La Blanchisseuse // D'après le Tableau original, du Cabinet de M.r Le Chevalier de la Roque... : [estampe] (1739)
Données de base
Type de notice et de document: Monographie : ImageTitre et date: La Blanchisseuse // D'après le Tableau original, du Cabinet de M.r Le Chevalier de la Roque... : [estampe] (1739) Mention de responsabilité: Peint par Chardin. / Gravé par C. N. Cochin.Édition, état: [État décrit dans l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle]Adresse: A Paris, sur le Pont Nôtre Dame, chez Cochin, à S.t Charles. Avec Privilege du Roy.Description matérielle: 1 est. ; gravure en taille-douce ; 25,3 x 30 cm.Bibliothèque nationale de France: Notice no 44541544, https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb44541544zSource: Catalogue général de la Bibliothèque nationale de FranceRelations
Remarques et validité
Remarque du Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France:
Date : [1739]. / Il en existe une contrefaçon à l'eau-forte et en contrepartie, avec le titre : "La Blanchisseuse" et la signature de C.-N. Cochin / Pendant de "La Fontaine" (de l'IFF18 COCHIN père (Charles-Nicolas), 258). Les deux estampes furent annoncées dans le "Mercure" de juin 1739 (2.e vol., p. 1367). Le 27 de ce mois, Cochin en offrit 2 épr. à l'Académie ("Procès-verbaux", V, p. 253) / L'original fut exposé au Salon de 1737, sous le titre : "Une petite femme s'occupant à savonner" (p. 7 du livret.) / La "Blanchisseuse" et son pendant la "Fontaine" (de l'IFF18 COCHIN père (Charles-Nicolas), 258) passèrent en vente, en mai 1745, avec les collections du chevalier de La Roque (n° 102). Les deux tableaux furent payés 482 livres. Ils sont aujourd'hui au Musée de Stockholm [information 1940]. Clément de Ris nous dit qu'ils "sont dans un état de détérioration qui fait peine à voir. La peinture s'est fendue et grippelée comme si elle avait été soumise à l'action d'une grande chaleur. Il est probable que ces deux toiles auront été placées près d'un de ces poêles suédois qui ressemblent à des monuments, et s'y seront cuites tout doucement. Mais pour une raison ou pour une autre, elles sont absolument perdues." ("Musée national de Stockholm", dans la "Gazette des Beaux-Arts" du 1.er décembre 1874, p. 497-498) / Une réplique de la "Blanchisseuse" est au Musée de l'Ermitage à Leningrad [information 1940]. Elle provient du Cabinet Crozat, vendu à la Russie en 1775. Wildenstein en signale plusieurs autres (n. 3 et ss.) / Notice chargée sans modification à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle.
Mentions dans d'autres contenus
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