieut flOé» le» objet* ctdéi i ù Repitbtiqut , icnìcnt iraopprti t * tur lt* ohjrls doarrés rt rem placent eut. Ceit» ¿iipositjon, de laquelle lei «Irnienti ecelêjhuiqut* qc ioni ' point excepté* , «Il invanì b Ir. '1 * “ .
■» 7*/ Le« iDMistgnfi nnaiivEÜtni h dernjndc de? re-- tontiriwtia drliiiléet dsos la' bete prétiiée ,'et r?otam.ttìetfr' q^’oii »ripule diHt le fiiitit triirt , l'ibaurtun de* droit* quelconque* de l'Empite mr lente 1** partici du ttrrìmie' ialien q#i pcjnmiaui en Tckvcr , *t qui » p partito ne u t *0* 1 jèird’itii tu* République* tubile* lan» i»Mt oouiréc. IUL deiniiideai aulii que, p*r uuc danna «pécule initiée *t^> ■ime traité , quoiqu'il ne puiiie a'clevrr aucun doute ,b» iiScriité i tee ègira, On itipule h «mon du FrilttLìLf ^e* ribindon *u profit de la République FiiH&Ìm , ¿e .tOfU» iti dioiu q»e i Empire Gcrruìnìque poni rjii prueodìejul·^ d ter tuo ire. '
- n Tette* »ont Je* proposition* que le» minierei pJéiii-M ' joteniiairei de la K ¿publique Fiançai*« offrent à la a^iibé-, & rtriirn de la dépurai un de 1 Empire, *e référant *u gurplo». d ilcfltg note» du 14 Horcii, 4 meiaidor et precidente.^ çi* tut ce qui n'ect pi» contraire à U piéseme, et d'y. ier«it"
■ fu r»prc*jémèDt rappelé t il* lei prète nient «nome de», ■ p CTitiiuonf de J* p*i* : ïli invitent I· députation de l’Ej*-, pu i Je* prendre en ir«-¡¡rande coüfi délit ton, et àfw«. <tuer,p*f une déclaration claire et précité inr chacnn dcaL ( reti elei propoli, toute ¡■cerùuuie *ur la marche uLUi-ie^t# 4e l fittoci a noni , ■ r
n II* tfni l'honneur ¿’mitre* M- de Metternicb* piisditr#, : 'jJéu ¡putenti iirc de ia raajcitc l'empirent» dt leur jbi ] 1 nbott li plu» distinguée. 11
illudi, h r*r* thtavidnr < ah YLdeU République. Jipréj , Rqnmeii , Jejsm Dluy «i IIpjixjqt, , ' Du io, La dépnutwp de 1 KjÀdîc* a tenu aujQ»r*^ ¿Tiüi une «¿anca,diot laquelle la mùiitre diraàctavx Hai de Mayence a coramaniqué cm projet dd paix du»é par lui de l'aveu de ladèputuicnt, et quâd«i*b ,K hie ptéituié demain, ou apri* aus. miatitres frau^wJi : ·■ a jugé cene inclure plui propre à accété«*? & * Barelle de» négociations par un ensemble de ttru» Iti articles soumit ou i soumettre i U diicussion^^uef'1 par la production l uccisi ve et un peu vague de pièce» uèléei qu’il est difficile di raiieiüblcr’dauj Uû ta*
□iqhiz«, », Google
JC UBAHPv
unique prient« l'objotm fon tuli·* *
^aufl.çj amendement , réductions-ou angine litoti 4M..
un bon eifctdecctw menue.
' L. maison d'Autriche vient de Taire une perte qui
doit lui être trèi-temibLe. Le comte de Cia ida y t t
qçïui de» généiaui qui« pendini La guerre acjltiellc Ti
a coninjandé sc» aripée» avec le plus de tuctis, vient,
de-aiourit à Vienne dyne maladie de poitrine« '- ,
t.Uû autre de îcj aéaérauv qui avait *u*ti quelque
td^umion, M> deôotitreuil , s’est tué liit-dUnie tant
qu'ftrt tache encore pourquoi. - ' . ■ ■
j HXLvÌTi<jjtn. Z>’dr<u4 U 3 tiümiidàF. 1
* fl y ala mtiiietirit iutéMigence entre tei agent français',
dûïre Directoire et te-Corps législatif. Aussi' lit tranquillité -
Ttgne-i-eüe dans rouie l’Helvétre. Le nouv^nu go averne ment
it qui eri ainsi pesi-J-peu de J» force et de le’éàptijtsinct i il
eïpere que kmoitient n'est plus éloignébi, rtbdti i»oi to-\
iferéi indépendance , il·aura auprès-de lui un minisire fiu- J
$tri aü L tu d'un fcomtn issai re- J ’
J Où'est A-présètït persuadé ici que noo-stirfémEur l'fteivi-j
tft- né1P e i dta pai tip situi disdici de idn ierrhoire . Dlïit-i
StfeAc sera nenie »’grandiç par le pivi <Ü (tfeufe Éliti, plf' J
tfeiAdnlét peut-être fur Bienne, ÎftvJçviik'.et le· envi- j
rfetli, sütiès di es tiré du 'iMonl-Jurà'Î'qüi doit former I*
ffontiert enîre HiFi dike fit Il'âLiissé.'Cependant nous nepo'fl'
v ou »avoir it Frick^al. et. ^"«irFchâtel qu'àprèt, l’iisnc dû
cfcngŸH’deKaiiádt-, 6i¡ on Maire rcé'siietAvec'fAÎLtiiclis e|L,
if Fr*Ssk , luxqdeh ces dttui pays cmiappirtenii juiqû’iei. , ;
,■ i ÿiíUE)■fr,e r¿l¿, ïarw , U 5 tàèTfttâffr. J j
L inioassadeur de ta Kîpvvllqne française,, qui ifau ajie
l'hftlajt , en dii* ifc re tpid iepwi* Ljir '»34. f fl é« veu^ 1
ivMAe général1 Brféne ç qnrie reati ¡t'PifJs; Ji ' 11 '
aDe liuti ne CBrflntì cfrriÿin h renvoi tfe-'tieirç ¿rtrórreí-l··
d^· le prende ni ch destitué, ei remplacé pæ k »qbiriitui'
dft .prQcureLir-^néral. Le g^uYemeurSaica-Andké, énngtl··
riardi eu renvoyé rmr¡ jjm sao ílsv (Adiaunânpj tw
defiiiupon , dunandZ». par le général Stout»"du dit ri'’
lier de Solar, gnuvfrnvitf J Alerundri«* '■ -
On désigne pli»« 4p ywgt finiHep Pfthfa»
Mcevôii i'ojdc· .4* itaitst d* i* fft«· -fl, 4? ,fl rtÙTtr
Gûi ÿlc
(ritti
Jiu linci ipriti > towjt ayaot diriji, d*pui» J**n ^rpìp, i sr^tì j.ijon cl b^aiciHun d<* fati Ilio ri > ■
LiiTesratioi dj chef dei birbri» , Couiìn „ conno pii j-liitifciTj Mtuiinm tomrpii mi Iti iodici covile lei Frtl- pb «i «uitei voyageuri. *t u tridui liuti i 11 dodello. *f iui l'ipOLiViOir pumi sei direrieit1 Menu» Ce morxrr, il «afilli prii il ininiJontié pur «lux qui ¡'otri mu tu <EitVrrr b'ipn loulu porirr itili la rfipcn»*ab>lilé de· tiiinci doiit il cuil l i»itrumeni : en con*r<jiitq<.e , il patir·', il ìivele, diton , d'boi libici mysurei.
Ce ioni delia Piimonti:! , Firt et Mungili , qui s<jb< cesie· dmi la ciuccile , en quijiié « l'un d* rbirvr^tii, I *utrt de corti munir·. Li fiveur el Olii tot doni ih jpUHMni nptU dei Filabili rie na lujei de driulatiou j.our bica da xprd*. * , . , i.
L'ut) drui i don di dei rem eignf meni impoitiot»
li Aitr,. Di JiAplts, tt <6 mmifior. -
Notte tour, pom prouver tini dome qu'clle arrena
nppori «»et lei Anglaii, i>t bini Cambi indilli de L Rc^i»' biglie Frinitile de l‘tni«e de ieur flou e disi le Mrdjierri- Dir> — Od fili upe cipree de procii lui déirrnu poor api-, liuii poiiiiquet. On croit qu'uu ginn! fiombre leuébrjgi lpt1 qg'oi lei aara dicliré» coupiblci. Ón lime mi cu» tùrtMat flirt pfice,, puor ni pai convenir qu Un l m- Anc 1 lene cgndr _ t
ttmiiqul BatavF- Urli Wdyeji 3o meut/ari»
Svi il*riiom io tu finire -, grand nombrr de U premiere, i'irin^Li· n^nouile uni ite Ticini. L'iniiallllioo ilo Cdi^i pillili! eoàililuiion all tu fine au |3 ibi litri dar proibita > li jucruìerr ibosc dotti oo l’oc cu per* , ce ieri li fot olinoli L Ppnyoir «xcL'uiir, _ f
Li rompelitiou Ju Corpi Irgiilatif prieente un «AieniLlo^ (tpiiriajii ichifr^ct r arpe cubìe) , tjui *■ tu diro ai elicerà mbìf rp ivaot pour eisayer dr comiiiucr TFtit Lio du^ej. . ‘ i ' ' ,
Amclit·*··* Dì Lùntirtit< 5 /Hrfaiiàr. 1 ,J ’*
Os priitnd qua dei seco un dui *iì partii aup. Irtaq·», Lu t pr dai biiioieae aniis partii du FÌtqI. L* Ìrou^jJ^ rrtmie, ;t<icc m iti.o dei ¡nero , i )i priri e de fiernudi&~ ^l'PìrirE , pnuT arracher un trameni fieni i li ‘^IH· M|- d'iio E*ll;»clx pt esige i eli* fui ratmuvti m fttvl f.
Gouglc .
Μ") ;
On dtrmércTtient une réponse trÿMîim et hii*
Itoû ¡que au *ol liriteut-gébéral du parletueni d Iilaade. M. Toi e t t oa co a vient avec loi que la tortvrf est une aa ri en rit inritiuoii, et q<i'!l· fiut conter ver, tou* peint de téiro* ; Fie Oie et de Vindahllfie « frtsa/et les indinnts InslhtlUOUl-
' Le café de Lloyd * donné la certitude de' 1* prise de Malte par Hart aparté, et d un tut! grand nombre de bâti rue n* anglais par-Ici corsaires de la République, li* sdnt ttrtiblei λ l'abordaji t'et celte guerre de corsaire* ^iraà être II· véritable guetre dont te rOtucieTCc tit le pli** alarmé. i ’ Les rebelles parai Liant l**ea bien montés. Lis ont cerne
. tbui Ira charriais, carotte*, etc. , qui avaient conduit ne régiment loyaliste 4 ArckloUt ; ils n'oot vtrnlu prendre in- clitu de Ititra , ils leur ont donné sentaient dti
-chevaux i cnit , krts-bngui , pour les meilljnTi qu'il· ont
» choisir parmi cri et rosses et chbriotir
Le* cmogUjr* ou fiaudeuri redoublait de nie et dwdm* trie pour apporor aux ïnstsrgeilj de* arme», lecour» mu- ϋΐΐϊοπι, el le re ie-i·- II* ioiit tres-hko payes.
De» lettre» pi Jcitlitrta de Drogliedi iimoticeiit qu'os carpt trèi-cûntidet. blt de rebelles l'est porté darj* le* tu· vlrun* de ûaiiyâtowih C'est tri vain que le gêner il Meyfitl cl Te colonel Ma*wïll oui déployé tonies leurs for cet; leur cavalerie > dt# împuissante dt-vant ce» cotpi 'dâtirbé* -qüi lé'ifï tranchent dan* le* mirai* , il qui Fuient de moi· Lagrte· en niotnagrie*. On dit cependant avoir fait un grind carnage de-ce* fbty.wd* ;qui reparaissent loujeur« farqfcl- qn'àtitrÎ ΦΟ P Ligne , en plu* grand «ombre ; et toujours rtanafan·.
' Le goiiVÉrnrmÎqt et la compagnie de* Tuiles mut dam de grandi* inquiétudes sur nos poisessiohg ùticntaies. Si Lé* eboset nt riiangetit y ai 'de face dans l'Inde ( naos do* von* nnn» y préparer à une guerre beaucoup plùs lérieqst ' qbe toutes let précédente*.
¡t y i quelque*1 jour* qu'uu employé 1 l'accise arrêta ua .^iiieau', à bord duquel était un ton ne su rempli de sabres, qui , d'un têiê , portait cette inscription ; Litefti tl igalili, et de fan tic ; Le jwxvu La vùtoirt. . t ; ;
D'après des lettre* d'Arhlow , le* cctamindani de l^r- mje »ont oempés , dmpiu* deut jout» , à teéevoir les insurgé» qui viennent livrer l.euii ârtbe* i déjà Γόη compte plut de 4000 amaîiüéi. Le générai Dunda* 1 pria le sel· HUCHE d'l|lége*nre de phus de 5-00 ptiSOunc* dc*,cqvîrml* de KilouMw , et dvos la Cors d'une décade , Sûütf hiiLiigé* ■t tout rendit* au général Meidham,
RÉPUBLIQUE
Go glfc
■ t I ■
Seduca dei deuil Conseils , 'dii 5 au 1 5
*’■ 11 * ... ■ ■ .' ... , . J ■ j îJ ■ *
Fabre {de i'Audé J. argine de la crjmmhü ân" dei*
Çfiatrces , a fait; dânsi |¥«éanrerdit fï du ¿b pi A l de<
Ciipq-ccDti >'prt‘ fappôrt sur rûrgaiiisacj^'n ace ponti1
et éba aisées, et tur les économies dont tette partie -
dé l'adaiiniitralian générale paraît susceptible San'
Projet de résolution , précédé tTilu.lohg diiitnirt »
- est divisé en plnsieuts settions. La’premiere n'ait®
dii 'torneili d administration: h deuxiemél'duser-d
Vi tir des inspecté tî;slct ingéhicùrs en'thef* tipi·'
sitine , du traiiemtnt cl des frais d^bure^a. . '
Mmprcïsjcni et apnti’ittï'ient. ' ' ‘ ' ’ ” ■ L
^otitiier ( du Cher) a fait ensuite letture dt sün se*
tond projet te lit: t aux ibsiitiitions républicaines. Léi'
alütêiEÜ'en ont été suctehiVement adôpfWP’i ■
, ,JLucien Bonaparte, rapporteur deh c'o'tn'miis ion
chargée de présenter un nouveau rapport tur les tecouis'S.
accorder aux veuves et enfjnj'dei défenseur»
de la patrie , fart dans un discours l'éloge de la roi·1
tint et nés armées de terre pour lesquelles il rn attire :
le plus vif intérêt, et présente un nouveau projet de1
résolution: Son discti'urê a excité urte grande atteins
tìtrti. VimprÇadcn en" a été ordonnée.
■ La b milité, dirts la séance du 7,pat motion d’ordre s I
Vous avez célébré par une ffte particulière h jotifûée
du 14 juillet, où h Bastille fut renversée. Vous vodt
prdpùsei de célébrer, pat une fête non moiiïa lolemrttiie,
la journée du 10 août, oà le trône éprouva le
roi nie ion. Il est un jour non moins heureux et non
moins cher à vos c«!urs', c'est celui où la tyrannie dé-’
cèiBvuale vit sa dernière heure. Je n'ai pas besoin
de dire que je veux parler da 9 thermidor. Je de* ,
mande que ce jour toit également un joue de fit®
T*m< XXAÎ7. H
;tra! WnJin· Il P~I
MTW rûPX PUBLIC LIBRARY
polir le conreil ; et it la constitution lui interdit 4t r te trew^^ iiiii puhliqqer+n twpi oit pif dé' putation, il me semble qu'il doit témoigner au peuple 3u'Jt participe, luxant quil cit en lui, i la jcïe qÉi oit nous animer en tcui « jour.Je propose en col· **q ucote firrité suivant : ...._*
t4. La fête du tj therrxiidor sera célébrée par le
• Conteij dam h la Ile d,e tel séances
*·» Le président y prononcera up djicoùt· ami- Ipguç à kr r irconmtifq.
3·· ta corpmiisinti des 'Înip^ctqura etE chargé« «» détails de celte iêler Appuyé* , j
' Crachai) ; J’ai été une d'ci victimes de là ryrannïû,. d^éccm-virale, dont le 9 ibertnidar* lignait la défaite. ÇVit } ccijQur peui iue que je dm* «on <xû·, te pce aMuclle- L'on ne doit donc pat douter qu'elle tit tne^ojt cbere. Npdx cçk ne m’empêche patrie croire Que roui ne devez pat lui accorder la »ol«n- nité qv ot}. vout propoH* Voua célébrés les fèt&s de ■4 juillet et du ta août, veut pourrie? avec iultfll de rai ton célébrer k Rie. de» vie Epice» de» axmér; républicaines. Mais .deyom-nom célébrer par det, fïtôrépofuac h plu* défaireu*c de notre révolu- tjon ? t UÏ foreur est interrompu par un murmure générai. ) Il Çi dtiuue s üevooc-uouj reporter qo» regard», devoni non» reporter ceux du peuple tn^ quelque* rutéra^lei qui reiKdÎren|,cctt* journée il-, ■tLcufe ? n’eavee p^* lapptUtr à h poitÿriti, la mé*. aüaire.dç· nôtre faiblesse ét de notre, pusillanimité ¿ti 14 juillet, au 14 soit, vqu» rappelle! au peuple, lé rcnvcticnieut de la tyrannie, d'une tMÏtt .de bd* gapd*- cpurooné^ , la spûntancjté et l'énergie du peuple qui renversa en deux jour» k de»puJtiuae-de qu,i.nEç ne ciel* Mail de h ti croire remportée contre Dp Marat, contre un moastre qui prêchait i»oJémént - le pillage et rauasiiuat î mai», du irj,o.nphp de lf
‘ Ço.éjVcpttQj) contre k, coalition des iriuqovirs, d'un Çoçrthop , d un S.ictJ^t, et d’un Hobc spicirc qui . enyayaiçot i.J’éctafaud de toutes les partie» del*, Képubpqu.e, des hommes qui ne »'étaient jamais vu* , uj comtui qu on accotait lie .conspirer,*imulta-,
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bérfiËHt mai* du renversement tlê quelque* tcélé*.
rjts qui avaient ose faire déclin ct leur» cùJIvgue·,
tb faire Je lujtt d'une Fête pubünue , jcifcmne lie eti
çéndaîe dam luutc'la République, n'esf cc pu consacrer
des jçi’jri de rnaJKeur et de deMit ? Les ditCQUF*
! Je) a tireur) rl l'éclat que VOUS dtmftçrcaâ c<*s Eêtcfl
, re seront-ili p?» pim propres à réveiller d^n* ici
' ccfurj. les leiseinitnenj, les vengeances it les Ji iint:*,'
qu'à y faire naître la cousoLîtion et lj'juic, ? Telle*
■ sont les obtetvations que j ai dû vous sopmett r e. en
demandant l'ordre du jour iur h propcinipa qui
J vous a’été fai-e. T -,
!■ Aux voix la proposition de Labrouste. . . f
Cholet <J*ai Âté atisii une des victimes du régime.
■ diccmviril. Miii ce n'est pas par tin £ quanti ment,
■I particulier que j’appuie la proposition q;/t vouieiL
. faite de célébrer le jour mémorable qui la vif finir
, t’est pj-'ct qu'une lot particulière l'ordo/Hio -, et
qûSvanttout il faudrait la rapporter j c’en crtcorcr
? pirtc quels nature de notre seraient semble nous prèsei
rrirt cetteiülqeûnitjt.tioûiaygnijunÉ nain* àI4 rçyau- ■
/ le, nous devons cdterei kÿ joutait* de* /4 j-oïl Je a
i il jo août qui la reuvirscrcnt ; nous avons juré haine >
,1 i-l‘ansr<;Vile t nous dey ont célébrer le ,9 ihermidoé.
a qui. hr go vers a ijilemenu J'appuie U prcpositjon,
. Dinhernieinil fje ne m oppose pas 1 l's.dOptioA1
de h proposition, tnai> j'ai une observation à faire.
? Ën 1\d ill * il fut arrêté.q.ue le >4 juillet. U la «ofiti
e et iü 3 thermidor ne fer air al qu'une ssafa <tméih·'
içte qui serait célébrée ¿eux jour* de suite. Mail
I ¡wgqtlt: VOU* ayea célébré lu 14 juillet en tua teins, }i\tuquç: vous vous propose« de célébrât le 10- août,
e propose qu'i| It'y qit qu’un seul jour de fête pour
le ÿ therm., et que U célébration ensuit fixée au ra.i
fa) mai) on membre cbjerve que le i3 vendémiaire'
et le 15 fructidqr fuient aussi des jours de triomphe,
mémorable sur des factieux d'un autre genre , et;
demande que les victoires remportées sur
iaitioni royalties ou anarchiques soient céiébcéet le
U >
Goi igle
■ - ’ F - *
mena* jour;.que pour cette ^rinée ce soit 1119 tnetntùdor;
et pour les aiitiées suivantes, ¡u 18 fructidot.
(Jette propositiori cil adyptéc à h pfttqu’unanimité.
■■ . .■ '*■' ■, '
■G InkJet 3 fait ftiiSuite un rapport sur le mode dtst·
cuti on de quelques articles, de la loi du g Boréal iur
les iscendani d’émigrés. Impression et ajournement*
Bertrand (du Calvados}, le ®, par motion d’ordiei
la liberté de la presse tient à la li.betté publique de*
peuples , et »oui ce point de vue , i’en Jerai toujours
llp de· plus srdens défenseurs. M-ij quand elle -
deviendra Uû iusï r Urne ut destructeur de la Süi’kri 1
publiqu e et du gouvernement, je serai, ¡e premier À î
demander qu'qlle sait circonscrite dans de telles’ Ji- ;
mites,-que la cousiitufion-na.it rien à craindre de la 1
plume vénale de ces infâmes folliculaires * qui s’cJ ■
tayent de l’*T de l’étr-ingcr pour en saper Ica fondé- ’
ruent* Tec»p iùngtemt on les-a entendu débiter et ■
chercher i propager des ptaiinrfjt contre révolution-; ’
naire», qui ont nécessité la loi du tg fructidor. 1 i
‘Sans doute vous nattendret pas que vous soyejr |
arrivés à· l'époque où.doivent cesser les pouvoir! i
dont vous av-cj investi le1 DiécctùicE exécutif à ccl
égard* pour prendre de nouytaim moyens d'aftCttE '
les coupables déclama noris df ceux qui chetchent 1
encore 4 avilir et renverser les institutions repu^ i
Ui caiiÿet* . ■ . ■ ■ ■ 1 ’ ’ ' ‘ ' ■
Je demande que, dans Toipace de deux décades^
Une coimninskin vous fasse un rapport sûr les nouvelle
» mesures que vous ¿eVdi adoptet, pour réplt-j
mer les abus de la presse, et punir ceux qui déversetiï '
la calomnie sur les autorités constituées. “Adoptée
Le conseil ordonne fitnpredsiod du discours. 1 1
. Gbenitr sou met au conseil 'l’examen de laques-1,
(ion, ki Gentve et son teiTiîoÎTe, qùâ viennent dÎ1
M réunir^ la Hépubltqtit Française, seront annexé·
au departement de l’Ain ou à celui du Mont-Blanc,
ou s’il» formeront euK-mémes un département* Il dit
que si l'on adopuit la première proposition, Genève
se trouverai*éloigné de doute myria métrés du
chef-lieu du département, dont il est eu outre ·£
paré par des montagnes ·, que le même inconvénient
^uraitlieu dans lasecoudc hypothèse, Chambéry étant
à dix m y ri a métrés de Genève» Il en ccnclutque je pjyt
genevois doit former un département séparé, en détachant
quelques communes des départ coi eus de l’Ain
et du Mont Blanc pour les réunir â ton territoire»
Chénier présente un projet de résolution conforme
à tes bises. ,
L'împrcssion cit ordonnée et la question ajournée,
Jüubcrt a fait un rapport sur le» dépenses de. la
guerre pour l’an VU» Il les parte à millions.
En exécution de l'arfété du conseil, sur U célébration
du g thermidor, le président prononce, dan*
la séance dé ce jour, un discours dans lequel il
peint avec énergie les crimes,de la faction abattue
le y thermidor» Différente des autres factions, par
l'usage des moyens» elle ht l'était point, dit-il, par
le but : ses agent, principaux vendus à l'étranger,
voulaient nom ramener à ia royauté par l'excès de
l'anarchie; mais c'est envain que «es restes temutnt
et s agitent encore t le voeu bien prononcé du Corps
législatif est de leur opposer une barrière lûUitmGntablé
» Nous avons été assci en proie aux fureurs des
réactions- c’est par les bienfaits de lie justice dt de
la paix qu’il faut désormais faire chérir une révolution
que n'auraient jamais dû souiller Je»vengeance» t
mettons tout notre soin à éclairer et à. réprimer les
citoyens aveuglés par un faux «le, ou entraieés pat
des passions haineuses ; c’est ainsi que nous parviendrons
à étouffer jusqu'aux germe« de discorde publique
» .
•Mais si le 9 thermidor mérite d’élrc rappelé au
souvenir de tout bon FranÇiîs, il t*r deux autres
j o urne es non moins célèbre», qui doivent', comme
lui »figurer avec éclat dans ici faste* de DHépùblique
française, Q i3 vendémiaire ! ô.tS fructidor ! vous
avez sauvé l’Etat penché sur le gouffre de la loysutét .
vous avet rendu ia crTnÊarke et là vie aux républicains.
Fèrmettei - moicitoyens .reprèsep tanr , de
payer un juste tribut d'éloge» à 1* Convention p>-
tionale ; c'en 1 clic que aqui devoaj le mt in tien de
H î
nüÿiMi rhHn
ÏCRC PUBLIC LISRARY
( n»)
Ji canititfltîqn de l'in ïfï, son ottmjej c’ett die
'qui, le 15 vtndémiïife . a puJvérité h* etnuumdi
peuple conjuré; contre » toute puiiuncei c'en die
qui, pir sa conduite mile et fierc, dam cette péil-
Icute CLTCCnitsnce , non» a donné l'exemple d’un
cOnrage que nom devOm imiter toutes. Le» fois qué,
comme elle, non* nous trouveront dim la né cécité
de »aviver h République. -
tout entier dans le sein de cette as^emt)lée,loriqfcfm
1B fructidor, de ronerrt avec le D-rectoire Cxétwtil,
U Corps législatif preiiontait la déchéance et l’c*W
de CCI *itns royitnr qui. 1 h faveur d une popuhrilf
Criminelle, avaient osé * introduire parmi 'joui pour
provoquer i'inéjntiiitrïjsnt de la constiiuiiou tt-
¿blicaiae , et pour y lubiritaçr h charte det Bout* ,
Ont, O iS fructidor ! quelle journée fut plut ni- j
cetuiré depuis la révolution ? 14 juillet, io soit, !
’ii fepictfibrc et $t janvier, vdui ?vei fondé la Kê- .
travaux pour iTét*blir, les iierriitei de tuu» le» Frin· ;
pour II défendre, Ici eforti du govicrii ment t
pour la consolider, [trot devenait in ride ; se* bim
épient ébranlée», ic* amii pcriéeuréj, breniét elkj j
Tcémc n’était plu», le trône des Bourbon; rcpirais- I
»lit,... Maïs, çTàc-es »Oient tendue» au Directoire il *
à'»a vi^ilirtch paietneile r Le 18 fructidor fut ie joüt î
do réveil des républicains, et 1e trône des Bntrrbohi
fut, avec' teï frêle; appui], relégué de nouveau dam
Îe jiéébr. '-<;■■· i ■ J_ .
O patrie ! quelle» sont tel destinées? qui poufriit j
maintenant arrêter le ctiurs de tes triomphe*, WW*
« . I- -al ■ ' . W I + il. * ■ ■ V . - — ■
'eu lin Jnieeio O ennemi* mttrieurt et exrejic us ■* ,
'pu oppottï ■ ts volonté qu'une stérile impuisranct'1
Ami^ de la piix. unimetvnu» ■ bpmtDCi de roui 1**
partit, préveau» ou abusé», abjurez voi idée» *c
^vengtaace ; l'expérience a prouvé que votu n'f«1
' fifafl devint le peuple. I.x République par-iouf vit'
4tJÜeuïe' et par’-tpat reipfaciée , déploie à vos
H k ad itd U fr*t«a i té ■ ' ........ **
Go gle
votre bonheur. Riunisscz-yout lutodr’ïTe Ve^nÉteii*
diid sacré, concûuiti avec elle 1 défendît1 iS'toute*·
puissance; elle ■ besoin de voui voié nui», puisque
de dette union doit naître 1e bonheur'tsni've rie 1 de
ses enfant.
lruprenicn et diitdbnricn au »ombre de'douie
umplaim.
La séance «’est ouverte et terminée atix b«èhi
d'une mujiqbe guerrière , et aux cris de iritw Ja <fbtifm
1 . ' ■ 7
L'ordre du joué du rt appelait la diicuitlon du
ptnjat présenté parRÎ(m,au notn d'aoe ibmm>srior»
tpdciïlc, relativement aux baies de Mgiihritùi •Ja’il
tonnent d’adopter en matière de pnlci nâaritinica1
à b protection duc i la navigation dci □ cuir et et a4
commerce de» Français. .
On ne peut te dissimuler, dît le rapporteur., qu’une
Contestation eu matière deprijes mantimea ne puitib
pribenier dei rapports diplomatique»; de h dérjvé
rbpinion de ceux qui veulent que cette matière ioü
régit admiobtrativcmetU, et qui, ne voyant dtat Ici
prilé» miriûmcf que dç* acte* de guerre , prétendent
que la décirifa définitive de* c ont citation» d<ri( appartenir
au Directoire executif,
Riou eumiae ce système- H observe que cë n'est
pu à la fi» d'une guerre qu'une telle memte pou N
Ah Être accueillie, et que cette innovation serait a&
fcoiu» îa tempes rive, La matière des priser maritime*
est judiciaire par sa »attire. Chaque contestation préé
mte un demandeur, un défendent, qtr objet lin-*
peux, un véritable procès, enfin une propriété ¡ndfir
visuelle réclamée par deux parties intéressée!/
11 en conclut qu'il suffit de rectifier la légubtltm
i cet égard, et propose en conséquence tran pro*
jeu de résolution, dont l'impression e»t ordonnée» '
Un lectécaîrc lit ut· metsage du Directoit'e , qui
porte qu'aux termes de la constitution, aucuA met»1
etc du Directoire ne pouvant l àbse'dtér plus dû ’
cinq jour», ni s'éloigner au-delà dé quatre rnyrW
métrés du lieu de h réridcncc du Corps législatifs
•toi He »ïicnuusn, le cib Rovbtll, qùir]*l
1« 4
Drtfnaifrnm
NEW YORK PUBLIC U8RAAY
( «0 f faéd^tïiïj Mt otdoDtijé iei esqi de-Ploaibkres po«.r
e |r4|*.b.Iu|S^nx^t, de w ijtjitéj demande cette auto·
jiiaiioa poujç uai* décades.— £lie est accordée.
Vdrdtt du jour du 4 thermidor ippelait^au conte
if des Anciens, la discussion sur la résolution du
■$,prairial* tupplé me nuire -à celles déjà priser mr
les transactions entre particuliers pendant la-tlépré.
ciaticns du papier-monnaie. „· „■.-.,
J ç.ussclin^ Cjalleyillf et Detqrcy la combattent. Le
Jjternier ne. voit dans ici prolongations de délai,pour
'ûptioq en faveur des çhpts du contrat, qu'une
déclaration du législateur que ses loi* sont toujours
«omtçinatoirAt, Ilattaque eniuhe divers articles. Lej
opinons qui lui ont succédé ,ep combattent égalepleur
plusieut*. r- , \ %
Le conseil ajourne la suite de la discussion- - >
Malleyilfe * fait, dans la fléanec do 6 , pn rapport
iur li râqludoii relative au* remboursemcns/aii*
d'après les lois de la Converti cm nationale qui supprimaient
les tenues convenancieres et les domaine*
¿ongéables- Il rend justice au principe qui fa dictée;
WÎ* il ûe pense pas qu’dje ait aUcini son but.
Ou .ajmitne, ■■!:. *
, Bouuvillc a résume , le 7 , son rapport sur la réso-
Jittiou cûuf çrnani le remplacement un d'orme', des
juges de pam dans,toute la République. H l’épondi
l'objectif Çüte par Michel, qu ou n-amrait. pfil dû y
¿onrptçudre les ututdépanetuens. réunis qui nùki
pu ies qo^mer qu’en l an 111. en observant qu’il*,
doiventse coordonner à l’ensemble de la. République
dom ils, fout partie intégrante-
La réjoimicm est adoptée,
,’ Le conseil a entamé, le 8 , U discusjion sur b ré-
«olutiqp du ;6 messidor, .relative aux eufan» natu-
(fis- . . . ■ ' ♦
Gjrod ( de l'Ainl en attaque le fonds.Votre cwdjpissicm,
dit-il» avoue elle même du· son rapport,
qu’il est jttdsqtUire que k loi du il brumairp aflif
mpdifiéç par UIle 1°’ parciçulisrç , qui concilie
flÿfc ki droits ¿CS cnihijs .Puisque U cpq»
GOi gle
f ‘V 1
1 sfildes Cinqrcçnti nous propose Une loknouVçUe*< il. fallait qu'elle atteignit ce degré de petfecîion iti’i diq-uÉ par là ccmraission , et que Von n'mtrod.uiiit point, par des dispositions rétroactives, des objet! de discorde dan, dci ménages jusqu'alors paisibles* je vote pour le rejet de cetie résolution,
La suite de la discussion est ajournée. Le eit. Lavaux , président ■ conformément à larrÈ- té du conseil portant qu i) célébrerait le ÿ thermidor : dans son sein, par un discours, a prononcé ledit ; jour le discours suivant i [ Nous regrettons de ne i pouvoir le donner dans son entier, J
« Citoyens icpréaentans, noui célébrions , il y a ¡.I quelques jours ,-Je 14 juillet, époque qui ne nou< rippclkit que des idées grandes, des souvenirs su- hlitnei , des pawinas libérales ; qui nous rappellait « : en un mot, l'aifranchissemeutd un peuple qm, varn- queue de mille EjciionSetde i'E.ucope , devait, l'un VI de la République , être appelle le ¿rond ptufrle, la d ^rdsde nnàian;
j -»> Les Fiança,·! voulaient être libres,et la royauté,’ la tyrannique royauté, pittcudan arrêter leur élan, endormir encore leur caractère franc flt impétueux· l.ts deux, premières années de notre régénération ('troulrtcût au Sein de J cntliousiasiuc ; nous sen.: dons que notre ouvrigt n était pas achevé ; nous □* connaissions que trop que la royauté, ce principe . fécond de upsnim, existait encore quand , heu* , ituscmcnt pôuj la cause sacrée de la liberté, les Ira·· j bison) du monarque accélérèrent l'instant de sa propre <hûte t son trône fut bientôt abattu, L'.adkeuso loyauté n exista plu», -
« J'aime, citby4i|s Tepréseotans, 1 vous rappeller . lujourd hui des époques de gloire. La République estéutlie t aUàSiiüt.noi armées tLÎompheut, Le Beige est deux foîi affranchit l'aigle impérial est repoussé . ah-delà du Rhin t ktonunet dci Alpes est gravi par net guerrier!; le vainqueur de t'ieurus, passa vit* toirs, rompt les Calculs dînai ennemis, dêcOnCéit* Itor politique»
hQ.v Qjojqr licpre.iix l De! lénatturi^ensedévaTiahi,
«
r Soogle
□nijinai from
KcW YORK PUBLIC LIBRARY
( >*·^
iertmolint le doniin.iteur insensé ; ¡1 eut écrasé pirli . rniiüïe delà révolution^ qui tiçm au; i for temeal aux dhoies, que faiblemcnt aux individus.,..

m Jt te talue , Niuf rlif-ririi Jor f tous les Français,
eui tous les Frahcaii doivent avec. sincérité te rendre ¿race. L’ardent partisan rie la liberté, parte q'p'ïl voit Je triomphe des principes ; celui qui te doit h vie et la liberté, parce que la reconnaissance îe lui ordonne. f
M Je le bénis , ô seul jour du g thermidor ! jt tt >éénis, coftute celui qui.sauva h FranCt, qui atjféta | un déluge de crime*, qui Ri tomber les bastilles ré* ; »olütionnaires , qui brisa ces échafauds ttiui-à-tont arrosée du sang des royalistes et de celui de* patriotes

- U Citoyens collègues, espérons que grâce i i* ion- ,
€nnte de no» mandataires, grâce à l'un ion qui déji. ■ ne fait qu'un seul et même tout, des Conseils et du bitectoire exécutif, espérons que ce moment heu- . >m n’est pas éloigné. ■
** Et vous, princes ünugeri, trompés encore tons les jours par des émissaires, par des- mercenaire* ■ vous vous persuadiez que le but secret du g thermidol était de subît!tuer à ¡a République, une forme dé gouvemeuicnc tel que vous le désiriez.
m Vous reconnaissez aujourd'hui votre erreurf il , «n est de même de tous les évéüïnèris que vtuii "voyez parmi nous, et dont le crédule partisan df( Bourbon» errant prétend, dans vos pilais, connaître et les chefs et les projet*. Nos projets véritables, Iti voici) qqus vrauslf* disons ivecfeMUIMncc que demnt h force,
>t Qu'il s'agisse du vaisseau de l'Etat, dta système républicain t de la conservation de notre liberté, nous lourtnes ton* du même accord., nous n’av&rif qn.un »eul cri i Fïw h vfw* la· Hb-erit générait ! i
iar fa tyr/ini ! c'est ie cri du g thermidor, s* . Le conseil ordonne TimpressitMi du discourt. _
Il a repris, le s r-, la discussion far h résolution concernant les eAÎaiss nés hors marisge,
Rallier b défend.
, Lacuée Uttouvc injuste, en ce quelle *ppelleif<
Go< >gte
ütlqlnal rrctr
NEW YORK PL-SUC L‘BP.
(
rnhns ne» depuis la.loi du t« brumaire, au« mimée
»■vantagrii qu'ont ceux nés auparavant,
D’antre* orate uti»pirietiiégalemcnrpùur et contre.
La discussion est ajournée.
La séance du iî dp conseil des Clnq-centi a été
remplie, en grande partie, pat des odjcîi d'intétH
particulier. é
Bonnairt a soumit à la discuiticm ma projet de
téiolution tur b stricie exécution du calendrier ïipublicaio.
Le* articles' adoptés «ai été renvoyé*,
pour h rédaction , à la commission.
Cabajti* fait, le 131 bonimagé au conseil d’un por*
trait de Mirabeau gravé par Besson. ]1 jette quel··
Íuci Beuti sur la tombe de cette homme célebre qdt
tait son artii. H s'attache A le justifier de l'imputition
qui lui ■ été faite d'avoir favorisé les projets du
detnier roi de* Francis, en vendant à la cour ié*
talen*, son éloquence et ion ascendant sur l'AsKuiblée
constituante. Il essaie de démontrer que cette
calomnie est l’ouvrage de* factieux qu'il combattit
Cn toute occaticm, ci des noble* dont il a abandonné
hc*u*e pour servir celle de k liberté.
Je pourrai* f continue l'orateur, pojarla justificañoli
de Mirsbcau-, remettre sbu* vos yeux plusicuj*
actes de venu dan* Uvieprivéc de ce grand homme, ·'
je ne craignais que l’étroite amitié qui me liait à lut
ne rendît celte apologie suspecte, '
Je me contenterai de vous dire que Bacon fut
comme lui, fobjet delà hjinc cl de la calomnie de
les contemporain*, que chaque joui voit h gloire
de Bacon s'aggrandir, et Bacon s'avance vers la postérité.
j
Brioi ( dp Doubs} i Sí Tamiiié n’avait pas ses droit!
qui sont sacrés , j'aurais disputé à mon collègue
fratid homme. Vainqueur de la prévention et de
envie, Mirabeau savante glorieusement ver* Ϋ
■ postérité, if atterri que le m'omenr de la justice soit
artivé pour lui irrévocablement. Quant à moi qui
Goc *¡lc • Drgilirtiiruni
NEW YORK pun 11c u n RAP i
'ration .qu'il m,’a inspirée d’abord, je laîu* aujourd'hui
celui qui força les tyrans à (’abaisser de va ut li
tribune1 législative , celui quierit membre de cette
AiScrablée à qui· l'on n'a peut être pas rendu une 1
»utfiautc justice , et à qui il ne manqua, en quittant
»es honnibies fanciiotis, piochmê la République,
.C’est en vain que I ingratitude et 1 envie »cnleut
» asseoir sur la tombe d'an grsnd homme, pour dé-
voter sa renommée^ Ja gloire de Mirabeau a pu Îrcç
obscurcit un tnstan t, tient peut être effacée pour
toujours; elle est do domaine de toutes les Dation»
libre* et de la postérité. Je sais qu il c^i flatteur pour
CjcIuî qu oi! accuse, de D'avoir1 à répondre à ses de- -
tracteurs , que ces mots d'un héros : C'est à pareil
jour que l'an dernier je remportais la victoire ; afiflflJ
tendre grac/s aux Dieux. Mai· si la pi cvcolioa fie lui
a pas loti jour s permis de fermer la bouche à ses enternis
par une semblable réponse , c est à ses amis,
c'est à ses admirateurs , c’est à ceux qui' ue ic iaN* ;
sent point guider par l'aveugle préjugé, de le déTendre
aujpürd hui des inculpations, qu'une balte -
jalo usic lui ht adresser, après qu'il eut reçu les hou- |
ncurs de l'apothéose.
Le conseil ordtjnn c 1? inaptes si O ri des deux discoutl,
Chénier soumrt.à la discussion son projet sur I'oî-
- ganisatioD du nouveau département appelé Lac-Lé’·
ni an, dont Genève sera te chef-lieu.
Mcniord le combat, comme contraire à la canari- :
tutinn, au traite de réunion, aux principal et aul Î
règles d'une sage éconorure. -„ · ■
Chénier demande Ajournement, pour répondre j
aux objections. 11 Icii est accordé. J
Poulain Grand pie, organe d’une commission, ti*
pose que le service des postes et relais ne peut être i
confié à une compagnie ,’aans compromettre «t ët*T I
blisstmçnl et ntiLe coustdéublement au commercei |
/ que l insubordin titin , liosolcnce et l'avidité do
jpos(¡lions, obligent de les assujétir à des réglement, j
que l'autorité seule du gouvernement peut rnairuertir, J
Comme pn ne peut Its soupieUre à la discipline nù- I
' -, Ht aire ,il faut lêl punir parla privation du nkoa»
Goi gle
. ( ·Λ î,
ptaiM, et fiiimt de leur état. Il convient aunî d’ae· corder dei indemuités aux maîtres de postes , éq HÎraa du nombre de chevaux qu'ili enitetiennenl pour le service public. ï
C'cit mr cet béret que Poulain propose, en vingt-" un ¡rt;c|ci( un projet que le conseil soumet au* icrm** c<mstitutionnelles,
Boula y- Paty ■ fait, le même jour , un rapport sur 1î (ixilion dei dépenses du département de la jîï»- tiac. L'orateur s'élève contre Ici dilapidation^ conv aiicr jiuqu'à tejourdanr cette partie . et il présente’ ntt projet tendant à accorder au ministre de la <rm‘ ride, une somme de 117 mil Lit* ut pour le service de JinVH. Le conseil o-donot l'impies, et rajonrn. ■
La ducunioo Iüuïïc enduite *ur le ptoiet de Chénier, ■ - -
Félin Faulcon parle en faveur,et Leborgne contre.' Cticnicr obtient la parole pour répondre alu ob- jEctiuns. Le conseil suHisviti,atri! écldiic, ferme H> rùscciuon el adopLe le projet, ' ΰ
Le eotïicil des Ancien· a ie^u, le 11, et a Approuvé1 de suite , Ji séioluiion qui accorde un congé de trois décade* au cil, Rewbcll, directeur, pour k ré-i ubii lient eut de 11 tutti« * *
Il reprend , k même jour , h discussion mr la te-·* ronde résolution concernant le* enfant naturels, ·
DeLtcoite , Vernier et Régnier la défendent- ÎF»' obiervem que la loi du it brutnatTe ti'ayint réfcilÈ* que Ici droit* îles enfant qui existaient ί 1 épùqtite ' de ta promulgitlon, il est indispensable de compitft-1 ' •et cette loi. - ’
- £eddiès et Hoguet SQUliennent ,■ au contraire« que ' h loi dont il ■ agit renvoyant au code civil pour Extr le ion des enfant naturel», dont les petes et mecéa1 existeront à l'époque de sa promulgation, il est-de toute justice d'attendre ce terni pour régler leur»1 dtoiia, «— Ajourné an lendtmnn, ■* ’ >
Lcaolr Laroche fait, le |5, homma^b au conséit' do portrait de Mirabeau, gravé par iJeijoti, d’apica ’ le tableau de Bot«. Il pro^te de cette occasion pont1 rendre homnu^e aux services énaine ni rendus par ce grand lionirné à la* révolution, et pour te tige ri si* üttJnoice des outrages quiliii ont été Faits.
Go gte
. . { ,lft» .
La di$cu5iwti «'ouvre de nouveau lur la résolution du j8 flçrcitj ^relative au* enfam naturels.
MaUeviiTe pense que Cette sêioluûoh doit avoir le l.çnt de la première, et qu'em ne doit {Suint rraitl· tenir Ici juge meçis qui ont adniis des enfatit qüi n’avalent été reconnu a qu à 1* suite de poucmhei jiidl· qaiicità recueillir 1 héritage de celui qui a été l'objet ; de ce» poursuite», Une frnunt on» tnceuri accuse un.
. homme qi.t'viiç sait être riche, d'être te perç dc feu>
oqnsi dérat icn public dont il à besoin , courent à un sac ri ti ce pécuniu» plutôt que d'avoir un pretè*) élt-.ce à dire pour cela qu\i est le peie de l'enfant f tutu t et datii ce car, la recoonaisiance n'est par plui volontaire que la remue de sa bourse qu’un ij.it a uq, voleur pour qu'il'votif laîiie la vie, . . '
. Laloi pDJC qu'il Suffit que la leccnrtaissstice Bit été-faite, n'impôtte pour quelle cause, pour qu’oit' l doive la regarder comme assurant l’état de Ftnfeùt *r , et en conséquence comme iuatüquablt, lcvillq.;—La céiolution tu rejcitée. . ,
Ou discute la résolution du 4 prairial, relative aUl emprunts fait» avec privilège sur des b-ente«.
fant qu’elle peu te, Cet hqmrae t pour. ccmiùrver la J
:
I
r
LXefcb vre-^Çïay tï reproduit Ica Qbjeçtiojji de Mal· .
il
;
:
Carnet pense qu’tlie doit être admiire,purce qn'el.lf. ,· ftn que la CGruéqutuce de ¡’article 66 de h loida 1
i
a ... ..
*41793,,et de 1 ar(, 83 de celle du «4 frimaiié'r an VI» qui: ont autorisé leu créanciers directs d* U, natjon de.rembourser en iusiription» leur* criancisu. personnel», qui avaient hypotheque spéciale et vilégiéc »ut ieuE».bi<n», :
-¡ Graneaii répond que l’effet de tfelte ré»pipiipii IC*i rail de faire potier toute h perte qui réiultp dc^v tpconitances. t°, lur ,1e banquier .génois Gambiasi« qpi a préti 7001,001» /r, avec prijruégf fttrc<» r«me»i< ■ et hypotheque gédètalc et,spécial« sur tous Je? bien* de* débiteur· t i“* ÜÎÎ lCB porteur* de billets soü*' ¿aires qui Q'ont point participé Il négociation dîl Tailles-, et qui sont propriétaires rie véritable* biffeti à Ordre, qui ne dpiv^qt pat suppoittr lei perte» qui 1 I4 réwhttwna fait, éprouver aux contrat», *t
. La suite tàf la, discussion, est ajournée,
Dia> la i4an.ee du 14, apréi avoir distendu un «P'
’ r
J
Di
Go >gle
, <,aî i
port de Lemoine, le eonjeil approuve une r^tolutro* qui rectifie h lui du 6 gennicil dernier,en ce qu'elle mppotc qj< ki cou»ins-germait)» ne peuvent être membre* de lt métoc AdniiuialraHon. Cette loi, a dit' le npporieût, ajoute à h coniriunion, en ce qu'elle exclut l'excrcLcc tintultué de* cotMÎni- gcrmaini , randii que la cotwiiiutiAn n'avait prononcé d'excla* lieu qu'à l’égard de* oaclei et de* neveux.
f A Kl S, jfmJi ,*g Fkmnkïfr,/*«* H d* ta Riparli
O ti *■* déïTiÉfidt tOujavrt Ou Cil Boaip»rit. Depm* uoa dé-< jiTt de Mahhe J* fg prairial dernier, on n'a pli·* es aocujua • ouvclie , cln muiu oftric|ic, de icu txptJuioD. Cela uh w empêche le*faûean de nouvelle*de *'»«errec*Aen croire, ïtrtaio* papier»luglii», cinq faiiHatUC de tou e»cadre ont été pria, et lur-maol·· tal du uombi* de* priaonniei*, Il eji vrai, que cet nouvallfi, venuti d'EtOH« etolrlandc, a’ciit trouva tarmi* co-rifanee À l.nndte*Y tr qu'on a reconnu,avec raison, que c'était une ruic miniiiéiieJie pou» jrcuitr te peuple, et Jî diiirajr« de* jr^udi évent rue-, u piceni en Irlande
et qui nieniçtni Je gouverna ment briiiDuique dei plut limanti rè»alt»l*-
C· (jv‘'l v ■ de attignile?, c'en qti'ivict même d’avoir reçq, r*i itcmge« pouveür* d'Angleterre, certaine! gem tenaient le· ménte* propoi i Pari*; on te dînait conidcoemeivt i Fq- reiile, que Bvnarpattt uni rtc battu, et que ton cotiv·, dit* perii ««ai* d^n* I# lit mu ou 1* plu* critique. L* vérité rit que,, depui* 4g inné* qu il a quiue Malie , on n'a reçu ancone -nonvelie , ai que rouir* le* probabilità» tune ûu'rl en arrivé i a*; dicttuaiion, que J'ua croit être Alexandrie. De* lattrt* d*r h'ipk», du 114 lutuidor, dont nem avoua, cunuvji*ini* , ne prient d'aucun combat; ciiTéwt minimene en *urùt *□ à; tipici et qui *a aérait pa»e dam I* Miditerranec . avau* »ét&e qu On «n eût reçp de* nouvelle* *■ Erant et en Ir- l**de, (ne-n crtirrdti Itttrnd Al t'ambré dmrt peiréwr· plu*ieur* journaux, B-uo* parte y a*t arrrié avec ion convoi dini le meÜlruT ordre jouible. Au rene. Il n^eit pu ciot» n*nt qoe L'od n’ait teça Bùcine nowalta de 100 arrivée , Im vanta 4'uuejt qui régnent din* «tu urico dm» la Mrdi» Umoti y *'flppota»t i ce qu'on ari de* leur«* <1 Egypie «vani. io jouit. Ato*i tout er qu’on a pò dir* ait prematuri al *tn* fJKuo« ciptc* de dimeni. Il n'y a pa* d'apparence 'que
C*o* sic
-. < “8 11' ■ .
]M Anghitioïetit lîléi pins laid que Malte ; et qu'il» tiennent la Hier lon^-lems ; li’anlani qu'il» sut peu. dt vivre» , et pi> ‘ un port pour *e réparer, »oit qu'ils soient-vaincus nu vain· qutm·. :
. — Brune , général en ch ci de l'armée d ltalit, ni 1 P»m
-
depitii ptnMctln jour». Il y * apparence qu'il est ven u se ror
carter >vtc le DiiecLjir* , « latí v* rae ut 4 quelque» iroubirt emvenus dan» la République Cisalpine , et sur la Htoalia* mimt de l'IlaEie, vers le» frontière» de laquelle l’Aiiéricbc envoie beaucoup d*u*i/p». ■ ■ ' -
■— On avait répandu k bïUit que Pi n an-Og! n avait été défaité WidJibi tjue.l· vile ami éoc pri»o .tfiassaiieerque ce Tcdoulabte pJtl·» avait été pris él decapité. Ort citait dei leirr» de Vitírñe du. s thtrraidor. Cette nouvelle parrniO d'autant pltis extraordinaire , que peu de jour» auparavant Fs»3wan-Og1u avait rt ni porte une victoire signalée sur l’armee atténuant. Anjjtird'hwiÿfl lit dan» une letrrc dr Rit rqboime, e’i» dite dn 8 thrlniidor,'une lettre de KrVûie. en date du jt,r.. portant qu<, maigri 'ont ce qu'on a dit, pour et contre li cru uve! le du siège de Widdsit » udn ■ seulement celte uouvellr ti* »'était pas cotiSmiée, maii que P.usaAan-OçTu avait, dam une »ortie vigoureuse , ' det mit une partie de l'armée du gratld-visir· Les nt'livciles fOqt Trés-équïvaqüfj, K
ÎMazitntft-udréilei details plus posilifs pour fixer »un opinion tur un liu-m me qui a donné des preuve dune asse* grande ripa tiié „ pour ne rien hasarder iitr son cotnpîi,
— Rien ne s'est paite de décisif en Irlande. Il parafr que les'insuTges ont adopté no système de guerre très· avantage tut, c*esf de ne point *e comprenne tire par ' de* actions pur ri-' pele», de harceler sim cesse les troupe* rcylk» , et de Faire iks TçtTallç» dans lès irraïliS ou SUT leí tn.Csn11fiies , çù il est Hi])fistít»ld de les attaquer·, L'approché de l'hiver leur Ur» très-favorable. Us attendent de»'.iecon purtsabs, et il» agi- rontrn masse au momenrqui leur paraîtra |e plus conven abk. Lies dernières nouvelles de Londres i ce sujet, sont on n» ptot- mclin satisfaisante» pour le gonveftteinrm anglais.
. ■ -—■ ■ . . Jl . ...................-
L O T E R 1 E >1 A T 1 O K A L E.
7ire»e du 16 ïArrwJir* -
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L«s nLiù'iémi. lortî* ittut.; sg, j5 , , n , LSg , 90. -
' Linoiíl-LaIiJc+ii , Hírfuxirar m c.kjC
n^iuri.w Google
N". 33.
MERCURE FRANÇAIS;
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Dìcaot 3o ThermIlor , Cdnfuticnrrde les ?? ■ ,
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·. . V .
MORALE
PiJ'Æû/i’iJ du Ataurt càt; î<îw/îî tes Nations i ou Calir
rAifffl« uni terrei par Saint-Lambert, Trois volantes
iti-S®. Frrx, su francs y et sì fr. fratte tfe/oït, A iPtirù t
eliti Agassx impi tmetir-libraire t rue des Psitetius ;
; B*, ifr. An TL-de République, : <
P R Î M 1 £ Î ENTRAIT.
r .
^Xl y a bien long-tçins que les hanirdes‘ Ont des
Cûcrars, c’est-à-dire que chacun d'eux a adopté dci
i bpmicns et conçu des"sentiment qui dijgent I’enJ
icmble de sa conduite à l'égard de ses scmulabltl.
Ces opinions, ces sentiment, et la disposition générale
qui in résulte, devenus habituel;, constituent
' le caractère , les moeurs de l'individu. Ces ûseturi
'particulières different autant que les figures. Ellé*
agissàut et réagissent perpéiuellerhcnt les unns sur
les autres : et île ce qu'elles ont de coin in un te cürtfpnient
les moeurs généra lei d’un siècle et d'un pays.
Chacun s'esr toujours composé pour lui-même^
■vec plus ou moins dé réfiexian , le système de
■ »tturs qu’il a au.a tint, ou à raison, être le plus
propre à le rendre heureuxi mais aussi chacun t'eic
toujours apporçu en même té ms que sôü bonheuç
n™ xxxri.
Go< *gle Drlqlnsl htm
ME W YORK PIÆUC UBRARï
(i3oj :
lie dépend pa* uniquement de lui + et qifil est fort iatêfttic aux tuteur) des jutres* Auisi it'est-il personne qui ne désiré former le* îdoeut* de toui cem qui . l'entourent delà manière qui lui est la plu* prot* - table î et tutti tei bomtoes qui ont cru pcuvoiriti' i Huet *iw le* moeuri des autres, n’ont pas manqué , avec plus ou moins d habileté, de tâchsr de Ici rendre telles qu'il leur convenait qu'elles fussent. ? Ainsi, les peresont désiré i leurs enfant de* moeuti u qui ks rendÎMent U consolation et l'appui, ou h t gloire'de leur vieillesse. Lea maîtres ont voulu que .·: ittrrs do tnt niques ou leurs esclaves eussent 1*9 ii moeurs convenable* aux services qu'ils en'art en- ; datent· Le* grands et les riches ont cherché A don- :: ner à la multitude des moeurs appropriées au parti ; qu'ils en voulaient tirer. Les gouvernaej civils ou religieux *c sont efforcés de ployer à leurs desseins les moeurs de tnusleurtirijets.De iêurcôté,lesenfani, i les valets Jcs est lavesj es pauvres, les Far blet, lefsubot' \ donné* de tou: geufe ont sou Imité à leurs supérieurs :- de tou te espece les quali tés qui leur étaient favorables: i; et par les mèmci motifj , cous ont fait des v«uc .. pour trouver dans tous les autres la générosité, la sincérité,lahdélité, la sensibilité, enfin toutes le*qus- \ Jitcs.qui évidemment rendent avantageuses,· douces 1:L et sûres les relation* que l'on, a avec eus. C’est à < ces qualités qu'on a donné le nom de viffUf· homme n'a douté qu'il ne lui fût irèsheureux de le· > rencontrer dant Le» autres ; mai* tous, bot* un petit nombre de sages, ont pensé qu'il ne leur était pas aussi utile de les posséder et de le* pratiquer eux- . mèmei. ' ‘ k
r. Got ¿jlc
Dnolnai lr:m
NêW YORK PUBLIC LIBAARY
on» , '
De cette antique et pr’rmitive maniéré de cotisi- F défei lés relations aociaies , il est riîntté que ta iticnte des rntturs est devenue do tible pdur chaque individu; Chacun a eu pour s ni h doctrine qu’il voulait pratiquer) et pour tes «u<TCi.t ce lie qu'il Voulait prêcher La première qui a composé son caractetc a j comme nous l'avons remarqué, été aussi diverti fiée que les figure!.- La «cru de a été plus noifb'trne ; -et ri elle a été sujette à quelque* Vîtiit- téj, c’est que d-ms cetuin* terns et dans ctftiim lieux on s'est persuadé qu'il était utile dc EîPuTcr dans les autres quelques qualités auxquelles,on tTa- Vais pas penné, ou sur lesquelles on avait peri 1 £diF-* fêrcrnttrent dans d'autres circooslances. Miïfltft est resté universel Iraient tan venu que chaque htsmttrs a un intérêt réel i te que les autres te conduisent ■ vec lui d'une certaine maniéré, et encore un'intérêt fontaurai réel 1 lecûtlduir^htt «toc euit d’une maniéré tome différente'. Qn'on ne m'accüSe point de calotntiier ici l'eapcct; humaine. Indépendant* nient de ce que cette sort* de ccrtiventidp tEtcftc n'a été que trop général émeut prouvée par les fait«, et ÉLÎtne souvent avouée dan* les discours et dan» les écrits , utie prtuve qu'elle a été univdfst lié ment adoptée , c'est que dada toutes les langues on jt donné le nom de désintéressement, c’evt-à-dire de retiohcemcm absolu à tout intérêt, à la disposition de l’ame, qui ut consiste7qu à préférer des intérêts plus relevés et plus délitais, i des intérêts plus grossiers. Une autre preuve , -c'est qu’on a presque tou* jour·.composé l’idée de vertu de «Hes d’xEcrt, dd ncfIÎkes; de dévüûenmnt , d'abnégation de -sol·
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( 13· )
même, au lieu de n'refaire que celle de saine raison
et de bon calcul; et qu'en mime tems Ou a toujours
mêlé l'idée de faibleisc dam celles de tendresse ,
tpamour, d’abandon, à îi sensibilité morale, tandis
que ce sont les vrais élémtns de l'idée de vertu.
Ce que j'avance est sî vrai , que pJimi les précepteurs
du genre humain qui sc tout efforcés d'engager
les boraMti à prendre les moeurs les plus favorables
i leurs semblables, c'ettà-dire de les porter
à U vertu , pïcsque tous jutqu'À nos jours se sont
crus obligés de faire l'aveu, aussi mal-adroit que
faut., qu'ils combattaient F intérêt personnel. Seulement
ceux d'eutre eus à qui leur boit naturel faisait
éprouver que l'homme trouvait dans le bienêtre
de tes semblables et dans leur bienveillance
ua* satisfaction délicieuse qu'ils sentaient Saut pou*
voir s’en rendre compte , ont jtnaginê et supposé
pour l’expliquer, gantât que l'homme avait une notion
innée du juste et de l'injuste, une espece de
sixième sens qu'ils ont appelle sens moral ; tant à c
qu'il existait en lui je ae sait quel amour vague de
l'ordre et du beau auquel il était appellé à concourir
auiii secrettement que puissimmcut ; tantôt qu'il
était un* partie même du grand Être auquel il brà*
lait toujôun de ae réunir par la pratique du bien,
etc. etc...., Et ceux qui doués d'une ame moi os
humaine n'y ont point trouvé cet instinct confus,
mais précieux, ont prononcé durement que sans l’idée
d'un pieu, rémunérateur et vengeur, l'homme
n'avait point d'intérêt à être vertueux. Ainsi , le*
uns ne trouvaient la bise de la vertu dans la nature
dp l'homme qu'en y supposant ce qui n'y est pas;
CHflinAé fini
KEW YORK Pl.'fiE IC IJ0RARY
( i33 }
et les autres aFHrmaïent que cette b à Je n'est et rte . peut être que djn* l’ordre surnature!» Aussi tous
ont-ils cru avoir fait tout ce qu'on peut attende^ des efforts de 1 att quand ils sont parvenus à peindre la vertu de manier« à nous la rendre aimable ou :. séduisante» Il semblait qu'ils ne pussent nous y , conduire que par déception. Il aurait mieux Valu ., montrer qu'elle e£t tout simplement utile à celui ; qui la pratique i car h morale présentée autrement n'est tout au plus que Fut de contribuer au bon* heur de ses semblables, et non pas l’art de te rendre ., heureux-ioi» Doit-on être surpris que scs piéceptci aient presque toujours faibli dans Foc cation, contre ce que chacun croyait être Son véritable intérêt personnel? ou que s’ils ont été suivis quelquefois, rhiàtoire nous montre que ç'a toujours été dans des. teins ou des momitu d'enthousiasme dam lesquel· la puissance de l'imagination exaltée lurmounit lès décision* de ce qu'iïn Croyait la taison même ?
En effet, tout homme qui n'est pas convaincu que la vtrtu ntfi fut l'inttrêt bit* tnltndu , doit Être vicieux ou hypocrite, s'il n'est inconséquent . ou fanatisé» Cependant Helvétius est, je trois, le premier qui dans nos terni modernes ait avancé cette vérité; cl l'on sait combien il a été calomnié pour avoir établi de toutes les maximes la plus vertueuse.
Saint-Lambert a bien senti cette grande vérité. Il en a proclamé une autre i^ni dérive immédiatement de celle-là, et qui n'est pas moins importante, c'est que pour poser les vrais principes des moeurs, il faut bien apprécier quel* sont Les rentimcni, lc>
‘ I 3 '
G<X gle
■JFl
. - ( ,3+J .
psssiçmâ et le» habitude! qui conduisent les bomme| tu bonheur ou au malheur ; et pour ks bien ip- yrécier, il faut bien connaître l^i facultés inttlke· tucljîs de l’homme, et ¿avoir. comment elief formtirt ICS s.entimeni, tet posions et se» habitudes C'est ce qpi| lui a fait dire .dans sop Discour# prélinoi* il ai rc j, « On comprend ion# le nom de morale deys ii ctpc.ce? de tcientci} cel|e qui donne h eonnaiv m iinte de l'homme , et celle qtfi donne Ici moy«n) ”, iç^lex »p m«riii, J^a premiers cilli bâsç de i,’ l'au;iç» v t , , r . r
fiouj osons croire qu’il b y a que la première, celle qui traite de la cpana'iiaiicc cic VïtommC ou piuLOt <le ses facultés îniehec^ueilea , qui »oit vraiment une science , et qu’elle devrait #*appelier tdta~ ïo^ie , Ou si Ton veut metapà^rifirs ; et que h seconde, celle qui consiste à tirer de', cette ccrjinaisîanL e Ici picdeptes les plus capables de conduire Le» hommes ila jouissance de tout ic bonheur dont Us sont sut- ccptibl^i, ett proprement un art, que tnt là spécialement la rnorale.
■ . .'».·*■ .*3: i ·.. ! s i ■ _■ · w - . *î » j
Quoi qu il en soit, notre aimable et lespecrsbic philosophe a embrassé et la tcic.nct et l’art qui en dérive, 1,1 iràut a donné et Jç$ observations fonda- jn en ta le l et les préceptes qui en »ont des conté* Zî· 1 1 r T B - li . -’■ r ·
quertccsi et il y a même ajouté les moyens de rendit cher» et'habituei» à l'cnfauce tes préceptes dont il » prouvé la justesse.· far là il a encore traité un» partie trii-importante d'un autre att, qui;
pomme h mora/i, n'est qu’une tontine aveuglç s’il p'eit fondé sur U science de l'homme. 11 est résulté fie cette minière vaste et profonde dç »aiiir ce ^r.uid
1
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NEW YORK PUBLIC LlBR.·
( 134)
sujet , que l'ouvrage qui nom occupe est devenu
une sene' d ouvrage» différent qui naissent les un»
de» autre», et qui méritent d'être examiné» successivement.
.
F ’ * . ■
D’abord ou trouve tin discours préliminaire qui
cil une histoire très-ubrégée , (nais trèi-philosophiquc,
de» progrès de la murale depuis l'antiquité la plus
reculée, où elle n’était qu'un amas de maximes sans
liaisons et tans preuves, et pour ainsi dire un recueil
de recette» pour la médecine de famé ,
jusqu’À nos jours où elle commence à devenir un
lÉmathées. On y remarque avec plasjir que Lavincernent
de la morale a toujours été proportionné 1
■ r ·■ J ■ celui des autres branches des connaissances hu- '
mairie», et particuliérement à celui de Tari de raisonner.
L’espiit se plaît, en suivant la marche de
la morale, à croire qu'jl suit celle de la logique*
On aime à Sentir celte nouvelle preuve que la raison
et la vertu ne sont qu'une même chose* Saint«
Lambert en est si persuadé qu'il n'hésite pat à mettra
au nombre de ceux à qui la morale a les plus
grande» obligation» , ce judicieux Condillac , qui
pourtant rfa jamais écrit un mat sur la morale proprement
dite* Le teins u'étàit pas encore venu de
traitée ce sujet suivant une méthode si exacte.
Dans ce discourt, outre auteur rend un hommage
éclairé et touchant aux travaux des plut grand»
homme» du xpilieti de ce siècle, dont il a louvcnt
été le compagnon et l'émule, et toujours Fami et
le défenseur. C'est le succès de leur» efforts pou»
èdairtr la masse d» esprit» qui lui a montre qu'au-
1 4
Go* >gk
( 136 )
jourd’huï iOn ouvrage pouvait iite lu avec-fruit,
*t J'ai vu, dît-il , te perléctionncr la cûnnjissanct
- ii de l'homme , et j ai pensé que les tems étaient
h arrivés où l’on pouvait donner aux habitans de
t, tou) les pays celui des livret qui pouvait leur
si Être le plu* utile , c’eM-a-dire , Ifs trinàpet du
*i Miurj ou le Catichiime univtr!tl «K Ce n'est cependant
que tut l’état actuel des lumières et fut la
bonté de ion plan qu'il fonde tette juste confiance,
qu'il aurait pu ne devoir qu'à la conscience de se«
taiem. Il regrette encore de ne pouvoir plut prendre
les coQStib de« illustres amis qu’il a perdus et qui
Vont autrefois encouragé dans ion entreprise; et il
finît par cette expression naïve et modeste des «intime
ns les plus aimables. “J’ai revu depuis peu,
» dit-il, cet ouvrage ( commenté il y a quarante-
H cinq an«),<t sans que mon estime pü ur lui se soit
h augmentéef je crois devoir )e publier- J'ai pense
■ï que « livre imparfait pourrait peut-être en faire
»1 faire de meilleurs. Je ne cherche point à ni'âtsr
si çette illusion; arrivé aux bornes de ma vie, il
i> me serait si doux de penser qu elle n'aurait pas
wt été inutile ! au reste, tî cet ouvrage était tic élis
lent, il ne serait pat le mien; il cerait celui de
«■ mon liecle : s'il n'est que médiocre , il est mon .
si ouvrage ri. Voilà comme s'exprime sur s«n rems
et *a nation, un vieillard qui est la gloire de l'un
«t de l'autre, tandis que ceux qui sont l'opprobre
je tout deux les dénigrent perpétuellement."Ainsi
pensent et agissent les vrais philosophe« , les purs
amis dç l’hurn^niié. Il est bien juste qu’on les lourmcote
encore, puisque déjà on ne peur plut les
f,îïi .
faire brui et ni même guillotiner* II est clair qu’a tu a Toison de regretter Je tems passé-
Tout de tuile après 1«. diîcuurs préliminaire vient l'analyse de rbommc. « L'homme, dit Fauteur., ctt ,r sensible au plaint et à la datilem; ces ientîmeni j, lûnt la source de ses connaissances et de tes ac- « lions : plaisir, douleur, voilà Kl maîtresj, te ' H l'emploi de sa vie sera de chercher l’un et d’évi- n ter l'autre n, En partant de cette vérité générait, il parcourt rspidement les effets des sens , des be- «oins de l’homme, de ses plaisirs, de ses douleurs
* ■ ■ i"
et de leurs relations, et ceux de l'amour-propre ou amour de soi/ Puis il trace d'une maniéré très-suc-" : ci ne te les opérations de l'entendement dans la formation de nos idées , et il reconnaît il' nécessité presqu’absolne des signes articulés pour Jeu moindres combinaisons· Ensuite il donne une notice abrégée de quelques-uns de nol penchant, tels que la curiosité, la crédulité, la pitié, h sociabilité« etc* atc. Et il jette un coup-d’oeil général sur nos passions , dont il se réserve à parler plus en détail dam le Catéchisme. De ces préliminaires «orient naturellement des réflexion» sur 1rs effet) des divers états de la société et de; différent climats, sut le caractère , sur l'habitude, sur Fopinion, sur la ton· »cieoce. sur le bonheur, par opposition iùr-tout aù plaisir momentané, et enfin sur la ra i soit spéciale- çnenr comme moyen de bonheur. Un court article sur les différent, âges termine ce vaste tableau de rbommt. Je ne crois pas qu'il ..en Jtrdlt* .nulle paçt Un dont leplan soit plus complet, qui sort plu» exempt d’errcuu, et qui prêteuse mieux réunis iûu»
dn.nl Item
PUBLIC LiBRAR
Go glc
, {,5S} 1
It* facilitati principaux dea recherches que le» me illauri
philosophe*, c'c]t-i-dire les moderne*, ont
fatici tur Ici faculté* intellect utile* de l'homme,
- Dans les dé la ih an rencontre à ton» tnomtns dei
vue.s prédtUMl dont on ne sent la Snewe ci li profondeur
que par réflexion, Cor, comme le dit Condillac
(s), et comme on ne ta tirait trop le. redire
ttl eri !t jcr( da die oyv tria sur l'aprit AtiiMcrn t Z#
grand jitir dans Itqml tiliî sont exfiitu Its fait pafaiin
ii nmplis T’ qu'en ül dtj iheitt dtnt em u’avatr jnïiais
tu flttckn ¿purent <C «?u'pn creil ((pendant ni rie*
epprtndrt.' On y trouve rur-tout ce charmant passage
qui cat 1 «trait de tante h morale et de tout Tare
lOcjaL i» Toutes 1er passions qui tiennent au senttt*
ment de bienvdlhnce, toute* celle* qui nous
ri lient à nos lembbbles, tout jgftable* par ellea-
> rpéniei, et on ne les éprouve pqjM sari* plaisir,
li Toutes celle* qui tiennent au kniinitm d'avelli
*iqn, cl qui peuvent nuire à U société, lout re»
V passions tris tei par dJei-wériits, c* qu’il est péli
uiblc d’éprouver. Aimer, c’est jouir ; baiir, c’en
V jouffrir. ^'ajouterai un moi, continue Srint-Lam*
v te plaisir e*t plu* pré* de la vertu que le
», chagrin. «* . -
. Malgré, tant Lde mérites, j’o'erat le dire, cettq
ftpalpc d(c l'homme me parait trop ÿbségée : elle
est hteu empiette dans ion enie.mblc; mai* dit nç
l’eu pa* dapi «* développement» C'est M propre-
B«qt h pache idcmitiquc de la morale , comme
fi) Extrait ritsonui da Tj«ti da StttHiitns,

i -i Go qIc NEW YORK PUB LaC LIBRARY
li
pim» l'avons déjà observé , et si l’amreur avait pii»
Ji peine de h rende« piar étendue et pour siali
dire pìtia circo murici ée t beaucoup de vérités mb'
lé^uenici qui ne sont que pleuritici itriient prouvée
»i iu lieu d’attirer rassentinscnt, eli« le comniBderiieot.
Cesi sur-tout à ce qui conce tue le»
epe rati om de l’entendement que rette observation,
supplique. Ne doit-an pu bien regretter^ par eïem- t
piet de ne pas même trouver dint celte analyse tuie
jiuinératioD compiette de» facili tèi que l’or» doit
diitingurr dans L’eatcndeitieui, et une explication,
rigoureuse de Ja maniere dont dio ajìsient ? Je
croit donc que pour que cet ouvrage , outre tout
le bien qu’il fera, ait encore l’avantage immense
d'en faire faire un meilleur, comme k i ou hai te lï
oeodcitcmcnt Fauteur, ce sera surtout i cette par--
üt qu^ devront l'attacher ceux qui butent la harditUE
de courir daru la même carriere. lit nati rotti
tint doute rien à retranclter, ni peut être même a
changer i m»i» il» auront i ajouter; et l’sk réussitimi
, ce leur ieri une grande gloire « quclqu'oblïptkn
qu'ils aient I Cclpi qui a ouvert h route.
A l'analyse de l'homtne. Saint-Lambert i cm devait
faire succéder une analyse particulière de la
femme- A la rigueur, il svilitati, peut-être d'indi-
^oer quelques différences entre deux être» qui ont
tint de choses communes. Mais le chantre des Sai-,
lorti devait aimer à s'arrêter sur un sujet si agréable t
cl le philosophie ne pouvait manquer d’attacher
une grande importance aua relations; des deux iexb|^
En elles ont été l'origine de tontes sockeés ; clics en
jerupt toujours la base ; et dici donneai la.mesure
■ < J . JF J 1
Go ÿlc
( 14» '
de îedt degré de perfection. Il y a tant de siecïet que Içs chaihiam itnbécilles qui ^'étaient arrogé l’rmpire de ]i morale, n’ont vu dans l'amour qu’un ■aercment au nn pêché, qu’il est bien nécessaire que les hommes éclairés nous y fassent voir avec détail le seul de nos besoin! physiques qui nous lie à un être de notre espece, au lieu de nous meme en opposition avec lui, h cause du langage et par Conséquent de toutes nos connaissances , et la perfection de cet admirable plaisir d'aimer, qui etc h (onree de tout sentiment social. Cette analyse «t en Forme de dialogue entre Ninon ce Bernlcr, femme frajiche et un observateur sans, préjugés- Si cette maniéré a plus de grâces, elle a moins de précision t mais quand on s'occupe des femmes, éc désir de plaire l'emporte. Cependant on ajSurt qu’ta général ce morceau n’a pas eu leur suffrage. Si cela est vrai, la raison en est sans douie que l'auteur prétend qu'elles ont un singulier penchant pour les rêverie» et les illusions. Si leur improbation put* tait im d'autre» points, elle semblerait justifier mëiuc et. reproche, à moins qu’elle ne fût que simulée rf •eulement l’effet de CC conseil qne je cite san* l'adopter i Lajenmw qui aime ¡t plut l<t vérité diit f>réftrtr fer gram. J'en connais au reste qui ôut go^e cette analyse, et d'autres qui , je suis sûr, la teront même jusqu'au point d’en convenir.
qu’il en soit, je crois que toutes feront bien delà méditer, ne fût-ce que pour apprendre 1 bien pister leur emour-propre, à consulter beaucoup les bomroes, ^_et sur-tout ■ ne pas élever leur» filles comme «Hf* l’ont été elles-mêmes, Ji ne puis cependant -, je 1 *’
li ‘
Got glc
□r.dnal
6IEW r’Cfy, PUBLIC LIS RAR 1
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voue, voir »ans étonnement que ttohe auteur discL SI ÿ a même des superstitions que je laisserais au grand nombre des hommes, et plia encore * celui des femmes ; jur tout après avoir dit : La dévotion lu tiurminfe ¿'ordinaire plus quelle ne les console, Serait-ce dune encore là une coiuiqutûcc de cette jolie observation? A la manière dont lu femmes épousent et défendent cts auiiurr ri par/citir/iCHr eheun (Platon, Zenon, Descartes) , ou dirait que par une grâce spéciale, la ■ Providence leur aurait accordé l'intelligence du gaiimt- t'u'iir. Nous ne creutetotii point celte question ; noua aimons mieux nous en tenir i cette belle maxime :dc PvtilAiiïintji i L'erreur nf peut être utile qu'un moment; la vérité nias est utile depuis le berceau jusqu'au tombeau,-
La suite au rtttw'rr» prochain.
VOYAGES. -
CoLtECTiON de Voyages , etc. t tomes II et III. Voyage île la Perse dans CTndc, et du Bengale en Perse ; par L. LAiïGLis, dt l'institut national. Deux volumes in-i». Prix, 3francs chatun. A Paris, chei.PovçiiNf^ rue Thomas-du. Louvre,
. ■ -I Nous avons rendu compte du l^r. volume de Cette înteressante collection , nous en avons aujourd’hui à faire connaître les 11·* et IIIe- volumes, Leuc, contenu n’est pas mains intéressant » n°. Voyage de la Perse dans l'Inde pendant ks années 1445-44 de Tire vulgaire, traduit du per»an par le tir. Langlèj.
Original ïrrir
NEW YORK PUBLIE LIBRARY
■ Google
( U* }
Voyage du Bengjle à Chyrù <n îjSy et itë,pir
William Franklin , traduit de l'anglais par le acOEç.
îù. Une notice historique sùr ia Perre depuis la mort
de Nidir-Cliâh ( Tahmàs Qpuly-lChânl jiisqt/cu ($3, .
pat William Franklin. Mémoire historique sur
Persépolis, conpor; d'après différent matmiccili
arabes, turcé et persans de la bibliothèque nationale
» parle cit. hangîè»j „
I. Le premiet voyage est (résçurîem. Fait en
1443f 43 et 44, il eït antérieur à l'arrivée des'Pc^J
tugaii tous la conduite de Vaseo de Gana, qui u'etiL
par les Muiulmarri-Moghcls.sous la conduite de Ba-,
boùr, strier e p = tit-Êls de Tyniour ( Ta inet [an ) etf
15î4 de Père vulgaire. ■
CbahRckb , quatrième Eli deTytnour, régnait
avec éclat à Hé rat, capitale du üboraçaû, et il avait·"
soumis à son Empire la majeure partie de la Petits
de l'Inde et de la Tatarie. It envoyait des ambust
de s à tous les souvevains de l’Aric* Le cit. Laugier f
a publié en 17S8 les relations de celles des Indcrf
çi de la Chine ; il donne aujourd'hui telle qui J
gouvernait la plus grande partie de la pretqu idc 1
de l ïnde. Nous extrairons quelques articles remit' 1
quablcs.de ce voyage , qui n'eat pas susceptible *
¿'extrait. 1
L'ambassadeur Abd-Oâîriiâq, qui a écrit lut-même ,
Cette, relation , ¿6 rendît à Hormouz | Ormui] dont il I
fait une peinture qui donne une idée trés-awnU*
geuse du commerce et de la navigation des Indien*
avant l'arrivés der Européens. IJ y vit des liabitairfi
GOtrtjlC ME1,'. ÇPK PJ0L·'· L0!î4R··
( >4’ )
de toutes 1« contrées de rAsic,et même des ChU
■sois. Il s’embarqua A liotmoux, mais la mauvaise
mousson étant arrivée, il relâcha à Masqua t port
de I Arabie-heureuse , d'oi U sç rendit par terre à
Quryât , autre port de cette contrée. II y séjourna
long ictiu. A i’équinote du ptinttmt la chaleur y
était si grande, ri que la moelle baullhit dans les
si 03, et Içt perles dans leurs coquilles, et la Unie
a? des épée» fondait contînt de la cite dans le four*
La mousson étant arrivée , l'ambassadeur s'cnibarqu?
et te rendit en dix-huit jours û Kaltcur sut
la côte de Malabar. Lci Musulmans n'y étaient que
tolérés. Le tableau qu'il nous fait des habitais de
Malabar à cette époque est conforme à ce que nous
en ont dir Lime bot et tes anciens voyageurs européens
; mais il prouve l’ignorance de l’ambanadeur
persan, qui était un pieux Musulman, sur l'-cxls«
tente des Nègres, — Il yit à son débarquement un
peuple tel que l’imagination la plus fan ta« tique ne
pourrait eu concevoir tin semblable. IL rf aurait
jamais pensé qu’il dût y avoir dans le monde des
Sommes qui ressemblassent plutôt A des diables
qu'à des hommes. Ils étaient tous noir· et ü demi·.
nuis, n’ayant qu’un linge lté au milieu du corps,
lequel ne leur descendait que jusqu’aux genoux. Ils
tenaient d’une miiu un javelot indien brillant comme
unt goutte d'eau, et de l'autre un bouclier de peau
de betui- Ils ont tous le même costume, depuis h
roi jusqu’au dernier de ses sujets.
De Kjlicur l’anibassadeur alla par tuer et par
terre à Bisnagûr , dont le roi jouissair', Zselon
Or çinal Item
NEW ÏCRK PUBLIC LfBRARï
( H4 1 tr»Q récit, d'une puissance et de rich erses in- merises. — Ce toi a plus de mille elépham gTus comme des montagnes et semblables i des gémi· f— On garde ceux qui multiplient dans la premicrt et seconde enceintes dç la ville, suais séparés des autres. Ckstdi qu'ils font leurs peliti- Le roi t ni-, éléphant blanc d'une grosseur extraordinaire , qve. l'on promène devant lui tous'les matins, parcs qu'il* regarde sa présence comme un bon augure··..« Il* ont chacun une étable séparée., dont ks murai^i ■ont extrême ment fortes. On les lie pat le on mit du corps et par le côté avec des chaînes attachées m haut du plancher t nn let attache aussi pii les pied J, — Dans une grande fête ou Et faire aux ekphsm . des tour» $urprrnrns. On faisait mouler par cxrm- pie, un des plus gros éléphant sur une poutre » peine aiict large pont un seul de ses pieds,et iai laquelle cependant il les posait tou».quatre ; aior» il balançait u trompe en mesure avec b musique, Quelquefois on plaçait une poutre en travers d'i[n ¿norme poteau, à dix coudée« de terre, et l’on bail* ■ah une extiéruiié de cette poutre , l'éléphant l'fj plaçait. Aussi-tôt on l'enlevait avec des ton trop ci Jh; et on le balançait eu présence du souverain i réli·1 pliant, tantôt i terre , et tantôt à une grande bsU- leur, indiquait b meturc parles m-ou vente 3 s de son, corps e£ de ta trompe. ,
Ce récit de l'ambassadeur détruira les doutes que de· criiiques modernes ont élevé» sur lu véracité] de» anciens auteurs , icbtivcrnent à l’adrctM de*| éléphans. PI ne, Hiii. Natur. , liv. VIII : Séneque, dans la 8ie. Épîtrc tSuétOoç, daoi la Vie de Gal&a ?1 Vûpisiur ,.
•Zdq’Jl Ixtm
NEW ÏORK P JB UC UBRAJtf
Go gle
, t 145* t
VopÎjiHi , dam celle de Garin i Dica * dans celle
de Néron, etc. „citent des tours d'adrcatC non moins
jurpreriant. PJudeuri d'entre eux attestent mémo
avoir vu de« éiéphaos..te battre à volonté , comme
dei gladiateur*; prendre placé dam Jei banquet! ;
et danger mr la^cQïdc, d’où leur vint le su r g otti ,
J^vt^ar^bnH, Les témoignages de Bubeique ei.de phi·
sieur* autres voyageur* digue* di foi s sç^t iohÎ ctynÎQTrcts
aux récits do auteur« 4e l'antiquité.· '
—* Dïoj une audience, y arti cu bete ou introduisit
J'anabaitadeiir * dani un cübinet d'etwiron dix coudée*
en carré, dpnt Je.pJanther et les tnwts étaient
couvert« de hmcsr d or, attachées aprte dei clous du
mêipe itérai ; lw latita étaient épihio& comme le
do fi d’upc lame de sabre, li y.avait qtsfttre. tStTades ,
<-( le roi était sw.untrône dkîi »Cassi F·, d'une
igtandc beauté, pbeésu milieu de ^'tsuade* etc.
.·'. iVtlliam FianRin itami oflirt O! su in téméraire a U
ïçpgalc, fit en 1,787,0.88 Ain. voyage:<nzPetse , pone
fe.pçrjeiftiovinef fistia lari gue. des Persasi, et pour
pennvdre l'histoire., Ici ra«un çt !<* utageade cette
«afjnp. Cc voyage a été traduit d& l’auglaii par le
cit. i,,angEéj. Un séjour de huit.tç.<n.j à Çbyri*z, u?e
gfifvd-c familiarité avec Je* ttatutels* lui ont donné
ics tnçyeos dej reçueill r des cotions exactes et
digngj de pujuec la çufienile du lecteur« L’auteur
il rend à h poiqtede Qalk., port de ¡’hit; de Cey-
■bu : de là il reliche sur la côte de .Malabar à Goa,
capitile des établisicrnens portugais au-delà-du cap
dçtyoj me-Espérante.
Il décrit le riche tombeau de l’apôtre des Indes,
de Français Xavier, tpii.a été. apporté de Lit aonn«.
Tome XXX VL. K
ü- ltjiliu h o ni
NEW TClP.K PUBI IC l'iRRARÏ
fuá.) .
Il est dé mi'fbte noit, et î*on a sculpté sur les quatrt
-
faces les principale^ actions de h vie. Les fï^nrcl de ces hai-relíefs sont grandes ccnrmc nature t ct, dit le voyageur, très-bien exécuté et. Ce monument
. ic termine en pyramide ; le lomrnet.ell nurntonlc d'une t dutonne de mere» perles. D'eitcellentts peintures de malt rts italiens oràenl les miïr* de ia chapelle, qui a cflrhé des sommet immense«« Mars ¡’arsenal tombe tn1 ruine ; la Ville est sut.sou dëcîiti, «t peu eujhidiree des pilotes voisins« L'intolérante «t la «nportntion des habitant',,turrercis assez nombre me ,rn toile'qu'ils <m trouver« dam ce taoroetii t réduits àviJísges mal peuplé». La plupaii r ont été taptiste i «ar il* te permet lent ni mi Mu, »olma ni, nr'nasi Genio ix, <1< demeurer dans l’cn- teinte de letnvrnXirailler: <t péril nombre d'babî- tau* ne pdut iulfire à l'agrie uhtirt .y ni iué daanuke- ' j (utesdu pays- b* cour de Lisbonne est obligée ¿'envoyé* loüt ltt artt'dea-iiSmétívl'Éórisidikabies pour
: Jx> dépc»*t*du gbuvernemtnt Cet argent te* oédï- ' naireoeCnt la ptofo dt?s taioitfés'él'dcs sokfat». Si Fou
-
ne prend pn* di meilleures' theiSTCS', Gfla »'luéÎn- tit» d'ifi 1 ^tfeî^ue» rnniÎCT« ,J· '
ttaibbay es* ^no belie blé ét uri jiotf îhï^ornâti
' il· VieffF l'-ÿ établit des- m^téh^nd* des diffèrenIci paziiei du Hitan ,du 'Mfchbalr, de la côlt de Coro- □Siamlel el d» Gopaa-uate«'1 Pftbrtil tèitsl dé tl déf- niûre cxmtréé, 4>n trouve béatteewp de Pkrïys, rtsie de» ancien B Gntbtèi ou adüriteurJ du ftu¡ Ce strcL les cktcctidans det anciens naturels de-Il Pevst, qui. à l'époque de lsn^asioti dès Alumina an S , ai- nretcdt bfîèuv abnudooncr leur patrie qbe leur réli·
Goi jgle
Niur ÏOEK P'.IBl IC IIHRARV
£ion. Ils le réfugièrent dans l'Inde, où i)l cûmervent
Jii mctun, kl ùsi^C! et les superstitions de leur*
prrtï. La plupart des marchands et des valets du
pays professent cette religion ; ils sont trèi-TÎches
"¿’t entre prennent Louieî les espects de-négoce. Leur
ïefigitm s’est affaiblie dans la transmigration î il· retOûéaiiknt
^yoir adopté 4iIT4.cn> ürr s des Hiftdou«,
’prttSabkrnoTii p ar tomplaisançc envers les naturel?t
têt afin de se concilie* leur bienveillance.
’’ Dé Birrnbay, W, Ffloklin surgit à Mqsca t #n Arpïrieft?
i'étant'réuni a une caruvanite, il-se rendit
à Gtiyi&i , résidence du prince qui régnait en Perse,.
11'cohdatre la plus grande partie de son Ouvrage à
h description A cette ville *i célébré d'ans l'Asie^
E'fït 11capitale du Faisistan^ ou de la Perse prOprésent
dite < tll'c rit située dans une vallée très’
VaSté et tréS’fcrtik, et environnée de toute· parts
de fautes niofttagneîï La 'dreolifétenée est d'environ
déux lieues. Un des gtctOdi avantages de ce pays,
ci poiïr lequel le voyageur le préféré i tous ceux
ÿu'il connaît, c'est la sérénité des nuits , et la bémgtiA'de
la rosée >ï dàiigtereuie pat'-iout artleuti. Tl
tfy a pûiùt de loeéc à Cbyrâi pendant lLcié; dans les
Autres ' ttisons Hic est 'ftl!e , quarte Tante d’acier
. bien polie, exposée à l’air pendant Soute la üuit t
Vâ pas la ûioindre taché le Jtndéinblh matin. 'On
fiut retarder cette i^ichekibé de l'aiï, comme la
J „ » , 1 ' ..
principale cauie de ue durée des bâtimens
4n Petit t elle nous a edatervé, pendant plus dç
vikgt-tinq siècles, lés. célèbres ruines de Persépolis,
ïatn l’fetat où nous les voyons aujourd'hui, Gctte
qlr Go >gle □rtanoltom
NFWY-ORK PUBUC UBRARï
• k
(148) ■
ville fiait située dan* une vallée lembhblc à ce)t<
de Gbyrû, à deux journée» d'elle.
Au milieu de la ville s'élève une mosquée quarrêt,
appelléc le n^wtnu Timpli, quoiqu'elle ne toi*
pas moins ¡incicune que la ville mime. Son nom
est relatif à l'époque où les Musulman* l'y instüierent
« C’cit un bâtiment d'une grande étendue. A
droite et à gauche sont des oratoire* particuliers ,
remplir d'gnfcriplion* koufyqUçf , qui annoncent
seules 1'aadcnncic de l'édifice e car le tùufyque ttt
rancienac écriturc arabe, usitée depuis I'îd 700 de
- l'èrç vulgaire jusqu'en gââ, époque où ic ocsklty,
qui est un koujyqat embelli or perfectionné, fut i(iventé
et généralement adopté. U nç, grande terrasse,
où les Persans viennent matin ¿t soir faire leurs
prières, occupe le centre de la cour : elle peut
contenir plus dp deux cents personnpa^ cependant
deux, cyprès d'une grandeur extraordinaire la couvreur
de leur ombre. Les P ets ans assurent que ces
arbre; ont plut de sia cerna ans : on les nomme
PJwiini et la MarliWiC Le peuple kl regarde avec
la plus grande, vénération ; us grand nombre de dtr*
yychçs passe ni. les nuits sous leurs immenses branches,
et viennent encore , dit-on, s'y promener
après leur .mort. _
a sur. ks OikiUàüx , et sur l(y Persans particulière*
ment, un grand pouvoir. Autlï les poètes jouissent·
ils d'une grande considération à Cbyrâa ; et c'est
JJi»J Le pieuiicr est principalement connu
1 PUBLIC IIHH.ART
( H& :· .
par des odes ou chansons sur le vin et i’aiticuf : quoiqu'elles le ressentent souvent de 1a passion immodérée et de l'îvreisc de' Fauteur, on y trouve cependant des traits de génie admirables et des idées charmantes, M- Jüncs les a traduites en vers an gkif. Certains dévots musulmans regardent les transports amo ureuitdeHÆâ/z pour ses ru al tresse s et ses mignon», comme Ica élans d'une amt enflammée de Famour divin ; et ils les lisent pour ranimer leur fervent, C'est ainsi que les chrétiens mystiques voient un emblème 'de l'amour de J« G. pour son Eglise, dans le* élans amoureux de Salomon pour l’amante du Ganrigus dft Cantijvtr. On voit à deux milles de Chyrâz Je tombeau d’Hfti/îi , dans lin beau jardin. Pendant le printemi ét l'été, les hahitanl do Chyrài vieil tient visiter ce tombeau ; ils s'y amusent à fumer, à jouer idi échecs «■ on à lire les ouvrages du poète. g *
Ils en usent de même au tombeau de St*afy, qui est situé iu pied des montagne» qui bornent le ter· moire de Ghyrâ?. Ce poète florijsait il y a: environ SSo ans, et ses écrits jouissent encore d'une grande réputation parmi les Orientaux, tant pour leur mÎ-‘ rite littéraire que pour Ica excelles» préceptes qu'il» contiennent. Le nom de Stsady est beaucoup plus connu parmi'nous que ses ouvrages, qui nesont pas au-dessous de sa réputation.Noua a'ivon» qu'une traduction coiupleïte de son Gufir/dn ou Jardin de Roses , laquelle , dit le tit. Langlès, ne rend ni la physionomie, ni mime les idées du poète.
H y a un hôtel des Monnaies à Chyriî, iù l'on frappe des espece» (en *7(7 ) au càin de DjaTafet K 3
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Cnqlnnl trorri
NÉW YORK PUBLIC
.IBFÄ
' ( tS? )
KhÀn,. poiytJffar actuel de cette ville. Le procédé est fort. Mjnpte , et. est Je même dans presque touiu^ les viUes de L1O lient. .Oit place Je morceau d’or ou, i d’argent but uti coin préparé exprès : on frappe sur
- le métal avec un gros marteau, et la pitco te trouve battue. Les anciens employaient à peu-poès leménie', procédé ; c’est pourquoi Us deux empreintes ne IC trouvent presque jamais concentriques- '
Les observations de W, Franklin sur le caractère
1' I ■ ■ ■ ’ *
des Persans sont intéressâmes, parce qu'il a vécu dptitB* tjne familiarité intime avec çuk. Les Persans, iu os k$ juge d'après leur condtpçje exié^eurçi, |opj sans (optredit ¡es Pfjfiiicpi-dc l’Asie, Des rmvniçrct: grossières et insolentes an.eri les étrangers et ljfh Chrétiens caractérisent les Tuïis.p celles ^(w1PcfSï^ au contraire Ijûnoreriicin soute nation civil isé!\ Dqux, comtois , honnit es HjObj.i^ejrLï à l'égard, de. tous Jes ètrailgçra » iiin çs de ces préjugé.} religieux Si enracinas clice Les autresus cdma tu. ils &'iqfpçinent ^vec curiosité c|es maurt et. des usages d’Emope », <jt pay, yteorjnap&ance vQu$ instruis eut des Jeuts. Ils eiercept avec .empiresternept Kho^pkialité,,. La.ion- vcjîi^°P fies Pprsans es^pUfUe d’hypçrbqlçs. qu'ils, prodiguent .pour les moindres objets , de maniée* qu'pn étranger, non Unpli^Ué avec-leurs .ussg.e? *. i les erpir^it toujours pUtïi lui çoimcft^.J&Up hieiH , et Je.or^yjç^-,^4ais *e n'est absolument qu’un pro-, iocoU..æplçyë, nün.-seulemçrit Jes personnage» , de la pjfcini^ie qpdjîéj myps^Hppjre p*r Je plus mi-. | . aéra LU artÿ^q- guine Sjt lait pa^jcruptrle de Vû“* ;
offrit, à Yf^re.·»^»^ , h t^U gç.Çhyrû p<W piÉ- '
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* il—
Lej Persan» affectent de parler avec élégance, et te p Lisent à cntreAiêirr leurs diÎEdu'ri de passes dedifferem écrits de Jean meilleurs poète· > tels que Sa’adi, Hbâhi et Diimy, Ce goût pour le· ’ citations* est commun aux péri ont; es <e distinction: et aux gens de h lie du peuple , psjce que ceint qui »on! pas le talent de lire et d'écrit«, prolhem de h Lciliié de heur tnétqoir* , pour apprendre par tecur une foule, de morceaux lailhns, dout il« ' bide ut leur couve nation < ils aiepep,*, l>eaucQup à dire des bons-mots, et à faire des calembours. Ils jsneiit aussi quelquefois sur Ici mois avec beaucoup de finesse et d'ironie, J’ai sur-tout admiré dan» leur donvtrsition, leur étonnante attention pour celui qui parle; jimaii îline l'interrompent, pqur quelque nhon que ce soit.,.,.. Les Persans iotit les plus grands menteurs de la terre; ils débitent les plus ridicules faussetés avec une gravité inconcevable , rl te rûagissent pas quand On découvre leur im- postnre, et qu'ils >e voient-confondus; ils s'efforcent lien de tourner h chose eu pkjsanterie , el prétendent qu’il n'y a point dé honte à mentir, pouïvu ijoc le mensonge tourne* proti-
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NEW VORK ?UBL£C L'BRARY
VU A
De PjflfAflriJji il , po'tna irpfûoti ,
.Idalifi styto txarAittmy ttuumbriitùti Zurnirdi» ¿t cuLn
Fcneris Miltif film peracto , tit Àmatknntti Mptà
¡acellt jaMtijri et vulgavii Àthenis.·
Pariiiis t apud Afofoii, nia Üiilâ jWignt’Ji, Jn·®0·, orni'
d'une gravure finie, 3it pige». — P rix 15 tranti.
L’auteur de cet ouvrage, Fc cït*Pétît-Radeï, déjà ■·.
connu par d’autres qui ont pour but une plus gronde
utilité , offre le plan de celui'CÏ dont une ptéfice
qu’il intitule PrcjrtTiiHm. Dans un voyage de long
coûts, ayant séjourné trois ans aux isles, de France
et de la Réunion , y ayant habite le· mêmes lieux
où il vit la belle tléouore que Parny chanti autre'
fois, il fut sans doute inspiré par la ¡sienne qu'il a
tirée de j’oubli sous un nota emprunté du grec, cp
embellissant son histoire, ainsi qu’il est d'ordinaire
1 ceux qui vont le désaltérer aux eaux de 1’Htppo-
£tene> Aussi est-ce pour que ses secrets ne soient i
connm que d'un petit nombre, qu'il lespublie dans
la langue meiuréc de fan ci tune Home, et que dans
Toa exorde il dît t
ergo Jouit pereat jart* Jiifain« ¿s dur,
jjiii ÿalgi lingui nerterii ilhui «pus. ■
Au milieu des troubles qui accompagnèrent un* ;
régénération nouvelle dans les colonies françaises
qu'il a parcourues i occupé du maniement des irais
Ordinal from
NEW ¡fORK PUBLIC LIBRARY
. 1 1551.
que nécessitaient de» possessions qu'il fallait défendre , dp L’eitcrcke d'une profession pénible qui fournissiie à les beroins, et agité pat tous les hasirdi d'une navigation dans des climats eucoteplus loin." t»in» ; l'auteur, en s'occupant de cet ouvrage , n'a eu Sue 1’ intention de diminuer ses ennuis, «ans cependant chercher à les reverser sur auirui. Instruit par Feicemple, et devenu sage par lui , il ne vise point à une gloire durable, et c'est ce qu’il désigne pir le, passage suivant, ptit du Proloyitium, et le seul parmi d'autres morceaux soignés, que nous lapportCTOns^
, ■ ■ V ■ - 1 j
en monumenium tquiriem rtditu dirtltcrnikr tfre ,
Parctre cni srmptr tetrtii edtin. . .
sfitr ■■ ied quidam mijSiJflininûr oJia Jprri, Ni nnmrri rrcrwnt, Aii< nuAi jrrtfniir As««; ;
Fri legal in frefniîcui nuper Àptlla rtnidel ; f'ifgo mi adtieniu sollitiiaia -proci,
JV un Tnorflt c difur Jûtu Papille mta lemptft mjHo J’iijnr £rdd’, ukJitm Cjpridc danlt jtiHitit'
!> ' I . > I
Cependant il ajoute ce qui $uit :
■ é
.Paliraf Aiac «£rru fuhifuù firtl ifCipj ijur,
QuoJ vttiiet fetsan poti dtaif :
Chniitd n4»i ««rpra rrru DiHiMtd vrtusfa;, fxrritNFJH« datait Jlfijarail ÇfJV, fit tdffirJI i/o« JTtrmor regiu £r;ijfia V*tlJ j frritaj aui eiyùt, grafio ftiiM
' Noua engageons les amateurs des beautés de la poëiic ancienne de dûqûçr quelques heures de leurs ioiiirs à la lecture de ce poerne ; ils rassureront p'ar· eüx-mèmes cônühièni l'auteur a puisé dans de'lwmei
* c ■ 1 · » ' ; f * ■ ■ i, iF i . , 1 ‘ ■ ?. ■ ■J ‘■ e s
jDUICCls. - ■
Go* >gk
Crrlij|nr«l tfirn:
WFW YORK PUHl IC LIBFLARY
- -
1 1B4 )
. I S'C IÉNC fî s.
ZiçQNS iJÎjffïii/fljrfi de caltul,i fitid'ir &s Etales, par
C'S’vzAffD , instituteur au nftet/iemi arrondissement de
Paris. ItJ'i» de 1 s€pages. A Paris, chez l'auteur, nu
du hionceau-Gemais, n’, ri. L'an VI.'
la Seine a fait sur cet ouvrage un' rapport <jui l’a '
fait comprendre dans lçf ouvrages élémentaires deitinés
aux écofel primaires, et que nous rapporter!)ni'. ■
poui tenir heu d'extrait. — Le défaut de pretqûe '■
tout les éîtmcns de mathématiques vient de ct >
qu’on présente aux commerçons des idées trop gé- :
néral-séc». Jri ne peuvent embrasser toute l’étendue
de cci idées , parce qu’ils ne connaissent pas tous '
les ¿lé tu eus don# elles spnt composées. .L'atiteur de
ce| ouvrage a évite cet écueil ) pénétré des pria* ■J;
cipes de la plus Tsarire* théorie , if sait en cacher
»¿roiîcmcnt la profondeur, par la matqcie simple
dont il les présente. ' !
Un acte de birnraisance , de ti^nplei jeux d’en*
fans « la curiosité excitée , sont les moyens employés .
pour parverHr à la connaissance des quatre pfemiertf
réglés i elles tout expliquées avec clrité , et ittfr
tammeu! dé^dqppéjes ♦ tant sur Us nombres entiepi > .
que turks p^rtips. déçifuaks. Des applications lorf" .
jüiirn in lé resta ôtes, aux nouveau^ poi ds et aux a#»;
velles mesures ,ajquteut au mérite de ces élémenj. -
Ils sont termÎDÎs par une explication UC [te tlpri·
Got >gle •Zdtj-’jl Tnwn
NEW VCP.K P JB UC UBRARV
f iSS )
■ cil« dei rapports et dei proportion·. La maniere de
itou ver le terme qui jn initié’ tìant une proportion
jfoiiicniquc , est ingeniememaut déduite des pria*
ripes de La divi »ioti. On voit avec •aliifaction, daxilr
un ouvrage élémentaire d'arithmétique * l'LitilUt de.
ettntuericcr par indiquer les opération] a fairet
de parvenir plw facilement à le» simplifier. ■
CHANT SÉCÜLAÏSE {il.
1
etOLostix.
:l 1 ÏQ74NÏS , Loia d’eti : venti, tende; jeunes*? c
Le potuife du dieu des feu
: Va faire entendre , en ¿e jour d aïkgi tjse .
. n« i cent înmùnna envoie· â l'univer·.
- QjK le peuple en silente êeo-utc tjo* konctrt· !
(i) Cette uaductïuu , Taite per 1= cir. O* tu, a été daouî· \
pur être c baut ce aux, fêtes de h Liberté. O· verrrqne le
Inducteur a suivi ['cpinion du P. Sanadon, *or h cdritex-
Lie dr ce poënte, en y apportant ciati moins quelque» chan-
■ letnetis.. IL Fait, comme lui, un prologue de ce buq ÇrL1''i
min ; üJr mdfutjrt iijus, que l'on a, mi* i la ret
' it Tode Ht garrì Il pince ensuite avec pitia d*
nuou que Sanadon, qui [’¡ivait nul a la fin, cfütbtlle ex-
SaiUiion mjt choeurt de bleu chauler lei louanges de* dieux,
ihniiin P/ta’ìmr ntii), Ph.fin. artm· La plue; de cfcs quatre
Itllea itropbet du même riiluue que l'ode Dit/ jum piolet »
■ ■ tntldire envers ssphiqiiii, êuit naiurdletncut eu lit'4 de'
■ t<l bymne. Enfia , ou t'apperCCv: a qu'oit a fait dans Ce
. ,[1 i'oi pures c cnn nia ride ss par k cita Digest ut Jt circonstance ·'
i[ de lituaiiaQ. ...
Uiciii Gov gk NpwTnn.K pun. je 110 RjÆ.y
7
(ï5fi J
Âi FflUti/e.
Fbébus, le dieu du Pi ride , inspire won génie';
.11 m'apprit 1 piller le langage des dieux :
Ven« » et iecnndci mes chaati religietrx,
Enfin* du plus beau sang qn’houoie l'Ausonie.
Et nom , von* que ehrTit J» reine de Dêlo* t
Qui roit Je daim tomber sbus Te trait qu'elle lance,
Jeune* vierges, chante a, observe* Ucadcn.ee
De eei ven qu'inventa [a mute de Lesbos.
Chanter ¿‘au coeur pieux le beau £ls de Latcpe ;
Chanter avec respect la déesse des bois ■,
Qui protégé nos champs, qui rame ne les uoîst
Et qui, pendant la nuit, de rayons se contenue^
Un jour du chaste hymen ayant subi [es lois.
Voue diret : Je. chantai, dam le; jeux swuhirei ,
Un hymne iokmnel qui plut aux dieux prospères ,
Il La lyre d'Horace accompagnait ma voit-
HYMNE A APOLLONLes
de»« ÎAva/r,
O dieu puissant du Pinde, immortel Apollon „ 'J
Qui perças de Tes traits le coupable Titye ,
Ta sus de Niobé punir l'orgueil impie r
Te ce héros qui fit chanceler [lion ! -
Vainement il était du sang d'une déesse f
Sa laute -fortrtidàble ¿branlait les remparts :
l,e plus vaillant des Grecs, le favori de Mars ,
Dés qu'il t'osa braver„ reconnut sa faiblesse. ...
t ' * * * * * *
Toi qui dans le Sitbés lave; 1«! blauds dit veux,
mnjr.ii nrr^i
Nr W YQffK PIJîSl IC I tHRARK
I . , ( 157 )
vQbì rejlei de* stuf idruri b divine harmonic ,
ÌAtcorde qudqu« glqjte ahi matti ¿'Antonie,
Jenac ci bit Apollon tuii^ptOpice i noi laut,
£knr de jtutu fCTf»;»
Chan tei Diane, t ehirnianiei Romaines !
Cittì de jttnrtt JìUtL.
Chanter , jeunti Romain·, Phébu» lux löpgi cbcveux i
Zjj dtitx Chttrt^
li Lalone ai illese au touveraìn dea dienti,
CAlTut dejeuner gaffom^
Chinici Diane j elle line lei rontainee «
It du voir Apennin hi ¿palliti Fortt* , La frakhcur de l'Al^ide et let 'tint* bosquet*.
* ■
(far de jmei fillip ,.
. . .
V··«; ctfibrtx Tempi, nt·· plaint chuminte ,
Et Déìot, ce rivale cù Pliébui vii le jour ,
Ce taxquoi* d'or , paruri è bl cult sanie t
E-i certa Jyre w- puimotr ,
■ C*gt ditti duo friiernci amour.
■ . , ,"' i . . , 7
Let deut Chauri.
0 blond P Ik bus. et wui diviniti* dee boi* ,
Aldi e u* orme meu l de la voür« nurée ,
0 Fainilk «doublé ei toujoors aderte , t '
Dm <e jour iole mnel entetidei no.trc voi*. i
CbtiiMur au* «fi <ec<ibyll« iirhju, - Lr* jeutic* eierjes de era liti!*, -,
Din jtuafi Ruiuiin* verni celebrar Lei diro*
i Qui. prott^eAi hi arpi «olEnej.
■ Goggle
CirinrJl to'nr
NEWVQHK PU6IJC linnAA
( *«*)
i.'wtir rfi jeunes garçqnr.
Suïei! , doEll le char éditant
Dispeijïe ci ravit la lumière
Tu renais iüu$ |h jeun t ioLi0 1er jours digèrent.
Mai* avec ta clarté première.
Chrur de jeunes Jiïla.
£t vous , charte Latin*, ou propice ïlilhi* ,
Secoure« [ajiiijtl'e'li'faLtié·, '
¿OUI le «tin.v* doeuior la *i*
Ah Fruit de arm amour qu'elle « long*tems porté« .
Déeste , de rhymea soyet la protectrice.;
Mainte ne? le décret^propice
Auk vierge! qui foraient $eg osbids !
Puitie Roiae,-«»! Vtjtre auipite ,
Voir bieoiâtd»«J «tu'rein naître uupeupl* 1
’ Xfi Ainr (foin. '
a + * + » * _ · h * * *
Que la terte aux troupeï^MüFre« (leyprAr fcittit}« ■
Puissent du labouTepr lejs charuptromljler Ici veux ,
Ocrer d'épis düb-çj courçniwr t£l cheveu b t
Et 1er brtbu timidei
Respirer un air pur, Loire des eaua I amp ïdei I ' ‘
Cùçv dejr^l fjfÿWf.
Dépose ton en quoi s et ton ire rtddvii' '
Plit'htu, dingue uiriwtt) j|)tt*f *n *d de pejey
Clievr je jeunes foies.
Et vous, reine dn eieux, au croissant ¿r|ienté,
Des üUca dci Rontiinr rcoutet liÿrur*.
NEW VQFtK PUBLIC! [BRAHÏ
( }
' de** Chttars.
t
■I « * I » i * ■ f _ ■
Dieux protecteurs, donner des tuoturs ti des vertu·
A Btstre dodie jeuncue ?
Accordes, le Tepo^ À 1« froide tïcilltMÇ., ' Le bouiiciir et El gloire auï fils, de Romulus.
Les Medes , elTriryii pir V» os' hithei stti gîin'ifer, Redoutent ce vainpieur de la terre et des fldti- Lli nations de^rtlade, iirrefûij inso ternes , * Attendent to tremblant L’prjxc ,dr cç Réros,.
La Vertu wieonnnt et l'an stftç Di et ntt
Osent reparaître en >cé* Jiëtix'1 ' ' »
Et nie lient l’heureuse Abondance.. -
·..·«. H1 ' ".............'
*’* ·**■·*►■ .
. . , . ■ < tjr - ■ <■· ! -Il
Jupiter nom protege, oui, il feu crois mon ctenr, Nos vrtu* de« InttabttelïîebiiMnieflt'Ip démence : '
Nous venons 4edlntiifTie|t Phébur «tin» «4ur f-J ' !
Au sein de □£!fpydrL FtnpottKil· lïipfaniHet " . ■
Le dt. LebfÜn a jôîat à ctl hymne un chant duhyramM^'K ' 1 ■■■ -' ■·
■ l ti v’ '.· ■'- '1 -L‘
CHANT »ITHÏRAMBKIUEî
Réveille toi , lyre d'Orphii , 1.....................
ua^v-iai^x■ concepts j ,/■
Jnmi:«, spçj'jfpy dtfAlpUi.c , , i. ¡. . ;
Pindare oc tiictmjih.ef pluf.çhflES j . J
J.atlll plu* ,. '
N’eppeU·, sur ooT bords les jcmtrfft. r#- .. !
France heflWrtiÎ', {[utile èiiii î '
T» vois les r Le fi-d’eruvr* fiel AÏÎi\T
G jircff
Go gle
r>luiiï*l ft iri|
KEW YQP.IC PI.'fît IC IIFIHÂRY
Cciaquii ici miinj de Victoire t
Embellir tei nobles remplit*.
D»na ta cotiue immriiie « Féconde
Le Soleil même r*t bei de loti augure i*p?ct.
C'en de toi ^ue jorrit la liberté du monde ■,
Et le monde vengé t'admire avec re*pecu
Dr ton chir iaimOiie] pi-iiide â cette Fête fe
Dieu du Jour et fkt-Àru, radieux ÆpoHput
Diiçne de marcher é leur rëte, ,„
Reconnaît le viî«xquanr de l'horrible Pytlfnib.
■ . . J - , A volet me iu paijlès Musei ctidpressé'ei 1
Viennent l'ofQvJ rçns (cioiporta. .. (( ..
La Nature, le* Art*. le Pÿjprdti jet}»«,* ,
Qji'une main Je!- atrpcéu/
Dr leur triple tütrqurt« cnHchiiatnt no» bord»«,
FrifiCr heurtura, etc. ttf*
, .* 1.4«.·:· . t- . e:,h i
Dr tilt ne riîMrah ^b«Ht fcnlerivata !~_n!
Guider, nur dApnTiso,.ttn carteçmcübeata tri r;
UOiynrp c cü eit^-iJqifcK. rien tjui- l'égal», di
Derint leur mardis triomphale
Li Jgiit 4<rft fljltlbèaft.'1 1 W / H
France heureuit ,
.Beaux Ai ta, tüîi üu»éééftiV¥, honneur de H Patrie j
l.r«r <iône ut ibutif, leur ttlFuioirtr irtfiétric :' 1
Pc F un ai orta lit t *ublimrF?bnqtirraQi4 ■* ■
La vôtre CRi jlréHrblïHr. ’ '
VrtU dam kiv p*l*u fUijcidtc auj. lyratu. , , .>
> rance UuieuuA jfc.
Crût ‘gk NFWYOR» -J.·! i l'-il.’.l.f
Jidii t«* meritili «i divioet
lia·* In «altviil lik Grtu inddlniut i y
Et (Ldi I* ville »u* iept colUon .
ftotre Mit» cakvicei farcini giontur.
Rkhr dei depennile» du Tibré ,
Li Scînc uiompk*tite ci libre
Four jtmm le» offre A no» y eut
Du bonheur de» Friupi» que Rom* u cóotokt
kaar « viidcu p*r uùui le poniiÎe *t L'idalt j
Sou «fi rmtKiti y
fct lai fall de Brume* rend e ut k G»pi tôt*
A ion «nliqoe liberté.
France heurcuie > etc. tta
POESIE.
LA MESSE DE L'ÉVÈQ^Ul.
a I pitie-leali, uiériqUe, in
Cdébrut. 4 voi· bine, un de no* grtadl ■nptcr«K
Artide i Vivandile un e jeune culo «
Qve l'irpoót da »«lui iloti n’oc capili jaerei.
'D ibord. unumure rourd, pulì »eludile ei grimi tritii i
Cèuit d qui k mlcux lorgoertit h priucc»*· ;
Lon monieigncur ie «¡urne, iDlhmnu de dépit, «
A voir »atre in ¿¿ceti et, en emendine mi mette ,
li ittbbkiùt, meiiitu?» > quau liqdiii verni la dii.
r GuìLLIMàÌD,
f¿^Jrtdtitfi du Logcrjriphc du N< 3t.
Le mai ul Ftltc t dm* lequel an irour* É«k (Dïiu de»
retm ), ki, JW , fait, lit.
xxxn. t
»
Goi glc
(îfia )
SPECTACLES, ,
ΐ F ,
T H S Λ T K I ù I L A . R U «. H T D ï * Ui
' ' I ' L ' '
Ce théâtre vient de remettre ίου« Ιό ynpt du publie trn
Joli ouvTijt , dont on était privé depuis lo lig-ieins, Îl-ua*
' voulons parler des Jnii Λ , comédie eu- trois vie»
et en vert « du cit. PiurU, antetry des i'ifiljutiiit« et de
Mêàiocr* et Ham^dni. Cette pièce , dotinée m théâtre de la
République dan» Je coure de primaire an IV , et dont notu
rendîmes compte lion , eut un staeci» mérité, Je premier
Acte tur-toui , offrant une suite preique continuelle de tir
btcaux agréables, de détail· pleins de naturel,de comique
et dt vérité, soute L»ue p±r 1« charme d'un dialogue piquant
et d'une »etsifieâilon facile ,. avait’Ttuui tour les suffriges.
Il était bien difficile de te soutenir à ce degré de mérite
ptndiQtlei deux drrûirr» actes, «et outrage ur lepusant'pas
aur la farte de ton nitrigue , mai» jur les détail· l'ésuliius
du eontrasi e c t j b I i entre i es tr ai s a m i s d 11 ou ί I ég,, d î·1 a i l· pr es·
qu'entière ment épuisés au premier acte ; ici deux drraitii
. parurent donc iuégaox. dans leur pmpoTiivn avec k premier,
et réellement inférieurs tptui à la caudint?, et mime
quint i l'exécution*. L'effet, î la reprise ,·. a été lé même
que dans i* neuveaule d« cette comédie· Apres cette oV
xcrviiion générait, noua ne desirbfk parler que de b
tainiese vraiment rem ai quible dont ¿Fie es(· jouée. ■ 1
Baptiste aîné, dans le rôle du poëit, a tout l'euthou*
tiatme , toute l'in dépendance'd'un jeune favori des mutes,
qui ne peut laisser tomber sur sri affairés domestiques,
aur ses intérêts personnels . des t égards aant cesse rlever -
vers la palme qu'il dtipre. Sa trie., son miltade jom bien 1
celte« d'un artiste. Le féu de ses yeux , la valubif.itr de
» 'dtedon , It détordre de sis gestes, l'abandon heureux
auquel il ic livre ditn l'iihpTtnion de ün indignation ou
de sa joie, soit qu'il serre dans ses l>ras mu camarade
■fidcle , Mit qu'il repousse des dons mal offerts, suit
qu'il pÎrdpnne A un ami qui L a metennu , dés que rtl
3?ii devient maiheut-eirï, totit teta est d’uii poste et d'un
bûn caur- Les autres acteurs ni méritent pas moins dé-
■Jcijrs, Cusinielit exprimer Je degré de vérité auquel Ditgaacni
est pUrveiiu , dan» le râle du vieux profestear
rhétorique. Di tons [ce iuti l'indiquera peol-être), qu<
choqué spectateur. »'écrit qu’ii reconnaît eu lui le mante
□rusnai Tu-1
NEW ÏORK PUBLIC UBEWRÏ
( *63 1
áojrt t lès. faaíií iTivÊi Jídí m siçuujir*-y fútil coniirvi» depuis l'enfance. , ' ■
Micliot est o> o« petit pas mieujt .pfact daifa" tt- <âh;44 l'art! S SU". Ce rbltotftc U£ çcjlltraJte parfaitement établi, £e . Jc-tlrtc UerviUe a dei manieres , du. jargon, de la fatuïlt> le ptlêti , du brillant, de 11 Vlfve , de l'c± alta lion ; ¡e vieux proAimr, un reste dï pédaiui>tne ¡ le btui Robert' 1 1 tune» i cm ii fall a né tiiltii'ejlc, ifo tact ïüi','urte dé lítate ifo tfout - ton tueur »edi lid », d<iiine des IccoBt ! chique j-a-ui le fût nie ; il ■¿«îl· faillie êcolitr1, tuais le sens cher lt*í était ¿ ■ i>in droit tfne Vaine pure t »cl momeiu de loisir ont Consactei. à Vcindé , et.Ion japperait- qui V exemple percude J Nu-J icque» , il a i|Lielqtit,tcJii quitté la litr.e 00.1* .
rxbfl·, pjui hrt dut page de Plutarque. Ce lûié tracé .de, la m^nteri là plu« hevtenis , eft joué àuiai 'parfaite me ut que l adtcvr pimviit deiiicr qu'il le lui. - ,
La citoyenne Miserai, en te chargeant du fsetit rSlè de ij fútil r du poete, 3 tétneigne une ¡riten ti On dont Ortdúífc lus savoir gré, celle de donner ud nanvd éclat aux n-1 bfoailX du. prender t| te , Utl iiùovUik prix A fa repréeeo* r Luron de Ifouvraae, Le rôle de Dei ville convenait bien itp physique ait ré ah le ^.iiiTiitid, Ce jeune acte or ■ en aç<]üiittJ Avec iiitel ligt ncé. Au tulal, cette reprise a lait lt pi»? grand pfajiir î <-ile en un signe d'eiàitoliragxrtné*! pour le* jtunea · Anletirs, ainfi que plusieurs autres qu'on préparé aq:inin}··· thèïfrê i son luciçl cil une preuve que retigouenfaui pas* saj-er pbdr tout lés spe-ctatl« éxmprciïnaires ne peut être ton fondu avec le goût rréi du public , qui atcueiile et applaudit erttMT-e avec recûnoatsssuce cti productions duel i i'imùation des bous modeles, aux leçons coniiammené refpfciables de» maîtres de l'art dr-oinü tique. 1 1
A S N O Ñ C È;
£cj Aífocéí il hfj Trimjifriet de Parti, ou histoire d'ufl nouveau débarqué, iciite par foi-même ; contenant fai ruseê qui ]ti intii^atii, les fifoux , le* petit» rtiirrhinds, cerJ faines jolies fenunel, etc,, nie lie ci c >rü mu nena eut en usage pour trcliiper le» geni limpies cl lea ci rangers : ouvrage rédige par P. J B- Ncmgarct. Trpis volutuei tn-iS, avec heures. Prix , 5 fr- si cent. ; et 3 fi. par fa poste , <ri ¿fa íratiL-foisañt la lettie d’ïvis et t argent, A Paris, chez ,’<u- Uur, rue des Petiti-A'içiiititfa , lift 9; Destitue, au-Falafa-■ RgjJiné; ci R ou donne au et compagnie, plies du Carrons c fa ' t 1
Goi >gte
( >64)
.NOUVELLES ÉTRANGÈRES.
' ÉTATS-UNIS D'ÂMÉRl^UK.
Z)< Xrui-Terri , le i //¡¿rtnîJûr a» yit
L· général Marshall qui avait été envoyé i P a ri» ca
qualité de ministre plénipotentiaire des Etats-Un*,
vient d'trrivçiî il a été escorté depuis le lieu deToti
débarquement jutqa'â Philadelphie, par la cavalerie
delà ville qui fermait ioa cortège. On a député à
Ma rencontre le *ecrétaire d'Etat. Son arrivée danl
Philadelphie a été une entrée triomphale· Il a éié
teçu iu milieu des acchmariouj, au ton de» cio*
che4rqui indiquaient a»iez la joie et l'esprit public
de la nation,
'Le gouvernement va faire imprimer et distribuer
au nombre de dixmitie exemplaires, des copies des
dépêche» de nos envoyés à Paris.
Le»»ouicripciütH volontaires pour la construction
des vaine aux qu’on donne au gouvernement, sc
montent déjà à ïco mille dollars; cil ci iront ttrlai-
«tment A un million·
( TliIu^uie, De Semtin t if t tketmid$rt
f Te eapitan pacha, malgré le dernier échec épwiîvé
par l'armée de siege, est parvenu à rallier ses troupes,
qui d iilleurs ont été grossies par l'arrivée de nouveaux
corps d'Asiatique». Non-seulement il a reprit
toutes ici positionsen avant de Widdin Í sur la rire
droite du Danube , mais il a fait passer le fleuve au
corps d'arméecouxmandé par Alo-pacha, ^eglietbey
de Romélie , qui s’esr établi dans Píale au-dessous
de Widdtn, et occupe un camp assez, fort sur la rive
gauche du Danube, pré» de Kaltfat en Valachk, Fai
ni ■ ¡i i f
kFW ÏCRî: PUBLJC 1 IRftARY
I
J ' L·« >
cette opération, Pajswau-Ogla «e trouve l-pcu-prèi bloque dans Widdin , par. l'une et l'autre rive du -■ Danube j mars il a aussi l'avantage de pouvoir attaquer séparément, avec lemtt» set forets, l’an de» deux corps d'armée de siège, ayant que l'autre ait pu lui porter du secourt,
Svebé. De Sttritafri, le s thermidor.
D'après des nouvelles officielle« reçue» d'Abrefor» et des ,· frontières runes, tes Suédois établi* en Rafale , et qui étaient rentrés en Suède pour y faire un court séjour, soit pour visiter leurs paient, »oit pour régler quelques affaires, nç peuvent plus retourner en Russie, malgté les pàisc-posti dont il» s'étaient pourvus. .
Allemaosi. De RalitbWHi le 14 thermiel»?.
On voit la finesse de la politique prussienne, qui a tu attirer à Berlin les négociation* importante» qui décideront de ¡a paix uu de La guérie.
Quoique Ici membres de la dicte, compté» presque pour rien , ne soient point initié» au secret de la mi»- »ion du comte de CobenUel, ils dsccoidcnt à croire Sue l'Autriche »’«Force , non d'entraîner la P rus 14 ans une nouvellç guerre ( elle sût que *ùs tïoin leratent inutile*); mais de l'engager à tenir -enven la France un langage plu» ferme.
Le» préparatif» des Âut kbiens sont très actifs dan* nos environ», Leur armée campe déjà rn petits corp» scpat«| ; mais les grand« camp» semât établi» pour la r mois prochain, à Au gi b Dur g, Donawert, et pré» de notre ville. _
I.a noblesse de Bohême et ¿'Autriche , ¿ion que le baut-clergc, paraissent très-portéi pour la gutm. La Hongrie annonce, 3u contraire"', de» iEric micro* pacifiques.
De Îltffadi, le 1S tàermtiiar.
La députation de l’Empire a enfin renonce ou an moins différé de prétenter un projet complet d· 1 3
>
Got 'gte
□rjpnai ftorn
NhW YOflK PUBLIC L
f T 66 J
clk · en eontéquence délibéré, dao> » liante d'hier, tar 1* dernier« acte français«.
Avant cette séance, ip comte Lehrbàch, minittre de l'ernpercm^ aTiit reçu un courieT de Vienne^ qui jui apprit que le cquiU de Cobçntïei était parti pour Bcilin et-Pétettbpurg, <
'Le vole que Ce ministre a donné dipt Cqltc séio- ' fp , îâfa ubi doute très-remarquable.
Le conflfurtfra rie sera entièrement ïédigé qu'aprèi .demain, et contiendra probablement les ¡sept article« >uivini, comme répons« aux tept pajnus de la det- pieiç aQte française.' ,
1“. Li liberté de h'ditigalion do fthin , h juppreidofl 'Ji*»jpéigpi dp Rbi^-dei dnjts d'éltp«· , et dtr: tributs dei j^strlÙTi seront aacwdç*- -
S®, 1 ¡île Sjini-P<eri-* s*ra refînée , parer qu’elle est trop pié: dé la fit’e drorle du Klnn.
3S. ■ Eh. .inbreÎMciu dot-rire tiré miis'l couÜJtrün quth ^France renoncera à toutes ws nictputioul jjur.ia.rive Jrciit 'iftl ' Rhin . '
4?. Chaque s eu venin süarnand uni« maître d’établir oa de U1" pat établir îiji' lf>i) territoire des'pût)ri cû<T>filertziauït -^•T«i(j4, Q_çnut i lare-siitHUon à latte i l'orilrt bquetm -¿t rEti,pirer«i am dette« greyéti nir in iÎvè giuehr du Rhitx, ja députation peiinte ilsteisea précédentes LécliTiticnv L -. 7 0: . La p ro poi i lio n ooneer r: an t les a tit re s répnh ligtie«. c t tout les italienne, d*ii 4lTC faite d'une autre pût ( par jTeitiptrtür et h cliete p a^m que la dcpntitïoh punit y rê- poudre. Quant au FiieElhal, cet objet n'tjt pus de là cctn- jictïnce ds ià-deputation , parce qu'il ttt fait pas partit de ti jlfé gauche du Rhin, et q<i il appartient à l'empereur.
ci Les bruits de guerre acquicjrent de joui enj>nr ¿jlu» de probabilité , sur-tout par rapport an voyage dircomte deCobenUel 4 Peters b oing, L ltalje poum 4>i<n en dfvcnii ie îtiéiirc,
, 1 Empire germanique 1 déjà trop souffert pourn »-
flfpir paç appcis à être prude tu.
RÉPCIBlTQIJE HELyÎTtQüf, Dblrflli, ie J 8 iLcmtdflA
Depuis quelque lemi il y a beaucoup de motiveuiens parmi 4fî fwjpcs [raupifts ça Sp^e. Un* gt^departie vaiormer
Gût !gk
Dr-jin.il ni'-fii
üfW ÏGRK PUBLIC LISRARY
V
C 167 > ’
différent ctmpi, pour n« pat Être à la' chirge de an! conci·
tLiycni, ■
Si on en croit le bruit qui coliti ici , l’ordre est arnti au
quar ier-générai de Berne de faire marcher tin corpi de
Lroupeì fra n ( a i g es dan* le- payi de» G risoti*, dont la majoriié
des -habilan» /est déclinée pour I acceptation de la couililuuon
ci la réunion à la République Hetvéiiqcie,■ *
Le parti ami-helvétique »‘agite beiucodji nprìsd» miniiùu
impérial , baron de Krt»mhal4 ptjur être appuyé par la mai·
ion d'Autriche ; ni <311 prétend qif il a L1 espoir de L'être. {Te*t
«Taprò cette rsïinri qnt lei Franpii paneront da tu le pey*
■de» Grufili* pour touienir le parti qui a voté La réunion <
4’ H cive lie. C'en eu même tenu une meaure de anreti, parce
qu'ça apprend de tom I·· tâtés que L'Aniricheferme on nom*
Sireux corpi de troupe* tur le« frontiere« de h Subie , et
qu’elle occupe le« passages qui coudoiieni en Valici (ne et
chez Je* G rii orli. Il est même quei lion défaire marcher de«
trOnpei françaises tur la partie du Rhin qui sépare La Suisse
du TyroJ. .
BÉpueuçui Balavé. De ia Haye^ It t® lArrnu'Æjf.
La eomutntIon eu lancée t imî* qui peut prévoir ton·
ment «lie ini; celi dépend beaucoup de la mmi«livre , aujlaut
de* pilotes, On doit lûue peu Dominer Je* cinq directeur
j; Cil Craint bien qu'ils ne soient point snsji énergiques
' que Le demantknr leu ci reo cerati«*. IL est -çtpeadam ceraaiq-
qu'il faut de ir vigne tir pour compri per J» parti· «1 '
Faire aller La ebeut. Le*, anarchiste* ont un peu remué data*
ce* dernier* icjd*. Il* ont dénoncé an nouveau Cürpt.légistatif
le Directoire intermediaire., aiuti que bamdels·
Le Directoire a présenté un compie. de *3 gestion depul*
le 111 jiiiu , et une tcuardiisiou ttt chargée 4e T examiner t
ainsi que la pétiiicn de* citoyen* qui *c plaigne·! de «od
idmini.it ia tion. ■ .
Il n’y a point de doute que l* Corps léglilaiff ti'approuv*
tain ce qui aeit fait, malgré Tirrégnlltàté de* fatene*. Où
petite que la seconde me sort qui sera pri*e sera une un-
Disile générale pour tou» délits «datili aux événemen* dont
çe pays 3 été le théâtre depuis deux ont.-Qn n’i pas encore
été 1 môme de ]üget ta physionoqiie de celle légiila·
iloti ; dit tira indubitablement fort aage et fort paisible,
. Elle va iqccuper d’exéenter Les difTéfetii article* de la c-on*-
litutiun iclauti 4 l'idmiDÙtiatian iAitcrj,eurc nuis <tn craint
- 1 i
Gtx gît
« ( 16S )
ne a o Μ te de I» faible**« T de Ii puiil liai mité . «»
5 ne donne trop peut-être diut le ey île me d'tt**rtiq
qui ■ précédé le »4 janvier, Tout dépendre au inipltH, «fl
grand« partie , du choie du Dire claire. exécutif·
Italie. J)t Fttiiii, U 19 ittwiiJur.
O· 1 par 1* canal de* thevalier» de Malle arrivée
dtToieretnejit tu Italie t quelque! détail* inr 1« cire o b**·
tance* qui ont g) recédé la reduitino de etu«. i*le. 11 e·* rétull*
que dés la prêt·!«« Htlqüt , 1«( Franfri* l'uopirtttfni
(Ht reiûlaiice dnu de» fort» t qu'une partie de» cheviller*
frtnçiiti, qui fnrmaitti: le pk» grand nembre de» chn»-
Her» exittMU i Malt*, fi qtù depuii long.tem* avaient té.
cnolgué du mécontente rneiit tut la nomination du grand,
mai ire actuel, atwtracèrent d'abord leur répugnance à cooejraitre
leur* coin patrie»«, et qu'il* furent en cela imite*
par Je* cbtvalieri eipagnol·, qui ce piéyaluret» de l'alliance
aubiiaunre cotre U France et l'Espagne l que pluiienr* de*r
cheviller* italien·, de* pay» occupé» par le» trbnpel Frin»
fai*«*, atmoptareui le même éloignement â »e dcféudr*
ftmire le· Franfiii’, iou* alléguant d*rilleur*.que la gamrioii
n'éiait pu ai»er ttombreuae , et manquait sur-tou» de ca.
noonjer» ; qu’en fin il u'y «ait dan» J’iite que douce ou ,
qumie chevalier* allemand* , et qu'il» ne furent accoudé» ■
que par Ut» tryi-petu, nombre de chevalier* de· autre» O*,
(ton*, dan» li «ortie qu'il» testèrent aao» auccé».
Toici le texte de la capitulation de Malte, qu’on ne etmm
»*aîc jutqu'é prêtent que par de* mraii* iucotnplei*-
*1 Contention entre la République Franpue , repréten.
tée par le cit. Bonapirte , général eu chef, d'une part; é* .
l’ordre de» chevidaii de Si. Jean de Jérusalem ,· rtpré-
4*Dté par 1< biillj de Tolino Frit*ri , Je commandeur ¿0*.
jftdon de Bmiijat, le dûc tur Nicoli» MiUcit, l’cvoeai Be.
nwt âcbtmhri et le r&nseditr Bnm'antio, d’auire part: tou»
1* méditation de S, M. C. le roi d'Espagne, représenté par
Je chevalier Philippe A mal, ton chargé d’affaire*. -
» Art. lar. Les chevalier* de l'ordre de St. Jean de Jéru.
«1cm remet tient i L'année (rinçait* ta ville et les fort*
de Malte. Il» renoncent, en faveur de Ja République Fraofût,
ans droit* de louVenineté et de propriété qu'il» ont,
uni *nr cette 1*1« que mr h» i»kt de Coeo et de Camino. -
»* IL La République ïranfliie emploiera *on ioSuenee m
congrè» de Rasiadt y pour procurer an gTtad· maître, *a rit* "
duiiot, hoc priocipiutt crurale ute i celte qull perdit
Got igle NFWÏORKPIIBLIC I.IHfiftH'
{ i6g ) ■
n atieti liant, elfe s'engage à lui faire une pension annuelle té 3 oe.'Oÿr Fr» ; et il lui acta douni en outre la-valeur de» leu* aitnees de b jusdite peur ion , i ticrfc d indemnité ponr on tncbili«r. IL conservera , pendant iout le rem qu'il Tester* ' k Mille , les honneurs militiiTts dont ¡ta jou» prccédemrneni, *» IlL Le* chevaliers de l'ordre de St- Jean de Jérnia- ,em cjui e<snt Français , actuellement i Malte , et des-quclc il sera pris note par le génétil'en chef, pourront rentrer dam lent- patrie, et leur résidence i Malte serti Lousidéiée rOmmç une résidente en France» La République Français* emploiera «et bons offices auprès de* République* Cis*l- pâttt 4 Ligurienne, Romaine et Helvétique , pour que lç présenl article «oit déclaré commun atix chevaliers de' cei differentes nations,
>1 IV* La République Française fera une pension de 7-00 fri aux c ht va fiers françflh actuellement i Malte , !euT vie durant- Cette pension sera de iuOO fr. pour les chevalier« »exagénaires et au - dessn». Ij République Française tm- Îloifln se* bon* ofiett auprès de* Républiques Cisalpine, .ig mienne , Romaine «1 Helvétique, pour qu elfes accordent la tuèrne pension aux chevaliers de tes différences nariçpj, iss V-.La République- FrancDise emploiera ses bons milices *upr<$ de* autres puissance! de- i'EuTo^e, pour qu’cilet accordent ms chevalier* de leur nation l’exercice de leurs , droiu sur les bien| de l’ordre de Malte situés dans leurs Etais, t» VI. Les chevalier* conserveront Ici propriétés qu'il* poasedeut dans Ici isles de Malte et de Coro, i due de propriété* particulières-
et VI!. Les habit an» des ule* de Maire eide Goîû- coi- îinnernpt, corame par je passé , à jouir du libre exercice de La religion catholique, apostolique et romaine ; ils conserve- 1 tûnr les -propriétés ei privilèges qu'ils posscdenL.. U de sert mis aucune imposition extraordinaire.
Jt-VIÎL Tou· les acte· ciwils passe· sous le (rtuivernement de l'ordre , seront valides et auront leur exécution, r-s
Fût doublé 1 bôid du vaisseau J Cl rien l, devant Malte, le >4 prairial, 6e. *nnée républicaine-
Irlande. De Dublin, if 10 thermidor.
Sbt la motion du proinrenr- général·, k general Cnd- dock pivut blet à la bure Je ]a chaiphre de* cçitirnun<es. ' L’orateur de la chambre ¡invita 1 déclarer ce qu'il savait sur la conduite de Beauthamp arv*y et de Corne»
. lias Qrogan , écuyers du comté de V/exford , pendant (ÿ tcbelpon récemment éteinte dans ce f-ays-_
Jigil
Goç igle
■ ' ‘ ( T70 ) . I ’
Lé général Cr^ddûck répondit qu'il a-vaitêtë lui-»taie président de h tout mai iiaJe qui 1 jugé ces personnel^ qu4 lei débài* ont démomré claire tunii· ci indobiiablrnuct que Bagnat - H»rv»y ¿car« commauJjut eu chef de l armée·' rebelle à h bataille ck R.o*s , où ¡1 écrivit de si piopte main la aoinmition de se rend,;« fiire aux troupes rOfiUiji qu’il a .paru dans cttie même action -à la tête d ttp cotai conridérable de cnjittî« | qu’ilJ» •¡|“è pluiieurs tonuau· ■ions , Oie, ■ 1 f .
Il a déposé également contre Cotu clins Grogan , qui était 4 dit-il, coinnnwire-gtuéral de l armée rebelle dmi )c cOtulé de \Vex!prd , où il était chargé de taire Jes pTO tfoiou de vivres , Fourages et autres objets nécessaire*i il| a été convaincu d avoir fait enlever de cliei une iermitrtj des environs de WexfoTd ,, des provision· de büçche qu'it a fait passer <vx ¡Aiurgcn· i il ■a signé de sa propre mni et de »cm nirti de» permissions d'entrer datti- la ville* Lt cour rtiarHflje s'rst pleinement convaincue de lous çr» füu, dont !r; accusé» ti’otii pu déneuHr la moindre circtmrüflc» pendant tout le cours de» Je ijal-S T q’icitjnç te jugement dé Grogan ait été, à si rtqtifie, dif érc de plui de trois heur», pour lui laisser le [ems de se procurer des tém-oiot,
Locateur lie ma U dà au général si kl accusé» avaient tLt . entendus dans leur tLifensc »UÏVJHC la forme oTdiuaire,
Le gé itérai ré pondit qu'un, kùr »ra.it laissé toute la Liti- tu4* «· le tem* nécessaires pour foire paraitré ici rém>ii>* ■ à décharge ; mais qu'j pré s un titaniea ttès- mûre ment r*([' éhi, la cour martiale s'était pénétrée de.la pleine «ouviciis· de ] ÉLIT tfïlïlfr. ·
■ Après avqir fait cette deebratioq, !< général Graddoti te retira , >s l'on appella i in barre M, Thomas Rryaolii (h même qui pu; ta LtiuuigTiagc 4»n» l’ail aire de MM, Guiti, Byrn* et Bond.} .
L'ots leur de la chambre lui avant dr mandé s'il if*f quelque connaissance de la condu.1 d id cund Fit*· Géfa^ ' [appelle communément loid k. Kits - 6<m!c. j pendant t* rébellion , il répondit tt tpi« lord E, Fiot-Gérald jouait îôle de comtnj.ndaut eu chel' des rebelles, et lui avait do«1*· i lui icrnoin, une cotnininaiaa de colonel d insurgé». de sa main ; que ce lord ledout^nt les soupçons du gû'i' ' Vernement, avili déclaré â lui témoin, le detir de P1*1 sans délai eo France, pour accélérer Fiavatioti de Irlande ,· à la Faveuf de sûu intimité arec Talleyraftd-Pb1' gordc 1»
r Gt> igle
Dngn ï iForrï
ÎicW YORK PUBLIC LlBR AR Y
(17« )
:> Ici îc proturiftï-ginéral fit donner an témoin l'arire de
. le tfijifr, en dccliraiii i|U.'iJ fallait l’rtrfrr U patiie h plu*
■ importintc de la déposiuon ‘de cet hqtisme pu tir tint oc·
,1 c*û(M pliii seletnneUe i et ît deruandi la permission de
: propoi-e^ fl-n bill cd litre Us propretés de*'irai s personoci
. ci-dessus désignées, A<cnrdé. .
. Les nouvelle· mesure» prise* par le gouvernement ont
, prolongé la vie de M- Bond j mai* le g ihenridor u'a pas
■ lui pour Mithaéi William Byrné. It a été cwéc.titrf · le 7,
·. : devant Jiewgite , el décapité qtirrquês momr ni aprèt. I! a
: ■ mevlri le plus .grand «mg-boid. Ou Je dit proche parent
.:. Je la m*T(jTiise de Buckiogharu.
.:: ' Mi Hampde» Evans , aWltè il y * quelques j*tin, ip!:!
-fait lisait, dit-fin , *n Üirectoirè irlandais". lia d'im mertSt*
.·!f.propriété» ¿nu Je Tojjumt, Le gouvernement a pria , pour
;; . .aasitiTcr dp ia personne , des précaution» extraordinairel,
f ip'ic .girrlx i cheval a été envoyée- i H itiïhop de eampsonê,
,. 'b taotHi qu’une autre garde investi mit sa maison de Grw
i; Georges Snceh ■*
.. ■ -AKG^ETaKftE. J)r Ltln^rei, 1» 17 thftfflirfjr;
, pes lettres du lord fi.A'iucesi aRïimenj qu'il di^te nne
! trés-graude itiltiligrnce entre le gQui ern·ment tipsgaol et la
- Boite anglaise ; enlr'iiures exemple·de cammunkatiapa Smi-·
. cales, le chapesu d un 4L lieutenant anglais fui oublié à bord»
;. et l’on envoya le chercher par un parle militaire. — D'autre»
• assertion*, et une statue d'or destinée au roi d'Espagne, prise
-par ItiAnglai», et renvoyée 1 S. M. espsgn. par l’acnir» Ijrrvh,
rendent assnt probables tes biuiia d’une (rès-secrette ne godalion
entre le gouvernement espagnol et la flot te anglaise; mais
■ Je gouvernement britannique a un *i grand désir défait« croire
i ccfe négociation Î J-i’un antre cfltè, il serait si imprudent au
i , -J nvernement e*pa*rjDl d'abandonner ses véritable*alliés,que
, .uiêrn.q.cn rapportant ces bruits, bien ou mal londrs, nous ai,
. ,non» à a’y pas croire j toutefois il non* importe de prévenir
. .pos amis eti France dé ta violation de* traité·,etde a jri i □ r m e F
- ’ »V< C préliiion di CÉllE inertie Cspjgliuk qui Ti'a pQlül permis
à 3o vaisseaux de ligne de sortir du port de Caduc. qui n'éuit
Bloqué alori que par ij vaisseaux aurais, —Les tu ai cl ois qui
1 atiajaieni une insurrection sur fa flotte de 3’amiial >or-d/aint*^
■ Vlncent. out été convaincu» d'éîi * des Jrland:TÎf-Unir . et ils
1 ont été pendus 011 fusillé:. — L-ne insutrcction de inaction
Mandait, *ur lr Cinr, de So canons, â l'ancte dans ta haie de
Caw-nnâ. ■ pii* un -caractère aJ5f£ grave. Le* chef* de ceLtp
I insurrection oui été iur-le-ciiamp -dtaobcéi et fusilié·.
Urinnni'-uni
NP'A· ■ C-R pun h' ' nriAF
( n*J
r ■> ■> *,
RÉ PU8L-I Q.ILE T R A N Ç À I S L
CORPS Lî É « U L À T 1
- S fane ti des deux Couseibi du 15 au «5 tftcrwdar,
. ’ ' r
JJuplantier, dan* h séance du t5 du conseil dt*
Cinq cents, fait arrêter, par mciion d'ordre, que le
tS thermidor, jour correspondant au te .août, le
conseil célébrera, dans son sein l'an tri vers aise de la
châte du riône; journée célébré à laquelle nous de*
vont Vétablitsement de la République et 1er victafetr
multîpbéee qui en ont consolidé i’éclifice.
! Sur U proposition de Sherlock , . la commrriitm
d'instructinn publique présentera inoessaoaEnent un
mode de célébration uniforme, pour toute la République,
de 11 fête nationale du itJ>’ vende rai aire,
Lecoinire-Puyraveau fait un rapport sur 1er iode
m ni tés à accorder à ceux qui seraient blessés pié*
veinent eu prêtant main-forte à l'eacc iitton de La loi.
On su rappelle que cette quettton a été soumise W
conseil à ¡’occasion de l'assassinat dt plusieurs cl·
toytni par l’émigré Rochecolte, arrêté rue du Bat,.
Le rapporteur propose de déclarer que tout citoyen
qui sera grièvement blessé sa exécutant la loi, oulcl
" cidre* des autorités constituée*. ou en prêtant maie
forte à ceux chargé* de les e«¿coter , L seront traité*
gratuitement dans les hospices civils, et recevronttn
. outre une gratibcatioEt ég^le à celle accordée par h
loi du. 18 germinal an VI, ¿Uj geodarme* bltstts
dans l'exercice de leurs fonctions. S’ils perde ni J»
vie ,1a gratiltca tio· *era donnée à leur! épouses ou
cnfaflf,qui recevront eu outre h pension des veuve*
tt orphelins des défenseur* de la patrie. Pareille gratification
serait accordée à ceux qui, au péril de W“t
’ vie, auraient sauvé dé* eaux ou de* flimmci des B*
ioycn* en danger; et, *’ili perdaient la vie , l*“1*
épouse* ou enfant la toucheraient, et auraient fit
, Urj^nnl^Dni
NEW ï'ÜRK PUBLIC UBRARV

'* ( MU . ,
outre drox à la pension. Les uomsdet citoyen» qui ic seraient ainsi distingués par leur ¿évûâmcnt w «é- riient inscrit« mr un registre ouvert dms 1er admi- nîjirsiibns, et ils recevraient une couronne civique i la fête de h Reconnais sauce. Les fonds seraient pris sur ceux mis à la disposition du ministre dû la, police générale., pour dépenses, imprévues.
Impression et ajourne ment.
La discussion sus les domaines engagés reprend.
Duchârel répond aux Kjffétentcs abjections Faites contre le projet de H commission. JL dé cl 3 te nûû S admissible U proposition faite de valider Les soumis*· lioiu quî ont eu lieu en vertu de la lai du 38 vca- ! toit, des domaines engagés non te dite s dam lei mains de la naijan, Il obstrveque la nation n’a pas -.,pu vendre ce qui n’était pas dans sa possession , et ’ Ce qui ne pouvait y rentrer qil'iprès l’accomplisse- 1 tuent des candi tons de Lengagement. Il termine en demindant qut-ie projet soit mis aux voix article' pat atlicie , et qu’on nc/perdc «pas de vue qu'il s’agir dune mcsüte qui tend à procurer au trésor public des moyens prompts et indispensable^
; Cette propositloh est adoptéeT et la suite de la q diicussion est ajournée.
André (du has-Rbin), per motion d’ordre, le i|t s'élève centre 1« abus sans nombre et la dépravation fténêraie qui s’introduisent de h maniéré I» plus effrayante au· sein de ia République. Les souffrir plu« long- te ms » ce serait se rendre coupable dune coi Ju' ijjon criminelle jdl serait ternéraire. s airs doute * dit ' Fût;!teur , de cJ^mfcttre simultanémei^t lûtij le* vice» : qai poui 2«s.ég< mair il en est trois sur-tout qu’on ' ne peut aitaquei ni'trop promptement ni trop for-

terne ru, i c'est le jeu, I agiotage et la véna#té datJ» les bureaux. Lùq, en ruinant les fortunes particu-

litres, jette des perçu et meres dan» 1 iffiietiou, des
■ épouses et de« entant dans La plus affreuse misère; et ' lesjüticuri euK-mêitiEs dans le désespoir. Dc-îàl«» vols, Us ajoatsiûïEi qui les conduisent à l’échafaudT Ou lèj suicides qui· rtrftiintnt leurs joüts da la. ms· 1 nie te la plu» scandaleuse comme la plus infamante.
Go gle
f f
Qnant A l'agiotage, il n'est psi seule nient la honle
de 1 individu qui * ylivre, ¡I opere e lit ore lajuiné
du trésor public, et ébranle U corps politique, L'a- ,
gioteur et le dikpidutcur se tiennent. Il trt terus de
leur arracher k voiiç qui Ici couvre. Quand le»
bravea défenseurs de la patrie manquaient de tout;
çxctpré de courage et de patience, dél agànj mili-1
turcs, ceux qu'on appelle des fournîtseuri cufia,
étalaient insolemment lelux^c le plu« effréné à 11 vue
des aoldats, ■■et l'on ne sait ce qui devait énrnntr le
plus, pu la retenue de ces derniers, on ¡impudeur .
des premiers. A ces deux premiers criai cl polit; quel,
ajoute^ U vénalité dont les ramifica dons t'ctcudeqt
jusque dans.les bureaux de! plus petites adinifliitri- 1
tiens« Ici Ce font des solliciteur* avide» qui font de ■'
L justice le plus honteux trafic; b, des sol lioi tense»
qui. en échange de kurs charmes, disposent des
enq lois qu'elles arrachent aux peres de fatqiUe labo·;·
rieux et instruits, pour en revêtir d'igtiorans requitl·-
tiontraireB, parlerai-je de tes marcher ténébreux qui
ont cnrtchi tant d'iiUiîgant, tatlt d'Ètr« imniortii
qui insultent uns cesse à la misère publique? Non, ;
je ne veux pas souiller pki long tem» mi bouche,;
1 ni vos orcrlles, de ces infamies; Mais il cit teutf
d'opposer une «ligue à ce torrciH d'abu* que je n'ai 1
fait qu’etHeurer. ' . >
Je demande donc ia, qu'il soit nonstné une com*-,
mission de trois memores potii proposer des lois pé-
Hales contre ks joueurs et .Ceux qui danneut i jouer;
s4. U rie coiumíssiun do cinq nijBf^rés pour pro* i
poser des loi» répressives de routj^nre de dilapt- 1
dation». .
Ces pigpuiitiom sont adoptée».
_ Lucien Moruparie résume le rapport qu'il a if if,
tur les secours a accorder aux veuves et enfans de» ¡
militaues et des employé» publics des urinées <k
(erre cj de mer« ■ ,
Si F armée de terre', dit dl, a mille fais bien néritf ■
de la pairie, 1 armée de mer, j uiqu'A te joue retenue
maigre elle, vient de s'élancer dan» la cardera,et
tou premier pas annonce A l’univers qu'ede est «UR»
i
Go< igte ■ ir·.·.· cr- pun .ir.^iR·,
]i bien aimée fie la victoire· Oui» »1 Jet Foi fit de
■nre par tfr* caulel que je nt retracerai pat 4 votre
isprit«.*· La vivacité., lt courage peuvent bien être
r pâture dlun enfant généreux ; ma il ta vigueur ne
'irqmerc que par le développement dei Facultés
iby IjHet, et h natui^i prescrit à ce développement
jiit étv ^ue déterminée« Devancer celle époque ,
iqei d‘un enfant k forte d'un homme« e'est comr
cire taintmcnl les ici» impietcripiibkt de h nifer
irl'e i été jusqu à ce jour h situation de notre
iriùt. S ni organisation précise, isdI force réélit,
fil« nrpouvut qoc réparer tel pertes en lilcocc^»*
Ht grjndÎHaic dant 1 Ombre chaque jour Part
ti tonna de génie, l oeij du gouvernement et le
Ittatl ujidu d'un peuple d'ouvriori citoyens !uî
Ouii'i nt cettt physionomie majestueuse , içrriblfr,
ni convenait à lu njie de la grande république«.
Ht pltfdhsait dans l'ùmbre, et de Leurs en tttnt
lt rl.iyiit tes forces naissante· contre Ici tyr<*ni
a nim, et semblait brûler d impaiiencc de leur
lâcher I* trfdcD'. « Dans cts combats isolés de vaiie,
i à r.ilie^u, de frégate à frégate, oh le» Anglais
/'tOu» eu lt Supériorité du nombre , notre trtaisr
n i rlJe p»| prouvé que [enthousiasme de ia
oené peur vaincre le san ¿-froid de l'art? Dans ces
»mbau isolés , l'Océan et la Méditerranée p'ont-ils
iss vu des traits que réclame Tiinoraliié, et que lé
I«irin ide l'histoire retracera en caractères d is; 7.^,
Î"i p emiers exploits étaient pour bout Le iûr gaj
in« de h VJCii-uc, aussi lot qu’une flütft française
#™ jiaru * U; la surface de la mtr . .. Notre marine
«fl de I ttilance .er se montre enfin datis tout l'éclat
f la jeunesse ;...<«. hier Malte est devenue la pref
ir5 f<*tiqu(te; aujoufd hui elle l'oublie déjà pour
Pü2”.* de plus belles victoires !... Les destinées de
P Hepubhquc h pourrit sûrement à de grande»
fcooie-,., Qu'y ai·! d'înï possible i des sol dais eountiiiiie
Lui ef„,idej marins impatiçu· de s'en cou'
pu? La giok*; réunit ldi met dé terie et de mer;
I
I
H
que la bienfaisance nationale ne les sépare pas s les veuviM, les eu fans de ces gùcrtlet* jcron[ égaleront ' l'objet de notre aollic.ii ude paternel le.
La corn mission a cru devoir réunir dini le mine projet les ttjlicairei et les marins. .
L’art- Xït du-ptemier projet'rejette par les Anciens fixait à 14 ans La cessation des secours i accer* der a Un. orphelins; mais la conamisiiün pense que li République ne doit les abandonner que lorsqu’il peuvent devenir acdda's. Il faut tes rhenir pat k ' main, du berceau lu champ de bataille. La vie de tel cilla ns généreux ne sera qu'une suite de services rendus à cette patrie qui leur aura, servi de mcrc> Alors 1* guerrier mourant fermera sans inquiétude 1er yeux sur le iort.de ion fils.
Ce projet u'eprouve que de léger* amendement, et il est adopté. ' \ ■ -
Le rapporteur de h comtaisslon sur Les domainti engagés à Lu, dans h séance du î&, ks article) de fou projet, qui ont été adoptés au nombre Je nj *i<n i aucune réclamation»
Wûusscü a proposé d’établir des tribunaux de conij . merci dans ks commune· d'Anvers , Osiernk, Bruxelles, Louvain, Gand, Brtiges,Klaus et Toutmyi
Qn ajourne. ' ,
Cbabert'k rg, parmo'ion d’ordra, soumet quelques vues sur les économie* dans la patrie des foqr', nitureide la guerre, sua le* .moyen* de mettre v* terme aux dilapidatKjns qui se font journellement, et à l'acCroiitemcnL inouï de ces fortune* jcanifo* leuses qui s’élèvent aux dépens de La fortune pü' bliq uC. L’orateur eutie ensuite dans quriques dêt*ih lut ici moyens peü délicats qu'emploient ks fou.1-· nisscUrs, pour surprendre 1» bonne-foi du gotiver* némeDt- U ajoute que Le quartier-général· des frf' pons e*r à la trésorerie nationale, et que leüri caû- totinemens sont rhea le* receveur*- et payeurs des départemen*. Il .propose de créer une commission pour prêieuter un projet de loi sur la turvcill*^4 et la publicité de* marché·.'
foabcrt ( de l’Hérault) répond que « n’*K ^rint J . - ' , - - ’ if|S
J
J
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Dniin: tr:m
» ■ ORIC PUBLIC LIBRARY
( )
iVtc de* memrci partielle* qn'cû peut le ftntéi
d'arriver à-la répression de» abus» Il en nécessaire
d'avoir uu tyitemc générai ei suivi- L* gf-iude oh*
jcciioa que ¡‘nn fait contre h publicité des murcLési
c'en U difficulté des piuçmciu de la trésorerie, Il
f'igit de »avoir si le peuple Français fera obligé do
tupporter Ho uu ioû mi.lion» de uiu* , parce qu'on
i tuiT) de tarir le trésor public· je dctioudc q^ue la
commission »pécule qui rct'a nommée , soie tcutiu
de se cohcriiei avec celle des üüaiicc*à de la star*
veillante de h tresorene et des dépense* de* divers
■iniilcre··
GcTiiincu\ s oppose à celle riuuion de commit*
iioriif clic lui paraît inutile ! et d'ailleun, ijouie-t-il,
c'est Je moyen de n'en jamais finir.
Le coiM^il se (jouit à déclarer qu il ter* nonami
une coiniuLSfion pour régulariser ks mascl^a t et
présenter un projet de loi sur leur publicité,'
Gucudon pjend l.U paride sur U lueilleiu^ disposition
de» revenu* public» ; apci* avoir passé eu revue
tou» les piiüLÎpcs d'écanomie politique «préa
avoir clHeuié Ce qu ii appelle le grand problème de
la rpuimmijutt des biens un· nuire i la propriétés
apte» avoir Lit sentir h nécessité du langage de*
sr^iic» qui a uni d'mÜuetice sur la prospérité de·
luiions , l'orateur parle des grand·· rouie», desobé’
JUqucs, des recours que U punie doit à 1 indigence j
Cl il conclut pur diverses piupontwn*, Joui k principale
serait lu cié^tian d'une cuinoüsdon pijur
l esamcri des complus des miuutres dans toute· leurs
iWOilïdjtïoiu. O-tire du jour,
Juuberx lan adopter ton projet, qui maintient
pour I au VU l'armée sur le pied de guerre, et Exe
Ile» dépenses à auv mtktonj Jbt mille francs.
. On ordonne i’im press ion et l'ajournement d'un
rapport de Bergier sur tes hypOtLequel.
Ou adopte le projet de Heuiuut-Lameiville, qTû
défend de r.tppeHer duni de» actes publics ou pii-j
licühera dt» dotes ou iudîcMiiOtit itUvcs que telle·
dr U .République , et de uppellct l’érc ancienne
Iinmpurato ement avec la nouvelle, box» le cas da
Tint XXÀH.G ù glc M 1
■ ' J ‘
■ -<**«)
tfrfjttkm d’trfit loi -011 d'un stte imititur à tdlc*(lr
©u d^unacfe-oA-uri étranger cat pinte contractante ;
OnL iviU advpté un dfcjendcrqcni portasi pr.ôhibi* ;
tios «iu calendrier grégorien, Mais il a été rapporte,
abr-Jlobservadon faite par P.ison-duCilan d, qaii
était inutile puisque 1 usage en devenait tnip&siil>kt
hors Jet cas déterminés et irêi-tirconscxilst dtinjusttf
pbisqju on avait réconnu qu'en certain« stcttioni
ep pouvait en fai te mage, 1
■ 'Le conseil de*' Anciens,«iir le rapport ds Letuoioe·,
■ afprouvé, le if, h rdsoîtrlinq qui ne et die l'instn^
tton ¿Ll· 6 germinal , en ce qu'elle siippote qui U* j,
cctUsini-^eftnïitis ne" peûvtiit être membres de la Ictêsnt
adiziiDiitfation. Celte Loi ajoutait Èl 4 a coristi J
tutioii, ifl ce qu'elle cteluait l'exercice timukané
des eoutïm^gerniiitit, tandis que la contiinttion p'i- :
♦ait pyoaoncé d'exclu hou qu'à l égard des ondes rt
d e» neveu su : ! '■
; Quyomiïd a combattu, lt 16, la réidlution tel»1
ttve au* domaines cptiiéables, jl prétend qn'ib
étaient bue véritable institution féodale, et citcdil“
iéreasj uni consultes de h ci-devant Bretagne qui ont ,
été-de cet avis·, et ii observe que le propriétaire wi)
doit.-pat recevoir presque pour tien les améliora» ..'
ttana* défriche mens , augmentai ions de h*^rtlC11* .
faites par le eu Ion ; que Le moindre défaut-de cttlt
rêioluxion est d'étie incompbette-, de «bleiiM ¡¡*
decùn des ti«s acquéreur*, et d'mnujjer, au né- .
pris de la ^CD&titntien -, des jiiçemeai intervenu*· r
Cuyomtifd voté pour le rejet- " , ,
Le conseil ordonne l'impression et ajourne la luit* (
de la direumton, l' - - . <
; Brottier, dauiî la réancc du i-j, prépare, as boni 5
d'une commisiictr/i adoptiqn de la résolution du* |
theiuiiidûr, relative à la célébration des décadi» <* i
des fêter nationales. »
i fi leh porte de faite revivre Je* ipstitubioas répw
büc^ino, ri/t le rappcnteui, si i ou ne veut, pu'r**
tomber dam 1m habitudes de l'anvicn ligimc- L*
mtdlcur moyen de rcntUcla ce le tirai ion d$i dçtâdii
ttXHWtiue <t est de la rendre agréable ,11 f*ùi Jrapp*1
Go >gle
¿et lei entourer de jdiistt*. J-t pÎajtet >eu|
mâche les homme* ; et Je rgoyen dir Uire adopte»
*<t cdapwmins , cie»t dé le* privirpddtr de jet*»·
»aneti. Le conseil dés Cjnq-cçrrt* » sefiti,riçpiM nés
JJ* ci h ré*oluüpn qu'il a prttc.à cet égaitl flPqHt·
d'itrp approuvée. ■ . > ·■■.■.■.
Ccûp résolution cû ordoDne içi 'jogrs.dk repos .
jtftc le calep.rjrier républicain. Ce calendjir {'¿St
jujo-Utd byi i adqiintion publique, a hit segtj* içi
fidiculea de l’ancipq; U importe doijç df 1« pf«jnfe^
hir, Que lés jours de repos ne toicni dogc.pi^ dé*’
attardé*, ou au Ubai deajuiU, «u jÜ*
fetfeb# 4p* Chrétien». ·’ « ï
Le iousé’l approuvé l* réfojotetqi. ■ - r -,
• ÿj^rla propdsiuO a de Güyotttatd , le-c*nt^l -ftjrét»
tyu iJ célébrera 1» iétc du ro aoàt. ,.. i ,
I Ji reprend, le i$ . lu discussion suri· réielgiioqt
tel^Live »ux domatgçs congéabler. Après avoir hfr?
te culti Jourdain, qui l’a cbm ba i tue comjàe cotstentM
feti £0e.t jrétrdiclir et aqqullapt ics jutgjemcm tcpduf î
CI) cdnforriiicé des loi» aoiè.icgrjp», U eluseti tnjpit»
)a résolution. .
JotirdJ* A-fa ir, le tg, un rapport fft Ig résolu (¡nd
dii ô messidor, relative aux poids et mesure,*. Ü
¿gaîysp d'abord les lois précédentes relativisât*
i.ujet, et en montre l’insuffisance et i’impi Je ni on,
H présente ensuite i exposé de Ja résolution qui cor»
ligi ces lois et les suppléer Jl pense cepeu^uiqu'eü*
b est pai autei compie ile qp'an aurait pu J# drevr*i\
il voudrait qu'on eâlordvpnè le depep iiafffoibaau*
f^efdrçea tfe cantün, diin modèle de opaque poid*
ét rneitiroi, a En de répandre Prn>iructiüo a«uçt quÿ
possible. U pense sutit que l'on devrait fervoyeru*
»rodile jiç chacun aux tribunaux qui et) adront iôur
Vent besoin pour prononcer dans les adirei oà il
s'agira de poids et mesures. M .trouve qjjt la résoludon
donnç au Direct pire une Latitude »affisante de
pouvoirs f pour lujipoiïtçr les obtiacte* qui pourraient
anêter f» Libri ta lion d-ts nouvelles mesure*.
II justifie U disposition qui en ordonne la vente, es
disant que certe hbrica.t19acopi.tr* une toiçme 4*
Al a
" Go iglc
huïl à neuf rdïllietn, rpe l'état dé pénurie du trésqr public tip lut permet pat de supporter.
. En vain ,■ dit-il, voudrait-on présenter cette vent* câKOie-une nouveil'e imposition levée sur ce an. qui ■ont -tenus de *e pourvoir de poids et mesure· , elle ne MJ» que le pris d une choie dont les marthaiKÎf ■cquerfoni U propriété. Au surplus j quand ce *ç- Tiit une imposition, pu auraii tort de i en plaindit; car elle aurait été établie par la ccn siittirion , qui t ptrrcrit forme Ile tu eût d'établjr F uni for mité des poids et mes tiret.1 , ■
- Le rapporteur justifie ensuite l’augmentaiidrr dé pris qu'on a mise sur ¡es nouveaux poids et mesures, autre que celui de la'fabrication. Si l'on t il· ' ta h borné, dit-il, àn'csiger que le ram bourse ni eut des frais de fabricatioa, le go uv e tn trn enta niai llapL porté «ne perte de i millions Son mille francs qu'il en coûtera pour la vérification, Je port de ces natures et l’impie*? ion des injtrutrians nécèsiairu pour en apprendre la valeur. C'est pour cela qu’on ■ ’ajouté t8 pour 10* en lui des frai* de FabriéatiefH lomniequi remplace celle que coûteront Icsdepenitl ncceseoires, Le rapporteur répond ensuite au» plainte· qu'cti ■ faites contre la nouvelle nomenclature des poids et mesures.On trouve mauvais, dir-il· qu’on ait puisé ces nom a dans une langue tréspetf
. conçue; mai» on n'a pat réfléchi que lorsqu'on 10' quiert des idées nouvelles, il faut créct de nouveau* mot* pour les exprimer·; qu'il faut en général qui les mots soient le moins longs possible, et porteatli «igntücatioa de la chose qu'il* désignent. On a ciu trouver ce* avantage» dans la langue grecque, qui K | déjà fourni à la nôtre tant d'expressions nobles tt , heureuses.' La comtjiiissioo propose d'approuver h , ' résolution.„ - s
■ ■ ■ Le-conseil ordonne i’impiEisian et l’ajournemeûfi
Bailleui,dan* la séante du *r du conseil des Cinq- cents, organe de h commiasica chargée de l'exatüt· du message du Directoire sur la situation des finances : Ge n'est pas ujti, diî-il·, que Je trésor public , attire continu«!!émeut l'atteurion de* Jégiriateudi
#■ /
Go jgle
■Zdq ral tiorn
NEW YORK PUB UC LIBRARY
( til ) · . .
Ce n'est pis.assez qu'ils Veillent à ce qu’il ne soitjï* niaij épuisé,à ce qu il présente toujours det res»urces perur l'Etat; il faut encore qu'ils ne perdent pas de vue l'aisance, íes jouissances même des citnychir C'est aussi ce qui lera sans cesse l'objet de la Sollici- . tüde du conseil. ■
Après ce début, l'orateur déclare que le ifr du dixicrue mois, ¡1 a été à la connaissance de la coin* mistión, que les contributions pour l'an VI n'êtaienl point encore rentrées d’ûu tiers ; les Enancca-sont donc dans une sorte d'embarras ; ce serait une là* çheté de le dissimuler* Mais cet embarras vient-il de l’arriéti des contributions? Un peu , sans doute, juaii ce n’est qu'un peu. La tárete du numéraire en est une plus grande causa; et une cause pim grande et» cote , e’wt le défaut de tiédît; car, quoiqu il soit vrai qu il y ait nioins de numéraire que tout l andes régime, il n'csr peut-être pus moins vrai qu'il y en a plus en circulation qu'il y eu avait alors. Or 1e dé* faut de crédit opère uu dessec bernent total dans les * tanaui des Enantes. Il force le gouvernement à faire des marchés ruinen* . à rallentir ses paiement dans toutes les parties Ùe FadndpUtraùon , à les sus peu* dre sur une classe malheuiense qu’on semble avoir condamnée à ne vivre que ¿’esperances toujours "dé-* çufli, et à laquelle an fait endurer en quelque sorte le supplice de Tantale, en lui faisant envisager sans Cesse le terme prochain d'un paiement i.t long teins attendu, et qu’on recule sans cesse, lorsqu’il croit toucher à Ce moment désiré.
Cependant, il est une vérité qu'on ne peu; révo* ■> quel en doute, c'est que cette suspension des rentes, est un de» maux qui nuit le plus au commerce, à l'itiduitrie et à la culture, et la stagnation de cet trois sources vivifia nies d’un Etat, -répand à ion tout le dessèchement de mutes les sources secondaires ; t'est donc un système de crédit bien conçu, bien combiné, bitn exécuté, qui! faut «avoir trouver et mettre en mage. C'est un système de crédit ai sage, si ific et tellement convenable aux circOiMtMiqés , qu'il ¿néanú^c cette ujuïî iffieuse quiforc^ à payev
.................
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Diprnu
Go- gle
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»ràgt eirnj ftàap etnt d intérêt thni le* srtnpruMi ^t*· ï’cn est obligé île faire, et eet'ipfïiêt, deja monr- t ru eux, «u un de» moindre* que l'on fait supporte^ au malheureux: rentiert qui, ayant k malheur de p'être p s« payé t fit encore forcé de passer par tdûtca lea eondpionj qui kl sont faites, çu de nto*urir dü tuisíre bu de- faim. Âpréi avoir Vaincu £ai-ta force tk» arrêt»,' trous I a nieront-nous' vaincre pa/ ta forrt du discrécliL? Non, a écrie For^tcur.
’ ‘Après avoir parlé f c.idant une heure çf demie ,h tJ terrrripe paj cèi mûts : Les piùjcif qui sont ta cOnié- quefiCD dey principes que je fied* de poïer , gerçât dtptÎléf demain avec les autres projets qye la ttftai-t mission a l· Vous proposer.
■ Ü'ipipresiiôn du discours- est ordonné<?, Heurfjùt-Lamervi Je remet a ta drtcúsn'on leu fútreles relatifs au calendrier p publicain. 1
Un membre a proposé, a l'égard de l’article si débattu de Fouverturt et de la clôture dût boutiqUti, qu'il fut dit qùe tout ni a reliait d qui confieviefidrail 3 là loi, fût privé du droit d| tirite le rommérce ; mai'! li peine de-simple police a été prononcée, sauf dam Ja récidive ync ptf ie plus forte.
On ('attendais que Lucien Bonaparte erqïielqâét futres prcndr-iient ta párale dans cêtte di^uHioft , ftiri* ÿls n'ont pas parlé f et apffcs quelques débits^ lé* articles pwi é(¿ adoptés,.
Le conseil a-’esr occupe, le du projet dé’i*é*cÍtf-> lion sur ta maniéré da procéder dan» lël tríbunáux,* en ta* de partage d'opinion.
Divers idetiiüres prçièntctil plusieurs ófasrivaliotnj tt îi n'est pris aucune dcleiminât* un,
Vîllersorgane de ta commission des financé* t présente les projets de téidlut|àn annoncés par Bârta iinL II annonce qué l'inténuon de ta CèmminqoD tsf de payer fot arrêtages de ta déite publique en iurti admissible* à l'acquittement des, contributions, ef Üiéme dés patente», quels qu'en soient les porreursi |] passé ensuite à ta discussion des nnoyens pràprèi | apurer le iérvic-e de fan VIL
Ûn ajourne,.
□rtqlna Torr
NEW YORK PL'HLI C LIÊRAR
Goi >gle
( t!3 j . .
Dcsombero'JK a fait, Ic'ii, aç çomïiLd*f An< cieoa, le rapport sur la liio.lutiou du 6 de ce, mois, relat)ve.à Fitiiülutîou des lûtes décadaires. Çcqiriy retardé jusqu'à présent l’êtablissemerit de cet inad- tû tiens, te tout'« dit le rapporteur, le» factionsjdc toute espece qu'il a fallu détruire ; c’est la guerre extérieure que nous avou» soutenue, et qui réclamait toute la sollicitude du gouvernement et du Corpi législatifi c’est enfin la diüîcuhé de l’entreprise. U fallait que ce» institution» fuOent aussi durable» que la .République, dont elle» aüauraient le bonheur; il fallavi, par conséquent se gatiulii de toute jstëeipi- talion. i
Déjà, continue De tombé! ou MC ; veut ay ex Sanctionné de nouveau le calendrier républicain, *p Ot* dcrrrnaiit que le décadi aérait le jour du rcpps général de ton» les Français ; la résolution qui. tqu* étt a cr tirai se, complétive delà premier*, consacre ce jour par des sole pan i tés. populaires.
Le rapporteur analyse ici les différentes dispositions de la Té solution, il rend à chat une uuhommagè particulier. Le mariage , dit-il, ¿tant la fit« du boni heur, ne doit-être célébré que le décadi, et en. présence du peuple. Cçtce disposition, à-ia-fois »âge et. morale , empêche» le» unions rtiai assortie s. Le sexiû géuaire ne traînera plus au pied de Fyuiel.de l'hymen. une victime à prise âgée de quatorze primeras; la crainte de s'offrir en iidiculcaux yeux de te» coq- citoyen», le retiendra, et il préféré ta restituer La beauté à »> compagne naturelle, la jeuucsàe, que de t'expoaer aux huée» de la multitude.
Quant aux article» qui ordonnent La lectiire pu- bliquedes lois et du bulletin décadaire, dans lequel le» traita d’héroïsme et ¿'¡lu rua ni lé «roui cirés, Ôe- com brousse Je» regarde comme k kvUrle pliupuil- laut, capable de mettre en évidence et de faire éclore les plus btllèi action» ; « qu’au ne croit pas, di^-iL, que la disposition qui permet au Directoire de faire insérer dans les bnlkti'n» décadaire», de» article* ré- la tifs am arux à l'agriculture et au comme ree,pwie ftn pu loi détourné· de iun véritable objet' St ce U
M 4
Go» gle
¡NEW rï
JBLIC Lf
■ , (i84),
pénible, ti pâr tía moyen il faisait circuler des
idée» fit) «ses ou contraires à 11 saine pphtique, le
Gorpj Mïijltbf serait b peur Je redresser et pour
TÎprimcrlcs abus- '
■ Le rapporteur termine en applaudissant il l'art. VJ,
Îuf ordonne aux instituteurs d'assister , avec leurs
leves, aux fêtes-décadaires et aui jeux gymniques
'. qtiieh feront partit- C'est le seul moyen, dit-il,
d'ihttilqncr dans l'esprit d< h jeunesse ces idées de
républicanisme qui doivent toujours les stiiraer, et
de s'assurer du ci vt5n>e dtj instituteurs. Il déclare que
l*wis de la ecunmistión cK favorable au projet dé
0Í oluticn. :
Lé conseil ordonne l'impretiicn du rapport et
yajdütnenietít. ' - 1
-Ouvre là discuïiinn sur la résolution relative à
finir o dut Liân des trouve ion poids et mesures. -
Perrée (de GraniAllc) la combat. J] attaque l’àu. Il
qüi livre à une seule adjudication J» fabrication des
poids et tttestiTe*. Il cnint ; dit-iI , qae cette entreprise
, tnmoer beaucuup d'autres, De tort livrée A
ûe* agioteur*', toujours très intrigaos , au préjodicq
(J'une foule d’artistes honnêtes, mais pauvres, et par
-conséquent hop d'état de soutenir aucune concnr-*
rente. ' .
Il trouve aussi beaucoup d’inconvénienos à .faire
dis para liée sur-le-· champ et ^ans aucune pré para·
fi cri, les sut jennss mesurai. Le peuple, dit-il, ai™
ü juger par comparaison, Si vous' lai -enlevez les
p b Je ta qui peuvent le frapper davantage,il en résultera
qv’jl sera dupe de h cupidité et de la mauvais· ' i
foi'. Les pcnivtilei pienare» sont d'un cinquième -
faibles que celles qui existent maintenant ¡ si vont d·
- prénei des précautiom, U mûriura sera diminuée, *1 .
Je prhe des match andin s sera toujours le même, ".) _
Feyrtt vote pour le rejet.
Le conseil ordonne l'impression et l'ajoarnemcfll
Jf tridt. , *,
1 La séance du «3 du conseil de« Cînq-eentt s'ouvre
£ midi. La musique militaire exécute les airl chéris
de la hbprté- Le prénden* proaoncç ensuite w3·
fji| cour»,
Go< ÿle ûIqï'-jI Iftwr
NEWVORK PUBLIC UBRARY
. it Lorsque les tols je voient entouré* de leur* giidej, dit il, lorsqu'une foule empressée de courti, füDS çt de flâneurs étalent devant eux un luxe ¿l'aide duqjfllils bd imposent a la multitude qu'ilsoutrgentj les rois ic croietninvincibles , inattaquables même; iniis pour leur faire sentir leur faiblesse, il suffit que , cet appui leur soit retire par la manifestation de la ■ yaîoiité du peuple souverain. Pour éluder, pourdé- , nuire Je droit inaliénable de* peuples,il n’y a pas de müy^njs, point d'arüfices.point d'indignes matioeuvre* les rni* n'aient çmployii, Man'un des plus pui*- , tain ressorts qu'il» hient jouer de tous les teins, ce fut le jarçrdBçc , jouj quelque.dénomination qu'il» l'aient présenté* Par-tout et dans tous les tems ils invoquèrent le* piètres pour les proclamer au nom de la Divinité* Lamontagne er; feu de Moy*e,la nymphe de N u tu a Ponipilius, Ja pièce de monnaie de César, -, le pigeon de Mahomet, et de no» jours la sainte et ' ridicule ampoule sont la preuve dt ce que j'avance, ÿ Mais que faut-il pour faire disparaître tou* ces pus* irges? le· simple* réflexions de la philosophie cl set . froides méditations, Oui , le* philosophe* ont plu* renversé de trône* avec leurs plumes, et du fond de leurs cabinets, qu’Alexandre à la pointe de lépéc et I il tète de scs armées* Grâces soient donc rendue* iu* Jeatirj a,cqiics, aux Voltaire, m Mon tes qui tu , ïuiJtayrtaf, aux Mably. „ .· ,
„ Apiis cet exordf, Ijorateur entre en matière, Il ' divise son discours ta deux parties principales; dan* l’une, il rappelle le* fait* qui précédèrent la journée i jamais fameuse du iû auûi· duqs l'autre, il retrace à la mémoire de 1 assemblée les circonstances dont 1 , c< jour fut signalé, <* Je ne parlerai, dit il, que de ce que j’ai vu ; quand je dirai que depuis Icag-tem* la vérité, retenue captive par l'rmpoituie des prêtres, If montra libre enhn sou* ia plume de* écrivain· patriote* ; c'est *h>i* que le peuple,ouvrant le» yeux, Commença i voir la lumière et à cQujtaîfre sa lorce. Qut ht le tyran, qui s’apperçut que l'une éclairait l'antre ? Il appelle ceux de scs cour titans qu’il »ait
I l*| pins audacieux , mai* quj étaient aussi les plu* -
t
Qlijlnnl ïirir
NEW YORK PUBLIE L I&R.AR
Go* >gle
( fàc)
il [ça*consulte', Quel ftit leur ayis? Tétn
«oient qu'il faut montrer au peuple Icrépuicule de
Af libtrtd ; ce sera , disaient-ils, un'rndycii infaHllblé
Je' l'atntnct à demander la des ira «km dis puilé-’ :
Aeris, tf ce-gYand acreuiie fois tetminé, il te croirr
£liiS fortbtfienl que jaltuis lié 1 votre majrtLe pitié j
tfjfathnerii du devoir et dé h rccon^itis!»rite. Tel fut
b? frfftiiF dé I*1 convocitinrt de; étais géàéràuti. Mail
frs traittçi-furent pris dan;leurs plégr^rle périple,
éféétrrsf pat trn ÿes raydns de la iiBerté, le sentit
bientôt tout' de feit-p il véùlut la g'Ontef tetfrt en*
fiérç . 'il j*lnàu fictif etté, te 1*4 jüïilet artiva ; h t
Bartillfr fut renversrt, er [* vitttrite isiùfée aüi pihiotCj.
« - ■ ‘ ;
Ici t’omeu/présente le ubkau cfé ibùi kifaiù ;
^ui'amenèrent la déslructÎBh du' trôdé < h fuïk Jli
Toi -à Varetr'ties,- son arrestation , la conduite! qui fut
téhïue 3 son égard, les préparjrîis faits au châuéaü 11
vaille du j o aoflt’ lés menées de là reine, l atiitudé
du peuple ce jour là, la trahison des- Suisses. k
Cdnirage des pariâtes, i’ariivée du.rçi au Ccupt lé :
fcîslatif, sa ténue pendant'la séatic?, 1er iDrtMCTê? .
du déHdh , la translation' dé la fa raide foyik iti
Tenüpft, tous les moyens quJoii mii en oeuvré pour
ktardél, pour empêcher le jugement qui fut eiécuk [:
fé ti jirfvttr , ro-üt ce que firent depuis léi roysflittO q
pour s’en venger, «s Oui, s'écriet-il, ou ii st’y apoilit
deDiett vengeur, ou la foudre écrasera ttùU le* psi’
lisant dés rois, n
■ I/ordteur lenïiiné en faisant un Jppel aux Maflt
4M$lLh»3; et leur éret sous lesyenv i'inrrépiditêdei .
yrdrtçiiis dans des circonstances seni b labiés à' ecll«
èù ¡ris se trouvent. « Ce it est que par la pique , dit il·
qu'ilront conquis la Liberté et recouvré leurs droits; .,
Vous éri îles atrnii corume tut, osée conitat edéî é* .
■Vduj fer«libres 1 restez à jamais uftif* et itàifc ri0>* ;
fanbti éît faite, Ÿïve la Ripabli/ftit t n' . .
■. Cé éïi est répété dé taules les pirtirt de fa1 si”6,
¿amusique exécute différent ait» patricÂiqüdi y en*
t'r’adtrei çcltii, Atnitir 1 acre de la Palrtè! pèndant k- L
t^ud le sénat et1 les citoyens de* tri huiles se IWxtfb'
On décrète l’rtnpressio n du dis'eouti i douze exet#· phrrcs, ft la séance est levée, -
Akicït a fait, je s 4., un rapport sur le maltage du Directoire , tendant à donner rruis nouveau^ substitut» au tEftnmïuiirt du Ffluvoir tïécutifpris le tribunal de càMatïoD* . .
. Le conseil reconnaissant ¡ urgence, adopte je projet de résn J ut ion conforme au* vues du Directoire.
Delaporte ; organe de ia nom mission des finançai; présente les moyens qu'elle a jugé'propres i’iub- venir au* besoins pressant des hospices. Il trace te tableau de leur situation alarmante , et il pr-çpôje de leur accorder la moitié des iommej qui scroni recouvrées sur les contributions arriérées de 1 an V Çt de Fan. VL ‘ t _
Impression eT ajourn trnént, ,
-
Jactjueinin&t a reproduit à la discussion jet deux projets pur jet,.hypothéqués.
- Plusieurs articles en ont été adoptés, -
Le président du conseil des Ancien^'prononce; dans la séance du $3, un discours eommemoratif du lu août. -
-
ti C est ici , divil, c'est danj ee pa! iis pûrtipcux cm J es cris furie üï de Chariot IX excitaient an mas* Sacre , que tonna le canon du to août. C'est dans ces galeries spacieuses, c'est sous ces portiques où Mé-
, Sicis ptomenrit ses dél a iches et scs crimes , que le 'dernier roi des Français lut vaincu , Ci que pour prix de son parjure il fut précipité du trône. r> * - ·' Le président retrace ensuite Ici causes et les évé- fiera et lit qui ont amené k la août. «f De l'aveu des loyalistes , ajoajte-t-îl , Louis XV1 fut parjure. Il était méprisé de tous les pastis. Lés Français régénérés eurent donc raison de le punir. Jurons haine à h royauté, l^u’est-jl besoin de maître pour des Francs ? ftirçtihilg jamais si grands at si puissant que depuis qu'ils se gouvernent eux-mêmes. n
Le president retrace ensuite l’histoire des crime* de la noyaute. Il ter.: Otite jusqu'aux empereurs i‘c- mairt», JJ -parle de la tyrannie qui a désolé l'Asie èf I Afrique, B rc-piénd enfin' l’ordré' c h fq no logique
l- Gck >glc
’ »Il.....
NEW YORK PUBLIC I BFWE
rois de France depuis le ¡.interne siècle, montre i leur incapacité ou leurs forbitt, et termine en invi* tint le Corps législatif à entretenir toujours cette heureuse harmonie qui régné entre le Directoire' et lui ; le» citoyens l à oublier, ici faute» passée» dknt ; de· cirçonstarjces où des Dieux seuls auraient pu «* ;
conduire autrement, et les conjure à se réunir tou» 1 dans les sentiment» h gloire et la prospérité de I* France. Des cris de Fins ta .F succèdent à
Ce discours dont le conseil ordonne·] impieuioa-à i douze exemplaire;!. ·
Le corps de musique attaché au coriieÜ canut* le» air» de la liberté* .
Moreau ( de l Yonne ) a fait, le <4 , le rsppott lur . la réiclutiùn qui appelle les tuppiéaiïi à remplir le* j places vacantes dan» le tribunal de cassation. La CDtntniision · pensé que chaque juge de ce tribu* nal ayant son suppléant, Qu psi,'èrait , contic le voeu formel de U constitution/quelques juges des lup- pléans qui leur snot donnés, d'où il arhveréit qu'un département aurait deux juge», san» avoir de suppléant. Cette résolution lui a pltu d'ailleurs porter atteinte à h lot du 19 fructidor , qui autorisait le Directoire i nommer des supptéaris aux juge».
Moreau propose en conséquence le rejet de H résolu non. — Elle est rejeuée. ■
—* . -
PAH 15, , tg yj de laRtyubliqttt, -
Dtut de» pluj rpé mbrihi«» époques de 1« révolution, le z 9 thermidor et le 90 tirât, ont été ceiéhiees avec la'plu» Srande tùîeninilé. La prÎmieie mit fin i teit· longue chaîne ‘itiuutttn et du tyrannie, exercée ib nota du peuple par ¿ei h-OUiïnEi de 1*11 g, ijuî n'etaient nuitltj que par leur inj* bitien particulier·- L'autre a tu iflmbti Je trône, que 11 fai- bleue voulait soutenir par tu us 1<j muyeu» quel* perfidie ce
■ ]■ tiatùiou »ug£«TCPi·
La première de ce» iire», dont le drfant d’espace du) netre dernier N°. ne nous i pu permis d’olfiir leidéiji!»,.* ¿lé rnarijuce par «tu accttiùirc luhnimcm intéressant, c*«s*
• * ‘ P
Gûv gle
■ l’inirie triomphale de* beaux monumepi relatif* «tsit »cirtic.t* rt )Ui iris recueilli» en Italie. L'ordonnance «1b celle pompe siaperhc, J laquelle ont usiné loütci Ui cimes de s»vans ci d'iTiis'ei , fi i ou in ies nliwimés cous-iiluée» , fait le plut jTïiid hodiieur au uouveap ministre de l'iniérieui, Français ide N enfcbâteaü }. Chacun de ce» objet* précieux et de ce· cbtfc-d'ituv i e de ¡a Grèce et de Rome ,éuient poric*$ur de* était dinribuet en plusieurs grouper, diuiuguc* par une épigraphe is une légende caticiérivijque i de* corps Je nm-, HdiiE diairibéi de distance eu distance i ajbuaieut un nouvel éclat à et ire *oî cm pâté, . '■ 1
Le ministre de l'intérieur, en ptéitntini au Directoire le· ctfmitiilijirej chargé* de recueillir le* fuonumein dei ariseh li-ali.e « a prononcé un ditccuri où respire le plut vii enihou-· dis me pour les sciences et le» att*. Il en · parle en homme qui init Icj apprécier « parce qu'il |ej euhive lni^mcrue.
Le eil· Merlin , rernpli»at)l le* fonctions tic préside ht du Üireciûict, en l'absence de ton collègue Revbrll. ¿distribué , au nom de la p·irie, A chacun de» commiss aire* revt* nant d'itjlie v une médaille sur laquelle etc gravée, d'un tôle, b figuré de la France-j de l'autre, celte légende : Lu Stimcft t< la ¿rit rcantvainan : et leur a adreaié ce* pardti : u Saiam etariiatea républicain·,'c'en 1 votre activité in- fitigable, c'e*i à votre .esquise sagacité, c'est â votre vrdeM ameur pour îa pllrié, qu'est du ce niaguihqtie appareil qui, lins ce tournent, frappe et enchante tous le* regard*. Lé Direct dite exécutif ne bit un devoir de proc-Lmer que vou* ire* rempli gloiiensement l'honorable iluSaion qu'il vdui ivait coiihee. Recevra comme un gage ioletotiel de b graii- lude nationale, le* médaille* qu'il Von* offre au nom «lu peuple français. ”
Le cil. Thoin ,iu nom de* commissaire* iuVoyés en Italie, a ensuite pronoucé un discours analogue A la mission qii'ili fini remplie. Après quoi le president dn Directoire a retracé, Ipéç <Liitant d'énergie que de dignité, l'époque du g tliinçi·· dtsr. On a rt mai que , dan» ton discours, le paragraphe ·»* ntiu n Quitte aiH se sont A peine écoulr», et déjà disuecle* ne u* i épi rem de cet ici«* dont le* erreur* et les crime* oui été si fut] et le* à b liberté. Noua ne -craignons plus anjoordhni que le« pa**iorn ira empirent pour *é livrer A Je ncmvesuM ex-ci*; noua I» jugeons comme la postérité les jugera, el tin* doute iis ne peuvent cire pont nous, connue il* ne *<* rtmr pour elle, qu'une source de salutaire* icniruciione. n
. Cette fête a été également célébrée dan* If■ deux conttile^
Mjiniinrm
HfW ïDF.I. PUBl tC I IEB. AH
Co 'gle
éh«5u· pvéiidtm a ptotronié hb dittour» anatogrie i fe- pj^ue du fit iii ont retrace k souvenir- *
Jj3 fête du 14 août t été rcijiirquable par d*i coitesei btil- ■ Imter Le» citoyen» rjui ott concouru et remponé |jMi prit «je la cour»* i pied, à rbevi! et iur de» chart, au Chunp-de^ Mira, >ont ¿pjur.li course à pied, lejcit-Cfimc ci Bernard. Le» cil· Clin le, Hillé , Louis Reguier, Pkttê, llutuilly t, Ssriiceau, Dîich:mps, Auyui, Munie, Ribé iit Dois lant «ij,iK qui, Bprèë le* vainqueur» courottues, ont approché le plus prêt do but-
Pour la courte c cheval, ïaa th- Rive et Terrival-
P^ur Îi.cdutic itï chars , le» di- Mangea et Dubofr
‘ il y a eu cantcatalion pour lé pris de cette courte- LtcÎV Chapptjnel lü i&put»K. Jl avait en effet aitaiàt le but le pre- iiieT, uni* il avait usé de rürt, et n’ivait réeikaeri't patf , jircouTü ¡'espace donne, ' ·
Lz contestation fut portée devint Ici rnejnbi es do luie^u central, prescris , et établis juges ds» jeux. Le büLeiu centra} ' é.n référa «u ministre de finteneur, qui évinça Chsppffnel » 1 .
|i Batiafsctieu de l'isaemblée^ qui *'était déjà prononcée contre lui par de* murtntijes. 1 K
Les pria riierye» au>ç vainqueur» étaient pouf le* caurjré ■
| pi<u, 1*L prix, un visé précieux· de la menu facture natio" ■ ngik de Sèvres; m pris, un finit i deux coups de 11 tniav- fecuire nationale de Yei»ailles.
Pour la conrie a cheval1er. pris , ub cheval équipé ; h*. jri*, un équipage de cheval.
Ppur la ccmr-e tut de» ch irs, 1*', pii* , ùo dut frinçaii ,■ ¿Utlé du cheval ; S*, prix, un char français.
1 Le soir il y eût uut bïiltanie iliuminatriu aux palais de*· deux éonseil·, H btr feu tfartifi«, Le concours des ipecci-1 Jeuç» était nombreux et jm^osanl- ' ,
—2 Ln cit, Dauoour et Girat »ont de je tour d'EtaJic. Lé premier a déjà pris place apcopicil des Cinq-cents. Le peconf ne (aider* pu à entrer dan» c^lui de» Anciens.
Quoique le brun te toit répandu que Bonaparte était arrivé avec son convoi i Alexandrie, le 19 ou le to nusnv etoT , on n'a reçu aucune trouve lie’oRrciclie qui «iibrtnc ta1 trurt, O11 sait aeuleineAi, p^r iej rapport« qui ont été fait» i rimirauté de Gênes, qui l'escadre française , depnin sot» Hé* part rtê Malte, 1 conservé, dan» sa marché, douze jour» d'avance *nr leH’adre inglaise. Quatre vaisseau* ei une Fré- Ij-jie ont été détache» de La Hotte qui bloqua Garfuc’, pour
Goî >gle
zOnqlr-al Ire n
NtW YORK PUt»Lit Li&RAKï
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j'Ift rinfa^fT i’^radw de ;Imitai *, ^„.pAx «
moyen , sera'copipotee d-c 18 klUJtlUXiie ligne. Mi plép*· ratif» re ceo limcnL toujours dans lé port de Toulon, es à mesure <jut Ici faitseaiui soni ptëu, ili entreoexu rade.
— Tl parait que te système de Tord. Cornwiltii a prêvula ru Irlande. Le gouvernement y a adopté des mesufes do tor in^cm :nt tl de douceur qui ¡l'obtieuneai point l’weni& ment des iiorBraei exagérés , qui voudraient faire prévaloir i*i mesures de rigueur. Mais ce tempérament taidiÎ n’esl qii'iiD leprti pu lequel ï>n voudrait tromper l'énergie dtïlr- tsnd ds-unia. Leur courage et leur impur pour l'in dépend »ne * tr doivent point H fier tilt promestei d'nù gci lit errte frient Iii u'i'jmait agi qu'avec istute, et qui ne tarderait pat À ; venir opprciieur au manient où il te crânait le plot fort.
—- On assure qu'il est sorti d'un de nos.pOrll unsTtuemerJ Cetiiué pour secourir l'Irlande , et qu'il en dait sortir uU iMtie déni le coin ma ride ment «U confie su général Cl« fin.
>— Le» n égoc iàiia tu de Rastidt éprouvent taujourc des longueurs, et' l’qs u'e*t poiut rsvsute sur la rupture HTcc JAu triche.
. . r *
-*“■ .Ou parle d’an neuve au traité entte la cour de Vienne *1 celle de Na pis i.
La Fraise paraît toujours téiolae i garder une neutralité armée.
— Le g/nér^l .Paragnfy-d’HLillieïl cl eei deux aidei-de* e^ipp »o t< arrives dspijisptu à Paru. Il» oui dÿnne.de* détails lut le wukuu la f<miMc sur laquelle il* cLùeqt
aoji^a i elle ne a'c*i poipt teuduc , oomme ou l’i dit, i li Hr^niicre t>o,rd<e des Anglais, On ue peut refuser du cou- tagf ap.cvptiaiiLe·, mèi’ an*pcrurcait peut-être tioîre qn il n’4 pai restpi.ietice aéc<J*iirt à un b ou officier de mer.
— La loi du iq mtstidor. qui ordonne des visiiér doinj. ciliaire* adonne lien â de· acte* arbitraire* ilaur Ig* départ le me ru du Midi, psrtietllie remeni iAii, les adniiuistTxuoDs y ont fait arrêter et incarcérer plus de l5o iodividus, eemru· ftj efff* et aucun» de cet individus ne se trouvent comprît dm* !r* dispoaiiiom de celle loi. Le gouvernement, qin a aty- counaissance de celte odieuse violation de la ici, i pus, diton , de* memres propies i Ies arrêter , et a pionoucc ja de*. HHiiidu de ce* id.iuiiiutriteu.rir
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Di'uinnl Hitr
NFir/ÏORK PUPl'F I IRFLAF.V
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*a- dernier* avis d'Amiterdsm portent que le« FdrÆci
navale* anglaises et fi)HU se font approché □ ■ de Si près de fl
tade du Te*et qu'on cccfoit de vives inquiétudes «ur Le*
deistiùs de i'cnnrtni, Les rloupes otit eu ordre de précipiter
Jeiir marche vsn loi côtes ; elles se réunissent eû grArid
nombré dans les environs du Truel i de plut, pn construit
de fûrmidablei battrii.es de distance en distance, «ut toute 1*
côte, Les epuc mii dominent ! au reste, «ans réserve , sur Ij
ira et du Nord ; ils y itiiercepteué génersktnmi tous les navire«
quelconques destinés pour les parts de £» Hollmde , ainsi
que pour ceux de 1« fraaee.
- — Le 13 de ce mou, entre neuf et dix tentes du ndr > les
fistomti dévoraient h Un u mi ere d'une b-llnchÎMCuse de la
«ouimtane d'Anton y. Trois citoj· 's s'élancent da.n» les fl acopie
«; le loît toqibr , on les Croît étouffés : l'ail d'eux sort en
criants £tr upii'J , jr la fient; Ce o’était qu'un paquet dr linge
ttfiiúimr. Il fe'Jut de tienne H es lechercbcs, éteufin J a blan*
chístense est sauvées , "
Les trois citoyens qui ont ir bien inéríí , soai Mmfrat,
«rokrntaïre, demeurjnî i Sceaux ; le cuisinier du tii, Lat tnorrnier,
propriétaire i' Rerni.) elJ- B* frermehon . cbaret;<"ir du
cit. Boileau , d’K>*onut. PcrTucbon rat père de cinq enfant
, en bis âge- Malgré les soin» qoe l'on p*atid dr toi, il n’est
pas encore hors de danger ; ti «cri horrilfltiDe ne défi guié. Le
.cuisinier est à peu-prés dans Ir Oírme état. Monfrat *«[ |e
moins nulliüté i c’éit lui qui a saut ê la blauctisteiiM- .
Le mi h ¡sue de l'intérieur, touché d'un dévouement si généreux
¡ i écrit str-ie’clTannp i l'administrait centrale du
dépiïitntent et i 1? municipalité d'Aalouy, pour que l'où
prit'UTi soin pirtiiulier da h femme et des noie citoyen« que
Î'ùd vient de noffimer- Il a chargé eta mime-tetui la mtinici'
-palïté d'qtfrir publiquement une indemnité aux victjineï ¿é
/'incendie. Cette rètcunpense leraMécemëc le joui du décadi-,
en présence du peuple assemblé.
—· Le tnínhiie de l’»ntéritur ayant observé que drtij pluileurs
déparier»tnt les ricanes éprouvent dea dommages
considérable» par le début d'exécutipo dri lois concernant k
chasse » a invité les admiujiuaiions cen.LSa.ks de lUtu'er au.
plutôt, suivant les lûealiiés, sur hépoque 1 laquelle la chats*
" «era interdite ou permise ,· dans leurs recto ru rmpeai.il*. aux
proprietaires sur leurs tenes non closes. .
— Le rie. Martini ..auteur du Drtit du Stigntvr, de Japij,
fient dèîre nominé inspecteur de l’eoserçnemcnt m conitp-
«»torro de musique.
LmOTl-dLABQ^l , ttiiiftfUr m dtf. f
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,j tki ÀGJSSf i itnprimtiir^libraire i rts (frr PtffrWr ;
ta·. 18. An fit df hi RJpûbiiçuti ■>■’···>’ -r r
tte O MB IT ,» 1 à N,1 e » es T *aiW <· >
A.: ■ .'- 1 ■ ■ ’ ' Si. L-i -
près j’aoal^jede et de la
ia traité lur ta mantire dtfÿrtntr. la raintu,! ï-'aut^t
encore ici t’éloigne de h forme drditti^qe pbtat
rendre sèl Jet; dus plut piquante·. Il.ncrmitraiiïppUe
dam-un prétendu payi de PûTt/irürttai ; oà ufepaif
cÎQqaante an) uri peuple:irnrpiç ; çj mêrae
luit-ai: ^12 r fai te meut la voix de' la rairon-ti de ]*
»éïtn,jqu’il n'a par roêrmé betoin de loi# et dst gou-
’»rrnemcat pour être la nation U plu hcuirsiie dtf
h <«r«; et butH-de-ce taml f Je* xfu’ifr ton J
mite veulent lui donner de* lumières pourcenitr^·
net u nirât et !<i maui'j, et ,dçr pséctptef pUut
- kfaire apr par principes t cùtrAiti il Invitai F jtaaqU'JP
fcri; pour ainsi dirévpar un ht Vi eux iris tin Ct. Getc*
HppüiitÎQii, .il hig-tn cumwr, n’eit pM>inâi-ph^
Idophique , ou du moin» ne >e concilie pas trèi*
* r
Ortninü frurn
MÊW YORK Pl.TiHC un; Go< gle
( 194 ) .
bien avec tette belle uraninJe de topi, citte dm Fbuïrsfce* mèdie ; La fille di jUifife tit dinj h , icjaitme de là lumiere. Car ici Ja ville paraît batìc avant la fondation du royaume j et ce léger anachiQ* ' elisene arçcnô quelque» phrases mr l'jtqtiquç v»rp f t la dépravation postérieure qui ne sont pai ibîft. . . lu tu tnt concordarne! avec Cttie vérité : Que fata» mitra lent Cunique b in de la verbe tt du hn.bur, v£.
¿U ItH* que oui philosophe p’a «reut éublft , que 4M?tf· ivUui- Au dtRituiragc, cette Q^itryipoa , p’eqt p^j iert jmportaette, et noue ne la faiio*» que fWHMttW cptu^cd il «t digitile qse l'ini^a- j. lion U mieux réglée çotijçrvc l'txaclitedç rig^drcjiiE qu'exige un tujee philosophique. Mai* ce qui eit . à'xm toi» hhrit, c’en que U» précepte· <kt
>agei de Ponthiamat wnt lei meilleurs rju’oii ut ’ *u* btfmtett -depuri le tofBtnenVtme&t 4i •CgA* dfc* Umici«#. ïli tout pMitgëe en plrmutf t 4tKQUfi peu étendus. ' : ·. *
LVitx,Ft*«it*'deì'édwcartoD phyiiqut de» efff»ft»-L'ri' ttatï·* Arkur fomuruB corpi sain et robuste citai . fegardit «li rtiicp comme un ffélimmeirB néctn . t^irc peuc htir donner u· ciprie juste et ferme. ; ; . P^u* U »ecoad ,.- on èia bii< ha umcierci.de i’i» tfldmcot P» ricMrflfiu· ha di ffirrb* degré» <h wv , tude « 4* ^wbahüüé t tt i'oa expiions hi moy«» j <Ly piwtMr. ì'
■ Jpane hwhìeÉott ftu.Mpumlrtcdiiecdnhtcamir . de noe eridu/lv cine celle j qui oa ihiuiuat qu’iu>| da tìówRmcffijDt^ qua tclrii* qui août J'cAp i du iUUui««* des yaMiims. Vimf«Jil«£ij tiri dir tei» 1
* i .r r . '. .- JJ <?,l . t >
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Ut» »
et U» lia»ou* mi*** «v4*
tiitaq m nombre dei pritttipiì**. ; >■ .
.Enfin, duri ¿nqua^iedi« çtupcibqp^eU c^i*4(njrj pò noni dovoe Jet cod>cU* lp* pivi proprtjr è rnau* fréierver de ce* minar» tireur». Entr'twu ivcjretwi 0 donner de* idée» plu* ju*te* ï li de* ri?
»pye$» t on propDic de Taire et de publier u* ditti Qionnrirt de* itera* de* i&hUinre*, e* ua *utf< de» tirai«* de morale, darri 1/tduch oo di terminerai*
’ ■ «a - * - -
▼eceVi <ìiudr la véritable jùjn iica tic n decer mou.
B’«li mm 4pu*« vu bell* fi utile ptojm (Mit 1>u-_ «
rumi* bien ç uè quand i He r» compiette meni uri. Jet »acne«* phyiiquc* et mirale* ee«w terFcetion * e* que rclativcmEnt à (ci dernit-ft* , jpiij lc cr* olirtene cr *«u|*s4eit, il fAudi-'ltque wu* I** bib"* ciptii* filMcru ftbtaluwteiir *1'ì**|v4 *vr 1·* (ritxipfi fondamenti ut de ia ideoec de Ibouitnfr C en ou rette us montât dent bovi * emette* p-e attiri ¡faÿriM loi** que o»i'i nc penvoni, et ek»atL’flUT tngc qui flou» occupe e*t trèi piopc ihataej 1* tenue. Il eit p«ur «ititi dire ìy rèiàmé de tout *♦ ^tei’pua dit juoqu'i-prò« et ejtplu* lumi neon *of iìrt de reieonacri Mi»* qu’U sou* toit perrtJÌF d# ftyiier no* regesti que l'enalyt* 4*t* Iifuj«é* iniff- kctuqUe* dei'ietnme ii.'ait pa* éié piu* appi ci fut a <i«> Cetre estòlliate lo-jiqm ne itra** peti!-èrre par piu* jaine ; tu* ir *ìirf *£tì>il pia* < ampi «te etpJu* dcMooiié*. Ceti <« qui «e t*ntira edcoifc fdue vii
h iectoT* de i'innraction r»<?*i4e-, pH>pr*- ■·« dite, doùi il noui rette 4 peder, r . ■ -
Aptè* ito ir fait laû a lyre de; fraultée iubriLeté ladk» <ic rhorunz , C* tu avole déduit Jciÿdneÿ«*
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( *0 )
db raiiorttiernénèv il ne testé qu'à exlfaifc de tM
connaissance* les maximes qui doivent régler 1«
aoeuti. C’est l’objet du Eatifhtsnte, Il est divisé eu
trois partie*'distinctes, les notions,, h* préceptes,
et l'eximcn de sui-nême* Mais pour que les vérités
qu'il renferme dirigent réel lurent notre Conduite,
il ne suffit pas qu'elles nous soient connues » il faut
encore qu'c il et nous soient devenues propres qu’elle*
*içuL acquis toute la force qui naît dç la puissante,
de l'habitude er de telle de ta liaison des idées -,
lesquelles ne sont peut-être qu'une même choie;
du plutôt la puissance de la liaiioci des idées neit
qu'un effet et une conséquence de h puissance de
l'habitude. Il faut donc que nous ayons appris M
vérités dès notre jeune âge. Aussi le Cdférfiijwf est
jjit destiné au» enfant. Cepeadaot
l’auteur, n«c beaucoup de raison prend iftiu de
Bout,avertir qu'il ne faut pas le leur donner trop
tôt* Tant qù ib ne connaissent pas encore les idées
qu'expriment les te ira et qu’ils y trouveront, il (car
serait su moins tauüle , et même nuisible , eu les
habituant & sç servir ¿é mets qu'il» ne peuvent cûinpre*
dre. La courte introduction qui précédé «
CtltàtàMt est un-excellent petit traité d'éducation
préliminaire, bien fondé-Sur h véritable atsfcîyicdc'
nos faculté» iateliectuelle* et sur ta connaissante de
la qtauierq dùuïclics «e développent^ -
On y trouve ce sage comcîL u L édbcation ds l*
« prerqiere* enfance doit'donc se bnrner ù !·> dont
» ntr le dé<» morales, à mesure que lesowaitmrt
m s'en, pré»Ô*reot, lj ne point accompagner- J·* le*
Ss 4s b<*uC04»p ¿«dogmes, et coin parants»
t* riréou pai prüualinn ( et sur-touipi H’« ¡temple Vfi lui faire cominericer Us bonti*· habitude·. . '
it Lorsque l’enfanta un certain nombre didée· j» sur les paniom , les vices, 1er vertus, l'ordre ioH c 5*1, Je bouheur t il cil Cems de miembltr c*· tt idéqst et de lut aider à former c< système moral si qui doit régler tout le court, de sa vie. » <
L'auteur: pense que c'est ver* i’àge de douae sol
que l'enfant bien préparé apprendra avec piatii ir et ♦ ycc fruit la partie qui renferme letuafievr uJeaqueL » les, dit-il, arriveront alors à propoi, patte qu'tJk|‘ i> nt contiendront-guerci que dei idée· connue· » de l'enfant T ou que vous pouvez lui faire CO» t* »sure« £lie» uç feront que lei résultat! de tel 0 propres dcCopvertet, et ne ffropt que lui doj\- js ncr des idées pins exactes dei mots qui cotnpor «t sent ton dictiotmairc de morale, si
i Cet no tieni tout renfermées dam six petite dja.- loguea, par domande· et pat réponses pleine· dp juttcite et de precitimi. C'en un réenmé de tout ce que l'on pçut dire de plül tenie $ur tout Jqj iftniiûûcni .liumaint et leurs effe ts.L’cn Lut qui aura bien laiii dei notions ji uioci, recevra volonrietj h recueil rde préceptes qui est composé d’on^c cha-
$itrei ttèi cpnil· et très *4 g O- Qn y trouve aiêrnç le· devoir dçs perçi qt merq» ; et ii est trèi-uti|e d> Ici faire appiendrç aux enfan·, nou-ieuleipentparc^ qn'ij^icqt desiiuét à être pere· c,u lucre* un jour* aiii» cos. o rc pat ce que leur faire ipprcodrq ces dç- Xoiri eu un çûgagc.qicQt qup le« parties prpno^nt de 1« remplir À.Jcm çg^rd. D'ailleurs ,tcutç) le^ I&tieu» locük» ét^at réciproque^ dcJçtn jtiturq -
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Go< igle
Oilyin-ftljm
NEW TORK PURI IC I HRARY
11 01* det per«· le«r ïfch’i ityifcprtiidit
le* dettiti de* etrfjti» es Unti ciWei. U <*t «ime
iTWp&Mibk <fa hit* «Kpdjqutf le« UH>«ai tel mues
Vert N qveïattleme , ftQtotM reuj que l'cn
«taftfretiiM ¿tfjirt p rend te nui enfin» l u»¡khibl·
«ê«'* iMunIrtet cauli#în*i rqu* lei jttujiHfapi
porte d'^«eMe*1i*s ran*flj de } iæpi?riseee de.cet
Ht dtfhA* kl hJD^Otji de le rendi* Mil· *
fi crie. H éat-eetufa qtredej ■ teilétiir
^ur ta l'atta e tet le fertifta «Tatoir urte e&*idtiut
éthirée « vijilrtre. "' ■ " -: . ..
' lp rtrte de Hjovrtge «u ccdtCcré >■ «nantit
tint tur Ir Ctaprf&iai. C'en p^epTomtirt k tegent
de F Urti tâtent, p» De lui ip preti dre * Îarrege^hH h
£t'I »Hiemer io»¿leve ■ taprtlirÿi^tjfl
pricrpiei-CWspfa qne je rrcmvctif dei ebter vaironi
et de* rjévdoppefwtfri tur rem iti aiouvewéiM fa
tutae Iterai afri q tri fan? te ehnts« de tenir htrnime ipii
ptdn, et far di tic et dertoat 4ire qui ■ ta-tam
jrtnrBieCT. Lé» rechçrefet-T pMHidphiqMi'p *«<
patremï.ïn (FrpjfiitattinH uii*m£én faute« ct-drpe·
fatii IfUfitfireHnii-a¿rpiblet-oà lei trtnervjriodtMtt
tnlirt eh aeiiotr Me· fa »abiere fa pfat frappasi».
Çr t^ùpttrtittiire qdi coiipTttMd farJcteox iteti fa
fetoqd Vofamt e ciani lfe trohierrte » tir çort^MÎ
ï“eifaMwdiitphatm odici plta oniàdhn érttrfhim
fall dvfai’uitt inornare piincrpitì» mi do de tifa
dtf Adribàr cfan« le CMcIììmì. Chic tee eri
WftpieiaW i'âurfÿÿf defa ntrtiairff Ifa quelle e Urti
falpùtt*. CVft-çc-^ut «cm ‘arm *àm fiurpakiWd'en
tìotìtìtìc iniv idéepPur çtattpftcte ¿afa ir*
f dUr M bje» e d Affette, ^n'utf WàJ0
Goi ^Ic
< ’>w)
ilei ajrfîMe quintile, c'e*t de le* Hn l eu Mtd Finïlyic d'un· »uly*» ett k oho*c impartiale* Tdiïi « que Heo peut à*et* d’ttdorater le uinTÎti «pitnd ii tit rtofMOé diut àa treit ragééiewi*, caf thaï Oh» Mtitece précité« Mut» deU tettoie*pia·» dedrt »cMUdkuBti . P renie rwHtó « Mi teikitt de iÌ»pn»4» perdete Ijotcoap de Ifcur prit quftad Ht· »et détwcWr de te cyoi Iti prétede * et «d etc nMrt*« apetà à»’e* pt* bien Mrtir k MiU· iccgndeatMCr *àt*lt de Mirate et de théorie d'rrt, ci il farufchki», qàe h mdrtlc *oir Ftae et Feutre *. ti a» ne vwt· pto q*'elle ne toit que du eerhuge ik frwd ndr ritt n’eit pet de proférer de» yjrik·» wi* d'e» Kwr k» ptewrer, «< de k* bit* txppier· rlp» MMr>rt qui nosi ont aontorvd le* dite némsr^tf ra dtt tomate» eékt> rtc < to** tdmjt&t rendm an b**a.r OJMP P>U| Bftnd »»ni« Mk »rn» fcitafc* Co^atÎJtre h-Mrie-d’jdéet qui koxpfld^îidtJcqMpopbrqpï^b, tyel 4«« krak-qit d’un Uve à”k
ÿâtfnttit que fénopéc de» aWoHhic^ raWîCA dj?*v Mt k dàmtwfrtrôw ? va 4’*d Ikw d» physique, V* dt9Î* 4*1 vtrtót j^tofak* ♦**?» expier dq( qutUet etpériewit» *Pé|. jpt,
thé»? Ç iW* pqulrdpe paa» *voir excepté h iqcryk Î*MW l«*1* ÇQi&qiUi>£, qifF (M piiccpKi pqLtijt, le ion de*■■»¡»•lit 4e,fq*, admk4M* SB“i\
tm*ìm rÀcMt« o» «Ht MQ* «we* 4Q$M*k><«A dwu tout lei CM de hl* fan fteu d'WpSMWÎW- , , : X4mtroiai, je «e p*k me w pkjtif 4·
éWitit» ici qMÎqttlc*«* 4t M* MlM lCMMft
4MWw qpm font mutiKt et BtaMih pWwgHft . Nt
1 Googlé
( »· ).■
ni·. Faute urqui irtUi instruit' i $t autant <pi* paisible
, J’judiquerdi et qui îer ¡nutnei .
. Par vxunpta p»pcrs. de» puriom en général,
iJjut&urfai't çctteflïgeïàfltii&u, a^ucuo i»1 s
« ms dqui Je diviser ttûimoç sçnuni mis durabler, en
if-piHtats ttgréiiMea e£ ert^pa jsîohj pénititj^ nuilàl
si’ eaisingutter qu ili aient injfoüt il·peu-ita irqmÎ
,t ta pfcmtftti vicieQséiéeaicnc ou1 devinaient dw
Ppi'ssitrrry pihibta i et-k| piiîiûrtj veitQiîtfr
f· étaient tcujaut dis palliant ragréabta ‘¡ir II s‘t*
rbntftt"avéc> i Jiion , qu%n' ait fâlt!ii· peiid'ûiâgt d^
twite Wriié « pour eusager'içi. hctùnio â uéirtpeftir
ea eùü ltS Litiet, et en* extirper tei auirei; fl > ■
* £hnf te jcfripiuc dé- rdlrglicil! V on ||t cés^troift
sife-gifind iùclonvéïiietlt>d¥ 1-Orgtle il ell d· l'M»-
<< ie¥-^ Vt ('amant de la glÿife veut mériter in t*-1
iT ctrÿÉEâËliiricc dés bbnpnestl· orgutfilkua 'ta ia4-i
»r’ prisé-, l'am’ut de In gltdre ta estlpùCj fe'piettie·
fi n^t ci n su lie sürïbB méita qùeîi-propt^'opiVÎflij
if Ie!ljêi<irtdJ, pour iùvéir ^t'qti’iCVa uttatrrisij*
>> lfopinfbn dés aiitfifdJ^A'En sorte qui 'iïitttiour dw
û la-gl'oiréL, lajonissdncV ïifimé de la gloirtfi sun<
il -plus propres à tempérer rorgïïéil qcFà Fèaikief·»'
fï Üüt'des tbôsci qtijpî énerver a lé pliis ritott élève
if du'sentiment d’orgtifeil < et sera dd'hH defrtieti>
de bonne heufé Je· idées-4e Ja petfec-tion’; il Vite
,r trouvera trop éloigné puni e cunscrvtr uHceftbitfe
l> exagérée de lui-taémfl. ri ■ ' *»i *'■-"■ Îi:iiï
' Un pese avait, un Éik;[idnï< , i&êriac biairfiiittfc t
paaia orgue jHeûx^·« Les plut v*ge*jtrtïdateti^!^i·^
M tiM À Î*
, ' ■■■■·.’■ ..
CW-al iwrr
NEW VORK PUBLÉC L’BRARY
(*»') h-toi godent de U personne.......Apprtudiî lâïdifc-ïÎ,
ji que 1er bornmtî ont plus besoin de ton estime if que de-tes^iccGurs et de tes çonscili.,, ■
Dt .la toléré. t» Les Grec» disaient 5 toléré ranntt*
V
un homme fatigue, et ils waieot. raison..·.. Celai à IX-qtji faxamen d\ne quettioa pe demande, ps· ii d'eflous pe te fâche guejej dins la dispute..^·» If La»que yoju H*tC*1* cqjfl*« i-eaipnïçr de yotn» û amc t exatninez....*,. Si von» îiiionnej , vous n®
V
ypua irriterez par u ·.·. ' s
Au sujet de U ¿¿jim, il dit : «■ IL eit reçu qw I* -peux qui aiment beaucoup- peuvent haïr beau- ' >» CQup, Jecicdî cqtte opinion a uni fausse que- dam* t» gercujte,.»..Le plaiiir d’jtimer adoucit, ton tes la* ii parieurs.: ccsi lestence précieuse envoyée; par il ica Dieux, et dont une goutte patfume les mer*· ** Je supprime.· regret.tout te qui lûe-ensemble cea divr|Iljpassaget ; majj >1 je voulait copier tout.cer qui «ip oj.t client, je copierâij trop de chosis. .
CpDtiaurmi , «t é«wtoùi. ce que rajitcur dit de»
i
“’C^Uc pjuiftüiqüi cidc Aristide T .ctc...„ » est la seule .qui m'«ù fait douter quelquefois quq v ¡*hpowiK' fin,.né pour vivre.en so-riéti.,.,, C’est
ii
Lik Ktide qui dans l'cpfaacc même ne soit pas. ior t> gênite^,,.. Votre 61s ct^il disposé à la morosité, u i Peiprir chagrin, cfoo-t*, 4 a tu renie ut le .»psxti? p ment habit ut L de safûbUMc, c^use ordinaire dq nTeuyic..*, Le plaijjr gflériç plus de vices qu’il *> ri cerf an naitrcr » ÂruHW.ldu çsprit t ne ÀeMr ûguez pas» u^mptayes pask iùwulan.t de Tétuu- hifoo. j<r Atcoutum»^ a j^j inpotitrcs de psirit«., si qu’il ici voie souvent.,, Et ailleurs :' n LJa^WM
- Go< gk
v _ ■ f
H fwin dû U etÀirir peer «at rhetnMd qal «nt
9 mieui que lui. h ' ■■- J
Sur h »kagm, Ï»tit*a7 dotiAe de» cotJifttt y«nr
HMHtarrtcr wiutr le» eipscei de chagrin. V*tr Aa*
grcint vau· *o»i, «ecrçie«'v«u» de dit pt»rt>yde
M> doiB*ni^f|if de le* HivlW/, de te
?riiifrçjej iW tàtiti df dit-il, é'flitü JJrfiWjfff1
ttr-pfanirs. Li plu» l®ia . on tbttcbt fc vmi» *ndftT/·
aétftewr vtelmr v*«m taMtitr ( dtlM-tfMNFfeftp
Üffi. Eit-ce ÏPf m<zurï, vov ¡^fie^et-, tre t*MU
«Ér#r49NÉMHt/iu f flirt'tMpm Etc; cHü
■ f «rit il strtwine aferif i t< Maie iiU» mil« iiiffrt*
*« tÉi«m cn farce et m fi<7tibrtr»i p*u ¿iai* t-hJ
v jfajEetHcfetgé de doutai» pày*iqie»
* qi fiq» ne pou4ait pfitït rectf dir 1 Hpé+anO d’u·
* fljeiHtût wit, i'j»pw*ac« de hjro dubion, «¡la
*» uitiue de te edcfifef ut ï h tu enf i 1· rwt», «B·
* de tirrtr bwilfrtiJt d· a eut qu'on aittb
m que fetdiskHifeàr» i C*N» tfd· ïfweeliet
ft'flitetatt paè d^Ù ta Botaahu tabtrottettcea-
** riÿeut de H£t». M> Ajouterai e< ^mkVT&c qw*
qtftÿprtitoMeavfeii ife fer» pic«. ■ j * . ■:· '
de b tupotiirid-ii «ia«ne ceirMelta*
qo'oji ne ptdroep rtHtti’Ki
t^¥#£i<iw et qput l'hotrittià a inftglMé If
I^dfirtafr dei dea* ^rtaipti/ Martin a tort dedttv
^hquTrJ n’y » phwque· ta ie marticbdeh t t<i> ta«
** qiié ta peeptet dd i'Etrop« «t do J’Ajre ont d*
j* Dknet du diaMé^WMt titet cMtanm i tdh*
w-itï dÎKiplt« <t Mnftèe et ir crfta quêta «w»»
n*WtH <k lot-tnnr» om A’ÇrwiK «c -d’Atr
WtaMte»' * ! ■ · .·■:■■' ! ' ■'
nginal Irarr
c ..■., i. Gût NEW YORK PUBLIC LiBRARV ;q!c
(
« Pmiouj l'bomrpc a dfi luppoie* que deiétra n ÎHVÛiblei étaient k* diipcniateuri de» bien» et I» dçt mauï. , ' > .
V Nûu» pCRioni, nom vouLoju, et en con^é? *■ quecçc de nçlrepemée et de polie vqlopté ndM » ¿cppTimijpf du ûmuvCHtçni 4VX forpt étrange^ 11. C<! iuptrq «fthwfr Par-toj»t çfe Ici homme» Mt» », lutnifrei ont vu de» raouva^KO» , U» ont supr n p^té n» h »ut vclontt 1 ili cm peuplé li|
élément de puû|aDte> atüvcf i l'bornée i qïtn- n viiQMé dfi Dieux. »A Telle, eu U. th^ogpaie dç l'auiex, Aum» déâai mute meut U ^uperetitipp* le ci>u»4< dit ÿiiitUHiw. mvifibiti. . ♦ tI*
11 ®0quç, MÙoq ;auet» ferme et ev|i» n^ttq À|i»> i’ei^cUfQ de cette qutuiop 4 f.t dfiir du m iitJifi MÎ-iï un vice ou une pfMu f *1 Lfl mür>LÜt<| *t ftJÎS1 II*» vdU-âl» dp t 6U ppjitiquc Cüippie
h «n motale. Le iiuatitooe exagere tout. Qufltf * felie de dite que I'muqm» de» eichaust e»t un u xiic.ei de placer. La4><uief Mon data » éUkd> » naettun et de pauvreté qui >qu* tend uu4i^»4 j» ouux*m<io»«» e.c ipjt mire»,! Paucqupi o'^-ion pae ■<dit *ju« rUdiNtrâ ci iangji^ du ttwûl plient ■| <Ui Vhcc*» pui;quij» pcxpijeirt Lçi fithcw» ? t». U E4jjclu( cjuc tout, dépend tel·* meycu» qui i'P· pujf 1« atigucfti, et d· L’utafe qu'un .fi· lcit< . 11 u«cc cniaue L’iustoiïo d< , deu» i«»*· de ^¡tqRjM oppcKi, qui l’un cl L'aytiC veulent Uf pûisr.leur Lyieuac, L'un te Uit pjatc ] i'aaiHi n*T ÎQcÙDt t juin deux devupuecKnuM». Chaque uj*i de » ijilctu' eu iiuvuttii ¡. l»fi»m»-fOE· cef
edioâT^bLc·., t» Le icmmerçair» apaà» <vom I·
I
-1
Go gle
♦· vie i jûn fierc r«ta dabi Corinthe avec" une
if femme dont iJ toit la gfciie , et qol était k ¿h a rat
*r de H vis; il y vivait avec des sages et ceux des .
il lit godant iqtri Farnour des richesses n'ivait pis
¡H fait oublier tes inities et ta yeriu... . C'eut ï lui
ri peut-être que les négociant de Corinthe doivent
b la réputation de noblesse et debemne fin qu'iîf '
ii ont dm* toutes le* contrées, s» ( Il fût h e méat -1
fci tranquille. 1...... « Le pirate retourna dans Cbalds
si retrouver des enfans qui lui ressemblaient trop
*t et hûe femme qu’il n’aimait pas ; il ne putréu-
»t rrir autour de lui que des courtisane«, des prêtres
it et des histrions. Méprisé des sages, étranger aùM
ir plaisirs de U conscience, il fat toujours incaptMc
ri de jouir de ses richesses, et loujùqrs tenté ne 1«
■ > augmenter.a ■ ■ '- ■
Le même esprit préside i l'urtveii' de fambttflHL
J ' · ■ - * ■ ■ . - ■ -
J i’f rdm^nr'deVu gloiret dit c* Catéchisme,
tHrex^toui * Rép. Qyi c*Mtt ju’jf'-y- 4 dt AHU* rsT/* 1
IWW «Jj&rrr hi ut ri«. ·- . ··■'■/ 1 * :
' La longueur de cet extrait et i'cejpete de pipît* 1
lordge inévitable qvp produiseof t*r*t -dê peniéet
dont les liaisons sa ru sup primée tiiemblerriom'i'1'
terdire de <w*l*iplier- les citations. Mari je ne pwi<
Kt 4Lvîu*eti dire e*coce quelque! nwll dqspaiiionl
vertuvuséM oar ce sont « lies dont l'auteur estant
n»i et sur lesquelles il dit LlichoRs Les plus ri*
iMblesec les piurfinei. Toi etc oe «ba^maàt cpïc
tedr .t Que vos eafani, s’il est possible , n’sietd
» .pus betoi* d«L chercher des unis. chez les étr»- .
su guet; qùe^hicuqse djae : Cet komoxe doiri J*
1 Google
'( )
** veux éire rjm'r vaut peut-être mieux que tûott i* frété ctmoi, miii il n’est pas mon frère*. D’ail* i* leurs «si je lui mou ire que j’ai besoin d'un ami, >i que pûurraû-il penser dp raûp frçrc gt de moi? i>
A. propos de cette union .des frères, Fauteur dis* cute la question de l'égalité des partages. On voit qu’il penche pour l'institutipu qu’il a vue autrefois •a vigueur« le droit de primo-géfuture. Il rassemble avec talent ;out ce que l’on peut dire .de plus fort en ■■ faveur/ Néanmoins il conclut ainsi : m Cette »< loi ' cependant qui accorde tout à l’aîné des es* » fan* au préjudice de ses frétés, est si cap traire à » la nature qu’elle n'existe pas dans les république» i> basées sur l'égalité dés droits poJii^quc| ; et malgré n loua les avantages qui pourra ent résulter de son M existence, je crois que le partage doit être égal V entie tpus U» enfaus d’un raêmc^pero, 11 El dt'iis un .autre endroit il dit : J'ai vu iw/iii rdfiubiiyui d'Europi itt tnjütis plui tiiméi que tiam d autrti gotiver* . tirrunt, On voit que ni la puissance de l'habitude « ni celle de la liaison des idées n ont pu surmonter la vigueur du »3, raison et la franchise avec laquelle il lui obéit.
C'est par là qu’il est si supérieur au vieillard chs* griti. qui, toujours blâme le présent. v Ches la plu* ft.part des peuples, dit.il« l'état actuel;des chose* ' it ne donne pu encore un plaisir bien pur au phir 1*1 Lowpbc qui des observe; mais.il lui donne beau* si coup d'tspér?ucc$',,„ Prévenez doue,vos éievci ».contre les iophiites-qui prétep4eut que notre » espece se dégrade de jour, en jour y et qui ne
■ ' / ‘ ' ‘ ‘t,
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Qnfliral
PUÈl ClfHRAA
Go gle
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ï I I ■ | b ' r
fi voient pu qui depuis un iieck elle A, petite tri
fi Autant gagné par Idstnwurs qut p^r Ici lumictcir
j» FaitCJ-leUr voir tpe Vboitiine , forcé pat la nitute
ii du chcrchrt le bonheur , *ç l'a jamais fait dé*
i» pendre, nutaÈc que ilir.» ce siècle, du buttli*ur
dei autre» , et qu'eu fin il tend eafls t«»e à dev*> ■
it oír meilleur.parce qu’il tend larts cesse édevtd ‘
M air plu» heureux. Ldi tufan» d’un Cfenieuf
»* pont rirent élit le» àiniidc Icnitipéceii»
£t plus ¡oía il ajout* 1 « Si je venait i perd« ,l
U le lentimenl de la bienveillance, je ite ticonniK ’
ri irais plat mon cfcari.'U II me setubltrik qui , 1'
fi dégradé de la qualité d’h cntrat, j’cti COns revi * |d
fi peine la Sgure. i» Au fri e«t*il on hnuretnt etewp^ h
âc la vérité de cette belle, maxime que uoui lui dé- P
toni Ancore. *» De toute« les pasiiotH vertu«»« 1< ■
ri bíenveilÍAtice cít la plu« prompcmcut imiite r
i> la tcntir« c’en Fjospitcr ; h voir, c'en h pirwü
gér. i* .
' Je Uni» aprti avoir patlé trop long-tettu peuf étre î
mais je quitte à regTtt cet ouvrage » et je pente
que quand mi cae U nt serartpü« tré»-inter tsiantp^l·
personnel de «on antear, par les charme» du atyie-r
par U richesse du talent , il «écrit dtrtort tt04e*
marqua filé par la braté du plan ; et qu’il f*rl
époque dan» l’biitoirtf de Ii morale ¿'cotarrf
¿tant k pretiiitr Irrité de cette icituce - qui p4^1
«ente, danf un Ordre méthodi quelle s biws
«ucHéi elle »e fonde, I et principe« de A dn datte qül
¿drivent de cri con· ait infices , ét les 'Éictyms dé
porteé Ici jeuuts ¿«¿s* i le conduire Jd’ápi¿i <dt
C’ Iijiii"! fi ijrti
rJEW ïtjrk puni je i ibfiarï
( «fl
pdadpe*, iuifiLuiioot wdijdéi terottf phifaittl
ir y «stable eipi it de» l<*» <ti qtfll dfeit htr.
L I T T È R A T V R !.
i itiiftâ fifait à J*r «r«b /rh»
tifu^ ciç, ?4F luit, Bomrmuts t prtfniiur jt
, IfUy-liUrti à CÈcrli fntrtli A ¿r/Mr/tMeoi de-i &n
! 4 ¿/fltipaù {ttÀ Parif , «Ar* UWbf * ru âa
I il HrDht ¡i^*t pl+it PL
I dfitp paf#· P)**? l/mt,
[On n'appreAd peoMtfe jemfci* ariet* n btijùd
.1 ^s'ep étadiaai par principe· une langue motte, qu
¡lut langue dirangcrc* D'aprè* celte obvervatioa
I toijLinie , Je* Iwoetne» éclairéi déliraient que t'oa
tHlIei ¿fifon)tiret latine*, qæ pour cela cm ab·»·
| doonir h miiciie de» ancienne» , ce que i'oa en
I iatipoiit lit tur le modèle de* nouvelle» grim*
I «dm fonçai»«*. On opérait inculquer d'autant
I «i«i 141 etudiant le» principe* de notre langue.
I h ciir Boinvillieri a Miiiliit à <· deiii, et a renrplî
I attente- S* ¡ta» maire latine «k talquée »ut
I |r »¡Un) ai te IrauçaiM du cil. Dofeirguâ , grauamai^
I rira pbilaïupbc·
I H eu diibcüe de fane connaître ¡ci Jet détail«
I i'aù oarrigt de celte turwe. Nos» droit* leuic«
I Nttit tju’ii i »ubititué Le mode cnjumif à celu qui
I Étut oorumé »i itopfûprcment iubjenctif. L‘i»p?r-
ItUt du *ubjencii( «M devenu le préien^iundiiioD·
Goc rglc tlEW VORK PUSlIC LlBAPUr
( )
Bel ; lim parfait dé lïndicatif, h pasii siùSultai^i r
le pirffüt de fiaf «orrMpond *nx passé* itidé’
fini, défini et antérieur, etc.'etc. ; -
La eyntixe est divisée en syntakr d’actford te
eu syntaxe de. tomplémcfiuOn sait que le met *ignifictif
compltmenf a remplacé cher tous les gr ans tuailiens
le mot régime, qui ne signifie tien. On trouvera
dans la lyntaxe plusieurs ûbïcrvatidni, fiues ,
qui donneront uue excellente opinion des tonnais-1
lajacea de l'auteur, et qui rendront raison
. ■ · I aicuri anomatici titra» (dont on n’avait pas tnéiüteherahé
la cauae^ Nous miiotï! les professeur/., les
instituteurs et Ici pelc) à adopter cette gatfatnairci1
Quand pourront-nous de mime leur indiquée ua·
grammaire grecquc-fian^MSi ? . ' ' '
i. :
■<; *. J
■*'»
a : '1
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id4 ut- *.· -
PÜÎÎOLOGÎÉv
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NEW YORK PUB UC LIBFAHï
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P H I L O L O C I E.
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. l . PltDui «t jucunditati» «t gratis , «rüt
iijüti* et ver b i» feliciuitnl ,
De Hariikt ^JiNTll.
Aff/a riges dt litlirmtttri cft viri tt <ri prttit, 4t Mjt Natet-
Et »i occupati profuimus aliquid ciH?
Vui npstiis , prosimuj etiam ,’»i ponuraut otidsL·
€ic«tu Tiirciif. lib. 1, A Farti , dt CiNpnmtrit dt
Didot jtmtt cfm Onfroi , riii Sdiiti-Picier, a*. 3 ;
et Funus, rut det Mathurint. Tritis voiaaus gtand
iti-B’. , rAhfitn ifentirin 38o pa^ts; U pvrtriut dt
1'autmn ■ >
TlQlSliMl ET DKBN1EA IXTtAIÎ (l).
C es Mila-ngtt nom offrent (a) , San] le titre de Ri·
fitiitns sur tt finit d'Horace, de Deiprinux-, tt dt
Ritirrraiu un piralJeJe étendu « raisonné et Birfvî,
eritre le poêle romain, notre Jityriqu*, et notre ¡ytique
français. Horace, ¡’aun de tout iet lecteur· &
y est apprécié d'uue manière itèj piquante pour tet
amateurs de la littérature latine et françabe* Dan»
cci Réjienioni , ¡"auteur rapproche et compare ce*
trdis grandi poètei avec autant de sagacité que de
jaite«e, avet un< critique fine* un jugement lain g
■— * _ ___ _______ ___ _ ». ■»
“ ■ l
(.1) Les titrait» précédée» J ont, »merci 18 , a3 «t gj.
Ttùne lc±., page î33, .
T*«» XXXft. 1 0
o Go ;21c jigirul h cm
NEW YORK PUBLIC LIRA A "W
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e
ft tvec autant d'élégance que de go fit. Quoique
certÈ dîisertatton toft déjà connue ,· et qu’elle ait
été réimprimée dans pfusMur* recueils, ou.h revoir
encore a ec beaucoup diniérét; quoique irÈréietf«
dire, ta toUgùhUt ne fiïi ¿ut point i nous nous b ortHronl
ici à un nombre de fragmens détachés, qui ■
feton rt rinàltre autant que les limite» d'un Extrait !
. peinent le permettra, ce morceau de littérature Tt '
de csitiqut, I mû des plut remarquable* du recueil.
,Cett£ ditltriàtitrïi dite de *741, terni où l’aultqt, ,1
jeune « neore, avait une commission de la cout tic J
Traiter auprès de celle de Ptussè, EU« fut lçu à j
l'académie de Berlin, pour laquelle rrauembli- ■
blcment «Ue avait été composée. Ou la ttoart j
lmp ri mie d*°* . 1« recueil de* Üi/mûr«. iti-41. , j.
année *74« , de cette société littéraire dont l'auteur !.
- * * . 1'
était membre. On in’a dit i ce sbjec^ une chose qty
est singulière, je ne sais si le fût etc bien ter- .
ùûn , que Ni V«ï □ ois est le seul ministre étranger qhi
ait eq INsmscuï d?a voir, été admis dams cette ccithje
«acidémie* , .
. ' L’auteur ftit rein arquer le tour heusem de Hit- .
nrid du sa lyrique français «nverr Louis XIV1fat’ «
tifae ingénieux que Je porte sait employer peur
prodiguer un encens détourné dartt l'invective de
'l* Moliptic peMCmuihée, : ü second chant du iotria;
il croit que Boileau en avait prit la première idée
dans une ietwe de Voiture au Grand-Coudé, EH
ce sujet, les réflexions de l'auteur sur les catacteft*
rapprochés dç Voilure, de Corneille, de Sêneq«
et de Pline le jeune, pir rapport au nsïuvàij g«1*1
cl à l aSectation ^e leur style, ont encore aujeni* '1
1 Go )*jle □r.pnal mm
NEW YORK PUB U C U 0KAR ï
1
ii’tfiJi qhélqiïc chbiê de neuf èt'dc ^iqbdht, êt nt^
ritent d’être ici rappo'riiféï- ' - " ‘ ,J
'■ « Ce-Voîiurfe »avait louer bièii iheriîïtjt. Scu eJprït
esiniatqué an' Coin du ni au vais'
tami, et sans doute du sien; mais il en a toujours
beaucoup , el têi louanges en sont jjTeines. Je né
qu’à lui de lé trouver bien plut près, utié
il !c "pjVdît pyr plusiéûrt de ses lettre«, dé La lec-
&)ré'<J?S méilleürs Olivia gts de» ancien'«; Un Homme
kirfit dans lés défauh qu’il àpper$oitT et n’afLjal
!· lucaln , et de chercher ouvérterncrrt dtri beautés
ïntrtia tiqué »dans la Pharsaît; Mais Voilure , zéli
partisan de Cicéron, se déchaîné eri mille endftiiii
toh’te l'aFfectalion et le style précieux de Sèneque
et de Pline le jeune tandi» que lui-même ne «'appert;
ait pal qu*i! est toujours rccliérctî dans sa*
tours . ér n’est jamais naturel ni Simple dan» set
tiprésiious- Celte contra die tin a cJt plus é ton élit te
que rare. Séncque lui-même s'eit élevé contre Je
Iniui'SÏB goût de ton teins; il pleure la bohnt ¿loque
née, et attaque avec ce chigriu qui jic L'aban*
Banni jamais , Ici orateurs de ion »¡etJe , sans *e
iduvthir qtie c’est de lui qn'ili ont pris ce ton
ipi'11 ledr reproche, et avec lequel il dedame contre
«ex;,. Uetpréaux s'est bien garanti de ce défaut i
■ ■ O t
Go ÿle NEW YORK Pl.JR IC 11[1RÀRY
I
ftltj .
od &e l>hn|t lui t»procher aucun de ceux que »f critique reproche aux. autre·» „
Danl ljs double tableau nù l’auteurJ du tparallele^ met d'abord eu regjid le» deux saiyriquei, Le Ht>- jïiaîu et le Ftançait; voici tomnstnt Je» principaux trait! de ton pinceau îiûüi les caractérisent. Si ce n'cft que Ici. deux poëict ont un mciat goût» ,, ennemi de L'affectation et de» faux brilhns, « ici >atyrc» de Boileau ue tne par a lisent avoir rien de Commua avec celle» d'Horace» Ce u’at pa» qu'en bien . dei endroit», le» une» ne »oieni imitées, et »auvent „ traduite» de» autrét» mais il eit bien différent de . M traduire un poète ou de Lui reliera hier- Lun ett „ l'ouvrage de l'art t on traduit avec du travail , dt J'appli cation et de la coDitancci fa ut te ne »aurait être que l'ouvrage de la nature : il faut avoir la même . toumuie de génie qu'un poète pour Lui reiiemblc^ , C’en de là que rétulte la différence qui dis lingue . coi deux tatyriquei. i» L .
« Horace port» une lumière philo»aphïqde mr H le» maori de »on terni» il peint le vice et U et vertu , et le» colore avec ici nuance» Je» plu* J «> juiies et le» plu» propre* à inspirer l'amour dç *> l'uno et l’horreur de l’autre : c'eat-là ton but. U
* - i . 1 j
. m ne fait qu’effleurer ici aots écrivains de soi ternir ' ai ce^n’cit pa* contre eux qu'il veut écrire : tant pi* h pour ceux qui te trouvent njttcn pacage : jl ne *i va pai les chercher. La morale eat le fond» de ai »on ouvrage -, non pat une morale aecbe t mono· I! tone et inanimée« pour aimi dire« mai» vivante, t» enjouée t variée i l'infini par,de continneb por- (
» traits. C'est dan* chacune de le» »atyres, quelque 1
t -
i Googlé
onsml bon-
rDFIKS.ini CI flRAÏU
(*«3 )
si précepte nouveau, paré de toatei letgracel d'un·
fi poésie familière et d’ùoe' peiiijiirp vive* Le corp*
ii de les satyre· forme une gale rie de table aux..
si du poète français ne sont, à proprement parler,*
h qu'un tecdcil ¿observations littéraires ; il 'n'tft
n vêtit qu'aux miuvit» poètes t il les attaque avec
11 audace, il les poursuit aiec xchatce ruent. Ce qui
11 n'est qu'un jeu pour Horace,çt m oc une espece
ii d’épisode qui le délasse de la philosophie ,est l'aFn
faire essentielle de Despréaux , qui au contraire
ii ne phîioiophc qu'en passant; et alors, quelle
fl prodigieuse différence entre eux f Boilçau prêcha -
a la raison i Horace la fait parler , la fair'voir, Lq
a Français montre la justesse et la solidité ; l'euim
» les cache*, tt ne laisse voir que l'agrément, Cç
h qtt'il y a de singulier, c'est qu'à chaque moment
■ n en retrouve Horace chez Despréaux, et Hoxace
ir traduit aiqjsi bien qu'il peut l’irra* Il n'y perd
n souvent sien, si en en excepte une certaine nu*
q blesse de tout qui çt[ in imi table | l'art, qui échappe
h à la lime , et que la namre seule peut donner,
n Voilà ce qui manquait touveut à Deipréaux, Aussi
a de tous Us anciens qui lui ont servi de module >
fl Horace u est pas celui qu’il a le plus heureuse·*
fl ment imité t il trçurç mieux son compte aviÇ
fljuvenai et Pç.riç , dont les écrits potleat ¡’cm«
n pieinU d'un caractère sec et dur , plus analogue
fl à l'inflexibilité de Boileau, que la plaûauteiin '
fl philosophique d’Horace« La traduction qu'il fait
a dans « satyre sût l’Homme, de cet beaux vers de
fl la satyre V de Feue ; est un chef-d.oeuvre , avec
ri lequel il faut le souvenir à tout moment, que
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Onqins tTD~i
NEW ïûRï PUBLIC LIBRARY
■ ( ?*4 )
« Fv« efl.t Fotî jfpaj , 44 qn veut lui apcoidcr 1» qup préférence J.ur la içopie {>)_, 1* ■ , '
ÏWbo<ii, dît ühJurité^îVett tenu de marcher, — ÏJé Ïl;ti^-1qc4. —AjIitÎKffjt. — Un maiïirü(. — Tu lépd.quei ? -r- A.ptjue ht tplril tiit an.vnf.l^s bamlqut*. ■—.. ■
fi‘wpoji^» bQïi4>3i· :— ïottr ipqï f^re •pt-M tput ? — ■ ·
^ftiir fPprif.rQedu dft Iiqfl4 l'être liemc , . :
* m’iV? J.ÎP'l’i H flp.rcrtiiiüe et l icnbrs , - /
R^fytcF^i.^a he^iin^ii le gjnge^htFf — ,
j’ai df 1 jjiffl* pi |ôula 5. ex je gai s ^'çh pjpy· —i . On.ii'tü peut>roji jvQÏr ; et pour an imatiti ,.
'J1 na faut épargner. ni critnç, ni parjure 1 ' ,
XL I^tiL souffrir il faicp, et coucher, sur la di^r-ç.
56 Pbàrqtrci cçlt est-il ai bkü traduit? C'est t[Wl et là cbùiiiii? de source: 1> traducteur alors petïsiji' d’aprfrsTur, et il âurair pu flirt la même chose quand Périt Afe Tairraît pas dite 0Vint lui- Il n’en éitL^a*r de tnêmé cï^Horate ; et celui-ci , n'a gutrcs dit &é' cftoses, qâî jan» hû st fussent trouvée» sous la pLurpe de. Btjiie'dïi; fi ic On s-approprie tes pensée» rfuà: nJtïbtçnlK?r Aufs pour cela, ou né pente pas cdruffià 6 lnt> tlottue s approprie pas ce qui le faisait rt pense t, je veux dire $dq génie. 1,
6 Dcspicmit· a fait de» vtrt admirables , des cti. tiques É*oe 11 en tes ; il a donné des leçons raison-'* pabln (*ii a employé ués-heureusement Les pensée» cFHoncc. (Je confonds kf, pour abréger, les s.ilyKf * jioilcau avec vt* épîtrés rhorakt. j On y tr&tévé
’ ■ . ' .· ■ ” il· 1 > 1 ■ " 1 1 ■1 ,-*■1 ! ■ . rrr,
. " . l tr / R, J ' - fc ■ ·
W-’·? , ■
Jflb F, v. i3î. 1 t
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Nrw rORK=.ini!C l nRA.Tr
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partout un poltc mitre de »ou itti écrivain, judificuit üu tomaia d nu goût tir et dune t*Q·· nk iiipc. Mu» i <<Att de tant d‘admrakie· qt»>- lilélt on entrevoit «purent uh peu «le MéiiJitët de, rieberauc, ci u*e ccrtaLû« ru>ûn pelante <4 «nW* qui cherche à convaincre plutôt qui ptnuackri n li Horace , dai» le« ouvrage» du mime gepre, .cit; ii «d mtrne t<mi g| fumili« » nsbte et
u «api», lumineux, çitirai cyucu. Saphiioeophi·« * n cit doue», enjouée, en inné· ', uub<n<ii h et ion goût fin. Le françeii <« un piwloatifb· n qui vtmfi· i le litio «H qq ÿr«iU qt^ phMo*v n tophe.-» wt . .
Poa? fa?te diveriîpn , pjuonj i quelque i atHueq cfldioïlt de icucmbkapce et de coatiîiic, psteele* tien» grandi lyrique», llsraW'et toiuwru. .<· La« momie d’HotiKC, dit i’m^r de par4l«l·■. («pirq pir-tom la gaieté,h tranquillité de l'we * et On«r «ruine quiétude qui ne M itamiKt qullrôc. de* puiioDi douce», et qui forre l’bearne dt pbUir üuonmbie, ci l’homme vertueux aimable ; es m not, llpÎMUicq >agc, le phüoeopho de bOhiKfoi■*- l'huntBC heureux. », n Aoumcru o‘» poiat d« phi-. h lotophie dent ¿'«prit t il· »kn parc preequq tqu*i « jouit ; et celle qu'il emprunte ctt tflrf« mordairtr/ » cynique t de li « te fiel dont te* pl41 mûrit» c* n ic* précepte» |£«t imbibé*. KerWcc · bien quel·-, n que tei» d«> mllrón piquante·, mai» ce ncte u. qu'u· grain de ici de trop, qui »«isfite être tombô n par mégardc. Rouhmu tetabte d tnuDÙ , taià m d un» conduite odiente, pou nuit avec acharne* M iBCJit »«.»«eMttUik Jjrfoux d« IV cépounacu, M
' ’· 04
Gûk *gle
(il«)· .
i* sa ver»je de Vivcir perdue, plutôt qu'il ne iêoi«
• fi oit à la recouvrer ; il traite avec te genre humain,
■i en récriminant ; et» causticité irai iirelle , ligue
»» par »un malheur, lui inipire yne ■creië qui fait
ti reascmbkr ici ouvrages plutôt i qn libelle qu'à
,i'w apologie« Il est vrai que la position de tel
' fr dstir poëtei a été bien différente. Horace chéri de
sel· concitoyen» t aimé dumsirre du monde, avait
* anjant d'ami* et de protecteur* qu il y avait d hcmi
fi nêtei gens à Rome. H lui était bien difficile d'étte
p detuauv^iie hutneiiT.Rouijtau·, martyr malheureux
et dt la prévention * ou exemple célébré d'une
p juirice révère, a pajié la moitié de sa vie dan^le
•»-trouble, et L'autre dapj le désespoir. L’enjoué*
» meut ne marche guère» en si mauvaise rompsft
gnie. Mais le njaHfcut -né ebinge p as le'csractere
» Ht* hefoibei, J le développe , il ep découYidles
n défaut* que la bonne fortune cachait; il ne fait
Si que Les découvrir, et ne tes fait pas naître, rt
, -J.. « Horace était un domine voluptueux, irjdd-
»* pendant t d-tin tempérament tranquille et modèle 1
s# U avait ataea de passion» pour être heureux, cl
tt el|ee n’étaient pas astti vives pour Fempêchet
fi" de Vôtre > Ce n'étaient, i proprement parler, que
W des go&ti, Ct le plu» dominant chez lui était ¡a
m pinut. Le sputinjent lui dictait ce» ver» aimable*
W oq il ch a »CP il agréablement, tantôt sa maîtresse,
i >i tantôt le phiatr delà table« Il est charmant dan*
t> ce» deux genre* t et la peinture de ce» toupets
Ît épicurien» qui rattembknt la frugalité et la délip
catesse tout d’un agrément infini. On y voit un
p piélanjc inimitable de libertinage et de philoio-
. . . , ... . . .
» %
i, phie, deux choie» bien oppo^eintf qui voriitl bita
i> «DitcnbJt quand elles fc rétinillrflt nstUTellement,
n On y trouve pif tout l'iinnnÉR homme et riiüniint
n de plaisir , qui joint li finciit du goût à la^dé*
« ItulctM du icnt)ment. Enfin, pour dire tout çeli
■ , , - - ■*: fn
en un mot qui n’étiit pat tn yJa^e de ton ttmt i
n rhrfmnie de 1» m«)Heure compagnie â iou» é-gard*,
n Écautoni-le pirlct à ti ,bouJtcille , et lui dçcpanm
dtf le doux tténor qu'elle renferme, et quilucut
n partager avçt un philosophe de tes amis (i)·- i>
■ * ■ Í . · ■
Aimable liüe de 1» irçllle ,
Doux cli*rme de l'oitlvetr ,
Fidèle j«u , there hauceille ,
Vieil», amène la vclupic, ’
Que dant l'ndcur dt ton littirc , ·
NoijoUT» pílMDl co(Tltue lin iiiiloul ;
Obtii an jo» de ma lyre | _
Hir -toi, McimIi t'iittad.
Ne cTtinf pi* ion uït do rudrut- ,
Fori^é un de durci Jeçûfll. .
La toit, qu'impire l> *ageïi« ,
Ne dédaigne pu te» ehanlbui.
iouvagt cette moral« a mit te
Dont Ciinn voulut »'eteytr ,
Cilibriui ion Jnycmt piynere ,
Avec ldi, d-:¿Ui /cg.tyer,
-Par une douce violence
b
(P 0 tele t· fruit cetra la Jfjilic..,.
Lit. II J, ci. ai. I
Üiijifllimn
NEW YORK PUE1L i C L I0RÂAY
( jiÊ )
Ttt fininioi« â noj hucaevra 1
Tu forte* la hiîtiç au silen c* , . ■
Tu MU l’aiiiijettir nus nusim :
Tu dérid» le Front dn i*g* ,
Sous ta douce ivrcs;t abjim :
> te U «tri le JibertîrjagE ,
SjBi effaroucher h vain·
‘ ' -K
à
■ a «. ■ * ■■■■*.■*<- _v L Hg .
Vian» i et <pe le »G rut ci badine» *
Qrii ne l ïbôüdontienT jemaît»
' Des piaiihi que tu nom destine» _
Redoublent encore îei ULTiiti.
A ta lueur de ceut bcugîes
Rivale« de l'astre du jour ,
Nûiis téItbreton» te* Orgie» ,
San* »oTiger qiênte i ton retour,
" r ■ ■
u Voilà Horace à table et en gaieté t quelle
grafï ! quoi agrément dant l'<ipiit ! qu'il serait délicieux
de vivre tveç un tel homme J Dçspiéaux et
Rouiieau n'ont rien fait qui faite derirer la même
chose. Us ne «auraient jti* mÎ4 en parallèle avec
Horace de ce côté-li. Je ne vol* lien thezlei mo.
dermes qui en fasse *o avertir à cet égard, li ce n’«t
quelque* pièces de l'abbé de Chiulicti· On y voit
la même morale, la même sensibilité pour le plaisir,
et b mime Facilité d'expression ; enfin, le même tour
de génie.......w
L'auteur rapproche ¡ci et compare pluïietiH pap
rrgrt de Clrauliea à l’ode de BéJfur iiti qui proeni
vtgoiiù Épod, od. f.
E* voici plusieurs ttrophci qui ne pourront que
Qrdral Item
NEW rC-Rfi. PUBLIC LiHRARï
( S** ]'
donnât trfivie -à non· kutun -é« Jjf lire en rit rem tnt
dans-U reçu« il.* ( Tom, J£\ „ p. )
. /
1 . ■ ·.·,?.. ■ . * * - V ’ - ■* . t
. il rit Ju frivole avantage
Dont, le eoùrthan «gr eprù t
i ■■ Kt-i'incfiglie àri-double viaigc,'
Vl'obtiotit rdé'luil que 'des mépris,
I . Fÿle^e »us. luis de Ja nature „ -
Seule ^lle fah tous ce» plaisirs j . , ,
' Et «et beeoioi sont la mesure. ,
De its eoûii et de ses désirs. . .
. d. . . : ' ,
! ■ _
Tïîérôt à ia vigne nalssan/e,
il Uhnt dq ÿfttftel Or meau* t , -
T)rifot àruu oeùc. bveafuiJnLc ,
' 11 en eitigM, lei nmesuix.’ - -t ;
<,■,■*.-■ ''
Tsntùt, 1 l’otnbre r^ç ji treille f .
' lt cürdpte ses troupeau*'naùuos 1
II terre, le* don* dr l'abeille, ■
. . . ■
11 ibnd sis agneaux bondiisani.,-.
iL : ·■ ■
u Cettç peinture n’a*t*elle, pas sn agrémefit ïnfi*
ni? Le poète semble voir Ja nature elle-tnême* et lt,
nature de l'age d’oi\ Voilà ce que Des préaux et
Bousseau n'ont jamais fait entrevoir. Ils ne connaislaicot
pus ce genre là : et pourquoi ? C’est que H
nature de leur esprit les en détournait n il II faut
" pour ces poésies champêtre* et ptintapierc!, utv
” naturel et une aménité qui ne se trouvent qt/avcc
h un ¿dur paisible et un esprit gai. Il faut que car
i> ouvrages soient toiles et empreints d’un çevHin.
| ; Go* iglc
I
f 41« ) _ _ 1
«caractère dt pi rets e »înibte « qui ne Semble ,
' » »cillée que par Je sentiment, lis dôrverH reipi-
1« rer li vertu drmct et h vol upté * sje. Les image*
i) y doivent être timpies , mais notes : il ,ne faut
s, }« chercher qu’antcur de soi. mais il faite lit chtiu
sir. Il y Faut de l'élégance ssaî affectation, de fl
1« naïveté san» grotsicretc, de l enjou etnent tant dé' ,
« réglement, de la poésie douce* familière, fertile ,
« sans excès, variée ians écarts,, noble sans fïstc ,
*i et animée «ans transports.DespréatLJC et 11 cuisseau,
« remplis d'eaccilenie» qualités, étaiyat bien loin
lt de Celles-là, L'tiprjf du premier ré pand l’aigreur ;
t, le coeur du second dijtUç le &el, Dpspréa.uit ,.cri- e
U tique farouche tjt opioiitre , est presque toujours
■r propre nature, s'il est permis dd patler ainsi, et
j* envenimé par »es malheurs , est u n ennemi ton- ,
»v jouis armé. Ce sont deux lynx affamés, prompt* i :
si appcrcevoir ït 1 Saisi, leur proie. ,t
Le lerrein qui uaut manque, nou> oblige 1 ten*
voyer la suite de ce detpier Extrait au numéro suivant.
■ Dans un moment où tous nosjournaux retentissent
dJune-is0Hsd/r Traduction d'Horace en ven fronçait (i)c
[i) Par le dt. Dam „ deux Volume, pt'Se. A Paris■
Dsmailty , libiaire , rue de la Perle»
' C rû le mpmrct des {rtduetfb^s en vers d’Horac«* U
vitnt de paraître encore depuis peu, Celle de 1 Art ,
par le tit. Ltfsir^Lurûeht , dont ou dit beaucoup de ine°’
On trouve un Extrait iatirtlHHl de ceue nouvelle irsdu«'
don en vers français, dan a le numéro 3t de ce jou mai·
. - J
Odgiit^ fi n-’i
Got gle ww'vopx public iihuary ,
{ ■"! )
qui mérite de* étage*;où 1««? QCCflsïdn,ehiictiH de*
rédacteur^ de la nouvelle version , joint ton tribut
d'esrime, de critique et d'éloges,enver* l'auteur origtnali
on nous pardonnera d'avoir donné une terlitne
étendu/â. l'analyse de ceite dmertaticn qui
réunit ce quonapa dire de mieux jutqu’içi sur ri
maître de la lyre, sur ce premier législateur de la
poésie, chez routes le* nations, Geuxde uos lecte-urs
qui ia cannaissaieot, nûuj sauront gré de ht leur
tvoir rappellée; et ceux qui l'ignoraient teront bien
ii«tf de connaître ect excellent morceau de littératurc,
estimé l'un de* meilleurs dan* noue langue ,
4* critique T de jus tes te T de finette et de goût.
1 £. B. L. N.
ÉCONOMIE f Û L 1 T I U 1.
liTZȣ du Conu il dis Cin^Cmti mr la Dtlle publique.
. La justice peut taule consolider la- ftêpubliqBe.
L ¿gis l AT eu us , pour prévenir le» effet* fouette» de
votre lésolution sur le» rembourse tue.iis de la dette
publique , j'avais , par la voie de VimpreisioA t
itirçbK. au çoweii. de» Ancien*, un» lettre qui était
faite pour intéresser xa justice t et qui cependant à
échappé à *ort attention. Fui sic celle-ci être favorablement
accueillie par le conseil des Cinq-cents !
Après avoir aolemoellcment déclaré que fdiuûiiiM
strie» Hait lairit tUQM la umvf-fatde de'la loyautéfran-
(•¡« , vous avez néinmotu* décrété qu’qu paierait
1» rente du tiçrs ta numérùie , et qu’on rembour-
J
Drqinrtl'mni
NEWÏQAKPUB ICI riRARl
. < 641 J
(était kl dcux'Lic-t-sictr ¿«ni admissibles en psi entent
des biens nationaux; co qui paraîtrait être contre
. tous Us principes s pubqbe Je débitelàr fait crudtlement
k loi à ici créancière,
A l’efcceplion de* gros rentier*, les autres sont
ruiné·« Comme il· ne peuvent, par ,conséquent, <
payer is quart énnumtraire, ni soutenir b ccrntnr*
tente des ebeheret avec les spéculateurs des riche««
nationales, ils tons forces d'abandonner leurs 2/mj
aux d[»rairurr qui les paient deux francs et quelqu« r
cendmei Je cent ; d'ei il résulte qut çw remboursemena
sont absolument illusoires pour lw-créanciers;
de I Ébat, et totit-à fait en faveur des ^ouiuasui sort-J1
cAij; puisqu’ils se partagent leurs dépouilles cotthe *
l’jnreniitïit des législateurs, _ ' (
Dans cet état de choses , ne sciait-il pas possible :
de rendré la vie atis. rentiers-, én modifia ht les effet*
déiatt'eux du- décret du rj nendesniaire su VI , ÛU
d'y »jouter les articles suivant?
Art ctiincifTs'de CÈiâf, tmtérit&Â à 1?%*
¿tant les fu'tmieri hypothécaires des domaines
çui itfnf (es ¿agis dt Itnr èrianti gar/mtù 'par lâ cOfir#·
ftiliots t sent Un droit de if les frite adjuger tndietditl·
Ittn'ent ou coUecttvrmtrit sur l'csftmalwn d'experts ; tt d
ia uâ/iiir excède leur cr/dnee t ils paieront l'excédent rt
- ■ . ■
■ H. Ji Fègtsrd des rettfiirsqui n'osri que lùf tenfj francs,
et au-dessous , h trésorerie nafnrttàlt'Uj paiera en nuntérâire,
iwn autrement, et sam retenue,
' Quant aux trouvés us créancier! , postérieur*. i .
^789, dont uti grirrd hombre rc sont farts pins d*
tm? mille francs dt rente, pour dix pièces de a4 frâurt
h ■■! ,11 II I 1:11
NEW YORK PUHI IL" I. IRFLARY
( «í )
une fois payées, il paraîtrait égal enrr ri (juste ¿’établir
une échelle de proportion , afin de connaître
kl prix des ventes, hites des tnjcnpriüiir.
G'esi d'autinr plus facile que déjà le* cCrtuniisairé*
de la trésorerie nationale ont hit cooststèr
sut le grand livre, les transferts passés aux nouveaux
icq a ¿ve u t? de ces Inscriptionse morte que lente
dates serviraient de base au remboursement on paife»
ment de cet ' deraieies retire) si onéreuses à la üép
oblique.
Ces moyens simples, preïents par féquiié, eu ut
évidemment plus cOnfùrtncS à l'inférét général et À
l’honneur (te la mtian , que ceux proposés par le
représentant B-Ati-LRWL , qui a dit 1 votre tribune r
Il en rf/'jlltra ün g.'-and avantage tm rrtiítír, si Con pets!
admettre le tiers tans elidí en concsirrtnct avec les deux
lins qui tint ïprauvi irtri Adune sapidl : comme *t
quatre-vingt dix-huit pour cent de perte ¿'étaient
pat b mitre entière des rentier*.
Législateurs, en renr bou riant des milliers de F<*
milles iiidlgrûtei qui ont vanité à l'Ètat leur fottune
, votre iuicoñon n’a pu être non plus qu’ils
reçoivent en échange des valeurs cftigiérifUH. La
justice totnruands donc lmp éiîeu* émeut que vous
tttsiex de leur donner pour capital et intérêt* , uq
papier universelle meut reconnu pour ne point a veta
ta valeur nominale.
Votre justice vous a porté à prononcer en faveur
des propriétaires fonciers, en leur hissant la facuüd
de revenir contre la vtntei faites à leur prijvdiee pin·
dent la déprüiation du papier mtnnaie. Les rca tren
bien plu* i plaindre, ce légitime* créancier* de ia
République t peuvent donc espérer qu'anui juste» k
leur égard ,voui daignerez ëcouicries rédamaiiouidc
Ce« intéressantes victimes, Quoique réduite« à b
mendicité et lu désespoir, elles .fa raient «rai do □ n
encore aujoutd'hui le sacrifice de tous leuti ’«trt*
tïOECJ* ai vous leur Cünsçrvîez «eukrnrnt le* capi
taux* Alors, publiant leurs maux passes « ill apphui
diraient à vos travaux , puisque vo« rues sont principalement
de réprimer l'agiotage* de po un ni vu 1.
restitution des lût tune» rapides ; de revenir coahc
les vente* frauduleuses de» p tq prié tés naJunalci;
de simplifier le# reports de la grande machine; de
porter l’ordre , l’écùnamie, h réforme des abus
dans toute« le« branches de l’adqiiuistraùcii gtnti
raie . etc. ctci > -, _
Législateurs , voilà je crois les moi Heurs rcoyerii
d'atteindre 1d but que vous vaut propose«, celui 4c
niveler .h recette à la dépense, p d’éviter de nouveaux
impôt« qui pèseraient trop sur le peuple, piralyscr
jinut le commerce, ei alimenteraient in pasrions
des bomines intéressés à prolonger les fléu«
de h guerre. .
S. C. MtrnÉ , ancien reSfcur
The ituj-dor t'an VI de la République,
J?Ul j*—
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□iqhiz«, Google □nglruj ft:m
N£W YORK PUBLIC LIBRARY
1 «i )
P O È S I É.
CcdfltTd 'chatAii d tnfiu det Artùtti bogéi au Lduvrti
ii riuais ipontanémenl ti 1$ tktfrrtidor y jour de fdrfiu/
i des mopuntini d'It alit dii wWriU dft
-Aris (j). . " ■ i ' i
X ■An j Dk Pai rtdoubìd.
SaluT nx guetrier» généreua,
Vài'Hipeirrs de Flalie j
Dodi le tra* e n rie Mi tei UhX;*
' -De* trésou du genie.
. Uro urei, marbré* , tableau , t lieti *
Toùt parie de leur gioire t
<t ¿Litua dt cu ttanuMU
Ramni* unè virtairt.
*- * >
L'ilo tjuen i Tiuaquanr d* Python*,
Peti content du Stala t*P*t* ,
Auprèi da Papt *in* fa^ou ,
BUilait tu Beivi J«e i r
l ini de cirdìaiùi Lem* «ipriti
Lui donni)est I· mi gnute ,
Pour gnirir „ il vilit i Firii
Rtipirer l'air d'Athenei.
[1) II* onr envoyi de* billeii ¿‘invitltiou i leMra .col-
Hgaei «xiérìeur* , ila Sociéti Phìlorecbniqne , 4 celle de»
Ami* de* Aru; laccar du palai* fot iliuminée À lem* ini* t
d y tta bai tome ila nuLti et ies ? Uditi «pi I*u furent don-
Mr pour garcUT y spi ¿té admi*.
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C' |>ji>: - fr lì rii
NEW YORK PLJn JIC I RRARY
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• * ·
Saillie et contai apte Cirée !
Le panure te »lue ;
ŸCtuilM'.nenw L chet le Frau^iir .
. Sayêa 1« hie* venue.
Bientôt, ti il· légèreté
Un tînt «oit peu vout bltUe f 'Vxjue apprendrez que La gaîté '
Est L'art de la lageise*
. . - ■ * .* v
Quant i la mers de» Amours,
Elle vient touti nue i
Et de cette abieuce d’at-Our· , ■ ~
La raieou ert connue :
Pouvait-elle au aouffl# dez Venta
Dérober m pâture ?
Noi dame· depuia il Long-Cema
Ont volé u ceinture.
ï ' - ■ # t» ■’ w I: - '
Je ne voir point, parmi ces dieux ,
Mira, le dieu de la 'guerre ;
De l'égalité t PorgueilleuK
A redouté la terra.' '
Je devine de tet ingrat '
Le· jaloufea aUriuea ;
Ce dieu ne >était qu'un soldat L
1 Parmi ni» FrereJ 'd'armes.
- k ■ . ’ . ' ’ - “ ■
. - * * ■ #-■
Bien des gens par air, ou par goût ,
'Vjntüeni 1er neuf pucéllet ■'
, a’i . t t -r , ■
,1 i i *_* 1 -
t-t -L 7
Dnjins rrom
'lE'.V Ct< PUBJC LteitARÏ
Go igle
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IL· »îTÜent, di*aient-il*.i punterai Ltor* faveor· ¿tatuerei.
Orare* i boi brave* enfau* , Viennent ce* ùmooiftltei ) £t nous vïrroûi *i J tur* amati* ‘ Soûlai bien avec elle*. ' ■
* .
* * *
Honneur intuite de Bru tu* J Et gloire à ce jFitul.honij^c !
Je lui réponds qvt no» vertu* Valent celle* de Komi.
Jamaid irati re itirnci* retnpitt» N’a etr»é l’infamif $ ,
Üu vit toujtfuri Je uc,f de* art*,, Fidel» i h patrie-
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f.ijd .-i-t.
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Far If çif.JOllrM UvAUtJt. IBWW di in SfrittiPhililttinijarei dt rtllt tii., dmürrani dû Paltij titiiottal dit Scinta tt dit Àrùi
■ - r- a i
C H À R À D'Si
Il fillj¡i lutT^fqii l'armer de mon entier· Quand ori fréquemattmon prêtaient
Et prodbgiuùL tùujüuri ipn t^m^ frUiun hocftDaje ,
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On voyait »ouvetl| ptçn dernier . , perdre et »‘avilir un* aucun. ■ vin lag*.
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Jl nWntttidi , tal· Eté voit, It je ïiMrtftudt tatafc’tort.'
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Jé n*ai t*i pe*n> ai chair, ai chef, ni bru« ni vus^
Je netrun* point le froid, et je v*ii toujou.rt une.
Qui pourrait exprimer met rôle* différent? 1
Tantôt dani ki honneur·, Arrogante j'ordsnn« ;
Et untâL che» let tneudian*,
. Humble je demande l'aumône.
Je rampe iurl* terra , et plane danide* air* ,
Et hurla, et dit-on, même dioi les enfer·.
Tu voit plr ce détail que je iniifott ccmntcne.
Si «pendant jHuit, pur tainviiie Fortune«
T· renaît 1 ut perdre : uni, pour rae chercher,
Gardewoi bien de daller plonger
Diai le* gouffre* profond· tpi’fcrbitt 'Ta baliîtr* >'
Mai* an homme i«coniiaie«ùiï
Rejoi* de-mai cet avi* ImpOTUnt :
"Si tu lâche* un mot, épargne-toi le peine.
Ta recherche derieudrait vain*.
ÎO G 0 G i i P H I
Là télcbre Lan «ut moi tri d'imam que mot t
La Romain* Forent me* eicl»e*|
Eilonqii'i l'nnkeri-it* dosvajEtit dte entra™.
Eux-mtme* timptient Joui maloL
Mon cheE«ôüp4-, je traverse Ji France,
- Et, loin du lieu de ma natMAnce, /
Jcvai* me perdre dan* hturtj
Q"’»n ôte encor ma queue, tjje dor* tout Chken
Ce n’eitpa* tout, lecteur» coupe, taille, tranapüae ,
Et bientôt tu va· voir'
iü'abûrd, c’i*t un jeu de hatartLf ,.·.
ïhi* il tu l'aime* mieox , up fc^t.wiwd
: %
Go -ÿ II· ■>luu^ht-i
KfWYBUf PUB! IC un
f,*sî ,
luiuitc un* «rd annan«, écrite ou non, ¿’importe | -
Le ocra de celgi-qui te parte [ ...
Certain, talqua de Noyau ;
-Ptaîi rioelrutnni que le- galant Hortrt t
Ri roi d'Akéc , auifnaLt avec grict i
Ce que xcudait ri Lira J’munortelle Clairon i
ta plie« o* l'ont trônait l'en tendre t ■
Un métal chéri d'Harpajon,
It poor lequel .il veut *e pendit ,
Certain canal que l'ün fait i ion gré j.
Pont irroier ou drué'chai un pré i.
De la RajçbdJe une itle fort roiriuc j
t)n* meaure de la Chine ;
k£n, eo qu’un boveur u'ainu jamaie leoir
- Peu at trop dit, lecteur, ban aoir< ■'
; A N * û N C 1 S. ■ **
Dûcfur* d’ouverture et de cl luire du court d1 binaire u*· '
torelli de* «uitaau· vertébté* et i trag range t donné dan*
' le Muté u m national à’bwtoire ni turf Ile, l’act VI de I* Ré'
publique ; par le citoyen Lacépade , dé 17n*titnt nition.il d»
Fiance , l’un dei proieweiwa-adminiatrateaz» do Mo téli»
é'biitoi te naturel Je T membre de rinati lut national de lu R|-
publique Cirai pi<e , dei Société* d’hutoire nattneil« d»
pluriDatieaa, philo technique de Parie, du celle d’igri cultura
é'Agen, a*c. A Paria , cher Plana· , riuprimesr-h braira.
Nom ta doonerou*4uctltaBU>tcQt «b Ixcrait.
Mir drj i^rffrw ftmt Whtriruiir; induit ei en italien
!t rit. Pio. Un.volume ni-11. Prix, i Franc 5o cend»*t; M
1 Fr. franc de port. A Pari»,, che* De tremalibraire , Puhh-
lgaHié; Debray, Pajua-Rgalité, galerie», da bçia, U°- ïÎ5 (
Vente, libraire , boulevard dea Itali«** j MayuU· , libnin t
■« Ho« gré f prit $«i»*-B^ch^ .
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Ui 5. .rt fc J L ;■■ . .
n LdH a été présenté au sénat4$td Et^rQip^ <. ■ déclarant que tous le» traité» paiséi entre la République Française et le. Etats d’Amérique étaient puh et de nul effet. -· ■ ■ ' ■*
, A la séance d aVant-biir H sur^a quetiop de iri woir ai k bill içraitlu upc ^pudç foi», il Lut adopté jk h tpajorjtç de H voii. y
De, kttrei.de CburieatCL^n nquLÎhforruent que les autorités de cet flat ont adopté lès précaution,Ici Îjui rigourcutcl contre l'^dmiMiot, de ton* les ojnmea dç qquleur. dçi .po«frêe» de, l'Amérique {A J«, principes,de U révolution,.fiançai té ont été pop tél- Il W tcms/dit-OEi. que k peuple de h partie Septentrionale de l’Amétlqùé cfc fende l’accè, ne kl ¿bord, à «s ffoin-ittii Vieririent eu foule de&’pfÿvoi -J’ininrrecminfa.'éciiwé t »utremunL »a dunette ho*pi- Jdui uxt.Kraÿ WÿflP 4’atiiiw Uora^JfflH
r l p ■ . ■ ir -*.. Î ■ ---.¿L, fj .-'C'-'.'l.· i
. Tij*Çuie> , le 4 iKtrntiditr. r.i ■
■ ■ ·,.: : , . ■ .. , . . . 4' '
Lei^demterei nouvelle, de l'armée de HiisreiU' , i^à£tia,eri^vaknffipanconp,CJtag&ri ) *.p cf ifro q af»- .pageure, Üepqi» ,ip dernier.âchiç.c çaipyé par cr^f : 'armée , Ici troupe»'ottomane» dïcouT^gées tç sou' 'Stpiiéei iùr h: s lia dieu ri et dan, lés forées du Vais’* : ttage ,' e morte qÿe Pastwait^ÔgÎu occupe le teTré''Q - fn avant dç Widditi , a tteds au^uafre licuei à
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yçutdç , j’ïwuic cîercct- w^uwvpci^r 4 3
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ennemis p»T dei feitÎM qn il donne à tn principi^· otHciers, à la vue des avant pentes ottomans.On«i· mare qu’il a fait un butin considérable en vìvtp et eu munitions dans le. camp de J’arôêfe fautive, ¡rt qu’il conserve d’*ilieue* Iti cùmmuriicariqnt avec la Vslachic, pour »’approvisionner. Enfin, on dii qu fl," s ivec lui 36 officiers français, la plupart irigiènietti^. ci grand nombre d’artilleurs, Au res(t, dn ut port· ?M iOD armée à plus de lü milît hommes ; mais il <’ ayimage de combattre une armée peuexercée diûi
¡ art des sièges, et dan* laquelle il compie d aiHcurs, , et qu’il paraît,beaucoup de partisan* secret*. Widdfin4 eh dans une position mr le t)*nube à peu-près set·-"' blabl« icelle de Mayence sur le Rhin : les iugétiìevr*' mâchés à Pasiwan-Oglu y ont fait ëleyer des forti*: Era lions qu’ils perfectionnent de jour en jour, cri* férié que Hussein Pacha in pqut espérer de son* ; mettre le pacha qu'en le bloquant entièrement par' l l'une et l’autre rive du Danube , d'autant plie* c^u'c' | l'tD continue d’assurer que le *étasqtrier 4 1 ordre dç . ménager les fortifications de Widdin, ce qui le 1^- . diht i k nécessité de prendre cettè forteresse par [ femme, vu iT impossibili ri à^peu-prë* reconnue du H 1 prendre d'assaut, ' ’
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Svtni. Df Sttttkjufirn , fs 6 ¿Afrmickfy
i -i ■. . ; 1 ■ ? r . - *
Ko baron de Èilfverhietin cit répand, fai ev pour UsHdici, oi il v* oçcMpcr la place de ministre d*< H urajwtdr . .
Iti A,*igki>tn\^ay«it encore mloyé-tfepui*peu' Îkiicuj* de nov vaisseaux marchands. < quoiqu'il·, »tient escortés ,■ notre gouvernement ya v onte bd r a a*cc le jo'jvnhiwmt britannique 'pont péérqnir la lépétition de cei voie* de fait. * : ’ - t · ì
On vient de diminuer 5 pouf 100 le droit à Pérctvoic sur les cotonnades bianche* dui arrivent Jéi Indes orientales et dû Bengale m»i èlle* en pileront un de t poûî trio loTsquelìè»'h’iitìvct<Jnt dsm k royaume que pai une KçondcmiaiQ, -
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NEW YORK PL Ht IC LIBRA
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- -- ÂLlirMAGX*. r k <4 tàmuHar.
Voici la composition de F état-major de l'armée impériale d'Italie 1 '
. Général en cbçf, I* prince Charlei;apiis lui, J« Kpnéraj de V1H*J le baron de Ketpen commande sur, le Leckt le général Keim, à Vctonne ; Landoji , an Ty roi ; Ékosc, # F,adône ; Monfrauld , i Venise ; et lç prince IÇenh doit venir à Trieste.
On Pense que malgré tous les mou vent eus du cabinet de Vienne, et des apparentes presque bosiilei,. "il veut ¿noins Tenter encore là ebmee des aimes , que faite acheter chèrement'îi condescendance j obtenir quelques arrondissemeni en lia lie, Mantou* sur-tout, et k pays qui l'avoisine; tracer, une forte ligne de déniaitation entre les tépultquei et les m&· narebie» d'Italie, et assurer le sort de la. Toscane et de Napler contre les dangeil de 1a c ont agi tua po. pulaiic. . ' -
.. . , Pt Rosfadi, It 15 tAjirmider.
■ ' I " r D ¡f s ■ g * 1 * ■ d -
Le commissaire impérial a sanctionné et remis hier BUi minutres français le rcndiuum de la députation de ¡'Empire.[Sou étendue nous force de le renvoyu à un autre numéro, j
11 a aussi remis hier aux ministre·, français u«* cnurtejnotet du bas de plusieurs arrêtés des département litqél dans les pays cédés. Ces arrêtés sont ceux par lesquels Ce* corps constitués permettent «ux individus qui *'cn août absentés, de rentrer mus certaines conditions. Le commissaire impérial cheich· éprouver dan» s* note, «°. rimgpsd biliré dit satisfaire aux obligations imposées aux absent de U rive du Kinir, as qu'eu cquséquence pcn n’çst pUaiJJu* soite que U pcrm>»icu de rentrer dans leurs foyer« s z t*. b prématurité de ce« arrêts qui pjouo·cent iüf la cession dcipgys de la rive gaqcbc . comme «1 cüo j était conte tpmc ct tandis quelle n'çtt que couduiûo- »tlle » et dépendante, suivant lui,de l ^dmiisioode» ' ijticlet qu on y a apposés dans le« noies de la dêpur tâuuQ* ce®ai co^ditjQqi et réserves préalables, |
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tfoie dtfiiiwr {ti franjait, m ré^pire ô f*
derniert de la dipv-iatitn dt i'Etnptre. .
il Le* iôiuijgntj , n»iohtre» plénipotentiaire» de la Ré- pnbtiqu* Française pooT la négocration de la paix avec J’Empire , om reçu la derniers note de la députation de l’Empire , qui leur a élé cammumquée , le i3 thermidor; prêtent moi*. par M, de Mener Lh, mini»trc plcnipoteta- tiiirede sa majeatê l'empereur.
i> En rendant juliiee aux îatcBiion* de h dépu la troc de L'Empire. Je* *onnigné* ne nunitaî diaaimnler l'ircpreiiioia fâclituie que , »ou* phuieui» rapport* , la note siffle a- Inaié* dam leur eipiit. Elle ne répond ni 1 leur juste attente , ni 1 l'idée qu’on doit te foruti de la *age prévoyance d«a pl é ni p areu liait et de FEmpire geriB» pique. (J* exptimeriùeut aur-tool bien difficilement, et île t'abnieb- dront de qualifier le iCDiimcqi qt/iJs ont éprouve 1 la lecture du piisaye de cet écrit. oii il cil si etrantemenl que*- tion de l’ani III de leur note du lel. thermidor. Qui aurait ptnié qu'aptéi ploi de vingt jour» d’exirnen, apiè* nnt de ■«■net* employée* **■>* doote à d uüïet délibération* , oh eut différé de te déclarer, on eût pu te taire sot un de» article» le plue ***euije| et Je plu* préet» de cette note, et qu'il faut rtjtrtier comme irrévocable ! 1 $
i* Il e*t teint enbd que cet état de,dttrtet chu , que ce» défait équivoque* aient nu renne. T,e cru entent ira** çaii vent la paix , »a conduite a mit i«i intention* i l’abri de tout Le» dootci >, mai* il a »puisé, pour y arriver, tout ce qu'on ppuviit attendre de *a bonne volonté ; le· dernier e» proposition » que lei tousiigné» ont faite* en ion tiOK »ont de* condition* de cens paix ; il n’y a donc pluij ruadere i diitujiicm ,· ui é retardement : la dépuùtio-u doit M déçider. Qu'elle ne contulie qu'elle - tu £ me . quelle je livre 4 la droiture de «e» inlentieo* : »on choix *ert bientôt iiit. Qu’elle ré fléchi sic bien qu'en aucun ca* iti délai» et ici refui ne profiteraient pa* i l £>upire , et que la voîk publique en Allemagne approuvera conte détermination qui mra détourai pour jarnai* le'fléau de Ja girtri*. J
*i Le* junuHlre» plênipotentiiirei de Ja République Francité ne pouvant que periiitcr dans tant te contenu de trur note du tef. thermidor, de celle du 4 mc*»ïdor et précé- dtntei, demandent iléraiivetacni à la députation de l’Em- .jifr une réponse ca théorique et décitïvé *nr tou» le» point» qui y lotit irai,:** : il» Faite ud<ne. U*, anurtiit M, de Met-
Go·. >gk
Oiij•’il Hum
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" = 7 . ,
L . i '1*«’ _ ,
tetaieh t üMDtiire pUdipcutp ihite dsn rn^j"»*? r«*per«(irl de leur MniidrnllQfl U plu» di*rtn<ruée, h . Reitidt -, le 16 thermidor , in VI de 1* RépuhHqae, hSijnri 4 BtjNNrel , Jiaü Ütiiv·.
.Celle net« a paru aujourd'hui; U faut actuellement que l'affairç je termine d'une faqou ùu d'autre, Le» conférence· entre le comie, de Lehrbach, comme mîniitr.e du roi d'Hongrie et de Bohême, et Jfj mi pii 1res friBÇaii 4 ticnatinuenv Toute CEpétâiKC 1 de paix n eit donc pat encore évanouie*
■ Le» troupe« françaises qui »ont sur la Hve droitV du Bât Rhin iîtrt.i ce qu'on a»»re, marché en avact, et le pay» trêviroir, likuë »ur'cette rive, a été in* pflàê à une forte contribution.
P t üssl, De Btritn , £e i6 /Afrmiiftr.
'Syey és ne joue pat à Berlin le roi« qui'iembhit | deitîné à un homme *i désiré« «i attendu Ot sur-tout fi prôqé tu Aiïcniagnç ; il a même quelque pcinti ic procurée upc »ocîëtë : datu le grand monde et Iqj 'cctcIci t il. cm. encore plus craint que fl«
. l'tjait Gaillard; cela doit être parmi le grand monda et le« cercle» tavitment fi gtandrmenf &<»«. JriJ,‘ ioyej sers que k tou etjur4ou4 la reine *<|u> ne l’encicho guère». ne i'atnaçnt point du.tout ; chn» ktclassel moyenne· de la loti été , iur-innt patm^cclki de noi y Irnttvieïait 4-ctnip iùr bêeûcpup dé pan ' tuani j tirait on craint l'oeil plus tutyêîliant qveja·' rtiah d*un gOnvjtrflement inquiet, et il n'y a pointïl de quoi pTattanter J Emmanuel Syeyes ne peut q« «‘ennuyer à Berlin, ' ' ...
' Au reste, on rat plus que Jamais convaincu 1 notre cour et eu Allppj^gnç, que, »et rqatmetion; «ont . Irès-.pacihqüES. 1 t *,·.·. . ' '
. Cobenueî doit arriver ce» jouri-cî à Berlin. Noter que Repnin y quti encore , et ce c’en pai pourrie* qu un pûnee de son rang et un envoyé extraordi· qaire (ei que lui« reste dans une ville- ëirangçi*i h Mna un véritable accueil. Celui qui connaît certain** Hlalioni.lt tour que prennent certaine! affaire», et j le caractère de eét tains perftm nages, rtetrtmve pciui dn-totH inccinpréieûiible te long jéjdur. ■
Go jgle
Odq.’Jl tom
NEW VCP.K F JB UC UBftAR'
. J ,3i * Berlin rcnFerms aujouid'thui dini ie! mûri un dci
houinjcs ici plus rcnutquublcx de notre Europe» le
b&uj-giuenii de Berne, ¡Stciger i Je» Bcdinoit «ont
assez indifTéietis sur son séjourdam leur ville ; mail
certei sa préience influera sur leur destinée heati-·
coup plut qu'ils ne pourraient le soupçonner,
Steiger inspire au roi actuel un vif intérêt par set
malheurs et par la haute opinion que le grand Frédéric
avait de son génie» Il s'trst entt^trnu tritteertl·
tentent et trés-longptems avec lui : le roi l’a écouté
avec attention , avec une diitincûon marquée. . ’
Hélas, le croiriez-vous ! Steiger a annoncé au roi,
avec une très grande énergie et la dignité d’un prophète
de Ibélcfni^é ,.M d«zrur(wn cfe rt*u itiir.onee ! il
doit lui avoir fait dps révélât ions CxltaordinAÎTM^
qui l'oint happé d'étonne ment.
Répujsli^P?. Ht!. vlTtOni. De Râle, le s6 iluïTiiiJôr.
Op répand le bruit que le gé octal ^chawenb?prg ré
quitter le coin mandera cm de I armée en Suisse. On u-e i’jccords
pas sur Je clioïst de son tuttesituf« Les uns rtù-ninieqt
le général 3aiüte-3utitiüe t les au tics le général K.jlit)aine,
On assure.ap>st que le cit, Rapicjt i»c .tardera pas i tut
remplacé par le eit. Alexandre, dejj eontiii i ré i-avantageaient-
en t par fou ¿tsmiérej^emeni et par la sévérité inÛ-itxi.bbr
avec 1m utile il a poursuivi tu djl a pi dateur s. - . .
. J^es dé libéra lia ci s qui ont eu lieu dans le pays de» ¿riiùni
„ aur ia gpnde qnc*!;pc de la rcon^un à la Répub!iqiji
Helvétique, n'ont pu été 1 beaucoup près pacifiques ; ell«
Put mente, eu plusieurs occïsiüeie , donné lieu a des actuel
bits^LiCKt». Il puait que L· pi utilité > ut prononcée eaatie
la réunion. L'cxqmple a, étc dutiaj par la ville de Coire ,
à l'encepiiciq dé quelques tribu», dont les ineinbres ow
aussi-tôt quitté la cocarde de La ville pour arborer celle de
1$ Naiiçitu Ou pregpcnc, au reste , que la question sera remise
adk voix une seconde■ fois . et qu’il eu résultera un
rapprochement. En attendant , plusieurs des chefs du parti
Îut est apposé à la réunion, ont cru prude pi de sert éloigner.
^Ii totit, ch pàrlicoliet , l’évêque de Cor«,· qui i pris
pour, prétexte. que les aifurei ■■chiivcs à ses loncûoa* fsppeihieut
dans le pays de Sargans, contigu i »a dioiet»;
et l’abbé, de Dâtfrmis, qui est parù pâtir l'Auiri^be , rô'Ja
Mat déjà retiré» pjuakurs iqdiridua. (k ia, titpiUf de âalps.i
■ . J ■
v -
»IHiwniim
ifw rnp.K pur. ic i bfwm
6»)
Pii«ONT- Di Turi» v h ai ficmidér,
L* liHittàoa des FraDfïît.tt de Leu» a nui s eat BÛnuuHt
ici te qu elle doit-être, dans un paya allié, et auprès-Îlh,
^duveraemetit dû et Ea République protège l'cxisuticf-t.ili
sont respecièa et considérr*. ' ■· _ . i
La pPEition de 11 cour ett toujoari. très-critique ; ttnii
«lie cherche «a caawUüon daùa de grandes dcmonitraùoiii
religieuses. Elle. s'eu réügois r « a. mi*, ta eûnbxnce 4au'
la loyauté du'Directoire frangait.
Il ae lient de nombreux «Muijh· Ln renvoi de plmieiH
nriùiELrtJ . dénoncés par Ici agent français . y eu ditentf, '
et va ptobablttaeut avoir lien. Adatni , de Xhaou . Solirn
-et quelques autre« te root écarté·. Le choix dé leurs tuent- .
teura n'est pas encore arrête ; Ou vent de* homme* aliacJlci i
au gouverne tnt ut utuel, et agréables m gouvcmeacitt I
français. .
Le procès tooktneijU contre Les tvimer éxe«fe AasJ»;
tôttué de Nice et en Pietûdût·, par ]m Barbet) et leur tàlf 1
Cantin ,. te poursuit avec vigueur, (xonsiu, frert de «lui '
dont on « annoncé Par rts talion , et qui est i 1» ciudeile. '
a*y est aurai rendu vclouuirsoi«ni pour contribuer à lacver Î
inu frere v en faiiinc det révélations qai.seront,, dii-cüf,
iitincrrtantéi, - -
■ Hier on anuonçi an théâtre "la pi ece^. intitulée ! Mtru· ;
Tkèrut. ou l» Duti ¿a fefediu ( On «ait qa· :
eti Palatins jurèrent de mourir pour leur rot, Mane-Tu*
lest, ) La foule ¿tait grande ; les anaii de la coar eipértJest
pour échauffer. Les senti met s favorables, au roi i mais, i i
plusieurs passages de h pièce , de· huées et dés liffleuje ,
firent entendre. Un ordre du gouvernement défendit d'frfeur
discipline, ont düùpé la plupart dea pré venti on* .
nei contre flüt< 1 F ■ - I ■ ’ 1 I
- République Romains. L>< Rame, it 8 j
Le« partisans des gouvernetneni sbroditi ont répété *r*C j
éoru plaisance qu'il, était dea peuples inhabiles i la liberté· *i
Celle trieur semble déjà dèmeniie par l'exemple d< 6oUI 1
< République, qui, suivant toutta les apparence*, n téf0*' ’
□rçiMltom
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nm tfèi-bieb U régi tue représentatif. Cépendi'nt tuai pe<r- plt u’était plu* étranger A tout sentiment généreux. Rampet écrit ici le premier des i«lenî psttr'qui voulait parvenir. La m»nv vivait A-ptu-pcè* d'itmiôise* , et avait tofliei 1** habitude* de I* mttidiLiié et tou» le* vktt de la parai*«. Le despotisne exflrci par de* vieil larda l'attachait plu* à avilir qu'A opprimer, 1 .
Déjà lésâmes « relavent. Quelque* idée* de dignitë pef- tounelle ren ri lient. Nulle opposition ne se manifeste >H nouvel ordre de chose*. L'enthonsiaima u'esiite ns* ,ius- qu'ici, parce que les oc en ion* qui l'inspircutet l'échauffant fl* *e *opt pas encore présentée* ; mai* La résignation est ¡éirèrate et sincère, Le* Roruaius d'aujourd'hui sont si do- ci les et si maniiblei , qu'on cc unie »ce A le* iccoutiitner même au travail , que fo grand nombre d'entre tut ne ton naissait pas, pouraioii dire. Ou etr exigx un peu d'ena, pour nue le* aumône* qu'ils continuent! recevoir perdent iniénaiblement ce notn humiliant, ■ ‘
O» voit moï&a d'hommes nchachalamaept énodu* datif let inc* et les place* publiques, edtichéf Je* un* J cité de* autre* , au milieu de la plus dégonrante mai propreté. Ceux qui étaient autrefois: les plu* grand* seigneurs envient L’honneur de i emplir les font lions de citoyen,. Il* cher·, eheut le* nouvelle* places; il* affichent le dévouement 1 la tévolution r il* y prtuntat une part active i USm n'mni- non* pas d'xotm émigrés que quelque* Famille* chau*én par de* ordre* »upétieurs , pour avoir été lev, conseil* de iincien gouvernement, et le* initigaieurt des asmsipat* rom mi* ccrQttc le* Français- No» ci-devant noble· et no* propriétaire* oui tau» cesse devant le* yeux la ruine et I< vagabondage de vfl» émigré* i et c’est trée leçon drSvt il* ont *u profiter. Conserver leur vie , latin bien* et obéir, Voiti, diteux-il*, ce qu'il* vtiikm. Les plu* riche* vieuneàt de payer, ata* difficulté , un emprunt forcé qui * été d'uni année de "leur revenu- '- '
Le cbdevunt prince Horgbete, qui a dix huit 1 vingt nrili ■lions de capital , appuya cet emprunt. Je lendemain uiêma <h j-Otlr oé il .«lira au Sénat. ' ■ :- '
Une loi défend de tauvoyer fos domestiques ,ou de vetier 1« aumône* qu'oti était dans l’usage de faire. --'?ï
"Tout les t'twmetêbfos, quoiqn’a**ex rare*,'sont A tin prix, extrême ment bai , pateeque les cédule« qui représentent vos mignati perdut .beaucoup , (’argent lûne gtaude valeur. > ÀvLr«faii jwti ne püyiops piosqu* pu.^iuiÿ4u. Le* ïoul
Gov gk
Odilmuir™
NfW ÎTiRK PUfll 17 I HFWP.Ï
Irihutlovs qJe, ddfoü* les polii u dé J'Eurbpé; nous rit* Voyait 1* cicduliié , sjiiiicnuicut 1« trésor public , Cl servai rat Hr ni ni-pere à nourrir 1s pareste d'taue grande parli* C de ses sujet!- . . '
Depuis qjelqiies anbées, la suppression de tome* 1O tedtvancta ei.déiiasiiqucj en France avait, cocnnieucé i ■dtîictlier cette i met. Le besoin de subvenir d'abord iti* Irai« de111 cdabüapt ·* après le terni de Tolemino, d'acquitter im c:igagcui^jii énvi-r* U Fra.iuç , avaient obligé 1* pape de levçr del CCuitlîbuiiüHs. De-ü dfs ta é ç pq I r qleirt e U* *t de* tntitûmrei. üu semble ne se rappeler que est acte d^ ion regue t lu su néu-ü u> pUiui ni regretté a Rom*. CeM lui qu'ou accule.des pi^ux quoti. s. su Et eu , ( ,-j
Ou. ne trouve presque p trini ici cene classe in terme dial rr de la société qu'on nam,me la bourgeoisie , et qdl vit dati* une hounèLc jiuuic. . . ' . « <d
N oua avons cou limici!« oie rit amia 1«« y ru a le* deux er-i
. trêmea , ?0pn1ànce tereuir ci la piurtet* san* re *s sources ·'.. A. câié d une mulurudc dindigena, il y * tro i So famille/ qui oui depuis aa_o, jusqu'i S et goo nulle ir. de revenui ( . elfeciifi, argent de France. Des lois sur le* succession* ci - ,
1«· donations toni déjà iaiies.pobi iibcoh une répirlitnni pini égale de tornimi,. . . .
„ ¡Lçb art* mét+niquei· sont 1er fs et peu avancer. Mais Rom* •St la patrie des bcau-'-ur b, Nous avons de- grands peintres j ' ¿ci icuipreuts. dfs architectes habiles t maûirés-pe· de J^mieres : cependant l'rj vdiùon su tomuaiuite. , j
_ Tous nos clubs qui été. ieiiuc· depuis peu« Nodi n’iroet frères d exagéré! ,· quoique rocs ayieni quelque· corses-1 poudaot des clubf dc Xlilap et du reste de ta Cisalpine.
. Notre S ru st tfi sage tsl bien composé. Noire Tribunal ■ quelque·: litri ardentes , mais tempérées. p» ht majorités Noire CdBfilad, qqi répond â voire Dirtcitûre , a , dwr COu scio PU hiktaitac supérieur, auteur dirti ouvrage savinf,- et qui, A sots étudition , avait m joindre sin* philosophie mile et forti-, il· s'appelle Vistasti-, nais peu point dé le fé kbre .Famille de ce- skus i il était gai de dir antiques dii Vflicik, Il eu bieu secondé .par tel bennes inienhcnrt .-¿t Je »«je ees qbaira conerosa. 11 «il· été difteik de müux ébahir dans Rouie.i. .. . t ■ .: , H i ■ -rvi
, ¿ngtipcctiM pcobt <i, patriote -, iridi si n'a pu tonile/ ' moyens qu'on.Lì .ivtiikdabond suppoatp- ’■ . 'ri
Âû* vois vitoTxtej supérieures ont é lé mette fois ntun· Alàu panJ^L£<*iaifSÙf,lss. fainpiç, t an 'iwis. apiii leur
Onqlral treni
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Ciûi gle
I t f ttig. J . '.
lùirfe : H* eu drüsiCrcBt une lifte qb’il* rernitellt eu suit f ■u générai çorn oe an dan t â R qui a , pour la faite publier·
Le raiaitteré a été aa**i axiet lie ure u»e me tu çkthiii. Lt minime de l'in teneur, ancien ivorti, a un très-grand cn/i i rite, et ht serait pas déplacé sur un plu* grand îhéltie, Le nimstre de la guerre, Brcaiont, tir un officier fran^»*', | bon jdtKÎiiiitnaicur* '
Batiat, que Ümhier avait fait naiomet tec ré taire-général du Consulat, tï'e« pin* ce que vau* l'avrftu à mettre Cou' vrnuen -, il ot actif et laborieux , sans être violent et ' brouillon. Tl est utile dauj »» plice , parce qu'ayant vü de ptri li irrolnttou de France, il suggéré aux Consul*, dan* k* rue me rj drSirile*, nue fouie d'expédieos qu'ils a'iuvn> ltraient pas. - -
il y t dan s Mtit vilîe g 1 10,000 TVjnjiïj occupé, de tlrfFé- realii maniéré* , ét itnthé» »■» dîverséf brin ches de l’ir- taie. Le briganJuge et le* cdticuuion* de tohi genre uni eom- ' mener par y être impunément exercii comme dam Lçsxutre· rentrées de l’Italie. D>» officie ri supérieur* mettaient tout ce • qui leur Ltrtxve naît en'réquisition, et ne tenaient aucun compte. ! Mais d'édaianlc* dénonciaiions ont eu lien ; de* chitijn^ii

a*t été infiigéi 1 La i¿vérité de* troi· commlmires Druriou, Monge et Fl ortnt en ont bientôt imposé *u* voleur*. La tréj--
i fin je *i m plii.it t de ceux-ci rt leur parfait désirne ressèment i prtthiietii d'exempte; et l'ill n'ont point été incité* «a A : point, Itlt··MirérilJacce a du mnint êié redoutée; et dis-loii k'scandait z cessé i' Rome.
Irlande. De Dublin, It so thermidor.
TT rit heureux pout le gouvernement anglais que lé lord Cwwalli* air jti* fin ivi'ême. tout opposé s celui qu'avait ■DTi Lord Cantden : *1 filr!*nde demeure encore quelque ïitie'i l'AngLeteiré, cen’est qu’aux mesures pleine* de dun- croreirj« sagesse du nouveau gouverneur que le* rnjd litre1* w!iu «n isront redevable*. ’

, 3' le prtfjet de Fitt concernant 1a réunion dn pirTemelft dlrîatidk: A celui de U Grande-Bretagne, sur le» bises adop- lé(* pour la réunion de celui d'Et-uise, eût été exéemé par W Jûuvcrnenr, ainsi’qu'il en avait été question , c'en était fait b’ I ii liant roirtc de ririinde; »Ue rompait tort* ses liens. ÏHi
toute que CafnWjHh, 'qui a bien prévu quelle serait le résultat d’une pareille téniüsive, f'y est opposé de' toutes i*eb forces. Sort premier pas’dbn* 1* tirhere idminislrxtive h rft tféldpj er de son conseil tou* tes -ofingistei odieux g4- ftnp[e,et qui rie pouvaient'en aucune maniéré cbopéicT au
' ■ I ■ < ■! .,i :f IL I f ■ J. , I , “ l . J
. . .'! ■ h i ■ .·. . ■ ‘ni- . ..-■
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Ünguml hnrr
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f ( U» I
méditait, et d'yappcHtr an contraire d«J homme*
qoi j'eiaieni cotntitnaim {ippûiéi aux melarti de ngueur.
M. Pcnomby i·) apptrçu hier an Levar du Lard-litmenant »
tircontun« oui. doit bien Faire augurer d* ata îtnenriotii pa*
cifcqrith M- Grattalo eut auiij une longue conférence arec
lui avant de quitter le royaume, Le comte de CharEernonc
pataït avoir lur-lout beaucoup de part i il cOnfiiuce, —C’e.t
av e c de se m b [ibi cr moyen· que le gouv tr ne ur acquiert chaque
jour-de nouveau* titre* à L'affection de· lrlnudaù·
Ancliteaik. Di Londra, U «j ihimidor,
, S. M. a nom mè ai t J amer Cra.vford , bit q une i , ton mï—
niltre pléBtpateüijaire pria du cercle de la Baiac-Saie et de·
nlLei an ir ad quei. ' ' .
' . On pi étend ici que TAjut riche ,1 la R unie , Niçle., I*
Suede et arme la Porte t te 100! lice· par ua traité du ton*
fédération qni va bientôt ètra mia à txécuüon. D'aprèi ci
plan« le thcâirc delà guerre conùneatale devrait être irntr
{>oite en Italie, mndi· que le·, Sotte· ruitc et naglaiie ha rte*
étaient Lei cfite· «Uf la mti du Nord, depuij l'emboticbur«
du Texel jviquà Dunkerque., ei feraient vaili une diversion
puntante dam «cite io ugni chaîne de poire· et de parti à
défendre. On allure en tffeiqjc le* Satie· réunît· portent
' beaucoup de troupe* de debarquement , et le· moyen· aéte·*
•tire· pour opérer une detccnie ou de* bots barde ni «ni«
On dit que Ici arnirawx tir W. Parker et cir J. Orde, mé-
«an teli· de voir l'ex pèdi lion de La Mèdi terranea confiée i l'amirai
Nelcon, ont demandé le m dé million« - '
1 IJ va y avoir une nouvelle ¿mission ffe bi Lieti de l'ickiquier,
Vcrptii din sur ree tien quil'flait manifeitc «urla floue
lord Sa· nt-Vincent, cit co decerti ml éteint«
M- le marquis de Spinola < ci-devant mi uïitre de Cenci,
partira d'ici au premier jour,
M« Pin a donné, il a quelque» jour·, nup fête b rit Un te 1
JiJ ïfc3i*J"ïrt J* rs m«sa»ir A 1-4 ni awrarvA
Îu au fi brumaire prochain. — Un râuide de Dublin, en dut
u 18, que le Lord Corn wall i· · écrit i$, M. peut demander ,
de· lettre· de grâce pont M, Bond c» qui itt certain c’eit
qu'ou a accordé ire dernier un nous·e»u déîai. Oitroii qu'au·«
ti-lôtque leu lettre* de giatt seront expédiée·, il lui p*rttu^
ÎQii qu'i 7 ■ autre· 1 rériirtt de Htur de piton pour me ¡ire
ordre, à leur· · flaires, afin de pouvoir évacner L'Irlande pour Je
15 yendéFaiairsi ih devront néanmoïna donner caution de ne
P‘ •c retirer en paya ennemi ; il parait qui M> Bandit a bact
u résidai ce duu le· Kt*u«Unia> 1ÉFUBUQU1L. ;
. Got gle C? «usinai Iraoi
JRK PIJ0LIC LIBRARY
( M1 J r
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! * é f u > l i <XU V F K a n ç a i S'E;
C 9 K H LÉGISLATIF. ' '
- ·' "I i · ■ _r
Ttatt» dei Îftot CwwiïÎJ, du f 5>Mr«iiitfor «tu i/rucfi^r*
i l’wtdit: <u jour du contait dei Cinrç-tçntfl t du s6
thtMiîdor, appelhit i la.d+icussion ia ipilc.du pt?‘
■ jetturle régime hypothécaire < diiiêretu, aftjck« ton- J
. TtrTuht'lai cKpropiùtianftÎQfcêet ont été .adoptés,
1 tarif'daction. . : - ¿..:ï
- Roliin, »gane ai’pncQCnnnrïttnGa «pédale , gip:
cote un projet de résoluticxi , portant que la fète^dc
j' H célébration de la fondation de U Réputltqiie^era
■ célébrée avec une po*upe digne «Telle, Le t*',»«·
■démilite prochain. . r . . j . r
Adopté- . _ . .t . · .
l Duhût,îeT7, pir ttootion tTmdre ; Ce .£ pit ppi
j wti d'avoir èdetiré du i* juillet,
1 telle journée mcaiorablc qp,i fit T écroule t les r«|uis
:' «b le despotisme entassait ni vie truie s , çt celui du
ptupte î il uf une journée dont le tüuvearr^
p» nüoiui cher a un amti du gouvernement répu^ïit
J'entend« pariée du 1S fructidor QAcIlf reçoive
nui uoi bonitïMg» celle juuraéç qui a Lri>c
1« fers dont le royjlusafr vovbit nous accsbler. je
flt pente pas qu’aucup de nuui puisse mettre &n
Amie « Ton doit considérer le i& fructidor-, comme
Avant uigmenitr le nombre- de« époque« nationales.
Vou· no peuvei vous dispenser de le rappel«
1er iti souvenir du peuple, ,
J (propose, iù, que k >* fructidor prochain , le
Directoire exécutif taise célébrer , dan» toutes let
OAnaqtruei de la République fit Jet artpéçt dettïTC
A tiç i»cr^ l’anniversaire de cçtte jourpée, .
(^ue le même jour, à. midi, le président du
càutùl prononce un disc^u^s, çt que U, oommiasioa
Tour XXX fl.
( )
¿4* Inspecteurs toit, chargée de tom les détaili Îe :
Aun vois, décrie ton! , . ;u ' l,
Gctriiiicta : Je ne m'oppose poihr ait piojetqui
vous est présenté; mais je croit devoir vous observer
qu une cote mis s ion s été formée pour s'occuper
de I objet dont il est question; cjie etc même lista
Mée au n)f>rtinl ob je parle i le léitdlU de *04!£(-
Vaif vous sera soumit Je demande que le cornet! .
diffère' à sta ta e r to r J a < propontion de Duholi, dont
11 demande peut être renvoyée à la coasmiiLwil·
' Le renvoi est adapté. ■ ( ,·..
B?illeu! éc Bertrand ', t4-u* deux au nos de hid» ,.
mission des finances, ont présenté chacunùb projet
de résolu tient ¿précédé d-uh rapport, et cûnCcrüJH
‘ ■ la percrptkjh d’dn étroit ilir-le ubac et sur le JiL
- Le çntïsei! ordonne fi fri idéation et lajourneaKit
! D’àp ii uii tb pport de Rie hajd J des Vosges J, « :.
norade»cçnnmiiiiam des finances cl de iunttsl^Ut :
de là t'éiqicric* le conseil prend , U 1&4 U léftEn-
’ vioa idi vanté i ' - ...... :
i6, Sto h reéetü #ÎétJué< t la. trésorarle en un’
diti férrrioriltrx de 5 vtr*4» en paiement dis >
ttofnainu mtKnbài ini-delide *5 mitkrôiu réuu»»
Léo ecêcdtion de U loi du'vff fleré*!, et qui n'oàtiCr
coïtïéçu, en signé d^rinalUt ion, qu’uneseule tsrtrfi
i if ètl stii éhi 13 jusqu’à concurrence de là nudiosU.
" ' Célic wmme rit -15 mUHons aéra ajoutés ^i: ,
·' ÿupplémtni A telle de, 5 million*, dont i
b été auidtisêt. Les Si iMiihani susénoati! *erjM<
' üiairqùés1 d*utt: ï'iûibié:ïMsgtfl 1 ·. ».·,'.■& .
■ effets ï rémfcttte tn csécnsîce de la pii* u
sehtè serdtit ihiuNéij-à‘fur et· mewase de leur im- ■
Ttéfl.1 par i applitatiWd'cme féconda: ligne iwfSii .
1'ÿncrr. ■ ■ - t ·. -1 · o i:.. i
' ibïSTTtt» ! aü noiW d'&Ée tiJni}iiiJsi&n.apé«i*lc4p^· .
' sbntc la disposHidri surviihte i, ' j^-.G
1 'ri L’utt'.’LX de ta loiLdu ÿg sygi < quiioréo^üt :
que Us fflrffthés.po'ni'âpproviiionnemeui du pspitf
timbré seroist paiiéi »bail, eH ripponfi, v i
,· »ilé^Dirtcroifreéunitwiaé* tonner s*» atBMtiif'
'1
Driqlrnl fror
NEW TOR< Pl/BLX UBRAI
lesirai au moins-, nu doute au plu».,. dani le» quel », pounont ta présenter les citoyen» qui voudront 1 . fournir h quantité,de papier jugé néccSMÎrc. '
1« N&ï citoyen nt ter* admis 1 fournir qu’a pré» avoir donné utt cilitiOiïTie tuent eu immeublct, de valeur égale au prix de h fourniture, et qu'a près avoit justifie, pat une attestation de ¡’administration uuqicjpate, visée par l'administra tien ceuLralc de dep attentent, qu’il exerce les dtoiti de citoyen, et qu’il en remplir tidelcmcut Les devoirs, *t
Impression et ajournement.
Le président annonce qu’uae commission demande.un comité secret pour faire ton rapport,
U n'y s pas de réclamations; iei tribun-es «ont évacuées à 1 instant.
Duplantier, dan* 1a stancè du 19, obtient la p*- rôle pour, une moiion d'ordre; 11 retrace en peu de mou la vçrsatliié de la législation en ce qui ¿ou* cerne les asceudans et les collatéraux des émigrés f· les dorajinti nationaux, dii-il , sont le gage des créanciers de L’Etat; il importe donc cuti vous précuite Ici droits que La République don èxcrceriur Ici successions des émigrés ; beaucoup de vente* sont suspendues « parce que le ministre d^a Ënancei. et Les Corps ad mini u trais is n’ont pas une marche sûxe et déterminée pour remédier à ce» inconvêuiedu J'ai à voua proposer le» troit projets de lémJuuûu wîvïus : - ‘ ■ . 1 ■' ' ' -
fifwrr fnyet. i". L'att. I1E du décret du ao mar» 1793 continuel a d'être exécute pendant quinte ans , 1 dater d u jour de l'émigration , et que les Lui* de* J floréal et j 1 messidor an III seront rapportée», "
*".■ Toute iu*pcnifon de vénte pif iürit de *é- quescre mi» tur Le» biens eet levée. :' 1 ' ’J
3°. Les ascendant de» émigrés'qui votnJfofit être idmi* au partage, seront tenu» (le Jefnirhir dnu certificat de résidence et de non émigration, qui leur >tra délivré par l'administration centrale,"ler, faute Enr euf de *g produire dans les delai»1 d’Uii taoi'si
■ »équestre continuera dVvoir beu. r 'r ■"'
Les deux au,tres projets tendent à téglcT U modi
Go* >gk
Orlijlnal ifrir
WFW YORK PURI IC LIBRAR
. {**4 * .
de partage d« bien* possédé· psr iudîvidh avec la
nation. ' - .
Le conseil ordonne l'impression du discours et le
»rivai à la commhsiou existante, à Laquelle il adjoint
Dupkniier*
Betgaue LaRroul fait en rapport sur la, proposition
de savoir s'il convient de réunir les 3 fêies nationale*
dés g thermidor, 13 vendémiaire.et iS fructidor.41
trace un tableau succint des événement qui, qut eu
lieu daçs chacune de ces journées mémorables. Il
i rend compte de l esprit particulier qui animait le*
agitateurs, et termine par un projet de résolution. ,
où, lansricri statuer sur la réunion, il propose de
déclarer: '
i°. Que la fête duj8 fructidor »era célébrée dan·
toutes les communes er armées de h République.
n°< Qu'elle le sera par 1* Corps législatif dans le
local de ses séance*.
3«, Que le Directoire donnera les ordres nécessaire
s pour qu'elle ait lieu avec toute lu Sûlcranité
que compojttDt les localités respectives. *-
Le projet est adopté à la simple lecture.
L'ordre du jour appelle la discussion sur le mode
de recrutement, de 1 armée.
Porte était déjà* la tribune, quand Lucien Bottaporte
ridante b parole pour nue ma ri on d ordre:
elle Lui est accordée-
Il s'élève, il tonne contre tes.dilapidations en tout
genre, et les dibpidateun de tou» états. Sa motion
donne lie ni un comité général qui a pour but d'aviser,
dluue luatifiic sire, aux moyens de remédier
à Cci excès, qui ne tendraient i rien moins qu’aubouleversement
tic la République.
.Nous [Ttyleudrous sur cette motion.
Le ré£ulpt_du comité secret d'hier a produit une
tétc Julien, en vertu de Liquélle 11 est alloué à chaque
tnçmbrè. du Coips legislatif une tomme de 3oü et’
□ uciquei.irjjti^S par mois , pour frais de secrétaire
de logement, etc. etc.. . ' - , t
■ Le^opseil a procédé , le tet. fructidor, au renoit-1
vdlemeut ue ion bureau, et dans tintervallit il *
Or.Çirwi tram
NEW TÛ-BK PUBLIÉ LlBHARf
( «H
continué ladiscyssion tut le projet-de Jourdan , cpn;eruant le mode de recrutement de l'armée.
Porte, en l’sbsenct du rapporteur, observe au conseil que ce projet n'a pas seulement pour but i d'assurer la victoire , si la guerre ic rallume, mais qu il la rend eu quelque sorte permatitiile joui dos drapeaux, qu'il est applicable à toutes les cil cens* lances, et d'une exécution facile. Si les rois veulent encore ouvrir une septième campagne, le piemiet ! toup de canon rern partir toute U jcuneiae fran- -i faite. Qu’i h y réfléchi« eut, une nouvelle coalitipn ; sers Je signal de la Ijberté du monde T et malheur à «tqx qui nous forceraient une seconde fou de dé- i ciarer la patrie eu danger.
i ' La discussion tut les différent articles qui corn- posent ce projet est reprise r cinquante-six articles sont successivement. mis.aux voix.et adoptés,
Lerésuitat du scrutin d'hier a donné pùur préii- dent t DauRûis^ et pour aecrétiiret , Lucien Bonaparte, GénirricuK Giraud Pomoies ttThyessé,
Le Directoire annonce, dans un message, que* la loi du i* vendémiaire id IV , sut la police inté* ■ ■ heure des communes, ne suffit. pas à la répression, de* brigandages et des assassinat*;. obscure dan>la, : plupart de ses dispositions vet incohérente dans âeà - principes, elle a besoin d’être te vue.et rectifiée pour
lui faire sueindre le but qu'on s'est proposé..
, Renvoie une commistion,
:, Dupiantier i Dans le dernier comité général qui a eu lieu , vous avez, chargé une commision ipécisla de vous présenter les mesures les plus promptes, les plut sûres et ks plut, couve moka pour a fit ter les, wapidationi en tout genre , et punir les dilapida- teurj. La commission a calculé, non sans effroi , toute létendue de. ta mission. Elle a sondé toute la ptofondeur de l’abyme etitr’ouvert sous ses pas, rt iqd premier soin a été de vous présenter le moyeu de le fermer.
S’il ne s’agjmîl· que de connaître les dilapidation· de toute espace, d atteindre et de punir le» dilapi- dateuji.de tous états, l’entreprise ne serait point *u-
Cl»
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. . ' . dessus" des fotcrrcirdinaTre J ; mai#', il faut îe dire * il ' n’elt presquaucuoe partie ds- l admiqistraiion publique où l'an ne trouve des compilera-puis fins , aucune où l’irnmotâitbi tt-ir corruption n’aiem pénétrai ï! a dofiC fallu q üt-'Jà ¿Curtui iütotï-se rendît indépendante de toute ïFectioti perto ntic lie- , de i tuus égards pour Tétât'. U dignité, de toûte-accep- | tint! de personne, il faudra,, ¿îtùytiïSTtpiestntarti, ■ 4ji4C iouï déposiez Véuï'tirfmet toute’ctmiïdiéraci on, : pour ne saisir que le gllrivi delà pistice? Urte pkii , longue induréac'e'Ycdl· rendrait complice«· Guider l *“ aU contraire-pStt il :froide trt tévere impartis! ittr , i: V'ctis frapperez ■sv-tc Ü hrH tutélaire de1 la. liberté i et de l'égalité , ces hetnmet· dûtrt'Ja ibrtuhte ctjkii- ’t ' sale atteste i ïnfatttté. -Mal»-, je le-répete, ilfaù^êga- je le ment frapper ft -ri le-complicité -de tésXltüiniriia- \ leurs ■auûcin , Ktît au crime ,l soit ans riirniotis t de u ce· administrateurs' qni 'nrWjagtm qu'l· ce tri qui i leur montrent'le plui d’or, les-msrclrér ’tn lbi -eO- u tTcprisei i de ces empiery« qui sa lieu dt' te éWeta· : rtc les vengeurs se déclarent les protecteur»1 des ci- ]■ lamités publiques, en rtfirsant ou ajournant la1 jlU· . tice pour des pries dit familles, pir exemple-, poires iur U liste des émigrés, et n ayant pas ïi6éz d'or l·
1 efftïr,ils sont ttjeliéedédaigne memeni,tau-diiqu’bu l· s'empresse de satisfaire suit récfama-tianü dis eerry- Jr phéei du.parti conspirât eût. C’est ainsi que-, pour i qu-lqtiobjrt que ce soit, Pcx er Tors edi petit oti* vrtr les portes des administrations*etdH bureaux. H i faut utie forte tomme À -cdot-ei , un-intérêt Hlm i
* moins fort ^celui-là, un prêtent à- la nuit ms e d’un
1 ir&isierne. Ainsi vous voyez que te ne sera pas seu* i ‘ lementlï factioÿ de» dilaptdateur» contre -laquelle vous autei i vous élever, mais ■ a»jî la faction U« , ceux qui vendent fa justice oa la fweur. - , , .
Le rapporteur propose, à la suite de ce discutai», un projet tendant -à dédaret-qu-'ancun fonciibDtjüiTt public , aucun citoyen exerçant de» ’fonctions s h
’ Dominaiinn médiate ou jrnmédiate du peuple^ ne pourra être fournisseur, ni intéressé dans le» Ftrm-
■ miurcs , ai -fenni«, d'aucune conln b mien- s •••'ni i
.( îo- gle
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■ Qr.dnal ffbm
¡NEW VC'RK-PUBL IC LiBRAÏÏï
'(*w| ·
odtïtM' dVueun ternier «v fou mil* «ut, . Tobj ê«M qui te trOuyfïùdt ddnt ce cai s erp ni tç- | nu» iToptef , d a fit le délit d'us^noi», à campicr de Îrpublication de la prêtenie-, ... 1 . ■■
ecntrevenaDt.MronE punît de h dçititutÎpn ,, de U d igradaiioi, del'eue lp*M>n de |opλrfcr>ç tient publique i, uét te nircdee hdnçâcpt qu ih aurais a: pu faire* .
i 'imprettiim ci ajourncmqni: ..,,, -: - . .
ifreciide diicour» de Bon sparte dani Ja Wang* du-4g. «i Perntri fat/ïçt>on« contre résolut)Q^a^irei qui cjh juré49jperte, de h République t il p'te eit. aoci nç de pltrtdsi«i£irrcu>q*de plu» etendue, de plue ptHitaïue * et peurient de pl« impunie qne celle des, dilapidai*ursdcla fortune publique* Dép.ccnç.cri^ . bunç a ««tenir plMiiew/oit de mâles actcnis çùntrq, , etj TBEHpaMn wtipii cheçuu, de nous lent a jüié ans | gnnre 1 tiwr Oui., woui roulon» touiqnp tpçtrt 1 teuion inH Ètyiakcpir lareprciMDfi de» bügindages de tôtMcilei ripe ce» et pir le chaume et de iqp» tel.
i ïotcurti etecliejitttepwHi maoifcitée avec én ergie « I i déjà pottd la tueur froide, dit <rinpe sur plut dira ■Ife®«’ ■ ■<’- ■ ,.....■ .’ i(/ ■.. '.
i 11 piventea c.ftunmteifwîl entité nognnêes -pouq Éliminer tel.comptes: d<* oiinistrei, présenter des mertur la pablicitê d.ei marché^ et la reprritinn des jtui dont ï'ehûhtnte CM tin mandate .ρμίΐΐρ* Cellq dont 1cm»tucp a |dÈ M porter tut les dikpidaiioni T dh le conntne«raent de tpg travail a été. Itippéç d’ua.tfinc rapprochement ; déjà pluùeu.ii foi» les d^r . iipidatqvre ont'été dénoncés ; déjà plusieurs fois de» c»nMni4tiùcit<»tit ,éti chargées de «'occuper.de J a pu^ Bttionde ces tang-iue> du peuple ; mait la for^e rua- éq ue debcireoiïHaQcei a teii.^cnq^
an courage; l'on l'tit arrêté Mtr |es .Jboid< Je L'abîmp, au lieu d'np «endette prologue ut ; en pu mot* app <nue d'elle» n'a rcmplÎ *09 tpartdat *, co^mc tout«* l'auraient dâ faire, Pour noui^foC» de lu volonté dn peuple-et de w*rç jnstç iiujjgRatiç^, npui qvpdq ¡dé- UiW Je< pwm de« f^pifi qui naiyc.«.»ip
feu« N*w««pai*pvlt rtfûw«ei oQu» qoo » lowaqi
1 . .
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JDÜG HBH
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élaucét dahih avec urteardeur égaie à vW
confiance Noua arrêtetGBï ks dillpidattattXÿ ncjtiOn
punirons lej auteurs, quel que loilde mjntfiu donc
ils se couvrent ! A 1 exemple -de nü-s guerriers.qui
voktit à li victoire saùs calculer ki pénis qui ycoicfaïicût,
nous ne stïe'ÉT pMrtt îriïSié». daus-notre
ni art Su? pat etb* dflnUwtte fettion a»dtrcicrise chercbera
à nous environner. 1 ■
>r Vous imiterez notré metMple, cïioyui kgisÉL·
teuri.'Voùs marcher et tant regarder «usotkdc vodtf
vont renverserez , vèui briser<c tout ktobiticje*
qu'c ne titre prendrait de vous opposer ,<vbiM| reevep
strei le mur de kparâTwn qu'au a élevé cutrejvm»
et les driàpidatedts, et 'Mltmdrcs quelque*
effort) q&ils Fajs'ertt pour vfuiçéchapper. lie! vrapires
du peuple pc sortent f’trer lLataja«« j.-iaus la*r
opposerez le glaive de la ki ; ih teToruimvavks, Le
Directoire sans doute partagera nos idietftioat,ihw
réunira ;à noui ; il sentira que la taàwnn dit de·»
mesures est pistée 7 qill fuirt frapper der-grandc
coups, et faire tin ekeuipte Capable d'intimider U*
fripons ; il sentira qdb’k trésor public iMcuule-n
pure perte dans leurs maint avides , et que la péwo·
rie cài lise trouve^Téfifiasan-t chaque jduf^ craque
¡fDTléé', nêcesiJttTa de nouveaux impôt;.:-
Lxcomminion j'eit déjà occupée de d i ri ri projoli
qu’elle va voUi'p rêvent et iiécesrctminciït 1 mais tiiex
été arrêtée par ■une réflexion que je sois chargé do
’»OU! soumettre: Lepeuple don attendre justice de
hotre zek ; mais il.Convient peut-être que cosdéraik
ne soient entendue que de nans sewh- Tcmitts les fictions
¿ont mk agu£ftT elles ni&üs cpivfltt clic» rOMmente
rakat nos discours, et s'empareraient /
triment de, ia République » d'an mcuvcmnit lé^
réux qui certes n’eir pas pour elles. En- ronBjtquen<*t
lx commission vous demande, par mon m a M, 1»
comité secret pour pri'rtddi ptoch tin- i· ■;!*> ;. .
Appuyé, l’écrie-t-on f ' ' - : fn« t--‘,j- J
On ïl repris, Je si itérait dix, pli cWsHil des At>Ü
tient, la discuîliéh ’du »4 prairial relabri'b lf»
du rbnivdt« an Vi,«ervaoc deruiiei cMI»^*·5·*1
Got glc .R Y
- fM»4i jbìmfc ^ottcernant-lej transactions QJirce ¿pitele alteri petidant la dtptécijlwn du. papitr-nronnatc, . r liLEestc parli; ta fivcur.de ia Lciclution qui cou- Hem, , iculcijci cqrtfetions qui ivJient «té
ìndiquéei'dan^4a dìiciiision qui (milieu Licr pEètéd<t)<f léiQlution q.uc; le «Hiieiii jejcttai *
L’alt. XJV D'eit puinv.tpntj;j ditto ire , cornice, oj^ Ta dii„ avet l'aib. II desiai du.id rjifòse, p< i65i\ ai ave t (die du j me tilde r.rDn ne penava it deroget; ì-tef lui* taiw ¡tuaquer Iti con verni ons et iiiiipio^ aoncet ittiikw valìdité pu Utu in¥*diditc', te qui . a’e*t pas de la compétc&ce, diL„Cqtpt iègiilatiL - Lo antdc»,J. er ,¥i tje «oplpaa plus que l«p,èéc^ detti tu cODiradictianarct la h?ì du 5 meni dar; il^ toni tùuf&ipipi à {.aie/ IV.^cbloi du ig floreali, qu| dii qu*eit caj de. railttunon. oh r,o usuitela lei valcuq le calca ;da ptoiogauon du fl?ki itcorde par L'ait, ¡k / ppuì Pop fiori, ta’est q u'■})!«> co# réqu^àcci de» rem di Or c»i orini spai not dilettai jif| 1/cuUipeu de» bau» eiinani irtpoié ,|.u i voqae^r qui Italie diui lei fonds^ eit, datì3t tonte U lytjuqu; du principe. L'^c.‘ querelar don cgalement éirp idjrjiià payer cq a i geo t, oua cenitucr.k* fruiti pcrqui d^puii la jóuksan0^ Cotte diJpoiitLóa eit de.,tiitu$ junicc A et fon pq peni fm airc^ftnióqiiemniL^^qail· y a ipcahértute ini re lei anidri 1U et V,dL. M .tcspliiliom ............
. LaE4sy«oqpaiu: d La. contri'in/on qui a bit lerap, puri, empioie lei mennei f 7“*“ objetùoLi qui om pie taucs ¿oucrx ) . . , . .
Ct) bit sentir ^urgente né.LSSfj^-,¿£01 ptri)i4C,
Tronchei alUque Kart. Jl, «uquel il reprpctix dq l'ubicm i.ié^de l’iucirhértuct ci d0\ujuióce li u fn- HpcLp-ji ce qg’uu a, voqljji^ire pat ee».moti : un ac- qutte.ur qui l’cft. iyuniii^qt p^ie^.ept d uo (lolite, U pense que cela suppose que le veiideur (g cedane ** pio p rii^ì 1 i - 4i’m q uè f te ai , , 0argé ■ ¿ebù' q,, C*’ c- quitiee un donàire j maii ii.n^pcffiy avoir *V gaóoo à.cet ¿girti que dauis deqx r_caa. Le.prenrjer T cedui qà-ìe demaìr^ en prèEucvMVwett “u mqjqiqnt i le /ecijnd, $qù lf .ftoy&irc g
' : “ 1
^ipycut. po.ur répondre a ut )UI ontrx ja rèsojutipnj il
rrir
Coi gle
HFW
. rtî·) ¿gJernrnr ouvert, racquéreur /ett chtrgê. anoyen·· Dintunt jnmtnt qu'il garde entre liitnnhi, dK-, tjtiiLieri ses rijqiier , périli êt ter tune, la renty via- jtr'c quri tofiitime te douaire. ÂprH dcl «ai, il ne plût y iTorr de délégation pbiir lé tervitc d ua douaire f par II c*t pôliibip· qu'il ne l'oAjvie Ja nte w ét qin coùséquertiTntnt il lnè le pterente jamai« de «fértrciftr po-br1 én techmer te ^ateméai, D>n»c««w, h lornrrïe qtfe i'BCÙàéreUrM entre te* tmïot n'eM qu· te mrapc de iOn phi qtt il doit donner iion vendeuri Ét^dÜ ne conçoit fai comment fart. H veut faire Ilyerlél intérêt» dd ¿e'réihut depiix, conformémeul U» dispojftiasidê f>ét. VdeMoi du'ti oivô*»,taa- dh qut fa ntethe tetelutitvb Git'payer le capital, coi»> fcrtntrhent iiA dljpAihin ht de Vert. X de lu tnimu ÎOi.r— Le COnteii renvoie ¿rire ohrervadon à lajcom- million, et ijoorrih H ïuüe de ta di>cfHli&tu
ttena h teanct du aj, te rapportent répondil’ob- Jtctibn'deTréitithét.'litctevientqut te tèdaciiâti eu- rtit pu eti itre tnnrfta· c-’Mate telle qu’cite etc.cli« tuffit'poer Faire connaître te vériTablc icnt de 1 article, qui d'ailleteri eit juste et eorfforme aux loi* frterf itente1·· Geia'ftteiÉ ■ fibur objet dé rendre cem* ' rtteù au ttetfaîré tout Èfe qui a tfé piticri-t par te« ioû ftîiiîvemeni lut dcld^iriont. Il ailnhite te* devait«* aux autre» oblVi»aifiofri ¿onttecléct parle» acqueceu«» ' i la'décharge dei VC1ntlèùt»,'Le5'prc>*tet* ttefjonilct éayer. aîpri qtf'ih i'ÿ *t>W> «tdlgêi ( oi* bicn rt*iltet teüri WnïciWL îteni re dentier <>*, te tcadtur iQrt h'htdfté de-hire rérftdre ce· rtéarxC·. '■· ■ ■
Le tbnteiJ fpr.mt'Jd dhtcadion, tl dpptoiMttql* te- fdluïïdtf.' ’ '. f’t ■' » . ■ - i- t»i:........i
llLteÇrflt eïtepjprcrtïvtde itriw une autre réstliiüod cdncerhabt te ftie dtla fondation de 1« République^ * tltab prpporitten’dt prtatene il u'u^
»'¡U g'eninU1“ * -J1- a.-î·-·,. i. . ■ , :
L* dite<ïtiïènrJdH>r)Têt*tetitrtt jl «4 y fa Mal derQius tflativte dfilç e iïifrthétJ 1 fai h i’vér priviteçc lut lqe 1 tedtei, h"occupé y ne g rende piirit'ded» tenu* tftr tB. —» Bddicvilte'Ftamttr combM lu liioiuüorx i Chi'Acprtt p«,Jdrt-Ü t Ivtndrt J**roo*ifeùaw4«u>
Go gle
i Uï')
tnqacllci îfr* prêteur* ont prêté au/acquéreur*· de*
ifüici. lia ont voulu un privilège rut ces rtntçt et une
hypotheque générale et spéciale surki bien* desera-
"■ prünteurs. Toute· le* chance» ont été mi set T pu la
i contrit, à h cbatge de» acquéreurs dei rente* , tt
’ rien à la charge de» préteur», Cette résolution , iat-
■■. junte pouflt» Français, l'est enterrr davantage ptntr
Ll Jei étranger» p à l'égard de »quel· elle donne un effet
'4 féirijactif aü* Loi» précédante*. Ce* étranger* avaient
r prêté avant la révolution , et le* obligMtoti» qui
M riàttût de celtg époque sont déclarée* auj ou. d’hui'»
■'j p »t le» loi* fut le* ira inaction* eut ce particulier»1,
\ parablé* en numéraire. Il vote contre la léeoiurioi»
;J! Boéda» la déftnd. — tédanoii ne 'partage pvrtt
:!Î F^trrioti de Boisd»*‘ii’r4É (brid-dt h* WioLutiüat ' .
:l· Muguet vote au*»i contre. ..:·■■ ■ ,
te t'unieil ajourne la mite dt'la ditcuiiibM·
i Lÿgg, il rc forme en comité générai.
’f lia procédé le i·1/fructidor au Tehoutfellerneitt
de ion bureau. Laloi a été appelle aufiùtetiiL Lia
' «ecrétaire* -»erir i XJarat, Du fia ut, Réveobieo-cktc
■i Lisscy. « *
; liicieu Bonaparte, dan» l^*é«ee da;3:du («nfrfril
Scs -Ci àqipetit* t obtient la parolcpour' une mot tou
; d'ordre. j
: Dépoiiftirti de h cottsiimuon4« l’on
c’en i vous qbe je m adretst. On dh publiqurtnmi
' que h constitution de Fan III eii attaquée; or* publié
que l'un veut substituer l» volonté de quatqu4i
ïrbrtftnet i ta Vu Ion té nvioi>»lc-; on répand, enfin que
l'on veut faire de* innovation» dan* la constitution
dé venue le domaine de deux République*. Fixer
riflfm vos regard» tue le* entreprises de quelque» atnbrrieuK
tant mandais. Sous peine de redevenir el-
Hives, publions des vérités hardie», qui pujtiett
déjouer 1« système exécrable de quelque* hotnmel,
| etiiiî dangeitux'que celui d'un »eut.' Qui-»orAdli ?
ûft laiït ib, tes ambiiir m ?11 importe de le» cou-
■ «»lire rit de Je* signaler- La· France recèlerai dé*
cohspÎTtfgtiti contre la liberté de*.peuples !■ · «t
■ Beujt République», tiée»'hMDlktXcH'F*vfrf
Go gle
4
- ■ \ > ( tSï ] ·!
accepté une mêmt consdtnticn T pires qu'elles y ont·,, vu la garantit immuable de kurrepp», de leur in~J dépendinccu de leur prospérité; et süui prétextai d'économie, on pari« déjà de téfotmet le Cojp* lé- I igitlalif. Un atohaUadeüT français. conspire contie 11 | liberté.de.la Cisalpine ! Il viole les traités que ypu*1 . >ver ci me aléa, et ic met à La . tête. d'un< poignée i .d'in novateurs ! Ceux qui attentent *inii.à La coneti- tuüon d'une République illtéen'attxtLtent il* pat , ■■tnsi à celle de leur patrie i La détruire, n’tn-ce pal· ! jtuultetà celle de la grande nation elle-même? Si I ■'. ,**nq ou six peraannei parvenaient à violer une foi»
.la consuiuüoci présenta de.la Cisalpine, ils pou#-*; uient encore la violer daiit.peu.de mois, et douze ou vingt individus; pourraient en ptu de trmi red- Vcrier la constitution . - - ■ ■
Voyez lei déscAdtci horrible·*kl· factions et le· ■ délits toujours reiwituni au»qutli un seul exemple ouvrirait le chemin dans le sein de* Républiques !
*$i ce ne sont 11 que des vision* , ces. craintes du .moins tutus honoreraut api y*Ux des peuples libres. Il va u z mieux pousser mille eût d alarme s inutiles, : que de ta- sentir percé ,au moment où J'on ne peut rtt défendre,. J'en jure par fa con*ti(uùon, j'en jute f»*r vous; avant que notre charte sacrée soit détruit^, 1 faudra qué lé* mnovxtenri patata} sur fai corps . inanimé* des législateurs. Si ¡envoyé diplomatique -à Milan pouvait briser sans vüiis des traités garanti* ipar vous, la liberté «e serait plu* qu'une.ombre , J* République qu'une chimère, et les citoyens que des . esclaves. , . , ■ . ■ . ,·
.- Laiisiocittie veut concentrer le pouvoir exécutif -**tre Jes mains dçtrois hommei, qui auraient Vis*»· (iative de# Mis; «Le veut ajourner lormelkmepr le ; Corps législatif pendant quatre mou. pour préparer . plus aisément son entier asservissement pendant tes huit autres. Et vous souffririez que ce système des* twitiur s'introduisît, dans une Répubbquç alliée, . parafa farce d« armes française», qu* yom accoy* ta me ri cz ainf> â violer les droit* des peuples .! V* ;£Me(ie cïyîlt.ut us mil affreux; mtta la tyrannie eu X* J
Go. gk
( «« )
I tin mal plus grand encore. La République Ciiatpihe ' ne peut changer sa consiitution que par la volonté 1 eu peuple exprimée dan« i«l aise m b lies primaires. ' Si elle a de« riéfauis, le tenu« et Inexpérience doivent ' Ici découvrir : la constitution sera son école à elle·' ' même. La représentation nationale saura préparer le ' tableau des articles qui ont besoin de réforme t la Directoire convoquera l'assemblée de révision ; Je peuple, en attendant cette époque , pourra coh naître ‘ >el bleus, tes mtus tes beioitu, et les hommes c^pa- ' blés de traiter ta cause, pour leur conKcf ce ministère important. Alors le peuple i'appercevra qu* <* souveraineté n’existe pas seulement dan» de vain* écrit*, que »on indépendance n'est ni une iliuikni, ni un lonjo Alors tout sera corrigé avec ordre; avec justesse, avec tranquillité, et par l'amodié légi* time* le peuple regardera comme sienne 1* çoniti- hJtjCm il apprendra i aimer et à respecter également le* parties restées intacte* et celle* qui pou rme ne Être corrigée*. ' . >··.-;
Puisque tes brùit* dont Je vous parle sont public», il importe que voustOyiez instruis* bientôt de U véJ nié des faits. Jt demande qu'il soit adressé un mes- auge au Directoire , pour qu’il nous tasse connaître h situation de la République Cisalpine, le* événe^ mena qui y ¿ont arrivés, et dont 1« bruit public accuse rsmbasjadttir français d'être le promoteur.
Dn demande l’adoption de ce projet et fimpression du discours. Mai* sur l’observation de plusieurs membres, que la conititution Fait ntl devoir de ne délibérer qu'en comité secret *ur le* intérêts des nations voisine·, le conseil se détermine à se former ta comité général- Une demi-heure apièi, la séance est rendue publique, «le conseil déclare qu i! passe à l’ordre du jour* ! ’ ·
Le re:ledci articles relatifs au mode de recrutement de l'armée e.-t discuté et adopté dans la sébacé duqji
Le président annonce ensuite qu'il vient de rece- voirjdu Directoire eïécmifun ïne«agc T qui, d’après l'art. 334 de li constitution, est de nature i être lu *a c osait é général· .. ..
v Go< >gle
. tmî ■
Leí tribune» sont tn tonfcqvtdce évacuée». On présume qu'il s'agit de ifc tuti(icaü«xq. d’üq trait4; d’aîlancc off&Ditvc c< défensive *vct 1* République Helvétique. - . ' : , .
L'ordre du jour du conteil de* Ancien*, du t fructidorappellait U discussion atir.Ja résolution relative aux fêtes décadaires.
Plusieurs orateurs, et entf autre* Rabí ut le jeune * It combinent. Ils la trouvent iuccmplctte , inexécutable, et a'éïcvent lûr-tout contre l'article qui ne permet la célébration du: mariuge que le décadi* ci «s wontreñt le* inconvénient. .
i La discussion est ajournée.
Lacune fait, 1« 3 , ta. rapport sur laiérqliHÎon du. jç} thtfni>doTv qui fait Je» fonds oéceAUite* aux dè-r; peuto.de la guesre. peudiûi l'an VIL II partout«, cireurs des *8 chapitre* contenus dans l’état fourni, par Je . ministre de h guerre, il donne uir cha cnn- dm détjih qui prouvent que la corrttpifoti, h uégii- gcncfi et la dilapidation se sont glissé«* dial toute· ici; parties du Mivfeeq ¡1 indique divers moyen* d iméhoratioos, beaucoup d’article* d’économie. Il propose enfin d’approuver la résolution, tau>|anc- tiotincr néanmoins tou* Jçs détails fournit par U mi- «iïtre, et en recommandant.de ne payer qucsiif de*, états d< revue bien exact·,
Ndu* pouvops fairedit -il, la campagne de l'auj VH ^vec for a Sa miUiof» que la rciolutfoq accorde au ministre, puisque nous avons fait dix moi* de celle de l’an V.tyeC 117 miiltont. Jette* le* yeux pai> tout autour de vuui.'el par tout vous verrez qu'on arme. Reste riez-voce seuls dam une funeste inertie? La résolution aurait pu être meilleure. Il y aurait néaornoia* un grand danger i la rejettera oa ctoi-. raitou que volis ne voûtai. ou que vous s«pouvez pas faire la guetat. Que les rois qui it déclarent floï ennemis appicnueni que, Qon-iculcmcpt itOus vont taire la campagne d* l'an VII, ùiii CQÇOre quû les étoucmicî qui sc «qui déjà opérée*, cl celle» qui s'opéreront à l'aveoir, nos»» assurait jci.moycBSi de faire celle de l’un VJ IL Qu'il* »pp&nM ut. q»rt
,Got igle
NtW ¡Í3S
s'ïli «oui forcent 1 reprendra Je* itrnti nom ne Içj
dépôitroiH que tur k| djébrii de [çuri frÂnei;et que
et Ja force de* aime» oc luïLt pas, p.oui employerou*
ka geemte et ke ferment de la révoiuUQ· fiançai«.
11 a continiiê, le 4, la ditcùieâon sur la réialution
relative ans emprunte eut Iwrcntei viagères Elle u’«
produit aucun r^aultat. - ■ .
.Plusieurs rêsolutipm, qui ne prêientmt que de*
objeli d intérêt pirtkuljcr, ont érieniuite adoptées.
PARIS· -N’c’njdt, 9 FrucéiFJ de laR4p*blîqiu>
Un parti signait depuis ion^· teïat par atm irwpuhirx
di *0 r gi à il atri c e et révclunotiniire, pmrr qui Je rapts* poli*
tique en k nnai/et L'ordre pvbtic un état contre nature,
«'‘agite beaucoup en ce raonwDt', et l’efforce df;commune
quer lut autre* l'tiprit d'in qui élude et de tr-ftubk d-trat il
Ht animé. La loi du aï toréai püt*ii être l’objet de «< il·
laque·'i inair ccrramenc arrivar au <a forçai, »na inéanlir
la loi du ïq fructidor ? Alliât ïatbrt■ r*Ou qu* le* chef* de*
dru* parti* out iriuiigé taire tu* , ci *e sont promis un
mutuel tdcoiiri. On fait circuler de nouveau nas brachure
de -LtraereT , et une «uirc de Camille· Jordan , contre Le,
18 frrrit'dor. Kir tuime’*tenu oe a publié, sous Je oonr
i'ippel aubr frinri^rJ k une diatribe cinglante contre ]j lai
du va forcit t diatribe lignée CracÀtl, le disant député de
i'a»etablét fier toi île du Pai~dc-Calais» L’auteur craignant
qne son 'prrrtte ■ w lut pat *»iei■ connue , a pris soin de ‘
ladreeier loi - même lu Directoire et pow que le public
n'eu prétendit <m*e d’ijnorance, ij * fait initrer dent le*
journaux sa Ittire d’envoi. ■ -
D uo autre tété, ürs ftiÿiruii d'Otdre , faite ptr un jeun·
représentant, défcnré d'un nom chéri k gloire et S la recoonairwnçc
nationale , 1 rompe un* doute par la cbiieor
H'uà eik indiscret et par des insinuation p?r h ri«, a fiifîï
apporter I embraie ¿ne 111 au S ci U du Coaieil de* Cinq-ceuts.
Mai* cr< fuccnUia, jliuuie duii uue arïuce publique , a’est
bientôt éiejut'! après que le coaaeil «'ut fur me tu comité
■KHt- La iagvue de et cousrll a sryotmc pt'etqu'i LunaiHftité
cette Diofoir¿ ordre, .et * prouvé i tcj'j les esprï;· fao
iléus ,qu’iù emyeriient en vain de rompre rhirmouic mdsk
« de itn.e la tdrijüiefiigcnceenir· ter pouvoirs cMatiihé«·
-Qa «forpùe: égstenWiUTf ad dit 4tiQRCMÜoà| bazardé
Go* >gle
%
ut qui sont peut-être de}i àfméotidi itipris de leu ri atHtbnr
A ¿Hiier le çopiçi! et U gbhvtrnetrient, m> ta iitif>tion politique
du Midi, oiTen a'ta cl ràiifi émeut ibùitde la loi isr
le) vifiies denicïliarnfU Maif’le* iujtoi,it黫u£eri*an· ne urüi-
ront pat à être toitruncs de U venté .de* choit*·, ai cllet
iqi le sont déjà- On Trtanniîuri qu'il.ctt toujours pudenide
te défier de ¡wm ayjtèine. dcnttuctairut, qui p'eat s cm veut
qu'utj initrkHïent de haine , de pansions tt de vengeance
particulière· ' .., t- ; . '■ , '
— Ou affimc d'imn maniéré posilise, que Bonaparte *ft
arrivé'à Alexflndiïe le eo luemiJor , et qu’il y * effeettiè
[e déb tiquera en i Je Tér troupes. Ort'Witrre que la nouaelle
officielle ne tardera fil à.étTjp annonces! par urj message avr
dïuK cùiïseita- Allia! *1'’ei· lu oui lient Tùü) CeS brtnt? aeïiféi
fltnl lta jateuei-éeiau^éf combat) livré) ilfllt Je* ISlttl
de Candie, entre Ttafrfadïe au^laise et l'ejeadre fiügsie,
dont l isiuç aurait été 1* prise dq general Bonaparte t et de
dtaotre, U. mort dia l’agpitl .Nelson. . . ■
— Iss »ipérancu dn p"iic l'évanouisse tii chaque jour.
1/Auftaçhe tait dei préparatifs imtnecie», •w;iur,!|{| Rhin
que Mt 1^4 kqiitifre* de. sort côté< toutes |es tremp»
de la Képitalique sonnets mqtivcment ,eL notre, itfpéé djtiüe
«e groüit de.renfotll^ûilsiilcMbka.— Le congres de RaaUiit
fuarck* tonjours avec ta Irntcar tirdirairg .à U covsiituttai
Çernixrnque f mai* la République. FraofliM pjrjut déterminée
â mettre un terme a t.qutti en lrré*oluwû^$t O> ajoute qoe
de nouvelles néf ftçiadun* se »ont ouverte« â Beilin ,er l'on μ
Italie que ta naédiariin de ta- P/usit ne re|ifj^ pas fana «Mil·
Quoi qu’il en toll, tout prend une attitude: gtwrrterei J*
général Mrneua en remit ep-tetivke, et au·!1» -un fcmmiôàmenr
dans l'armée de 5«<wbre-*i Μ fuie ; Bernadoqte .ççiiwaïir
dira l'avant-garde wui; îp ttfeijn x et le général Joubert prend
tquies mi difaurés pour Ouvrir ta campagne, Au premier
signal, pas quelques bpe rat tuai, éclatantes. Si nue nois«llc
coaliiion se forme', romiùe eu parait rajmrV filpoutrùt s*
Eure que ta deiuiere heure dqr roi* lütfOpoit- .L^i ftoiipu
rta la République mut impatiente* d'*a fifiir , «t iecùtilirr·
.riltles dana le tu impéliLOiiLé, ' ■
“-----,-------- ----------------- - ------------------1------—----- ■ I L, y
LOTERIE NATtDftALL
• - - ? ■ ‘ ' . i
Tirajv da 1«, Jtticiülir. ■ -
Les numéros soitii. jüut.i 41 I ; 33 5, ,
- Lut Qit - La^? UHA v A citf·
- Witd h [T-| ■
KOV YORK PUBLIC LIBRARY
VH A
MERCURE FRANÇAIS.
DÎcadi îo FmJCTtDCia, fan lixitntt de ta
J
MORALEJ
ïiitÀiïcts extraits du nttnujcrifj de midaittt Vftisu,
ïroû tourna in-8’· A Fartr, chet Pûvt-r.Vù;t rm
An H.
f . . _i , i .·. i.. : ... : | h;
M Ad A me NeCkEk filait fait un· habitude d'écrire
Îournclkineqt les traits et les anecdotes qui Vivaient
frappée dans les conversation* des personnes choisies
dont sa société était composée; elle fin ait aussi
fur k papier toute· ks pensé«» fugitives, .ces remarques
du raûtntnt que les circonstaqcei liai suggéraient,
et qui devaient s« succéder avec tant.de
Ttpidité dans une tête exercée à méditer sur toute«
sorte» d'objeu. Ce sont ces notes qui,joint*! à quelques
lettres et à des fragment écrits ou pour ici amis,
ou pour exercer sa pensée et son style* forment les
bois volume» que m mari tfient de donner an
public.
Si h rn attitré dont a été fait ce travail n'est pas la
plus favorable au développement de» takns de l'é*
çtivain* elle est au moins la plus propre à faire bien
connaître son caractère et sa physionomie. On voit
que madame Necker n'ayait qu'un ¿oût et qu'une
passion, k goût de l'esprit et la pa$i±on de «c* de-
^trcE
( tM )
Toîttï que h conversation et l'étude étaient ses
'favoris j qji’el^e était 4 ’la recherche' t*
moyen» de mer de lune et de 1 autre le plu* de
puu.pûuüdg ; gifcljk était e\riêaicnic;nt■J.o’ggçusç
de plafap»c* société c< qu'elle y ¿tudiqit beaucoup
>m.aaïuctet ¿j ionUngage, tnoin$_pai amom-prQpi«
que par une suite de son goût dominant, et parc«
que la convetsitiO^i tscurtesoéte de jeu où il faut
que; Eçtrpiyc bien ton joueur-, ù ou vçu.t, quç la
Sortie »çit JjqilJan|te. b DflU(tc d'-uije sensibilité
quise , d’une finesse et rppbüiié 4'drg#çei
qui lui permettait de Saisit 1er nuance· les plus dé*
licite», elle »'aiuchiit suT-tout à ces obie rvatio iw
·"· * - 4 „, “ ’ snicroscopiqù t i ■* ta a “ ■ . · P r ,! sut Tes passions hum aines J·tur* le»
éontehaiicét socialej, ou sur le langage q ot analysent
tth séntitïient, nne pensée, cid mot, queÀlef y eus
zhoinsJiubtik eussent regatdéî cemnie' rridivi^bltii
Elle st'plaisiïi i cts rlspprocheinèns heurrétix de dçtnf
¿xprciiibm 'qui', (n je ïeflcnilt mûtvdlleTceat',’
douWrit Jî il pcnïét iià ééht éMouiiijnt i die aisuait
Jeü iiù tm>îl'feïpiit ttf ^tfirddu-etit''tôàifcttüÿ
quanda été^quelque' tértis ntfaritê cl foliditii tous
le* (ertf pâi lirs bomroes les plUJ tîviHiêr eflei JdUï
Spirituels grande vlHt. fCepetfdâhï If (jiaïP
deutdei ûbjtïi'TahiehaiT alséïnént à' ces viltes ét
nobles pensées auxquelles il umble qu’un uo^'ÎTé-i
quent1 iis agi de 11 jocléni ôte la force d'atteÎniTre.
téfcôih c'efte'püràsé iFkUblhÙfr èt'li îodth'iiitÉ d’uiiS
ffUtruHioii i iti jillf,'" cîiéfe pat son célébré çdltfeuf f
u Tu rue vô.s )uir ces liuitiéi qui sépatént li vie’dt?
l*é;crnf(é ; je poserais la ntiiù ÎUF Ttiiie et tT ^rt'î’T«
Google
( ' pour ■attester l'cniiiencc d’uu Dieu At I*. ÿioiiheut qui naît de b vertu..u ( j -
Au reste L, les maxinjçj de moule sont çe qui te trouve le moins fréquemment dl^ns ce icjçqciL Un homme <d’espiit , dans ses délaiserpens * uç parle gueres de l état qu'il eaerce dans Le monde; la bien* Disante et tous les genres de vertu étaient La partie «ctivt de la vie de tnïthfntc’WecLct; c’clait en quel ■ que sorte sa profession ; et quand elle ysu^t exvj Cor la pensée dan» la retraite , elle la portail naturellement sur d'autres objets, '
Peut-être noua deraandeia-Voû si nous n'avoAi pas observé quelques'faiàtts contre les ptiacipei du iaisonnemehL, du goût où dù langage ;' thaïs nolit né répondrons pas & Cette question- Eh ! qjï'pdtirrait , après cette lecture , se sentir le cüurïgfe d y reporter Fcei! ïévent d’un critiqué 1 Vous aver' pénétré Aa'n* . It Cabiftèt iclitaiie· i\nc des fcrnmn lél plus si- trabrtLi'uaiica' par son esprit et 1rs pÀs ï&qî rallia pat ats vertu»; ou vous a ouvert le ôcf’Qi des coù- Ëdchces journalière^ qu'elle se fallait t elle-même p On vous a laissé parcourir tes feuillet épaéses et V3*s suite oh eliejetraît ses prtmierts pensées; yon* àvei vu de tout cotti errer dans ée «anctuaiie Ici ombres des Buffon ï des Thomai, et de' t-ouj tes grandi honLmes dont elle était chiné et vénérée · , vous y avez ¿Lé introduit par un epous dont le (UEiir baigne dau« J'anacrtnmr de 4*h« irwpwuble perte, et qui a cru adoucir tes peine» en tous Occupant de celle qui eu est l'objet ici h tçnwrç •était à la-fois injuste et barbare ; chacun de ses traits ferait une MciîUft douloureuse. Et uij^ qui
R a
ni'çâiwii rnwiï
NFW TOfiK PUBLIC LIHRAR.Y
Go gle
s
ne de tire de têmoïgricr dei égards i une fa mille où
l’amour de h liberté n'eft pa» moins héréditaire qua
In plus rare* talent dé l’itprit, et que nous au rio ni
dft dè* fong-tems rettronaìtre comune amie, à la
haine et à l'acharnement de» en ut mis de la révo-
Iuiion. ! ' ' ‘
JLt-TûMlN î 'Hùioirt alltgtriqtt d*un Ministri
Perse avant ia conquête des ^Arabes ; il vit l'honneur
et ica vertus environner tan bercaiu,et taxa
éducation lui apprit à suivre la route que tes ptres
lui avaient tracée. On estimait dans »a famille les
lettres et li philosophie, parce qu'on y peoliit que
lei homme» de, tout k* terni et de ton* ks c|imat&
leur devaient une partie du, tjo.nhçur dont il» ont
joui inr Ja t^gve. Ali-Tomin 1« cultiva dé» l’eu-r
faute ; il (es aima toute sa vie : cHas foitifiercat en
·. ■" ■ J * ■ f ■
lui la seule atpbjtion qu’il ait connue, h seule qui
convînt à sa grande amt , la passion d'être utile à.
la Perse cl au monde. Il voulait tout »avoir, liai*
pirriti tout, parce qu’il n’y avait aucun bien qu'il
' ne voulût faire. Aucun homme n'eut autant de con-
(l) Entrait'riti de· fri«ci^rr ¿a Mauri cher lauta ¡ri mt:
«tf ; par 1* citi Saiut-Lintbert : 3 voL in-8°- Pris, io fr.,
et 13"ir. [rane de pati. A Paris, chci H. Agirti tvmp ri Cu eur-
JibrriTe, rne des Patirti ni, a4. 18.
Driarji itam ’
NÉW YORK PUBLIC LiBHAKÏ
*,6ï J
naissances , et ne médita tus set eounaî tua cet avec plus de génie, il pouvait éclairer le législateur, Le magistrat, le physicien. Le thymine, le poète, le laboureur, le négociant, le moraliste ,4'orattur ; il je unissait toutes les lumières , et même tous les ta- leni de tel diffère ns liommei, avec h facilité de combiner promptement une multitude d'idées il avait trop d’activité pour n’avoir pas l'esprit d'in*- vcnùon, et il ni nv an tait que des choses utiles·
Son rnoui pour le genre humain n'ruait rien à t «rtendresse pour ses «mis- Heureux de bonne heure
■ par ii conscience, pir un juste et modeste senti" ment de sou mérite, il ne porta dans l’amitié ni ja-> lousje, ni ombrage.
- Jamais l'envie n'approcba de ion cauc; il aima tout ce qui avait des rident et des vertus. Partent! d'assti benne heure au gouvernement d’nue province , il n'y parut jeune que par Son incroyable activité. Il n’y eut pas de bien possible qu'il ne üt au peuple confié à son administration,
, Le bruit de se* vertus et de son génie retentissait dans Ispahan, et placé dans une des secondes places de la Perse , il était parvenu à la première renommée. La voix publique F indiquait au sophi pour en faire un de ses ministres, et ce priïtce lui donna une des places le» plus impartantes de son conseil, Ispahau n'éuit pas encore aricï corrompue pour ne pas louer, même avec chaleur, h vertu qui se signalait dan* une province éloignée ; mais elle l'était trop pour ne pas craindre et haïr U vertu qui devait la corriger.
L'élévation d’Ali-Tqmiu causa la joie la plu* vive
, O
I * M m *k *
Go* 'gle
OMqUraltrarr
NÉW YORK PUBLIC LIBRARÏ
I
*U pdtit nombre de Persans qui aimaient encore leur I
patrie ; mais le naarjaent où il Fat ne muté ministre,
fàt nn moment d épouvante pour loi*» ceux qui devaient
kur'puiitance, ou leur richesse, aux abuj ’, et
jkur ceux qui fondaient sur ces rtiémej abus de coupablei
espérance*·
Cepiridarrt AH-Tohiin s’occupa d'abord du soin
de l'animer l'amour du travail, comme Je moyen lt
plus sûr de guérir les deux plüs grands maux de*
peuple*, le vice et b pauvreté. Il abrogeait des lois
gênantes qui avaient fait succéder la paresse à ?industrie.
La tene cultivée par de* maint encouragée*
produisit d'aboTidahtci moitsons ; les belles soif*
et le* belles laines de la Perse ne passaient plus A
l'étranger s uis avoir été employées par de* ouvriers
perjdijs ; le* vint du Cboraun ci de U Bac triant
allaient librement faire le* délices des tables de
toute l'Asie. Le monopole n'opprimait plus ; le
prince et les grand* aimaient le peuple, et le peuple
aimait le prince et 1*5 grands.
Four fait* circuler plus ai s cm eût dam la Pcr*e et
cher l’étranger, te produit de b terre et des manufactures
, des canaux furent creusés , des chetaim
furent construits : ils ne furent point l’ouvrage d'un
peuple esclave qui donnait sort teins a a ni siiairc t
on y employait, en les payent, le pauvre , l’oiphe*
lin, le vieillard.
Ali Toimn multipliait Je* établissenseas utile* À
santé et à i’inurnction des peuples. Nul citoyen
n'était fini fonctions dans l'Empire, parce que le
déictuvrement, trouvait pfu-to it ta puni don, ti l’activité
|a récompensa, 1** Impôt* étaient diminué*)
f Qrdral Frc-—i
l.-‘ù i ·.: =·.■ P'.Æl C LIBRAa
«i Jet r«venas du prince étaient njatMtv Le
pt»plc était daïïi l’iiwnce, et le» gr^o^t tt?Uviîent
plus enrichis par leur* terre» qui!* ne fi*
vêlent été par le* grec«* de le tout. · , , . _ J
.► Le» meturt s'épuraient, kl corn modifié* de h yi>
te répandiie»t » l» ?°‘e PBfe et eoamste ru cédait
■nx Usmc» du peuple et *ui £ol)es d?> h ch tu. AJ U
TofÉin rnuliàt que le* peuple» dt ch/quf province
indiquassent eu>t-ta£)»et le bien qu’çn pouvait letif
faire, et du fond de ces provinces étaient envoyés
i hpalan de» hommes ifchwéi et vtflrueni qui cenlultaïent
ensemble sur ie bi-cn qu’on pouvait faire
1 tout l’Empire» ·
Lés »afjt* vOyjtkftt mf joie que eh^sune de»
belle· lois d’Ali-Tomiu BniLOuçait et préparait tonfOim
dete loi plup bcljt· Le* intrigaus dq la e-our |t
dtUf'lk , les régisseurs. de» dçniescs - du- piiufe j,
«w q'ui s’cnjiçfossaient par des pri.vilçgçs fqpçstca
à l’indwçri* t <U* co u ni »au* fatigué* de refpectp: l^t
lefo cqgfe foule d'honuquc» sa a» meute cl *aus .titre*
qid i»twt<Qt U* cegjîaiei, les hompn^s dç loi.jnités
que Le» dissent ion» entre les citoyen* dcvinf£&qt
ttviw £(MBEuuut*^ F envie b k siée de la-,gloire du
miujstuB, le calomnie rem dans l'esprit du prince
4( dans «Lui de* peuple». Qudqu'abiurdes qiue
&»»cnt le* calomnie», elles excitèrent de* njoejva·
• 11 I - - 1 .
^tPVJtédûiftu*, ». elk* al^rjncrçnt le p^qtq. J^Iî-
To*ua (j),, indi Héceu t à la renommée, et mi ¡reliant au
bien publie à travers le* cMtmurc» , tra^qyille sur
l<€ pasûlç» qtj’Aba» foi avqitpC donnent . suivit fin»
défonce »et v«o* pdrw et Mintc»;, qt^co^ Ji d‘^n
41) M. Tjr jpt.
»»■li· i ■,<
3.i i ail _ ,
Go igle 'i··-.· pijbjc .r.aiiï
( >64 I
eiprit ÂttJtïQt et Itmiueux, qui l'auraient wet le
t»m» rendu )t* maître du icetir d'Abss et de celui
de» peoplei. ! ■ ' . '■ ■ ’ ■
Aba» trompé renvoya ton ministre ; Je jour de
, icnulî fut un joue de fête pour uuc tout et un·
capitale Également corrompues ; les »âges gémirent;
et jb ont regret te Jusqu'au tombe an i’^pétapc« d»
voir leur nation plus heurcuie>et tt fronh*br dei*
Perse influer sur celui du monde;
ïï AÜ X'-A RTS. ”
Ci Citai acluel du Panthéon Xrtmçei/.
Ijt PatiüiéQti sub»iftera»t-il ? ou »on beau dAme
t'affaistera-t-il sur Lui-même , comme an P*e cm jet*
titré d’après les fente» des colonne» qui Je iontientient
?..... Depuis plu» de deux an» on TÎpctfc
cettt question; et Le Panthéon subsiste tàujouF».
Cette durée *it une réponse précise ; car nn édifice
élevé sur des piliers trulrment ,' ne peut fléchit--, oà
se àémeniir , tan* qu’il ne tombe À )'instant, Un êditce
portant de tout côté et de tous les pointe sut se»
- fonde mens, peut s’affaisser en partie’, peut sûrpîom*
bel, tans que ce déringement entraîne b ruine toentter,
il y a ont trentaine ¿ années*moine d'un
nu après sa construction. - h ■ ' - 1
L’ehVfe déplacée dé ftrurtiit à T’ccii un bel appareil
et de» séparations de lits à petie teniible^ fit amaigrir
tes inrfwei supéwtirt et inférieure defprertrt,
ebn que les irêtct patutiçn: plut yivéi,.-Une-Avidité
»Go< gle □r □ ntl Itam
NEW roux. P'JftLIC L1BHART
I
: ( *«51 ,
honteuse.fit remplir i'Tntêdcur des piliers , avec du
monter et du libige^ au lien de continuer Les assise*
i de pierre à l'intérieur. De cetdeua fautei font vtam
le tassement de quelque« pouce» , et le* lérarde*
duii.ki colonnes ci tes pendentifs , qui o O* effrayé
Paris. Gcs létardes *e prolongeai tnt même dan· les '
quatre grand* arc* sur lesquels repose la colonnade
du doau.. On un te rappel lait plus que dix ans *nparivant,
c’eslà-dire à l'époque précise de Vacheve^
suent du dont. ,· de semblables lÎiardel' s’étaient
ouvertes mr Pu ne des lacer d’un aies quatre piliers , "
et que l’on s’était contenté de lancer de nauTcHer
picTTci à la place de celles qui »'étaient (caducs, «t
l de celle) qui étaient éclaté«. .
Lorsqu*, il y a eqeirba deux «ns, les colonnes
sc co t té ci aux piliers du dprae furent leurdéei et
éclaté«^et que les piliers eur-mêmes eurent rUbide
itntblahlet dégradations., tous les esprits se p*rlèvent
vers la recherche de »moyens de réparation.
Le ministre de Γ intérieur forma successivement des
cenuniuionsparücul iercs d'architectes, d'ingénicuT»,
et une réunion des uns. et des autres. Ces commis*
ti*» se. séparèrent sans donner des résultats précis.
Mais plusieurs artiste* , membres de. c*^ commiarions,
ou étrangers à te* commissions, publièrent
des -moyens de reitahTïtion. Nous allons rendre
compte de celles qui sont venues à notre connaissance
avant que d'aûalyScr le ALî/uiiri fi Ptùjei Sur Zd FIS ·
teurdh»! du ¡‘nntfiifin Françitù, pur £. Labarri^ «rcki*
tiett. Ce. volume M 4°, de 7.pages avec 5 planches» -
te trouve phez l'auteur, tue des Cinq-Diamant, n4,tS,
«a-chcs Barbo u , juc des bl-uhjfjas.. _ ,
Cnlijlnal ïiîït
NFW ΪΠΡ.Κ PUR UC LIBRAHY
1
- t *5* 1
' ‘le premier projet fut de soutenir sot de» cei titre* de boi* immense« Jei aie* des peodeniifs^et de refaire* <4 entier le» quatre pilier* et. Je» coioone* ■dallée». Lei boî» furqnt préparés·..-et on le» voit tscon sur la place du Panthéon ; <u*li lepsejet n'* eu d'autre suite que la dépense de* bail ckMÎnét pMJr Jt*ctinire$. Qu dit cependant qu dniva lei eut*· ployer et étaye a 1* tour cfo dôme . po»Oa*««riet 1«* espritt.' ‘ 1 - - '.'· . . n’■ . ' ,
Un commissaire , pins familier mo i'amilfori* , | qu’avec Je* vioycss de «HMlrHCtîcm, pr«pDt· g»T<* i nient de placer «obi Je dôme une pitre dd H , de ( i* charger fortement T et ¿'y battue la feu, pour Tofo t l’eÉfet.quc produirait cette détouitatioci. Los atchte- ■ tecM* et ici ingénieur) qui formai ont *ec lui Ii connniuion, ne goÙKtcBt pas cet avïi. Ils ne pen* T «areht pu qu’il fût convenable de seo verset le doua· ( . psttreon naître le dégié dç il üuiadib . -■ >
L'aicbitecH Br o gnard u e*posé au· s*lofl k moyen . qu’il propose. Ou y remarque, entre au »c »vues ei> I. traorditiairei, de renforcer Jet quatre piLun ». eu. !< dedans du dômd, rp»' qtRUrt obélisque» qui l éla- ., vêtaient jviqu’à »■ traînante. Nous ne· »runtnef pus architecte» ; cependant il nous parait que fou hfe doit altérer la forme visible du dostic, que dans U . cas où il n*y aurait pa» d'aune moyen dit k coalia- ver. Ot, noos feron» voir bientôt qui de» artiste* célébrés en ont proposé qui n a’iiercMt pont k de dan» du dôme. Et pu·*, qui ne CO* »aï» le cmaC** 1 fore particulier de l’obélisque » «ki dol>oUn«at pfcfilt !.0’aillent«l'obéiiique irécaic pas afleesé aux sépulture» dans le» terne ancien). C’itàitsmwft-
Go< ’glc
□r.dnal rre-m
NEW ÏGRK PUBL IC LEBRARY
( ^7 1
consacré au soleij, ou 1 quelqu'atitre divinité. U l'a été depuis à lawiémoire des belles triions-, et rarement au» nanu de héros dont 1« corps gïjient itïleuTJ- Le Panthéon doit au'contraire renfermer Jet restes des Fiançais qui ntt tint bi*n- mérité d< la patriz. ■
Cea obélisque*-, si dépistés, nsu» rappellent la* pyramides qui soutiennent Iw trophées du bel art de triomphe , appellé improprement Porte-Denil. Elle* joui hots-tFcéuvre. et ellés affligent celui qui voudrait rt*avoit qu’à louer dans ce chef-d'ctnvré. Ces obélisque« nous rappellent autel un projet de tombeau pour l'architecte SoufSot t qui fut proposé en sjgo. Noua n>ri parlerons icb que pour l’initruc- tiotr det jeu rat+lecteurs. Une grande pyramide devint être appliquée à un mur-de L'église de Sainte Êftrtdvrcve........ A Celte pyramide devait être appliqué
an ¡sarcophage de marbre,.,.. Bans cette pyramide devait Être creusé un trou drcnkhe, ou ceil- de-bceuf-.... Dans ce trou devait être placé le buste ée Souffiot. Y avait-il rien, de plue manvaii gcÉt que cette multiplicité de ^pmbeauM ! Car on ne doit pas perdre de vue que lus pyramides lotit censées renfermer un tombeau, Nom ne djscms rien de ces ri· dicnle* niches rondes ,-dans lesquelles des bustes présentent l'image d'hommes qui regardent pat une hrevvne srtandie.
L’architecte de WalU a tranché la difficulté, et coupé le noeud gordien. It supprime, dans son projet, le dômè, tl le remplace par un vitrage ceint ré, et it laisse subsister la coiontinde. Cette suppression don»« ïu nomment quelque résseoihhiiqe aveu le
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□rdral Jïfrm
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célébré nsauiolée d'Hadrien. M*i> pcur^uci dé’ r traite de gaieté, de ccçtit ce dôme qui a du médit, ] et qui eu sans-doute le dernier que Ion construira j , en France ? C’ett ici le fécond projet de. cet archi- 1 . tecte. Dam le premier, qu'il a corrigé, il renier* nuit tout le monument dam une traite pyramide, ; qui-n’en aurait laisié appercevoir que le» quatre j portai 11. Lei réflexion» exposées pi·* haui l'appliquent à cette pyramide enveloppante.
Deux artiste» avantageutemeut connus, l’un par la ci-devant École de Chirurgie „et l'autre par l'Hôtel . des Monnaie* , ont proposé d<» moyens de conseil- ( dLïtjijp, qui ne changent rien aux parties intéiienifei *t visible* du dôme. Tout deux ont proposé, un* h ■'être communiqué leur* vuet, de renforcer par dei eenit ru étions additionne J lis le* faces rectangle* de* pilier», c'en-à-dire celle» qui font face, aux quatre nef». II· ne different que par la forme intérieure' de . ce» conitructioru. Le cil. Goadouin les veut carrée* et conforme*. tu plan général de» nefs, Elles ont la forme circulaire dan* le projet du cil. Antoine, qui a pensé que cette forme leur ferait opposer .un« plu» grande force à. la poussée.de* pilier*, De plu» grands details sur le» vue* de ces deux arlülel, dont le dernier passe avec raison pour un de* plus Labile» constructeur» de France, »craieut ici déplacé», parce qu’ils exigent le secours des. planches, et qu’il» o'ottt pa* encote été livrés su public, ' t . ? 1
Le cil. Labarre , éleve du cil, Raymond « â <-u ünc I connaMunce détaillée des plan· du cit. Antoine qui les lui a communiqués, et qui lui a permis de . Jeiintércr dan» »otjrqcmoire. 11 établit deux point· .
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- . (s69 ’ - 4 ^rîocipsux ; i\'Cé ne sera pas par dei-CCinrtrue- |ion* addi[ÎQTjqdlo iimplemeat liée· aux paremeng actuels des piliers, qu'on leur 'restituera la force qu’ils ont perdue ; tout moyen qui artaqutrâ Crryi- hiaèns, dont tes assises sont vicdetnmeut pressées les . Unes sur les autres dans leur pourtour, doit infaïl- jiblcment occasionner de nouveaux mouvement qu’il serait dangereux de provoquer. t°, Quelque . parti qui puisse Être adopté pour «tic restauration, ■|ïl faut sur-tout se garder de faire aucune sou'stric- lion à la construction actuelle des piliers du dôme, dans le point dé vue d’y lier de nouvelles tons truc* tient destinées à le fortifier. '■
Il a -cherché à appliquer à la fate diagonale dcl piliers, un moyen analogue à celui par, lequel le tir» Antoine en foïtr&e les laeet-reétinglcs , afin qü’il* soient également fortifiés dans tous les rtns. P-ouf cela ( il établir dans'Pintérteur du dôme une dlr^ ' tidn de colonne» ïurinthïtnncs sur un plan ci resta ire parfiifmtétJt correspondantes 1 celle» de l’ordre qui décore intérieurement la tour d tr dÔmé^ er couronnées d’ün entablement ricin interrompu. En êcw’ tint toute idée caractéristique d’une église, cet*« ntnsvclic décorition parait ni citv Lftbrrre répbArdte i la desüaatioa dn monument; &e plus , cep»rii , lui a paris avoir sûr-tout favantige de fortifier ton· lidéiaoiemcnt fdt angles aigus des piliers, et les colonnes engagées à ces angle*1;' colonnes qui sont N an* fêtai ds ruine le plus caractérisé, et qui ne | peuvent1 résiner Ml fardesü que leur impriment tes tetombéei des quatre grandei arcades , qui sup-
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fortini le poids de. li majcuie la (otti dui
dòuw* -, : .. . j
Cai are bile de pioppi^ ucondemcnt, de diminucr
la liautcuf dei pilÌ£r> ( ce fluì teqà compre à 11J
ceniiuticr co krcp }Ì co ^»hanij^pr -le ^aldatemeli·
dn Panthéon, Joiqucs lpu| Jet t>WfÌ qpjpnqei ¡j
luppiimant io niente: ut l’apparcùcc dcj ¿acid .>*·<
tufi», et n'ayaat dcmatrhes qu'tp face dcU porte
tD/ìnihicn sur ce »q| c^jcjH^dkrait i uà1
dei* a* de. ttyle et i, i i acati ve pieni assef' grand de
man ter et de tee mire pn pjrcouraDt lei differenti
parties de i'jntéiieur dumctniimcnj.. —*■ IL veutr
(ilice fai re di^pataìtoe Je* pi lastrei qui d/icqrjpijtlei,
pap il coupé» dur^9pi* » et y »Mbiùtpec di* cpj4fflMtf
r— Gk#J par JVÌifii 4$M»l2mci id$fA putrì* p«
(roji; cntrp-c^lùmw^nr ic^ur ^pfi{»dk *i»é·
uopi licu <Je: Ja poil« d'<mtrée. L ; i . t -
. Q^njpe iJ ac^u da^ctrtux d'^t^rcr,
dfi qifiìTC dp ¿arpe, -»Widfiw*! tdc Effl-
Ubkve^l 4* l'^rcbc cp titubi*p, patir4p precide ìjì^
xfjiafi en (cnlpLture J· c,^.-La tue te pxaptm de pla^r
dai«« lpur paritaiiffr <k ppq^C· ubi«.di sqatixe <“
ulJ&n ¿«u llfi< WT^ient gravi > ue*LivcnfpieP*
dc paiey rcvoiuttcn, iurm^Mc-es de Jteaotimeis
eiCiUtctt ta jrotut. U Ȏ i4pEUt c^M
p JuH<ut» attinte elei, jroJui,d«riban4pt M
4e* ouveiturca ffp j.tfibuuei, cqntpt^..iappj*» d ac
p^oduijaot auciVr e&t1 bécrreux.' , j, , . d ; r ■
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u pJus hepTtwe «SI ^as cobite dii cella dei W* '
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truci!cniT addilìodtidici, dm*leiquclle* il s’est rt*· hCOotrÉ ïmbc le» citoycat Gmnjouin et A*<&iru ) ivient ensuite h »upprestiem dM,pib*irc*, ntmbtc» qui devraient ètte exclut de toute bonne architecture t'_dt+1e tfer'tjrâJirtHieft'dci quitte petidtrftiïs» et 'enfin celle det tjibun.es.. (, , , .. ·
1 Nom voudrions pouvoir faire le même éloge de ■Ij colonnade cire ttli ire, non intertntnpue *ôuj Je dôme, «t-'dé reali agilement de tout le loi intérieui
dy Paqthcpn* Miifs ce serait changer entièrement Ici plant de Soufflot,qui le* a conçus ci exécuté» lux rîtqiiet « péril* de sa’répatSika. Bien plu* ¡tiges· SORt kl d«tx aichitpclo, doit l'un répare le paHJr du' EUtfeltibourg/èl J’aniie pÿépife 1A Salle» lasses du Louvre potor ¡Jlacirks statnel· antiques! lia tXit rt'spécté fidelément le-lrSti dt feàrï devin· ritn, àef iis té’tf sont permis-q'uë dés ujpptetshon» ►<W doi ^rMitidn» ,'. tellement airaioguet aux pYe- urtarc» idées, qu elles paraissent eu avoir fait partie. On doit leur savoir d’autant plus de Jié de cette
; ■ .· ■. ■’■. Â riLl·-. ’ ,J ■ J , '■ A ' '
ritlenue , qu ds. ont proùve ttm* deu^.quilj pou- fai ëiit s'asseoir Stupres de leurs dtvancicrt.
L'exhaussement du sol du Psmthéou serait trèi- bon à exécuter , si m était encore à ou travail|çj ici plans, ¿’est une grande distraction de quclque*-
■¿J "J-1 r I - ■ ' J '■ ' ■ " ' · :7. "
uns de pos architectes modernes, que d'avoir ré* · b ■ · ■- y1** ! t " - *
fêté sur le toi à l'aide de dépressions et de dégré* 1rs mOuverncns des voûte* qu de* plafond;. Les , .. , t ■■, r :;.··■ t . : it ■ ■ ,l , r T-
ucient ne |es rappeliaient que par les dessins et 1(1 cgmpartimens des mosaïques, San; aucune jail- îic. VégKié Se iïlnt’FlîïTïppe^u Roule nous montre iuu sol égal par-tout , et nous désirons que cet
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cncniple soit filivi· Car , £ans parler dé la fatigue
que fait ¿prouver aux .ÿcm ccttt dépression t elle
expose à être précipité « bleue*
PHILOLOGIE.
Je ut ¡iis rien Je pini utile peur ** perfectionner Te
gùùique la tqmpaiaiiQti dts grands génies qui se
. . .- |put «XCIC^S SUT 1rs tusm« Qalierej..
» -
JH/Ï'injfj tfe m verset en prvie, de Marcenti·
.NìfURFOIS,,. Et si occupiti profjuiuiiis aliquid civl·
bus nettili* p rosi mu s tiijm, |j potsupiut otîQM<
Ciçsij. Tustul. iib. 1. A. Parti , de i'impriititru di
TJ;jt>(?T cittì {Lv/JttJi , rue Vietar, u·. J ;
il Fucust rue du Maihunoi. Trois voimnu grand
. jn-Sù, , cAaruTi <frntifati 3So ptgti ; et patirai! df
iWffin . l·. „ r ■ -.
Suite du DERNItu Extrait fil eu net mani le· RtfiettisHU stf
■ 1' défend pas de chanter le 111 s amours, et la poésie
il k leur ordonne. La peinture de ce doux stari’
î» ruent est son plus délicieux apanage : ainsi * leu
sî silence peut constater leur insensibilité t et il n
1’ ‘ : - , 1 m 1 ^.1 j'O I ■ :
(1) Numéro piêcéiicnL de ce Jeûnai.
i> Lu
.-...j,. — . .....
ApW ’ WR 1 ■ : · ■.■<■!' " Jf
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h faüt pai y avoir regrc: : une maîtresse
bien mal entre leurs mains.'Je croît que pw.
peu qu'elle eût connu Horace , elle eût trouvé
bien jouveut à redire dans ses imitatcun. Ècou«
I s»' tons le parler à la sienne, et la faire parler dans
. « une ode en dialogue, qu'il lui adresse, cûnïniè
n ttn projet de raccommodement, Cl le gage delà
j» douleur qu’il a d’être brouillé arec elle, **
Il est à jemirquer qi?il s*agit Ri de cette Öde ad*
mir a b Le (i), qui l’est prèiéc plusieurs fois avec tue*
cè» à notre théâtre T çt qui a fourni â plusieurs da
' dos meilleurs poète* , de* »eene* charmante* de jaI
lou&ie , particulièrement à Molicre dan* s» Amanr
Magnifiques '
*’ ■
Quand je ylahsii à cet ytnM,
J’étais toot^nidc tui vit, île.
■ Xi à Rousseau, dme l'avant-de roitra iieûe de lôd '
Druin du ViUagtt ce charmant due 1 ,
Tant qu'j Colin Jfai lu pllire, .
Mon son co ai b Lait me* dédis, itc, . 1
Quoique déjà traité par plusieurs grands poëtps^
| l'auteur de* Réflexions nHa pas craint de manier en,
çoee le mime sujet, et il 1'« fait aussi avec succès >
i tous-u’-enc itérons ici que quatre strophes qui le
prouveront.
H Û 6 i C i.
Plus heureux qu'au monarque au faîte de* friodenr* , ,
' ■ (1) ■üenfc grains erw-tHi... -, J.Ü-. 7JJ , <J. g.
{»} Acte H, icent 7:, de<HwpieeedonnSj «u 1*70#
: Ttmt XXXVI. »
Goi gte QrÿM hîHii
NEW YORK PUBLIC LIBF.ARY
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jc&rr (Ugnei d’envie : . . !
Tranquille* , i confaient au gré de no* irdeor; t
Voue m'riqrie* charmante Lydie !
■ Lydie.· ■
■. f ■
Le jeune Cita», pîm leau que les Amour», ■
. fiait fent 1 amn taie tarie t
Si le deatia jaloux veut épir^aer sti jouit ,
Je donnerai deux foi* rouit. ,
■ t
, H a f a c.1.
' Qpoi ! ii 9« f'premier* feux tan ¡tant leur ardeur* Étouffaient une iinQbr fatale } .
3i perdant pont jlmaii loue ter droit· tue non icettt, I
Îibioé ¥oui lai»e un* rivale* il
■■ ■ . L
, 1'
LYDIE.
j‘
ÇiUïi. cat'chatmant, mai* je n'aime <juç votti :
' . Ingrat, taon rc^or voue jnatiEc ;
Henremie également en dq lien* ri doca , ;
1 ■ 1
De perdre pu de paner la vie.
tt Que d'esprit ! que d'adicsae ! ou plutôt qne de 1 H ttntîment ! -car j'aime à cm ire que cette Ode ett u son teul ouvrage. Avec quelle finesse les motifs h de cette bionillorie amoureuse août détaillé*! I m avec quel artifice , Ce Cakfa et cette Cfiloé > qui a» eu étaient le» cautet, sont amenés là pour êtrd 1 et sacrifiée à Horace et à Lydie ! Il eat à croire que : ti cellv^i adopta le projet de ion amant, «justifia . w l*-lïinte-i-i?d#i-Je ni lui^parctejimibi* point de *r of .Ftvdta pai Liit. Mai* je- rtpii que Deiprdapx ' ** et ftvMàiw ^éubi.en. ecubarrassi* à h ?
i ' ' ' 1 .
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i h ttrie né sont pai de’kür “ "
Ce qrï'bti remarque , ce qu’od dimé cbei le tàj*
i du et eût de tel différeôtti Odet d'Horace1, ¿'est Id
mimé joit et le même tod 4c galantèriii 4*a«iouj^L
J dé parélsfc i 4 iniOGciàrréit, de liberté*, des' plaisirs
i dt là tablé « ftr· ; c'est encore ch'« lui' ddc' gaîté et
une lailhc "d'éum&ut· ; tjùi a passé
itÇffritiiiiJ / et quili| icékjfüjjagné. On aiiue c'et'dim
naturel chat ÎU·, et c'barirtïrji, en parlant de Lÿdié i*
Jtne itfi fnniàntitrmi point de ftr Ctuait pas fait.
L'auteur de 1» dnsettatiW ta vie ut lut ' lés carat·
icrei différent dn ctcu» célébrés lÿrîqiïe». il rapproche
et compare ie| CâfcWjwii dtf pcrtite frxnçatf
et léi Qdts nligitHttt' du pjêtc latin- ■< Quand ¿cidii
que Rousseau manquait de sentiméBt « jé. ne j*Cuk
pas dire qu'il ne sentait point* mais il n'avati qu'uné.^
favori dt lehtir. Tout les ientimem n'étaknt point
de son teslortj et comme il s’est esktcf sur toute»'
sortes de sujet», on sent quelquefois fct' aide dan»
»» ouvrages, h Ses Cimtïqoetqui Stfnt admirables^
s* plein» d’idées i de tours , d ex-prestions d’image»*
„'sublimes, deviennenrfroids quand il y faut parler
I h Je langage affectueux. Tant qtw Xouij*au vcqt
i n peindre le Maître » le Créateur du monde a lt Dieu
| »i des armées, le fléau des mêchatts t son pirKcatt
l> est d'une hardiçsiç et d'une noblesse i<|tidiiable».
i> Mais faut-il peindre un Dieu pore et ami de*
B htmimes, faut-il lui adresser i'hbmmage du qprurf ,
n Bouiteau tié trouve plug rien cbes Itjj$ te K«,i«rl
m usai adroitement de ce qu'il emprunte. . L . . ■ ■ ,
t> Horace parlait i scs Dieux sot un tço bien dif-
Go< >gk
8 ■
-••imiin itom
ai rnn.K purï.ir i gnMW
( ■>« )
ji firent. Le» image« riaclct, feuentimcnt aflfot·*
fi tueux dc lui coûtent, pas pins que les irrita prit
/bétîqnei et les ¡die« raajestucu»ei- It semblait
n meilleur ami dc «e> Dieux : c'en M.de Fénélon.
n Horace est plein de leutimcDl; il le porte parti
tout. C'est, le caractère distinctif dctoui ica ou-
»t vriges, et c'cit un mérite qui manque spore at *
If Houssrau, et plu» encore à Dctpréaux...» 1» -
Je puis me tromper, ruais je pente bien différerament
que l'auteur de»qui ¡«fuse à Ko nue *4
l'expression de· sentimtni daui ici. poë^iessxcréçi»
Qu'on lise Ici Odci «vivant·!, >.
Que la lioepbôi-t d'vu e'venu paisible t
..E1| iâre «Titre heureuse,
' ' Dip» CCI jaui* deitiuçr aux larmes
. Où tnri ennemi» cd fureur. -■' *
Qu’on lise et relise iur-tûut, le cantique atWndiiitant
d’Éiéchiii, .
J’ai vu ¡un tristes jeumée*
Décliner ven leur penebauu
et Ton avouera, «a Ici lisant, qu'on parle avec la'
poëte.'le langage du cceuret du sentiment , qü’çtl
e)( affecté envers Dteu de la piété la plus tendre.
Que Ton compare ce» Odtfc tierce a au Pc/me lécui^
fri d’Horace, c’cit à-dirç à tout ce que lajjcésie
lyrique ancien ne nous offre de pim magnifique»
Dlti» cette hymne religieuse et nationale du peuple
foinhi, jt vois des divinité» poétiques et Fabülmie^
î des tableaux célestes qui offrent aux poète»
«t aux peiûcfes qui se nourrissent de fictions, des
Dritrinü fi p-i
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grandei^ríchn, brillante!, admirablH. rMtii je'fcevoíi point comme Pautedr di/paral-
léle', teDteu de Fénélon.· Biéü au cótitráirí,· avtc ‘Mcfajr.lvet Jtüuestau, ctmíttie Avec L*frriftcJt j'aime, r ' je tour, j’adûTSt je bénin le Dieu qui m’a qui meaourriret me comervc t‘li Dieu qui chute cette ÿie cniirte et mftihéuteuie fait ma eoniotiLÏoù, et gâtera uh treuiv iwrrfip; mou botriteiíríter- nal. Ce n’cit point en dévot que j’en patte Ter gpe je In admire; je te fat» étant-Lungiu adruteitedba ptuaget lublitnet de rhietericn Moyie; c6mmj un 1 imite or philoiDpbc prile et vante te» tùpcrbei Çi- 'bleaùï dé ftapbaííl/ce peí une iubllme de iàrelj* ■ jpori’vcojnme, enfin5 ayantlu et relu peut-être «ut teii, tUUjovrl avec attendrilsement et une a din i ra- tïàii toujours nouvelle, cas Ûtles frinçauei\ tt poqi Irt avôii souvcnt comparée» avec 1*1 laiiuei du pre- teiér Ifttejue des Lit Jo».
1 Le cri général semble être aujourd'hui, que Tignn- ïincÿ,la supjrtUtiOQ el le fanatisme oui üepui» trop tenfc le ms prostitué la plume> le pioccVu, 7e burin et le cïieau des meilleur! artiltçi i’abuter it A égaref tel peuples ; qué leu ri talen· jublirôei tj* 'Joir«ûi }Jlüi être employé) qu'à éclairer let homme» et à tel rendre meilleur! ; qu'ib ne dcivénl pluí Îtrc ïodsacrés qu’à célébrer et répandre lé* rumié ré» de klà phildwpbk T à éternlicr Jïe» hautefaitsJeTJ Jtf- publique , et sut-toul à propager l’eiprit 'répubTi· rcaln.' Ce' projet est patriotique t il est , depüiila .réforme constamment pratiqué en Augléterfe. Mate que notre jeune école française ne néglige" point ' pour cfcta le» graudei éo mp oii lions /quoique reí·’ u-1-í-.r» JJc, çL teÀést**·
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j>«çiFt,^PiPtQ4if4» 4ipl>rt i,<^ ujrif A,#hw*r%, tfP<^>$4»j, ,j|s jrp^lkiy; *.U YW 4*
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unificateur exctljen^ ,.un .^cri^yp uû ?cu pks 4fc’wiih^ **
w johcti athevé.... Horace échauffé d'un f<yj ,<W |i tinuel, £e pïf^d jAniais')Lalpjne : il rçe.rép’^ V cgt^niç un terrent sur toutçj lçs ruaticrçt 4U.*^
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miittr ptoar He^p*t "bkifïr lit rigullHii. ïléatpré"
( M Cii^ brei, C*sup4 , pevï'4tre finême déctruru ï rho3ù
. moqu« lw httbij« tant piêttai· ! Sofa 6Üvrigb
■*» «*t un éditée o4 wm 1« ordres d’àrchït^Our’«
J ^MTl OEêiéa, e( M ifnt pu mer Æitinitt i Eüjfi
jh ^cxtaixrta ornernont fait aubHbfdeni détordre»
jHi&wprdmi tnrrdn!t&uj<>iirt FtqufcftWtfti SÉurn^/À
mw M> iGiftfrahdttài dont U ♦entimttive« h tbutcé,
<tat .^vh.tat-ello ia^iKc oeH« det pchiluret vivci,
i» manque *euverrt;à’Di3ipré3Ui ! BÎUi*i i&n tiàlarfa
' ft ntasqu^t-ff -dc vivtEfcâi Daaç i&ii ü
« «* jfttteàait^etn ttetuA’uneOde d'Hoiacfe, qüréhM
ï «♦/Gelni-oi tQnt d’uni feu , d’une vwitrté *xtrêrtt;B
ç 1* fat i* ftnt bies mduki , mil i ft retwplKcdcVÂl·
* tfatturpir de hNÉgBttvrerïc ientiuiemïQjijp&Ît#t
¡1 * d4qu>ÎT4e«ii rçuipuiiM^cieiiiM.v· '
‘V , «'Jâ'cîlt1 ' 1 ’ ■ T
'■■ ■ mi^it fridrsé rrfyïfa). ’ ' ■'
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•v‘MiC# n’ott p»i làffoN«t*i n’en ftfriyeirààB
idoM Ü parte «Itrrt; (feh «it birti éWgiet^
«wt'irieii ftitt, i'imegt eet a^réabttA«AU te^Mt
■pt lt mén*« <bow fcll Mfl ieifcUe puaV-età
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pWe paa li Le dernierveu ne me fcnirfdt
point du tout; je n’y voit quç faiblement -tratéscii
XattoubUnttu« de plaisir, c»ttcpiegreuion de tumyorti
que captent A o-ne maîtres» et« i»d<e ki tfléiti
jd’un »<0’01 qu’elle ocite par dcè Î4 mes iiie» adroit«
et passagers*, Je voit tout cela chez Hwacti aS·»
¿eus vprt me peignent le tÎQ-À-tém ]■ plueiprt*
aiooué. Ift Fiançai» ce me pawitpaj a»« proité',
met vif; il y manque du cAUtiiîvi ef voilâJra'qti
manquait i DoprieU«. G'ert un enccHentgtttiiiuf ;
' R* *®rrt bien ¿n«cée* , «e» figures ■ wat
bien distincte», tan1 ordrnrunee: oitparfait?,Hbm
l'iHuaiop dea. couleur» n’y <e»tpi...... .·«■ .n <
« ne manque psi de coloti» , jn«di-B
9CDÎV5 9-eM pat paivetttiA^ -ii wtparf***-dlttfa
tiW>8e , maH dà« qn’ü en Krt v wn pineeiïtt â'Ht
1 ^Jul le ni>w· H *’* qu'un 'cr^ck d'idéei déni il
*foc un. pnifi'ipredigicul·; viiAidn 1«» dégjuiwMjl
se J» multiplie pomV C'est ap ficellent peiqtii de
portrait». II ne voit pourtant pp» la ri» turc çn^em,
et il la peint tomme itU·y$it « avec upe force vw
hardiesse extrême. »» . ·
tt Horace a toute» le» manière· et tou» Jet.ton» de
Couleur* mai» J h ri à un ^ënie ardent qui 1« routn
»it peutrétre quelquefois , ton ordonnante n1«1
fMJWjPPrç W·* parfmte-tiie «oa dtniiftiM
t;oionff Qc»p»4<u» ipanquc 4* tnntimeirt ; Reuiertu
<p mf$qvt i certain» egaed*, Tout deu*)*’·
aïK? d’idfe» jiiM wu^plae rdi»ii*“r
plu», cuite», »auvent moi a* nobles , moins fiyj·,·*
maîot vif* i nui» toujours plu* arrangé* qi'Hertcf T
q.iti «’» p»* ijitj tficçjwmit* ce ^ui-manqn« dr<rë·
' ■ { ttl )
_*hede, cm ^ut la sacrifie à la variété-, d 041, k fée on*
■alité de.son génie le rendait maître.«. ■ » , -, -
. La comparaison de h nouvelle réimpiu|Û4>a de
«ce rte· ditsertaejun avec ici premières édition»,: nom
a fait naître la réfiexion iviviute* qui- ne peut être
qu'à l'a Vintage de Pau leur- On »ait que la¿etinccie
«st toatureikmwt.tranchante , prompt« à décider.,
et quelquefois injasîc. On aime à vqîl cownvent ua
écrivain qui »’estime et le respecte, dont t'éiuda»
et l'eipérience ont mûri Je jugcjucnt, ie recrihe Iirimême
: voici à cet égard «n passage trèt-remar'
qtiabU dj&· cctti djiserjatiou. .Dan* la premier« édition
de.jjai, çA.liiaitr s*, St tait-on- avisé avant
»’ Lafotitaibe-.dc· penser que la langue française fût
12 iLlSfcpilhlf de h/perfecLion .du-rqde des fahlcv?
i* On ne » est pas ru«41« avisé-dep^iq d"ci faire4011-
»» venir. Est-ce la faute de U langue du cUa ¿criva,t^«
it tell que les Aichcr^ Ici ppUdier, et de taqf
w d’autres barboiûlUqr* de ropitts.qui Qn^UfoUe
·» vanité 4« faire, ¡»primer ieuts lottiaei et leur
rance, n Ce dernier paaiage, entieeenaentiw gaîllffe
mecé, qui le re trouve dans le ctoiir tiwMémcira c» air7g7
de Îitiiltirt dt ¡'Académie de BéHét; Farts, Haiti, î/Bj«
¡a-11» tQm. IV, p a g, Î4?, igutcui fa tu pp rimé dan* La
nouvelle réimprettiou, comme on le ^ok, tome Ie«,
de «et Milartgee, page “49 de cette dissertation, .
‘ Après celte suite de différent tableaux dam lesquels
Horace no ut a été offert sous tous les points
de vuet on ne sera pas fâché de voir ici dam une
erpece de médaillon, on comme en miniature, ses
principaux traits rapprochés et dessinés par qn
homme ituUuit à »on école, et nourri de ici pr<-
Diijil xr
ü'iqlncil trorn
NEW YORK PUBLIC LlflRARÏ
( )
'¿eptei ; prr an moderne > narf ÿritid pcrfie qu‘c»-
«ileot critique; par Pope* an ùn mot'·. Nom »t
pouvant nas do a te termirterplu* agréabdem«»* u
dernier Extrait; août crcyaoi que re» v«tv ferext
pliîfir i plrtji<run de net lecteur^ *■’ * ’ *
*. h, ■ „ . . , . .> . . ·. ,
Hùircçe Sliîl charnu wtih gracefull nçjli^ancs ,
*And wilhow rpithod r»lk« u» into HDI« ;
*Wlir , like a fijend, famitiirly coïlvty
Th· rmait notioùj in the eiriett 'wiy.
* - *
lîtt who mprtnein jadgmt'ni, u in »i,
Mi glu b^ldly cnwtk **-h* holdty *rii i
Y«t jndg'd 'wi^x toùlniti, aho1 ht ton g wkh ire-t ·
ÜMf rrctptf tttch but wh«t bit W4tk>wpÎM (i)·
Tir one gricittift et doute nrghgtnee,
• bu* trop tfrjcierTirt t «tarvtux, *Ü et'pftwnt *
·* ptrHHl IDKRirfrf , p<-tOC» WtétMMflt i‘ '
otdi.prknr, «Md* »··, ,
*Qj» kmi· iU.ntnjpti oa« rotnt »¿h.
Æb** lai, la jq£QtWU*wi grand que 1'«prit *. i
Dm,« 4c l^vigiK^ À *ODt ut <p'4 te, h
, fitf oavjtgei ditgn reafcMuiit la p^uü^ue .
pM regJtja que prient» fciiltalt critique·
TrtdtiiiM 4t ou RAfNfU
/
Go gle
s '(W.)
■ '■ la ■+' r ■ *' r - Pfl 'ì-i■ 'il·,’ ?
, , : POH
bua LA MWìXfctri Aerini*.
E T ‘ /’ \
NFIN, mon thnD>*ù< eu «r rieai'iriotir
L* mode , j* le yoh, l'entend «ree Fernetar, '
Ditti t le j*u,nt Akyppe , eodJvorsue Ita chi rito -
Que d¿guisept ttep peq nu fattiti *£>·» lei watt i ' -\
0« vcieibeD«iU^tn..d4|iiii«irpa»-le goàtv t"
fin voile» iTtnspaKtu qtnfcatt dbnn«.t«Bt, i
Da deiir di di ìoo c®bt trótal perièJa-fiinaié t· ■'
Olii, lai dit-jt 11 rotte àgt ad pttn penwr ùas i f 7
Lei acni trompea* Tempriti aipt ré«chÌKM^y c a
Quelle de «H beautéè TDUdTÌeiiv*iH|to»r frisarne ? i
Du tréior qa’oD poastde on nt'hieo ìnoi anfani, .;'
Aioli ^b'jhprd*' de nrim t pii da4 fan topi-1 ■ ■·: ■
Le iene tur « poìat. putirne* vériti' -■ ■ ■-■-
Ttafair i<itaaift4t*BU«ttMF»^«b Feenfatrtl j tP ■ ■
Lei hflMmei défa·*· Jtoanéaitqim 1i uc
Nfls F*mme* ¿In mode ,· ¿iégUMin* lAcue* ,i ii r»·
Voulint rinliaa.iiMgrtaMifantrtun, -,·<-■.■ <p*ii
A influirei leimappu mstutic bmucwp deAoifllyi ■ ■
Mail ou le* titani tnieux. <ju*i «etliet ivcipik mpw^d: t
, - t1 s.
* . .. '
,.. ■ Ó l G M X> ’
(t* ftj b > r«
SL'-li lei tuleuri de pii niiwaG«
• ■ i| * * ■
Od dispute chei lei urtili |
Seloo lei uns,je fui, ditti le* vieux teme.
Fili da Ubeipoice et de J ludipendante ;
*
Go igle Diiijiiwil l’irmi
KFlM rOfiK PUBI .1C Ì IHftARY
tTntre* Bar prit* "du <pe je dev«e 1« jour
' Ab Fatutumn, 1 rïjnoTjnce ; ' '
Ceux-ci m'ont {«il v$>r jfti;céJest» r
Ceax-li , zélée pour»* mine , ■
S ou denn«! t qnejéÀiiitHiifértiite1 origine ' *
Quoi qu’il en eoit de ce» opinions , i . *<■$*'■*
Que chacun adopta adn w paaaéaok , J L -
Voici T latt»ar4 pion evhctare: 3 . ,
£tmcmi de f «birivalde. »a, «K*» A - · 'j < ·'*
. A ht exttmww je imu »aUlimn plûÎTv 1 J? : - ’
b détrniic tout ët>6 t«L-toan piiri ¿tinàdrtir- ■ 1
Malgré rimuaci. dû h ucuis^ ., ■ . b
MalpâL iraix dt ^rùwû, , i
Da föile. apécfeiut «krl* idigtn··, . :.· 1 . ùi >
Couvrant mi fatale impucnro ,
Je mtruxempire dp i crtlte: des unit, >■. ·. ■ ■
Kt long-nm*· le» ■faibles nomJi , ■ -
Le· IhévM.ht Ptéiret et Je* Mtgft h
Sans m‘*miîv Tendit Jr^r* f -î - -
JÎ’oweut offrir mlheni drihAapeiin. »!emath t ·
8or nui taîeii j’*»erce un cnel tteqp atùjne ,
Je Je» bride 4ei.htaa attuPhadi» ¡etüJMn^ '
b wu ce» milheurw:pwHtit J* hwitnt :
Jùiqu'i ne vouloir pu contre, mmt rigorisme ■·.
Ira ployer un zepude mut doeut <pt certain.
béaù'piw dB<trv<n«CHriqu· la pente et la guerre ,
Je m’occupe ho« crut i dévaste» ¡1 terre.
Homme· libre» , grossiers, basbarer, ignorant,
Parmi voua , il tel vHÎ, ja ù’ai guotei d’esdavts.
Mali je retires encor entcive» ,
. . . ■- ■ ■ . ■ -v ■ . 'r : . Certain» peupla» polit, édairé» çt savani» .
Chea ces dernier» tellement es m'honore
J , ', . J. . ! ' !
Qu'on persécute et qu'on abhorre
Qtfrcedqin ote aujourd'hui combattre non abuig
l Göt gle NFWÏOFK PI ,1 IC I tHfiAEir
I
(·») ,
Je iok dflß-C i Libri de fenati rti*«mpb* , A m«itl qifuo ptwee d? pe*pla pbil**opiJ
Ne vinili* tniriteit le gleite de Th·» , En m ebuiint de *an Empire.
J'en codbiìi pl’i» de ct*t quitte fonia·* qo'en rif¥.’ Avant de feite m« adieu* »
Bacar* an trai,, Jectrnr, paar tat fon cnem*i**i C’ui milgté tuoi qu'on t« fit *eitr*t
JTai d<t«ti «n P««t ·* “· dealer» uè*«»* Suoni anni pont tuoi dei abjtt» «htvM- Bau «air, patir une faii ilm fout pu-ieut din .
G»r |* repoi eet man ani, - Ei d»t C·* »en qq'aa tt feit 1frt Un (Adipe ne dtìit a'eupliqnar d*mi.
1
4
■ ' 4-
tì At
■ ■

■ 1 C G OG X I F
Mqw nom t»t bibita d’origine. Pout qn'iiif «tat on le devine Je TM* d'ibard eipoier mau empi«.
Voyom doDt t« qa'on flit de tnai* Au tn'oii oi ditpirajt i’'»lotaäc le cacDtnence i ctìurit la Ville et lei mttliii.
* i . .............................I J
Chacun afof· m'«chele et m eiupruoune
Eri d·* iieux piai oa maini ciclnii· Li j**i bieutdt un nouteiu rtgnq» Et mit au bnoin caninlte.
Ttl qui routini partir, rifa obli e ot mi ilfdaijtit,
Ik
II
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4! <T *
V ■_>
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Bauve>t càci lui «vieni crold- J’ep dwiii irop eti vènti Bi je m'wdiquiM da vernale. Oo m'i dtja vctntni, je («£·. Gootirmoni !* itili t».
t
Gcx sic
iy
(
Pourra-1-on tries. d*. *R4<WîIe? ; '
Quand j'n^thi 4Ù S1*4 <Uu* itt0B M‘*T '
Sont ccnwuui d'aboid ujl itoet Uüa*
Début d’un vîéu dont &ürintpl*rt
U me« du t .
Le nota d'üti iaviri qu’on vil jadû «h FerK i .
Proaatner en uiompbe un jnif *ou délaieur^ ■ ■ -.■ .
Celui du cW impur 4« IftrK· p*tver*< : ,
Qu itcLuii Jüiue par oçdtr du Seigneur t : ,
Le lit où covie w>* nùi>n> ; „
D'un a mu d'otni I» baillai
Ce qui de bien eit le contraire; . .
Ce qui tnnjtiplié conduH<ii0Bim« i n tii
PdwTri-l-Ofl , dt*·'« î. ètr-c fp bakflt* 4 . . ■.:
Quand au mûri qu’une ville de France
S* trouve ¿uni dam ou Si vînt, u; ' i
Qu'on peut y Ttdr'itniiairrïecàiaii g
Le tnn^par qui la gamme e$t qmri terminée J
Une particule i un pronom ; ; .
Un synonyme au mal appelle durillon ; ,
-r . ■ FF Un bourg fkmeur,dc Ja^udét.
Aprbi de tel. »eej^iiemetn
Si Ton eat toujomî en «u>pene,
Ce que point. ut j'ai peine 1 croire t
J'irii par-tout chauler victoire. »
Le mot de la Charade eir-ie»n>gr j cehii de 1 «f
U Fera ¿celui duLogogripke on Cftirt ;'drti It^fletkdtfduve
¿dire 1 rivière ), hir ( animal jr, cm* (léjieu'ir.) , tüs.ftr }»
fai, roit Éloit lîfft rilf, loft.) ir\ ripfdi iri?)
turc cbindha ), lit. + + ! ■ i 1 b· h ?J 'r J
DtoMl ftsm
MtW YOKK PUBLIC L1BRART
4 *8? J
—j_ - ------------—■ 1- ,L .;.■■■,■ JL ' * I«*i il·
SPECTACLES.
T H £ A r 8 S DJ t- A > U Î f i I D i A U,
Il 3 été donné i ce théâtre f le 7 de h moi », ou cpérd QÙUVElU , intitulé l PoJmiï, OU k Viygf tn Grtcf-
Li ccent cil placée 1 Sidue*, yilk d'Acbaie, élevée iut le» rninr» d'Aibent». Les Greo niodimej qui l'hahiienr achèvent de détruite Je* monuraens que le tenu irait epirj- nù) lei derflieri vestiges dei production! antique» di^pi- raiiicnt iou lent» coup». Un Fnnçai», jeune artiste , plciq de »ou venir» de l'ancienne purin des an», vient consuJecj le· E quent débris d Athtnei, et turprendre qudque» trahi du génie de* Phidias et des Ptuitelcs; ¡1 témoigne pour le» reite» de leu» chefsd'ttüvtt un respect qui bit béait- roap rire le» Grec«- Il lirait commencé I» degeitt d'une Hébé i en aop abitnct, elle a tombé »oui Je marteau dei- nucteur ; il b durdie, il b demande à Mabotiç , pere de Finira et chef de» Ouvrier»,.., A l'instant la jeune Paint* éprise de Firtfete aulaai qu'elle en eetqiinée, t'élance lut' h piédeital, remplsce b ititut dom elle jaiait Finit ud c ; et nouvelle Htbe aussi belle , mai* plu» téduiiante que la é première , elle restitue F- ton amant le modèle q^ue »et crayon» réclamaient.
Une flotte turque tft signalée; elle arrive an port. Le iukan a entend? ytmer la beauté de Palma1,el |* destinée 1 tenir le premier rang parmi aeg tpoujei. Un chef d'en- baquet vient b chercher avec uar tuitc nombreuse : Menotte et ta fapmt *o?t au combla de b joie ; k Français sc dé- teipere ; il a recourt A u»rt eipece d'avtmtirier, me de ci t» vénitien, que l’eu nuque a chargé de» préparatif*, du départ et de» déiâils de h cérémonie, 3u milieu de laquelle Frira» du h recevoir le titre deyouje du prophète. L'irurlgaijt promet a? Fiançai» dr le servît, de soustriiTf Palnja à l'eu- Tüyé turc , et de lui donner le· moyêUs de *C réfugier i Venise avec »ou amant.
Le Français tiisuté consent A être le létnoin de l'entrevçi» de P*1 ma avec le minittre der» plaisir» du gTiod.sejoueur ç *«clxé dertle^ dti ruines , il voit Jet blahoméiaü* et Ici Grec» célébrer le irîanphe de Paint a. Lejeune Grecque, invitée à çliitittr , indique ni Français , pat une rontatice,. le* moyens qtiiï di.il employer pour fuir iÿ«c elle,. L'en-
Digmistf by
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□Agirai rram
NEW YORK PL Ht IC L1BRA
L jiÎSj '
voyl «f le peuple .«t l’ucxiipcni que de JU attrait! et &t h beauté de u voî*. Elle reçoit un bouquet, ga$e certain dr ion élévation prochaine. L'envoyé qui le lui donne, *» mmi de ion maître, te prosterne |c premier ; tom ta» Turt» bui*mt le front dàu* la pou«iete. Pal ma akitit’ ce fflonun!, et se tournant wri son amant, demeuré sent debout au tnîlieu dei ruiné», elle fait serment d'être fideUc, et lui lance le bouquet qii la déclarait sultane.,
Pilma doit partit le lendemain ; elle reçoit J n poète une garde de muet*; le* Turcs rejoignent la flotte. Là finit ta premier acte, rempli, quant au dialogue, d'idée* fine», ingénierie*, délicates; offrant, quant au spectacle, des tableaux d'un tuJoris frais, d'on destin gracieux, dunicom- Îqsrtiou pleine de goût, et ne laissant rien A deiiret-quant l'action. ' ■
Le second acte est peu digne de-succéder au premier. L'auteur qui, dé loi Reprit nn peu des rôtîtes ordinaire s sauf méconnaître les régies rlo goût, ch.irinait par la vérité de ion destin, rendait l'illusion corn pi et le, et nous avait lrMÙ> porté aux lieux que nniis avons nommés , reutre totii-l- torup dau* un sentier trop souvent battu ! nous i'y suivrons I avec peine. 1 ’
Le médecin vénitien, au lieu de servir l’eunuque ouïe .Français, vent se servir lui - même j il eit avare, il est àmoureiuc de Paluju, il veut feo lever et emporter avec elle les présens du sultan, Sa fuuibc est découverte par If Français , rt au morne fit où , pour pénétrer che* I* je nue Grecque, il entre dans un palanquin délitai ati* sultane* t te Français cl Pii ma l'en ferme ni , prenne «il là Tuite', et cherchent un asyle stfii* Tes fuîmes d'ne tequeduc1, en ai* fendant te départ de la flotte. L’eunuque arrive , cherché , Pal ma, croit qu'elle repose dant le palanquin , ordonuf I
te départ^ le médecin s'écrie, on ouvre; ou vent temps- ,
^Jetf le Français accourt pour lui sauver la vie, eu dîsui I Ta vérité; totil-Tconp l'eunuque, frappé d'itlTniiaiicin. pûar’ ce irait de ^ritidéur d’âme, donne aon ejiime au Frai· Çnis, <enqnce à emmarfer Filma, et à ton Jmint.
Cet acre, comme Ion voit, offre l'emploi des moi.’mi les plus mis et les moins comique*, dei indiens deviné* à l'avance, des *oene* inutile*, quelques tiltialirt*, un dé- rtouemcni forcé, sans vraisemblance , icsprjrtîbtfble dam l<‘ drtonsnnCe , et d'autant plus eu contradiction avec'fri 1 ■nLeurs du pays, que rîeu ne l'a préparé, que l’eunuque ü a peint itinoncé qti'il tât te droit de ne powt crnimerirf , ’ Patata, :
f
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Crlijlnal înir
NEW ïnP.K PI.JHI IC L IBFLAHï
C.o >gle
I’ll au , ou du moins de n=. £1$ punir son striant. Ce se-
Miùl Adr j-nnH art» rùt ne Uint--¿ItTiCc eMnütKraUînltéi LL· cclhlÛuttet Jd-''uliUnJi pPi1èMce4
présume* üop en disant que '1* sucré* de ¡’outrage tut ■'
égilé celui de is Caravane. t '?·. £ Le sont iie ce dernier Opéra rappelle quel esfk chaWjfc;
d'uue ¿üdsique Bien e» simaiioïi, vive., e^ptesslv ■ ' "■
Faute, poiunt l'eiiipfritiie des lieu» et de* tain'
tare desquels'«lie s adapte , cj non tutnhlit d’a
în+aTclLemtüt aux éloge* dûs an rit, Phniade, en t
de la'mutique de Palma, que ce* qqaliui precïeüftcl sont
celle* de ta nouvelle production.
Le» chmurs s U mh r e n* répandus dans l’ouvre g* sont
V 1! <
caractère, pai titulier, et, s'il em permis tic s'exprimer ainsi.
g----r------------------------T P I . ■ ,..
1 la physionomie du peuple mis en s^me. ,(Jcie foule d'idée»·
■ romance cliarsp.autc , le musicien a trouvé le moyen heü-
Tenu de lier au cbmt principal , i txpieîsiôn de ¡’admÎTa-
[ion du peuplée pour celle dont il cute^ la voix; ua duo
cotre les amans es* digue d’étre njunyié , et sans doute les
airs détaches ubtiendtonl l'honneur d’fir* icpetc* par la
■ ville. ,
. Qnaut à l'exécution, «¡k est parfaite tauier ses
1 parties; les acteur* < Ici choristes, l'orchetirc rivajiietit de
! talent, et le résultat de leurs elïdrts réuni* eu un/metn·.
! bk , uns piécisioti digne de* plus grands clones.
Les auteur* ont ¿te demandes â grands cri* ; Plantai·
seul a paru au milieu de* plus vifs applaudis semen». L’atietur
des parole» a glide ratjoiiynie.
ANNONCES.
Jlrïfé de F origine de (sut 1er Cvlietipir Dttptlil, citoyen
I Français ; un vol, jn-8a. de 5oo pages. Prix/S Fr. t et 7 fr.
| par h puite, A Paris, cher H- Agisse , imprimcnr-Jibraire,
1 lue deï Poitevin* > 18. ■■
Plusieurs personne! ayant paru detirfr I abrégé du gTind
Ouvrage sur l'OrigTH« des Cultes , l'auteur a cru aç devoir
pas dïilércr plu* I u tLg-lçm 1 de remplit Leur attente. H l’a
analysé de maniéré i présenter le précis des principe* sur
ktrjnel* m théorie «si ejablie , et à donner ub etc irait do *
l'· Google .-■llHlln.IHni
lEWTnnK PUfUJC I 0FWP.’!
f ÎJO ) ,
ns plus itnpDTUm réscîmi, uni s'appelait ir m les di* , <
Lailx, que Ton trouvera toujours darii te grand· ouvrage.
Ce second ouvrage ne sera point njutik ÿ ceux qui ont déjà le premier , puiiqu'ii le* dirigent drtis la lecture 3e plusieurs vol omet qui, par is nature tninit du travail* placeur Je çornmnn des lecteurs au-delà dcr cercle des cou· noïiaances'ordinaiceincri requêtes pour lire-, avrç et
■in* trop ¿effort, flri ouvrage d'érudition, J la y rronverbnt uu résultat ivctÎDCt de leur lecture., et précisément te qui
-
doit rester ditiL la mémoire d* ceux qui ne tentent pu
ic jeltér dans ¡’étude approfondi« Je. l'antiquité, et qui dé- J tirent néanmoins ruunaîire son esprit religieux.
/ Quant A ceux qui c’eut pas acquis Ta grande édition (ljt lia auront dans cet alirégé un extrait des principes du nouveau système d’exp lit atï q n s , ti vu tableau assex détaillé- · des découvettei auxquelles il a conduit,.et nue idée d* celles auxquelles il peut mener encore ceux qui suivront la route nouvelLcmcni ouverte à l’étude de l'antiquité. Tl offrira snx Uni et aux autres des morceaux. ncuEi qni ne sont point dans le grand ouvrage.
Cet abrégé est dépouillé, autant que -1* matière l'a per- ■
- misi de la haute érudition, a^u de le mettre 1 la poncée 1
du plus grand nombre de» lecteurs, ,
Lu Piitt Filitle, poème en crois chants, auquel on a.joint une lettre eut le premier devoir des mer es envers leurjeu- - fine, tr lincitttae carte du royaume de Tendre, teirouve? dans le* ■HrsnUecrili de mademoiselle Scudery. Prix, 7 décimes et 5 centimes: et 1 franc, franc déport, pour les département. A Pâtis, chee Moutardier,: imprimeur-libraire* quai des Augustin», ua. t-S.
TVdifé drr Maiadttt mtr-nl/t qui ont affecté la natiou fraira .
çiise depuis plusieurs siècle»; parle ciu Leclerc, auteur de 1
‘ l'Lfàrfcffra dt Rutiie. Prix , 3 francs , et 3 francs 7 décimai et
5 ceaiimei« fane de porc, pour Ici départ*tmeni, A Pari* , ch et le Encra e.
On trouva cbe» Lui l'ouvrage de Clare , mr les dfatadte» vénérlfflncj. Un volume tri-8°, Prix, 5 francs.
On y tr<w* aussi 1’3x1 tiffrie dt vain tint «¿indanr,. de
(1) En trois volume* ¿3-4 et én doute volumes 11-80. * avec un volume de planches, qui se trouve chei Je tnétne libraire. Prix* broçhêi, de l’uiic au i'aunc édition , «4 fr. ■
J
1
□riQinsl iTsm
NEW ¥ORK PUBLïC LIBRARY (*
Got igle
t «9* ) .
ânsikaank. (Jn vnluots m-8*. *«C figures. Prix , 5 franc», ' 5 ircimei. .
■' £« Eisaû i*f f< ¡iro^riéjé de ï'Ottigtnt niditütal, dotmé j pat
: le tT>d^(ruF h iqrtt tou» preqe 1 ht yreniiyrq «t
épuisée en trois moi»·
Truift Ju DiMis mcri^ du dff/ntient gttritjtiiî il des Afaia- dùi fui en déptndtrif ; »dîtî du résuiüt d» tuai» des acide» et □ taxes ¡¡ubstsucfti oxigéné» dais, la iraiente»i de ]·. mi* ■ lidîe vénérienne i d'une uonvcHe Nosologie ; d'un Traité de . quelques pcfcvnj mnrbjfiquti -r df EAnalyn chyÈîque du lucre . et de plusieurs application* de Idfcliymia 1 1j Mrde- i due. PaTjoùti Rûho t docteur eu médecine chirurgien gé- i aérai dt f*rtitt*rit roÿ»ii « tr.-idint de l‘ai>gldi p»· ic dtoycj» Alypq * rjfÇcier de opté dt l'hopitaJ miLiiair*· du V+l·d** Çraçel ; de» notas du çit. Tpumroy. Ùu vojjiiqe iji‘81. Priï, 3 l|â|iu*ct3 fr7 dédmei et 3 pvtujwM, Trafic pan , pojn If» 4îPar‘C9ic|i1· A ?*Wt >ï)f i
Çciioua, lifirtiire. quai yolttfrC , i·**. 7<
: . mu.siqve;
ivrième ierautti jtve. de’ eloppé et traité d'après le» principes . du célébré Ram tant t au fiMmwsrff de Mutiaue, aau» 1· titre l de 1 ai fautes je rzppqrta·* lu Diction luire de J.’J, RiMMafauç ponr servie i L’Hiiqiiigan» a» i l taseigcetneul de tout l’«a- lemblt (U la muriqua; tonif uint : hütaduciitn tx^iut/iue fleg/ii de Dç^airienf, ûiurtariiinf, MtKÎjet pett
lit iltees.. etc..». Avec d».’Cuic eu u» leid tableau présecita» ! ce qu'il y a d'intëressjn!, afin de trouver et exercer rtiinmo-. I dérucnc toun» ici hirniiilti et mélodie«. Par I» eii. **y. | Cet ouvrage, propre 1 chacup , est v*rj labié ment A b mu» tique ec qu'uae grain maire e*t i w bugtie. Utile, tait pour I consulter. étudier ou exécuter fart dan» toute jeu étendue j1
>1 eut écrw *vec clarté «t poncifiM . présente le tystcoie >ou* Colu »es rapport» , et parait réfuter ua préjugé conséquent en , camp ¿sinon'. —- La gravn#e , d'un» exécuiicm drtfitile » a été 1 M'allée avec »oin et mtcér par iccir. Vanjxem*, renommé fil·- varableiaenil plusieurs titres. — Il sa trouve cher le citoyen Walier t rue du Sentier. nfl. Îfi} no, en es» d'absente, ou l s'idrtdsers au propriétaire de la mri-ion· ; ch» l'auteur, tu« ffeiiye-dcs Pnùi»jj^*arpj , a?. ia(joi et.amc adresse» ordî- s»¡ré» de. musique T à Paria· — Ve» pcriOnrwiqut voudront i ie le» procurer pourront écrire diicctcciement, en gSr»nchû* ' tinti ou l'adrejin à Uancornapoadani. Prix, fr»«.'
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NOUVELLES ÉTRANGÈRES.
ÉTATS-UNIS D’AMÉ
Dt Philadelphie, le si an Fl.
TT' ■ ■ ■ ■ ■ ' - ■
Un bill de prohibition contre 1^ corntrujniçatlpn
des papîeri'nôuveJiet potte Soù Jiv. st cri. ( Ût*·
tiuraflit) d'iniende , confiscation du viissean et lept
atinêet de pmon t pour le com mi st ionnaire d'une
gazette anglaise ou américaine. Néanmoini, voici Ja
ìoi chi EtatsUnis qui drichre que lei traiti jut*
qu'ìci confluì avec b frante , ne iont plut obiiga*
toircipour Ics Etau-Uint. ,
it Gomidérsnl que le* traile* conciai coire lei Etars-tJtiì*
et la Frappe pm ite mainiti foii violes par It gnu ver a t meni
frangale ,41 le· juslet réclamatuons dei Elali-Uuit, pour
la riparatìon de toutr, ce» injures > r>nt cjé t e peniti éei, et ,
que lenii efforti perni hégocirr c ruminile nuc tra mattici n «ir
■wiei ce» pialli tei, entre Ira denoti* noni, * piè rrjetdr terre
bdigoité ; . t .
. 11 Can;idèr?nt qtie som ì'au tanti in gos vernini e ut Iranpii
oti pautauit turare ub ^sitine de. ctaZrnre déprèdatrifèT '
iufrattióti ani tra itti inedita et hogLÌhté atis drqii» dov »natio
ti librt a tndefeiidcnJi';· ; - - ■
. ti IL ■ ¿¿¿'Miete par le «fatai et la chambre des reprèitQi
a 05·,, aste tu blés encortgiés, queìsa Eutt.Uim aqtn de drnit *
délìvres et excricrei dei stipulatiptu de» iraitr* et de la conveniion
consuUire qui *vait eie concine entre les EltU-Unìs
et b Ftance , et que leidlis irrités ne.ieionj plus jegirdcs >
Cimine légJemeTH obligiloim de I* pari du gcmverjiemetit
oli dqs ritnycnr de» Et^ts-Uicìj. n . ' ■ ■ ,.
Et irti figliò , J'ONATH AH DaYTON , ÌM'eST (¿T dtrffflf } de fa/
ji'tmire dei reprisefilam ; -'
TutocoiiE Aìqwigk., pfiiident tìu sfusi /sr in tei im ;
L Go< glc Cnglnal trarr. 4
NEW YORK PUH U CHE
■ f 5g3 )-
Et ÿiîf iflj, approuvé k 7 juillet : J®HN’Atr*«s;
président du Eiftf- Ut» ; ' ■
E déposé 3ij bumu drt irçhi·,'r:i J·, secrétaire (TEtait c< touire-siçni, Tiwotwée Pïcxex.xc. ■
s . : r ■ . f I. ■. : I t.
' Le 4 juillet' jour annj de Fin dépendance
' . araàrjcaîue » Georges Wjiljingtûrt a été, nOniiiierliçu-
tenantgênerjil· el connu: ndant en chef.det ajeraq» des Etats-Unis d’Amérique. ; . -
' TURQurt* Dt Strnlin, le s a-fÀtnn>dl*r. »
L.ts lettres des- envirems de Widdin annoncent que .
- les craupes du grand-seigneur se sont rassemblées
. idc nouveau^qu’elles OnJt été augmentées de. maniéré | à pouvoir incessanunept livrer un nouvel assaut à cette place t cependant FasS-wau-Oglu a fait enlever aux. assiégeadj un transport de »4 bâ.riæens çeijçen-

. dant le Danube. Il est à présent maître d’une grande I . partie du cojuu.de « fleuve,. Beaucoup de Turcs de
la.Servie se rangent tou» ses.drapeaux, sut'-tojjt depuis qu’il ne manque ni d>rgcnt, ni d'appro.visipu- uqjuens d'aucun genre. .
! w ■ ■ " *■
, Rüîjie. Dî le w musidtfT.
. ■ ; ■ ■
Quinze [égîrnetw de.Çqsaques couvrent en ce ma: ment les frontières de, La Rusaje, depuis Ka mi ni eck - juiqu’à Ocaako.w. Les régi mens qui.doivent ¿ugmtn* 1 ter encore ce cordon, sont déjà en marc Le. Le fcld- | maréchal Suwarow est parti de l’éiersbourj' ce qui donne lied à diverses conjectures.
Allrmagm. De Hambourg « le 3o thermidor.
, Lord Eigin , ministre· anglais à Berlin ( est arrivé

. ki avnnt-bier. . .
M. de MovrawieF^ cïiimbcllan de l'empereur de Russie, a présenté scs pleins pouvoirs à une députa·* . tiojj Je notre sénat, comme ambassadeur extraordi-
. maire du Ciar. , ,,
'■ ,
- Pjmeh , veuve de lord Edouard Eita Gernid , en
arrivée ici de Londres.
T 3
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’ Odqtrtal trom
NEW YORK PUBLIC LJHRARÏ
f '94 I
J*«r4 .fructlfar, -U «Il arrivé ici .dep uis trois jcüts un vsissesu américain, dont l'équipeje astei nutn- hreujc porte une cocitde blanche lut laquelle ettua ajfcie noit. Cette nouveauté* d'abord donné lieu à Une foule de conjectures , et l'on a tu ensuite que êéttt cdcardt n'était ititrt choii qnt Ifc Sigillé que 'vièttrrfeirt. d’adepter Ut KuH-Uhis dans U ttilt tÀi ÎHj ie tS^ravcnt. <3^-Vai«b*caù -uft de la prbrAlK* ïfe Maryland« ...................................
Dr FjtamÿT, h Ht iArfrTpàdtfït^ufjiqn'oïi nipcrde pu encore l’espoir de h pat*« not préparatifs miJitaire« ire suive ht tinrjouta au rt nttt grande-activité·dû tôré, de la îûiéaé tel de i’itd'frt:. Le Tytdl eh étr l'objtl prrhcipil, -blTct qiï'e nntré jjtfûWr h fusant stn’t qHe c’ést par et CËtê qué ht» îttéiïÇah . 'énarfrei dé h ^ur$Sé , rtÎOhiHiéntttafèn^ ^ple
t'est pair tfe tÔlé Qu'Il JjottrTia'it dobtrerlt YnaÇrj aax patinait) nttnibteüx qu’H fcrpÎt ^WlT chir* ^eÜ petits cantons. AnSii a l K déjà ptès de 5n oeiik· té'rhrnt* placés dtpnk le» bords du iat de Cahîtarétce jusqu'aux con&ùi de l'aTrcrth MiFàhéis. Véhiiett h Bavière ne sont pas non plus hëgligées. Le général Mark est arrive te i» à Munich et le i5 il était *o quartier'çcrtéral de Fricdbcrg.
La grahdc qutttioU est à-ptéstiitt m
ex» dt -raptiHt , la Haute-Alltmighe p-outra jo'^r de J* neutralité, il patek Qub t'est no-tri ■C&uc.eilt- srême q-ni ■njpugnet#?! a cet fetrahgcHrtntv pïTte qu'il «u révnkerâit qu’dfie ne pourrtftpîut lie ver de contributions dans «ocuttt putie de l'Itai frite , et qu'elle n'est nulle ment alarmée lur le soit «de ses Etats héréditaires, dont elle se Batte de pouvoir ticsrttï le danger « gract-anx mesures mùHtufres«qu'elle a fait prendre dans les deux cercles antérieur« qui leur ter vent de boulevard. . ,
Du i«i, frwctHtor. L'ordne de Mtlthe a -étalii 40b liège provisoire à Trieste avec i’a^ rente ru de notre cour. Le baron de Üechbcrg , ch «varier de l'ordre, bavarois, est irrdvéict de lit part du gtûnd- maître, pour savoir Ici iatcowous.de 1 empereur sur
Cio )gle
□rttilrrr. "toit
Nt W YORK PL'HLI C LIERARr
«qu'il convient de faire pour que l'ordre de Malt h» I tflste intact dans *£< droits et prérogatives» 11 paraît I que notre cabinet se concertera avec ceux de Pi- teribourg «t de JSçdin’., pour Miurer<clc h Tnanîere h pluj cotivtnahle,l’envicnoe future de cet ordre.
Lb nombre des troupes russes augmente de jeue ' en jour tut lejfrrmrieres de b Turquie- Comme rien n’a troublé juiqti'iee moment b bonne in tell igm ce entre b Remit et b Porte, l’on ne peut supposer

que cette mesure ait un but hostile.
Plusieurs personnes qui ic disent bien informées, , prétendent que le brait, ayant . couru que VesOadre 1' de Toulon était destinée pour FEgypte, Fempereur^ Fini Ie*« j avait donné l'ordre de Fajrç nsatcher de gros corps de troupes vers.les frontières méridio- halw Je son Ütnpirc , et mi-tout du c^lé de la P« lie, pour HDpêch*r tou«« réunion de) J raflât S *v et le* irouptj frtrunuts.
■ ■ * I '
i ♦’ ; Rasisilt, lt ; fructifier.
Le en mie de Metternith „ sut leu instance* tJité- Het de la dcpütatiKl·« >d'Km pire , a nantiïm avant? hîcT aux min fur es français te c«eduruNi du 10 thermidor dans mu «trier, ten y rémt Inscrit l'a T lie le (¿btif à b démolition d/EhïtribreistciQ, mais ■*□* l'avoir «Actionné. J - .
Voici b réponse qui lui a été faite hier i n Les iMiaiigiléi , minier» plénipotentiaire:» de la Ré-
i publique Fruifiisé .pour la négociation arec TTmpire gtr- di<!>iqije, Ont rejU une note de ta députation de TÊinpif e ;
1 qui leur a été transmise, le 4 fructidor présent moi*, pzj I ** minière plénipotentiaire de sa majesté l'eTiipertut» 1

/ » il résulte 3*-ct!C4 pi-tet, que 1· dépuration dt Htm- 1 R s'était effectivement occupée, dans ses délibère boni,
d<- l’etr, ni de lia note de la légation fonpue dn )*r, iber- ttddor dernier; qu'elle avait répondu .à cet article, fet qwt **r réponie ne Peu point trouvée., comme ce|a devait Être, dflns la note communiquée Je 13 dudit mois parle mrnîitrü plétiipoteviielre de sa majesté l’empereur.‘C'eat l'effet S'atr» Baitsieu qu'on ne saurait attribuer à h députation, eL qui en réparée pour k moment s autans qu’il est paisible y par “ ïtiutuüon du texte.
T 4

V
Go gte
. ( >9® ï _
S'expliquant maintenant sur cette réponse', lu mis. signé* déclarent qu’il* ne peuvent , en mcunt minier^, entendre i ce qui leur e*i proposé , et qtie , par les raisosi mHts»mrnent déduites audit atr. Kl de leur note du ltr, thcroidoi , ih y pertinent de plu» fort,,ainsi que ¿«1 ' ' Potis les autre» article* de la même soie, qu’il* eut «p* Je<ierji préiezité» cumins de» conditions de paix,.Les tûut ■ ' «goé* se réfèrent donc aux. dcujc potes- cfu îb thttrtiidor et J fiuçiidar, dont l'objet', biett lojn „d'être résolu, »uh- tîltq SOU entier; et tenant 1 la didaratioti par euxfüte i la dcpuijiîcm de l'Empire, qu’elle demeure rtsporublt . des fcit* q u’entrain fiai eut de» délai» ultérieur*,-il* h tt~ quieirtit lié rail veinent de futiinir »an» délai* une répuntt rath ¿gotique eï divisé? sur tous Ici article» de leur ta»!, et pattlctL Itère tuent de celle'du tff. thermidor, auiqsth dlf" a ’aurait pat encore donné idii idficsi'ûii.
h Le gouvernement fnnçalr T»ul einté renient !t.pliai M lia protiT?-paj h tu c dér afi o n ; <t il le prouve encort eç empkyan* tou» je* moyen* d’amé 1 iontioti qo> sont eu wn pouvoir. Si la dçpurai;o□ la veut, connue o· an»· * Ie ■croire , qu'elle se dèri le enfin I La paix ne peut ¿crt rs- iardée que pir ceux, qui comptent pour rieti le* ccilatm! public·, et qui s'aveugle ni sur Leur propre avenir.
Rijiadt, le 5 friiciiçkr, an VI df la République, Bqnmiek, Jean Dzaaï et RosupT-
Pu 11, Le mémoire suivant a été remi» th dé' puiatton de. 1‘Empire, par le) délégués particuliers Ep.Uïiîgnes : |
<< Si la. misere générale qu’un? guerre mal heureuse'de sept an» a répandu utie L'Allemagne; si le sort fumigée ceux des Etat* qui , par la "cession de la rive gstrchc d* ' ' RBiu à la Franc·, Ont perdu nue partit tièi-ronsidirtb^
tjc leur* revenus, et quelque*-un* me oie la totalité, ri"’ avoir participé en aucune maniéré i la guerre t si i’opprrJ· fiüti lu exprimable s un s la quelle gémit encore aclcitll stoeil une partie très-considérable de la rive droit? du Rbli·,ei ■ qtu fait lentir malheureusement dans ce moment «te dti foi ces redoublées ses effets préjudiciables : « ce ne jiioiilu· universellement connue est seule *uüi*ante pour iiispimrla pitié, prendre une part sincère au tort de* ajalheureui, ’ et faire de* voeiix ardena pour que les aiïaïrrf prennent ïfle tournure plu* favorable ; La seule pensée qu'il peut eucoit feinter do plus grands maux sur l'Alternajnc-, d entier«»
Go le
"Dntjlna
,V Y<
IC UBRARY
( *ÎJT )
itftr t-ffra-ÿitltt', 'tf 43 possibilité düll ibartrc tf attdesxux
de toute éisprésiioD. *
■ jj Et m péttd.ini. dans ce womrnt, il t'esr-ritn ttitfnt
<jtt i tu possible' que les irt|pxïadosis de prix, qui iVitcjH kJepLiùsi
Ipng- te ut» ( soient Kjmpu, et q»'it ecfcre u-ü-î tiea·
vel|ç giit-Tre qui ïeti^ta la mitre encore plus grande, dévasteii
dp ptiu en plue les py$ allemands, et -s mènera
¿es^ (jrcünsNn ces qui » ainsi rpit leurs suites, par u.ts pbvngctneni
de choies et h di-s-u uçbon totale pciit-itre de 1a
êtiTsM.ïiotSc>Ti gethianiqué , jè'tteràÂV la pairie dans les plus
grands maux, . ■ . . . J r
sj Lea musaignéï ¿«ligués de plnsïears piiacfj et Etats
illemaridi., mteressés essentiellement' aux néjédaticnja de
11 paijc , pMtlebièlit «onvaiii^i du i» véiité et de j'împoitincc
det fait» :<t cb“ «dé ration s cites ci-dessus, ainsi
que du principe,- qu'il n'y a qu'une prtnajilt fmix qui fniiit
SOEUfetr i'rffltmnpi-r et r m p£ c ht r sa dîsicijltüinl totale, trident
donc remplir leurs devoirs, si, ccn/tirinénieiil aux Âten,
iiont de leurs ciptneçtiii», ei excites par. le vueu gëuènl dt
i'hnniiTriië «oaffrante gai dejnsnde la .paix avec anxiété, ils
finit à la dcpr-iàtion de l Empire rinnlvuon reipiccueuse ,
qn-tlle veuille bien srréût : - . ' /
ü (Juc , jpint fa jjfaadon critif·« /ici cAoict, tüt cnableifr*
ri itntura fiVCf H* xeli „ ÎoÀt ré jri ’jjjfirra conttllmf
a l'ait‘liratimi dt'ln fiatx tr.tr c Zd France tt rAlltTT.a jHe , ri
qu'ellr Jtra 1er fttflrïi/fiai i'acct'dffAi-tti tvic r»n Jrtorr, ri
J ni surent ru^jri aihc «rdrctmrknrfs Kftjeitti ÿJm prémuni*
jj Let ftcussigoi s fout cette invitation avec Cette ir*Bchi>e,
le p lu* >ûf des bonnes ibùnt tbi, et due conta ne*
illimitée dans les intentions de la députaitcm dé LE-stpirei
qui a veille um mr le bien général qte sur celui dpfEuti ·
et drpcndjrLi particuliers de i Empire. Lis doivent préveufa
«a metue-teniv que , dans la fei'nuepc isuasion qu’une pirtillc
dénia n. lit ne p ci un a avoir q'i1«» ouvris favorable prè*
les ffiiulitrès traçais , elle i été farte pies d‘cuï »(nu h.
date de ce joui- u
Rasiddt, le g fruciiticir. ' ,
, b*ron de Riches no , pour Deux-Ponts ; baron
de PafFÏN H Fis] , 'poui H tsre~d'Armstndt ; baron, Je R11-
ÏFWSTiJf « pour Bàdtrn : cùüite de Soi Sli , ptHlr Ici conltrï
de la IVestphilie et de la Weiéravie ; baron de CeusÏi ,
pour les maisons de Nîjmu. ,
On a vu par ce mémoire, combien ldi prince« et
Etats pütic iilicrs («u;< tout tel Lïîs) connaissent leur
nilÿllU]· rii’Hl‘1
KFlM rofilt PUEUJ£ SIHRAR.Y
(•9« J .
vëiitable Ittérêt f combien il) désirent la' pa+x , en faisant même des sacrifices.'.La f uiérité leu J rendi» te témoignage honorable , si une non relie guerre «éclate, et ii de nouveaux flots deeang doivent coi** 5er soi le terri mite d-t notre pétrît» ’
Dam Ht séance d'hier, b députai! on de F Empire 1 eu peu d’égard* s te niéttjùir* > -1a majorhé voté jujqn’i cette heurt pour une Téponie négative à la dernier« note française. Cette réponse doit paraître demain, -
Le couder si long tenu attendu de Vienne* est »rivé ici hier dans la nuit.
Quelques membre! de la députation générale con· , t*nu«nt à m déclarer contre le refus fait p« U corn· taillai te itspcTied^ <lc remettre en cstrerla dernier« aot4 et d'approuver l'article rdttîF à EhreobrÈisteiMç 1 h ha ute députation «’«il entièrement réunie à lui* La dépatation -des comre* du ¿«rcte/k ¿Quabt -a»ur- ' tout signalé it>n opposition,
République helvétique. £>t ¡gprscA,lt yfi actidtr. .
Nous sommes dans d'assez vives inquiétudes sur notre posidon. Notre pay* semble destiné à devenir <in de« théâtre) de b guerre , si die recpmpience. Les Autrichien*Tenforcent leur* Cordon* de troupe* sur no* frontières , parce qu'il* savent que qoüS de* au* prendre part au· mesure* de no* nouveaux ah liéj.Au reste toute laSuiase e*t winteuam uarrquille* Le Directoire et les ministres gag tic ut de juur en jour plus de véritable popularité.
Le cit. Régnier, généra) au service de la Répurbliqtie Trtulçsi^c , qui se trouve maintenant à Alexandrie d'Égypte* vient d'être nommé, pat nturt Directoire* ministre de la guerre.
PftuSSL. <1< Strhh, le 3 fritcti&ir\
Personne ici n’ignore it non succès de Cobeottcl et de Rcpmn * <ie pense plus à négocier une coali- 1 ci on. Mou* devions du moins au icd de Prusse le maintien de la paix, parce qu'il ne se formera point sans lui de coalition courinentak* ,
- r / .
Gûa tgfe
NEW YDH.lt
. ( > J
Au tîéu de voulait guerroyer, il encnurâge les
razmuf^'C-tiJm. Il üffrd tre-n tenu enfile ¿eut à ioulr
Anglais qui 'viendra établir chez lui une m an. nia ci me
dt iufljl Au tLatïfC.CcA offre· meitent en swimment
Jet Anglais, qat »'efiotornt de-faire une iuport^ùù*
des meilleurs ouvrier* iuLiés dim Us myuercs de·
SrrtùOEÎjtrures dfe Manchester.
ÏTAtie. De Jfapiti f it «t rWfflïrfor.
L’état de r* p*y* est aîlïTPjani^Le change a éprouvé one
b*l»*e conté d< rafoif. et tes fois <<.’ cridil perdent î5 à 3o
q>our tCfU. Dnpuis.qu'fin a Ttprii les préparait fs de (tMTrej
k tocarde tiAuçaise *|l insultée. Plusieurs n ego-ciins franyati
«'attendent 1 être bfeutot forcé» de sortir du roy.au mp
J* Le* ftitonnier» qui Oui ¿ri élargi» ., Fl Icijf
«OEFrbte »‘est que de '6» environ., n'ont pas la .liberté de .
.irtcfurnw dans leur patrie; ils sont forcés de nùtet dans
lk «spirale a ¡ki'Ftaigatai à cltaqun instant, d'être artcce» de
X'itveaa. ... . . ,
Le roi vient de .publier un ordre qoi porte, qu'à coin;
ktcqcrr lui-et tek enlam , tout les N*polii»ijis de Ligte'
; 4t 1; à 4$ tnt, «an# exception, sont soldats, ri olbgàt
; de «'exercer dan« les «raies, .pour être pré?* i lgli tf.»
de besoin-
O« iMtcw« du 3 thermidor., remues par le tfonini* ati-,
■gfiiik ÜMBiltoA, permit que r*fwal Nabots était av*c svd
t» nuire i Syræune , puor prcBkirc dc* profitions, ec qo il
w dinpMarf à n titre i h voile le 6 , pour cherché» ta
Oioltt inttaîtc, qu'il croit sur la. rôti d'Afrique,
Dt ¡jvH/urJi 16 iéendJir. Fhsieurs personne« s’étlieMt
I Hstemblceï dans la maison de campagne du cii- C^ilhaicm ,
pour fêter le Dîx-Ao&i, lt devait y svorr un grand-dîner,
«onceri, bal et feu d'artlfo« ; mais h fête fut trouble* pat
ordre du gouvernement donne à toute la compagnie de sç
séparer sür-le-tliantp. Ûnttu vain ; tjrcsenté que ces réjouis-
Mùçes particulière* n'avaient tien d'extraordinaire, et qoe
l** Anglais au avaient fait de pareille« en plusieurs occasionsUn
ordre du gouvernement, en date du (ô. intime aux
émigrés feafk^ais et corses dt surùr de .la Toscane. U restera
•ans txççytioü comme tou* les ordre* prêté de m.
' On écrit de Naples que I escadre portugaise y est arrivée,
« qu’fclfe in fijouidce i'««dre de l amiral Nelson.
9
■>M ritMl i
PUBLIC IIHRAR'f
f '. - , ( 3o<J )
RitrSi-T^Ut KaMjMXï. /Ji Jt'inrs", te t5-tkerm'rdir,
„ , . . ' *r ■ . I I .
Dans qndltjuei iûi»ifl»ne* , er notainitaidan* le déparleîïicnt
itti Citieo, il i «luiunie iiusu/rectitm s us utce pli dn'
«pggaititjn* péril de s» rr-Jaii vernent 1 l'alioliiion des coaiirriu
CtA la suppression de diacre U s lapnaatctes» Lei prélrrs
et les saine* rtrtilaitnt reuuuveiJet' leurs pleines fartée. A
Rome . ifxbrii d<?i>né de* tpaindtipus ,ij utt$ vieille statut U
Ttrracine, ils oui fait suer du [ait et de la mine inné Midoué.''
Les imposteur·) rpi cherchaient à joulivtr'ié ptnpfc
partes prétendus fflinclèt J om etéirrèlé* „ erietont puti
d'une nianîere exemplaire. Mais la sèiiit/ün^dù· Girtici éiut
telle me ut dangefrnsc' , ■ qu’edle 'avait eonaterné Je.gcwcriit·
rtient romain» Le gdtidrad &'division Maid.or»af ; "toinmil·
¡dartt 'eu chef les troupci françaises itîtioiioée* sur le tini·
îbire de çirte RepLtbli□ Je T pffflir*. din*· eetie^clrcoturnft
co'mbitn il sait allier le *>cr fraid et tes «alcwi militdrrf,
au courage'« à l'activité; 11 mit ordreA du thef ri* brigade
Girardon un petit corps composé de Français et de Folesit»,
pour se prnrcr eii terâte dsligrecé sur tes ntrOlttÎl 'Les prernlerj
eho-t) je donnèrent-i- Feremitio , 1-e s i tlie-rtudoti Us
f'irent' terrible*': après pledturg heutea de combat, les ¡margis
frirent rulbutil | on etf^û un grand caruige : cepeinltit
guidés par des chefs expérimentés, leurs débris ne-terd* y“
i Se rallier1 derristè Je fleuve ia Cpaa ; appuyés 1 dreéte i
JxerbU, à gïuetie a Frosinowe . il*, ose KM dj.ni fSBït# pb-sttior»
■proposer un traité coridrtioantl ; mais Gomme es ne
■pose point arec des-Lui gandin on marcha fur «u*q le 15,
l'a□ Jace Familière 1' ndj tpkfai*» - . - .
Nous eûmes in finirar:ni rie peine ri forcer le passsg4
Oojj, Nom éprouvâmes encore sue pltrj -rigoüTéiHt rë*ü*
France au pied du rocher spr lequel e*t bâti Fro*iiione. Sm.
'escarpement ne fut poiflt un obttaele pour fret trenpet.; ■
eNdt gravirent à travers "Un feu très»Vif Üe 4<ftraill· sii'
njous^ueterrt, jmqn'i [3 pbite de la ville'·; il· fallut monter
à bras une p ate de carro 11 ; pour 1» jeiler bariOû yrtms1*:
là potte Fut enfoncée ; un prêtre, le sabre--i 11 msifliCO1-'
ni-.imliir les imiirgét qui la gardaient : lui et les·sien* lu«·1
tué* à Coups de Layon net tc*> ' r 1,
' Nos troupe1 pémétierenniaii'la ville , toute*· ïeiinutPi1
étaient crénelée* ; notu eûmes beàiicriup 1 souffrir du f»*
qu'elle* vomissaient. Nom recourutnei *ut toiches ■ f1 “
qui voulut échapper aux flammet périt par 1* fer d* nnSJ04·'
{ 3ot } ■ .
dï’b tt '■mg ffirTçâh a coulé, dais ta «engeance a punlk
rfitnt. Tout ifl qui a tic trouvé ex armes a été passe au fil de
lèpee. ' ■
A I instant où It brave Girardon terrniniir ertc leg ré vol-'
dr ce rte partie, un autre gertne de rébellion Va-Humt à
Tet racine. Le commandant françaii . Te dit. Leduc , y est
■nassaçttfs dix chasseurs du iga. Tégj<ne»t qui m trdHvaiènt
avec lui ne doiveut leur salut qu’à la legrreti de leurs ebe-*
dix, En deux jour-, !e nombre de tes rebelles esrde S.ooo.
A peine.le générai Mît don al· en eirl-it l'avis, qu'il rrivoyx
contre eux, à ùiïTtbcs forcées, un ticutcheruent français'et
Îclooais, ïûyj la conduite de SOU chef d’etat-major , l’adjuant-
général Mauri.tr Mathieu.
Mti tfoupts arrivèrent le as au point du jour'À la vue de
Tcrraciibé. Uoeînfitiitè de paysans eiubusqués dans les uiatxîs
et Ici iardiiu qui avoishieut cette ville , porieiem bientôt
U mort dans nu rangs, en nous fusillant presüit'à bout
portant £ l·affaire s'engagea dis-lors avec beaucoup de Fureur,
Nous n’avions pour tout débouché que la voie Appia et la
vieille rouie de Naples„ et 1rs rebelles les balayaient par un
feu coutinnet de quiuic pièces de grc* calibre. Six heures do
Combat n’avril e rit presque sien décidé | il iallatr cependant
Ur ruiner celte boucherie; de deux, choses l’uût , ou cinïtir
SUr les pietés, 011 se de ter rainer à une retraite dont les suites
eussent cri itrrjbles; l'ordre de courir sur les pièces Fut donc'
donné. Les Polonais rivalisèrent d’ardeur avec nos troupes ;
La bayontieite décida le succès- T* ira tint fut e ta portéd as- .
sa'Lt, et 1er brigands qu'on y trouva impitoyablement cgorges.
Ccpetidatif quelques-uns parvinrent à gagner par les
montagnes le Méritoire napolitain î d’autres SC sauvèrent Sur
des chaloupes, dont uue partie fut coulée bas par notre aiti-b- .
Krie,
. Par cette dernière victoire , nous noue Iroilvcns absolument
maîtres de tout le pays. Il ne reste que quelques bii-
' giiids épars dans les montagnes ; une bemne police suffira
peut les purger. Les punitiong terrible! , mais nécemaiitj, '
qu'otn sub-es les vi.l|c* révoltées [ «liés ont été briêes au
iac ' ôteroüt, je pense, A l'avenir l'envie de s attrotiper séslîne
use meut. .
Si lïüUi H CU5SJÛ1ÎS pa3i TCDSslf 1 însurTccticin. cul pu dtveuir
générale ; les Anglais nhç pfsent pas manqué d'aï· mm ter
cette uouvètlé Vendée ; dfeuK.de leurs [régales cwiiaient dt-
'vajii ïerracifle dans ia ion mue du 2'ï, lâtis doute jiüiir retudllir
les kisurgci*
DiijiI Got gk
■ ( »?· 1
:
Nts trqupiien entrant dj<us Temóne optKDuvf pn iole!
d^m le mille â de la eue, eur lequel officiait tu des prêtre^
pendant le tona bat ; ils armés de pluàlçu ; 11 bayd.n- Î
uette/Le nos soldati en ■ purgé U terre.
Le- pinéta! Macdoujl a fiii publier deux leverei loi* '
contre Ict uau*eaux perturbateurs de la tranquillité publique.
Dans la premiere, tout individu couvôucu divoir stavoque
Il teditian par de.« dinotiti .par dei txmvclkl iausiet e( '
^¡ircDaptes', sei 1 jugé ci puni de mort.
Lei indivìdui'cDUMI iqus U dçnoinitmdpri la cqnjpiarne
de la foi de Jésus, organisée daps le dépirietqenl du,
Clitumno, leront traduiteitrh-ifl-cb?top devant ia ca
npililajre, ' ' .
F?r Le ifcçind arreté du général tommitdipt !*S trpopé^·
ffinçii^ei.à Rame, Le département du Circéo es,l déclaré 4^.
¿tu de liège.'Lei conni) au dam des troupes qui |pot su-r cetuff "
partie du tcrriiqiie ramait), tout autorises à pr'rtylcÇ W"*H '
Je* ed ci urei pour réduire lei rç belles, et Dpnwpçrvit çopiei t
de girtri· pfulç les punir. .
La tirdicaf d’Yorck envoie de Naplei, où ü Ht tjuinfe- ;
.nani', l»s torchas alhimcct de le discorde, dans Rümé· bL
agite sur-tout, par ie< misóvei wcerdotalcs ci iwtE^di^re^ v
U Utile cité de fra#'. *4- Ce prêtre u'1 pâj sculeibe^1 ■i* nQi*:
anglais, il ta a k coeut.
, L* 13 rhermid<)Tt pp * du fusiller un prrtru cotwaiugp 4f.· .
fiiii <i gaia iftfcfifut cçutfe le genti crue meut répuUk«!»’ .
Espagnî!, Dt Madrid, le 3o thermidor.
Le in lèni re d'&ai 3m vedrà, malade depuis quelque fétu, *·
donni beaucoup dfin quii tu d<4 ; ob diuipepe de le rpicTétatti.
Sa perte est une calamité pour J'Eipagrae· Qu lui jltrie· t
biiiit de vallai projets d enté lia retimi qu» » mort vi faire
évanouir. Jovellmoj t upi intjpie de Surgira, connu jiar php
tient! ouvrages pliilo^ophiqifu, Jûvellanos, ^¡Qistfe de lìntérifüiçt
de h jb*tice,viint ^¿ire cbaùgé. Lçi prétrep ne lui
que pas pardonné d'avoir dit, da tu uo de (te ouvrage! , qui/
r Ju'arl flt fspdjncéruyfeuÿ ifûp de Jtçi’iei et trup fey de eeulftufh
Op a remplacé ce ministre par Cabalerò, protégé, dustn^
d- J
Qn vient de destiiner sept officiel! généraui, On drsiingua
partni eux don Beni la Pardo, ua dei meilleur*
géumetres ripagoo|a.
' AU milieu de toiis ces trpnbki, Fine nie du mia ime
fiançais, Gmllenta rdct, est vraiment rtmatquible.
<*
£,1ijlnn!'-nir
■ Google HFfo YORK PURI IC LIE F
f )
L'imt du par il qui vsn! je lier l'Espagne dan* de» malheur* ipcmvjntablei., est fe trratid inquisiteur. Saived’ra àVïil eu la *otti»c de le croire un hoiume qui rc prêterait 4 de» réforme! (¿Isekire&i if-* ib&udoiJM SaaTédr# «f tel de rem iwi plu* cruel rnnetui.
U u’csi pa* vr*i que· ht. TJrquÿt» f de qui l'en poqrriit dire du bien A juste titre] soit minbtre d'iitat par interius ; il n'a r .çn-qu'une J uple ccuntnis»i<jn pour expédier avec iç toi lef affaire» piev^nte».
. ANGLETtRil, Défendra, ? j Jhrrinùür.
MM- Danton j Pionnier , et quelque» autre! Français ont ' été arrête» hitr, inr le soupçon qu'ils avaient favorisé féva- ii'on de plunenr* prïtounier» françaia, et qu'il» leur avaient fouttii de E'ar^eui. Ib ont été examiné» par M, Wickkatn, et rSivttc condtitr» à la prison de Tnlhilfields.
Le* Américain» ont témoigné A notre gcuvernemedt leur reconnaissance pour ie» convoi» qu'on leur accorde , afin de pyrteger leur commerce. Le» négociant de Boston orti arrêté c.bd »trait pi é* turé une lettre de rester ciment, er un* pitre Je viuwILe de cent guidée*, au cepitdut du Secné-dMait, qui T escorta li. dernier·* B*tte eu Amérique-
Leu coIûiu de la. Jamaïque ont nprêteuté à notre gouver* .ttemern, tpi La pottrstion du mol« Saint-Nieoia* ne tuerait pu à i* turcté dé leur ule, qui tenir txpOïêe A de* incur* /lions, funeste», tant qu'au ne t*ra p** maître de toute lu , prtjqn'isïe où est Jérémie, et «ir-toui du port de St. Louai • On s’est déterminé en conséquence A y envoyer le général ] tn<iK , avec un renfort de i6oü homme». Le general Ma,t- ■¡md rtvieiit *n AngleiC'-re.
f Le* cargiiiotis de» rix vaisseaux de la compagnie de» In. des, récemttieits arrivé*, consistent en 10.94.7 LcmneaiiK, de ' salpêtre, 7 lii de poivre- noir, 100 balle* de talon , 5489 bar, ¡■»Iquei de sucre, 9^7 caisses d'indigo, etc.. i»n» compter eue grande quantité d'ivoire, d'afoes, de vin* de Madère , ùe racine de colntuho, de borax , de ratk, d'eaai-de-rüs* , ’ d* parreiaini de la Chine, de gomme, de rroix-d*-galle , tde gingiinbr*, elc On auend e ru eu e le retour d* trente-trou ' vaisseaux semblable·. ■
: Si F u en croit no* papier* miniatérichl toutes les force» de terre de /Etupire britannique, ycompris le* corps de nouvelle» levéej , j’êlrtttll A 3oo mille homme», pour les, que h nous avoir» 7 feld-maréchaqx, 6i généraux, fi6 lieu*· itootn-génÎTa·*, etc,, au total, un éut-major composé de l636 p ci ma ne».
□•■¡di
Go· *glc

NtWrORK PU0LJ-L· LltiEtfl
(M)
R Ê P U nj V E FRANÇAIS fe.
CORPS 1É.C1SLATIÏ. .
SmhcCî du dittx Comeils, du'5 au i5 frutiidûr; '
Sur le rapport de Bouiay * Fmy , le conseil dei
Çhuq-cc nti, dans la séance du G Irirctidor, -adopte
tin projet de résolution qui fine Tel deper.iti de .
La mâtine pour l’an \Il, â la somme de tsi mil·
1ÎO1*, - :
' On reprend b discussion du projet de Fabre, eut ,
le mode d'acqui'ter les dépenses départemeutalei, ,
municipale* et iomitiumits, . .
Fabre ouvre la discussion par quelques obier^i- <
tioiis.; La Ici du 15 brumaire dernier a réjlé, dit il,
le mode d'inopoiitiûn et le . paiement de» dépendes ] |
adiriiiuïiratives et judiciaires r Ce mode est SàrtJ
doute le meilleur de ceux qui ont été conçus jus- i
qu'icit mais l'expérience et un examen approfondi i
de cette loi ont donnéjieü à des observations îtn ,
portantes, et ont fait penser qu'elle était lUJccptrble
d'être perfectionnée, ■
On a dit, avec raiton, que les communes et les
cantons ruraux devaient èUe classés séparément des |
communes formiTvt elle* seules un canton i, que k
Wiaxjtnum de cinq centimes, qui leur avait été cw [|
¡¿.sèment atrribue , était insuffisant, '1
La loi du g germinal an V a ordonné, il est vui. 1'
qu'il serait pourvu à ce déficit par des contributif^ 1;
locale* et indirectes; mais sur quels objeis doivent
Îtorter ces contributions ? quel doit être le mode de |
«ur'étabLi&emeni/ C'est ce que b commission prû' .
pose de déterminer. Elle a porté sa sollicitude lue i
Tes besoins de* hospices qivili et des iddigèris à den
nrtcile, dout les ressources ont été ccmâidérableinrr'!
;dl ai Ldi es depuis-U révolution ; et elle pense qtic k ,
seul moyen de pourvoira ces dépense?; est d'établ 1|
une
'-Il I'1.11 II .· I a
UEW ÎORK RjJELIC LiHRARÏ
r* r-
I 5« 1 Λ
ÛBc hxe tut 1« co ni ü mm a tiens aiiir entrée^ déi ■
communes. 1 'Îi' ~t-J ‘¿y
Οτι parle de rinirtioralité rie -Ce» tact? ; maris
désordre dès finançai des grandes communes,■ sut-
(tiut dé cèlle de Parti, elt bien plut immoral, et *
des siiites bien plus affligea ntei, des pauvres daiis le1
■ déoueinent le plus absolu, des rua Inde? qui ne sJut
pas soulagés, et qui expirent sjtis accours sut un lit -
infect ; de? administrateurs, des juges, des commis,
besoin» les pim urgens, une police mal Faite, faut*
de moyens ; la salubrité altérée, des bà riWifiii<quî
iécro Je et ,fauté. de répamiouX t dés nidtfthuctu qui
fe dégradent, parte qulott ne peut les tffïtrettnir ;
tous le* services cri désbrgBohaiiün ; vofU tique 1a
cummisiioa oppose à' la crainte pnsiihüimtr de voii
Quelque* -spécuLteurs s'établir à côté dc> barrières i
ce qui ii'?ur» pas lieu; lorsqué les droits setotif modérés
et perçus Sur de gros dbje«.’ · ■ 1 1 4
Barra, Labrouste et Bértliot combattent lè by|J
témff de la commission.
■‘ Thiené pense cju’avint de prciïdtE one tiitermi-f
tiïtion lut cet objets il cdïiviendraii de iatfoif si le
- Corps législatif peut réduire les cantons. Ce sertit;
drril; un moyen dç simplifier les dépendes. '■
Je dtm-ande qu'une commission soit ,cbargte dd
tous faire un rapporteur ceite question.' “
- Le conseil adopte cette proposition, ét prononça
l'ajournement du projet de Fabre. -
Poriici (de I Oise) fait adopièt un projet de réio-
Hiticn, tint &xe 3 la somme de fiVS/tS francs,)« dé*
. pentes dit bureau de timptabili te pour l’ati VH,
Le nombre des employés ue ce bureau est
à sBjf ‘
1 D’après ud rapport de Bocrfa j.Paty, ïc tomeil
passe à l’ordre du jour sut h quesiion de savoir si,
1 pour assurer la neutmbté , il tùtfit dunrç des deuÿ
condition» suivante? : . ...
1&. Antériorité de dorfijcjlc.
V. NatutaJisilïôn Jim un pjyi.
Çct ordre du jour en motivé sur l'existence det
Tint xxxri
■ .->|,Ji„.. .......
NEW YORK PUR. IC I BIWRÏ
( s·« )
2 g tiennes loi* et rdglémep», qid ont toujouî.» exigé
a réunion de cet deux condition».
Qn ajaurtu un projet prête tué pwr In commiatrctt
des dépenses, qui fixe à H tomuc de ■ million» u»
ttiille j3ï fraqc»,,lv dépense» du miaistt«ldc Ir pa<
te« générale pour l'an VIL·
- La discussion-in? le projet concernant l'acquîtteçieut
de» dépeaxcf départementales, municipales et
communale» continue le 7. l '
Bigûnei ¿met une opinion à ce sujet, dont il detnapde
Le renvoi à 1» coituninion.
Adopté.
Boulé voudrait que, pour diminuer les dépeMel
locale» on comprît danu le» dépense» générale», c«
qrù concerne le» iuipecteun et le* préposé* aux cou*
uibuùon» diieetp», < .
Ua autre membre apllVC contre te projet, d'étafcLr
un impôt sur le» denrée» et cotuommaÜQns.
' Outre Padicux qui »trait attaché à cette mesure , on
eu ferait retomber le poids sur la chs»e b plu»
malheureuse et la pim industrieuse de» citoyens. Il
pente que le luxe in soient de» nouveaux enrichi»
¿punit aitet de moyens pour lever de» impôt» ùldirect
». .
Après quelque» pouveaux débats, le conseil arrête,
tu principe que 1«» départem«n$, les cantons « le»
communes pourront suppléer,au déficit de leur» dépentes
locales, par qn impôt sur le» objet» de conic-
rumatton.
Berlier, urgant de i* comraitsion nommée pour
présenter un upport »ut Je» moyens de réprimer le»
délit» d» la preste, obtient la parole dan» laitance
4» 8. T , \ , . ■ . ,
Vou» ivet manifesté , dit-il, J intention de rendre
?□* IqI répressive de» délit» de la .presse, Vo^re
commiatioa spéciale a cherché à atteiodre h licence,
»¿0« porter atteinte à la liberté de publier sa pensée,
¿lie 1 seuil qu'il importait au repos de la société.,
de rendre une loi pénale sagement organisée contre
ceux qui le permettraient de provoquer 1» désobéi■-
lance aux loi», d'attaquer, par de· imputations
□i-jî'di trar
Pilfiil C LlSRARV
.. . (î°'i , bEemantti dini leur honneur et leur probité, 1<* membre) du Corps législatif, dy Directoire «t des autorités conitituéçj. Elle a Cia ^uSài devoir offrir u tic garantie a U il simple* particulier* caluriraié*. (l &'exi*tc point de liberté politique, là oà la liberté de h preste û'èit pas respectée; mais 1* liberté de J* presse n'est pas cette anarchie , éttte licence qui régnaient ayant" le t» fructidor, où le droit de tout dire et celui de tout écrire a’étaicnr que le droit de calomnier, d’exciter à la révolte , d'avilir lit illStitU" lions républicaine· et Jçs républicains. La liberté dfé ta presse roiisisie uniquement déni le droit de ma- nifcsier ici pensées, do censuTtr les lois, tes açt^ du gouvernement, mais tant prêcher la déjobei*- lance, sam çiiomiljer et sans avilir aucun foacripri- bairc public. Ci n’eat donc que par Un code pctpal que l’on pourra mettre un Frein à la lic$nctfT et idt- p citer silence aux calomniateurs.
' Votre tommiliion tic l'est pas diStiiduTé qu'il fallait qüe la mesure qu'elle Vous proposait, fût adoptée avant le tS fructidor, parce que route garantie qui lie repose que sut h moralité de quelques individu*,, Îueltiue vertueux qp'ils ■oient, est toujours précaire, es délits de ta presse sa divisent en deux clapet a les calomnies dirige cl contre de iimplfi particulier^ seront considérées comme délits correctionnel, et relies contre Je* autorités constituées, comme délice public*. Sans dpute qu’une loi hâ,ée sur oc* pruj* cîpes n’est pas »ans ditficuhé ; mais ij. eat quelque^ raison* qui ont déterminé la comnlisrioa; la uceexv lité de réprimer les diffamateurs et de faire respect« ¡et actes des autorité; eonsrituées. Chacun siir qu'u^ Eamphiet bi?n méchant produit plut d effet qii'ùp
on ouvrage;« te n est p*l aujourd'hui qu’on pourrit nous pertûader que tel fonction mûres publics sont au-dessus de U calomnie. Les ci ta mer avec l'in le ti- i)ôn manifeste d'avilir leur caractère, ç’cit éompro* mettre l'ordre public; c’est faire une injure à U société- Ce*t donc i elle qu’il faut laisser le soin J· punir, -
£■ rapporteur présente deux projet*.
V »
Onilnal Dosi
‘JtW YORK PUBLIC LIER.
G<X gle
■ * r
> . f Jflï h . . .
Le premier porte que i’attributïon faite i la police .
par Fart, 35 de la loi da iq fructieor apV, pourra
avoir lieu jusqu’à la publication de U loi pénale J«r .
' les déliis de h presse : â-cette époque, elle cesserait,
de plein droit, et ne pourrait, dans (oui les casTY
durer plus de trois mois après la publication de la.
présente.
Le second projet est lè code pçnal annoncé dans
lé précédent. D'après Fart. 353 Je ¡l constitution,
cité en 1ère, il leralt permis à tour citoyen d’écrire .
ou imprimer ton opinion sur les loi», arrêtés et actes
, du gouvernement et. de» autorités constituées, s an» .
qu’a il eu ne plainte contre lui fût recevable, à moins
qu’én discutant h justice, ou les inconvénient d’nne
loi ou d’un acte du gouvernement,il n’ait provoqué '
la désobéissance, annoncé qu’il n’y obéirait pas, lut
ou les citoyen»; qu’il n’ait attaqué dans leur honneur
nu Leur probité Ici membres du gouvernement,'
du Corps législatif ou des autorité» constituées- Là
poursuit» d’office aurait lieu sur la réquisition de
ceux qui se prétendraient offensés. Les peines seraient
prononcées par un jury spécial; tels calomniateûti
seraient punii d’une détention de lia mois, et
défenses leur seraient faites de rien imprimer pendant
trois ans. L’infraction de cette disposition serait
punie de trois an» de détention/ Les particulier»
Calomniés ' sc pourvoiraient à la police correctionnelle
î les peines prononcées seraient uncruptison-n
Dément de huit four» au moins et de croit mois au '
plus, mtis préjudice des dorumàges et in léièts.
On demande à aller aux vois, sur le premier projet.
et que le second soit imprimé et ajourné,
l.ehardi pense que U dernière disposition du premier
projet paralyse lait. 35 de la loi du ig friictidor,
auquel les Tepréscnians du peuple doivent leur
salut, et lu République ta tranquillité, Si ce dernier
article est adopté, et qu’à l'expiration des trots moi»
le projet pénal ne »oit pas adopté', vous devez,drt-ii,
Yûiis ai tendre à voir reparaître les bannicre» de l'anaichic
et du royalisme 5 à voir les stipendiés de
l'Angleterre provoquer Ici mesufes révolutionnaires,
û'iÿir-ol frem
’ÔftK. PUBLIC LlBRARï
f Sût) ) '
et sonner le toc tin de b révolte, tcmine Avaht le
‘18 fructidor.
Plusieurs orateurs »ont entendus pour et contre, '
Jacquemine« propose de rcttxocber la dernière
‘disposition du premier projet, et de déclitet que
l'attribution donnée à la police par Part. 35 de h Joi
du 19 fructidor, cessera dès Finstant que Sera déçrétè
le code pénal de 1a presse, et que, dans tous
ici cat, elle ne pourra »'étendre au* delà d'une
année.
- Le conseil adopte lo ptemier projet ainsi amendé,
Villon, au nom de la commission des Enancei,
Îirésenre le tableau des recettes et dépenses
’an VIL Celles-ci sont fixées à 6uo millions- La confribuiîon
foncière est réduite i îio million«, et la
contribution nobiliaire, personne lie et somptuaire,
à 3o millions. 1
Savary 3 fait adopter, dans U séance du 9, un
projet de résolution concernant les attributions de«
conseils de guerre.
La di scansion s'ett ensuite ouverte sur le projet
PouLin · Grundpré , relatif à l'organisation de
i administration de la petite aux chevaux. Les 49 articles
qui le composent ont été adopter avec quel1--·
quel ajncnderaens.
Cacaut,au nom de la commission chargée de pro*
poterie mode d'exécution de l'art. 3o8 de h en ns tiret
« ion, propose, le tt, un projet de résolution dont
le conseil ordonne l'impression et l’ajourta tmetlt. '
La discussion l'ouvre e milite sur le projet de U
ccimnnsiûn des Hninces , relatif à l'établissement
d'un impôt sur le sel. ' ■
Couturier obtient la parole pour le combattre. H
y remarque deux inconvénient principaux. Les niesures
employées pour empêcher la.fraude île root
point assez léverti; et, dans ce tai:, fe but dé'lu
commission est manqué , et l'impôt ne f*
rien.
' D'un autre côté, il appréhende ijuél'eifcèj rom rares
ne 'ramené ht vexation« de l'inticu tegimd, et d'àoranal
fîc·-»
NEW ÏGRSL PUBLIC LFB H/ Go» gle
1
. ( hè )
Pinè & h ^¿pubfique le* coeur* des ba^itiH» de U £ïppagne: ' - . ,
In pression,
ëirald partage le mine arts« H ne voit pas 1* nécessite de cei impôt; plus en multiplia les injpo* tiiioiis ) moins ou en obtient, Il vaudrait beaucoup mieux faire des ¿cono mi» et des réductions sur Ica dépenscs<qué enter ainsi iesméc onlentemcnq.;
Impression. ' . . ,
Un autie membre se pUiat de la ¿¿faveur ¿ÿcTCbp â jc.tter tôt ce projet, en issitnitant aux ça,- belles l'impôt proposé. Il le regarde com me le moins au peuple « et le plus d*ti· sa pet-
JS croit gye c’est uu des meilleurs cnôjrçm *r le faîteau de* contributions direct».
.«■■V««· * . , - » . .J ., . "
pense qu’ôû ne saurait trop tôt Faire juitiçy>
pont
istifitr en quelque sorte leur*
„„____ r-_ ______________naut un itnp·
|ch, il faudra bientôt Faire un code pénal contre 1m
1__, _,.......... T__ --„___r -- W1>
pnt qu’au l'aura cru* on L'augmentera bientôt.« ê«i fitïii, ' L - '
Vetra
i». >■ * - ■ - - ■ ■ - ·
... . . ..■«>
Il invoque la question préalable,en obtemut*Qu*
çnéteux
Îeptiori. e diminuer Le fardeau do contributions direct». Impression. , r . ., .
ri,,,., qu'on ttop juitiq® ¿'un projet no ta ire me ru désavantageux pt oppruftitT pont les ¿doyen*. Ou n'i pat détruit les gabelle* «¿lis lé régime loyal, pour les recréer sous le gan·- versement républicain, Ge serait servir nos glas cruels ennemis « e.c justifier finiisrts prophéiici. En ordonnant un impôt fur leq
, il. |m càntrebandicci} et si ¿et impôt ne rappoïte pas >g- "__------------------U Oa l'augmentera bientôt. « êi
unfc foji que Je principe »ott été ,+ïol*. ofk. t peu à peu se resouvelltr tous le» abm d«
W’ . . . . r
â'àiÎleuife l‘impôt n'est pas proportionné jt la c}jc**Ç impayée , puisque le muids de sel qui ee vend 3.0 A . Î6 fiant* aq Etude l'extraction, s'élèverait aloi· à $D francs; qu il.favoriserait Ip coqs mer te de J'etraO’ ger Çq. préjudicedb uqtçetet détruirait presqu’qiVt eiéremeqt celui du. hiredg. Ou évalue ù produit dp ^«t impôt i 5o mUlio» ; mais je demande si c'est déduction faite des vols des Percepteurs ; car il leqr pap plus ^i^iâtablf qu'ji U République Vo.ua avea pconnu cet at^yj dMi^ la péremption déf.dioi^ 4ô pàlJÇ, PtV4M* ftytz fru U pxxù <jç ratfçrino» Vou<
-Goi glc
I
(eres bientôt obligés d'en faire autant pourra per* ception de l'impôt sur te sel ; et alors vous verrics renaître ce* conipagniri de fermieri-généraux, ssng- ira du peuple , qui Tant ¿puisé. On allure que ¿’immçiijt» magasins existent à Paris même t et qu’un »'attend qu'un décret pour les ouvrir.
Fjwargent-vous les spéculations de trt VÎU agin- tetiri ? Non ; vous ordonnerez des réductions, de» économiri sur le» dépeoiss i ou t si vous croyez né- xxnairc d'établir das impôts t adiré eti, vpu» le* établirez sur des objets de luxe , tels que les sucres ,1e* ta’fés, etc, — Impression,
□a rédame à grandi crû h clôture de la dhctmio» •t ta Queirion ptéabble sut }« projet.
Baille tri insiste pour avait la parole et explique1! 1m intentions de la commission tfti finances, 11 dit qu’on n'a p« encore abordé ta irritable question k ■ tet qu'on a professé des principes tomi-Tait cvn^ tFaire* i l'iutérét même de* citoyens dont on a part, prendre la défense.
j 0» réclame de nouveau 1a clôture de la disCus» (Son. £llc est fermée , <t le çtmicil dé claie 'qu'il' fi’jf a pu fieu à délibérer sur le projet proposé.
Aubert, organe de la commission Ôei finante* t fait, le si 4 un rapport sur'Je* moyen* de fatrt'f«rç an* dépeirtei tócale* de ta commune de Fatù. Ici »reí ares pt apnée s par le .rapporteur consistent i établir1 des droits d'entrée iur Hivers objeta de epir*. Woemition, t«h que Ici vins. eaux-de-Vre, bqutnjsr, vinaiçr«*, Tour ages, boeuf», mu ateos , veaux t boñ , pierres, ûjoëfüni.'CetinipÔ.t sera appt Hé oCtrcd tülll* tridpai de bieafaisance. Le 'Directoire sera chargé lie ‘faire tous les réglemeos nécessaires pourra p'eri çepriüû,
La dtictnrion l’ouvre sut Tbtganiiatien de Fàd* nriniitration de» hypotheques. '
Le conseil de* Ancien» a continué, dans sa anco du ô h ü cridar, la dire union ‘sur la ré*ulü*iiriti' du 4 prairial, relative aux citipwfits*biiri zvtcpridlég’é lut Les reuits vlagEres. I
CUaiiey tombai, la i¿soin lion. Tï tounfent qu'on V <
r
Jigil
Go. gk
Qriqlnql tram
NEW YDP.K PUB UC LIBRAR’
jae peut, I3H1 porter atteinte sus ernwentioai parti«
Pulkrcs, privet les préteurs.sur les rentes des rïrettf
qu'ils se sonL assurées parles contrats. Dp ce qu'ilj
t'étaient réservé uu ptivrJéga, on ne peut Iqg forcer
d'accepter l’pbjet pti1. iiêgi alternent affecté·, quand
cet objet est devenu de nulle valent, Daps aucuq
pas , ou ne peui.Ies forcer à prendre pne sûreté pin»
;Ôt qu'une autre, pu plutôt ■ n’en preudie qu uuç
quand ils en put stipulé plusieurs. Le privilège ti'cxplut
pas I hypoibcqtiç ; c’est un principe reconnu dç
fems immémorial. ■ ,
Mais an compare les préteurs sur les rentes aoiç
préteurs .sur |cs offices supprimés, et fou veut, en
éieùd^nt fart. LX>-X|1I de b loi dur»4 frimairç
in Vi , que les preipieri soient rembmrsés comme
^es autres ça inscriptions. Dbbord il fallait eiami«
qcf les, Ipis qui ont autorisé les débiteurs à donnes
gçr au droit civilÊn
fupposam que les prêteur! su; rentes dquent
ÎMe· traité· de même que (es préteurs sur offices »up*
primes, il faudrait encore distinguer entre If* têtus,
Lorsque les picpriétairei d'offices supprimé? furent
ça lions; on le fit tut tout dans qn trms qiq empêchait
tien des lois précédentes a dea individui qu’elles
p’aticindraieni pi? sans (¡oniommei leur ripne. Lei
prêteurs sur othees Supprimés qui Ont été jerubpmT
lés en assignais, ont pu les employer alors en ac?
qui suions de domaines natiopaui ; tpaàs Lçs sssigusts
qu'on dono trait aujourd'hui aua, prêteurs sur retttc%
ÎTant plu» h ménte valeur, ni le même emploi- Ainsi
es choses ne soet point ¿galea pour ¡es deux especes
^C ticancieis enne Içiquçls on a voulu établir un?
parité- . .
' you| yaulcf dp crédit, dit Çba^c^ en termiu^nt^
Gougle
( 3iS )
ft vntiï jfîoptcrïei àDt résolution qu; confond en.
jcmblir les droits de sept especes de créanciers ! vous
voulez du crédit, et de la. meme main qui en signerait
la demande , vous effaceriez Jet engagernens que
vous avez contractés avec les étrangeis J vous voulez
un crédit hâtions!v et vous cotnrneùceriez par deuuec
l ekeiiiple de la violations des conventions de
partietiliet à particulier ! Non ; le conseil de* Art*·
tiens juste , le conseil des Anciens conservateur
des droits de tous, ne voudra détruire ceux de per»
Stfitie. ; .
Je vote contre la résolution^
Bonnet ( de l'Aude) répond que les prêteurs sur
renies doivent s'imputer A tux*wémts leur nem-rembourseçienU
Ils avaient entte leurs mains le gage
• de leur prêt, lis étaient ici maîtres de vendre ce
gage pour recouvrer leurs .capitaux.
Housse au résume les objections qui ont,été faitei
| contre la proposition dt rejet faite pat h commission
, et répond a ces oljeciions,
: Le conseil ferrue la discussion, et rejette la réso-
Juiion.
: La séance du j a été employée à la discussion,
i d'im objet d'intérêt particulier. ..
Duhl celle du S, ■ Rossée a fait le rapport sur la
tçiolution portant création d'un nouveau dëpârtement
sous le nom de département do Léman, et
dont la commune de Genevc sera le chef-lieu. La
réunion du territoire genevois à la République Fr an-
• Çsife, les relations commerciales et nombreuses de
Jp commune de Gîûçvc et son importance lui, pa-
- snembiemeot de quelques çancùut dçs tleparitraeos
i du Moal·Blanc et de ) Ain, pour compo^et lé insu*
ïèiu ?vtc le pays genevois.
,Ua député du Mont-Blaqc prend la parole pont
Ïrouvct que l’intérêt de son né partum trit,s\ippci if
la formation de celui de Léman; malt plusaeun
.- luttm membres étaolistefsl que t'iiiiçréi puljhc Qéietsrte
cer état: Lie mirnt'.
La ï^solut|oq est mise Aux voix et adoptée.
Got >gk wrgRKPUHi ici hfwrï
114)
La diicujSÎOn *ür îi résolution relative aux fête* ¿é Cad tirai a cté reptile data* la séance du g et dan* i celle du i i. P
Cornet et Mercïtr Vont combattue. Il leur a parp éjue te décadi ne ternit pas luilîsant pour célébrât, dans les communes populeme* , tous les mariages et faire la lecture des Jais; que la difficulté rte* che· «tint, le* mauvais tem». ne permetttaht ni aux en* fans ni aux vieillards de se rendre tous les décadi* au çhef-Iieu de canton. Ainsi en admettant k pnn- tip£,di désireraient (¡«’ùny mît quelque* exception* ÿecemire·.
Baîret convient que la résolution n'est pas *1» défectuosités; mais il pense qu'il faut l'adopter pont donner de la toktnnité aux mariages, et meure dans la célébration des fîtes décadaire* a*sefrd'appareil, pour quelle* se rapprochent au moi ut des fêtes religieuse*.
La suite de la discussion a été ajournée.
Le conseil a approuvé, wns discussion, h résolut ion qui continue ·, j usqu’à la promulgation fie fa loi pénale sut les délits de la presse, les dis poil lion! ¿c Part. 35 dé ta loi du i$ fructidor ao V.
L’ordre du jour du it appellait la disemsioa de M résolution concernant le* fîtes décadaires.
Moreau ( de I'Ÿooqc) patte en faveur de la résolut ita fa, invoquée parle voeu de tous le* républicain!, S&n dhcôurs, non moins fort en raison qu'tu éloquence, est une réponse victorieuse à ceux qui voudraient retarder rétablfaîcment des in-tiiution* ¿é* cùdaïrè*. A quelque méditation qus le livre te Idgi*- la t eu a pour la cenlection d'une loi v toujours on ÿ ’tï'otiv'tm de* imperfection*, et la meiÜteurc scracellé qui, pulsée dan* la natute de* iitconiiaDtei, offrira le moins d'inrotivétiicn*. 'Qu*il ne s’arrête poîtH sut· z Tbuti de* objets de détail qui dépendent de Tc*i- tütton ; qit il faut ausji ^bïhdonue'r qttefrque chot« 1 il sa geste'des magistrats do peuple; et c «*t ainri que te Directoire exécutif en a lui-même dormi 1 exemple dans son arrêté *«r la fête prochaine d11 4? fiuttidor, par lequel il * su rapptnU tu ïclc d«
Gch gle
OlUjrril
NFJVYORK -il EL IC LIBRA
t pdniînÎ!traitoris mr kj moyens dé lui donner un
fcratid caractère.
L’ara te ur termine, en faisant sentir la nécessité de
cJûîmcî plus d'éclat à la cérémonie du mariage, par
le contraste qu’iJ présente dp ce qui te pasre à ïa
commune et au temple des catholiques, si 1 oo veut
que les idées républicaine* ne soient plut discrédi'
féfi par l'autrL
Le conseil arrête que ce discours recevra k* honneurs
d* rintpreisjon.
l'ajournement «Jt ensuite ordonné,
Dans la séance du iJ du conseil de* Cinq-cents ,
. Boula y ( de la Meurtht J, par motion d'ordre, vieût
rklamer l’égalité constitutionnelle en faveur des ss-
Ifàés de son département ci de tous les autres qui
sont dans k mémç cas, Le conseil, dit-il, i rejcité
riniLp&t proposé sur le sel de* marais lalans. Il ne
doit pis laisser Snbfistçr iimpôt de te franc* par
quincal de se] à l extraction des salines des dêpaite-
1 incns que je viens de désigner. Je demande qu'une!
commission spéciale soit créée pour faire un rap*
t peut à cet égatd, > ,
■ Vîllcrj Téçlame l'ordre dn jour. Il ne pense par
, que cette demande soit une conséquence de la dÿ-
( çïtlûn du conseil, relativement au projet de la comr
mission des finances ; car il y a une grande differente
Cuire le? salines et le* marais salani. Ce serait Cû-
! cote priver le gou\ecitnitm d une ressource de
i Î millions, D’ailjçuis, une loi a fixé k prix dçs sels
■ provenant del salines dont il gai question; il a été
caimpih dans les recettes de l’an VI, et dans le pro*
I *uj le* dépenses de l'an Vil, soumisaciucliemeQt
à la décision du cnrtstil de$ Ancien». U observe en -
. Coin que, d'exception en exception, on finirait par
, d’avoir pas 400 nulLons de recette , quand il y a
ton million* de dépense·, ,
Boulayr Je mappuie de l'opinion rainje du ra,pfü,
1 égalité lésée pour fe* oépartemens en ta*
Veut (le qui je réclame, Je prétends plus , c est qu^
r
Odgiitd fi r·-1
kfW YORK PUBLIC U0! Got gle
loin d'y perdre , le gouvernement y gagnera ; car l'ilx
fait une recette de 4 millions , il en perd j à 8 par la
contrebande.
Bail!eu) i Je demande à mon collègue BnuUy s’il
y a une gabelle dan* tes départeme ps. S’il n‘y en a
pas, les habitant ne sont pas forcés d’acheter le tel
des laitues, et ils peuvent profiter de celui des ms’
nui* sahns.
Boulay : Oui, je 'soutient qu'il y a un« véritable
' gabelle dans mon département, ....
On interrompt l'orateur pour dematider la clôture
de la discussion ; et le conseil passe à l'ordre du
Jour. — On se forme eu comité général. .
Le 14.1 RiOü, organe de la commis-lion chargée de i
«'occuper du mode de conttarer les prise» maritime·, '
déclare qu’on ne peut adopter la proposition hile 1
de donner au Directoire exécutif le droit de s'im-1
mister dans le jugement des prises maritime». Je ne
crois pat, dit-il, qu'on veuille cniretèiiir encore le
Conseil de çertt idée, qui est fi évidemment en contradiction
avec les principe* , dans tin moment sur-* ■
tout ou te cri de t'indignât ion te lait entendre dsn*
cette enceinte contre l'immoralité et les dilapida- i
leurs de la fortune publique, La coiiomi&siôs a pensé ,
qu’il fallait tracer aux corsaires la ligne invariable de ■
leurs dévoies , que la cupidité n’a pas toujours respectée
; trouver les moyens de faire tcsuectct Les :
passe ports du gouvernement français , et faire jouir ;
entn ies navire» qui fréquentent nos ports, de la ;
frotection et de la SÛtetê que les traite* leur aaiureut.
ixez voi îegartis mr les neutres, qui, malheureuse·
ment en trop petit nombre, irupottent chét nous les
objets dont nous avons le plus grand besoin , s'identificiir
avec notre industienaiTon.de , de viennent nos
facteurs, et concourent ainsi à i'accroüjeuiepi de
porre commerce. ,
L’orateur, en cxaminanE ce qui concerne l»i neii'
très, toujours si ingénieux à mia^ities des moyen*
de simulation pour tromper les aima leurs, chabot
entre eux cette ligne de démarcation : Les bât iras ¿s
portant d un port étranger, et ceux sortant d’uu port
Onqlnal trorn
NEW YORK PUBLIC UBRj^RY
* ■ ( Jlj )‘
Tançais. Ont ils pris c1iarge?Danj]e premier ta*, il faut uuhiplicr contt« eux les précautions, et que noire ¿gitbtioa devienne sévtfie, minutieuse , imtpçon- lenîd même. Dans le second, nous devons cire eu ilt:ile iêcuiité , et la Survcillattce doit se changer ;n protection ; car si lel neutres sont souvent noi tiincmi» , ils nous deviennent souvent riéceisaftés jour assurer nos ipprovisioûnenieût, et «■porter ies produits de notre soi et de nos manni tetures, ils Je viennent eu quelqne torie , pendant les diviiioni langLnict dç deux puissance», de» liens inJiyibkt pi tiennent'uitïe* les différente» punies du monde, tlentretiennent l'induitrrc vivifiante jk milÎBu mënj* des horreurs de 11 guerre. Après quelques autres ob* ismtion· , le rapporteur propose deux nouvel ni projets , dont les dispositions principale» font bà- kes sur les précédent. Impression et ijeurnement
Le reste delà léunce 1 été employé à (a discussion ÎVt le fëgimç hypothécaire.
'ta conseil des Anciens a repris, le tJ , h discv»' lion sur la résolution du 6 mewidüt relative aut lÉrei décadaires, ,
Dec c m b e rousse répond sut objections qu*on x éucEs contre cette résolution. Si Von mile à ces iltet, dit-il , des idées de morale religieuse, comme wi l‘a demandé ,’ou court ie risque de c’en pJuï ■faire de filet civiques f mai) celle» d'un nouveau [Celte. On sc plaint de ce que la liberté des citoyens *rt bkstée par b privation des nurijges les auuss quurs. que le décadi ; mais b liberté des citoyens |iS(*tJ|c blessée, parce que les tribunaux ont des au« ' ¡éiraces périodiques qui prennent des Vacances? Ou '*!« des cas d'uigetjcç, de» hypothèses particulière· fui lembleraîcat nécessiter cii^quc jour h célébra- jp?a ^e* “»‘riagts. 11. n’y a pamt 4e loi qui soif 4 |lépreuve d'une hypothèse particulieie g mais itmï ¡■ci exception» ne prouvent rien contre les avantages îjénénux que doit produire b loi.
On trouve que l'égalité est blessée, paTCt que b [Bit décadaire ne sera célébrée qu'au chef-lieu du .tioron ; nuit l'é^Jiié etc-aile bb»$ic } pdïce que
I ■
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ÎQukf Ici tomtttnncs de la Républtquç u« possèdent par de·adtuirListiatiaqs centrai« et conimutiale», «icJ On dit que U résolution est inexécutable. Le rauxbl fliuffi de la population du chaque canton rural nTea-i Ce.de pat dix mille acnés. Ce nombre donueïa à peine quatre mariage! par décadi i ainsi il rfy aura pat de ftécessité d'en renvoyer aucun au décadi tuivani. Cet inconvénient pourrait avoir lieu tout an plus dans quelque! grandes villes? dont la population est à peine le· centième de celle de h République. Et dans ce W·, il n'y a point de transport ni de Frai» de voyage kregtet ter, parce que tout 1* monde dttucuic spr ici lieux.
Enfin un objecte le* mauvais te ftii, les diEficuhλ dçs chemins ; usait ici citoyens ne iont-ih point obligé* de venir dius tans le s teins, non iu cher-lieu 1 de canton, mais 4 celui du département, quj eü bien plus éloigné, lorsqu'il! sont appelés comme témoin* ou cemttte jurés? .
Decomberouisr se résume de nouveau, cuvotaat ppur la résolution. — Le conseil 1'appromrcî
La discussion de ta résolution relative aux tecours i accorder aux veuves et enfant det militait« et employés, composant l’armée de terre et de mer, ÿsl reprise le 14. — Lacuêc a combattu quelque· une* de ses dispositions ; mais Marbot, appuyant su*lu nécessité dfve»ïr promptement aü je cours des VCUYCT <t cqfan» de» militaires. qui tout dans h plus grande détresse , observe que Ses défectuosités ne touchent point au fond de la résolution,qu'une nouvelle pourra les réparer; «t il insiste pour son idopj tipn, — Elle est approuvée.
PARI 9« FJ & là RipailtyM*
L* Fôc du ï$ fmcLkdtjï Vfljt eéJébirce hier *u Çhwip-dt- Mar» et dan» les dmï cotoitih du Cmyi ligiihÉf, C*n* époque rappelle l’un drj plu* gyandi dangers attaque b *Ô été exposée h eontrituii<jn de Tan III- Elle était auiquée avec ¿autant pin* d'adrc»»* , que ceux qui iravùU*i$ut A 1*
G<h >gle
Cm q Irai tîZ’-i
MtW YORK PUBLIC Û
détruire l'invoquaient tant cesse en apparent; ma't dànt t*
fond , tentes aM |iu3iî<uünnj républicaine* étaient anéantie·
pour y ijbiiitnet des ¡cslhutioüs monarebique*. On di«etv
lait beaucoup sur le* hnan c« , et l'on nt s'arrêtait sur aucun
système utile t on refusait au gouvernement toute espece de
rxtsuurce* i ou parliti de paix au milieu de toute* ne* *ic~
foire* ; main on u'eu parlait que pour relever les Espérance*
de* puissance* élluîulîcs , ci pour faite leurs coudLioni
tneilly ures<
Le gouvernement triompha de tous ces obstacle·. Müîj cm
s'abuserait étrangement, si l'on croyait que le parti vaincu
n'aie cherché et PC cherche encore â 6C relever, en çhlngeaut
de masque et de bauniere, On en peut juger pa r le*
maucclivre* employées dans le* dernières élections ; on h
ckerchÿ 1 paner d'un extrême à l'autre , parce qu'un sait
très-bien que le· extrêmes ne s'accordent point avec ['Esprit
d'ordre ci de cunstfvsiion, sant lequel aucun Erit cûtittitutîottnel
ne peut subsister. Le gouverne me ut et le Curp*
législatif ont «n«ore déjoué te nouveau plan, Mail SC p“tst
que par la pim extrême »UrVrlHàOCe, et par l’obsertatlou
intporturbable des ménies principe*, que Ion parviendra 4
¿□nicuir tom les partis extrême*. C’ejt sur-tout en donnant
toute *ûu attention iuu bon système pratique de bnatice,
que l‘oa donnera au gouvernemtut le* moyens de faire unt
paix prompt· et honorable, ou de soutenir la guerre, ü
»ou· tQtnanes encore réduits J ceitc dure nécessité. I.t inece»
des Begociatim* de Ruiadt a tgujour* été dam un rapport
exact avec le pluü ou Je mciui de probabilité de l’jmélioration
de vof fiuauçes, Faisons le fonds effectif du budjet de
l'an Vit, et icyona ■*suré* qu’il »va rj cira plu* le* négociatiooïd*
Ras indique tou 1rs les noie* de nos plénipoteu tiaires.
— Le gérerai Bonaparte ayant rencontré fit biiiment
tpirdiand* *yédoif dans la Méditerranée, destinés pour Ml·-
Île*,#. Fait veniri son bord les six capitaines, étayant trouvé
ruii papier a en réglé , il feux a repré je ri té que pour Ôter
aux Angliii la connaissance de sa marche, il devrait let
obliger i suivre sa flotte t mais que ne voulant pas leur canlit
t» duHituag* et un retard sur si coasidi sable, il leux -d*·
uandojt seulement leur parole dbouneur qu'il» entreraient
dans |e pon de Cagliart en Sàrdaign·, et qu'il* y resteraient
quelque* jour*, afin de lui ds^nucr le tems de faire route f
le* capitaine* ont donné leur parole rt observé exactement
leur engugcnjebt^ Cette loyauté du général freinai* c»rm«
fortfn^fii avfc la tauduk< iaiân· îLa· ¿pglaû, Cet arëdf *
NtlWrORK 1-1. S! IL LlT.H.ftKr
, . fJio’J- -
été atâdiUh bûuTft de Siockhûlm , par ordre du gouverne pu ut suédois—
Wons somrtiti foui ours dans Fattcilte de» titinvellei officielLei de Bonaparte. Ce n'est qu'en combinant ce qui nous -»rive de» dînèrent«* g»clte· de l'tuJt* et <fe l'Alle- niaffne, que nou* avons de forte» raison» de traire qu'il t opéré jon débarquement à Alexandrie. Mais jusqu’à l’arrivé; d’uu couTJer i certain» nouvel listei officieux contiuiierom i lenae« des bruit* *u»i ibrurdss que dée^ilTtnx.
— Le cii- Arnaud, président du nitmnat crimiriel de la Seine, vient d'ene nommé s rcrcuirc-général de ta police; et le cît. Scip-ion Rcxon, merahre dittiùguc des tribunaux de Pari», c»i nommé président du tribunal cri mi ci et.
— Le «it, Dtsrôr<he*, ex-mi ni tire plcnipatentiaîrcprés k Forte ottomane, retouroe à Constintinopte ed quattie <Tambassadeur de la ftépublicpe Française·
-— Le <it- Perrorhel, secrétaire de légation il Maifrii, eit nonj-mé ministre plénipotentiaire de la République Féançaiit piéi k République Helvétique ; on ne dit pas encore qui remplacera Perrothel à Madrid- ' ■ ' ■

Le cît- Gaudin , 0-devant secrétait* d’ambasiide 1 Vienne, est nommé secrétaire de légation d Goosiant c0tc.

Le ch. Lattre Magalkü est nommé consul de k République Française à Rhodes, 1 la place de Moïtëdo. ' ■

L* capitaine Bindiiï, qui a amené de la Tiiftttéà Paris les i5o caisses de végétaux, vjvans, dont une partie a êmb-elli le cortège triomphal du 10 août, dispose à aller rteneiliif tÎé nouvelles richesses. On prépare', en te mofnétii, pour Je Japon et II mer du Sud , une expédition drnàt il jura le cimmandcmerit,
“ Les cit. Olivier et Bragnisré», ri atura fastes , que fc gon- vei'uetaeai avait chargé; de parcourir les dîversoj ptemmer de. l‘A|ie , pour y ncûeUbr les objets dListoirç uatilrrinf qu'elles offrent, seront iiicetsxmmént de, retour en Filtre avec une abondant« récolte de cet dbjcis. Le teii'éffé'a^î'fiit le plu» grand éloge de ce» deux suvaus. ' ,
" ' ■ ■ '■. · - » i s · t h ' **.
*■ « I ■. «.è J ■ . ■ i II............................ ,u„fa i ■ „ i mil fl ■ * M
L O T E a I g "it: 'A T I 0 K À L É, '
TifftÇt du ib frtciidor. ■ ■
*■ ■ ■ i i J ':
-Lee numerût sortis sont : 83,4« , Êa , jg ,·. 5 j .
, Lt »QiM-L*kQi>HE f RJdkttinr
Go glc
N·, j«.
MERCURE FRAN
Dècadi So HtcïiDO», l’an sixième de la Répuëïiïfêel
HISTOIRE.
' i + Il ■
¥f-£* fjütrti * ¿tiitral iiei armées de la KiptMique
- ''FrjnçàHe·, par A.'· HilifisiBLiN ; hiivit:Ht sa Qerres-
■' pendsnce publique- et privée 'nt'ic le gouver-réétiicit,
1er tninistrtf, 1« jtflrraKx , etc- , ¿fans ses'· tlivers'com-
■ fnandeâuns des armées de la'Moselle et dtt Rhin V des
tètes de Cherbourg, de Brest, de C Ouest cfdt COiétin ,
rf*Fr/ifirfi et ii Satnbrt et Meuse. Secotide édition ,
■ corrigée et augmentée de trois j.lpttthei gravées en failie-
■ douce, représentant le diblwsis de Dunterque, ï’af-
1 faire de Quî&eron , et le théâtre de Ja guerre sue
’ le Rhin, Dittit wlinir de rooo pages, finprt*
mes sur carré fin, avec U portrait de L. Hochü, Prix,
r o franès brochés, cl i J frjfranc de pt>ri par la poste;
tn papier vélin, n francs, À Paris, cArt F. éJi/tsïtW,
twttxnmitjr-ijàrujri, rue HautefeuHic, n’, îo. -
XliA itiOüiTchie ne serait pas un mal, s'il n'était pad
de icui essence d'anéantir ou d'étouffer toutes' les
- vertus dans le caur des hommes; le gouvernèrent
républicain ne serait pas If seul convenable ^des
. êtres littfès et généreux, si par sa nature il ne teridail
pas'inc examinent à raviver , pour ainsi dire ,
dim les asiie* ces setuimeni de liberté cr de généroôté
qu'il ÿ fait naître « à donner aux fatuités de

Tome XXXVI, X
Drjnal Ram
NEW TURK PUBLIÉ LIBRAR?
: ( I ,
j l'homtne un développement et use énergie iaconnne dans ici autres gouverne me nr, inceTupaiible même avec leur cjsence. L'hisitrire de la révolution frau- présente une foule de Lits qui toui démontrent cette vérité importante; et h vie du général Hoche , particulièrement, en offre quelques-uns qui ne sont pas Ici mpim érlatanj. Hoche fut fait général en chef à «4 a&i « tt kû ¿rut avant 3o ans ; Ici cinq année* de sa carrière militant ont été marquée« par d«a aciious qui éterniseront «a mémoire. La reprise de« lignes de Weùsembourg, la pacification de U Vendée , si Ion g-tenu itondée du sang français, Ici victoires de Qui béton, dé Ntuwied, etc, seront immorte H et comme U République qu'elles ont affermi £ tar de« biset inébranlable·. Cependant il faut le dire à cet homme« dont le jugement dépravé par le« préjugés de la monarchie, teenble méconnaître les vcitus que n'environne point Tic ht factice d'un vain nom , ou celui d’une rie h este trop souvent mal acquise , le perc du général était garde du chenil de
Louis XV, il était pauvre* *t. ce fut une marchande de légume· à Versailles, tante du général Hoche t qui prit soin de« premier«« année· de cec enfant, dont les talent et Ica vertus devaient tin jour comribuer *i puissamment A la gloire ft au bonheur de Sa patrie. Au reste, le plus grand nombre des hrav«« qui, tfltûme Moche* ont conduit à b victoire nm juyiu- cibles armée», ont »u, cçtntne lui, foçcet la Renom- méa i publier avec, d°* upn»s auparavant
ç h leurs et ignorés. Sans doufe il viendra up le pu , et ce ttni) n'eit pas éloigné , où eu faif,* qui , cç dépit de do< «bsurde» ÎQitifulions tprpchinqfn d qn<?
A
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Odqlnfll fratr· J
NÉW YDF.K PUB UC LIBRAftY
Co gk
( 1
manière fi solemndh l'égili é que ta flityte ? uüuIiI
mettre fti'rç $ç» CVlÇpi , ne stfün( pimpant DCHiS
I chjci d'en ¿tintïemf nt itapJdcu S&nj-dbate non»
»Lirons un jour qua quetk quü soit U tupti-ï aril é-dtj
uJtBS et Je moyen· avec laquelle certains iqdïvHhi»
aâiahUpt.naître, 1er irrtemtancet font ptm-ffFe th·
tort plus pour çus qtic Ja natur? ménjelj et-doits
rppiendrnns à pièparor p&üî li j à mis es d repu^lU
üiinedej ùicvu*tuicei propre si dév« Jqppar en
«Utr 1.4 qualité» «t ie* Tittfli déci yiite» an in-riar'cn
dt.» HlteHd rt fit sou dimuheu», - : . j> r .
.La vie iLu général Hoche off.e en««; gétrre/db
Çjürtidu JcçQDi et de gftinjdi etemple»!e«<le pa-i
. uipte eteitnafeie qui s^si* appliqué h itoai rbiracéf
ïtcc chaleur etaveo étùdtgie |a vi4«t Jn JîLÎok ^î
jeune hérctft que ixrtua »70ms petdj, qiii i'tit’UCt upé
IV«} be^ucou^ tie ddpii n«i i rasitrtibiie«
ki inoautP^nl »u^an^q««- 4? cette* yltii ^Itîn«
et il glorieu|e , a dcidtodù 4 i< ncairtiakuiMc+r
1 uuilteukiueut de iti'<ciKit0y*Qi< tni» jfar
■ ami· dt b liberté· dami ibmlciptyiv Ski
kpei qui compwau tcnisuige quehibui anacirç-ônif
“ le premier «si cftupçit; nwraücui dçt aciivm
i di IkKliCÿC’citrbitiaiH.auiviokk.Eatjefliiicaïc, ¿esci
' tÀtmpke» et' la^via^hJUtCDttd qaoüetrt^aiJ wla<
torrtipDiidaiiu ¿fi- Hcthe hriri Ici générante f f olE.
tien qui Dpi été toUiioa avec lui^10* dépêche«
¿ntl Biieititti et au gopvDçnnzneitt ^»ea urdrea
proclamation!, cio; C?crî, pawRinii dite, 1 »recueil
dei piacci. iuitificaii^u qui victsuni à l’appui de»
X 0
Go< igle NFW rDRK PUR. 17 I Fl R W··
f 5*4 J
vrage , i Wtinu toute fit-odue des devoir) d'un
hi^o.icn et d'un bio^raptic qui n'aspire pai'Srukment
i t.itiif ire me v*infl cujrioijté, mais qui dccire
jrd miment (Titre utile aux homme» eu leur qÎ-
/
frattt de giands exemple», et de contribuer à kl
enflammer d'i ne noble et généreuse ardeur pour U
liberté à laquvlk h nature Ici a appelai, et oui
hq uelle il ne »aurait y avoir de véritable bonheur I
todd> i* J e me suis transporté aux armées que Hoche
■s * commandée» t dît41 ij ai voulu reconnaît remetil
rnimf les vestiges de i'alhiction publique , rt
» cueillir le» larmes de se· ciniarjdes, voir le champ
»* de ici triomphe», et VÛÛer le» hameaux un ml·
m meut effrayé» de te» vicioife», dît» lesquels il i ■
ti Jaiik le bonheur. J’ai isitetiagé par tour cur.CUn
lenscqt ; j'ai cherché le ctrsutcre. de l hocnwi i i
r> j'ai cru que rien »'était minutieux, de ce qui p»l·
u Vlit »ervir i Jej ilémêkr. J'aL pensé que les hjtri-
** cqdw domeiiiqueitt Jciparoit», ki gestes ;
w qdclqucfnit imp perçu*; per k vulgaire t étaient
■s souvent la lumière deThiiïoire, c< son fil cca- .
V ducteurv j'eî fait, dan» k mémoire de ceux (p* |
r> oat approché Hoche de plulpri* ,VinTcstigïtioti
it de* iOavenir* qu'il· a hiwc* dan*, humiact* je
»i me h» mi», pour aimi dire s'à la poursuite: de »»
h vie, et j'eu >i »uiti h trace Jusque* dan» le cam '
n», de «es cane mit, n C’ctt ainsi .que Je .pijilqiopbe
de Chéronée avait oohçd /qu'il faElait écrie J o*·
SOirc de» grand» homme*$ .et Ttn. trouve dans lou* |
vrage du cit,Üou*5ebHungriH»d nombrcdecei |raih
naïfs r de ce» anecdcrte*à-la»d·*» piquantes et iqitnii·
livci qui nouj chaimeutdtmsikt vies de Fltimrq»* :
Dli
i
. ( 515 )
Mais nous devons à la vérité d'observer que le style de l'écrivain f snçj» tlt .trop louvent celui du pâti tgy Tique : ce léger défaut, car tiens cioyoni que c’en est un, peut ênc excusé par l'enthousiasme qulinsprc le sujet, mais peut-êtfie fauteur aunîtril dû se Tippell r que les grandes choses sont celles qui peidctit le moi ni à tire racontées avec simplicité. Comme les faits militaires de Hoche sont par' faite ruent connus de tous Ica Républicains pas l'in- fiüL’tice qu'ils eut eu Sur les destjnéui de la patrie, nous ne donneront pas ici Pans lyse de ta vie faite pour être lue toute entière avec le plut vif intérêt ;
' nous nous b orner ont uniquement à citer quelques- I unes de cci anecdotes moins connues qui caract.é· : rirent le héros intrépide, l'homme généreux et sen-
rible , l’être véritablement supérieur. A Fre'schcwil* 1er, l'artillerie de« ennemis tonnait sur son aimée ; il volait devant les batallous républicains, et dans U* accès de cette gaîté que les guerrieiS français conservent au milieu des plu*· grands diriger* , il s’écria I À six tenu livret pitet, les canons , mrr cohij· tads# J Cette saillie , ta faisant sur 1-ciprit des soldats l’irti prêtai on la plu» joyeuse <■ produisit tout : l'effet que lé gênerai en ktreudaie. ! cria-t-on
de plusieurs endroits, de'li ligue (elle s'avança if au redoutable pas de charge); *c vingt-deux pinces de canon Turent prise» am Autrichien», it Le mot qu il ** dit à 1 a bataille de Wen , ïuae des plus meur- » trieses dont les annales de la guérit fassent menti lion i n’est pM un trait moins remarqua de de son » sang-ftoid : un boulet vient coupe; ta dcit; u u »1 arbre »oui laque! Ho die étrit àxhçiffvjl ; lec br.in* X 3
1
Go< gk
Cnqlnnl tram
NÉW YORK PUBLIC LIBRAFÜ
( 3,6} , ■>
il cheS tombent fur lai; k ppubdc leur chôtc faillit il Vécra sçJt, J tranquillement il, débarras te Î et , ti sans j’êiïïouvpir, çor^duue.a donner des çribes t il u n'était pai, encore démêlé «le ,cetembarras, qu'un jr nûüvàju boujet .vient Ivi. tuer son ttheval entro r trtjapiUeli.il demande., e» ,J-q cheval d’utt » dragon., qui Ijtcçonipa^ii^jt· ; €ct ^euiittr* «ra^ n drtjienl, xlit-il , . Jiir/t/ iM.rtf Îiafanletie, r»
— ü S'il était impétueux ettciublc diani leieu de ;? ractiofi , il ti’éi.iit pas rttojfliMge et prudent dans Il (il ditpcUtioEl· I.T.tr/Ifwrifl doit préparer., diiait-tl, h M fcwitf exécuter. h —f_A Ctt traits qui peignent d’une mir.it te si happante.la bravoure rn trépide « ajoutoru-ca. quelques. autres où rc aiintitnt avec autant, d'éc.lit 11 »ttbijiJiip la plus > jonchants , et
I
élévation d'une ariic véritablement généreuse· —■ << Qu.3t:e mois »'étaient écoulés sens que le» dettK n armées du Hhin ,el.d; la Mosdk euucut Fait d rf- r fort» pour attaquer. Le tint nu avait eu k Juras de m te fortifier connU éribk ruent. Le Prussien, sur La n Sarre*. l'AufricbittL, dans-une parti« des,Vo^ga« , il à Freicli&weiU.er et à Hiichnffert.. -La poiUÎnt* d(* ii Lac dm. devenait chique j^ur plut inquiétante, il C cstdiBt ce.tnüjnent d/aUinu que L-inche arrive it à,l'armée de 1· Mngell£..».JJ» jeune miburrequ« ii sa pic mi ère vue avait, tremporté denthotuiaune« if inséta la note suivante dans un journal qxii.s'ûu-
II
primait 4 l’armée .: penragt , confiante ,
il de lu patrie i nota ullotc tartir de aelrt engourdir it* 11 rrifJtL ffatre nouveau général m'a paru jeune uottunt ta n rénciulictt , rctèuite corame le peuple ; Ü sa par <a «m i! miope 1 comme ceiui qu'H vient remplacer ; lOroee^ard
Choral lïi>m
NEW ÏGRK PUBL IC LiBRARï
1
Go< glc
( J’7 )
n tse fier tf étendu tomme celui tftin stfft î clpdrisa, mtr
i, où; il fttrm cvn^urrd rwnnu des français doivent
>r Féir*. Hoche vit l'aÿticife i il d t manda loueur.
»> C'ctait le Je un e Gügny, adjoint A îou dtahinaj-or.
>? II l'ccUve avec vivacité dans tet brraij, et le actre
tt de toute K f&î« t efl de it* larmes I
u FÎW, qen oflii, lui dit-il, toi gui as lu ¿fini auraur
;> & ru/^nÿ pour la hberti et h» gloire de sa patrie : je l'cnJ*
ji brasse parte que tit m'eu déviai ; iu vnr<w çj*c lu ne
it t'es pas trompé. Jfyts causerons seuvtui ensemble * lu
« me ferai cpnninJre ceux wnl «nentô du u'iw /<·-
ir lîwpl <?uc nçue» ffu* qut, meittj ardens dont fart
m politiques i ont des talent militaire et de la
w. ¿rÿtwffr« ; mw u hlùrrtiHj tour, eioû jvtww des ditpuu
HitaitiSt h
Hoche veÿait de gagner la bataille de Wçrt , de
Reprendre les ligne» de Wcisscm bourg ; il avait délivré
Landau ; eu un nret, on devait à sa bravoure
et à son génie des succès et de» triomphes presque
continue h , et «or leiqucls peu de te tu» auparavant
<ra n’atH-ait oté compter. C’est alors que Fc n vie se
déchaîna contre lui; alors il ><t vit en butte à c.ct
petlécutions sourde» p^r lesquelles la médiocrité
humiliée cherche à se venger de 1 éclat qui litnpartune
, et n'y réussit que trop souvent, à b boute de
¡'humanité. h Cependant une noble déHanec de )utsi
mérnt le portait àtc chercher plutôt des toru réels
si qu'à ci pire à h prolcude perversité qie ses enn;-
ii mis. Du ipi-f , il p^end à part l'j rlj :i r3.it ni général
i< Chcuseloup,.,. ji ndr jiMnr, lui dit-il ; ^r»r ift qi-cl-
«> quas années que <« or /dm que mot, je le rc-jure dr
si ntt prouver que lu et un Acnrçjc komme eu ·
ni'ÇÙIMl IÏÏH1Ï
CRK PUBLIC LIHRARY
( StS )
ii sont des fautes ji pourrais comu titre, if me di n font toujours franthtttienl la viriti. n Mais tandis qui no« inrhictbles artnêes portaient au-dehors Ji gloire du nom français* des monstres féiücca f*m· friaient prendre à tache d'en ternir l’éclat au -dedans par ici trimes «an* nombre et !»dî utilité dont' ils se 10uillaient chaque jour; La loyauté de Hoche,- son dévouement si entier, si absolu, à la patrie et à la cause de là liberté, ne firent qu'irriter les bourreaux
L de la* France, et il* résolurent d’ajouter cette illilslre victime à toutes celles qu’ili avaient déjà iluinolées;
Mai* soit que la lâcheté qui s'allié iï ordinairement avec la cruauté leur fît craindre le re*sentinitrtt d'une armée dont Hoche «tait adoré, toit qn'un reste de· houle leur fît éviter l’éclat d’une si révollinle iniquité , ils affectèrent de donner à sa proscription l'air d'un triomphe- Le comité de salut public le nomma général en chef d« l'armée d'Italie· Après quelques jour* d’une marche forcée il arrive à Nice. Aussi-loi l’agent chargé de ¡'exécution du mandat d'arrêt'te présente à lui. et lui expose sa mission fliraf, lui dit froidement Hoche , f ignorais que twtü Jùjjtei uîï gendarme, fallait me toucher, fai besoin dt repos * et ma conscience me permet de dormir. Je ne /uiii . -pdisr jujprx aeant demain mtidn. On ht peur guerës douter du soït qui lui était réservé* sans l’heureux événement du 9 tliermîcor, lorsqu’on lit que Je féroce Snint-Juit était ion ennéihi personnel.
Nooï en avons dit assez pour mettre les leçteurs à poitcé a^ppreder l’intérêt et le mérite de Fou. ;src eue nous ’nconçons; ajontoui cependant que , rltd vchinic , qui coirpi'ëtid la corieipondsncc
1
? .
; ■ CiO
" Urinai Iran·
NEW fOSK PüHlI L LlfiRftRÏ
(3!5)
du général Hoche , nouj a paru digne dVtre lu et
médité, avec autant de plaisir que d'utilité, par tout
les vrais Républicains ; que c'est-là qu'on voit ce
héros , dont la perte est encore <i vivement sentie
par les amis de la liberté, te peindre lui même, et
»n» y penser, sous les aspects les pins variés, toujours
gïand, toujours généreux, toujours admirable
sous quelque point de vue qu'on le considere,
comme guerrier., comme administrateur, comme citoyen
, connue ami. On y voit St* talent et ion génie
s'étendre, se développât, se mettre enña an niveau
des circonstances plus oir ruoini alarmantes, mais
toujours difücilea,oà 11 se trouve placé. Tontes scs
lettres de l'an II portent une empreinte de mélancolie
sombre qui caractérise Fèpoque où elles Furent
écrites, et le gouverne ment soupçonneux , tyranbique
et cruel avec lequel il était obligé de correspondre.
ri J# viens de recevoir le nouvel arrêté
n du comité de salut public , écrivaitdl au ministre
h de la guerre, et vais travailler à le.mettre à exéri
tut je n.,..,, Avec la meilleure vpl Orné, nos brave*
n frères avaient besoin de repos. Te le dirai-je crt*
,t &n ? Je les conduisais à Trêves ; c'était avec les
n larmes aux yeux et le plus profond chagrin dan»
r> Le coeuï : cependant je n'ai jamais douté du succès
»» de VcntTeprjse ; mais qu'il nous eut cooiè il
if je faisais une faute , j en mourrais de douleur;
11 msn Dieu T elle sentit involontaire s enfin t ejlé
s* serait Faite , et la puniiion devrait la suivre, itou -
*» c bot te, viens à mon secours-, je brûle pour ruoa
»i paye-· mais cette qualité n'en est point une danl
u. r, î-éneul· républicain, — Je ne me mêle poioc
L1Í LTBRAR.Ï
· ( 33° 1 . i * vcilo-HtaÎremeeit de< par tiMadministrativés ; niais je F
a Mi« iOurcnt Oblige ¿entrer dans dej drfiils »
*· beaucoup de perso une# ronnét'ront leur rtsjumsabih
iitj note U AépuMifUf. » —■ si On a p» m'açcqieT
v a «pi «de toi ( dit-il à Boiiboiu d»t«i une au>re
» lettre}, nuit certes cent qui mont vu et me ton*·
n nuuenj, certifieront que je ne par*« point dan·
M ava thtmbrt ça dm» Ici villes vn le ms que je
ii -doi« à U. République.Si le ie.mj le permet, je
n prouTcrai, ayant quitn décade#, au tuai té, et à
rr Loi, que je sais obéir ci que si la peite de ma
vie pouvait rendre J# pairie libre et heureuse >
u js rTc-n chargerai» px* d'autres mains» »> A* peu*·
près dent le mime tenu, ii écrivait au cit. Dulac r
* ..u Abreuvé de degoi·», noyé d^ns la douleur la.
»· plu* amer« , tourmenté chaque jour d’une mi*
m niere nouvelle V”· te n'ept plus, Du lac, l'iiomro«
h que tu ai connu qui t écrit ; c'est un nxaihemcLE*
cr qui ne peut manger, boire, ni reposer nu île p#it«>
>» Rien. ne peut changer ute mélancolie quiæe Coati
Aident ami de 11 révolution , j*#i Cri#
si qu'elle changerait Le* mtruis. llébs J l'intrigue et/
t* toujours l'intriguei et malheur ¿celui qui n'a pa#
·♦ de protecteurs» Tiré cet rmg$ par je ne eJ* qui
r> et pourquoi, j'y rentrerai cumin e j'en #ui* sorti k
« jjds plaisir, ni peine, rue coatcntuiA de luire de#
ti vteux pour la prospérité de# arme» de h pairie. **
Mais exaitnaons-lc *ur ua théâtre nou moiov glorieux,
et on du moins il lui sera permis de se 11*
vrer à ce# sentimeos de générosité cl d humanité
qui lui étaient si naturel*. A peine esiiLarrivé dans
Iil Vendée, que sc» prodamüüoûs uuonecut xu>
Dr>3ul Itom
Nf.V /COEïC PUBLIC L1BRARY
/
mai heure tii liabttans de ees centrées que letit Sort
est changé, et que le regne de la justice« de Ehu*
1 matiité et de l'indulgence va succéder, pour eux , an
plus épouvantable brigartdïg". «< J ussute , ciisau-il,
w à ceux qui iewnt tranquilles dans Jîuts foyers ,
n et miintictldtotit le repos public et général, paît«
Si union , sûreté , p notent on , libe: té, et garantit de
», leurs, propriétés. Nous y mettrons toute la bonne
n foi possible, El moi suirîtj'«i été malheureux t
n je ne puis ni ne trot tromper ceux qui le »ont.
n Puissé-jc, ab contrairctv«uer dans leur sein toutes
h les consolation» qu’exige leur état« >* II disait ,
peu de lettis fprês , dans un ordre à l’armée : u A
u la voix de la patiie, l’homme libre s'arme et court
h défendre ses foyer», uni chercher à imiter F«·
s: cluve de la tyrannie qu’un vil ktiéiêt ou le crainte
n du chatînstnt fout mouvoir..... Le Républicain
« qui ne cccnaît pas de maître, le Républicain qui
ii chérit tes devoirs , don; lï diiûplme »évete <oûts
si s te dans Fardent amour de son psy», les observe
« dans tous les lîeQff, et défend les citoyen· de 1 £*
„ fat qui ta vu naître; il protège iet lubies contre
ft 1 oppression des forts « fait respecter rigidement
>i les propriétés, rotiicle ies ma heurent et les aime
<i tous.«·«· L ne armée indisciplinée, dit-il ensuite.,
” e»t le plus grand lléau d’us piys quelle occupe
n et qu'elle doit défendre. En conséquence , je rends
w les chefs responsable» des fautes de leurs subr?r*·
donné».·.. Je leur recommande de poursuivre ,
” ijnj relâche, le brigand dévastateur ; tnnis-eïi
n même renti de voir un Fr-nçai», un frété , dur»
n' Fhommç égare . séduit ou entraîné par l'eijçut ou
Go glc
J .J33**. ■
ièî la cminte des cbâtimcm, »'il en repentant, sî ion M intention est de vivre en bon etpaiiible citoyen, U Li justice le présent, et la Convention natio- tj nale l'ordonne. >■ .
Cet article , déjà assezlong, te prolongerait besu* coup au-delà des borne? que nom devons nom prescrire , si nous eni itprenioni de citer ton» les traite de jemibiliié, de grandeur d'ame, et de gé* né ros i ié- que cette corivspondïDce ctire près qu’à chaque page. Nous Enicom par une observation qui tt présente naturellement 1 «eux qui ont Lu l’ouvrage que nous annonçons, ou qui ont tu occasion de connaître les héros auxquels la nation française doit sa gloire et «a liberté , Je· Jourdan, Jet Moreau, les Détail, lesKIeber, et tant d autres dont les noms vivront à jamais dans la mémoire deu Républicains, c'est qu'avec les litres les plus légitimes à la gloire, tous ont donné l’exemple du p us noble désinté- ■esscmept pour eux-mêmes > et de h plus sincère admira Lion pour les talent et les succès de leurs rivaux- On ne saurait lire sans attend rit te ment les témoignages de l'affection de Hoche, pour te vainqueur de fleurui , la lettie remplie d uo gj-.ërenx «Dthousiasmc qu’il écrivit au conque um de 1’1 taire , après la célébré victoire de Mi lies lino. L'amour de la patrie et de la liberté est un culte dans lequel les atnes de tout ces braves sc sont ijàuBÏcfi^; "chacun d'eux * pu se dire, en a] prenant Ici succès de ton collègue; Voilà ce que j aurais voulu faire à sa place, Ct je suis sûr qu'il c'avait pas un coeur plu« ardent, plus dévoué que le mien à b jjioiie et au benbeur du peuple français. Voilà Ici hoærats que tous les
Go< 'gte
□ranci rr-im
NEW YORK PUBLIC L1BRAR
noàt devons iGits cire bien convaincus de cette vérité
, qu'il n'y a q ¡'être fart qui puisse se dire
liSie et indépendant, et naui prenons ici le mot de
farct dans toute l'é.endue de son acception physique
, mocslc et intellectuelle. Puissent les représentant
de h giaude nation te bien* pénétrer de
cette important vérité , et la faire servir de basa
ïuk institutions républicainés dont il serait si eitend
trçl qu'ils »'occupassent et félicitons Je respectable
■ Jourdan de lavoir développée d'une maniéré Îrap-
Ciaq cents iut l'organisation militait« de la Hépü'
blique !
! HISTOUK NATURELLE
Djscenjtf d'ouverture et de clôture du Cours fHietwt
fit. LAcÈPiDt., de l'Imtitut natimal de France. In-4C,
■ de 5; fafte. A Parie , chti PLÂSSttN. L'an PI.
f r z ; ' ■'·.·’
XJHAici de remplacer le cit. Geoffroy, qui est
de i'eipédition de Bonaparte , le CIL Lacépèdç a
lait cette annéiu au Muséum ¿‘histoire naturelle, le
Ccmcs-cûüer des animaux vertébrés et i Nng ronge.
. il a dourc occopé ses auditeurs, de l'homme, des
qaadsitpedés*viripares , des cétacé*», des oiseaux,
des qwadnipetiet^ovipares, des serpenâ et des poisi
sont. Déja^pc digne émule de Buffaima publié d’éJé-
, put» histoires des céttcé«#*, de* q^drupedes-ovil
Go· >gle
15M)
pares, dcs.icrpen*^ et k premier volume de cctlt
Uei poijjcmit Plus htrurtut qua U ptUipatt des étri'
vains dont la mort ou des csuîîs p^titiiU^s ont1
interrompu Ici nuvfagci t Billion est continué avec
U même ëléganu de styie, e( ntébite, ajc_- plus dt ’
mithode. G en peut-être b jeuk fMfe qui et départ
pcinc ¡ ouvrage qu'ell?. accompagne. . ■ . ■
Le professeur Larépéde publie ¡rryoïud’hui 1«; I
Discourt qui qui ouvert et terminé, h vast-ç cankll
de ten enseignement. Ces deux m^rceatsx sont ¿¿St
krnqnt intdressa ni , et p?r kl gPRiji tahkai/is qu'rlf
renferment «, et par R bitlknt Gqforifidu pin (tenir
Le pirtpier cependant est Celui mm a^r^tl·
torii le plus de traitsT parce qu’il y est traite do'
rhorame , et que cette matière y est présentée de
manielt *â irtfffPWSF 15fflFTV naturaliste,
mais encore 1 i^éel^ûrz ^adis méiqp),|—^Au
centre de cet immense ensemble , au milieu des
lirai organiser , vivant rt terisibks^ ett
ect idajrabie ouvra go do l'i-puïWsne» ceéairüc.
Quel pins grand int'trfi qua-celüL· de rtfbétrrtt?
Quelles p4y»^Mtrd»> difficulté! qué ccüèsxk le connaître?
Quel objet est plus près de nous ? Mous k
yûyDni i nous le touçhotlai nt^a çp JWO»« U «W
vont intime j il 01? nvqs; et itf anniiMJrttojMtStna
fÿ dérobe i nçti« «prit 1 clk.’é(bappc,à nprops?
itttdligClHÇ- Ab } ç\st pléciÿCQKU^Ctftf »lidcjjtiti
qtji b |ouitnit>l'iutui»ibbf N(>u$ ne, witHOfti qM
paç la diversité de* importa ; fit, kl
valeur et Iç $ujet de l'examen, tous «.^onccubJe ai
rieti bc diffère. CfarjclwM dçmifffit» /de lui, è«J*
d» uopj, h lu mi et« qui notai «Unqu&i qu'il toi|
□■^«IbfGOt’gle Ortglw. iyr
NtWrORK PUBLIC Lltl
(«SJ s?ni cesse l’objet remarquable auquel nom tappor- Ucoîjs (qui ceux qui frappèrent no» regarde ; <t Cv- pendant 5 pour que nos comptraitons sa ¡eut plut uiiict* réumsson* dès te moment les grandi rêtul* tat» qu'ont fait naît« de» iapprûchertieHt lcinbkble% ou analogue« à çeux que nom noua prèscriront.
Les professeur* d'anatomie proprement dite, font connaître dut ieuri cour* la structure extérieure- dé l’homme et les leiiûjl* intérieurs qui donneM à l'homme la vie et le icrniment. Le ciu Lacépédt ac fait connaître qt» Ici produits de en ressorts, que l’homme de la nature , que 1 espece enfini « ùün le* individus Le Castor nflaj montre que l'iiûmioc sauvage n'aurait pas vécu Un lé. -“-Plaçons, le iÙT une terre tenipèiéc. £a tête hérissée de cheveux durs et pressé* , ior» front voilé par une sorte de crinière touffue , *c> yeux cachés sous des Sohr- cils ¿puis , «a bouche recouverte d*utie barbe Crèt- longue, qui rt tombe CM détordre mr «ne poitriht velue tout aou corp* garni de poils, tes onglet al|(>Qg«l et crochus ( telle est l'isiige qu’il présente, La T©aj<’Sté de » face nugqn«, le» traits de Finte!» ligenco, l< üisrquu d'une 4»ence supérieure , 1« sceau du génie, tout est, pour ainsi dire, encore caché sous l’enveloppe d utte bête fêtocr. L’entierE liberté de, *t’4 mauvemtm, le besoin d’attaquer Ou celui de ·« déi'cadic , donnent à set mut ciel un* grande vigueur, cl à tous ses membtei une grande toup^esse. Il montre une farce, vnc agilité et une adresse bien tupôrrtüics à telles de l'homme per- iccticmié* Mais que sont no* adveast et ion agiiiti à coté de celles du singei? Ët qu’est is force nte-
Qrÿfhil fhHn
K€lM ÏCRK PUBLIC LlfiRARY
Go< gte
(336) -J
jurée htîc celte-du cheval, du taureau, du rliinoj <éro> et· de l'éléphant? ■ t
' Voilà rhornme seul , ce portrait supposé ,- ctfl état hypothétique, qui est subordonné à la création» et qui C5t pardi du ressort de ¡'¡magiuatia^ et de la poésie plutôt que du naturaliste, pour qui la maticEc prend tous les jours une forme ùou- velie » sans commcncir jamais. La naiijanct de la parole est encore de la même nature ; ainsi le pro-,’ fesscur l’a-t-il chaulée. — Au milieu de cei boit, dans le fond de cei antre« sombres , J h amine rencontre sa compagne le printem«· répand autour d'eux sa chaleur vivifiante ; un sentiment irrésistible les entraîne Ton vers Vautra ; la nuit Les enveloppe de Ses Ombres ; la nature commande; l'homme nt Scia plus seul sur une tcrie sauvage. Son existence eit doublée; elle est .triple au bout de neuf ïboîs: la nouvel être auquel il akua donné le jour» aura besoin pendant long tenu ou de lait, ou de ioiur. ou de secours; tous les feux du aentiment s’allu- hscdi et s'animent par leur action mutuelle ; un lien, durable est lissu , le partage des plaisirs et des peine» est établi» H famille est formée. I>a voix , qui n’e»t plus uniquement répétée par un écho sa- jçnsible, mais à laquelle peut répondre une voit et semblable et bien chete, est matntcoaut bien des fais exercée..«; elle n’avait encore indiqué que l'ef* froij elle exprime la tendresse ; elle se radoucit, clic se diversifie » etc. eic>
J/acqimiiion du ne compagne n’est pas une conquête pour l'homme , c'est la réunion des deux parties d'un tout. Il va fai« . um· véritable cen'
qüétc.
I
G<x gle
Onqlral irjTi ,
‘■rV.'TORK PUBLIC LiBRAHT
( «ï ) .
quêté.'— Cependant, au luiüeu de téi
des eaux # et dent les grottes naturelles «ont encore
l'habitation de Peape^e humaine, ttft animal doué
d'an adorât exquis, d’une ïHC perçante , d'un instinct
supérieur > d'un naturel aimant, Courageux
pour les objets qui lui sont cheu, timide pour ici
propres besoins, avide d’un secours étranger, rétlamant
sam cetse un appui, *c livrant iaùt réserve,
modifiant scs habitudes par affection, docile par sen*
riment, supportant même l'ingratitude, oubliant
tout, excepté 1« bienfaits, et Bdçle jusqu’au trépas,
s'attache à l'homme, K dévoue à le iervir, lui aban,
doute véritablement tout son être; et par cette alliance
volontaire et durable, lui donne le sceptre du
monde. Jusqu'à ce moment, l'homme n'avait pu
que repousser, poursuivre, mçtcie à mort les fcni^
maux : maintenant il va les régir. Aidé dit chien,
son nouveau, son infatigable compagnon, il réunit
autour de lui la chcTrc,' la brebis, la vache ; II. forme
dei troupeaux, il acquiert dam le . lait un aliment
salubre et abondant; la houlette remplacé la bâche
et la massue; il devient puteur.
La cotsquètE du cheval et du chameau termine la
carrière du nouveau conquérant. Mais Les arts lui
procurent des biens nouveaux et des jcuîuancca
nouvelles- Il a découvert d'abord Ici arts qui satis*
font aux premiers beipins. Les métiers sont veau»
Original îîîit
NFW ΪΠΡ.Κ PUR UC LIBRAHY
(i38 )
une pafiotti .4« la. tnusiqut. Si on l'ignorait, ce brilla
nt.para graphe le ferait presten tir.
— Dominateur absolu du çhicu dévoué et du
coursier courageux, maître de nombreux troupeaux.
Créateur «n quelque sorte de végétaux utile·, propriétaire
de U terre qu'il féconde, dispensateur de·
fotets terribles du feu, sentant chaque jour son iu·
lelligcnce s'animer, son sentiment se vivifier, son
empire s étendre, fier de son pouvoir, se complaisant
dans ses ouvrages, enivré de aes jouissances,
rempli de ion bonheur, élevant vers le ciel son
front majestueux , agitant avec vivacité aes membres
vigoureux, cédant à la joie , à l'espérance, au transport
qui l'entraîne, l’homme maintenant manifeste,
datas toute leur plénitude, de* mauve mens intérieurs
qu'il ne .peut plus contenir. II exhale, pour ainsi
dire, le pJaisir oui l'enchante. Il s'élance , bandit,
retombe, s’élance encore,retombe de nouveau, pour
apparent ses pas, de h simmetrìe dans ses gestes -, et
:i-' ■ i v11 ï ’A; . ■
fils., la premiere, da rue régulière a lieu sur la terre.
artifaies ne mrhient pins a la situation qui inspire
L'honppex ici filqet. sa compagne,; la voix est plus
1
Go> gle NÉWÏÔRK PUBUC LIBRARY
f 1)■
>aml« « tpn» ¿»eterni* *3°* r»fce»(«ÌKHWn» d*«rt» pai panini lymiDÌViqu?», cotn·« Jb dante à Uq»LL· ile l'^nutcnt j tt j? ptemien cheli *« ¿ntcndu, et U puri« pa^t avpc le icha·* . ■ * ■ ■'■ -
Cd.ui ijip ^qg^rdef : Jtu ^tli ob sere et t
qroit. qu'il ify a que>dcuF me· dìtewt«, jéeo et l'Af*iiip ìOh ;1f Il alati et», pui d*
wruraMtM Q.iMirt ridet j panxrpaie*
accugcnl.la mefite du gUbc< La prtuócrtot celle de» j%pbet, de« Abyjùat » da» Alatmi4.d«4 Per* UBI'¿Jtf ht^iitaai/Hpji^ihet de L· *
l'indo r de*. Cuf «Mieti», dét Giccrtde*
Germaihi.dei Frap^H tifi p/etqu· ^•uadteJEu»;
l'Mpcre tornirà a», Jet viiage eli ovale« le net cit procioina ut ; . raogìe. hc unni incidi, .Kopiwftruf· , .<* ùidifyttrtt ij» mille idu «ine tela àrem«i i à celle deptuieCoireif» partjt itmcmccr la tup^rìcarùi de. l'ìa tei h gè me t tur- U» appfttrt’ de. qkau«-vxofidr* de-
grét,^* m rappWihrcJo pj* de fduiqaele frate« piti »biblici »culpteui* de l auitqvii*« > •'in* de- xqu donilo » h ptratte ,.!fe perifc<lìire*,
t&eai * la beaui£ ctìwt.iL* i<xonde rà ce •Hten*- det Mongola t de* lfawtch4oifci T dc^K.ddinmte ou B^guttyu de*. -d4*i Japdnii»,. d<e pÀjJitrur·1
peuplet de Linde qui vivrai au^deli du G»ùge. Leti c^Tictf rfidc ctPf ^cc <4HirftraC dinnxi-fcotrr pltt, 4» pbcÉi pteiì<ue^<iU,L «u ntx petti ,-dej
tJidanK», de, grotte · Jevt«, » angle fa citi ‘ rooin» ouvert qw fitàii dee fivopétne< C4 "pi? coll équtn t ¿l*igp£ 4 & odu* q ut-Ai. po4 tf4 u 4“ i ‘
. ■ z
Go· gle
(wiatinn de· Grec« » «pppciè dans leotî dMrô'éi.
Les htnm*e» de la troirîemc race habitent «ur les
côte· occidentale« , méridionale» et »ri en laie· de
^Afrique , depuis le Sénégal jusqu'à la Mcr-Ro ugé.
On le« reconnaît à leur frentplat, i leur Me· ép^té,
à ie«n jooci pr*4rnicetfi«r, à leuti ntâcheires îaflbmct*
dieai angle facial encore plus petit que celtH
de» Mongeü, Enfin on toit, dan le nord det dem
ccmûneoi , ci U naioto^ comprimée pour armi dira
par i'clair du froid* ett en quelque sorte tapeliisé»
dlM Coûte« te· dimetuions * le· Lapons, [tu Sa*
■toiedut* lec Onijqnes^ le· Tt Eu te bis, Ici teroëtf*
landiie et lesEiquuniui, dont le visage e|t trés-plat,
le corps ttxpu et h tailler extrêmement court«. Ce«
«aces, ente mêlant, ont pinduit de nombreuse»
Yiriêtê». <-.·.- , ■- - ■ ' - 1 ’ ". i
, Qmqucitïcn» irnpoilatite· s’élèvent rtlativçni eut
fi -cet quatre nces. i*. Les-Nfrjaj«, qui paraissent
qfoir peuplé 1*· rites innombrable» de la mé» du
Sud, et I* plut gra»d» d‘«htrc elles, la Neiiwtjle*
ypllmde^iQiat rit, coutvaé on i’â tfm, uàev arrêté
des Munguh, «u une «matntîoti de -la ■ ritc deé
Atabe« etdtsrMaurtrf·*. Le» testas de» Meticain»
«ÿ de» Péruvien· sont·Ils ène craquiéme ftcré,àu»pparricaitant-
ils aua balais KLe 4cm· icùl pouirt
rqectre.i même d'éoïaiiqir'-CM de«* prriuts d'haitoir«'
UatjneWc. .■' ,■ j: ■· ■ ■<' > « - ’-o -t- - - - 'Ji-J · ■■ - ·.·
Le Airtvurj de. *ü an« ptéwti« a n b k · u < rti -rcK
sçrré, m4ri ¿¿tond ■nrrappio^taUm tumica*. Tou*
, la· atÙEçnux Mcrtébtdnetà. Mng «ouf*, l'homme y
cojppr^euot pistjnit etxheaét suivant. leurs etgancr,
hwi rftfriWii fcw ^JMHStaTi , b«T· <4 twnmil ■ *»tét
□rigfaal nam
NEW YORK PUBLIC UBRARY
rieur, infuni rélémentqy'ili babjtft^pja vîtétié dq
l«ur alluie. Ici iqb.iMnc«* Qui ie* upurrineut, h
mode et le temi de J? (p*t*$ìfln* .les voyages pério*
■ di que* d«i oùcau» , dei riti ci dçi fourmi i* «tic. etc.
voyage* de» oi*eaw otri fourni à Vaut«* de* ri'
floues· &acJ et profond«». — Nom» pouvons costi«
#érer toute« les tpbnt d'animau* voyageur» cmarno
luipenduc» ao-deiiu« du gfobe, eqmme formant, au
: milieu de k’aimoiphere, d.t jitndei bandes animées,
. mue* avec force, te balançant avelie« saison» daun
U ieoi du méridien 0« rapprochant de* poie» , oq
tavançant vert V équateur avec Ta*»« de lit lamiere*
toujours plut éloignées du polo austral que de celui
du nord, parce que 1‘liémüpbere méridional fMiuus
une bien plut vailo turiate de neiges endurcie», et
dei chrfnci de nieirtuftteoMo glace» bien plut ftenduc
» que celle· de l'hémispherc arctique y pins ptt
fccitu contrariées darti leur» oiciliationi par le» tem*
plt et « le» ve un violent et kb oragn, tt obéittanÎ
i Mil cerne au (rondai Jo>» de la faim, de ksoif, de
Î1 la douleur et de la nécttsilé qui pete tm «lira,
Rdmc au plut haut dei airs.
. ·. TetmÎBAQ« et*'nomhccutet citations t qui tout un
dékateraent pour uni, par le morceau qui ur-uine
■j te Dtrcobrj A ctdturii Apsès avoir rappelé tout cebi
J depuis Ariitote , ont aggrandì le champd*
î- l'histoire naturelle; a pré* avoir pridt k bonheur qui
■[ »ctojnpagne ççim étude de tous le» âges, et de tout
J les lieu^f fauteur »'écrit t —- Non, après la vertu,
hfu ne peut vous conduire pics, rdrejuent h la Îéli-
: cité, que Famout de» >ei»qccl a*tuw(hi. J>t. yows
; qui m'écoute;, et qur, jeune» encore, fsiwx’i «ol«'
Y 1 T
angeli flirti
NrW YORK PUS! IC IIF1RARÏ
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pitti rii et e 'vii tri'1., Mollit ¿ό'γΤιβΗυγε'πβϊ
•lent*· tpEiéf +<èütf p e ti i/e P íUtrtrrtr pit tftif (fe trïr
»e* |¡ ih ! ioftcftiö vedi soter iproirtrë'ct’tti? vitiW
co ns cito H ,’tpe te bon he ti te1 st
simç.eΗ î (lettre tJlàPëÏliïüft J fotttfü&ü nà^HeiJ
df L’étli t-óe ìa^ioitc ,-^ u'dant’l’OSstíi rrìi'd'iifle ré
traite paisible vbús Jôiiîreï dut hzYnfe'itili ¿RíHl
J Ifitudtfdí fu fiature,- Ît Îcf51t VbJ¥f?éifï*
etra vö» premier» krifiÎttVMft1 pftimidh VüJ
pMHbier<>4ijdft»-,%rtitea’^ueI(piH{?ft z-’fes" pwtïsé
•OtivtiïTî |dfe' telài iqTJÌ'idSJrriié’istìrt?
aujourdltWi i Λ dt?-kxftfci’ ftti Ahflilì^s iil'ièrte Striati
4e 4T>V? eiytjt <■ pW^niéiìiW
*' Is* a íú-f-i·-jâ l 3;pj>.u{ti < . *.ΰ
μ . »-■ · !.ίη tu .i :ji ?b auiiìvl »w » iiil'p n/.d JtfV
.. '. ... '..; . iviywmfwwi|wiw.wji.j! f r.^ ¿Λ
ÿii-j·; ttfj» ií^b
! L litGÏ
AyfMbfforrf^ téjAíaeljM* ¿t/wwMpnnc?#., |«ni^^riÍ4
- £vw»tJraiiuitt <íw Tüßö jn frantodi .¿ηα^Λα^οϋί
4 Ü¿aídinaíMtíza; ,<^tr -J. & Listi !
thématlqius eux Éítltí ¿mra^dü1 ^ritiri
lAtu? 'Pfl/iínHrii «ßjbtMwi trvftjbi 1
t Ï+^recàà^dfr i^/r«fnctuà|Ç
¿fisi*ftur Iti apArtt+tWi ÁA Afp£fVb ciöOÄrtjrtrf
»J’atiM xJbir*írt1 rw d**S> ir? : τ .
,. .................... .4 ' _ ,;u >1 'VI i.i : Ì. ■ ·"; j ‘ i
jSm te ¿''¿ptbihiit' unç téve intieri) darri his-tdeiiüeV’
i»Mtutmahqaes, en ïeoôinneUJnt ITgniîfie’»* ¿V
il -aÁtiiii IhHiiilpfe ái^tVritjue dt?¿ irilêf li'òde linflH’
irti iHt ,4 n irríte Me* appiháitíJe'J^tdaPièt-méfie f»í :
ette. ■ €>;fte Ite itóoij*trt ¿e * cjbi*· ChhdòHè t téhdi ?à tHf
□rlgtfuJ nom
NEW YORK PLfiLlC LIBRARY Go gle
grand homme, en prononçant ton éloge devint l'académie des scie ne Ci, L'InfrotiurHi in dnaiyn'm hs- jiiitfpfum en démontra la vérité- Plusieurs des mé· thodes contenues dans cet ouvrage font partie de nt» livret élémentaires. Mais alors les commençant IC trouvent arrêtés-par de grandes difiicullés, parce qui.comnielt remarque Euler lui-même, ** ils veulent t'élever à la connaissance du calcul infinitésimale « n'ayant encore qu'une teinture ester légère del'al- gebre commune. 11 arrive de-là que non-se trie ment ils se trouvent »¿Tétés dès les premier· pat qu'ils font, mais encore qu’ils te forment des idées Fauisth Je l'infiui , dont h vraie notion doit les guider dans leurs opérations et dans L’objet de leur* rei cherches- u
Le· deun; livret qui compojeat Plntrc dtacfitm A f uuufo* injinitpimfilt, suppléent abondamment à ce défaut. Le piquer volume embrasse ce qui a rapport à l'analyse pure..Dan* le second, Euler développe plusieurs questions . gêométkiquci ; il com. ibcncc par u&e théorie des courbes en général , dont il déduit ici trois especes connues des sections copiques. .
Nos éloges n'ajoute raie ut rien au mérite de cette production estimée de toute l'Europe savante; maie nous ne pouvons nous dispenser de te marquer le Service que le cit. Labcy a tendu à la jeunesse frau- ^aise,en traduisant l’ouvrage d'Euler avec une clarté . et une concision dignes de ¡original. ,
Les éch*iciuemcns placé! à la fin de chaque volume seront de la plus grande utilité. Outre Ici dé- vcloppenjcus douncs p^i ¡'estimable traducLcurt 11$
V 4
CMijInnlïRir
HFW TOF-K PURtIC LIBRARY
Go< >glè
(S«)
contiennent r^posiiioa de plu »¡cnrs oeétboJet
éparses daps des collection» trés^voluanneuses, dont
lç citoyen Labey eft redevable aux Lagrange , aux
L^plice, aux Legendre ; ces nom* te rccommandent
aucz d'eux-mèmej, " - . .
Le second volume est terminé par 16 planche*
qui contiennent tjg figures,
Cçt ouvrage «fi imprimé avec-ioin et sur de beau
papier. Le cir, Barrot? l'aîné ni tien épargne
le rendre digne de l’estime de* çunnaiiseurs.
Le cit. Labty s'occupe des traductions du ca/fsrf
I — — ■ - a r . . ’ J B-.r B . -s . . . .
dent Ouvrages vont êtr$m» sucecsiiveinent som
i, . 0 . ■ .jT . , . ■ I · ■ , ■ t -■■
presse* U* seront imprimés dü iïiÊBie format ql rivet
le» .mêmes caractère* que Fi Titre i/ur fion à
-■* - -- -VA Î ! É TÉ 8-51 1
r jÎk Xfdstrtaur Jit Mercure Français.
. . r _ i j i * .
Je VOV* adrene, citoyen, le frujt de quelques JSthcrcbci
sbt un ¿¿s premiers cisii* littéraires d·
■Voltaire.IL paraît n’avoir pal été connu des éditeur·
OEunci dé cçt hcupme célèbre , ni même de» trois
principaux tuteurs qui ont écrit sa tfei je vejixdir*
de Luchet, Duveinei„et Condorcet. Ce mort
est une lettre en prose à M· D***, au sujet duprix
de poésie donné par facadémi» française tn ipi.
G<X gle Onqlnal trorn
NfeWYOftK-PUHLIC LiBRAfcï
/
I M).
pour lequel Voltaire concqurut, et .qui fil.remporté
Jjar l'abbé dujarry, : ■ <'. >
Cette critique parut , pour la première fcrii*.»
1717, à Arquer dam« chez Jean-Frédéric Berna«! ,
ils mite des rffiexiont de Fénilon sur la Tb.étorique
et Ja poétique, etc. Elle comicut vingt pa^cs^
y compris le po<mc couranué qui eu a cinq. C’*ri
dans ce poème que l'abbé du Jariy parie de pôles
flaeéi, brii/am , etc. Cette bé,vue fit une telle impreision
dans le public « que fauteur lui-même, dans Ip
recueil de ses poésies qui parut eu 1715, substitua
mot pôles., celui de dùnafr,
Bruzen de la Martini etc a frit ûj tu prime r la lettre
4 M. D·*** dans le recueil t qu'il "blia en t^3of de
divers traités sur l'éloquence et 1a poésie , trvi»,
deux volumes. L'abbé Desfout lues, en rendant
Çomptc de C· recueil dans 1|^ Nouvelliste du far·
nasse, convient que l’auteur de la lettre à M. D*** ,
est un fia connaisseur- Il dit sur la fin de 1 article ,
que l'an- seupçtnne que Af, de Foliaire a autrefois «·
*«Î cette lettre. Ces soupçons se changunt «1 £CC-'
titude aux yeux de ceux qui '1 Irwni avec suil·
tion. Ils y remarquent en effet le top agréable et psi
juant de Voltaire, I élégante simplicité de son sty.lq
■it la justesse de son goût. . j ,
Cette lettre est suivie de l'ode que Voïtrire ept
■oya au concours, Qn a peine aujourd'hui à cOuçç^
oir comment l'académie lui préféra le Pdfcf Çhritin
.de l'abbé du Jarry. '
Voltaire ne se contenta pas d'avoir critiqué Ce ju.
entent dans la lettre à M- D***- Son mpe ont ente-
Ktit Lui inspira encore une satyre çn vers, ïutit^
(M )
lie le Famdijf, qu'il 'fit imprimer à 1* etité de rédi*
tiou de ta Henriadey que publia en 1714 K b rail«
Bérflard durit j'ai parlé pliri haut? 1
’ Dan* la satyre eu ver» rcoiaie dàài ittcritiqüe ed
f>rn»e, VoltaUé1 Hittite parricuhcfcrnéni la Mette,
qhïi »avait avait été ¡’un dé tel jÙgfe^ Dam fa httri
à M. D***, il Facture de vouloir farifcletia réputi*
lion sur la raine de celle de» ancien* qu'il ne CÔrinait
pat. IL fait cependant l'éloge de le» moemt
douce! et de *â modem g. Dan» tt Parnàiit, il le ièjSrésente
comme habitant ui iioîr boarbiét au pied
du mont Parnaue» Dé U vîcai lé titre ïn Bs-urbitf
donné ensuite à Qtté * ' - '
“ 11 patait que là Motte' rit éoùscrva àuiun MÛ¥^
tiir de ce» trait· de vengeante. 11' répara niêmélii·
Justice qu'il avaii ccnùriise envers Voltaire, pûÏL·
qu’ayant eu à appioTtver sa pternierê' tragédie, il
iihésita point à dire dans son approbation, que cet
Ouvrage promettait au théâtre lin digne lucceMeor
dé Cuinetiic et dé Ratine. De !oa coté/Voltaire
reconnut enfin quéla Motte étaiÜ un sage qüî ptîc»
Ce ibnt Ici expression* dont ïTie servit rn <7^5,
La lettre de Voltaire àM. ne iefait pointd&
placée dam laCc/respond an ce Ît itérai te de ce grand
fiorptne. L’ ’ - ■.........................................' ■ ' ■
J'ai été étonné de trouver cette époque de h vit
de Voltaire, présentée de la manière la plus iobdelft,
par Luchct, dan* son Histoire littéraire de Voltaite,
tome I·», II prétend que Voltaire s’annonça dans li
¿litière de* lettres par une ode, non mr la cotutru«*
Googîe
IÌt’ron cio'■choeur deTégtise lÌ^tf^Hamé ^airiiir
Ste. Geiepieve, donile sujet a ç a ir ¿Té dòlo bd jifVfi
P. Lejay, régtat de rhétorique Je Lo uiHò-GrìdÌ,
rODjointetneht avec le P.^Floiée^ ÜaEbé dH’Jarìy,
t| continué P bis tòt iteti r t'e'cnpOï* Ohe furie cribriti
a sujet. Èlle fut préférée à celle de Voltaire. et mémi
^'courofliRt pas FacadérSié francai». M. de'Ltfctiet
J cits s nitrite troisttrophdt de l’ode du Jeune Aroneé.
. Jt ne sais d'oà il les a tirées« miSis eliti ne féjrt'ctiï1·
,. tainemcm de Fede de Voltai» ewt rStft
s G eue lie ve. .iM.< de.Luchct ajoute que Votait ti
. croyant humilié par le jugement de Fncad^^ *
tihaîa la 'còlere dam nÎic tipici de satyre intitulée
, fiJ Bôvtbttr. - ■ : ' ' ' ' ’ ’
" i"; Ml de En tiw ( a tort de hitr que Voltage iti
tenrposé une ode sur la cotulrncriôn du choeur' dé
Fêgtiie dfe Nôirë Datâe. On trouve cette ocie datiî
lei deux lécitili impriïaés cheiJ.-F. Bernard ; ét
■ ■ ■ s ■ 4 ’ * ,
dam l'édition de la ligut de 1714. Le recueil de
l’acadénrre française pour *7x4 , eût pu prouver à
rbiitvricn dç qi^e ^gp V*jct ^ta.ît ¿«lu·» du
poëme couronné de l’abbé du Jarry.
«■- L'ode de Voltaire iur $».'Geneviève cti anì
I
té ri cure à celle sur laxqpjftUÿùon du choeur de l'église
de NOTfe-Dame. C'est une imitation de J'^d<
du P? L^jay t.iju la çélçbcc, patron? de Pâti». V^l£
taire la corapos* aueolkge.de LoniskiGtastii
il était pensionnaire et écolier de r h ¿torique iMkt
1« P. p. Lejay et Potée. Je tirete€¿dtirciiscMtâfcdii
recueil C. publié «1 iji^par l’abbé de Sàinr-Léfftf?
L'autorité du 'pim savant detioj bibliographes'bt"
sera pas suj-yeCLf. ’ ' -: ' ? " ■■*
( M J
j*. Le riçjt da M. Je Luth tt pro art qu'il ne
X*ôraMtM-iit qu< la inonde pie^ç daML laqapllfl Vil
OMtiif«|é lc ihijria que lui avait camé Je
;ag«»çpt de i'acadfjnie. français, J· ternt’aérai
¿çifçlettre par une ^neçdoipaMea plaisante aur ceHc
, *W*I > ' ■ * ■ ’ ••.’ta ■ ■ ;.
,. Pi<qn ayant i »c pjaipdradc Vo#taire, nùt d&ve
la l>oi^cb& de ion 4r/tf itfa J}tu»lùfr < tes danx rm
. . ' 1 = <. ·
Ûpi, tMp eci «mquiMui .rtnt&blél lür crkOri
AJcximdn v « 10» «prit ■* ntOU- . v , ,· _ .
, l'u..;,·, ,ÿ„ l'1 j ;.rt 1 ! [ 1 3 :i, ■."xj Jt. '- , -’ -
A la fin de liprcnpçre FÇprÎBeptqtion,,‘Vautour
traveriant le théâtre fui arrêté par Vol taire,.qui Iiif
demiie^içe jjiÇjl J|üi pQurle (partir ainaï
en ridicule,; Porÿftj, ^pondit Piropv
4Î'auHur^u¿)»t*wr. A(ce^c réponse r Volniebatsta
1* tète et d! (parut en diiant ; ab ! je mû &nt>anrhf !
Saint et fraternité . , ‘.IJ· > J,* , ■ « i . , ’ Ji' . _ ■ .-i 2i « ■■- ■-- -
POSSI Ev
Ì I M OTtf l.
i tu îm
j7"j?iwMaVX'réert**üi par qoTprr ici ion» lodfcirtt!*
•tn tkirMr notre e^eiUe et gmeter km peitcfiaùsr
¡Vint indcpcadiete él#*« Jc géni« ,
- le qui d'an vcTi'hrûLi» frappe li tyrannie ! ■ <
l'oubliant pi faitdane Lee plat deux Jouir«,
U peigne, en totrriut, k< ii»r>»rt, le* pli uni j ,
Ce> jeux lui kde pernü : le oraitia de Ja terra ,
Gçm 'gle
Peni tu plf<h dt Junon d^vjerton «eome.
4u«qiì le dito duPindc, tcfaioflitn iti xeau, in le tri pi ed l'entuìut ei tnsitrite itiiim, ' A de nilc# ¿tordi iji/il conutit ta Jyre | Cùbirt |ai préjijjti 30« «a utiirt compir« j Qji'U (houle In Romiinj , ioni le joug 1 bit tu t Àpici un lotig lumlHeil repreaint [«uri virtù· r Et que rijcupijieiii l«uri autiquei anmiei, li Tende au peupJ« r« tei fi tei trroaiphileK
O Rame ! 6 fefetrié ! pircoi MW ioepiri, B'une ripide cedaw je ctrt dieerin lopatient, j* «ed« tw pouveor qui mVntAj«», ti déja jc a'«live irer l'iole Tonnine.
Le temi ¿trataìt Rome : il avut din« 100 cauri t De celle ville heurtuie empatie lei bciui jauri; Lei ferro» □'tuie ni piu* , et Icori nomi «tifar gioire Slirilcaetii «iklii tipi ni «ut dm· ihiitoir· t Li piene da i a ai bei a la retemut c*pdÈ»« - ■
PtMÌt tnc e flati mr kart mine· pUiutib.
io· tempi e* od jPor tniin ippendh leu ri offriti de» , 1
Le Iteri« «u*« mia tot ittiche; ifi ^urdinde«, U rgageait 1« cianai di ili tauri prò Eiettori b '
h piipinìt teur distia· en lei coutil rk de ftetm. - ■ '4
Amour de sei debiliti ieire clt-lltiLI partir· t ■ ‘ ·■ L
Li, ioni un U«l Aiuola, eirpira la mirri t" ■ ■' ■ ;.<-A
Oo n‘y ioit poi ai Batter «a festini del v»pe«t ■
Qui dei airi e cab Vii li ereindtiìeat Lei trdeun j Do Ubo ore or iromp4 te chanp"br4k lu p>k»l , Itl'hecL« noi dpujiuuìtiD irin deiphinei, t
in rata |’«H tuif iucot cti kitiieui timi
Qfi portaieat ini lifloui Fifekndimet tt JsieaOx: L* UuIjl du tci*i muchi kui rtinci Ueaùiunict « ’ " >
Co £ÌC * *
Et fin n'accorde plu*· I'çjll qu'implorent le« plante^ .
De« lieux où, çac,hcr xa t^v«x^ f
Lut infecte vapeur l’t'tbak dans Ici airs , , .
El inr l’iïie des venu parcourant UL^lie . , .
Cùrrÿitapt dt i ou ter patts J^»j>eiinçs de la vie.. . .,
Roms sut autreCal· conjurer ces fléaux.
De* forets du midi les un en enter rideaux
RifraichiaaJent les vente prêta 1 brûler, la plaine, .
Arrêtaient leur foreur, épuiaienr leur haleiue-
Ces champs ¿iaipû| Eûcoidi i«» aride* deseti»
D'un peupleindum l«*tx avMiMttêk«ouvert«}.. ' i ■ r
Cet txarais avaient.e.tj bmi campagne« ,j Itta^aVÜkij
Le laboureur chantait où Jet reptile* »- i. ■ -
Et le silion fa rage ut. qu'assiègent le* roseaux „
Résiliait tau« le^tàêtï reps1.; niait les flots. ’
O dettiadfi MHvan* tvtujle barbarie !
Suui Ici CCujpi de* Ljjmbérdj expire l’induttrit ;-
FiT-towt il* ont pÿiAÎ tarl-adit et 1· trop** , · ■ i
Partout un Joug désert ■ctpnpagne. kur* p«x
Qjiel<jueiriufori*Liié* édheppé* an carnage
Cherchent i fuir eoccrr Mii: un autre;rivage j- ■
Courbés sous k ib votât dan« le* cités 1 Jb
Mendier de.i’orgtsàl ki avaro* .buKté* ; - ■ ■JJ
II* u'oat plus à, kftuer que 3alongues tniiwci, ■J
Et te plaignent aq eief dit tburtftepc d'étr«‘peM*-
■ ·.■ . , ? r , i . " 0 |î T j > ■ ■ ' ’ '·> '
Le ciel i leur» climats r^iit. çiebptj attrait*:-¡,
Le malheur des cirés repeupla |pt iÿifi»».......-, ,.
Une religion tnf|a.* u* cp]ique·1 .■t ■a u-s■t ere■* J,1 1, ■ , ,
Fit chercher aux humains un bonheur «ùlâiiire ;
i k - . . . n" lui' ■' -
L’hermite/exila *ur, ce» monii éton-oés* ,
, ■ t ■ ■ ■ «b., i . -V-n - ■ ■
Aux habit^n* de* bois, ionz-terni abandonné* >
■ . . uvn-4- *1*/! a.. EïIT fi - ■
* *, V"’ , Wr'A ’-CJtsiPUBLIC U0RJÎRY
( «t )
La terre fut encor docile i h culture , „
El de* fleur* te mêlaieot au deuil de La nature»
Mail de* jcûu» puw^en, jet effort* «an· vigueur,
Pouvaient-;J* de l'état auimet I* langueur ?
Ce* Colon* isplé* jusqu'à l'heure derniere,
N’avaient pat un eufant pour fert&V leur paupière-;
La mort en le· ftappint molisormaic leurs travaux ,
La ronce allait renaître sut&ur de leur* tombeaux.
Quel prestige pieux ¿tendit leur exemple !
La cellule devint un motraiter« , un temple,
Où de pile* huraûus accourant s'engloutir,
Soupiraient pont h tombe et vivaient d'ivenir.
Tel* que sur l'Appenuiu on voit de* pin* sauvage«
PtOplcr un même soi »ni mêler leurs ombrages ;
. Leur vcisiuige étroit n’a rien de irstcrûcl,
San* jtnuî* se chercher il* (‘¿linceul au ciels
Dan* les déserts ainsi de froids célibataires ,
Voisin*, mal* divisé», peuple de solitaire* ,
Yegéuieut ver* le ciel et, Moi concitoyen*,
Semblaient de l'homme à l’homnij ignorer te* liens,
Qpe son* w joug biiarrt il* courbent nOS- ancêtres !
Ceux qui fuyaient le monde eu deviennent les maîtres!
Mais par mille chagrins cet empire acheté
Taat-il d’un sort plu* doux l'utile obscurité ?
Oh ! si du célibat je peigna·* le ravage,
Et ici enauli profond* et son dur esclavage ,
El cct enthousiaste égaré dan* ae* vxqx t
Dépouillant tdu* ses sens, refusant d’eire heureux,
It ci'claitre muet oi**n* CBsH Gu expire «
Où de U pitié même on mécounsît rempile |
Où Je ckut desséche par *e* propre* malheurs , -
Désiré autour de lui propager im doulitu»;
U
Où l'eu fuit tel amour demi les cLaíneiJirgerei
Nous tidiAtâ fraïnér le pú4í de nos miserei l
DLua coeur bon et sendblg il ignorait le ptis ,
Dan« leí hnn<i jamais il ne l'était surplis ,
Le cruel qui put dire i ;a mcTc accablée :
« Je fuis le monde et tri , tu aïoiiiias isolé« ;
Dans ta vieillehe eu vain tu m’apptllej ; ta main
Ne pressera jad sil met fils contre tûn sein :
Le ciel me parle s end : millions Ii nature ;
Devttioui plus grand» qu'elle tu II faisant jujure |
Comprimons Ici mûrit h j que dan un >iînt effroi
Leur* fronts respectueux « courbent devint mai. it
Aî»ai du célibat le tysiêtue homicide
Prit ■ o sein de l'orgueil un essor plus rapide :
Il fuyait lea p'ajsir* , bientôt il ks proscrit ;
Far lui de nos beimx jours le chaime st flétrît î
Ardent mm pâleur, il sa répand, il voie
Du fond du cl aide obic jj ni sein du Capitole,
Pouf affermir tutor set autel« cbucdiii, .
Saturne revieotdi mutiler ses eofani ?
Qtitíl rnórtel ou quel Dieu s'att ai tué du tonnerre ?
Un seul de 101 regards a subjugué |a terre :
Biedlôt, au nom du ciel rloQt il dicte 1er lois r
il brise la couronne'et le sceptre des rais l '
A aci acre ns bientôt l’Europe s'est armée, '
Er des torrcui de sahg rougissent l’Idumée 1
il s'rEa ice : sa. rtijun j elle autour des moriek "
U il Í rumen« réseau’q-j'îl laltaelu aux autels ;
Rome de notre vie occupa fayetiue,
Eiie eii ciace k coûts', en assiège l’issue 5' . «
Fait usire la rS-isoh et s’empare du eteiar , ■
Frappa du ru t'use glaive'cf Je vice et l’eTraur ,
Cite à ton ttibuniTTci iettm ci 1rs ciirdei t *
Do
□r ï’Ji tTar
. ( 353 )
Un bûcher* aux eufert.Elit lomberiei vkiimei ;
Le lirur« o« 1« CJei l'ouvrtqt au Valida.
Mm tel que dlTis |a plaine <*rt voit uh noir vokïut
Ver*iDC entour de Ibî'tit YUtU faktrul]«*,
Liii-tnta« m di«oii<ÎT( et ronger ici «nirtillti ;
Il t’aÆiiiitf ie brhe; et tel flinci éctoolé* ’ -
Roulent *VJC frac** dan» *t* gouffrft romblé* ;
Aiftii lit mur» ikri* d'où l'écliapput I* fondre ,
Son* HJ carreau* biülauj tombe?· lédunc-m poudre,
Où jonc leur» loaveraiuf’Ticui patfoni : ih ont fui.
jadi* tniittei du monde , il* y *?ui **n» appui !
Sur le trône écrué Ton voit de Rome antique
PLc naître <t i élever J'augmte République ;
Sou réuat, ie* tribun*, ms droits lui sont rrndur.
IO
iùuveniri touchant ! à pouvoir des vertu» !
Quel Romain, eli foulant celte terr< sacrée ,
N'enleodeit pu gémir La patrie éplorée î
Que d'ardeur l'enQ*mm*ii ! que d’éloquent déhrir
Pariaient de *et lyeuc à je· wni attendrît f
Nm , pour rendre Ici c^cur* roupie* i i'eaclevage
Le tem* n'avait point hit 1*0 »ne* long ravagex
U devait effacer CM rnonurasDi épar· ,
Cet nooej, cet touveniri empreinu de tourte -partit
Dénaturer ce* lieu· , en détourner ce Tibre,
Qui, glorieux , baigna le* mur* d'un peuple libre ;
' Lit de ce Capitole ipplmir la hauteur;
Et combler ce fortin* où Je idütc orateur ,
J*di> de la ii ibunt élevant Je putuance,
lit triomphée J·· fois . le* Vertu* , l'cloquadcc.
Ne ie*iblaii,ü pi* voir t'agiter indignée.
Le» hutte* de* héroi par le terni épargné* ?
Autour du Viticin conspirait leur image t
Fret d’eux l'horreur du îcm ie Lraaimit d’idc eu âti ;
fat XXX Fl. Z
»
Go gle 4_l
I
■\ ··· · · ■· ·
tn tiliMf aitaiitiei défemenri, Et ion amour »écrit veillait lu fond de» csetin.
»
Sur la ceadff qtq couvre u,nç F«' éüuetllf, Si le vent en pmeixt lÛMf gliwr son aîlf » Du brâuier qui ieni.it le vajl* e»t disperic ; Le flamme ie nttfehe m dion délaissé» , fct 1« vieillard lui nie CS lapflle »uxiljaife » Qui nnimapatir lui If cVjilcur, U lumière ; De» triqepppt» As» R.qtçaiu» tel fqc Le libre çours T AIdt* que d^ F^PÎ^F l* (ënêreu* iecou.rf Enfljmttu leur» dfprs gp'iiayÇaii b icqptriiqLe, Et rendit ion çeiJp-t A k Uhffté jaj Titjp- O Mute» L comerv^i aqx,|j<e}f» A yenir De ce» tritwphuepk If venir :
Mootrtt-let, gifiremt m isfa de h victoire, D’un peuple qui fqt grand, reuuicUant la gloire , Rendant i iti héro» de» bf n^euts (r^erueli , Et de laurier! t^mbrag^nt i^ur» autel»,
a
Le foteil exilé ver# l'extrême tropique Prolongeiii jui^u’l nqu» une lutpicre otliqne , / Quand Rome ensanglanta krauicla de I» pu*, Et vitiouiiler te» murs du meurtre d’un Francuir. _ T 1 - · f 1 ■ r
Le» mine» de Dttjjhjjp invoquaient h vengea tue i Déjà quarante £□,», rho, La nuit t en silence, II# avaient du pontife aisié^é le rçpçt- Non loin de ton pal al» il croit voir ce héros Entre de» furieux porter »es pM tapides, Arracher « leur» mainq des anntl fratricide» , | Eucbaîoer leur» traniport», le» vaincre, et tant »an^lant, Tomber »ou» le»oh nards ç|u.i lui percent le U»de z A cet aspect funeste il »’¿veille, il frissonne, ■' ■
Et l’ombre de Dqphai t»t cesse J'siivironac.
‘ *:·, J; - ’ ■■ ■ ;r <■■_■ I 1 - ■■ ■
Go gle
ùi.;lir. liai·.
NEW YORK. PUBLI.C LlBRARY
< asi j , buphoi de qùtlf destins 1* mort trancha, le cours! Tu trnurj, chft i Bette!tic et pleuré de* ^mours t Déjà brille l'aurore où 1» juocude d'hymeuée Vont J ta jabnf amante unir 14 deitiuée p Et tu n‘ei pks !>-. Jkutt ces autels du bonite çr t Changez cei voilai frtii eu crêpes de dftultur t Remplace! ce« flambeauit par des tnippei funebrci ; 11 épouse li ipaci^t fuit dans les ténehrek. .
De douleur cependant a dp oui frémi :
11 était J-la-ÎDU lent rival, leur atsi; Tou« viennent le venger, Mail autour de leur» armes On nt voit point voler les mortelles alarme»': Des ciifans des Gaulois les drapea^ix déployés Ne foui plus fuir au ]<ûa ha Ronnin,* ciblés : Le Gaulois les frappa , le Français ks console : (I ramené la joie aux murs du Capitole.
Entende!'vous ce cjl. mille fois tépétc, Ce. cri cLef a#x Fiançais : Liberté I liiertt !
Au devant dei vainqueur! a1 empresse un ptqpk J^mense , Le souverain saisit rou antique poisiaocet
De Brutui, de Caton lei b nsi? i cou tonnés,, <
De respect ft d’amour brillent cnviroDuéa^ _ Ces marbres ne sont pim lf| cbef-d'fFiiTrej du Tibre , lh s'animant*... je. vois lu Dieux d'un peuple libre.
O l si jusqùes à Voua peuvent monter Dût vi*urt Ancêtres immoriels, veillez «us vos neveux,ï
r
Pimé^ei dea Romaipj la cité rcnaiuunte ; Par ki Ytitm sur-tout rende ici» Horiuaim : Ne lui prodiguer; plus tfiina.JpïueiU.* laurkrj Si chèrement payés du aaug de se» guerrier» t
La terre des héros connut tr.cip la victoire ; Honitti-Iui une.glu* donc« ÿoir<.
' ■ ’ ' Z 1
Difinizetf ty
Gch gît
□Agirai rrom
NEW YORK PL Et IC L1BRARY
, ( 356 )
' Et vau*, peuple unnvetn qu‘itteud un beau deiûn, -
Von J cherche* le bonheur, il eat dm* votre «*tn- -
Rappel!« dm* ro« champ* 1* ninte ibojjdtucc ; ■'
Éveille* litiiluitriB et guider*on enfant« t
Que te* produit* aombreux «'écoutent tur 1« ïftttt l -
Aider fa main du rem* à peupler voi déiert* : ■ - ■
Coutenei ce* raviu», reteve* cet'-ruinei, ■_
Ce* temple* qui jadis oruaîeat le*»pt-colline* t ■■
Crée* de* monument : odiei dm* vos lableaux .
À l'artiste un'modelé, un exemple m héros : -
Son« 1c* plut noble* trait* que Je bronce respire :
De* Vertu* pir Ici art* a^grandl·*« l'empire.
Plonge* dm* un brdiier 1« main de Scevol· , ’
Et fa tes devint Lui friioniivr Porte nui i - ■'■ ·.'
Rappelle* et Camille et *t gloire immortelle^
Pro*cfir pir *i patrie, il combatiir pcFu: elle ■
D'une entre eneourrotix quel£1· doit*e venger?
Couronne* MiqIîui repouigini 1e dia^tr;
Mût «otjgt* que de Rome il v* M rendre maître*
Et du rbcTlrpéie* précipitez te traître :
Au bord d'un goutfre ouvert «utpendez Cbiriiu*:
Elite* chercher b mort aux brave* Drouj :
Peigne* modem et grand le héros d* Mmuance :
Honore* de* Caton* la sublime consunce , ■ -
Le* vaincui de Pharsale h et leur* dernier* tfFone, ■ ‘
Et Brmut loin du joug fuyant au *ti· de* tj.CTU,
Maîi pourqo-oi do pané tpujour* tracer l'hijtvire !’
Ce «iecte a-t-il besoin d'emprunter de b gloire ?
Quelle ardeur ! quel* péril* I qttrI* rapîdks exploité
Signalent Te tombât des peuple* -et des roi* !
0 toi qui dan* ton «ciu tcfanleï la lumière
Répanditu plus d'edat en tffimntn carrière?
T'élanpe-tu plu* grand, dans Iteipaeé emporté , '
Onqlnal trorn
NEW YORK PUBLIC UBRj^Rï
(Ô5T J ,
Qoe l'Hercok îrioçin qa'arma J· libent t Ceraie L'osubie a't^fuit deviat le* feux cÜMteft« Ainû de* préjugé* il dmipe te» reati* , De I* nuoti eapiive ilfait tomber trafic*, B* douar ta te montrant fAtaïl i L'univeri, République ! i pourtur 4« nurehe triomphante»
' Je voi* de* nailon» la liberté naiaianie, lat vu ree tuo berceau, aounre A iti »uccia T .
Il t'étendre et fleurir * lit Je* ju* de* î rinçai* 1 Da toi qo'ilt ont louché uuidaia elle t'tmptr*. < Telle au milieu de* (hempi^ut découvrit Pilori* t . Li i«i prandit, I« racttwbaen berceaux , It raient duu la 1er« lafcnctr h* runcaux t Elle était itolée : 4 rapide prodige J . . , : ,
De nombreux rej e tetti* accompagnent «* ug4, . £i l'arbre petcruel qu’entaujçej* tei enfine, .
Brive de* aquiloni le^effttti£Tpuitaw*.
* *
J,*î· Roux.
* ■*
i N I G M l·
Jt doit paner pour peintre 1 Pari* comme ailknr*, Quoique *uc le pave j'ai pinceau· te couleur*,
■ Mon colon* plaît , rbrckn
Ri.gaud, Ruben* avaienL le même.
Quand je me fai* payer, je no prend* point inet,
, Je vcad* tout 1 vil prix. J’ai la doulcnr *meit - De voir encor t rimer me* ouvrage* per terre. ’ Le* Beaux*Àru l-préienl eeoi mal *éco*peti*ér,
* a V ■ â
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L 0 G û G A t > H
, ■ , . . J . i : f
f Àtui Ici îiat plitân ifoaand· < ' ’
Ea tim k^bemheut ; :
Si je abibite en Wltce > - ;
Si mon poatblr ne T4*a ,
V·» projfel* Hr oit ¿oufdfndtl· :. .
Saut meri »ut u'nt qu'nnà-fMntd-f. .· . , >
Gf*«tWwi tiltkMw* reipHiw^r ■·. \
Mc tout qu* d*J bien» tuptrSiaj ? ' - .■ . J
Cinq pitch »BMjWlMt ïtrir ce Mît : .
Martels, qui eager drut h joie, i - ■·
Trtcnblu-, V«·» drrioàftM Î* pft»B i
-Dm trois p «émir ri; tk J· juitun»'
Tel «t I'mumtUt devrai-■— t-1 '■
Pf plos^ ¡¿offre un de» itns rebelle» , Plr qui de-a bedutél eu£01 aeJjes M’ont enkrë j>li]t ji'.jlp> yÙfl· Un prouva» reçu dim 1« Frsnce P pur F expression de Limitië Quelque fois de l’autorité ,
Fot; i44»T»t de rioipirtioeaLAt. ;
■ ■ ’ ’ ■ i ■ 1 ■ ■ ...
—— ——...---------- . .■
1 IL up lie, du Charade, ¿ni gmc tt Logogriptiç du N*. M>
Le mot de La demie est Cturtgt; Celui de l inigrpe.ait la Voix; celui dp Logogrip be nt GLflki, dmi lequel emtrûpF« loire ( riviere }, lair ( sftinail ), oie {te jeu <T J t flie ( oiteiu ), ici, rd, Éloit lire, ri/e; loge* or, rivalet Ri ( ttle.), H( me* y pis chipa»* ) > fi*·
DîijjI ji
Go* gk
CMglral trnrr
NÉW YORK PUBLIC LIBRARÏ
-------n ■ r- y : fi
S P & C T A O t E S.
Le Tkcaire-frian^k de 1* République * fai* ùu*tr-
|UTi Je lÿ de ce moi«* L» Ktne fata pi», rétablie dan* un
lut digue d'elle , devait un hommage à ibü illustre fondai
leur, Mo lie et » reçu Je tribut de la reconniiwanre pu hliipe.l
1 ,n jMbeitirrÿe a été repretente« .
itlfeiuiei du tentt , qu'il 4« iroeve de born« 1 ion talent,
admirable, il a rept pcudant k tifln de Is repFcaenUuo'a,
»n defaut dkorctnble leudble , nail qt/oc DC pent attrib M£
de« ciwts iitmprci Wl jfu det acieiirt-
Viffihuicg dn ipeciitetin cta^J ptodipcute Lt luxe le
ylu* etenB*nt aw* deploy! si, pnguificenrc i un»irii-graiide
quaulte de femme* elrangerej diiputaient auEtitoyenuN da
Pariir ooali prU dt I'elcjance, mate «lii de Ixtiche^e «
d* la beau k, 1 ....
1/en.ptcuaemept de qpupjiifr* ia uowelle salic j le deiit
devoir, eiaiu^tout(Tine vu t |e dewrdri ini mi tab It 4aoi un
|oc#l 4oat lout» Jte paTites n’oru pat encore tie ¿prouyeea
par fbabiiade ; k bruit de» con venations pa.rtici>lier-oi, r*-
■.ullat arici tuiurei de« rlfiexiona de cbacun lur fa nouvelJe
■ ■ W " VF -i I production de« arts soumitf i » critique ; tout cela ■ ne«j~
lilrtnieut èoutTÎbué i rendre 1« spectacle un peupftu ib-an'’
fer aux spectateur« , qu'il n'a coutume, et qu'il ne mérite de
«ire.
Aux repalierttaJotu de Îri/urrnicuj1 et du GfoflJii-y ^tiï dai
■iliv'i celte du Mimntrtfi t il y a euun r cri dû un'rtofar iluùrbreux
| mais l'exécution théâtrale a' cÛ plur assurée , et le
a .Ecè$'ptua complet. Talmu dand Is rôle' de Jlfcriü , Jfapijïtë
Gcm gte
( Mfr )
N N 0 N C E S. ■
I
«
JxruUf dfuirflir ite* ; ûu CAffli it diffiteta ttiar,
rttu* dt liltirature tHtfnmie , eu ten et en ptôse* svec li '
tra duellati française , recueillis par le cita Weirs , proferieur
de langue itlemui le au Lycée républicain d± Parili On voJ
lune ix-is Jé J^cìo piges, Prix., 3 frano ; it 4 fratics t frinir
de porr, pour 1er dé pattern e ¿s. A Paris, cher Driionnier ,
Sjnupnni e tir-librati e , rue des Miçùnsi-&orboitn.ej no4<j6 r et
çherWtiJs, me Louis, un, 33, vis-à-vis ¡e bure atte entri!.
Ce Reciieil", fait avec (oût et avec iatellijenre, ite JHA4*
qnTir e'tris-liti le à ceux qui étudrent la langue alieaaHiftfl
P pii. ÌVtijt, qui profezie 1cêmt h tigli e avec succi* de]F«*
plnsïeüTt auàéea, a pria sòia ¿e ranger Ics morceimr qsà’LM
rassemblée, dafts un ordre de drÈctrite graduelle; d’abordjì
de* fables êe Léifitig, extrimiiïifHf fatile s ï ^àii^qüélqbes
idylles de Cetsner* une traduction' allemande-£4 côntt-'dfr
Mnemonici, siitittAê tet iHariegtf remrtrtej; tnfin, qitelqoei'eif-
1 rai U ' d es <1 nvt igei de Wieland, ât Schiller, da-Geesht rHei.
Pans une tetûnde pu tie , beaucoup moins éfettdiW , cét.
* Weiss a'r»*iÉtubiê quelques moï etiti x de'pó&fte 'tìxtì'-cfluteurs
¿gaiement estimes , etquifen'd'eate# Reiûeil .
instructif st amutsm. Il y 1 joint riqe notice *tir Iti Jiftitirtd
de« Vers iUtrtiindi. ■ - " ‘.ht'· ut;
, Oinftettiam tur l'inutilité et le dinger de* astringent'.
les perte} qui ont pour cium Il présence d'un corps éfrari
Pr mitre pariti ; moyens d'arrêter et de prévenir-les peri
après ricçonchemeiat. Anitra« pirite ; moyen de procurer -
fait, et d'une bonne qualité. Par, le rit. J,-A. JHiliot, accr>uçh*
ur, membre du ci-devant cûllége eticidimi*de chirurgi^
d* Patii, etc· Prix, 7 décimeî 5 centimes. A Paris, chtç
biutenr , rue du iaur-Honoré} n°, 455,
■gte □nqlr-al iron
Ç1NTORK PUBLIC LIBRAftY
( 861 INOUVELLES
ÉTRANGÈRES.
■;-.>· a . · . ' ' f ‘
, _______________ .
ÉTATS-UNIS 1TAMË.RI (£U ï.
. De, le ti murater 4» FT<
> n ... . de peut se Faire urçe ¡.déc "Je l'infernale aeü*
vite du parti anglais , pour jetter au sein d.e l'Amétique
tour les- terme us d’une haine .éternelle et na’
tionale entre la France et l‘Amériqur. Ils ont choisi
pour leur» toast», o ui »ont des aiakdi étions, Icjpur
de l’anniversaire on le peuple américain doità J*
i dation française d’avoir biisÉ des feis honteux. Voiçi
, l'un <1c tes tùaSts s it Puisse V.3rglç .américain tlêvO.-
! jtér la’crëtç dû coq Français 1 n . ....
f ‘ .... ■ ■ »
Du 6 thermidtiT, Voici un acte du congrès, qut ne
permet plus de douter deiintentrons du gouvortt-erneat
américain.
. _ f - -
h Considérant'que le traité d'aminé et de rom*
nirrec , conclu le 6 février IfjS, entre les Et.it»· U ryi
et le gouvernement ' français , était établi' sutr'de»
avantages et la liberté de cornineice léciproquei/pt
tendait expressément à confirmer la liberté, la ioili
verrai ne té et 1 indépendancet tant du gouvernement
que du commerce des EiatsUnis; f
rt' Coniidérant que l'intérêt des nations et le droit
de» gens veulent également que si une partie viertt
à rompre la foi de· traités, l'autre soit décliaitgéc à
l'instant de toutes se» obligations ;
n Considérant que la République Frifiçùiie' a it$-‘
TSlivÉment violé icidits truités avec les Etats-Unis t
! au grand détriment des ci oyrns américains i sin ioriiist]
uaüt par exemple, des marclmndists ennémiei
à bord de bâtiment amciicaîm ; tandis qn’ïl était
. - ■
I
f
Or «h» -nm
MEW YORK PUBLIC UBRARY Goi >gle
(
convenu quels baLÎment huvcthïc h eargaisot ■ u<
équipant tes coua irca, contre 1rs droits de la neutralité
, dans le* ports des EîjIî Unis, en ¿ublissaaî au
milieu de no&l dé» céuitdisi idni mHifairef < pour tus·
citer la Giandc-Rnetagnc contre nous , et nous entraîner
dans la guerre >vec elle ;- eu eterrant dans
□ci poftiT pat ses consuls, les droits de notre îhjîraute,
et vifilanf Siuli irdtre-jMridictidn *uf ns et; en
traitant des matelot* américains, trou vé» sur desaivirei
en ne mil, cômnrn dm fdr:ités h etc, cte.) i
si Ci ntidérarti enfin que la France ■; uonobtanl h
bonne volonté de*^Etats Uni* p jur eitamir untai
godatiod ariiicik , iiétf dé feparer le dorhtn;
fauté par tant d'iitjüMtr ef cbfntuiies par éife , 0«
edtoft, d'uct ton hnùtàià , demandé* iin mbut eu
ïdritaé dé prit Ûb dutiéniéot':
H À Ce* causé!, il édt arrêté pa Tj présenté* qué
lt trXlté «faitiitté et de ctïiimérce conclu te 6 Février
IÎ?S entré lé* É-t a ri if ét Le g utfein-jtnenk ftaù-
(ais, iinû qiié lï tfoùvéhtioù euh n aire du i novembre
t JfE8, sont nul* « de nui rtte r, ei ne lieront
pin* en rue une nfiMiit ir gioinetnertieitt frit Lit citoyeu#
de* Etaia-Uit». f»
r * ‘ 1
. Tuhqlii. D< Canauxtivefil», k tg<Ver«dit.
ti fidélité du pïtriirtbe grec vient d’être mite &
une rude épreavç. On a taché par mille pronfciitsit
des insinuations perfide* de l'attirer dam une conspL·'
raiion tn faveur de la liberté. 11 feignit de ac fréter
au dessein des cmisnircs qui fei faisaient des prt>-
posiiiOni, ef chercha à obtenir de leur part des rerf-
*e¡¡tiemeris suffi lan*. A peine les eut-il obtenus· qu'il
¿les co tu tu uni qua au grsed-sci^neur. Sa hautes*? remercia
fe path bichc t se mit à la tête de pLusîetïTi
milliers de janissaires, se transporta à îfera ( fauxbêutg
de Coojianiit’iopfei, et y fi. écran ¿fer LQu* Ica
complices de cette tapsy irat-nn.
L ordre de faire Une p: rtilfe Justice ■ été envoyé
dans fou* les ^endroits où i'oo a tu qu'il ("ourdissait
ilei trames ectkiE le gau r entent eut.
Goi >gle hiEW ÏOBK PUB Lie UBRAIffr,
( 363 ) t ■ ,
j* Du i3. La fermentation est toujours îrjèj aJatide dani cette capitale 4 et la police doit redoubler de vigU lance pour êtnpécher le peuple de ib porter âTdes mcèj contre kl Français qui sont-ici«. Cependant.k £° uvernemtnt continue de montjcr dé h modèrA- feioo et des mêDagciutns envers ces dtinfeti- Gha^i*n ijfcterprêie celre conduire d’après sos opîatoti particulière ■ tes drif y soient une; totelligencê lecrotie evtc k gouvernement franca il ; iciaütresn y tro tivdlit qu'un acte de circonspection , qui Cüoviciai ait \ ’iefret de» mesure» irriliiâires que l’an prend/ Si f ¿quelque choie peut ickirtr sut celte espece de pto-
■ ■ b lime , en lotit ki ciUcherift et ordres qúi émanent , jç1& 1 a· Porte pcur toatci le» province» de ,1'Ecripiet. Le préambule en conçu dam les cu precito»» Ici plus propres à marquer ¡indignation t k decUitchl ïlts Français y est représentée comme l’acte dfe£gxe6¡tfii le pJusinjuste et Je plus contraire à fa toi des. traites; les ordres qtic t'rJn y donné préicdVtfti dtJ Vues urea i jtfpretsivif ci hoitiki bien, de remato éci, .
; .· Le minière d’Angleterre paraît toujours be^çi* i coup initier fur ce» déterminaiiûDt, et ton fcl« ne · tif ne néglige rien pour échauffer Lénergie du jpu* : y<rrn«tïieu tc . . ■ -
L'ambaiisdcur d< Auitj.e ne montre pu moi ci d'activité dans ses nôgoéi&tionn mais ou nerepiatq^e point un ççnicqrc d opérations dans les démarrl-ei de ¡fes deux, ttirti¡stref , tt si ellts Ccndlht au, même ' i;b,qt , .«ur dire «ton particulière sepble absolument
, .¿«qÿc. ..j ' . '
jh tjlti terrible incendie a détruit, presqu-femiertnifcpt Janna, viÜe considérable de .la proyiuce du máspe »dm , qui ifpoud-â la Thessaiie dea anciens. Le bru, dont il a été iofptklîbEç d'arrêter les progrès, s'eit ■ i Cùhürtiuniquê aux magasins à püudte , et les a fait la ni et. Cette funeste exptodpn ï coùti La vre i itn grand nombre· de personnes. ’ ■
t Cdt lé téraskier Aga qui va prendre le ccntimiib ¿«ment des troupes turques ; il remplace le caphtfn- , pacha qtit dès ordre! çfu grlnd-ieigncur (,iU> rappeflé tTlnS celle yrlie. - 1 ’’
Go >gfë
•EWYOftKPtiBLÎC U-BRARY
I«4)
Huían. h i·». fructidor.
'■ En Jcrtu de* 6rdres sévères de S» M. I. pour ïiL·
ferdirc l'cntrcc de cet Etais à tous 1« étrsiigàfi, ua
bâtiment chargé de négociai)! anglais ét d'émigrés
venant d'Angleterre* a en défcûse de débarquer ici
jusqu'à ee qu'on eût reçu de Péiershourg h permis-
«ion de le* ¡ailier entrer. Ils sont à lancee* depuis
huit jours* dans le golfe de Livonie , à quelques mysiametre
« de notre rade. . *
' Leí émigrés qui se trouvent sur ce vaisseau ont eu ■
beau se rétamer du 'Prtttndant, auquel Üt portaient "
deidépéchei disiient-ils ; i)| do vent attendre comme
les autres* Le commandant de Rija rt’a pas été fâché
de cette occasion de leur faire payer L'espece de
■ faveur que lempereur leur accorde depuis qu’il leur
adonné aijle dans scs Etats* i
L'espérance d'une p?ix prochaine le initient ici, *
et quelques apparences pourraient nous y frite croire, ¡
Portugal. Be ¿ùfrrnnf, ie itr. fructidor.
•eaal qu'ils ont ici, et leur* troupe* sc préparent à
s'ernLarguer. 11 est bien peu de personnel dans celte
Capitale qui ne désirent ardemment f ire débarraiiéei
de cei dotes impérieux et incommodai. . >
.Suiue. Dr Stockholm, le 4 fruciidjr. ‘
Le duc etls duchesse de Sadermanic ont pris hier
congé du ro\etdc la reine, lis ic meitront après dé·
main caroute sous le nom de comte et comtesse de
Hagn, Ii$ «e rendront aux bains de C^rhbad , xpti<
" avoir rendu visite an duc dOstsogotbie-
Nous apprenons que Je gouvernement britannique
a donné [ assurance qu'aucun de tics convois ne serait
inquiété désormais ; qu'il n’ét-dt nullement dispesé
à contrarier b marche de ceux de nos navires,
qui seraient destinés pour le· per.s des puissance*
tmlct ou alliées de l'Àngleierie. Lieux qui ic trouvent
dans ie port-anglais de Mainate vont donc avoir
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autres seront déchargés t mai» leur cargaison leur
sera ri ndne si elle n'est pis de contrebande ( On
tsir par ks dernières nouvelles de Londres, que les
tra vires suédois ameDti à Mar^ate ont remis à la met
dans Les premiers jours de fructidor.
Dankmabck. Dî Copenhague, le 5 fruifidor. 1
Le roi de Dsnemarck , dont le conseil est toujonra
plein de prévoyance, vient d’accorder quel»
que* légers avantages aux babitans de h ville d'Oly
f derlohe. réduite en cendres.
Cçnt cinquante pécheur» hollandais viennent dç
1 établir en Norvège, .
Nous avons eu mer ving-deutvaisseaux de guerre
i}ano:i , pour aider à protéger nos vaisseaux marebamh.
Ce ne sorft point des vaisseaux de Ligne.
k Alcxaîagnï. Dr f/ümtourg, te id fructidor,
t Le ministre de Fruste auprès de la Èasit-Saxé ,
, 11. Schultz , a Été in.ulté tes jours derniers dans
cetre vjJIc , et en plein jour, et en pleine rue.
■ Deux jeunes m rehauts. ou ce qu'on appelle com-’
ounèment ici deux chevaliers de fause, 1 ni ont barré
le passade, mîmt à sa porte , avec leurs chevaux.
L’ambassadeur pnis^ien s est fiché ; l’un de ces che- 1
valiers l'a menacé de sa canne. En vain on lui a
observé qu'il devait prendre garde à-ses ptocédéi,
au’il avait en ce moment querelle avec isoebiüi.
, für du roi de Puisse.
M- Schultx a porté sa plainte avec éclat ; l'ors
assure même qu'il a donné sa dé million au sénat
d’Hambourg.
I De Henni, te i a fructidor. Le prince deftepnin attendu
ici, y est arrivé avec touip la suite qu’il avale
a Berlin, Où prétend qu'apréfujt court séjour il se
mer ira en fonte pour Cotisr; fttiuople ; une de no S
premières maisons de banque a été chargée de tenir
4 sa déposition une somme de ûo.oac roubles.
■j Un billet dç fii M·, adressé aux miaiibcs et chefs
Dinta«rrï Govülc
. . r3ûo K
dï dé piriche ns, défend à tout lei employé« au tri- fc
chienS1 d'jcccpicr à l'avenir dei dîners ou tant autre
divertisi«meat chef dc*a£eu», *inô que cl>ei des
chargé» d'affaire* étrangère» 4 il leur ejt en indue
tenu détendu de le» fréquenter le moins poni bit.
DeFrancfort, h n fomtOtt, Oa pou» mande de
frjnmtiic que beaucoup ,de iroupqs ^itìnn« »ont
en marche pour it réunir A l'armée d'Empire qui va
’ it rapprocher de. Vf urta bourg et de Bamberg. Cet
dÙtpmtlïoni belliqueuses ne »Ont pas à b eau co ùp '
pris prise» par tous les princes et Etats ¿'Empire ; oti
astute que la plupart d’entre rut sont décides à fa irò"
leur pjiï particulière avec la République Fratïçaiiç,
si l'obstination'prolongée de la maison d'Autriche
parvenait à rendre infructueuses les conférences dç
R.iîtaJt, Il serait en effet bien mal heur eus» qn'iir
fussent le* victime» de la continuation d'une guerra'
que tout le» presse de terminer au plus tôt· Quant
àtiiu], qui ne pouvons que loimer les mêmes vieux, ,
pour somme» livré* m plu* vivat inquiétude» depuis
que le quarti«Ç'gciûfil de l'armée française est
arrivé à Friçdberg. . -
J)e Ruttatili hit fonDiùhr. .
Conclujum de 1* rfr^statrjx'rfr ¡'Empire „ dn- ir fructidor.
•r ■ .
U Le* pini ¡perenti si tes ftmçai» car fait, par te ordenti* re
ptte dp 5 fructidor, une réponse i !ii noie dcteillée dt La,
depuutlon de FEdtpin, du «3 ihernudor, canjut de maniere
i ftvttrtr fallente de la depuiation»
»» D'sprô certe naît du q3 thermidor , coulenant une
Îxplicali.or, détaillée M pùiictu tllt.de* sept arti rie» de la nòte
rauche du 1". theimidor . on devah »'ailendre, avec d'au·'
tant plui de i tison de ta part des Francis , i Une explit±¥
Îv* également détaillée et ponjciuillc , que Je» rtpproeterneu
» seul* <Je h députation de l’Etupirc tctideut é conduire
à une lieureuic na le* négociât ions eoumiéucees : au
b«u. de cette explication. Les minime* frtnfaii se »oui borné
», ciani leur de micie noie ; i *b référer à celle du l4r·-
tbitiiii/dor, i laquelle il a déjà été Fait riponi«.
» Dans M tinte du i3 thermidor, la députa tien .de l’Êai·
pire · accédé particulière* suri l'art. 1**. tenebraanr U
Ongii'31 frani
NEW rOPLK PUBLIC UBRARÏ
f
( 36J »
foppriïiictj de* pttgei do Rhin , il I I‘*ïi. llî relatif 4 lf r>aioîiiron d· Ji foricresie d'Ehrenbrei.itfin | tt d rite * ¿reiïndé an ichinge qu» le pouva^i emeut frinfri* hîüd- tii a !CB> tei potier il'« -'»< la riv* droite du Rhin, cl ki Tbeiwej, utué mi ie côié droit de te fleuva4 elle a cuieudu quib liront rendue dfioûl;*, et qu'il* relieront teb-
it Quint i l’irf. VI, en tuer mût PaiTaire importante dei deiLts, un l’eu cnmemé de démontrer I impôt· ibilité de le charger de cette dette eu général et intliiiiiiciemenii en r itreudart, en cO&réqLicnrt, -a* recevoir dei itainînrei fiançait une enpljeitioû plui orteil* et plui juit», tint iur <e( objet que tar 1<i »air ci pcnqt» auxquth il* «'cm pai encor* répondu. tU ne pourront paj ta diasimuier que le point tür-iocu coucernint 1« dette*, l'article relatif iux prçprié- téi parikulierei dej «birni et éuiigrti de I* ij e p1 cbe du Rhin, lini que celui où il cil drmontrf que Luit pla.tr et leur* autre) reUt-om ne leur prrmettiienl jMj Je frétée lur cette rive , fcnt partie du aiticlri lu plut (t.enill de la paif < <l inni i tique b U députation de 1 Empire eit
. bofl d'état de l» c iiitlu«,.
p Quoique la deputitiein toit feimement convcitirué , i ). gar 1 de cr fli'.hiier point, de l'amour pour lljdiiirt du g: ave Hcirtm frmT. 1, , cl que' iuleilliq* ne pc l p.q lire da former du pmenucun iur lu b» 1 du |B i .e- Kcn non coupable* , il lera aéanmuiûf tH| ■ tra qiulü^ul p >u< elle, ri le> minum iranqais .eu cm, par une dicll* 7,dp a * iircttrt hori de Joute la r+dd bon de eu propriété! futicnlicru.
il La drpuiilion de l'Empire a cenu travaillé , jutqu'ft ectie heure, avec tm* lincénté montiuc » l'atcekraiioi. dr la paix i elle «ni l'UTgenee de» CÏtcQUttiacri, et pour jaunir tu but de l'exil tenue libre et tritiquiJlc de L Empiiq ftfmaniqLie. elle ne i'ch pal interdiie Ici plu* grandi *acii; Ècta pt n’en qu'A-ccll i dci demande* qui mut eu aoi^ani Ji<( jn ><r et le but de ia tnniion, et qui ne peuvent pii iaecoider avat uùt paix iûre et convembie qu'elle ut wu* tait cotiaentir. Si elle cherche donc à détourner Ici minutrei tnntaîi de parai.!« demande*, on ne poun* certainement {il lui reprocher de vouloir retarder la cundunOB de la p'4*> lana ùn pareil ordre de c lui ri oo ne peut· en aucun ai, tiré reiponuble de* »c’a i liée* i un plui Jung lrtafd de la Conclüiiiau J* U pii* , ou doit plbtÆi, cqippietit ranjouri fur [* modcfiiiou du joçjrernqtnept [rauçai* , dcot U a dunaë
* . a ‘
Go 'gle
I
h
' ( 36S ) |
-1 des winriücês TÜliri·*, espérer que et gouvemenaent do trie
a une t'xpjiciuàn col. fur me à m acuûtnens manifeste
(ur'les déclarations et ptopositions faite* par I· dcpntaiion.,
ai auxquelles il ne ll clique plus que le consentement de Js
France, ti ,
■ ' ' . ' - '
Texte de fa réponse des plénipotentiaires françait, ·& 13 fructidor
, a» cpagrci de Roftadt , À ii derniere note de h
depiiiahicn de CErltpire.
<< Une nouvelle note de la-dé pu ta il on de FEmpire a été
commu-tiîquée, le 14 fructidor présent mfris, aux somsignnministres
plénipotentiaire* de la République Française pou: 1
la négociation avec ¡'Empire germanique , par le txtinistrr I
' majesté l'erDpeieurl
'mpreisent de Faire connaître à la di’J
plénipotenliaire de sa Ouje^à l'empereur,
n Les soussignés s'ei ' “ '
put ¿lia u de J’Empirt qu’ils accepte ut 1« cou se tr Cém e nt put
et simple quelle donne par ce tic note à le démolition d«>
fortifie11gti3 d’Ebrf ütiri istrjti ; mais qu’il fi pll-Li
fort, et pat les riiions exprimé et dan* leurs conunanirt·
tiens précédente·, .1 demi n dot !
et appartenances , et de l"bJe Seine - Piçi re t points euen-'
rieh à la sure te de la frontière? française , desquels la Ré- .
publique est en posseition , et qui sont en partie des de- I
pendantes qêtcjjaïrrj de ce qui lui 1 été déjà il révocable- ;
Vient cédé.
iis Iis persistent également dans toutes leurs aulfet proposilr.
nj et déclaration* contenues dans les notes qu'ils ont I
remises jusqu'à ce jouir, notamment depuis et y corn pris ié ’
14 U créa! dernier. La députation de l'Empire sent trop bien
Zue , quand même le gouvernement irauçai* pourrait i*cri-!
er quelque chose encore au desîï d'accélérer la coHclii-'1
liflD de la paix , ce ne serait pas sans doute lorsqu'on oppose
à ses demandes lire résistance nullement-motivée , et
contiâire à la vraie direction que la forte des chtae* devrait
donner aujourd'hui à la politique des princes de l'Km·
pirc- 1b demandent , il ils espèrent que ce sera pour b
derniers fois , urit réponse cathêgorique et prompte ; ib
préviennent la députation de L'Empire, que celte jéponsc
décidera de Leur conduite ultérieure.
' h Les ministres plénipotentijircs de la République Fratf·
«iaïse assurent le ministre plénipotentiaire de l'empereur de
"’'ïfirr 'considération la pim distinguée! „
i» qu’ilé persistent de plut
' r> dan» comoieûic·la cssiicrn de Ketl t Ctsselj
<
Rastldt, le J5 fructidor, an VI de la République. ,
EünnieE b Jéajî Dcfiiï cl Rctüeîijqt.
Dècrf
CnqlrrHl trcirr
NÉW YORK PUBLIC IIHRAFIÏ
icrtl.lu coffifltïfftin Dècrti.de la. coffintifirje iiimritlAéri.iTi//ei éé ffaa .Jui//uii^.’a*tiiLvN:! ¡¿ler .i EE./·., ■fl V r* »III Jï lui* “ m ir >. j · “ - Wil μ i H ■> f Au ■ ■
Jit t5 JitfJj'Jjr.
h La ccirnnibJiioii Düti'.njee par sa tnrieni.· impériale, 1
irèa-gracieiix erupereur■ si seigneur, pies b Jip uiatkon ac3»
rncfk d= la piix de L'Empire, * approuvé le nmA«nmi.rjde
L· dépit lariou de l’Empire, du eg août ( ia Irnctidor ), »ni
Il réscivc tcpeiidanl Jt l.t coud ni un stipuler dans le'décret
rie l,r cemmiss'au , du tl août ■'iq tiiertulduT j , reiaiiveinen t
ii l’ait, IIL La corpniitiicu 9 adiessé, eu coqÿcqueuéé, hier
une nul» aux cnmiittci français, dont çï-jMtit la copie; on
attend acl^eUtnient leur réponse.
u La < DtUTDÎsiî&Fi de I Empire s'iJipcTcevrâ rarii doute que,
dan» cette note, les. dates sont mises suivant ie calcndiier
usité , et qu'on n’y a pis ajouté celui un litige tu France; en
y a été île terminé pan-sculene·! parce qu« dans les note»
des 2 à juin {4 messidor), tg juillet ( ïM. thejfrnjdor ) ,
13 août {,¡6 tliei iDidor} et 34 août (_ 5 fructidor j, les mimitres
françai* y mot cûulrewtniu; mais parce que les explication*
qu’on ■ tu chccasintt de demander i ce sujet, ont
pirsuré que ce qu'on étau disposé, de notre part, à attri-
' buer à une sim.pt* méprise , était au contraire la suite et
reflet d’une résolution réfteubie, puisque les aiinistres ptéuipolentiurii
de la République FnAçaiic ont dédain ; que
les lois de Ei République nt permettaient pas de se servir
d'un attire calendrier que du rrpublïea.iri dans les négocialïorik
avec les poissante* étrangère», lors tue me qo'Lls I appellent
lil explicatiorit et notification.» de céi dernières.
■ s Comme dans ce· sortes de cai, la réciprocité it't la
voie lu plu* courte pour ic mettre an niveau, on en a bit
usage dés aujourd’hui , et nn contifrient ainsi jusqu'l ce que
Jet nrlti stres plénipâteutisircti de la République Française
drmnqdtnt te rétablisse me ut de l'ancien usage, en l’observant
eux-méme». jt
JVofe aux ffiiéiifref f fénrÿoicniiitir« de la Ripubli^u Française.
a* Lt soussigné t'était téttrré, dm* le* deux note* qui
ont été remises aux intoistret plénipotentiatiet de |j République
Française , les si et 31 tofit, dè communiquer
au plutôt M décision sur la démolition de* foriiËcitioni
d'Elircubrcistein , et les conditions qui n'eti doivent pa«
être *e pair ci, IL vient de déclarer i la deputatiop de I Empire
qu’il J’approuvait« C’est par cet acte et non auparavant,
C 1Û )gle NEW
. f îï0 *
que j'&OErt de la députation de l’Empire pem être faite dtw
1er forme», et elle n'acquiert son plein tffèt qu'iu niprue^t
oà le loussigné en tnatrnh 1er miuistri* fraüfai·, ainii qu'il
le faU put la préleAtfc. .
_ - n II réitéré aux rn in litres plénipctcnli^ircs de la République
Française I'a»nrance de sa coniLdér^aion distinguée-1».
Ruudi, 3 repu «breri 798.
Jrfn», Fiançüis-GîohûeS’Chailes, comte du SaintEmpire,,
de M£TT£ANtCH’WlNteiB.tittC-BtlilTElÎÎ.
Le géoéral Lefèvre est venu ici, il y a quelques
jouta; polar te concerter avec les qt in ¡«très français.
L’envoye bolîandait, le cit. Buch, est rappelé; lé
est. Van Graetfeld teste seul avec deux secrétaires.
On hit courir iç bruit que h députation de l'Em<
pire va réclamer riurerventiou de h cour de Prusse,
offerte pat le usité de Bileu
b ■ "■ ■>
' Pauur. Dr BrrÎ/n, It n fructidor.
Notre cabinet reçoit main tenant, cxiup-juT-coup,
dti «vit trè*1 inquiétant, et même de* symptôme«
de conipifïtiorl en Pologne· Des hommes qu'ûn peut
ifcgarder ecnnrtiê très-pénétra ns, pré rendent qu'il ne
tnimquc film à Pexpiosion si redoutée, qu'un heureux
événement dans h Méditerranée.
jamais deux a^g&tiaïcurj habiles ne te sont trouvéiirAic
et ma/, comme Repnin et Cobenlicl, à la
coût de Prusse..Lé roi s dit à M- le comte de CqbcnUeLtJe
ne sais pa$ , eu vérité , pourquoi l'on
m'envoie ici de grand* orateur*/ quand ma rtlolution
eit bien connue., . , .
N'allei pas croire que Syeyei ait cu besoin d·
contribuer en quelque choie à Jà déconfiture de
Cobenttd AI dt Repnin ; il a trouvé d’excellentes
dilpoiitioij»i il ne lui reste qu’à les entretenir.
Tqutç la négociation se réduit ici à traiter dej dédemmagemem
à accorder à la maison d'Qrange.
République iiu-vÎtique. Î?e ieua tancé h It y fructidor.
Le lie d’où tiotTc ville prend ion nom, a pré*
Berné , ce» jour« dernier», un ipectade nouveau1, e<
Cntjlnal h z ”r
rjfcV,' TÛHK put L C UBRAR ï
(Vl J
qtti n’i pu qu'inlêreçist' les aitiîs Je ha Hbetté. Fier®
' de Joûft hommes tjç sont réunis des divertlis partiesdo
Turgau , se sont 'avarr'cêi l'or dçs' bitfqtifcs et dçs
bâteailk ',. juiqdcS vtefi lt friilEcu dû lac, et là ont
juré sokm ne Hument leur1 adhésion à la constitution
bel» ¿tique.
On ne dira pas du mûiin que ceux-là font adoptée
maigre eux. , .
D’ardu, i« 5 fructidor. On 3’occupe ici beaucoup
d'une nouvelle diviJan de notre République en cau^
ions. E/éretidije de chacun d'eu^ Juilétrc ¡içgran*
diet d'où il résultera que leur nornbre sera uiDNidre^
et que par cûnaequest celui des, reprèrçaUD> dti
: peuple t*ra diminué. . ■ -. ■ ■ -
Dans la nouvelle division, on aura su*· tout ¿gftrcL1
à la population, en sorte qu'il n’y ah** plus désormais
entre le* nôuveaux cantons li méiAe dîsprdpnrricn
qui existe actuellertieiït, par exemple, entre"'
celtii tic Schafhduse et celui de Zurich '·-
. ■ . , ' . ■ ■■ ■<■■ ■! ' . .. :
. lTAt:i. Dti Jfaplti, ft S fruclMof. '■
- ■ ' ,.t
D s pu:s l'arrivé· , d'un cùuiier de Vieariè 1« pripa^
rati/s de guerre sont poussés avec un pcioubhêi4«aEd'activité.
Gts jours derniers il a été public uaràt
d< jàcnajesté, dont voici I· début; ,
■ n 'Lci graredr dimgcmcn; survenus de jvis qûri-fueian»'
■év* eü Eufope liftt d«»· Je* conV(h-ortQB» puiitnjab j quai
relit·veine ut i rorjaûisaiion et i l'emploi des farces mi!itaire*,
nou* cqt-eUgagê àditijeT psrdéuliérÏHteài iùdtré- at<
tÎDpCm vers U Fcorfïüisitian de l'arm é^ <t dçs auires force*
de {'Etat, liiu de pourvoir i la dvfcnse de no* dorûaiqe*1,' et
d’asiùrer Tes vies et propriété* de rio* disfs sùjit<. Data itlté
vue , ûoàs avons' irù»titcé*rivettieïrt<fei iùtrures bout Jiat-', ■
ter les (ïitupe* foÿaléï tu pUlttt de perfection auquel· cités
pouvaient être éltTÎés-' Ceire ééediiti tf»ugméHirt- et dà'
' réorganiser h* force* de l-'l£t*t , cm deWftne twtofe plus itapérieuse,
depuis qi«i*k gouverhemans de l'Italie „ roi rive'
de c« éoÿsume, cothoi«arcut iprendre un· aspect guerrier r'
le* ptûfliUTKe* àcrbareiquce oatseui rsduetbk Ü'avda«, snntout
depuis Ut itrtÛKs cvéifliiekis qçioftl Jsi Ijtu îi.Miithe,>;
OrtqlrÆ tum
NEW YORK PUB U C LIÉRAR
1
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s* qui dqîl ftirê mitre des .crtjnttiÎoadk* pour la tranquillité dtj payi de notre domimuion-
es Afin d'opposer un fort obitacïe aux lenixtives que pourrait faire Vaux ou FautrC pvissmce, au préjudice de no» Ents, nous avons dëj> fait des ¿¡»positioni pour l'aagm?iitalion des troupes légléndaus notre royaume , et pitTticuikre- nsetn dans 11 Sicile, qui paraît prinripafejneut menacée. Mais pour-¿lever une digue i mu tul on tablé contre toute entreprise nortile, nom avons jugé i propos de déclarer, parce* édit, Sas tout le* individu* de nos Etats sont nés et naissent toi- au, et tout! obligé* & prendre las arme* pour la défense de notre sainte religion.catholique , de la couronne et de leur propre vie, dam le citoirti objets lacré* seraient ai tiqué* par dm barbares, ôn par quel que nation eaheibie que ce soit. D'après ce principe, tous nos sujets, depuis lTâçe de 17 ânt jusqu'il 45 , sont camés être inscrits dans ici différens corps de Ltémée ¡. el ils devront, lorsque le* citron »tances l'exigeront, ,*e prêtepter i ces corps pour y faire le Mnjcc militaire, suivant le* réglés.établie*■ Nous même» , comme cbef su- pjêrae de rtû* IrùUpe* royale* , Stiui que rto» auguste* il# , aom me »principalement, compris dan* cas ïllpitre rôle *âlî- taîre , et nous serons 1rs premier* i aacrîfîer notre vit pour la défense de la religion , dalam.aa*rchk , et de ta patrie. i*
Le tib Jcntpls Bonaparte avait embarqué un grand, nomhre d'effet* sur uq navire géntri* ; ce bâtiment fut pritp^ruu conaire barbares que, et reprit en tut tapir de* vais seau» de guerre napolitain*. Le ministre français a réclamé ledit navire tomme une propriété çike; ^jvaut C· qu'un apprend , il ne lui a
point ¿tê fth une lépouie latüijusaute i ce sujet,
, ■ 1 < ■ ‘ * - , - 1 ·*-
_ -RtiUBUÇUl Ko MAI N«· Dé A™« Jt 6 Jrueêérfar.
I
Il paire ici ton* les jours de* troupe* françaises qui prennent h .rctlitq de* frontière* du royaume de TÎa* pleinsJdésertion ftlt mile dan* le» troupe».napo-, lit aines. Nous yûyoni arriver tout les j ours 3o i 40 cîé- SCrtcur» qui s'incorporent avisvipi dan; no* Ugionl,
Le ville de Guetta ch remplie d'émigré» romains* On eu augmente les fortification» , et pn forme u* KUmp tout apprit; D’après des rapport 1' qu’on dit,ar> iKentiquct ,4 auaéu djt ligne napolitaine est d’ejtvîr rent éo mille hommes t dont 11 mük de cavalerie. -
- d*
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Qnqinal 1tz<i
NEW YORK PUBLIC L1BRARY
(
Esîagki. Di Jftrdçid, U 3o fructidor.
La sauté du ministre Saavedra n'a fait qu'empirer depuis quelque* jour*. Les niédecïü* désespèrent de ta ¿uérison, Sa tête est totalement déiorginisée. La cour qui jusqu'ici lui a inarqué de» égards au f&int de ne pu disputer des deux ministères qu’îl. occupe-, . innge crEo À Je remplacer. 11 est question plu® que jamais de placer le " chevalier Aura à U tète de* affaires érmngtrei. C’est te voeu de toui Us hoEumet éclairés qui aiment véritablement leui pairie^ çt qqà désirent.qu'ou la régénéré sans la bouleverser. Il y a plusieurs candidats pour le ruiniittre des.Ënatsmi mais on oe croit pat qu'il *ûit donné à M, de Solcrt qui en est le directeur généralt et qui n'a pas tout·* é fait justice Ici opérantes qu'on avait conçues de lut , d'après tes succès daps l'administration dé la petite isle d’ivica.
I
Anclstbme« Dî Lûiukii, U t fructidor.
4 " ■ "Tl
. Urw seconde esçn-dft mstc iasbî d'arriver in Narc. Elle cantine en cinq Tiisvanx de ligne, donuqustre de. î4_ca- ■ on* «S un de 64, et en deux frégates de 44. Ce soul’de* vaisseaux tout venft qui viennent d'ArchangeL IU prennent des vïyter frais à pheerneii , et vont éiibljr nue'irhtricre dm* là met du Nord.
Le* Btgtet qui se iCu! échappe* de nos h*hii,akOQ( de ta Jamaïque , u tans téfagiés dm* Les forêts *t au et en pleine iimrrection- On apprend pat Jet déntitte*, dépêchés de cette talc, que le gouverneur, lord Bal carras , t fev t troii coinpagnirs d'arquebusiers, pour le* forttï I la toumitnau ou Le* exterminer.
■' La qmatïté de lùrre arrivée de nos -ctjlàtiîei taies «al immense. On l'évalue i plti de rbo1 milfe bsc- ■ riquej. Le prix de cette denrée n’a cependant pu encore baïiifé, - 1 ■ '
Ci^q taineaox de ligue de J'ttcïdrc de Ja Manche vîen-> nent d’arriver i Flyipduthson* le· ordres. de Eanrir*] ThomeAU· Ils ont à leur bord 40 matelots Lriandtis, qui *nt été enlevés à [* grande flîtie comme fcitertienr soupçon 11.D de rébellion.
h
Ail
Onqlnal trorn
NEW YORK PUBLIC UBRj^RY
G<x gle
{(•3T4:)
Après la ville de Londres h c'est celle de. Mançîieiier qtiL
■ pourvu’ le plus «b'ütf'daitemeht, pii ■def contèibtitioue vo-
Inritairei, aux besoins Je l’Etit. Elle a déjà, envoyé plui'dc
51),ri no liv, iteTÎittgh ’ - 1 ' !
-i ‘ ■ ¡l·. · _ _ ;. „ , r, , | , iA
Dublin ,. «n^-eçoté ï* IprdCcirnCYaUii ci k
âq/on cotisait ion» l> nonj de jiâriî^C /a irrrtur, Cçpirn
'devient tâEÎ^’iej 'jtJ'Bts tn Ittandt, rtùla tiar*-
'fltiiJüté piiait·aisti.'bit'ü'rAib'lie. IL^otift cependant epe^n:
d'ine JgrttrJH· ctrhiidirfanûn anprèi tit M. TÎKt on yrnife
nrrMne ifue d e ■ tard'Gtfrawaili a i tailgrié l elfe catifé drt mrWtnia
i «êt’ü'fc'etiplityl**, setfehimôt rtjnpiit^pdr le cedlie^frl·
■ lord¿11 aembl» tpie W. Fit laïc.' JCorfrreie 1« Inlandcis-Llnri.,
jiurirrB£ranidiié*t^KeDi de rixfaade.l·: j
" Les Jériiierês ri ou ventes de l'Irlande muonctnl^ae Lm
’ «cecuarbus tnïlitairci y iont Éoûjoùrs en activité ; ibaqirejour,
an moini douze [rUndaij-Unit, on soiiprçisnués d'Èirtlyniïï,
péritsent sur L'échafaud.
aiêaeinent ghmi qnHques tttimuwulwr vrenoem rtu^oit
’«PfÇvÇi»iK*u·, même datïalcj aavètonvde'DgibLàn. .· -■■ ■■
!Tl&iï réjirmns Vont paNir pour Jej Inde» crlcnoka,' ;t
àiyfÿlThift-A ipi“, le lever dti roi t il y çui nn tput^jl
tut auquel M. Pi it assista. Il était arrivé la viilJx
lirn de Pélewbourg . de Vie une et de Lu bon ne.
. La fannULe do rzrarquii de Waterford a quitté lés env^r<iB
, de JJrtEiol^ où elle sciait retirée durant J en-troubles .qqi ont
ngjtè L’Irlande , <t elle est rctaumée à -Dublin. -La.plus
grande ppùc de rem «ui avait ni été obligés
retourne paisiblement daut seé foyer«, / .
. R, p'Çonwx, qui 1 refusé de nojucihe aux copditqoDi
impolies ipx. prisonniers d’Erat (frlindais-Upi? ) "qui :fMM
conj^nii i s'expatrier eux-mêmes , dççneurécn prison .pour
' répondre aux diverses interpelhticins qui lui seront ÿues.
Le conseille^ Sampton avait aussi refusé de figner Je topte,
jusqu’au jûomépt où on lui a assuré qu'on n'avait ptioU fiil·-
tantion de le1 mettre eu cause,
La recette faite i L-ivcrpoijl , -an bcnçGce des enta u s de
l’infortuné Paire.», s’cSt monté« à 400 guiuées.
Cmglnal ti
Jtijil Go -gle NÉW YORK PUHL .IHRAR
I )
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE.
CORPS LÉGISLATIF.
« .· ;■ ·. 'j ■ ■ · ■-
Siwii dit inm C/ftittils T Jji j 5 AMÊ
* ■ ■ ■_■>■■r ■ ' r .
VOrdrç dw j<JVJ du y6rd# ¿OJJieil dei,Ciyq;Cfnf5t
¿¿ait ia diicuijion flu projet tie tejolutjon £g^jer7
q?nr l'organisation live de U
def hypotheque». ; 1
Plusieurs orateur» opt tor rem ent çanjb^itu fid^e'
¿'¿tublit u$<c adwi&iifration parliculip/y p&ty eet
objet, et de ae pai confie/li perception dp .dfoiXl
i la r/gie du drpn d'onr^gwrremçpi. ,. . \i □
Ptfûh-Dugal.and u y)u h rormitiqij ^uq^u^uv^Uç.
compagnie fjaancipr^ ,.. qi^i abaerhepit ,piuf? de Là
moitié du bépéûee que.-lon espere liif» du ijégijpe
hypothécaire, ¡1 o.biei^c qu'en général tou» les py-. '
tisara de» nouvellescompagnies, jqu^l^qçs bonnes
intention», qu'l h puïjSjcntpyoir ,'icco Rdcflt ks ÿ-HOS,
■aabitieujc» et Je» çupjdité fTpiiLa^d’ip-j
trjga.n» et d'ygi^te.^ ,«t .to^QUrijaux fie 1«
fortune publique, : j
Jacqueminot flt Vnujii. ^ ymt prapppç^ pfiMt ja.
projet de la com/niuiou..}L ¿y tut y pacpirapa^ibk
«t.charger idc wtfj jJaniniftf^tjcnla régie de l'anreghtrcincot
dép jdi4>ccup/e. Si k conseil qp Çrqit
pas devoir adopter le projet, il» demandent qubit
examine h quettiopy si lçS ipçrétiHiÇirgy^eis des
±dB»iuitttatjûn» muDiqp^ pQujrMcqt pat rçmplir.
cett£ fonciipn, .· , ,
■ Le conseil ferme Ip dj&cu^ioji > charte par U qq«-
lion préalable 1« projet de X corptqi4St»U, ci la
ebarge de kl faire dn nou.reau rappoft? . '
Il entend «qiuity Fon» (de Vcrdup) »üi do-
■uaùus çutigéable», et ajou;nf U discqtypn.
. MpOtte, au nom d'une cptqmiation spécial estait
awéiQf vJp *T1 qwï Jf JwU d>p déqine parfupc^
' A a 4
|
Got yle Onglnal iraffi
NEW YORK PUBLIC LIBRARY
’ ( )
en sut du prix de chaque billet d'entvée ou d'abounpment
à chaque spectacle et théâtre, ainsi que le
même droit en fto* du prix des billets de bal, feux
d'artifice, Jetés publiques aà Ton entre en payant,
et le quart de h recette de ceux-ci, continueront
d ette petçu* èn l'an VIT, pour le protlüitén être
consacré itii secourt à domicile et aui besoins det
horpife#, d'après le» proportions'déterminées pa-r-let
uütoritéi constituées. '
1 Fïson-Du^àiand présente un nooveaw projet B*ir
le modb •d’indemnité pour Ici individu« 'dont ;1«·
- pTOprrênif seraient reconnu« né ce« aires au service
pubiif. . r. ' '.
lmpTCStitin'et ajouriictnénŸ,'"1 ' ■* ■
Le Direclorre a adrésié hier'^n conseil uri me UsaÎ
r, qui tit airîvé trop tard pour Être Lu' en séance.1
1 était relatif aux c cm tri butions. Le Directoire y «-*
préieirte que-le taux excessif dé la contribution pi*
ralysé It recouvrement de ce qui -pourrait -Être ré-·
, couvri/si rfk était réduite'a une juste proportion.’
t Cet "avantage une lois obtenu, dit-il, Je» citoyen*
seraient de porter. leurs fonds chez le per*’
cepteur, iündii que, dans fêtât actuel, presque torn1
les cLttryeBÏ,Xrué]lemen-r vexés par le vice de la né^
partîtibn,iontobligé» de te mettre en-réclamation. ;
La Directoire invite le conseil à prendre cet objet
en cbn il dirait on. N l'invite tUï^toui 1 considérer que
te dimitnlrioh à flirt sur te éontriburion persorfnplte
exigé un Terti^hcemént-ptc™p+ tel· Usure-«tu quel·*1
qu'autre mode de perception rtoiüs onéreux et mieux
réparti. ■ ■'■■■■- ;
Renvoi à la-camraiiifon des finances.
Aubert présente un nouveau projet «ur les <kmandes
en décharge ou réduction des contributions
directes dei années V et VL H y est dit que tout"
citoyen Ëdrtlfé à une contribution excédant le cinquième
de «e» revenus nets, sera admis à té cl a maria ridais
« les deux mois qui suivront La publication de ta
loi, en joignant à tou mémoire un certificat de psiement
du tiers de la contribution contre laqûeîlc il
* Tcdame; tc* un extrait de la matrice dn rôle <conte*·
_ nijt'-iin.·
KFlM rofilt PUBI.1C Î IHftARY
( 5? 7 ) liant le tableau de ici. biens et leurs évaluai ions; 3q>, une déclaration du. rcVinu. net auquel il évaluera lui-même chaque article de ses biens-fonds
Pour la contribution mobiliaire, personnelle et somptuaire , le .contribuable cottisë au-delà du vingtième de son revenu net, serait admis en réclamation dans le meme délai de dcilk mois , en justifiant du paiement, du tifrKde sa contribution, tant en principal qu'en son* additionnels. ;
Impression et ajournement à «4 heurts après, la- diltribupom -
Le reste de -la séance a été i-tnployé à la discussion . du projet concernant'.l'impôt sur les tabacs.
\fatin s’cit êl«vé contre ce -projet. Il observe que. la réjeçtion de l'impôt sur la tel doit entraîner celle d'on droit sur le tabac, parce que la saine niscm Je. réprouve également; qu$ ce projet offre trop de points de contact avec l'ancien fisc, pour qu’cm ne s’empresse pas de le rejetier. .
Dubignun Tatisque aussi. Il entai qu'ou ne paT-i vienne, par degrés, à mettre des impôts rur tou* le· objet* de première nécessité , et : à rendre ainsi odieuse au peuple une tévdulicm dont iL espérait un. soulagement à se* maux, prolongés pendant 14 u^i clés d& monarchie. En vain dit-on que Je. tabac cït-un objet de luxe; il est devenu pour .beaucoup de ci-.: tryyenx un objet de première nécessité. 1
Rioti a. défendu 1 opinion contraire· Gçt impôts pdrçu de la maniéré indiquée,ne lui parait présenter auton inconvénient grave. Il est nécessaire de soute-' nir le gouvernement républicain ,<t de faire face aux dépenses. L’on n'y parviendra pris., «'il suffit de re-· j citer la. proposition d’un impôt, dé* qu’il existait loua la monarchie^ .·
Le conseil afoornt de neuve™. ■
Aujourd'hui iH, à-midi précis, après une salve- d'artillerie, les membres du conseil des Cinq cents, escortés de leur garde, Sont entré*, au son des im* trumens militaires, dans la salle de» délibérations ,■ en pai'&âtit duveiliaiiü dans la grande co^f, et de-là dans les couloirs par la grand escalier.
lOl 'R^ H6W VtJfllC PUBL IC UBftAÏ
En face du bureau ( et du cote trppojé à la tribune
« était placé le conservatoire de musique qui,
avant et après le discourt pt□nouer par le président,
a exécuté divers morceaux de musique, lant instïil·
mentale que vocale, qui ont produit lé plus grand
effet itir les amateurs.
LZ dhcouis du président, beaucoup plus cojrt,
nais, non moips éloquent.que ceux prononces dans
eu circoustïttices, a ¿té écouté avec beaucoup d'irttérôi-
-îjn vvici la substance r
“ La République, invincible au■ dehors,,était lut
Iff point de iucctiBihxt lourdes coups de tes ennemis
intérieurs. Terrible à l'égard des puissances qui
avaient osé l'attaquer, .elle reculait ses bairieic*, Et
tlicaervoyait à la veille de disparxitr« de son propre
territoire. Pour cnuqommer Jr perte de set défenseurs,
les cahitmi««. Les proscriptions çt les assassinat*
étaient dirigés contre eux par ceux-mimer qui
ie trouvaient au milieu d’eux, avec un tel seba meurent
et une telle précipitation, que ceux qui tenumandaient
et pour qui lefaiiai* la contre■ tévolüùou
, se plaignaient que les exécuteurs de leurs oïdurs
y nueitaieiii beaucoup plut dé idc et de précipitation
que de ipgetie t«t de néfiniou.
*1 Egarer les amej simples et timi dti pir Je trïtfe
wuvétiir du régime de. la terreur; réveiller per de*
clame« ri s cd crénelles le fanatisme, fatigué, de ni
longs fàrfatlj; menacer lé· acquéreur* de biens jutioiiaux
,1e ut ravir du propriété· Acquises sous k
garantie la plus »crée ; rappeler sut le sol français
4w émigrés qui. ne, respiraient que La .vengtfpDcc ;
leur accorder Ici béent qui étaient le .gage des ïaeri-
6î«i que la nation, avait faits pour Couder K cbt^Mituiion
: tel était le résultat prochain de» min oeuvres
des royalistes. Tous le* moyens devaient être .mil eu
image, tautu le* vengeances devaient être impunieli
tou? les etinics devaient être scelle» par l'assurance
dsi pardon, pourvu qu'ils fassent cannai* eu haine
de la· liberté et de ia révolution; jet. du ctqlbtve· d«
Kok« aui* paès.dou delenifuis de fa liberté, ail aie ai
Hé truite. en moins de cinq moi» , l’ouvrage de <i»q ^.nuéci» Je ttavail , de peines et de danger*,
. w’ Dans une cti*e.aussi pétille use. d»ns un Jqi|?.lïieT1^ On lia République ¿fri' menacée , atpqitéc, *t Jur lç point d'étre renversée par le» céçrts .d'jinc partie ¿4 «jk que la patrie 4FWt pkcéa dan* u*i pp»k piu* ¿mjiis*t.ipovr-h· dc£endi(e av<£ plus de Üd^ti tle courage, que devaient faire ien* ^ui·, plaças XUêine poste, JcÜ ¿uk*^ rpstti cap*ian*P5#H
fidelles ? Ce «pu'jte ont fait k VS fructidor, prendra une 'de ces snéiurci audacieuse», frapper un fie pes ftorips har*lis q«i -fiiLveat le* rtépubliqucs oit iicbe- yeUf de ks tenverser. Le pa» ¿vit dp^serip^ jmi$ slOiHe,, njart Jl ii'.jr CM* paj pj rnpublic^Tuqp·1 .f'w çentît la nécessité, et qui ne préférât k danger d'unf Jéfaite,!ou qwe b vkt«ire eikmème pesait
ea^raîqAC, su malheur prochain et inévitable cfut^Or ■vqrserucut;total de h liberté et de;k cQMiiiutiéB*.
l rr Hdnncuf jtux amis de la République.1 HobbCüC «ait¿¿latent* de ta prpjpénfé et d«M gkupe> I?àü£^ -gÏE duji icu] jour pouvait entraîner i'tuiaiçhk dp fduikitrs atniéCÆth Rrt dp* ^entaf* révolutipppaît4* pouvait le totfltTyOCP/neotd’unt nvçlrjtjpn oopr vfUfi, ¿nQ$ ptapre* k prie ri pouvaient .«clu^ger eç d^pnèJî mais. j«>n , ¿4 RtpHbjiqve .a W Wr îement triomphé, elle a encore recueilli Ict fr^yi de son triomphe. Ce jour qui-pou s ait être, çk quel- qui» côté que ftt 1? victoire., jour <k déiQ^e, de deuil ;et de vtujeqnûe, a.,éi(é up jopr 4’flfdtet d'humanité «t de joiçr Le» v/ûpçtn., (tout c rimai al* qu’il^ étaient, ne furent frappé* que de k-tpapwçf dint MdRCRC irrité, mai* .tpujoups pere,■ fr^ppji }4c* itukfu coupablej. ·. ... * . , ,
j rtt La journée du 1$ fri^ctiJjot am-eqa bientôt l*f prçlîmjoatit* d'une paix glorieuse, C'est a «lie ,qqf Wtl 1 s*;, article* mêl$| à Léobqn et k 1441^ de fia£ço-|?QWïk. Si uns p^ix déBnhive i*kp -eV’,pif encore le résultat, cette pais n’eu est pas rupins k plu* ardent, de vo* vce ux ct de ceux du' pouvoir opté- XUttï, JVtji» il kut qu'cllç IPk laite i*ub lixpp^eïicc d aucun opprobre pour h nation iiaa^ak#-.»
Goc ^le
.1H fi AF.
i SSo ) l'apparence d'anturt domorragt ponr les Républiques te· alliée* Oui, la France préfère la paix, à dé t>üu- veanx triomphe»; mais elle préfet* b guerre à un« paix qui ternirait tes lauriers et ta gloire. S'il faut que h guerre continue, nos brave« guerriers «ont encore là, et nous avons (oujour* ce héwa comftii* tint en ce moment une expédition m.jesttjeust* et pir la jrandenrdc 1rs apprêts, ét par son glorieux début, et par1 J’obaeurité même qui çn dissimule et en gratuit le succès. Ftvt M République ! >>
La salle retentit des tris de vive la Ripubliqvt ! .
Üri nouveau concert d'inarrumene et de voix te fait «»tendre, et le conseil s'en retourne dan* le même ordre qu’il est entré. Une nouvelle salve d’astiHerie termine cettë fête. : .
Portier (dç-l Olic), organe de la cotüini&tïon d'inl· tructien publique, a fiit, Je ig, un rapport eut le mode de régulariser les établisse Biens conatiï, dans les collèges, tous le nom de bourses. II propose de porter àitoo celles du ci-devant collège dit de - Louis»Je-Grandidu catMOii de Paria, appelé aujourd'hui P ry carrée français, et d*eti répartir la no misa* tîon entre tou* les département de la République 1 ithns la proportion de la population - L'adnri niitra- tinn centrale nommer ait sur la prése ütàtion d'un jury 'examinateur. 1 ‘ :
Impression et ajournement.
On a rapris la dixeussien sur ¡'impôt du tabac, Üaurcnt (du Bas-Rhin 1 parle contre, 11 le ifrgtrde comme darigflreùXiitiutile et ne (outnxWt qUlàtTpto& des contre baudiert. . ' ■ \ ...1 r
' Pison-Dugalaûd soutient que la tornniiwoit a esté dans tel calculsque la ccDiommation iifr t'éhve ta plus qu’à ¡3 inûrtk de son estimation, et qUe'1'101 pât ne rendra peut-être pas 4 million«, an Heu de to,
Bailteul veut.défendre les calculs de la tiustmiMinn et en prouver rcMcûiude ; maille conséM ajonme encore.- : ' J' ■ h . ■ -■
* La discussion e«t reprise le lendemain, - '
Du plan tier dit que l'assertion de Fisen-&ugaland n’est nullement fondée- ■ J ■
Unoinai rnsm
NÉW YOftk PUB UC LI BRAKY
Go< igle
( M ‘ '
Piton répond Jp’ÎI a vÉriRé de nouveau le Fait Jirancé per lui, et qu'il est prouvé que la commi»* liàh a exagéré de moitié J a quotité de la contera·* ma tien. ■
. BaiHeul observe que dans cette supposition même, l'iitipôc produirait encore 8 in il lions.
Grrrrau demande qu’on arrête au rubini eu principe qu’il y. aura pour l'an VU un impôt »Ut le > tabac. *
■ ■ Gerle proposition e*t adoptée, et la commiiston chargée d’en déterminer le mode de perception. Le conitil at forme ensuite en comité général, t : Organa de h commission militaire, Dclbret présente, Je a«, 1«.diifércni articles d'une résolution proposée dan» le comité secret qui a eu beu Ja veille,. Cette résolution est relative aux réquisitionna ires . désignés par l'art. 8 de la loi du <3 août 179!, Voici tes articles tels qu'ils ont été adoptés en substance 1 :.\ Ait. IÎT, Tous le» Français mi» eu réquisition, et i appelés à la deferite de la patrie, se rendront sans t délai aux armées de terre. ' ,
| ■ II, Le mini*trc de la guerre enverra sur le-champ.
des instructions pour que Jet requit! donnai res re*, çoiveut, leur ordre de route. 1 ,
IH. Sont »eulemenr dispensés de rejoindre, i°. , c*ür qui sont porteurs de congés absolus en bonne forme ; ceux qui, rentré» dans leur» foyer» , te xout mariés avant le»**» germinai an Vii 3·, ceux des officier» ou »ou »officier» donila démission a été acceptée par le, .mi tu tue de h guerre1 4°. ceux qui Xtrut inseriti pour le service de la marine , et sont iratuajiicnlés comme tel»; 5°. ceux qui, en rai ton de Leurs infirmité», ont obtenp des exemption).
IV.
Nulle autorité civile ou militaire ut pourra mettre, en réquisition aucun de ceux qui ont été
_ compri» dan» l'article précité,
V.
Toute» dispenses de service, autres que celles mentionnées ci dessut, sont aqnuliëei.
VL Deux moi» aprë» la publication delà présente, nul requisì bon natte qui c'aurait pas rejoint, sera biffîé.du ubleau 4< la garde nation a Lq lédtniatre. lt
-■ .*
Got >gle
Uriginal
NteW ¥ÛKK Putì L1C Ll K RA K ï
■ i 38ü ) ,
ne pourra exeréef les choit» de citoyen, nî remplît
sucune fdTicfiotL publique , ni recevoir sutuni legs,
ni recueillir aucune SucceiïLon directe ou collaterale,
qu'es Lappùitaac un con^é absolu, en bonne forme,
•ti, an cérEr&car atietiauc qu'il éidit marié avant le
i'1· se minât an VL - , 1
VH. Tout réquisitionnai ire qui àtirs refusé de rejoindre
, sera considère comme déserteur , et puni
comme tel, , ■'
V<lîi Tout signataire de congés nph légalement
déliviés, sera réputé fauteur ou complice de déset«
tiotr, et puni, connue tel, de cinq insèes de feri
IX. Sont exceptés p:ovisoKemenl les othcieri'et
iüus-plTîcjeti renvoyés dans l?ur» foyér» comme sur*
numéraires, CCtui qui oui donné litxemen: leur dé*
fnioion, si elle a été acceptée, tant’ ntsnaamj l'obligation,
de se rendie s’ils en étaient requis par le mir
nistfe de fa guerre ce CÎ14 ils servirai eut dans
le gtadi qu’ils cetupiicbti l’époqiàe de leur réfo/inc
eu dé leur démission, Toutet autres dispenses, la us
quelque piéiexte et pour quelque» motifs qu'éiles
die rit été ottécuti, sont regardées comme noh-aveiloes,
' . . ■ · ..·
5L les mesures prises par le EXitecroire pour f*·
Voristr la population et l’sgrictihura daiuvlce dépàrtemtus
dis rOütsi, sont prorogées pour foi requis»-
rionrtair«*) dé ces départeitien*, et pou. tout mta»È
¿tré étendues aux cou te rit s si les circaumucce
FesirîCTtt. : " ■>■·.■ 3
XL Le ministre' de ht guerre rfewcurt chargé de*
mesures à prendre pour j'exécuiiou de U présentev
comme aussi de dennei' cdui lél ojdrts ■éctsiairo
pour qu’clie it’éproüVe aôctlri têtard.' 1" ' S
P or le : Le fappbr t dont notre rollÉgue TMlhiét »
fait précédé? fa résolution dont iioüt,™ei de te*
connaître l’urgence, mérite dé parvenir, non-seuic->
ment'â tad» les Français, mais encore aux puUnates
étrangetés, firenferme ici leMÎmcdf dont je CarpF
législatif ét le Dtticioire sont constamment animés*
leur» voeux pour la paix , et les moyen» que je Fou*'
toit exécunt a ntii eu &*ge pour Fubtenir ¿du dol-
Cmqlnal trzn
MbWTORfc PUBLIC L1BRARY
( 383. )
ditions jones. mais en tnirnc ttmj iio notables, ainsi
au’el'çg doivent l'étre pour la République Française,
est bün que 1 Europe entière soit informée de nul
effo; Ij pour procurer le bonheur des peuples ; et que
si la guerre recommence, ils sachent qu'il n'a poiut ,
dépendu de La Frjncc de leur don net la paix.
Je demande en conséquence que ie rapport qui
voua a été lai· hier toit imprimé en Français et dans , 1
Tés principales bogues qui se parlent autour de üùi4<
On a procédé dans h séance du 16 du conseil de»
Anciens , au renouvellement de la connu ¡mon de
»urvcillance de la trésorerie. Le dépouillement du
scrutin est interrompu pdr un message du conseil
de» Cinq cçtiti,dont h lecture doit être faite rn comité
général. — Les spectateurs se retirent.
. Dentzel propose, le lf* d'approuver la résolution
portant que les conseils de guerre et le» comeilj de
, révision jugeront et réviseront réciproquement Leur»
jtigmen». ;
j Lcinéhuei trouve de grands inconvéniem dan*
i cette résolution« et demande Fsj'ournemeïit.
Lç conseil ajourne. * .
Chasse t a fait, le même jour, le rapporteur h résolution
relative aux domaines engagés, 11 eû pw·
pose 1 approbation.
L’impression du discours est ordonnée.
Sur le r jpport de Colombel, la résolution qui itip*
prierc les prepo « aux recettes dans les chefs Lieux
de dép internent, et Eue le Traitement des receveur»
gêner «ux et de leurs préposés. Bit adoptée.
La séance s tst ouverte, le 18. au bruit.du canon
placé dans le jardin des Tuileries, et des airs p s trio
tiques qu'exéct te le corps de musique attaché au
conseil..
Le président pranonce un discours relatif À l'an·
: niversaire du 18 fructidor· Il retrace la tit.uatîcM» da
h France à cette époque de Fan V, les efforts de ses
ennemis pour la déchirer ; ,ii peint le royaljjnié, la
corruption occupant les principales fonctions de ¡3
République, et conspirant pour la détruire- Le 18
Cio -gle
■ '( .«4 1
fructidorviüt me me un terme »ux maux doçt non*
étions menacés. Dès qu'il eut lui, ou vit s'évahouir
ii coalition nouvelle qui ne s’était [armée que parce
qu’cite comptait *ue k$ nombreux traîtres qu elle
»ondoyait en France t c’est depuis cçtte époque que
nous avont détruit l’alygaiehie 'et la théocratie ,
rendu à h liberté i’Helvétic’etRome, pris Malte, et
formé cette expédition dont le but est epiore un
secret, mjj dont la gloire émanera le monde.
Le président cappella ensuite aux Français la grandeur
de* destinées qui leur sont promises; aux Piil·
lie ru particuliérement la prospérité à laquelle doit
atteindre leur ville. qui, dit il, doit être un jour le
Centre du tomme ce de /Europe, e* le rend« voir»
du monde entier. Il les invite tous à se rendre digue»
d’un aussi heureux destin , et à seconder le gourerii
cm eut qui fait tout peut le leur assurer. i
lies cris de uivt in RtpnbLigut'se font entendre de i
toutes parts.
Le conseil ordonne l’impression de t* dit cour» à
douze Exemplaires.
La séance est'levée au bruit des airs patriotique»
exécuté» par le corps de musique. -
- Lavaux a fait, le itj, le rapport sut La résolution 1
du 4 fructidor, relative i(lt conscription militait:.
Il examiné écrit résolution dans se* rapport* avec
l’état militaire et politique de b République/avec
‘l'éducation,Je commerce et l«s intérêts des individu*,
H divise son ex»men eu autant de partiesquü
y a.de titres dans b résolution.
Le titre Ph, dit il, fonde h force de l’E±at sut Je
système de ta ccucüptùm militaire, La voilà dont
réaiÎFéc, cette idée sublime et patricrique dû maréchal
de Saxe, de ce héros de U France monarchique,
de re héros qui la sauva tanr.de fois; de ce grand
capitaine qui osa penser en républicain dans un tems
oi fa plupart des courtisans s'attachaient à perpétuer
le régné des privilège!. Le maréchal de Sixà
voulait que tout h o-mwt, quelle que fût sa condition,
fût obligé de servir pendant cinq année*, parce que, ,
diaait-il i'toat .homme se doit aq service de son payf
Google □rdral rr:~i
¡NEW ïGRüt PUBL IC LIBRARY
(3*5 ) ■
Ctttc idée de conscription est conséquente aVtc U »ystêmc établi en Europe , de la permanence des n* mets. Adoptons la résolution, et nous verrons'err tenu de guerre des armées formidable! t'avancer du centre et de toute: les patries de la République pour couvrir sti frontière*; et le gouvernement calculera désormais avec certitude Les défaites de nos enncaii>»
Le üysrétnc de la conscription qui, lu picniicr aÈpeçr, parait |i douloureux pour Ici familles t cft Ce qu’il y a de plus propre à assurer la paix du pay* et la tra nquil ! if é des parti entiers. C'est souvent parce 3ü'on a de très-grandes force a , qu'on est dispensé 'en faire usage, ÇLie le Directoire, en te ms de guerre, toit engagé dans des-négociations difficiles} qu'un ennemi oppose beaucoup de résistance aux propositions qui lui seront faites τ Je Directoire tu- verra un message au conseil fl ci Cinq cents, pour lui demander la levée de la première cksje. Le décret ■era rendu iiuii-tât t il aura l'effet qu'unt produit plus d’une foie leikfill* du parlement d'Angleterre , qui, au bout d'une longue lierre, accordaient des subsides au roi pour la continuer ; et souvent la paix fera conclue avant le départ de la classe appelée.
Le' titre II admet Ici cnrôlemeqi volontaires. Ce mot d'enrôlement a éveillé toute la sclltcitudc d& la connuÎseÎûji ; elle l’est demjmdée ή ce système ne tendrait bal* comme autrefois, à, corrompre le» meeuis, à offrir un asyle au vice, à séparer du peuple l'armée- destinée à le défendre , et par conséquent i favoriser les desseins d'un ambitieux. L'ait, VI de la résolution a répondu à toute* ce* craintes ; la première et essentielle condition dç F enrôle ment volontaire , sera l'honneur ; on sera obligé, avantr d'étre admis t de jujtiici que jamais on ne fut repoussé de la société. La commiidou n'a vu dam Ib mode de recrutement qu'une faveur accordée aux Français braves, mais peu fortunés, un moyen de, firocucer aux conscrits, lorsqu'ils seront appelés dan* es rangs, des guides expérimentés; eflün l’étai t T appui dti système de conscription.
Le titre 111 fixe l'âge de la conscription de vu an» Tî«î JfXXfZ. B b
Goi 'glc
( 386 ) , ■
révolus à »5 am aussi ré vol tir, Le ma ré t h il de Saxe
avait aussi voulu qu'on choisit les conscrits parmi
les citoycm de «o à 3o ans, H ïcn résulterait, dilait-
il, aucun inconvéei eut pour l'Etat. Cet aimé ta
vont telles du libertinage , ¿elles où- h jeunesse va
chercher fortune. Ainsi cç service, auquel on remploierait
pendant ces années, ne préjudicierait ni
. à elle, ni à sa famille, et proliférait il'Erat. Nom
ajouterons, citoyens, qu'à se ans l’éducation tir S
jeunes finie, cl qu'on ne pourrait conséquemment
pis reprocher à la réiolutioi] de l'interrompre
ou.de l'empéchtr. Nous dirons eucûro qu'à
«S ans l’homme commente à É*er se» idées a à se
former un plan de conduire, à longez au destin du
reste de Sa vie. Ainsi la loi Ht le prendra qu'à l’époque
oA il aura acquis toutes les eon naissances nécemîre
·, et la patrie l'acquittera du service qu'il
lut doit, au moment où U devra songer à tan établi**
sèment et à sa fortune. ■
Tou-s le» Français étant égaux tn droits, il est naturel
que nui ne soit admis à commander à ses coucitoyens
avant d'en avoir acquis le. droit par l'an-
CTcnnvlê de service- Ainsi en résumant les disposition!
générales de Il résolution, on peut dire qu'elle
«snre la gloire de FErat, soulage la société, et identifie
les citoyens avec le gouvernemes*. Elle confia
au Directoire exécutif toute la force d’une grande
1 nation. Que ne pourra t-H pas ave« de ttmolabl«
moyens? r
La commission propose d'apptàuvet la retolutïon^
Elle est approuvée.
Le conseil approuve ensuite, celle- qui proroge
l'impôt sut les billcrs de spectacles, bals, etc,
La résolution qui fisc les dépenses du Directoire
exécutif pour l'in VII reçoit de même sa sanction. <
NubUt f,.[t, Le ai , un rapport sur la téiclulion
du ô fructidor, quiTikç les dépenses du bureau de l^
comptabilité pendant l'an Vil. La commission dont
il est J'crg.me a reconnu , après un examen sévère
que le nombre des employés et le montant des dépendes
de ce bureau étaient strictement proportion*
f L'I . ■ : Jïnn-
MEW ÎÛF.K PtlSLl C LlfiRARV
Ir
... . t38?J /
nés an besoin ; elle propose en conséquente d’apporuver
ia résolution, ' ' ' t *
Le conseil l’approuve* '
' Legrand fait un rappott sur la rêï'oltiridïV du i£
thermidor, qui ordonne rémission de 45 ¿Aïtliôni
de mandats territoriaux pour ecintiriuvt· lé FAiAvur*
»cment de la detife publique moliiüsie- > ■ ■ - '
Ce n'est point ici, dit Legfand, la création' cTuri
nouveau papier-monnaie ; il s’agit' de fournir assea
de moyens de rembourser le» deux, tlàrs niiobijisél
de ta dette publique. Sur 65 rnilljotfs. de?'mandata
émis * il eu est rcrntfê déjà Go mille, dé suite qup
lu Liquidation est arrêtée par Le défaüt"de" rïïoyEhJ
de rénibotirser ceux dont les créance· sohV liquidées,
' r ‘ ■
La iormnis'icn propose'd*ipprouvér la risbluiio^.
Le conseil l'approuve.
Cornet fait un rapport Sur la résolution du ÿ fructidor,
relative aux dépenses de la marine pburl’aù
Vil. Il indique beaucoup ¿’articles de dépense où (1
croit reconnaître dé la confusion; d'autres qu'il retarde
commue susceptibles dp beaucoup rrécoàomie^
Néatirnoiïis il propose d'approuver la létal ütîoij.,
pour ne point retarder les travaux dé U mariné*1 '
Le conseil l'approuve.
Légier obtient la parole pour urte mofiori d'ofdre+ '
danp la séance du 13 du conseil des Cinq-ccnts. * _
Citoyen» législateurs, j< viens jppellèr' veut bfteutÎQU
sur un abus qui a Iréii'éanS letculrriie br des
section» des tribunaux civils et ccureciionneli. Cet.
ubirs entrai ne les1 ptus giïn*ds ihtonvéhicm , soft
parce qu'il· suspend outaterrôrhpt Te conté dé la justices'
soit parce qu'il co&tt des frais énôtmts efi pure
perte. D’un côté, diminuer la dépense Hé la jurticb
criminelle i de l’autre , la debarrasser des entraves
qu'y apporte cftip SOùvènt Finexpériince 5 vOill le
double but que je Vous propre d'atteindre. Vous
tavex, qu‘À l’excepetob des présidens et des accusateurs
publics, les tribunaux criminels »ont composés
de-juges pù» dans le tribunal civil* Gcs deioiers ti’ÿ
;a* - : Ü ù »
t
Ontjlnal tram
•JbW YORK PUBLIC UBRAH
( 3H ) exercent que (empara ire™ ent, et leur icrvice dur« six moil, aut tenuei de h constitution.
Le tribunal civil fournit également des juges pont Je service de» directeurs du jury et de la police cnr- tecricHmdk» Les lois des ig vendémiaire et ’ brumaire an IV, disent seulement que les juges du tribunal civil feront ces différées servi«» suivant F ordre du tableau. U fallait distribuer les peste* aux j uges,et non envoyer kl anciens jugea, suivant l’ordre du tableau , au tribunal etirninel.
On prend ensuite csui qui suivent immédiatement pour le service du directeur dujjury et de la police coirectiounelk ; et quand les six mois sa s t finis » le» juges du tribunal criraiuel retottruent au civil, et le» directeurs du jury, on président de vj police correctionnelle passent au criminel. Qu'en ièsuhe-t-11? Les directeurs du jury trouvent au tribunal criminel tous les actes d'accusations qu'ils on* tédigés. II* ne peuvent pas en code Ht re comme juges. Il faut les remplacer; il faut chaque jour appelles du ' tribunal civil d'autres juges ; eusûrte qnç Je service que les anciens directeur* du jury étaient destinéiÎ faire au tribunal criminel , 1« réduit presqu’à rien , et que ks section* c. viles sont désorganisée* par ù «ortie de ceux de leur* membres quj sont appellés , en remplacement. .
Pour remédier à tou* ce» ioconvéniens, je propos* *u conseil le projet de résolution suivant t 1
A l’avenir, et à corncnenccr du i5 brumaire pro* cbiin, Ici directeur* de jurys ou président des tribunaux de police correctionnelle rentreront au tribu* liai civil après le* six moi* de leur session. Ils itrufli tcmphcéA.par kt membres du tribunal criminel, qui Je seront par Te* juges les plus anciens du tribunal civil, «rivant l'ordre du tableau. .
Renvoi à une Commission spéciale. . .
Organe d'une conmusjjon spéciale t Duplantier cuttetirnt le conseil des lacunes de la loi relative * Ja ccmCtainte par corps. Chaque jour il se présente divers cas A résoudre, sur lesquels cettt ldi garde la «iietice. 11 présente en conséquente, pour lui ter*
Güi ^lç
DlUll·.!·!! i!/
Jr j-ji frar
NEW ÏÛfiK PilBtlC LIHKAKt
, {.
VÎT de complément, un projet dont voici ks principales
dispositions; '
iD, La contrainte par corps ne peut Être exercée
pour cause d’engagement souscrits ava ut la Loi du
g mars ijgî qui tn prononça l'abolition, et dont
l'échéance aurait précédé la publication de la loi du
15 germinal qui rétablit la contrainte.
«·. Tout jugement contraire à l'article précédent'
demeure tant effet et comme non-ave nu.
5*. Seront néanmoins sujet» i la contrainte par
corps les debiteurs d'effets de commîtes souscrits
avant h publication de k loi du g mars I7g3 , et
dont l'échéance est postérieure à la loi du 15 germinai.
.
Le conseil ordonne l'impression et l’ajouraeBient
de « projet. * .
Le projet de l'impôt sut le tabac présenté par
Ëatlkul, est encore l’objet d'une longue disçuî-
< sion clans la même séance.
i L’on est enfin convenu de ces bâtes ;
f 1“. De déclarer libres la culture, te commerce et
la fabrication du tabac.
s°. De prohiber l'importation du tabac fabriqué ,
ou seulement prépare dans l'étranger,
- 5“. D'assujettir Je tabac eu feuille, venant de 1'6,
(ranger, à un droit de 3c francs par quintal, lorsqu’il
: est importé par navire étranger ; et à un droit de
te francs, s'il l'est par navire français.
, Mais cet impôt n'étant pa# juÈsant pour faire. le(
i m million* qu’il doit rendre, Bailleul a proposé de
' faire payer à tout fabricant de tabac, une patente
Spèciale 1 raison d’un décime par livre pesant.
Il s'est élevé une foule d'objections contre en
mode de perception.
Plusieurs membre* prétendent que loin d’atteindre
i à dix millions, on cq obtiendra à peine un.
Le conseil renvoie çti article du pmjet À un nouvel
examen de la commission, à laquelle il adjoint
Bergasse , Maiès et Dauchy.
Le pirectoirc avait demandé par un message du
b b 3
□r □ nsi Itam
NEW TÜKK PUBLIC LBRAftï
E >
fi fructidor,lu conseil, de fixer la législation sur le
pQtt de fa cocarde nationale. -
DifléreuCes lois ootété rendue» sur cet objet ; mais
comme elle» sont incohérentes, il en résulte qu'il
rt'y a aupciMie peine rexmel-lemént prononcée contre
les citoyens qui refusent eu dédaignent de porter
la cocarde nationale. ' . . .
Le Directoire propose de leur inflîger une amende
Ct un emprironnenïtor de quelque» jours. -
Aujourd'hui, Goran, par motion d'ordre , dît;
Vous >vtr renvoyé à une commis ¡.ton un message du
Ditectotït r concernant m loi pénale contre ceux
qui négligent ¡de'porter la”cocarde , ce signe iacié
de liberté; il erc-«nus de ranimer l’esprit public T li
ion atfaibli par h funeste réaction, il est tertre de
mente un terme aux icntrltcs que 1e·1 conspirateurs
prodiguent as signe sacré de la liberté française ;
mais il est Encore une ilitre classe ullommes qu'il
faut désigner à la vigilance de la poiiee. Je parle
de» étrangers, 11 eu est parmi eux qui sont parmi (
nous les agent de Pitt, La palitiq'ue exige qu'ilq
ioient cûTitms, Un moyen fjCiie d’y parvenir , ce
serait d obliger tous les étrangers, de quelque cou*
née qu'ils soient, à porter h cocarde de ietrrn;rtion>
[c demande qnt le rapport attendu sdit tait innésÎamincni
, et que mon trbserYncjDq vur les étrangers
Oit renvoyée â h fonnnstreslon. ■
’ Cette’dtfiitrie proposition ert adoptée, "
On.femarquç dans la correspondance du sij “nwe
relative aux enta ns du U pilrtt·, dotrr les
tlouTïicci rte «ont pat payée!, '
■ ’ Delaporte obtient aussi tôt b parole ,·et l^tibâdp*
fer à cet égard uir projet de résolution portant qu'à
fomptcT du Ier· vendémiaire-, ls somme accordé«
fera ré partie'dans les distribuiitnir de fonda du Dttectoicç,
dt chaque décade, de raatntTe que“ ce qui
f?r tld pour cet opjer soit acquitté sans délai.
Le thème membre fait adopter un autre projet
fonds recouvrés <-en
t de la couirtbutioo
Go NEW xükk PUÉHJ t . ■ <-
_ ( Î9t )
nobiliaire et lomptuaire , sera mite i la disposirien* dû ministre de l'intérieur, pour être affectée spécialement iti soulagement de* hospices civils et des en- fans abandonné*.
. Sur Le rapport dç Vinet , au nom de la commis-- ■¡un des finances , les dépense* du Corpf lëgitlgtif, pour fan Vil, sont fixées, »avoir : pour le» Ancieui, dépenses ordinaires, ÿ.68o,5iû francs ; dépeusca-ex- traordiaaire», îi3,5<iù francs : pour les Cinq-cents, dépense* ordinaires , T,3ti,^5o franc* ; dépenses ex* iraard maires, lo.cqo fri ; archives, 55,oqû fr.
Organe d'une commiinoû spéciale , Sonthona* présente u· rapport sur le» difficultés s a tu ccne *c- nau*antes entré les communes et les ci-devant ici- gneürik »p sujet des halle», sur lesquelles ce* derniers percevaient un choit de hallage. Son. pipje{ » pour but principalement de mettre les iiajle* à L* disposition des communes où il y a dc*r£q*re* ou marché·, sauf l'indemnité du· aux propriétaire* de 1 tes établuicHicn*, et de prescrire les formalité» de vente* à suivre par les doux parti«*, pour que la propriété de» halles »oit acquise aux commuât*, impression,
- Delbret , m com d'une cçurmissio·* spéciale,
- propote de rapporter l’art, XXVIII de la Ici du «4 1 ■»VT41 179!, sur la suspenrion et annulation de* vente* de domaines nationaux, comme çontenant j» effet rétroactif* Neanmoins les adjudtcarioujiaite* légalement à dt* communes ou aasociatiotis, ayant h promulgation de ltditt Ion 4 craie ai maintenue», •I toutefois le* condition» exigées par 1»* lpi» Qftt été remplie* par les adjudicataire*, , „
-■ Impression et ijoniBemeut, ( /....................
. Aubert soamet à ia discussion son projet «olurjon sur. les réductions desioniributipns directs 4e» année* V et VE ■·.,■. . . '
Su 11 ihier et pIuaitocs autre* membres cornbaitent ce projet comme préjudiciable au. trésor pqtri LG, H* ^sséiente«* d’nouc»;au<s sut le mime ftbjf f ^4°™ le' Cons* il o«tonne le renvoi à U commurilop .4^ tj- • an ces. . . . . ·. ..■; ,,L . m ■ '
Sur le rapport d une commission ipéciale , lé coï- Bb 4
Got igk

□r.dnal n»m
NEW Y'G-RR PUBLIC LIERA!
, i59,) . '
ter) rapporte la loi du tg menidor an HT» portant
étibliateoeeat d'uti rélèguphe au palais national
de*Tuileiiet, papillon de l'Uniié.
La cûnitnimon des Rnutices fat Hier les dépentel
du miniitere de la pelicc, pour l'an VII, à î,a ttjîi f.
Lenoii-Laroche ü fait, dan» la fiance du «3 du
ccnieil des Ancien«, un rapport jur la résolution du
et thermidor, relative à l'annuaire de la République-
L*i«< IL de la I □ l du 4 frimtrc an II, dtr-il , en
étibbiUKil l'ère nouvelle, avait aboli Vête ancienne
pour le» itia^Ei civile ; Bian, quelque précité que lût
Cette dirpontica, elle aviit bttoiu d’un réglement
qui pis t'appliquer plut directement à la dircTUtê
de* utages, et qui indiquât touià-la-foit le genre do
peiné cucontue pu le» toaue venait· 9 elle (ri b unit
dttant lequel il* doivent être pou nui vie; c’cst ce
que tait k résolution qui veut ert »cuiDite.
Lo rapporteur j uitihc comité la mbiùcutiixs du
mot tHirtuttfi à celui de calendrier, en disant qu'eit
créant Wt itttiiutiou nouvelle, il hui bannit mut
te qui peut UppeHer cçdc qu'on veut faire oubliât.
J| juttihe, pour ic meme motif, h dispoiiiion qui
détend de rippciler daui 1rs «uet, dim les jour niai
«t ouvisges pciiôdiquct, 1 ère amenne avec-h b*b>
Telle. Il temacqur que h rnolumn ne parle pat dçj .
ouvrage* non-périodique» t mai* il pente que sert
cipîit sulEr-pour ia.ii· croire que tout let outrager
qui t'ifltpriniect dapj h République devront poster
)i date dé l'érc nouvelle.
H fuit rentit combien Ji rirolitrion aétérage, en
^exigeantpoint que les ditevdo acte· antéricart à
clic tussent traduite* djent letryk du nouveau touaput.
Lc raku| rétrograde , dit-xi, eugerait dei •pédl&
Ktlri tt cenipliquéet. D'iiJÎrun,
ie» acteI qui nuisent let diciu , l'état «t la
propuéte de* citoyeai doivent rerter dam leur întô»
Çrïlité, et ce »était donner un effet rétroactif qu< de
jjjre réformer U cbronoiogn de» anciem. *1
Le rapporteur fait «taeort tentir combien h rétor
futiob M eu de rwpect pour Ici instituriou». de* Itntr
|cr>, en disant que dam ht acte» oi ils liront psl·
f . /
ri ta
l·'.’ ^Icî
J , ( M j
*· lies, l'ère aneirnntrpourra êun rsppellée avec la nouvoile
· Ainsi, no« engagement commerciaux et cîvüi
porteiont avec eux une date conforme à leurs usages ,
j tans cependant méconnaît! e les noires·
Lcr autres dispositions de la Résolution ne sont que
i la lutte indispensable des premières 5 ainsi, les admi
ni a ira Lions sont autorisées à faire concorder le*
jours de foires et de marchés avec l’ére nouvelle·
Les matehindi sont obligés de tenir leurs boutiques
ou verres pendant ces jours ; obligation qui
leur est commandée par leur propre intérêt, et
contre laquelle la raalveillanc* ci le fanatisme auraient
tort de ie récrier ; car autrefois, le jour du
patron, il y avait, dans toute* les communes , des
foire* que le cjçîgé tolérait, absolvait même, parce
qu'elle* lui étaient profitable*· Ainsi , les époques
des congés, des ouvertures et expiration* des- 10ation*,
des ouvertures et clôtures d'écluses devront
1 être transportées des jours hebdomadaires à ceux de
' la décade· .
La comuiissicn propose d'approuver la résolution«
Le conseil l'approuve.
' - Oudot propose, le «4, d'approuver une résolution
relative à la fourniture du.papier nécessaire au timbre
· Le mode d'adjudication proposé, dit-il, procurera
tout à ia-fois, et une économie sur le ptix, -pt
une augctcutitioH de qualité dans le papier.
Decomberoussc n’est point de cet avis,
L<j conseil ajourne la suite de 1a discussion , ci se
forme en comité général.
Texte du traité de paix et (t'alliante offeniive ti d^fentiot
¿titre 1« République irançaite et ta République Hel*
vitique t .
Li République Française et la République Helvétique,
également animées du desif de faire succéder
■la paix h plus complexe et l'amitié h plus érTOtte à
la guerre que l’alygarchie avait provoquée, et qui
a lUOnentaucKient divisé le* deux nations, ont résolu
□r □ nsi Itarn
NEW rüRR PUBLIÉ LIBHARr
' J * . . . de VuHÎt par une wlJiaucc fan (Ht (nr les vrais iméiffî
de» deux peuple»; en cOiiséqutnct, les gouver-
DtiniM respectifs ont iKjmmti, »avoir i Je Directoire
exécutif de h République Française, Je cit. Cbarl«-
Maurice TaJleynnd , ministre des relation» eitéïicvrei;
et 1« Directoire exécutif de la République
Helvétique, les cit, Pierre-Joseph Zcltraer et Amtdee.
Jeûner ; lesquels, après réchange de leurs plein»
pouvoir« » «ont convemts des article! su-ivauj r
AK* I·1· Il y aura ■ perpétuité , entre la République
Française et la République Helvétique, paix, amitié
et bonne intelligence.
II, Il y a. dès ce moment, entre les deux Républiques,
alliance offensive et défensive. U effet général
de cette alliance est que chacune dd deux Républiques
peut < en cal de guerre « requérir la coopération
de ton alliée. La puissance requérante spécifie
alors contre qui la coopération es< réclamée» et par
l'effet de cette réquisition spéciale, la puissance requife
entre en guerre contre la puissance ou les 1
puissances désignées ; niais elle reste tu état de neutralité
vis-à-vis de celles qui seraient en guerre avec
H puissance requérante, et qui n'auraient point été
' particuliérement déugnée» par elle. Il est te connu
que ¡'effet de la requitition de la République Ffan~
faite ne pourra jamais être d'envoyer des troupe»
suisses outre-tirer. Les troupes requises seront payée·
et entretenues par la puissance requérante;,et en eu
tiç;'réquisitions, aucune des deux Républiques ne
podrra conclure séparément aucun traité d'armisctcè
ou de paix. Les effets particuliers de l'alliance,
lorsque de part et d'autre la réquisition aura lieu, U
.patate et la quotité dçs secours miatuet Je nient accordés,
seront déterminé» de gré à grc par de» conventions
spéciales, basées sur les principes rcnJerrnéi
dans cet article-
111; En ctJnséquence, la République Française garantit
à la République Helvétique son indépendance
■et l'usité de son gouvernement; et dans le tu ch
l’olygarchie tenterait de renverser la cnnttitutiois
.actuelle de i'Hdvétie, Ja République Française s’en-
Qdqliwl trarr.
NEW YDF.K PUB UC LIBftAR
■ . ' 1*0)
gage i donner à la République Helvétique, sur si
réquisition, les secours dont elle aurait besoin pour
triompher des alfaques intérieures ou extérieures
qui seraient dirigées contre elle. Elle promet sé» bons
o.fûtes à la République Helvétique pour h faire jouit
de tous scs droits par rapport aux autres puissance«;
et afin de lui procurer les moyens de rétablir promptement
ion état militaire l»r le pied le plus imposant,
h République Française consent à h remettre
en possession de« canons, mortiers et pièces dlartillcrie
qui lui ont été enlevés pendant la présente
lierre, et qui seraient entent à la disposition du
gouvemelpent fronçait au moment de la signature
du présent traité , moyennant que ta République
Helvétique s^ chargera de les faire rechercher ■ et
conduire sur'ion territoire.
' 1V, Les frontières entre b France et l'Helvétie seront
déterminées par une convention particulière,
ijul aura pour base, que tout ce qui faisait partie dû
ci-devant ¿viché de Bâle et de la principauté de
Ptxrenlruy, restera dtbnitivcmettt réuni au territoire
français, ainsi que les enclaves suisses qui se trouvent
comprises dans *lps dépaitemens du Haut-Rhin Et
du Mont-Terrible, sauï les rétroceuîôm ou échange^
qiri'seroilt jùgés indispensables pour la plus parfaire
rectification desdites Sonrieres depuis RâU jusqu'à
Gçneve, et qui ne contrarieraient point les réunions
déjà définitivement opéréesau teml^ïit fiançais.
V. Afin d'assurer les communications de la République
Française avec l'Allemagne méridionale et
ritalie, îl lui sera accordé le libre et petpétüel usage
des deux roules commerciales et militaires, dont la
premiare passera par le noid de i'Hclrétie , en rcmontant
Je Rhin, et suivant les rives occidentale et
Méridionale du lac de Constance ; dont La seconde,
partant de Genere et traversant le département du
Mont - RlanC , fïaversera également le Valais pont
aboutir Sur lé territoire de la République Cisalpine,
suivant tint direction qui sera déterminée! et il est
convenu que chaque Etat lera sur son territoire les
Dr-
NEW YORK
fJgG J
travaux »éiesiiireJ pour F achèvement d« deux
routes.
VI. De meme il est ton venu que, pour donner
à la navigation intérieure des deux Républiques les
développement avantageux dont elle est ausccpdbEc,
chacune d'elles fera retpectivement mit sou territoire
.j les ouvrages d'art qui Seront nécessaires pour
rétablissement dune communication par eau , depuis
lé lac de Genevc jusqu’au Rhin, et depuis Ge- ■
neve jusqu’à Ja partie du R h 5 ne qUi est navigable,
VH. La République Fratrçaife s'engage a fournir i
la République Helvétique tou* 1rs seb dont elle aura
besoin, de ses salines de la Meutthe. du Jura et du
Mont-Blanc. L<> prix dçsditj icb, celui de leur
transport, les lieux et les époque» des livraisons Seront
réglés, au moins tons les dix ans, entre les citoyen
» chargé» par le gouvememeat françaî» de l'exploitation
de ses naines, et les préposé» du gouver-
Bernent belvétiquer, fans que jamais le prix des sel*
aux satine» puisse excéder celui que paieront les ci- '
toyoui français, et uns que les tels vendus aux H cl- i
vétiçns puissent jamais être assujettis à aucun des
impôts qui Seraient mis en France iuî cette denrée.
VIII, En'conséquence de Fanlcle précédent, la
République Helvétique renonce expressément! ton»
les arrérages de tels qu'elle pourrait avoir à réclamer
par suite des anciens traités qui existaient entre
la France et les Gantons-, et elle s’engage à prendre
umuellenieut‘aux salines au moins deux cents cinquante
mille quintaux de tels. .
IX. Les citoyens de h République Française pourtout
aller et venir en lïelvétie, munis de passeports
eu régit ; il Jeüt sera libre d y former tou» et
tels établisiemeDS, d'y exercer ibIs genres d'industrie
que la loi permet et protégé ; leur* personnes
et leurs propriété» seront soumises aux lois et usages
du pays· Les citoyens de la République. Helvétique
Î"ouïront en France et dans tout?» les possession» de
a République Française , dc3 mçniee droits et aux
mêmes Conditions. 1
X. Dans Jet affaires litigieuses personnelles, qui
. (Ain ..
' pourront it terminer à l'imhbte et sans la voîé des tribunaux, le demandeur sera obligé de pout~ •uivre ton action devant le« juges naturel* du défaia- deur, à moins que hw partie* ne *oie*t' présente* dans te lieu. même où le contrit a été idpulé (ou n* fussent convenu« des juges par-devant lesquels elles«e seraient engagées-de discuter leursdifficultés.
L F>ans Jes affaires litigieuse* ayant pour objet de* propriété* foncières, l’action stra suivie par-devant : le tribunal ou le magistrat du lieu où ladite propriété est située. Les con test aliona qui pourraient s'élever entre les héritiers d'un Français mort en Suisse, à raiion de sa succenion , Seront portée* devant le juge du domicU« que le Français avait eu Fiance, et il et» l«i de même à l’égard des contestations qui pourraient s'élever entre le» héritiers d'un Suisse mort en France,. - ,
XL Les j u jeme ns définitifs en matière civjle ayant t force de chose jugée, rendus par les tribunaux frani çai*t seront executoire» en Suisse . et réciproquement après qu'ils auront été lég Jisés par ici envoyéf 1 reipectifi. ,
XJLEn cas de faillite ou de banqueroute de la part de* Fiançais possédant des biens en France, s'il y a des créanciers suisse* et des créanciers français, lel ! créancier* suisses qui se seraient conformés aux loi* françaises poutla sûreté de leur hypotheque , seront payés sur les dits biens comme Us créanciers bypé¿ sb¿caito français, suivant l'ordre de.leur hypotheque; et réciproquement si de* Suisses possédant des bien* dans h République Helvétique-se trouvent avoir des créancier» français et des créanciers suisses, les créanciers français qui auront rempli le* formalités propres à leur assurer une hypotheque en Suisse, leront colloqués, sans distinction , avec 1 les créanciers misses, suivant l'ordre de leur hypotheque.; quant au· simples créanciers, ils aerdîu t traité* également , San* ccniidérér à laquelle de» deux République ils appartiennent, :
XIII. D au* toute* les procédure» criminelles pont délits grave», dont finit tuctiort se feta» suit devant
Goi )gle
Onzjlr·?. ’toit
NfcW YORK PUBLI C LIÉRARr
( 3g8 } '
les tribunaux français , soir devant ceux de Suisse, les témoins suisses qui seront cités â comparaître eu France, et les témoins français qui seront cités i comparaître en personne eu SpisAC, seront tenus de se transporter près du tribunal qui les aura appelés^ sous lff peines de terminées par lésion respective* des deux nations. Lti deux gauveriiemenS accorde* root, dans ce cas, aux témoins les passe ports né- f cessaires, et ils se concerteront pour fixer l’indein* nité qui lera due à raison de la distance ei du séjour, XIV* les deux Républiques s'engagent itcipro quetnent à ne donner aucun asyle aux émigrés ou déportés de chaque nation· Elles s'engagent pareillement 1 extrader réciproquement 1 la première réquisition , les individus de chique nation qui au* laient été déclarés juridiquement coupables de conspiration contre la sarclé intérieure et extérieure de ¡’Eut, d’assassinat, d cmpoiiopnement, incendie , faux sur des actes publics, et vol avec violence ou effraction , ou qui seront poursuivit comme tels < en vertu de mandats décernés par l'autorité légale« Il e|t convenu que les choses volées dans l'un des deux pays, et déposées dans l’autre, scrout fidellî- mrnt mtituéet.
XV. U sera inccssaoimct conclu entre les deux Républiques un traité de commerce, base sur la plus compktte récipr&cité d'avantages. En. attendant, les citoyens des deux Républiques seront respectivement traités comme lés ti-ilionsles plus favorisées.
Conclu et signé à Paris, k s iructidpi un VI de la République Française , une et indivisible, ( 19 ront ?79^) .
Stgtîrr, Ch. M, Tallivrand, P, J. ÏELTbES , A. A.
PARI S,Nonidi^ aq ïruftidtr^ran VI de ta République.
On parle hautement de paix depuis truia nu quatre jours ; Ci bl'kQt S Si p rülll plÉlÜCll t Ct £ I g¿11 ET^ll Ç □! G U t JLCréiÜCt p que Lion s'ntetidan iehiqoe iiinis; à entetmit a uMt 1# car
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( 3gg )
goü,et que l'on s'est porté en fouie ni deux cotneils, d*ni
i l'espérance d'un luessige du Directoire exécutif qui devait
annoncer celte bouvelg, Cependant le ménagé n'eit point
arrivé , et h nouvelle ne s’est ma) heure Un: ment p-u ton·
ffmu£»,
Ce béait ifauTii Traisemblibl^tnent pas été pet du pour I ont
le monde; cm ennnait l'adresse tt l'avidité des spéeuktaun
sur les fonda public*.\Jiioi qu'il en toit, les négociât! oui»
qui te «cmtumeur à Ra>tadt avec la plug grande activité,
donnent quelque} espérance* de paix ; mai) elles ne sont
point ¿score réalisées. L’véJrnitfftufi du Directoire exécutif *
dù étït remis t sam qu'ou en cou naine encore, le résultat. A
supposer que l’on soit convenu de quelque*. tiitts générale·,
la lenteuT des formalités prescrites par la constitution
nique ce permettrait pas qu'on lut si-tôr mictvtl de J’ujenù*
meut de la dicte T ainsi que de l empereor.
. — Le» changement que l’on avait conjecturé dtv<âr s«
faire i la constitution cisalpine, oui ¿ré effectués un» com»
motion, le i5 fructidor et jour» suivant. Le cïc. Trouvé',
ambassadeur de la République Ftlaçaite j a adressé aux .datai
■■ conseils eg au Directoire un discours, dans lequel il a déve-
■ Juppé le» motifs et I» nécessité de celte réforme. Le C-orp*
' législatif, qui était de 940 membres, ae trouve réduit in hor
»avoir, So au Grande a ascil· et 40 4bi Aucîmi« L* Direct
Coire reste toujoun compose de cinq tnctnbrti, rmâidiox
ont été renouvelles. On regarde ce changement cornai »plu»
économique pour la Cisalpine, et mienuL appropria 4Té-tewduc
de son territoire,
— Ou a aujourd'hui de* nouvelles certatvei du ^remief
débattue ma lit fait en Irlande. Le Rédacteur vient de p ublier
le» deux lettres smvan 1er ; 1 1 -
i '
. . ■ ■ . *
Entrait d'uni lettre du ciL Savarj , chef de ditiiian Hjwaiei,
dcrffr au ministre de la mariru-, en rdde dé Htyeu ■, fiuieni
de Serdeaux..
s* Je m'empresse de vous annoncer mon retour enFrati-ee,
après avoir débarqué·, dam la baie de Kilfunrn *b Erlarüde^
1rs tiùiipcs de la Krpublique que j'étais chargé d'y Iranspor-
; ter. J'jTpeat en retour de» prisonniers anglais faisant part·«
de la partis un dt 'la ville de Kilak., dont quelques grenadier*
fraudai*, sons 1« ordres du général Sarrasin, se scmt
I empam pendant que le dé b arquerai en 1 s'achevait. Je ne **0»
irai* vous dre lire le dé voue meut et lardeur des soldats ci
deaccodant i terre ; c’éiattüt alitant de ticro:. Le lendemain
L'iijil xr
Original tram
NEW YORK PUBLIC LlflRARÏ
< K\t , - ■
$ , ÎI y eut une rencontre oà 1c gcnc-al Humbert battit Fin- |
nemi, qui eut cent hommes eanl taéi que blessé)·. Le 7 devait
être un îouveau jour de gloire pour les Français. Mes I
brav ce et moi noua regrettons d'avoir etc obliger ¿'appareil- ]
1er, pic L'approche du miuveia Lcmi; no.us aurions eu encatt
¿et prikobtiiers à [remporter. A ni on départ« il y avait 15 ira '
Irlandais rruiiis i nous et organisés i ao.OOü nous attcudaitüi |
à quelque distance. » Fwc in 1 :
. -Sifrté, S* vau Y. |
£xfmtr ifisw Feifre du généralHunieri, rcriie au mittJGtirc1 de it f
Kericr. —Au quartfer-geaérii At fallait en Irlande A le 6
, fructidor i* YI. '
lt Enfin, en dépit del Angfaii, nom lommti 1 terre et
maîtres de Killala. Tout on us promet Les plus Keurtux luccés.
Je ne puii trop vous recommander les bribes mirins qû
nom «ni transporté! sur cette cite. Le ch. Savgry , chef d*
division, ei Ici trtm tapitaiaea charger de l’erpédition , font
honneur 1 votre choix/n
■ ■ . Jéjid, HtruaEJtr,
Lei Mallé· oui été ipporé* hier iur lefourntl dts Franc/,
qui n'eat que la continuation de celui dti Homme i ¿iérrr, Ou
prélunu: que cet acte de ic vérité a île provoqué par le
compte indécent que te journal a rendu des dernier) evêoe-
Hcnt arrive) i Milan.
- AT» JL Dans la séante ¿u <8, le coin ci I Jei Cinq-cents ï
tej* Un mis ta J* tféj-étendu , et dont .nous donnerons h
texte· Le Directoire exécutif annonce que l'armée Îrauçaiu
«il entrée « le 13 messidor, i Alexandrie el i Rosette en ’
Bgypit, et le 5 tbennidcH-; bu Caire, La coud ni te des Leyi j
«»ver» la France , envers la Porte otfotnine « les
Egyptiens, légiûinaient trop cette mesure jour qü’uùe déclixaiiûu
¿a guerre fût néceasaira. .
Sur b proposition de Chénier, h contt il t dédire que
.Tintéi fr apaise en Egypte avait bien mérité de La patrie.
Nota, Attendu les jours complimentait tt, nous avons
ajouté «ne feuille de plus d ce numéro ; celui gui paraîtra
J< to vtudirHiaiff aura ¿gaiement cinq feuillet.
LiNpiit-LacQ0Ht, TÜàtbrlturrN cAtf.
Qualité de la reconnaissance optique de caractères
Soumis par lechott le