[La Vierge garantissant le monde de la colère de Dieu en lui présentant son fils et la croix] : [estampe]

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Oeuvre

Titre :

Auteur :

Grégoire Huret, Michel de Marolles

Édition, état :

[Seul état connu]

Adresse :

[Sans lieu], [sans nom]

Date :

1640-1644

Description matérielle :

1 estampe ; burin ; 50,9 x 34,1 cm (trait carré).

Source :

Bibliothèque nationale de France (2023)

Note de la BnF

Date : [1640-1644]. / En haut, à droite, quatre angelots portent une banderole avec l'inscription : "Ter Sanctae Virgini, Ter maximae Deiparae, Coeli terrarumque Imperatrici semper Augustissimae, /Inferorum domitrici semper inuictissimae, iuris Diuini humanique, arbitrae ac vindici, / belli pacisque foederum sequestrae, Dei patris Filiae, Dei Filij Matri, Dei Spiritus sancti / Sponsae, MARIAE REGINAE PACIS potentissim(ae)" / En bas dans un encart : "REGINAE PACIS SACRVM" / Dans la marge inférieure, à gauche : "Aue Augustissima Regina pacis Sanctissima Mater Dei, per sacratissimum cor Iesu Christi filij / tui Principis pacis, fac vt quiescat ira ipsius et regnet super nos in pace. Memorare ô Pisssima / Virgo Maria, non esse auditum à seculo quemquam tua petentem siffragia esse derelictum, Ego tali / aminatus confidentiâ ad te venio: noli Mater verbi, verba mea despicere, sed audi propitia et exaudi. Amen." / A droite : "Je vous salue tres Auguste Reyne de Paix, tres S.te Mere de Dieu et vous prie par le coeur sacré de / Iesus Christ vostre fils Prince de Paix d'appaiser son jre, et de nous obtenir de luy la paix tant désirée. / Souuenez vous tres pitoyable Vierge qu'il ne fut jamais dit ny ouy que personne ait esté delaissée qui en son affliction / a eu recours a vostre ayde, en cette confiance je m'addresse a vous ô S. te Mere receuez mes prieres et exaucez mes voeux. Ainsi soit-il." / Dessous : "L'image et Oraison cy dessus est vn acte de piété designé pour honorer la S.te Vierge sous le titre de Reyne de paix, a ce qu'il plaise a la diuine Maiesté appaiser son ire, soulager les affligez, et que l'honneur / d'vne Paix florissante par la parfaite concorde entre les Princes Chrestiens, soit en fin attribué aux intercessions de la sacrée Vierge enuers Dieu."

Note de la BnF

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