[Planches pour : Mémoire sur des bois de cerfs fossiles, trouvés en creusant un puit dans les environs de Montélimar en Dauphiné, à 14 pieds 2 pouces de profondeur, le 28 du mois d'août dernier (1775)] : [estampe] (1776)

Données de base

Type de notice et de document: Monographie : ImageTitre et date: [Planches pour : Mémoire sur des bois de cerfs fossiles, trouvés en creusant un puit dans les environs de Montélimar en Dauphiné, à 14 pieds 2 pouces de profondeur, le 28 du mois d'août dernier (1775)] : [estampe] (1776) Mention de responsabilité: [Arnauld-Éloi Gautier-Dagoty]Adresse: [Grenoble], [Cuchet et Ruault]Description matérielle: 4 est.Bibliothèque nationale de France: Notice no 44559637, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb445596373Source: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France

Relations

Remarques et validité

Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Date : [1776]. / Éd. : in-4° VIII-24 p." / Cet opuscule, selon une note au bas de la p. v, est l'œuvre de "M. Faujas Saint-Fond". On lit dans l'"avis du libraire" (p. VII-VIII) : "Je voyageais alors avec M. "Gautier-Dagoty", de l'académie des Sciences, belles-lettres et inscriptions de Toulouse, second fils du fameux Dagoty, inventeur de la manière d'imprimer les gravures en couleurs ; cet artiste, avec des talents supérieurs pour le dessin, grave dans le goût de son père : il dessina d'après nature ces bois de cerfs fossiles et en fit la planche intéressante, gravée en couleurs et non enluminée, qu'on voit à la fin de cette dissertation : il fut bien aise d'accompagner cette gravure d'une vignette qui rend d'après nature un morceau de la mine d'argent d'Allemond, en Dauphiné, et deux culs de lampe formés par deux papillons également de cette province. On peut prendre, d'après ces petits ornements, une idée de la manière dont cet artiste, pourrait graver l'histoire naturelle. Celle de la province du Dauphiné, gravée de cette manière, deviendrait un chef-d'œuvre qui surpasserait certainement les ouvrages de Seta et du comte de Marsigli, et serait d'une utilité d'autant plus grande qu'elle offrirait les objets avec leurs couleurs naturelles et avec ce ton vrai et merveilleux que l'enluminure ne saura jamais imiter." / Un exemplaire conservé à la Bibl. d'art J. Doucet, 110.p 21 / Notice chargée sans modification à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle.


Mentions dans d'autres contenus

Aucune mention.