La Fille confuse : [estampe] (1773)
Données de base
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Titre et date: La Fille confuse : [estampe] (1773)
Mention de responsabilité: Peint par J. B. Greuze Peintre du Roy. / Gravé à l'eau-forte par Ingouf L'aîné, et terminé au burin par son frere, An. 1773.Édition, état: [État décrit dans l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle]Adresse: A Paris chés le Pere et Avaulez M.ds d'Estampes, rue S.t Jacques au PapillonDescription matérielle: 1 est. ; gravure en taille-douce ; 30 x 36,6 cm.Bibliothèque nationale de France: Notice no 44569039, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb44569039bSource: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France
Relations
Remarques et validité
Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Date : [1773]. / Dans sa cuisine, une jeune villageoise, à mi-jambes, de tr. q. à g., subit les reproches que sa mère lui adresse par la fenêtre à dr. et détourne la tête, les yeux baissés / En marge, de part et d'autre d'un cartouche aux armes : "Dédiée à Monsieur Alexandre Joques Desormeaux Garde des // Archives de l'Ordre Royal et Militaire de S.t Louis // Par... Ingouf le Jeune" / Estampe annoncée dans l'"Avant-Coureur" du 7 juin 1773 (p. 353) : "La scène de cette estampe est composée de deux personnages. A la droite de l'estampe est représentée une bonne mère qui fait des réprimandes à sa fille. Cette jeune personne debout devant un fourneau sur lequel est une terrine remplie de lait, a son mouchoir un peu en désordre, et l'on croira facilement qu'elle était plus occupée d'elle-même que du lait qu'elle devoit faire chauffer & qui se répand. Aussi paraît-elle confuse de se voir surprise par sa mère, qui semble lui reprocher sa négligence. La jeune personne marque sa confusion par des yeux baissés, une tête penchée, & une main dont elle cherche à se couvrir le visage. Il y a une vérité naïve dans cette scène que le graveur a rendue avec soin & d'une taille très-fine et très-serrée." / Autre annonce au "Mercure" en août 1773 (p. 180) / L'original passa à la vente Thomas de Pange en 1781 (n° 48), à la vente du médecin Cochu en l'an VII (1799) et à la vente du 27 février 1851 / Le dessin de ce tableau, à l'encre de Chine et au bistre sur papier blanc, passa en 1786 à la vente du fermier général Bergeret. En 1880, à la vente Walferdin figurait un dessin à la sanguine d'Ingouf d'après cette composition (n° 29) / Notice chargée sans modification à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle.
Mentions dans d'autres contenus
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