La France temoigne son affection à la Ville de Liege. // Cette Estampe a été faite en reconnoissance de l'exemption du droit d'aubaine accordée par Sa // Majesté très Chretienne aux…

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Oeuvre

Titre :

La France temoigne son affection à la Ville de Liege. // Cette Estampe a été faite en reconnoissance de l'exemption du droit d'aubaine accordée par Sa // Majesté très Chretienne aux citoyens de la Ville de Liege : [estampe]

Auteur :

Gilles Demarteau, Charles-Nicolas Cochin, Leodi

Adresse :

A Paris chés Demarteau Graveur du Roi et Pensionnaire de Sa Majesté, rue de la Pelterie a la Cloche

Date :

1771

Description matérielle :

1 est. ; manière de crayon, tirage en bistre ; 20 x 15,3 cm.

Source :

Bibliothèque nationale de France (2023)

Note de la BnF

Date : [1771]. / Suivent 4 vers, dédoublés : "Seche etho binamaye France...". Sur des nuages, la France, couronne sur la tête, manteau fleurdelysé sur les épaules, se penche vers la Ville de Liège, qui dépose son écusson à ses pieds / Au bas : "N° 263" / Estampe exposée au Salon de 1771 (n° 298). Voici l'appréciation de Diderot : "De Marteau. "La France témoigne son affection à la Ville de Liège". Une figure d'étude d'après nature. Sa gravure imite on ne peut mieux le crayon ; elle est très nette et fait illusion. Je crois que personne ne peut, en cela, le disputer à M. de Marteau." "(Salon de 1771.)" / "Dans un des dessins de Cochin, ou une des premières études de cette composition, la figure de la femme est peut-être plus gracieuse et un peu maniérée... et Liége est représentée par une femme plus âgée, moins suppliante et plus amoureuse. Demarteau a remplacé ces deux femmes un peu mûres par deux jeunes filles innocentes et n'a pas compris comme Cochin la coiffure, il a ajouté le petit ruban qui flotte sur l'épaule droite de Liége, pour montrer sans doute la jeunesse." (A. de Witte, "Demarteau", p. 312.) / Notice chargée sans modification à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle.

Note de la BnF

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