L'Epouse-indiscrète. : [estampe] (1771)

Données de base

Type de notice et de document: Monographie : ImageTitre et date: L'Epouse-indiscrète. : [estampe] (1771) Mention de responsabilité: Peint à Gouasse par P. A. Baudoin Peintre du Roi. / Gravé par N. De Launay 1771.Édition, état: [État décrit dans l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle]Adresse: A Paris chès l'Auteur... rue des RatsDescription matérielle: 1 est. ; gravure en taille-douce.Bibliothèque nationale de France: Notice no 44572382, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb44572382tSource: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France

Relations

Remarques et validité

Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Date : [1771]. / Sur un lit en désordre, un homme lutine une jeune servante, cependant que sa femme l'épie / Puis de part et d'autre d'un cartouche aux armes : "L'Epouse indiscrète. // A son Altesse // Sérénissime Monseigneur Christian IV, // des deux ponts, // Par... Baudouin et De Launay" / Sous le cartouche : "Avec Privilège du Roi." / Estampe annoncée au "Mercure" en juin 1771 (p. 198) : "L'Epouse indiscrète et La Sentinelle en défaut, deux estampes en pendant... gravées par De Launay d'après les tableaux de M. Baudouin, peintre du Roi... Elles se vendent 6 livres chacune chez M. De Launay, rue de la Bucherie, la porte cochère au dessous de la rue des Rats" Autre annonce dans l'"Avant-Coureur" du mois de Juin 1771 (p. 291). Pendant de "La Sentinelle en défaut" (IFF18 LAUNAY (Nicolas de), 72) / L'original, une gouache, figurait à la vente Paul Galitzin (10-11 mars 1875), sous le n° 18 : 3080 francs. Elle est déjà mentionnée dans le Cabinet Paignon-Dijonval (n° 3542). Il en existe une variante, qui appartenait aux Goncourt ("Maison d'un artiste", I, p. 43), et passa à leur vente (15-17 février 1897), sous le n° 6. Cette gouache, qui fut payée 25 100 fr., est reproduite dans le catalogue. En sens inverse de la gravure de De Launay, elle nous montre l'épouse indiscrète, non pas courbée, mais debout, et se haussant sur la pointe des pieds, derrière les objets de literie, qui dissimulent l'entreprise amoureuse du mari trop galant / Notice chargée sans modification à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle.


Mentions dans d'autres contenus

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