Orbis Augustinianus sive conventuum ordinis eremitarum Sancti Augustini chorographica et topographica descriptio

Données de base

Type de notice et de document: Monographie : Document cartographiqueTitre et date: Orbis Augustinianus sive conventuum ordinis eremitarum Sancti Augustini chorographica et topographica descriptio Variante du titre: Chorographia Augustiniana seu conventuum ordinis eremitarum Sancti Augustini per provincias nec non eorumdem topographica descriptio. Cum privilegio Regis Christ[ianissimi]. Authore Fr. Augustino Lubin totius ejusdem ordinis chorographoDescription matérielle: 1 atlas, 18,9 x 24,9 cm, 48 cartes.Bibliothèque nationale de France: Notice no 40612794, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb406127949Source: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France

Relations

Remarques et validité

Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Le Père Augustin Lubin (1624-1695) était devenu frère ermite de l'ordre de Saint-Augustin au couvent de la reine Marguerite au faubourg Saint-Germain en 1640. En tant que religieux, il fut prédicateur à Paris et en province, mais il resta surtout célèbre, pour son oeuvre de géographe. Il dressa en particulier des tables géographiques pour faciliter la lecture de l'Ecriture Sainte, de l'histoire de l'Eglise et des "Vies des hommes illustres" de Plutarque. Reconnu comme expert en matière de cartographie, il reçut le titre de géographe du roi. Son oeuvre cartographique est cependant limitée et il composa un seul atlas, l'"Orbis Augustinianus", (à ne pas confondre avec l'ouvrage paru sous le même titre en 1672, qui ne contient que du texte). Cet atlas se divise en deux parties: la première, la "Chorographia augustiniana" est constituée de cartes des circonscriptions administratives de l'ordre des Augustins avec la localisation des couvents, tandis que la seconde, la "Topographia augustiniana" offre des vues de quelques-uns de ces couvents. Cet atlas connut deux éditions, datées toutes deux de 1659. Pour la deuxième d'entre elles, les planches reçurent plusieurs compléments. Lubin grava lui-même ses cartes.


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