[Dame cachetant une lettre, avec l'aide de son laquais] : [estampe] (1738?)

Données de base

Type de notice et de document: Monographie : ImageTitre et date: [Dame cachetant une lettre, avec l'aide de son laquais] : [estampe] (1738?) Mention de responsabilité: Chardin Pinx. 1732 / E. Fessard Sculp.Adresse: A Paris chez Fessard, Rüe S.t Denis au grand S.t Louis chez un Miroitier près le Sepulchre. C. P. R.Description matérielle: 1 est. ; gravure en taille-douce ; 24,8 x 22,9 cm (im.), 28,6 x 23,5 cm (élt d'impr.).Bibliothèque nationale de France: Notice no 44555837, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb44555837pSource: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France

Relations

Remarques et validité

Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Date : [ca 1738]. / En marge, six vers, dédoublés. : "Hâte toy donc, Frontain, vois ta jeune Maît.sse..." / L'estampe est mentionnée dans le "Mercure" de mai 1738 (p. 955). Il en existe une copie en contrepartie, publiée à Augsbourg (Augusta Vindelicomm), avec une légende en allemand et en latin (B., 12 B.) / La gravure de Fessard est en sens inverse de l'original / Le tableau de Chardin est signé et daté, non de 1732, mais de 1733. Il fut exposé à la place Dauphine en 1734, au Salon du Louvre en 1738 (n° 34) et, plus récemment à l'exposition organisée à Berlin en 1883 à l'occasion des noces d'argent du prince héritier d'Allemagne (n° 120). Il faisait en effet partie des collections de Frédéric II. D'après un catalogue de 1855, il était autrefois au Musée de Carlsruhe. Il est aujourd'hui au Nouveau-Palais, à Potsdam [information 1962]"... Cette œuvre capitale de l'artiste a recouvré sa finesse, et sa clarté dorée // depuis qu'on l'a débarrassée des repeints qui la défiguraient... Le profil de la dame, qui est dans l'ombre, par opposition à la joue et au cou qui se trouvent en pleine lumière, s'est malheureusement un peu obscurci, de sorte que les contrastes d'ombre et de lumière dans le visage, voulus par Chardin, semblent aujourd'hui un peu trop durs. On ne peut qu'admirer le dessin des figures et aussi le traitement des étoffes." (Seidel, "Collections d'Œuvres d'art françaises du XVIII.e siècle appartenant à l'Empereur d'Allemagne", 1900, n° 4, p. 25) / Notice chargée sans modification à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle / Modifiée 2020-08-19.


Mentions dans d'autres contenus

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