La Malediction paternelle. : [estampe] (1777)

Données de base

Type de notice et de document: Monographie : ImageTitre et date: La Malediction paternelle. : [estampe] (1777) Mention de responsabilité: Peint par J. B. Greuze / Gravé par R. Gaillard.Adresse: à Paris chez J. B. Greuze rue ThibotodéeDescription matérielle: 1 est. ; gravure en taille-douce ; 48,4 x 62,6 cm.Bibliothèque nationale de France: Notice no 44558304, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb445583042Source: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France

Relations

Remarques et validité

Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Date : [1777]. / A dr., le père de famille, assis, lance, malgré les supplications d'une de ses filles, sa malédiction sur le fils ingrat qui, à g., s'apprête à prendre la porte malgré les supplications de sa mère et de ses frères et sœurs / En marge, de part et d'autre d'un cartouche aux armes : "Dédié à Monsieur l'Abbé de Veri // Par... Greuze." Au bas à dr. : "Tiré du Cabinet de Monsieur // le marquis de Veri" / Estampe annoncée dans le "Journal de Paris" les 14 juin 1777 et 26 avril 1778, dans la "Gazette de France" du 29 juin 1779, les "Affiches, annonces et avis divers" du 30 juin et le "Journal de Paris" du 1.er juillet 1779 / Elle fut exposée au Salon de la Société des Beaux-Arts de Montpellier en 1779 (N° 202 du livret, réimprimé dans les "Archives de l'Art français", 1913, p. 403) / Pendant du "Fils puni" (IFF18 GAILLARD (René), 186)" / L'original figurait avec son pendant, "le Fils puni", à la vente du marquis Veri le 12 décembre 1785 (N° 20) : "Deux tableaux capitaux et sublimes de cet artiste [Greuze] : ils représentent l'un le fils ingrat, ou la malédiction paternelle ; l'autre le fils puni, ou le pere de famille mourant... Il est inutile d'insister sur l'intérêt de ces deux compositions, elles sont reconnues depuis longtemps comme deux chefs-d'œuvre du pathétique sublime, et doivent, comme plusieurs des ouvrages de M. Greuze, dans lesquels il s'est plû à tracer des leçons de ce genre, ajoûter à la réputation de notre École autant par l'intention que par l'exécution des sujets." "Ces deux chefs-d'œuvre" entrèrent au Louvre en 1820, année où Louis XVIII les reçut de M. de Villeserre au prix de 10 000 francs (Villot, n. 261 et 262 ; Brière, N. 370 et 371)" / Notice chargée sans modification à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle.


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